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Dossier - Les Lilas

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I nfosLil a sLES INFORMATIONS LOCALES ET MUNICIPALES / w w w.ville-leslilas.frD O S S I E RLa Base régionalede loisirs de laCorniche des fortsLa maquette de la future Base régionale de loisirs( <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong>, Pantin, Romainville, Noisy-le-Sec).P e r s p e c t i v e sAlexandre Ruby,comédien lilasienT r a v a u xRénovationde la rue de Pa r i sD é p l a c e m e n t sVélib' suspenduà une décisionde justiceJ e u n e s s eJobs d'été 2008pour les 16-25 ansA s s o c i a t i o n s<strong>Les</strong> Restos du cœur


PerspectivesA l e x a n d re Ruby<strong>Les</strong> belles promesses d’un comédien l i l a s i e nSi Alexandre Ruby, comédien lilasien âgé de 22 ans, a le physique du héros romantique,il préfère incarner des personnages aux destinées mouvementées. Émouvoir le publicdemeure l’objectif de son travail.drôle. Puis, grâce au rôle de Lachad a n s La Cerisaie, de Tc h e k h o v, ila p p rend à écouter davantageses partenaires. « C’est avec cetteécoute que l’on peut réagir auquart de tour et improviser.» E x i tla légère t é . Il découvre la gravité,notamment avec l’interprétationde Jacques dans Comme ilvous plaira, de Shakespeare .«<strong>Les</strong> répliques émotionnellementfortes procurent beaucoupde plaisir. » Deux années dec o n s e r v a t o i re en 2004-2005peaufinent la formation du jeunehomme. « La rigueur m’a permisde stopper un orgueil naissantde jeune comédien », re m a rq u e -t-il avec lucidité.Il a le profil du jeune pre m i e r.Svelte, teint pâle, voix grave etcet air romantique d’un autresiècle. Alexandre a pourtantchoisi la voie des personnagesau destin tragique. Tels Hamlet,de Shakespeare, et Lore n z a c c i o ,de Musset, deux rôles qu’il interprètedans une adaptationd’Antoine Bourseiller, ce moisci,au théâtre de Sure s n e s .«Musset s’est inspiré d’Hamletpour Lorenzaccio. D’où des similitudes: profondément tragiques(l’un sombre dans la folie, l’autredans la débauche), ces deux• www. a l e x r u b y. f r• Hamlet / Lorenzo,du 9 au 17 février,T h é â t re de Sure s n e s .• L’ I d i o t , à partirdu 28 février, auT h é â t re Déjazet (Paris 3 e ) .personnages vont être assassinés.C’est pourquoi Antoinea choisi de les réunir sur scène.»Le mentorDans la pièce, Alexandre partagele rôle d’Hamlet avec un autrecomédien, mais joue seul Lore n-zaccio. Il faut dire que le destin dece personnage – devenu assassinpar soif de justice – ainsi quel’aspect politique et atempore lde l’intrigue le fascinent: «J o u e rLorenzaccio est une possibilité devivre et de faire partager desémotions puissantes.»Son rêvedepuis toujours : l’incarn e r. Unrêve qui va se réaliser deux fois !À Suresnes, puis au pro c h a i nfestival d’Avignon où AntoineBourseiller présentera une adaptationplus longue de L o r e n z a c c i o.C’est en 2004 qu’Alexandrere n c o n t re celui qu’il appelle son«m e n t o r»: Antoine Bourseiller.Auteur et metteur en scène, illui confie son premier rôle decomédien professionnel dansL’ I d i o t, de Dostoïevski. En tourn é e ,la pièce remporte un énormesuccès. La presse est unanime,s a l u a n t « la présence, la grâce,le magnétisme et l’inspirationgéniale »du jeune <strong>Lilas</strong>ien.Sept ans de formationPour Alexandre, la passion de lascène remonte au collège. «À12 ans, j’ai eu le déclic, lors d’unexercice d’improvisation, en memettant dans la peau d’unv i e i l l a r d . » À 14 ans, il s’inscrit àdes cours de théâtre. Suiventsept années de formation, dontq u a t re sur la scène du théâtre LaB r u y è re, à Paris. Il a 16 ans lorsqu’iljoue sa pre m i è re pièce,Songe d’une nuit d’été, deS h a k e s p e a re, dans le rôle deBottom, un personnage trèsLa Comédie française« Aujourd’hui, je nage dans lebonheur », confie Alexandre, les o u r i re aux lèvres. En décembre ,il interprétait François dans L’ A m iJ o s e p h, de Maupassant, un filmréalisé par Gérard Jourd’hui pourFrance 2, avec Evelyne Bouix etRégis Laspales. Une nouvellet o u rnée se profile avec L’ I d i o t, puisce sera Avignon en juillet. Tr è ssoutenu par sa famille, le jeunehomme a maintenant un agent,a u t re personnage incontourn a b l edu milieu artistique pour chercherles contrats ! À long terme,l’ambition d’Alexandre:e n t rer àla Comédie française.Des <strong>Lilas</strong>, le comédien appréciele côté village. « Le rythme devie est plus calme que dans deplus grosses villes. J’aime particulièrementle dimanche matin,où enfin, après une semaine detravail, on prend le temps dev i v r e !»2 Infos <strong>Lilas</strong>


Après-coupJanvier 2008 : quelques instantanRêve de neige<strong>Les</strong> enfants du centre de loisirsont découvert les joies des sportsd’hiver lors d’une escapade auStade de France. Au pro g r a m m e:ski , snowboard, raquettes, maisaussi escalade, tyro l i e n n e(descente le long d’un câble) oue n c o re trampoline.t31 déc.La Seine-Saint-Denis a 40 ansC’est un départementdésormais «quadra»! LaSeine-Saint-Denis est néele 1 e r janvier 1968, à la suitedu redécoupage de l’exdépartement de la Seine(24 communes) et d’unepartie de celui de l’ex Seineet-Oise(16 communes).1 er jan.5 jan.Galette en musiquepour les anciens combattants…<strong>Les</strong> anciens combattants de l’UNC, de la Fnaca, des médaillésm i l i t a i res des <strong>Lilas</strong> et de Paris 20 e , de l’ACPG-CATM et d’autres associationsont partagé la galette des rois au gymnase Rabeyro l l e s .La nouvelle mairie annexeo u v re ses portesPour un meilleur accueil du public, les services en charge de l’éducation,des élections, des cartes d’identité et des passeports ainsique la police municipale se sont installés dans la nouvelle annexede la mairie située derrière l’hôtel de ville, allée Jean-Yanne.Nouveaux horaires pour nouveaux locaux :- Lundi, mardi, mercredi, vendredi :8h30 - 12 heures et 13h45 - 17 heures- Jeudi : 13 h 45 - 19 heuresL’entrée de cette nouvelle annexe s’effectue pro v i s o i rement alléeJ e a n - Yanne, face à la crèche départementale Jacques-Prévert,sauf pour le service tranquillité publique dont l’entrée se situerue Georges-Pompidou.À gauche : le servicetranquillité publiqueet la police municipale.À droite : accueildes autres services.En bas : entrée provisoireallée Jean-Yanne.…et pour les Seniors6 jan.Six cents Seniors lilasiens ont dégusté une délicieuse galette desrois au gymnase Ostermeyer au son des tangos, paso-doble etvalses de l’orc h e s t re Cocktail passion attractif. Ces dames ont pudanser avec des accompagnateurs et un magicien est passé detable en table.4 Infos <strong>Lilas</strong>


Après-coupan é s …Une premièreau Centre culturelHenri-Dunantan.Le Théâtre du Garde-Chasse s’estexporté au Centre culturel Henri-Dunant, le temps d’une re p r é s e n t a t i o ndu Quatrième Roi mage. À la fin duspectacle, une galette des rois a étépartagée avec tous les participants.19 jan.Sculptures textiles au TritonGéants verticaux, totems, pièces monumentales et murales,le meilleur de l’œuvre d’Anna Genard est exposée au Tr i t o njusqu’au 9 février.L’Orchestre, deuxième !14 jan.C’est sous un tonnerre d’applaudissements queles membres de l’atelier théâtre du Club des Hortensiasont achevé leur deuxième représentation deL’ O r c h e s t r e, une pièce enlevée de Jean Anouilh.<strong>Les</strong> costumes et les décors étaient signés par lesretraités du club, très inspirés par l’aventure .26 jan.Carton pleinpour le loto ESGLDe nombreux passionnés avaient, cette annéee n c o re, fait le déplacement au gymnaseLiberté pour le traditionnel loto de l’Ententesportive gervaisienne et lilasienne. Une façonpour le club d’aider au financement des deuxéquipes qui évoluent à l’international (l’équipeféminine et celle de polo vélo).27 jan.19 jan.Commémoration du« Convoi des 31 000 »L’association Mémoire vive, la municipalitéet les anciens combattants ont re n d uhommage au « convoi des 31 0 0 0 » ,2 3 0 femmes internées au fort de Romainvillepuis déportées, le 24janvier 1943, versle camp d’Auschwitz-Birkenau. Seules 49en re v i n rent. À cette occasion, un texte deMadeleine Odru a été lu par Frédéric Blanc(vice-président de Mémoire vive).Infos <strong>Lilas</strong>5


Au fil des joursAu ralenti sur le mailA n t h o n i o z - d e - G a u l l eA la demande des habitants duq u a r t i e r, des barrières enchicanes ont été installées auxentrées du mail Anthoniozde-Gaulleafin de casser lavitesse des deux-roues.Travaux réalisés en régie.Nouvel arrêtde car à l’écoleVictor-HugoUn emplacement de stationnementpour les autocarsmunicipaux et les livraisons aété créé boulevard Eugène-D e c ros par le Départementet la commune aux abord sde l’école Vi c t o r-Hugo, afin desécuriser le ramassage scolaire .Montant des travaux :1 4 330 euros (pris en chargepar le conseil général).Rénovation du Centre culturel Henri-DunantM a rquage despassages piétonsUne campagne de marq u a g edes passages piétons a débutéen janvier dans le sud de la ville.La partie nord avait été rénovéel’an dern i e r.Montant des travaux :1 4 400 euros.<strong>Les</strong> vacances de Noël ont été l’occasion de nombreuses rénovationsau centre culturel Henri-Dunant : peinture, mise aux normes des installationsélectriques, pose de spots pour de futures expositions dans lehall et la salle polyvalente. Le remplacement des panneaux murauxacoustiques de cette salle est programmé pour les vacances d’hiver.Montant des travaux : 34 880 euros.On coupe…avant de replanterDépose-minuterue Pa u l - LangevinUn arrêt-minute a été créé faceau gymnase Micheline-Ostermeyerafin que les pare n t sd’élèves puissent déposer plusfacilement les enfants à leursactivités sportives ou à l’écoleP a u l - L a n g e v i n .Travaux réalisés en régie.Sept arbres morts ont étéabattus pour des raisons desécurité lors de la campagned’élagage menée en find’année. D’autres arbres sero n tplantés pour les remplacer aup remier semestre 2008.Montant de l’élagage :32 573e u r o s .6 Infos <strong>Lilas</strong>


Vivre ensembleP rolongementde la Ligne 11 :réunion avec laRégion Île-de-France<strong>Les</strong> études techniques sur lep rolongement de la ligne 11du métro jusqu’à Rosny-sous-Bois (cinqnouvelles stations)s e ront lancées dès cette année.Jean-Paul Huchon, présidentde la Région Île-de-France etdu Syndicat des transportsd’Île-de-France (Stif), l’a assuré,le 8 janvier, lors d’une re n c o n t reavec les maires des villesc o n c e rnées. Il a confirmé l’engagementfinancier de1 0 millions d’euros de budgetd’études. En tenant comptedes étapes de concertation,d’enquête publique et d’acquisitionsfoncières, les travauxp o u r ront démarrer dans lesp rochaines années.D a v a n tage de buset de métros<strong>Les</strong> lignes de bus Mobilien9 6 ( G a re Montparn a s s e -Porte des <strong>Lilas</strong>) et 105 (Portedes <strong>Lilas</strong> - Mairie des Pavillonsso u s - B o i s ) o n t v u l e u rf r é q u e n c e a u g m e n t e r,jusqu’à un passage toutes lescinq minutes en heures depointe. Côté métro, les <strong>Lilas</strong>iensnoctambules pro f i t e n tdepuis décembre du pro l o n-gement d’une heure deservice le vendredi soir.Infos RATP : 32 46( 0 , 3 4 e/ m i n ) .D é p l a c e m e n t sVélib’ suspendu à une décision de justiceL’arrivée du Vélib’ dans 30 communes limitrophes de la capitale était bienengagée, notamment aux <strong>Lilas</strong> où les travaux d’installation devaient commenceren février. L’opération est finalement suspendue à une décision de la Courde cassation. Décryptage.Avant même la mise en place duVélib’, le 15 juillet 2007, la municipalitédes <strong>Lilas</strong> avait fait part deson intérêt pour le système. Levif succès de ces vélos en libre -service a fait le reste et, rapidement,les autres communes limitrophes de Paris ont rejoint leg roupe des premiers demandeurs.À l’initiative de plusieurscommunes, dont <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong>, cesont finalement 30 villes qui ontdemandé l’extension du réseauà leur territoire.<strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong> prêtspour les travauxDe son côté, la Ville de Paris s’étaittoujours dite prête à cette éventualité.Encore fallait-il démêlerle casse-tête financier et juridiqueque représentait le projet.Après de nombreuses réunionse n t re les parties concernées, leconseil de Paris a approuvé, le1 9 d é c e m b re 2007, un avenanta u m a rc h é a v e c Somupi,filiale de JCDecaux, prévoyantl’implantation de 300s t a t i o n s( 4 5 0 0 v é l o s ) d a n s t re n t ecommunes de banlieue pour uncoût évalué à 7 millions d’euro spar an. Dans cette délibération,la capitale s’engage à payer l’installationen échange de l’intégralitédes re c e t t e s .Le même jour, la municipalitédes <strong>Lilas</strong> adoptait en conseilmunicipal la convention fixantP a r i sles modalités d’installation dehuit stations. <strong>Les</strong> conditionsétant toutes réunies (validationdes réseaux souterrains auprèsde EDF-GDF, France Télécom etVeolia eau), les travaux allaientd é m a r rer en février 2008. <strong>Les</strong><strong>Lilas</strong> devaient être la pre m i è redes tre n t e communes concernéesà disposer du Vélib’, dès leprintemps 2008.Un risque de re t a rdd ’ e n v i ron 6 moisLe 3 janvier, le tribunal administratifen a décidé autrement. Il asuspendu la décision permettantl’arrivée du Vélib’ en banlieue estimantque l’élargissement dusystème «à trente communesdoit être regardé comme unnouveau marché», avec appeld ’ o ff res et mise en concurre n c e ,donnant ainsi raison à ClearChannel, concurrent américaindu groupe français JC Decaux,qui l’avait saisisur «l’aspect antico n c u r re n t i e l dec e t a v e n a n t a uc o n t r a t ».Dèsl ’ a n n o n c ed ece jugeme n t , l a<strong>Les</strong> emplacements des futuresstations aux <strong>Lilas</strong>.Ville de Paris, qui le conteste, afait savoir qu’elle se pourvoiraiten cassation devant le Conseild’État. En appel, deux scénariossont envisageables: soit leConseil d’État annule la décisionet les stations Vélib’ pourront êtreinstallées d’ici la fin de l’année,soit il confirme l’ordonnance etla situation se complique. Celaimpliquerait, en effet, quechacune des communeslance unappel d’off res pour l’installationd’un système de vélos enl i b re-service. <strong>Les</strong> municipalitésc o n c e rnées étudient toutes leséventualités, en espérant uneissue favorable. Ve rdict dans cinqà six mois.Allo Vélib’ : 01 30 79 79 30w w w. v e l i b . p a r i s . f rVélib’ mode d’emploi■ Abonnements29 e l’année (carte Vélib’rechargeable sur les born e spar carte bancaire),5 ela semaine, 1 ela journ é e(tickets Vélib’ 1 et 7 jours).■ Ta r i f s- 30 pre m i è res minutes detrajet gratuites.- 2 e d e m i - h e u re : 1 e.- 3 e d e m i - h e u re : 2 e.- Demi-heure supplémenta i re: 4 e.8 Infos <strong>Lilas</strong>


Vivre ensembleJ e u n e s s eJobs d’été 2008 : comment s’y préparer ?Du 25 au 29 février, le Kiosque des <strong>Lilas</strong> et le PIJ de Pantin aident les 16-25 ansdans leurs recherches d’un job d’été.Un job d’été, c’est pour den o m b reux jeunes le moyen definancer leurs vacances ou gagnerde l’argent pour être autonomedans l’année. En trouver un n’estcependant pas chose facile. Il fautsavoir rédiger un CV et une lettrede motivation, dénicher lesannonces, connaître les secteursqui recrutent, avoir la bonne attitudelors d’un entretien d’embauche…Autant d’étapes régiespar des règles qu’il ne faut pasi g n o re r. Pour cette raison, depuisplusieurs années, <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong> etPantin s’associent pour aider lesjeunes de 16 à 25 ans dans leursre c h e rc h e s .Cette année, l’opération intitulée:«Jobs d’été 2008, comment s’yp r é p a re r ?» se déroulera du 25au 29 février, au Kiosque des <strong>Lilas</strong>et au Point information jeunesse(PIJ) de Pantin. Des ateliersp e r m e t t ron t de découvrir lessecteurs d’activités porteurs :- l’animation et les services àla personne, lundi 25 février àPantin et jeudi 28 février aux<strong>Lilas</strong> ;- le tourisme, l’hôtellerie, la re s t a u-ration ou l’agriculture, mard i26 février aux <strong>Lilas</strong> ;- le BTP, la sécurité, le transportou la livraison, merc redi 27f é v r i e rà Pantin ;- la grande distribution, l’accueilou la vente, vendredi 29 févrieraux <strong>Lilas</strong>.<strong>Les</strong> matinées (10 h - 12 h 3 0 )s e ront consacrées à la présentationdes métiers et à deséchanges entre jeunes et pro f e s-sionnels sur les conditions deAngel Venkaparaman : « J’ai décroché un job »« J’ai participé l’and e rnier à l’opérationjobs d’été. J’aipu re n c o n t re r d e sp rofessionnels dus e c t e u rde la grandedistribution qui ontexpliqué leur activité.<strong>Les</strong> personnesdu Kiosque et du PIJ m’ont montré comment faire un CV et unebonne lettre de motivation. J’ai ensuite postulé dans dess u p e r m a rchés dont les adresses m’ont été fournies sur place.Mais ce qui m’a le plus servi est, sans hésiter, la simulationd ’ e n t retiens d’embauche. Pour finir, j’ai décroché un job de caissi è re dans un supermarché. »travail (fonctions, horaire s ,s a l a i res, responsabilités etcontraintes), les modes de re c r u-tement (calendrier, modalités,attentes des employeurs) oua u t res. L’inscription à cesre n c o n t res est conseillée .L’après-midi (13h30 - 17 h) auro n tlieu des ateliers animés par leséquipes du Kiosque, du PIJ et dela Mission locale pour biend é m a r rer une re c h e rche d’empl o i : ateliers CV et lettres de motivation,préparation aux entre t i e n sd’embauche, re c h e rche d’off re ssur Internet et conseils en tousg e n res. <strong>Les</strong> CV ainsi réalisés sero n tmis en ligne et pour être consultéspar les recruteurs locaux.Un point d’accès au droit, gratuitet sans rendez-vous, est pro p o s éjeudi 28février (14h - 17 h), auKiosque des <strong>Lilas</strong>.■ Le Kiosque167, rue de ParisTél. : 01 48 97 21 10.■ PIJ de Pantin7-9 ,av. E-Vaillant (Pantin)Tél. : 01 49 15 48 09.Aux <strong>Lilas</strong>,huit classesde mer, de neigeet équestreLa municipalité finance, cetteannée, huit classes transplantéesdes écoles élémentaire s :une classe de neige à Vi c t o r-Hugo, deux classes de mer àPaul-Langevin, une de neigeet deux de mer à Romain-Rolland, et deux classes demer à Waldeck-Rousseau. LaVille financera aussi le voyages c o l a i re de la maternelleJulie-Daubié dans un centreé q u e s t re (Cocico). Ces classessont organisées à la demandedes écoles, qui en asssure n tle contenu pédagogique. Laparticipation financière desfamilles est calculée en fonctiondu quotient familial.Deux samedistravaillés en févrierLe mois de février compte deuxsamedis travaillés dans lesécoles maternelles et élémenta i res de la ville : les 2 et 9 février.Par ailleurs, les vacancess c o l a i res d’hiver ont lieu dusamedi 23 février au lundi1 0 mars au matin.Infos <strong>Lilas</strong>9


Vivre ensembleFévrier au Clubdes Hortensias■ S o r t i eJeudi 7 : sortie au Musée d’Artm o d e rne de la Ville de Paris.Départ du club à 13 h.■ Rencontres intergénérati o n n e l l e s- Ve n d redi 15 : avec la maternelleJulie-Daubié, à 14h3 0au club.- Ve n d redi 22 : avec la maternelleCourcoux, à 14 h àl ’ é c o l e .■ Après-midi dansantM e rc redi 20 à 14h30 : animépar Interfestivités. Goûter vers16 h.■ Repas à thèmeJeudi 21 : repas savoyard,à 12 h au club.Club des HortensiasAllée des HortensiasTél. : 01 48 46 42 55.C e n t re de loisirs :il faut s’inscrire !<strong>Les</strong> pré-inscriptions au centrede loisirs pour les vacancesd’hiver ont lieu jusqu’auv e n d redi 8 février inclus auservice éducation et temps del’enfant. <strong>Les</strong> familles doiventremplir une fiche indiquantles jours de présence de l’enfantet acquitter le montantc o r respondant, calculé selonle quotient familial. Cette préinscriptionest obligatoirepour évaluer les effectifs etgarantir les conditions desécurité indispensables àl’accueil des enfants.Service ETEAllée Jean-Ya n n eTél. : 01 72 03 17 13.Repas de Noël des Seniors au pavillon BaltardEn f a n c eUne semaine pour dévaler les pistesLe service éducation et temps de l’enfant propose quatre séjours d’une semaineà la montagne pour les 6-17 ans pendant les vacances d’hiver.<strong>Les</strong> conditions d’enneigementétant excellentes, 2008 s’avèreê t re une bonne année pourchausser les skis. <strong>Les</strong> enfants lilasiensen auront l’occasion durantles vacances d’hiver, avec lesséjours à la montagne pro p o s é spar la Ville pour les 6-12ans etles 13-17 ans. Destinations :L a n s - e n - Ve rcors, en Isère, etCombloux, en Haute-Savoie. <strong>Les</strong>tarifs des séjours sont calculésen fonction du quotient familial.<strong>Les</strong> inscriptions ont débutéle 22 janvier avec un nombre deplaces toutefois limité.Trois séjoursà Lans-en-Ve rc o r s■Du 23 février au 1 e r mars pourles 6-12 ans et 13-17 ans.■Du 1 er au 8 mars 2008 pour les6-12 ans.<strong>Les</strong> jeunes évolueront dans desg roupes de niveaux sous laconduite de moniteurs et pour-Très bien B i e n Non satisfaisantChoix du lieu 124 (72,10 %) 44 (25,59 %) 2 (1,17 %)Qualité du re p a s 124 (72,10 %) 47 (27,33 %) 1 (0,59 %)Qualité de l’animation 111 (64,54 %) 54 (31,40 %) 4 (2,33% )ront affiner leur technique pardes séquences adaptées (slaloms,descentes, jeux). <strong>Les</strong> 13-17 ansp o u r ront également découvrirl’activité surf ou se perfectionner.Après le ski, de nombreuses activitésseront proposées : bibliothèque,jeux, vidéos, ping-pong,b i l l a rd, baby-foot, etc.Un séjour à Combloux■ Du 1 er au 8 mars pour les 13-17 ans.Débutant ou bon skieur, à skiRésultats de l’enquêtede satisfactionSuite au repas de fin d’année organisépar la municipalité, le6d é c e m b re, au pavillon Baltard ,une enquête de satisfaction a étémenée auprès des Seniors.172 questionnaires ont été re m p l i set adressés au CCAS (centrecommunal d’action sociale). <strong>Les</strong>résultats sont les suivants :La municipalité a pris note de toutes les re m a rques formulées par les Seniors et s’eff o rcera d’entenir compte pour le prochain re p a s .alpin ou surf, chaque jeuneévoluera à son rythme (eng roupes de niveaux), sous laconduite des moniteurs duc e n t re. Des journées piqueniqueseront organisées en fonctionde la météo. Après le ski,les activités seront diverses :bibliothèque, jeux, musique,chant, ping-pong, etc.Service ETE : allée Jean-Yanne (derrière la mairie)Tél. : 01 72 03 17 13.10 Infos <strong>Lilas</strong>


<strong>Dossier</strong>La Base régionale de loisirsde la Corniche des fortsPrès de quinze ans après les premières études, les travaux de la Base de plein airet de loisirs de la Corniche des Forts débutent enfin. Comblements, rénovationset premiers aménagements sont engagés. À terme, cet espace de 64 hectares,dont 5 sur la commune des <strong>Lilas</strong>, proposera pour tous de nombreuses activitéssportives et culturelles, ainsi que de belles promenades.S o i x a n t e - q u a t re hectares de friches partiellementaménagées sur un terrain accidentémodelé par l’exploitation du gypse, à seulementdeux kilomètres du périphériquep a r i s i e n : c’est sur ce site, à cheval sur lescommunes de Pantin, Romainville, <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong> etNoisy-le-Sec, que le conseil régional a décidé,en 1993, d’implanter la douzième base deplein air et de loisirs (BPAL) d’Île-de-France.P re m i è re BPAL en Seine-Saint-Denis, départementen pénurie d’espaces verts, la Corn i c h edes Forts a tout pour plaire. Un site exceptionnelcomposé de deux kilomètres de crêtesurplombant Paris et le nord-est de la région,deux forts (Romainville et Noisy-le-Sec) quise détachent du paysage, un relief accidentéhérité de l’activité des anciennes carrièreset deux perles du patrimoine local: la Folied e P a n t i n , b e l l e d e m e u re d uX V I I I e s i è c l e , e t l e c h â t e a u deRomainville.Sa réalisation est cependant loind ’ ê t re un long fleuve tranquille.P roblèmes fonciers, difficultés techniques,désengagement de l’État,appels d’off res infructueux compliquentet re t a rdent, tour à tour, lesdécisions et les travaux. Tant et sibien qu’habitants et riverainscommençaient à douter de sa réalisation…Mais cette fois, c’est fait ! Quinzeans après le lancement du projet, les chosesavancent et les travaux commencent.Infos <strong>Lilas</strong> - février 200811


<strong>Dossier</strong>Consolidation du parcEn 2007, les carrières souterraines situées sousle parc départemental de Romainville ontété comblées par injection d’« un coulis debéton », matériau inerte et sans dangerpour l’environnement. Cette intervention, quia duré neuf semaines, permet de commencerles travaux en surface.Simultanément, ont lieu les premiers aménagementsdes abords du château de Romainville: restauration des jardins, démolition d’unpetit bâtiment de gardiennage et déplacementd’un transformateur EDF. À terme, seulsles deux pavillons d’origine seront conservés.<strong>Les</strong> pans du bâtiment, construits au X I X e s i é c l e ,s e ront démolis ultérieure m e n t .Trois autres chantiers vont débuter en 2008:la réhabilitation de la Folie de Pantin (réparationd’une aile endommagée et aménagementsdes abords), la création de quaranteneufparcelles de jardins familiaux etl’aménagement d’un cheminement est-ouest,p romenade de 2,8 kilomètres au pied desc a r r i è res, accessible aux piétons, auxpersonnes à mobilité réduite et aux VTT.O u v e r t u re complète en 2013Ces avancées permettront une ouverturepartielle de la base de loisirs. Mais il faudraa t t e n d re pour que la totalité du terrain soitaccessible au public. En effet, certaines parc e l l e sfont encore l’objet de litiges et n’ont pu être nisondées ni consolidées. Il est donc difficile dedonner une date de fin de chantier. L’ o u v e r-t u re est aujourd’hui programmée en 2013.Activitéset équipements prévusLa Base de plein air et de loisirs de laC o rniche des Forts ne proposera pasd’activités aquatiques.Mais les idées ne manquent pas : unemaison de la nature, un espace dédiéà la culture dans la Folie de Pantin, uneferme pédagogique, des jardins associatifset familiaux, des expositionst e m p o r a i res… et même une vigneque l’on pourra vendanger.D ’ a u t res équipements seront mis enplace mais n’ont pas encore fait l’objetd’une programmation définitive (écoleé q u e s t re, tir à l’arc, kiosque à musique,musée du plâtre, mur d’escalade, poneyclub, roller parc, piste de luge…).De bonnes surprises en perspectives…Genèse d’un projetLES LILAS<strong>Les</strong> bases de plein air et de loisirs (BPAL) sont nées dans lesannées 60. Lancées par l’État et conçues au niveau régional,ces grands espaces verts devaient répondre à une doublenécessité : environnementale, car l’opération permettait derenforcer le nombre d’espaces verts face au développementde l’urbanisation, et sociale, pour répondre aux besoinsen loisirs de toutes les catégories de population.■ En 1993, l’État et le conseil régional d’Îlede-Francedécident de créer une nouvellebase sur le site de la Corniche des Forts,sous condition de faisabilité. Après études etexpertises, le projet est reconnu viable.■ En septembre 2000, le conseil régionallance officiellement le projet. Un montant de3 0 , 5millions d’euros (22,9 millions de la Régionet 7,6 millions de l’État) y est alors consacrédans le contrat de plan État-Région 2000-2006.■ En mars 2001, est crée le syndicat mixtede la BPAL de la Corniche des Forts. Composéde représentants de la région Île-de-France,du conseil général de la Seine-Saint-Deniset des quatre communes concernées, il a pourmission de veiller à l’avancement du pro j e t ,et de gérer et d’animer la base de loisirs.12 Infos <strong>Lilas</strong>


<strong>Dossier</strong>PANTINNOISY-LE-SECROMAINVILLESimulation du futur belvédèreau nord des <strong>Lilas</strong>, à proximité du parcdes sports (aménagement de la crêteen promenade offrant une vue superbesur Paris et la plaine de France).■ En 2001,des concertations publiques sontmenées afin de connaître les attentes deshabitants. En 2002, d’autres études mesurentl’impact géologique, écologique etéconomique de la base sur le secteur.■ En 2003, le projet est reconnu d’utilitépublique et des pro c é d u res foncières sont misesen œuvre. Parallèlement est lancé un concoursd ’ a rc h i t e c t u re, de paysages et d’ingénirie afinde choisir la maîtrise d’œuvre. C’est le gro u p e-ment ILEX paysagistes - urbanistes - AteliersLION architectes - EGIS qui le re m p o r t e .■ La décision est prise de lancer des travauxanticipés en 2004 :la réhabilitation de la Foliede Pantin et des abords du château deRomainville, la création de49 parcelles de jardins familiaux,et l’aménagement ducheminement est-ouest.■ Après des études techniquesapprofondies, lacommission permanente duconseil régional appro u v e ,en juillet 2006, le lancementde la pre m i è re phasede travaux, pour un peu plusde 26millions d’euros.■ Fin 2007, la pre m i è re phase de travauxcommence et notamment, le comblementdes sous-sols au niveau du parc départementalde Romainville. <strong>Les</strong> études et concertations sepoursuivent sur les prochains aménagements.<strong>Les</strong> futurs jardins familiaux (partie bassede la Base à Romainville).Repères■ 64 ha : superficie de la future BPA Lde la Corniche des Forts.■ Romainville : 47,30 ha (75,90% ) ,P a n t i n : 8,51 ha (13,66%), <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong> :4 , 4 8 ha (7,19 %), Noisy-le-Sec : 2 , 0 3 h a( 3 , 2 5 % ) .■ 960 000 :n o m b re de visiteurs attendus,à terme, chaque année.■ 11 BPAL en Île-de-France. Celle dela Corniche des Forts sera la douzième.■ 2 km :la distance qui sépare la base deParis et qui fait d’elle la BPAL la plus pro c h ede la capitale.■ 26,6 millions d’euros : coût de lap re m i è re tranche des travaux.■ Financement :la région Île-de-Francefinance l’investissement (études, rachatdes terrains, comblements, aménagement).Le département et les communessont chargés du fonctionnement à partégale : 50% par les villes concern é e s ,5 0 % par le Département.Infos <strong>Lilas</strong> - février 200813


<strong>Dossier</strong>La Folie de Pantinreceveur général de l’Aube et régent de laBanque de France. Celui-ci engage d’importantstravaux sous la direction de l’architecteFrançois-Victor Perrard deM o n t reuil. La Folie de Pantin devient alorsmaison de plaisance. Elle est louée puisvendue au comte de Valence. D’autre sp ro p r i é t a i res se succèdent, puis elle estdivisée en appartements. En 1986, lad e m e u re est rachetée par la ville de Pantin.La Folie de Pantin, à l’origine une maison dec a r r i e r, a été construite dans les années 1768-1770. Son pro p r i é t a i re, l’écclésiastiqueClaude Jean-Baptiste Colin de Combles,conscient du potentiel du terrain, se lancedans l’exploitation du gypse. Pendant cettepériode, la maison ainsi qu’une partie desterrains d’exploitation est louée.Elle est ensuite rachetée par Louis Pierlot,En 1994, son aile droite s’eff o n d re.Devant l’édifice, la margelle d’un puits abriteun amandier, inventorié comme arbrere m a rquable. La façade et la toiture de lamaison sont inscrites à l’inventaire desmonuments historiques depuis 1984. Dansle cadre du projet de la base de loisirs, cellecisera réhabilitée et réaménagée avecune reconstruction moderne de l’ailed é t r u i t e .Petite histoire locale du gypseParmi les nombreux projets envisagés dans la future BPALde la Corniche des Forts : un musée du plâtre.Le plateau de Romainville a longtemps étéun des centres de l’exploitation du gypse,roche à partir de laquelle est fabriqué le plâtre .À cela, rien d’étonnant, car l’Île-de-France estla région de l’Hexagone où l’on trouve lesgisements les plus importants.Avant 1700, l’exploitation du gypse re s t a i tlimitée. Mais au cours du X V I I I e siècle, lademande augmente, notamment à cause dud é c ret de Louis X I V, obligeant le plâtrage desfaçades des maisons à colombages afin delimiter les incendies. Pour répondre à cettedemande, les carriers poursuivent l’exploitationdes couches de gypse en souterrain. Dansle même temps, carrières de gypse et usinesà plâtre se multiplient tout autour du plateaude Romainville : à Bagnolet, Romainville,Pantin et aux <strong>Lilas</strong>, tout juste créés.Mais ces exploitations ne constituaient pasune activité sans danger. Le plus grand risquedans les plâtrières sont les fontis, videsn a t u rels dus à la dissolution des masses degypse. Selon l’épaisseur de la couche superficielleet le poids supporté, la voûte du fontisrésiste ou s’affaisse. Dans les carrières duplateau de Romainville, les accidents fure n tassez fréquents au coursdes siècles. Mais il falluta t t e n d re un éboulementen 1899 pour que soitdécidée la fermeturedéfinitive des carrière spantinoises.À la même période,l e s p l â t r i è r e s s o n tremblayées unes à unes,aux <strong>Lilas</strong> comme ailleurs,souvent avec les terre sextraites des chantiersdu métro .Le châteaude RomainvilleLe château de Romainville a été édifié dans lesannées 1600-1630. On attribue sa constructionà Nicolas de Quelen. À la suite de ce dern i e r,deux familles le possèdent : les de Baud, de1630 à 1719, et les Ségur, de 1723 à 1791. En1789, la propriété est vendue à Jean-BaptisteC a rdon qui deviendra maire de Romainville en1808. Le pro p r i é t a i re suivant, le marquis Louis-Jules-César de Noailles, ajoute une serre orangeriedans le parc. Son fils le revend, en 1839,à une société anglaise qui entre p rend uneexploitation du gypse qui se poursuit pendantplus d’un siècle, transformant le parc en uneimmense carrière. En 1867, la famille Gauvainp rend le relais, et c’est en 1988 qu’elle vendle château à la ville de Romainville.A u j o u rd’hui, ne subsiste du château d’origineque la double aile Est (X V I I e siècle), masquée parune bâtisse rajoutée au X I X e siècle et à laquellefut accolé un pavillon en briques (X I X e s i è c l e )qui sera détruit.La maquette du projetActuellement à Noisy-le-Sec, la maquettede la base de loisirs sera exposée pro c h a i-nement aux <strong>Lilas</strong>.14 Infos <strong>Lilas</strong>


CultureS p e c t a c l eLe travail originald’une compagnie lilasienneDrapés acrobatiques, manipulationde marionnettes, musique, danse…La compagnie lilasienne <strong>Les</strong> Trois clés adaptelibrement une pièce de Garcia Lorca et serasur les planches du Théâtre du Garde-Chassele 8 février. Rencontre avec Eros Galvao,metteur en scène et comédienne.Alejandro Nunez et Eros Galvao.Le spectacle S i l e n c i o est inspiréde La Maison de BernardaAlba de Federico Garcia Lorca.Pourquoi ce choix ?Il s’agit de la dern i è re œuvredu poète espagnol, deux moisavant son assassinat par lesf o rces franquistes. Ce textep r é m o n i t o i re réunit tous lesthèmes qu’il affectionnait : il ydénonce l’hypocrisie de la sociététraditionaliste espagnole, lerègne du non-dit et des apparences,les privations de liberté,la censure. Pour nous, c’étaitune bonne façon de re n d rehommage à l’artiste completqu’était Garcia Lorca : dramaturge,peintre, compositeur. Luimêmeavait d’ailleurs travailléavec des marionnettes, commenous le faisons ici. Mais S i l e n c i oest une adaptation très libre desa pièce. Nous en avons seulementrepris les grands thèmes.Quels sont ces thèmes ?Après les funérailles de son mari,B e rn a rda Alba impose un deuilde huit ans à ses cinq filles…Toutes ces femmes sontenfermées dans unemaison, sous l’autoritéde la mère, qui incarn el’autorité patriarc a l e .Angustia, l’aînée desfilles, doit épouser unjeune et bel homme,Pepe El Romano, selonun arrangement d’argent.Mais Adela, la plusjeune, est amoureuse de Pepe ets’insurge contre la rigueur desmœurs à laquelle elle doit ses o u m e t t re. C’est l’histoire ducombat entre la liberté et l’oppression, le désir et la castration,l’amour et la mort.Vous avez fait le choix d’unspectacle muet…Nous sommes trois acteurssur scène, venus de pays étrangerset d’univers diff é re n t s :danseurs, comédiens, touspassés par le cirque. Nous avonschoisi le langage du corps plutôtÉgalement au Théâtredu Garde-Chasser en février■ <strong>Les</strong> Rares Diff é rences /Four men (and women)H i p - h o pDeux pièces chorégraphiéespar Marie-Agnès Gillot,danseuse étoile à l’Opéra deParis, et par Régis Obadiasur une musique de Bach.Vendredi 15 février à 20h4 5 .■ À pied !Théâtre musical, claquettesà partir de 2 ansUn homme, une femme. Leurque les mots : la danse, lesmarionnettes, la musique, il y aaussi une harpiste sur scène.Nous avons cherché à atteindreune compréhension universelle.Depuis 2006, le spectacle ad’ailleurs beaucoup tourné àl’étranger : au Brésil, enNouvelle-Calédonie, en Suisse,en Allemagne.Théâtre du Garde-ChasseVendredi 8 février à 20h4 5U n e r e n c o n t r e a v e c l e sartistes est prévue à l’issue dela représentation.langage est la musique. Ilsjouent des instrumentst rouvés au gré de leursvoyages : claquettes, guitare ,p e rcussions. Spectacle pro d u i tpar Enfance et Musique.Réservation indispensable !Mercredi 20 février à 10h3 0et 15 h (durée : 30 min).T G C181 bis, rue de Paris.Tél. : 01 43 60 41 89.Cinéma du Théâtredu Gard e - C h a s s e01 43 60 41 89■ Du 30 janvier au 5 février• La Clef, policier, de G. Nicloux.• <strong>Les</strong> Animaux amoureux, docume n t a i re, de L. Charbonnier.• Notre pain quotidien, d o c u-m e n t a i re, de N. Geyrhalter.■ Du 6 au 12 février• A c t r i c e s , comédie dramatique,de V. Bruni Te d e s c h i .• La Visite de la Fanfare,comédie, de E. Kolirin (v. o . ) .• Pépé le Moko, p o l i c i e r, deJ. Duvivier.■ Du 13 au 19 février• L’Âge d’or: Élizabeth, dramehistorique, de S. Kapur.• L’Année où mes parents sontpartis en vacances, drame, deC. Hamburger (v. o . ) .• La Petite Ta u p e , dessin animé,de Z. Miller, à partir de 3 ans.■ Du 22 au 26 février• Enfin Ve u v e, comédie, deI. Mergault.• I t ’s a Free Wo r l d , drame, deK. Loach (v.o.). Le 22 février à19 h, la projection sera suivied’un débat avec Serge We b e r,sociologue, spécialiste de l’immigration,en partenariat avecl ’ O b s e r v a t o i re de la diversitéc u l t u re l l e .• <strong>Les</strong> Trois Brigands,film d’animation,à partir de 4 ans.■ Du 27 février au 4 mars• S u rvivre avec les loups,drame, de V. Belmont.• Into the Wi l d , road movie, deS. Penn (v. o . ) .• Alvin et les Chipmunks, filmd’animation, de T. Hill, à partirde 6 ans.TGC, 181 bis, rue de Paris.Lil’art 200816 et 17 maiInscriptions jusqu’au 29 février.Direction de l’actionculturelle, L. Blanchard :01 48 46 07 20.Infos <strong>Lilas</strong>15


CultureC e n t re culture lH e n r i - D u n a n t01 48 46 87 80■ Danse urbaineStageInitiation au hip-hop, stre e tjazz et autres danses urbaines,animé par l’associationMoovn’ Aktion.Du lundi au vendredi, 7-1 2a n s : 10 h-12 h, 13-16 ans:1 4 h - 1 6 h.Participation : 5 e.Inscription à partir du 8 février.Du 25 février au 7 mars.Centre H-Dunant36, bd du Gal-Leclerc.C o n s e r v a t o i reG a b r i e l - Fa u ré01 48 46 90 80■ <strong>Les</strong> mardis musicauxConcert d’élèvesAuditorium d’Anglemont.Mardi 12 février à 20 h .■ Je dis : musique !Concert d’élèves-1 8h : présentation par CécileCouëdelo des interventionsmusicales en milieu scolaire,deux classes de l’école Paul-Langevin- 18 h 45 : spécial fins decycles, par les élèves de violonde Julie Laurent et leurs invités.Auditorium d’Anglemont.Jeudi 14 février.■ Pastiches et mélangesConcert d’élèves et dep r o f e s s e u r sAu pro g r a m m e : humour,second degré, mélange deg e n res, musique, théâtre ,poésie et danse.T h é â t re du Gard e - C h a s s e .Jeudi 21 février à 20 h.■ Vacances d’hiverLe conservatoire sera fermé dusamedi 23 février après lescours au lundi 10 mars matin.C o n s e r v a t o i r eEspace d’Anglemont35, pl. Charles-de-Gaulle.E x p o s i t i o nJean-Pierre Attal : les mots pour le voirAvec une série de photos intitulée « Social consulting vol. 2 / SDF / Pubillicite »,Jean-Pierre Attal pose un regard incisif sur les campements de fortuneautour du périphérique parisien.Le photographeJ e a n - P i e r re Attalinvestit le Centrec u l t u r e l J e a n -Cocteau pour uneexposition où l’artn’a rien de virtuel.La fracture urbaineest à l’ord re duj o u r, elle n ’ a p a sd ’ o d e u r, pas des a v e u r, mais elle a pourtant unv i s a g e . « E n t r e z d a n s u n enouvelle ère.»L’ a c c roche de cette publicitéd é t o u rnée par Jean-Pierre Attallaisse entrevoir un travail àl’humour cynique. Le pre m i e rvolume de la série photographique« Social Consulting2 0 0 4 » révélait la dualité entren o t re société de consommationet le monde des sans-abris.L’année 2007 a marqué una c c roissement considérable dun o m b re de SDF, incitant lephotographe à se montrer plusincisif. Ainsi, les tentes de fortunen’ont pas bougé de leur cadre ,mais le message apposé sem o n t re plus moqueur, se suff i-sant à lui seul et re p renant à l’enviles thèmes majeurs de notresociété : la citoyenneté, le mondedu travail, la réussite sociale…<strong>Les</strong> slogans « Vo t re budgetsagement utilisé » ou «Vo y e zÉgalement au Centre culturelJean-Cocteau en février■ Danse modern ’ j a z zStageEncadré par Audrey Pascal,diplômée d’État en danse jazz.deux groupes : 10-15 ans(niveau débutant - interm.),1 5 ans et plus (niv. interm. -avancé). Tarif : 31,60 e.<strong>Les</strong> 9 et 10 février.g r a n d», tagués, comme pastilléssur l’image anodine d’un avenirsans lendemain, rappellent avecf o rce l’existence de ces individusinvisibles, fondus dans le paysagedu périphérique parisien. La nonco n s o m m a t i o n , l ’ è re minimale,le constat d’échec s’aff i c h e n tdans une atmosphère quasiglaciale. Toute vie humaine estv o l o n t a i rement gommée, pourm e t t re en exergue la conditionhumaine, celle des laisséspour compte, mais aussi lan ô t re. À l’heure de l’individualismeroi, le travail de Jean-PierreAttal nous invite à re g a rder lemonde autrement et à faire jaillirl’émotion qui nous habite.Maïa de MartrinCentre culturel Jean-Cocteaudu 6 au 27 février.Vernissage le 5 févrierde 18h à 21h3 0 .■ L’ I r l a n d eC o n f é r e n c eFilm de Eric Fontaneilles.Tarifs : 6,20 e, 4,50 e et 3,20e.Mercredi 6 février, à 17 h.Centre culturelJ e a n - C o c t e a u35, pl. Charles-de-Gaulle.Tél. : 01 46 48 87 80.16 Infos <strong>Lilas</strong>


CultureLe Triton01 49 72 83 13■ <strong>Les</strong> Nuits FlamencasC o n c e r t sLe rythme du flamenco fera vibre rle Triton pour deux soirées avecle Juan Carmona Grupo. Guitaristeet compositeur, parmi lesplus créatifs de la nouvelle générationflamenca, Juan Carmonaest un innovateur, quelque parte n t re la connaissance pro f o n d edes genres et des styles traditionnelset une surprenante modernité.En pre m i è re partie, se succède ront Diego Amador, pianistevirtuose, chanteur, compositeurà mi-chemin entre flamencotraditionnel et d’avant-gard e ,le 7f é v r i e r, puis le lendemain, laCompagnie Maria Del MarM o reno qui se revendique del’école flamenca traditionnellede Jere z .Jeudi 7 et vendredi 8 février.■ Tango <strong>Lilas</strong> festivalC o n c e r t sPour sa troisième édition, leTango <strong>Lilas</strong> festival verra sesuccéder sur la scène du Tr i t o n ,pour quatre soirées exceptionnelles:- le Quinteto El Después (Vi c t o rHugo Villena, bandonéon,A l e j a n d ro Schwarz, guitare s ,Cyril Garac, violon, Ivo de Gre e f ,Espace Khiasma01 43 60 69 72■ L e c t u re(s) de bouche(s) /étape iiiRencontre / performanceTroisième rendez-vous dans lec a d re de la résidence de PatrickFontana autour de la languedu poète roumain GhérasimLuca. Cette nouvelle re n c o n t reo ff re une vue sur les expérimentationssonores et visuellesdéveloppées par Fontana etson équipe. Des textes envahissentl’espace où diff é re n t e s«machines graphiques», optiquesou numériques, sontpiano et Bern a rd L a n a s p e z e ,c o n t rebasse).- Olivier Manoury Quartet (OlivierM a n o u r y, bandonéon, Leonard oM o n t a n a , piano, Lukmil Pere z ,p e rcussions et Rubens Santana,basse) qui présentera notammentsa création Jazz 93, interprétéeavec les élèves de l’atelierjazz des <strong>Lilas</strong>.- le Duo El Gancho (Marina Vo t t i ,piano et Renaud Deback, violon).- Emma Milan, re c o n n u ecomme l’une des plus belles voixde tango françaises, avec à sescôtés, le talentueux guitaristeargentin Diego Tro s m a n .Du mercredi 13 au samedi1 6 février 2008.Concerts à 21h, restaurantsur place à partir de 19 h .11 bis, rue du Coq françaisw w w. l e t r i t o n . c o mprésentées par Pierre - Yves Fave.Elles produisent des paysagesplastiques en résonance avecl’univers fragmenté de l’écrituredu poète.Philippe Païni, maître de conférenceet spécialiste de l’auteur,<strong>Lilas</strong> en scène01 43 63 41 61■ A l l ôT h é â t r e« Une femme, tandis que l’obscuritéla voile comme à l’heuredu couvre-feu, semble tantôtveilleuse, tantôt contrebandièred’une parole kidnappée, tantôtShéhérazade sentinelle vigilantecontre le sommeil et le silence,tantôt amoureuse Juliette…»,Anouch Paré. « Ce texte n’estni un pamphlet, ni la signaturede ma révolte, mais nous utilisonsla violence poétique duthéâtre pour dénoncer laviolence du monde et montrerles signes d’un désastre », Fellag.Texte de Fellag par la Compagnie<strong>Les</strong> Allumettes associées etAnne Terrail. Mise en scèneAnouch Paré. Avec ChantalTrichet et Marc Perro n e .R é s e rvation indispensable.Vendredi 15, samedi 16et lundi 18 février, à 20 h.<strong>Lilas</strong> en scène23 bis, rue ChassagnolleÉbauche du décor imaginépar André Acquart.parlera de l’érotisation dans lelangage de Luca. Alors quePatrick Fontana présentera lesateliers de lectures développésà Paris et aux <strong>Lilas</strong>, autour d’unchoix de poèmes, avec desamateurs inscrits dans desformations au français langueé t r a n g è re. Projection, récitalpoétique, conférence, unere n c o n t re originale autour d’unp rojet en construction.Entrée libre,r é s e rvation conseillée.Vendredi 15 février à 20h3 0 .Espace Khiasma15, rue Chassagnollew w w. k h i a s m a . n e tLibrairie Fo l i e sd ' e n c re01 43 63 20 20■ Goûter de motsL e c t u re pour les enfantsà partir de 4 ans.Mercredi 6 février, à 16 h.■ Honneur à la littératurea s i a t i q u eL’Asie sera à l’honneur lap re m i è re quinzaine de févrierpour fêter le nouvel an chinois,avec petits cadeaux pour lesl e c t e u r s …Librairie Folies d’encre3, rue du Garde-Chasse.O b s e r v a t o i re de ladiversité culture l l e06 88 96 68 99■ Rosine GueigniaudL e c t u r eL’auteur interprétera un re c u e i lde poèmes inédits intituléPasse, passera, passeront…les saisons, accompagnée àl’alto par Laura Caccia.Café Le Melting potes1, rue du Ta p i s - Vert.Mardi 19 février, à 21 h.■ Serge We b e rR e n c o n t r eL’auteur de Nouvelle Europe,nouvelles migrations ( P a r i s2007) animera un débat à lasuite de la projection du filmI t ’s a free worldde Ken Loach.Hall du Théâtredu Garde-chasse.Vendredi 22 février à 20h3 0 .A N I01 49 93 05 24■ <strong>Les</strong> Rois d’Arménieet leurs douze capitalesC o n f é ren ce du pro f e s s e u rClaude Mutafian, suivie d’unecollation arménienne.Auditorium d’Anglemont35, pl. Charles-de-Gaulle.Mercredi 13 février à 20 h.Infos <strong>Lilas</strong>17


CultureSAMEDI 214 h3 0 • <strong>Les</strong> Animaux amoure u x Ciné du Gard e - C h a s s e16 h15 et 21h1 5 • La Clef Ciné du Gard e - C h a s s e18 h3 0 • Notre Pain quotidien Ciné Gard e - C h a s s e21 h • D. Linx et D. Wissels quartet (jazz) Le Tr i t o nDIMANCHE 315 h • <strong>Les</strong> Animaux amoure u x Ciné du Gard e - C h a s s e17 h3 0 • La Clef Ciné du Gard e - C h a s s eLUNDI 414h30 et 21h15 • La Clef Ciné du Gard e - C h a s s e16 h4 5 • <strong>Les</strong> Animaux amoure u x Ciné du Gard e - C h a s s e19 h • Notre Pain quotidien Ciné du Gard e - C h a s s eMARDI 514 h30 et 19h • La Clef Ciné du Gard e - C h a s s e1 6h45 et 21h15 • <strong>Les</strong> Animaux amoure u x Ciné du Gard e - C h a s s e18 h / 21 h 30 • Ve rnissage J.-P. Attal C.C. Jean-CocteauMERCREDI 61 4h30 et 16h45 • Actrices Ciné du Gard e - C h a s s e16 h • Goûter de mots Folies d’encre17 h • L’Irlande (confére n c e ) C.C. Jean-Cocteau19 h • Pépé le Moko Ciné du Gard e - C h a s s e21 h1 5 • La Visite de la fanfare Ciné du Gard e - C h a s s eJEUDI 721 h • <strong>Les</strong> Nuits flamencas Le Tr i t o nVENDREDI 820 h4 5 • Silencio ( c i rq u e / m a r i o n n e t t e s )T h é â t re Gard e - C h a s s e21 h • <strong>Les</strong> Nuits flamencas Le Tr i t o nSAMEDI 914 h3 0 • Pépé le Moko Ciné du Gard e - C h a s s e1 6h45 et 21h15 • Actrices Ciné du Gard e - C h a s s e19 h • La Visite de la fanfare Ciné du Gard e - C h a s s e21 h • M. Ducret, B. Chevillon, E. Echampard (jazz) Le Tr i t o nDIMANCHE 1015 h • Actrices Ciné du Gard e - C h a s s e17 h3 0 • La Visite de la fanfare Ciné du Gard e - C h a s s eLUNDI 1114 h30 et 19h • Actrices Ciné du Gard e - C h a s s e16 h4 5 • Pépé le Moko Ciné du Gard e - C h a s s e21 h1 5 • La Visite de la fanfare Ciné du Gard e - C h a s s eMARDI 1214 h30 et 19h • La Visite de la fanfare Ciné du Gard e - C h a s s e16 h4 5 • Actrices Ciné du Gard e - C h a s s e18 h • Ve rnissage F. Soumille Le Tr i t o n20 h • <strong>Les</strong> Mardis musicaux C o n s e r v a t o i re21 h1 5 • Pépé le Moko Ciné du Gard e - C h a s s eMERCREDI 1314 h3 0 • La Petite Ta u p e Ciné du Gard e - C h a s s e16 h et 19h • L’Âge d’or : Élizabeth Ciné du Gard e - C h a s s e20 h • <strong>Les</strong> Rois d’Arménie (conf.) C.C. Jean-Cocteau21 h • Quinteto El Despues (tango) Le Tr i t o n21 h15 • L’Année où mes pare n t s … Ciné du Gard e - C h a s s eJEUDI 1418 h et 18h45 • Je dis : musique ! C o n s e r v a t o i re21 h • Olivier Manoury quartet (tango) Le Tr i t o nVENDREDI 1520 h • Allô <strong>Lilas</strong> en scène20 h3 0 • Lectures de bouches Espace Khiasma20 h4 5 • <strong>Les</strong> Rares Diff é re n c e s T h é â t re Gard e - C h a s s e21 h • Duo El Gancho (tango) Le Tr i t o nSortir aux <strong>Lilas</strong> en févrierSAMEDI 1614 h3 0 • La Petite Ta u p e Ciné du Gard e - C h a s s e16 h et 21h15 • L’Age d’or : Elizabeth Ciné du Gard e - C h a s s e19 h • L’Année où mes pare n t s … Ciné du Gard e - C h a s s e20 h • Allô <strong>Lilas</strong> en scène21 h • Emma Milan (tango) Le Tr i t o nDIMANCHE 1715 h • L’Age d’or : Elizabeth Ciné du Gard e - C h a s s e1 7 h3 0 • L’Année où mes pare n t s … Ciné du Gard e - C h a s s eLUNDI 1814 h3 0 • L’Âge d’or : Élizabeth Ciné du Gard e - C h a s s e16 h4 5 • L’Année où mes pare n t s … Ciné du Gard e - C h a s s e18h45 et 21h1 5 • L’Âge d’or : Élizabeth Ciné du Gard e - C h a s s e20 h • Allô <strong>Lilas</strong> en scèneMARDI 1921 h • Rosine Gueigniaud Le Melting potesMERCREDI 2010 h30 et 15h • A pied ! T h é â t re du Gard e - C h a s s e21 h • Henri Texier quartet (jazz) Le Tr i t o nJEUDI 2120 h • Pastiches et mélanges T h é â t re du Gard e - C h a s s e21 h • Dodécadanse (danse, musique) Le Tr i t o nVENDREDI 2214h30 et 16h4 5 • Enfin Ve u v e Ciné du Gard e - C h a s s e19 h • It’s a free world + débat Ciné du Gard e - C h a s s e21 h • C. Monniot (jazz) Le Tr i t o n21 h 15 • It’s a free world Ciné du Gard e - C h a s s eSAMEDI 2314 h3 0 • Alvin et les Chipmunks Ciné du Gard e - C h a s s e16h45 et 21h1 5 • Enfin Ve u v e Ciné du Gard e - C h a s s e19 h • It’s a free world Ciné du Gard e - C h a s s e21 h • Bojan Z & Julien Lourau (jazz) Le Tr i t o nDIMANCHE 2415 h • Enfin veuve Ciné du Gard e - C h a s s e17 h3 0 • It’s a free world Ciné du Gard e - C h a s s eLUNDI 2514 h3 0 • Alvin et les Chipmunks Ciné du Gard e - C h a s s e1 6h45 et 21h1 5 • It’s a free world Ciné du Gard e - C h a s s e19 h • Enfin Ve u v e Ciné du Gard e - C h a s s eMARDI 261 4h30 et 21h1 5 • Enfin Ve u v e Ciné du Gard e - C h a s s e16 h4 5 • Alvin et les Chipmunks Ciné du Gard e - C h a s s e19 h • It’s a free world Ciné du Gard e - C h a s s eMERCREDI 2714 h3 0 • <strong>Les</strong> Trois Brigands Ciné du Gard e - C h a s s e1 6h15 et 21h1 5 • Survivre avec les loups Ciné du Gard e - C h a s s e18 h3 0 • Into the Wi l d Ciné du Gard e - C h a s s e21 h1 5 • Survivre avec les loups Ciné du Gard e - C h a s s eJEUDI 2814 h et 19h • Survivre avec les loups Ciné du Gard e - C h a s s e1 6h15 et 21h1 5 • Into the Wi l d Ciné du Gard e - C h a s s eVENDREDI 2914h30 et 18h4 5 • Survivre avec les loups Ciné du Gard e - C h a s s e16 h4 5 • <strong>Les</strong> Trois Brigands Ciné du Gard e - C h a s s e21 h • Into the Wi l d Ciné du Gard e - C h a s s e18 Infos <strong>Lilas</strong>


AssociationsS o l i d a r i t éUn peu de pain et de chaleur dans <strong>Les</strong> Restos du cœurChaque hiver, 150 à 200 familles bénéficient des actions mises en œuvrepar l’antenne lilasienne des Restos du cœur. Elles viennent y chercherun complément alimentaire, des vêtements mais aussi du réconfort.La campagne d’hiver des Restosdu cœur bat son plein aux <strong>Lilas</strong>comme dans toute la France.Chaque matin, de décembre àmars, les 37 bénévoles de l’antennelocale se relaient au 22,r u eRomain-Rolland pour accueilliret aider au mieux les plusdémunis. À l’entrée, un bénévolerenseigne et fait patienter,l’exiguïté des locaux ne permettantpas à tous d’y pénétrer simultanément.À l’intérieur, certainsp rennent un café, un thé ou unchocolat, tandis que d’autre schoisissent, à l’étage, vêtements,c h a u s s u res et même jouets auv e s t i a i re. Au rez-de-chaussée, lesb é n é f i c i a i res présentent, trois part rois, leur carte à la personnechargée d’attribuer l’aide alimenta i re à chacun, en fonction de sasituation sociale et familiale.Conserves, mais aussi surgelés,leur sont remis deux fois parsemaine. « L’ensemble desdenrées alimentaires nous estlivré chaque mercredi par le siègedépartemental des Restos. Desmenus sont pensés pour que lesrepas soient équilibrés», expliqueMichèle Perez, une des animatricesde l’antenne. En susdes actions classiques sontdéveloppées depuis un an den o m b reuses initiatives d’aide àl’insertion, seule manière de sortirdurablement les gens de l’exclusionet nouvelle priorité del’association.Objectif insertionParmi elles, toutes les démarc h e sd’aide à la personne, dont secharge Michel Laviec. « C e l aconsiste autant à se transformeren écrivain public pour aider lesgens dans leurs démarches quotidiennes,qu’à leur donner desconseils et, surtout, à les écouter.En effet, les personnes que nousrecevons ici sed é b a t t e n ts o u v e n tdans de nombreuses difficultés:s u r e n d e t t e m e n t , v i o l e n c e s ,problèmes judiciaires, mal-logement.De mon coté, je les écouteet essaie de sérier leurs priorités.Ensuite, je les soutiens dans leursd é m a r c h e s . »Parallèlement sont lancés depuisquelques mois plusieurs ateliers.L’atelier cinéma permet, grâceà un partenariat avec la municipalitéet aux aides de la Régionet de l’État, de donner chaquem e rc redi une ouverture sur lac u l t u re à ceux qui n’en ont pasles moyens. L’atelier couture ,chaque mardi après-midi depuisd é c e m b re, invite novices et initiésà partager leurs savoirs. D’autre sactivités devraient être lancéesp rochainement, selon lessouhaits des bénéficiaires, avectoujours le même objectif: sere n c o n t rer et dialoguer autourd’une activité pour sortir de l’assistance,pour se réaliser.<strong>Les</strong> Restos du cœur■ Animateurs : Michèle Perez et Michel Laviec.■ 22, rue Romain-Rolland.Tél. : 01 43 60 59 55 - 06 86 72 50 79.■ Lundi, mardi, jeudiet vendredi, de 9 h à1 1 h3 0 .■ Service vestiaire : lundiet mardi, de 9 h à 11h30.■ <strong>Les</strong> dons de vêtements,linge de maison ou jouetssont réceptionnés surplace. <strong>Les</strong> dons en espècesdoivent en revanche êtreadressés au siège desRestos, à Paris.4, cité d’Hauteville75010 ParisTél. : 01 53 24 98 00.Stage de vacancesà la Colline bleueLa Colline bleue organise unstage pour les 5-10 ans les 25,26 et 27 février, de 14 heure sà 17 heures. Deux atelierspar jour – musique et modela g e – autour du thème desg renouilles et de bons goûters.Tarif 65 e. Par ailleurs, desplaces restent disponibles enmusique pour les 3 ans, lem e rc redi (11 h-12 h) et lesamedi (11 h-12 h), ainsi qu’enéveil sonore pour les 18 à3 6 mois avec leurs pare n t s ,le merc redi à 17 heures.T é l . : 01 48 43 86 09.Débatsur la maltraitance« Espoirs et combats desf e m m e s » organise un débatsur la maltraitance le 9 février,de 15 h à 17 h, en mairie.L’association assure unepermanence pour les femmesvictimes de violence le dern i e rsamedi du mois, de 14 h à1 6 h e u res.Prochain rendez-vous :le 29 février.T é l . : 06 12 70 31 90.i n f o _ e c f @ y a h o o . f rBonne reprisedu FC <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong>La reprise est pro m e t t e u s epour le FC <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong> qui s’estimposé 5-1 face à Moissy-Sénart (club de CFA), enCoupe de Paris, le 5 janvier,puis 1-0 contre Amiens B, enchampionnat le 12. Le matchsuivant, contre Marck, a étére p o r t é .L’équipe des moins de 18 anss’est, quant à elle, faiteéliminer en 64 e de finale de laCoupe Gambardella contreAmiens (1-4), un niveau trèshonorable pour un cluba m a t e u r.Infos <strong>Lilas</strong>19


Vie municipale<strong>Les</strong> lignes vertesFévrier 2008.À l’heure oùle « bling-bling »Président Sarkozyenvoie promener lesfrançais sur le pouvoir d’achatsous le fallacieux prétexte queles caisses de l’État sont vides,nous rappellerons ici les15 milliards d’euros de cadeaufiscal à ses amis. À l’heureoù la vente du nucléaireà travers le monde par le mêmePrésident, ne profiterafinalement qu’à ses amisdes grands groupes industrielsdu nucléaire et des travauxpublics pour construireces centrales. <strong>Les</strong> travailleursde France, eux, n’en verront pasles moindres retombées positivesou alors vraiment très, trèsfaiblement par rapport aux gainsen bourse des actionnairesdes groupes industriels etde leurs dirigeants gavés destock options. Le gouvernementannonce un plan banlieue,mais rien de vraiment neuf etinnovant n’est prévu. La Ministreet sa Secrétaire d’état ne sontmême pas en phase etles moyens financiers ne suiventpas. Enfin, sans doute la ficellela plus grosse, madamela Ministre Alliot-Marie annoncele retour, sous forme de tests,de la police de proximité ;ces tests correspondent àtrente agents sur trois sitestrès sensibles du 93! De qui semoque t’on ? Alors, décidémentOUI, nous sommes contre cettepolitique paillette et dangereusepour notre pays et ses habitantsde toutes origines !LES ÉLUS VERTS :ISABELLE OLIVIER-BARBREL,VALÉRIE BONS,CHRISTOPHE PAQUIS,NICOLAS KARMOCHKINEContact : 06 03 00 54 72Hommages à deux personnalités lilasiennes■ Lucienne Gonzalez née NoëlLucienne Gonzalez née Noël, grande figure lilasienne,s’est éteinte le 18 janvier 2008 à l’âge de 85a n s .Résistante, elle participa à la libération de la France,de 1942 à 1944, et milita au sein du mouvementL i b é - N o rd et du groupe Libération, animé par LéonVallée. <strong>Lilas</strong>ienne depuis 1935, conseillère municipalede 1971 à 1977, Lucienne Gonzalez néeNoël s’était beaucoup investie dans la vie locale etp a r t i c u l i è rement au sein de l’UNC et de l’ASF, oùelle militait pour la mémoire des résistants françaiset lilasiens comme son père, Lucien Noël, héros dela résistance, fusillé par les nazis au Mont Va l é r i e nen janvier 1942. Le 24 janvier 2008, municipalité,amis et famille étaient venus nombreux lui re n d rehommage au cimetière des <strong>Lilas</strong>.■ Joseph Duff o u r gJoseph Duffourg, porte-drapeau de l’UNC (Unionnationale des combattants) et des officiers mariniers,et vice-président des Médaillés militaire sdes <strong>Lilas</strong> et de Paris 20 e nous a quitté. Près de dixneufans passés au service de l’armée françaisel’avaient mené de Casablanca jusque sur la Jeanned ’ A rc, le porte-hélicoptère français. Ses nombre u s e smédailles et croix du combattant en témoignent.Il n’avait cessé, depuis, de participer aux cérémoniescommémoratives lilasiennes, en témoignantde ce qu’il avait vécu au service de la France auprèsdes jeunes, pour qu’ils se souviennent. JosephD u ffourg a été enterré aux <strong>Lilas</strong> le 8janvier dern i e ren présence de la municipalité, de sa famille et deses amis.Élections municipales les 9 et 16 mars<strong>Les</strong> dimanches 9 et 16 mars prochains sed é ro u l e ront les élections municipales. L’ o c-casion de rappeler à celles et ceux qui nep o u r ront pas se re n d re aux urnes qu’il estpossible, en cas d’empêchement, de se fairereprésenter le jour du vote et ainsi d’accomplirson devoir de citoyen. Il suffit pour celade faire établir une procuration au commissariatde police ou au tribunal d’instance dePantin. Deux obligations : se munir d’unepièce d’identité (carte d’identité, passeportou permis de conduire) et choisir commem a n d a t a i re une personne inscrite sur leslistes électorales de la commune des <strong>Lilas</strong>.À l’approche des élections municipales de mars 2008, la communicationdes collectivités est réglementée, notamment dans les tribunes libresdes magazines d’information à destination des habitants. Infos <strong>Lilas</strong>décline toute responsabilité quant aux éventuelles conséquences juridiquesdes tribunes publiées, qui le sont sous l’entière responsabilitéde leurs auteurs.20 Infos <strong>Lilas</strong>


Vie municipaleH e u reuse année2 0 0 8 !Autour d’un verre, le maireet la municipalité ontprésenté leurs vœux aupersonnel communal, lorsd’une soirée au Théâtre duG a rde-Chasse, le 9 janvier.La veille, c’est à la communautéscolaire ainsi qu’auxp a r t e n a i res institutionnels,économiques et associatifsde la ville qu’avait étésouhaitée la bonne année.Prochainconseil municipalMercredi 6 févrierà 19 h 30Mairie des <strong>Lilas</strong>Salle des mariageset du conseil (1 er étage)Vœux de la municipalité au personnel communal.À l’ordre du jour :débat d’orientationbudgétaire (DOB)Expression libre de l’opposition municipale* Compte tenu de la scission intervenue au sein de la liste d’opposition municipaleUDAC, cette liste est désormais composée de deux groupes séparés, qui disposentdorénavant de deux tribunes libres distinctes.Liste Vivre aux <strong>Lilas</strong>À propos des élections municipales…Un certain nombre de nouveaux engagementstant personnels que professionnels font que je neconduirai pas de liste lors des élections municipalesdu mois de mars. De telles re s p o n s a b i l i t é sexigeant en effet, à mon sens, une pleine disponibilitéau moment donné.Ce n’est pas pour autant que je me re t i re detout engagement. J’entend dans un pre m i e rtemps me réorienter vers de nouvelles initiatives,notamment associatives.Je m’engagerai également dans la campagneélectorale. En fonction des programmes, desenjeux et des candidats, je prendrai des positions,que j’exprimerai en dehors d’Infoslilas , commel’exige la loi.Comptez sur moi pour conforter les engagementsque j'ai défendu et que je continuerai toujours ded é f e n d reFrançois C O S TA N T I N IListe de l’UDAC *(groupe lilasien indépendant municipal)Un service minimum d’accueil dans les écoles primaires.Une proposition du ministre Xavier Darc o s<strong>Les</strong> élèves des collèges et des lycées sont généralement accueillisdans leur établissement scolaire les jours de grève. En re v a n c h e ,rien n’est prévu pour les plus jeunes élèves, ceux des écoles maternelleset élémentaires dont les parents découvrent bien souventla veille ou le jour même de la grève que leur école sera fermée.Si la liberté des enseignants de faire grève doit être re s p e c t é e ,la liberté de travailler des familles doit l’être aussi. Il est vrai quecertaines communes organisent déjà, à leurs frais, un serviced’accueil pour éviter que les parents soient obligés de subventionnerla grève en prenant des jours de congés ou de RT Tpour garder leurs enfants. Mais dans tous les cas, le coût del’accueil pèse bien sur les familles aujourd’hui, puisqu’il est financépar la fiscalité locale qui pèse sur elles. En quoi consiste leservice minimum, il s’agit d’une convention passée entre l’Étatet les communes volontaires, par laquelle l’État finance le servicemise en oeuvre par les communes pour accueillir les enfantsdurant les jours de grève, à hauteur de 90 euros par groupe de1 à 15 élèves accueillis pendant les heures habituelles d’enseignement(6 heures par jour). Le contribuable ne paiera pas ceservice minimum d’accueil, le financement proviendra des re t e-nues sur salaire effectuées par l’état sur les salaires des enseignantsgrévistes. Une journée de grève représente enviro n3 5 millions d’euros de salaires non versés. Il serait immoral quel’état réalise des économies en laissant aux familles ou aux collectivitésla charge du conflit qui l’oppose à ses personnels. J’espèreque la commune des <strong>Lilas</strong> participera activement à la mise enplace de ce service minimum d’accueil, afin de ne plus pénaliserles familles <strong>Lilas</strong>iennes.M i reille BZDIKIANListe de l’UDAC *(groupe UDAC maintenu)L’image de la Seine-Saint-Denis et des <strong>Lilas</strong>En cette période d’élection il n’est, bien évidemment,pas question de développer des thèmes depolitique politicienne.En revanche, on ne peut que faire le vif souhaitque chaque responsable, à sa place et avec sesmoyens, s’emploie à mobiliser tous les moyenshumains, matériels, et financiers pro p res àa m é l i o rer la perception que l’opinion publiquea c c o rde au département en général.Certes une ville ne peut pas tout faire. La politiquede la ville, impulsée par l’Etat et ses re p r é s e n t a n t s ,est importante et il convient que la concrétisationdu plan banlieue soit effective et dépasse un simplee ffet d’annonce.<strong>Les</strong> apports tant du Conseil Régional que duConseil Général de la Seine-Saint-Denis sont toutà fait essentiels.La municipalité issue du scrutin de mars 2008devra s’attacher à nouer les partenariats nécessa i res et en liaison aussi avec les communesavoisinantes et à fédérer toutes les énergies utilesau plan local.Jean-Claude POIRIERInfos <strong>Lilas</strong>21


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La rédaction d’Infos <strong>Lilas</strong>se réserve le droit de ne pas publier uneannonce, en particulier si elle n’est pas ena c c o rd avec la législation, et décline touteresponsabilité en cas d’off re de services oude matériel ne correspondant pas auxattentes du lecteur. Aucune domiciliationn’est acceptée. Vo t re annonce paraîtra,selon l’espace disponible, dans Infos <strong>Lilas</strong>.À retourner à:Infos <strong>Lilas</strong> PA - Hôtel de Ville93 260 <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong>Par ailleurs, vous pouvez consulter ou passerune petite annonce directement sur lesite de la ville : www.ville-leslilas.frRubrique :■ Emploi/services ■ Bonnes affaires■ Immobilier ■ Auto/moto ■ AnimauxBaby-sitting, cours particuliers:consultez les annonces du Kiosqueau 167, rue de Paris.


Bloc-notesCarnetDu 19 décembre 2007au 18 janvier 2008N a i s s a n c e sKenaël TONOLI,Eneko MOREAU-FLASSCH,Matthieu LALLEMAND,Yumi LAVA L L E T T E ,Chakib ERROUAT I ,Arthur GEMGEMBRE,Lilyah ENARD,Tony DESSE,Loulou RICHARD,Djaeliss JUDITH,Thimoté JEAN-BART,Tilio DALLET,Lyna NAILI,Samuel KIENTZ-BENICHOU,Virgile LOISEAU,Clémence KUBELEC,Isabelle WA N G ,Ilan SMADJA,Odélia ACOCA,Raphaël BAILLY- TA S S O T T I ,Nour PETITJEAN,Anton MARJANOVIC,Anthony RACON,Lounis MERAD,Daniel PETCA,Naomie GUEZ,Nathan ROSELLINI,Lazar KOJADINOVIC,Julia DUFOUR-GRALL,Idriss BEN SALEM,Kiana XU,Benjamin PORTA L ,Eytan PORTA LM a r i a g e sVasile FINTA et Irina BERCEM o u b a rek GHERSIet Fatma KACI CHAOUCHED é c è sJean HAMON, Simone GUIMETveuve GAMBARO,Odette ROGER épouseB ATOIRE, Aïcha MERIMI épouseMACHOU, Roger VA Z E I L L E ,Renée DESCHAMPS veuveGUÉNU, Mohand HEMMAOUI,Colette VARLET veuveMONTCHENU, SuzanneF O R G E T, Albert BERREBI,Svetlana NAJDANOVIC, ElenaSAEZ MATEO veuve NAVA R R OMOLINA, Patricia LEFORESTIER,G é r a rd POUYET, Sasa RAJCIC,Monique HERVÉ, JosephDUFFOURG, JulienneRAGAGLIA veuve MARAUX,Robert HARLÉ, Fern a n dC O L L O M PMémo téléphoniqueC u l t u re• Bibliothèque : 01 48 46 07 20• Centre Culturel- Espace d’Anglemont :01 48 46 87 80- annexe Henri- Dunant :01 43 60 92 88• Conservatoire : 01 48 46 90 80• Théâtre du Garde-Chasse :01 43 60 41 89• Billetterie : 01 43 60 41 89Ecoles matern e l l e s• Bruyères : 01 43 63 72 88• Calmette : 01 43 63 65 72• Courcoux : 01 43 63 69 58• Julie-Daubié : 01 41 83 19 58• Romain-Rolland : 01 41 63 13 81• Vi c t o r-Hugo : 01 43 63 35 60Ecoles élémentaire s• Paul-Langevin : 01 41 83 19 56• Romain-Rolland : 01 41 63 13 82• Vi c t o r-Hugo : 01 43 63 35 60• Waldeck-Rousseau : 01 43 62 10 50Vie scolaire• Centre de loisirs : 01 41 83 00 45• Facturation scolaire :01 72 03 17 65• Inscriptions scolaires :01 72 03 17 64J e u n e s s e• Le Kiosque : 01 48 97 21 10• Le Service jeunesse (accompagnementscolaire et loisirs) :01 49 72 74 76Infos santéCabinets de soins infirmiers■ Cabinet HENRI-DUNANT8-56, bd du général Leclerc .T é l . : 01 43 60 46 96.■ Cabinet de MmeBENAMARA17-23, rue du 14 juillet.T é l . : 01 49 93 04 97.■ Cabinet <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong> BlancsM m e s DEVY et FERRAND30, rue du Coq français.T é l . : 01 43 60 54 20.Médecins de gardeEn cas d’urgence et en l’absencede votre médecin traitant,composer le 15.Petite enfance• Crèche des Bruyères :01 43 63 64 69• Crèche des Sentes : 01 43 62 16 45• Halte-garderie : 01 43 62 16 46S p o r t s• Espace sportif de l’Avenir :01 41 83 29 37• Gymnase Jean-Jaurès :01 48 10 00 23• Gymnase Liberté :01 49 72 68 99• Gymnase Ostermeyer :01 48 10 01 59• Gymnase Rabeyrolles :01 48 91 06 78• Parc municipal des sports :01 48 43 81 95• Piscine : 01 48 91 06 77• Service des Sports :01 48 91 25 08Santé et action sociale• Aides ménagères : 01 41 63 13 10• CCAS : 01 41 63 15 70• Centre de santé : 01 48 91 29 99• Club des Hortensias :01 48 46 42 55• Service insertion : 01 41 58 10 91A u t res services municipaux• Cimetière : 01 43 63 59 49• Direction du développementdurable : 01 55 82 18 30• Etat civil : 01 72 03 17 02• Elections : 01 72 03 17 54• Hôtel de ville : 01 43 62 82 02Pharmacies de gardeDepuis 2006, les pharmacies des <strong>Lilas</strong>n ’ e ffectuent plus de permanences ledimanche et les jours fériés, sur décisionde la préfecture de Seine-Saint-Denis. <strong>Les</strong> gardes pour les villes des <strong>Lilas</strong>,Noisy-le-Sec, Romainville, Le Pré Saint-Gervais et Pantin sont assurées par lapharmacie Cohen de Lara à Pantin.■ Pharmacie Cohen de Lara(Pantin)103, avenue Jean-Lolive.T é l . : 01 48 45 26 67.■ Pharmacie de la porte des<strong>Lilas</strong> (Paris XX e )Ouverte tous les jours, y comprisles dimanches et jours fériés.168, boulevard Mortier.Tél. : 01 43 64 79 98.Vos élusvous reçoivent<strong>Les</strong> permanences des élusont lieu tous les jeudis de 18hà 20h, en mairie.Rens. : 01 43 62 82 02.La permanence de votredéputé, ClaudeB a r t o l o n e ,se tient en mairie le 4 e v e n-d redi du mois. Pro c h a i nrendez-vous : le 22 février2008, de 16h à 19h .Permanences■ Permanences Pact Arim(subventions pour l’améliorationde l’habitat), le lundide 9h30 à 12h au CCAS - pôlesocial, 193-195, rue de Paris.<strong>Les</strong> rendez-vous peuventê t re pris auprès de la dire c-tion du développementdurable : 01 55 82 18 30.■ Permanences du Ré s e a uéducation sans fro n t i è re(RESF) les lundis 4 et 18 févr i e r, à 19h, en mairie.INFOS LILASHôtel de Ville - 93260 <strong>Les</strong> <strong>Lilas</strong>Tél. : 01 43 62 82 02.- Internet : www. v i l l e - l e s l i l a s . f r- Responsable de lapublication : Daniel Guiraud.- Rédaction en chef :annemosoni@leslilas.fr- Rédaction :clemencebahin@leslilas.fr,Christine Delsol.- Réalisation graphique :nathaliesimon@leslilas.fr- Photos : B. Belcour, V. Suere s .- Impression :Barbou impressionsRCS Bobigny B572 188 357- Dépôt légal : août 2002.Imprimé surpapier écologiqueInfos <strong>Lilas</strong>23

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