13.07.2015 Views

Page 05-4297 cse toufik - La Nouvelle République

Page 05-4297 cse toufik - La Nouvelle République

Page 05-4297 cse toufik - La Nouvelle République

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

courrier<strong>La</strong> NR <strong>4297</strong> — Lundi 9 avril 201216Lettre ouverteA M. le secrétaire général du parti duFront de libération nationale (FLN), Je suis veuve de chahid,âgée de 87 ans et vis avec mafille divorcée, âgé de 60 ans,mère de 2 enfants.Je suis actuellement sous lamenace d’une expulsion d’unlogement (une chambre, cuisine),propriété de mes frères,décédés, et que j’occupe depuis1962. Ma situation a été àmaintes fois exposée, depuisplus de 40 ans aussi bien auprèsde toutes les institutionsconcernées (président de la<strong>République</strong>, wilaya, APC d’El-Madania, ministère des Moudjahidine,ministre de l’Habitat)qu’à travers la presse nationale,mais en vain. Imaginerl’amertume et la profonde déceptiond’une veuve de chahidde n’avoir rencontré quesilence et indifférence de lapart de toutes les autorités saisies.Ma dernière démarche, en vérité,la plus affligeante et laplus destructrice a consisté àobtenir une audience avecvous, à la fois, en votre qualitéde premier responsable duparti du FLN et de ministre deLettre ouverte, J’ai l’honneur de soumettre àvotre autorité une situation particulièrementgrave et quitouche ma situation familiale etmon devenir. Voici les faits, un litigem’oppose à mon jeune frèrequi résidait chez moi en familleet que j’avais autorisé à bâtir unlogement à l’intérieur de ma propriétésur une superficie de 150m 2 . Voyant que mon frère a accaparéune superficie dépassantcelle initialement convenue pouratteindre les 220 m 2 , je me suisretracé sur cette autorisation etj’avais imposé l’arrêt des travauxentamés par mon frèreentre 1989 et 1990, soit 40 % dela construction projetée. A partirde juillet 1990, le chantiers’est arrêté complètement.Début 1998, mon frère m’attaqueen justice pour me demander500 000 DA de dommages pourles travaux entrepris par sessoins. A la fin de 1998, je reprendsles travaux d’achèvementpour convertir une partiede ce projet en locaux commerciaux(un en 1998 et deux locauxen 2008), afin de les louer pouraméliorer mes revenus de retraite.Or, depuis cette date,cette affaire traîne en justicepour aboutir à une saisie immobilièrepour la vente de l’ensemblede mes biens y comprisl’habitation où réside ma famille.Me voici dépossédé de tous mesbiens dans le cadre d’une venteaux enchères illégales pour dédommagermon frère car la décisionde saisie et de revente demon habitation se fonde sur uneA M. le ministre de la Justiceattestation de témoignage faiteet mon absence pour confirmerune donation de 220 m 2 qui n’ajamais eu lieu. Parce que j’aivoulu aider mon frère àconstruire sa propre maison, mevoilà condamné par la justice àvendre mon bien pour dédommagerun préjudice qui dépassel’entendement, à savoir :- rembourser 700 000 DA pourle terrain qui m’appartient- et rembourser 5 860 987 DA deloyers indûment perçus- soit un total de 6 560 987 DA dedédommagement.Et ce, sur la base d’une expertisefantaisiste n’entrant pas dansl’objectif principal de dédommagementdes dépenses engagéesréellement par mon frère. Cetteaffaire a connu quatre expertisesl’Etat, représentant personnelde Monsieur le président de la<strong>République</strong>. Pourquoi une telledémarche ?J’ai considéré qu’à la veille dela commémoration du 50 e anniversairede l’indépendancequi a été recouvrée sous labannière du glorieux FLN, vousétiez le plus indiqué pour fairerespecter le serment fait à nosvaleureux chouhada de protégerleurs enfants et leursveuves, quelle erreur de mapart.J’ai également estimé qu’auposte ministériel que vous occupez,vous aviez toute latituded’instruire les autoritésconcernées (notamment leP/APC – FLN d’El-Madania)pour se pencher sur ma douloureusesituation, quelle naïvetéde ma part. Toutefois,pour pouvoir vous exposer devive voix ma situation, auraitilfallu que vous m’accordiezcette audience.A mon âge et avec toutes lesdifficultés physiques quej’éprouve pour me déplacer, jeme suis rendue à maintes reprises(une fois sur convocationverbale de votre chargédu protocole) au siège du partidu FLN. Et chaque déplacements’est traduit par d’interminablesheures d’attente (leplus souvent, une journée entière)sans que ma demandesoit exaucée. Est-ce là le sortque mérite la veuve d’un chahidqui a sacrifié sa vie pourla libération de notre cherpays ? Est-ce là le traitementque mérite la famille d’un chahidde la part du premier responsabledu parti du FLN ? Estcelà votre façon de concrétiserle mot d’ordre duprésident de la <strong>République</strong> etprésident d’honneur du FLN :«Djazaïr El-Izza Oua El-Karama»? Est-ce là votre sens del’équité, de la justice sociale,et de l’hommage à rendre auxglorieux martyrs ?Vous en répondrez devantAllah !Mme Vve Douici MakhloufNée Doudou Taous04, rue des GéraniumsEl-Madania, Algerpour l’évaluation des travauxfaits par mon frère et qui aboutissentà des montants variantentre 54 000 DA et plus d’un milliard.De toutes ces expertises, ilressort que le droit de propriété,source de toute action juridiquereconnue par la constitution estbafoué.Comment rembourser un terrainà une personne qui n’a aucundroit à faire valoir sur ce terrain? Et comment rembourser desdroits de location à une personnequi n’a aucun droit sur cebien ? Je vous remercie d’avancepour l’intérêt que vous accorderezà l’examen de ce dossier.Merzouka AbdelkarimRetraité n°43 1 er Novembre,BécharAppel de détresseMonsieur le président de la<strong>République</strong>, Mon histoire commenceau mois de juin2010 entre l’ambassadede Tunisie etl’ambassade de Finlandedans le périmètreprésidentiel,dans ce quartier quim’a vu grandir. C’estdonc en toute propriétéet en parfait accordavec les lois del’urbanisme que je réclamemon droit ;celui tout simplementde finir ma maison(construite à 65%).Mon permis d’achèvement(n°33/2010) estaujourd’hui refuséaprès deux ans d’unparcours de non-sensentre APC d’El-Mouradia,DUCH, daïra,étrange pied-de-nez àla loi qui précisémentnous oblige à finir nosconstructions. Aujourd’hui,c’est à vous,monsieur le Président,que je m’adressepuisque totalementimpuissante face àcette pyramide bienmontée, face à ce chainonbien soudé, pourque justement leschaînes de la corruptionse brisent.Mme <strong>La</strong>liam Sabrinanée BouzidA M. le président AbdelazizBouteflikaAgression dans mon bureaucontre mon refus de seingAsphyxies : par tant de bêtise tribales, et ensevelis sous unnombre incalculables d’aberrations claniques et partisanes, tropsouvent bâillonné d’obscures et mystérieuses machination(tuteur-syndicat-administration), découlant de ses propresactes de gestion aléatoires affreusement honteux versant indéniablementdans une politique de gestion douloureuse et attentatoire,en fonction de ses propres intérêts, où il a montré sesses capacités trop restreintes, voire toutes ces bousculades douteusesaux alentours de la mauvaise gestion «double enregistrement,paies, Cnas, chèques (OV), avec confusion dans lescomptes bancaires (ER), charges et produits, factures d’achaten devise incompatible aux besoins de l’entreprise avec missionsde plaisance, pour illustrer une situation économique etfinancière, qui n’augure rien de bon.L’ERENAV/SGP/GESTRAMAR : devenir, piste d’atterrissagepour tous résidus : retraités, copains, amis, fils et filles ou l’arbitraire,le favoritisme, le tribalisme, le clientélisme (dons), quin’obéissent à aucune logique de gestion et de contrôle, d’oùla direction générale par abus d’autorité avec rougailles, refusantl’audit interne malgré l’engagement fictif et la mauvaise dépensebudgétaire, de l’audit interne et cela dure depuis des années,a procédé fréquemment à la destruction de la base desdonnés des serveurs.Le parrainage au sein de l’entreprise : tuteur-syndicat-DG. Cesderniers s’obstinent avec ténacité, malgré les scandales, assurésde se faire maintenir en poste ou ailleurs, avec promotionet confort précaire, en bandes de malfaiteurs ; chacun estétroitement soudé à l'autre. Ils s’affichent parfois en hommesraisonnables «hadj, aux avances, accorder aux (œuvres-sociales)ou de la (2e) réglementaire, utiliser à leur convenance,une pratique en porte-à-faux avec la réglementation en vigueur.Tuteur-syndicat-DG-administration, dont l’irresponsabilité etl’absence de conscience ne sont pas les seuls défauts. Ils jugentle personnel et les compétences de l’entrepriseERENAV/SGP/GESTRAMAR à l’avance en fonction de leurspropres besoins, avec un désir revanchard, qui devient par lasuite un moyen de pression et de chantage dans les tractationsdes coulisses.Détenteurs de la science confuse (preuves-matériels) osentlever la tête et le ton, pour proposer d’autres mensonges répugnantsqui ne mènent nulle part, dans une nouvelle ère, del’Algérie pleine, de prospérité et de justice sociale.De ces faits, tuteur, syndicat, administration, qui ont sousleur coupe des cadres incompétents et proches collaborateursrécupérés dans les tractations de coulisses, soumettentl’ignoble chantage avec des moyens de pression pour soutenirleur projet de gestion multiforme et contraindre à se rallierà leur projet destructeur tous ceux qui s’y opposeraient.Monsieur Rassoul <strong>La</strong>khdarERENAV/SDFC/URNAL/ALGERSGP/GestramarUn geste marquantOn s’est habitués de critiquer les responsables dans leursactes et on ne parle que des points négatifs. Mais cette fois-ci,c’est de notre devoir de reconnaître les efforts, que Monsieurle chef de daïra d’El-Azizia en l’occurrence M. A., Ibriche a fournidurant toute la période des dernières intempéries du mois defévrier de l’année en cours.En effet, monsieur le chef de daïra et depuis le début de ces intempériesn’a ménagé aucun effort pour faire face à ces conditions.Il a d’abord procédé à la signature des autorisations auprofit des citoyens propriétaires de camions, pour pouvoir s’approvisionnerdu gaz butane à partir du centre d'enfûtage de SikiKhaled (Bouira), ce qui a apaisé largement la tension.De plus, il s’est déplacé en personne au centre d'enfûtage deBéni Slimane (Médéa) ; en vue de faciliter l’approvisionnementpour les trois communes : El-Azizia Mihoub et Maghraoua.Par ailleurs, il était tellement déterminé à l’ouverture despistes menant vers les fractions enclavées, en réquisitionnanttous les moyens disponibles qu’il a failli être enclavé par la neigeaux lieudits Chellala et Ouled Abid dans la commune de Maghraoua.Il est vrai que notre responsable n’a fait que son devoir enversles citoyens, mais ce geste très apprécié par la population a faitde lui un responsable digne de ce nom.<strong>La</strong>ïd Messaoud El-Azizia

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!