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La lettre des Grésillons n°21 - Gennevilliers

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N° 21 Affairea suivreSSi chacun se félicite de la présenced’un marché dans le quartier,beaucoup regrettent le peud’étals, de choix et le manque d’exploitation<strong>des</strong> lieux. Cela devrait s’arranger avecun projet de restructuration.« J’habite tout à côté et je trouvetoujours pratique d’avoir un marché prèsde chez soi, mais je suis déçue parce qu’onmanque de choix. J’ai été habituée auxmarchés de Paris quand j’habitais dans lacapitale. On manque surtout de légumes,de viande, de charcuterie. C’est idiot etabsolument pas pratique d’avoir à sedéplacer à Carrefour, surtout à mon âge.Et c’est surtoutdommage auvu du nombred’habitationsaux alentours. »Marie-France Berrue,habitante <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong>.HommageLe choc et la peine ont étéimmenses dans le quartier maiségalement dans toute la ville àl’annonce de la disparition brutale, le1 er février, de Bernard Legrand. Et partoutles mêmes réactions de stupeur, deprofonde tristesse. Et partout lesmêmes mots d’humanité, de valeurs,de respect, d’amitié, de chaleur,d’amour. Et de l’amour, BernardLegrand en avait à revendre. Pour tousceux qu’il croisait sur sa route mais surtoutpour tous ces jeunes, « ces gosses »,comme il disait. Combien ont été épaulés,soutenus, sortis de la galère avecl’aide de Bernard.Né en 1938 dans l’Aube, c’est dans cetterégion que Bernard Legrand a suivi sonséminaire. Ordonné prêtre par le diocèsede Troyes en 1965, Bernarda choisi d’exercer sa mission auplus près de la population etnotamment <strong>des</strong> salariés. Prêtreouvrier, Bernard Legrand s’estinstallé à <strong>Gennevilliers</strong> dans lesannées 70 et a travaillé jusquedans les années 90 au seinde l’entreprise de Cullant, àAsnières. Dans le même temps,Bernard crée l’Étrier, entrepriseMarché :restructuration en vue« Il y a pas mal de places vi<strong>des</strong> et c’estdommage. On manque de commerçantspour pouvoir faire notre choix,notamment pour les fruits, les légumeset la viande. Ducoup, les gensvont au marché<strong>des</strong> Quatres-Routes. C’estmalheureuxparce que c’estune grande etbelle structure. »Riméouche Mezbah,habitante <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong>.Bernard Legrandnous a quittésd’insertion, dont il deviendra le gérantpuis le président. Mais son implicationdans la vie locale ne s’arrêtait pas là.Bernard était responsable et membretrès actif de l’amicale de locataires du115 où il résidait, mais également de laMaison de la Solidarité. Il ne manquaitpas, quand il pouvait, d’accompagnertoutes ces personnes fragiles. Sillonnantla ville à vélo, Bernard Legrand avaitmis en place les ateliers de plein air permettantaux jeunes Gennevillois d’apprendreà réparer leurs vélos, voire àen construire un avec <strong>des</strong> éléments derécupération.Plus qu’une personnalité locale, c’estun ami, un membre de la famille queperdent tous les Gennevillois. Unhomme de cœur qui avait consacré savie à l’humain.Un hommage lui aété rendu samedi 12février à 10 h 30 àl’Espace <strong>Grésillons</strong>,en présence de nombreuxgennevillois.Bernard LegrandI« Nous travaillons depuis longtemps sur larestructuration du marché <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong>.Cela peut paraître long mais nous avonsvoulu prendre le temps de proposer un projet qui soitviable pour les habitants. Il ne s’agissait pas de faire pourfaire et juste pour occuper le terrain.Toute la partie, actuellement vide, sous le théâtre, sera àterme occupée par un magasin de moyenne surface. Nousn’avons pas définitivement clos les accords mais noussommes en pourparler avec trois gran<strong>des</strong> chaînes de distribution.Nous voulons que soit implanté là un magasin avec du choix et dela qualité. Ce magasin aura une vitrine sur le marché. Une brasseries’installera également à proximité ainsi que deux autres petitscommerces : peut-être au moins un marchand de journaux. Là encorenous sommes en pleine discussion. Un cheminement piéton sépareracette partie du marché. Nous profiterons de cette installationpour rénover le parking et le marché pour donner une cohérence àl’ensemble. Nous souhaitons profiter de l’occasion pour agrandirl’espace disponible aux étals pour accueillir plus de commerçants, etdésormais le marché bénéficiera d’une ouverture digne de ce nom ducôté de la place Indira-Ghandi. Pendant ces travaux de rénovation, lemarché restera ouvert. Si tout va bien, nous devrions valider et signerce projet d’ici l’été 2011. Fin <strong>des</strong> travaux et ouverture prévue pourseptembre 2012. »Durand-Clayerevient à la maisonl a attendu 84 ans avant de regagnerses pénates. <strong>La</strong> statue d’AlfredDurand-Claye, qui campaitdans le square de la rue de la Paix, dans lequartier du Village, a été transférée et installéedans le passage <strong>La</strong>courière. Elle revientainsi dans son quartier d’origine. Cebuste de 27 tonnes, qui ornait la placeVoltaire dès 1894, avait été déplacé au Villageen 1926. Inventeur du tout-à-l’égout,ingénieur en chef de l’assainissement, AlfredDurand-Claye a testé le systèmeMarc Hourson,adjoint au maire, chargé dela question <strong>des</strong> commerces.d’épuration <strong>des</strong> eaux par le sol à <strong>Gennevilliers</strong>.Son premier projet date de 1867et le premier essai sur 200 hectares, de1873. Il a expérimenté ainsi avec succès leschamps d’épandage pour les cultures maraîchèresoù les eaux usées s’épuraient parfiltrage.Le sol pauvre de la plaine devenait alorsle terreau d’une culture diversifiée et intensequi alimentait de ses produits lesHalles de Paris. <strong>Gennevilliers</strong> rentrait ainsidans l’ère de la culture industrielle.


<strong>La</strong> <strong>lettre</strong> <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong>Bibliothèque DoisneauProfitant de la période estivale, labibliothèque s’est refait une beautépour le plus grand plaisir de seslecteurs.« Je viens toutes les semaines à labibliothèque que je fréquente depuis 15ans. J’ai bien remarqué les changementset je trouve que cela éclaircit et agranditle lieu. Je trouve très bien d’avoir créé<strong>des</strong> postes de travail et <strong>des</strong> petits coins«salons » quipermettent <strong>des</strong>e poser un peutranquillement.Cela fait plusintime, c’est plusagréable. »Brigitte Chambre,habitante.« J’habite avenue <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong> depuis1953 et je fréquente la bibliothèquedepuis qu’elle est ouverte. Je viensaussi souvent que je peux et c’est unlieu qui est très précieux pour moi.J’apporte du soutien, bénévolement,à <strong>des</strong> jeunes enfants de primaire. Pourpouvoir répondre à leurs questionnements,à leurs interrogations, jeviens chercher de la documentation etje trouve toujours ce que je cherche.Quand j’ai besoin d’un livre, notammenten allemand, je demande auxbibliothécaires qui sont vraimentcharmantes. J’apprécie le réaménagement.Il y a plus de source de lumière,c’est cosy, cela donne le sentiment quel’on est chez soi.Ejpcmcd En revanche,j’aime unpeu moins lescouleurs sur lesmurs mais çac’est une affairede goût. »Jacqueline Chauvière,habitante.Direct du producteurau consommateurIEconomiesolidairel est venu de l’Aveyron pourvendre sa viande fraîchementpréparée, directement aux habitantsde <strong>Gennevilliers</strong>, juste avant lesfêtes de Noël. Daniel Costes est producteurde veaux et volailles. Enconversion bio, il recevra son label aumois de mars. C’est par l’intermédiairedu Modef, syndicat d’exploitants familiauxqui vend chaque année fruits etlégumes directement aux consommateurs,que notre producteur de viandeet son épouse ont fait connaissanceavec <strong>Gennevilliers</strong>. « Nous avons unepetite exploitation. Pour nous, c’est deplus en plus dur, alors, depuis deux ans,nous sommes passés au bio et à lavente directe. On fait <strong>des</strong> volailles, <strong>des</strong>bovins et <strong>des</strong> céréales. Ce systèmenous permet aussi de rencontrer lesconsommateurs. Tout le monde ygagne », confiait-il à la presse lors de savenue en décembre. L’expérience a étéconcluante pour lui comme pour sesclients de plus en plus sensibles à cetype de commerce équitable. « Celaévite les intermédiaires qui exploitentles producteurs d’un côté et les acheteursde l’autre. De plus, la viande estde qualité et a priori on sait d’où ellevient », assure une Gennevilloiseconquise par la démarche.Daniel Costes revient à<strong>Gennevilliers</strong> le 17 février. Il seraprésent aux <strong>Grésillons</strong> de 17 h 15 à18 h 30 devant l’Espace éducatif.Pour ceux qui le souhaitent, il esttout à fait possible de lui passercommande soit par e-mail, soit partéléphone : Daniel Costes :05 65 81 64 02 ou 06 03 24 39 98ou costes.daniel@9business.frEn brefTravaux ... Comme promis…Les pelleteusessont en action surl’îlot <strong>La</strong>courière-Masselier. Outrela rénovation del’assainissementet la réfection dela voirie, un plateaupiétonniersera aménagé rueMasselier.Berthe-Morisot poursuitson embellissementCa pousseUne trentaine delogements sont en coursde construction (appartementset maisons deville) par l’immobilière3F, à l’angle <strong>des</strong> ruesSainte-Marie et Paul-Vaillant-Couturier.3 F : <strong>des</strong> nouvelles du chantierLes bâtiments 10 (58 rue Gabriel-Péri) et 11 (2 rue Henri-Barbusse) sont vi<strong>des</strong> depuisle mois de décembre. Des palissa<strong>des</strong> vont maintenant être installées tout autour de cesdeux bâtiments pour protéger le voisinage pendant la durée <strong>des</strong> travaux de curage quivont débuter au mois de mars, avant la démolition.Sur les treize bâtiments restants, onze vont voir, durant le mois de février, leurs hallsrénovés et privatisés. Les locataires recevront très bientôt leur badge d’accès.Enfin les opérations de relogement se poursuivent dans la ville et dans le quartier notammentpour les locataires du 52 avenue Gabriel-Péri et du 4 rue Henri-Barbusse.Les locataires sont invités à guetter dans leur boîte à <strong>lettre</strong>s la gazette de l’ImmobilièreI3 F qui les tiendra informés de l’évolution du chantier.Une haie derameaux d’osieragrémentedésormais lesgrilles de l’écolematernelle,offrant ainsiune vue plusdouce sur l’établissementenharmonie avecla coulée vertevoisine.


<strong>La</strong> <strong>lettre</strong> <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong>PortraitSylvain Padellec : l’enfant <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong>Le hasard est amusant. Le grandgaillard, référent jeunesse duquartier, a vu le jour en 1984… aux<strong>Grésillons</strong>. A la clinique Saint-Jean, plusexactement. Quand l’établissement pratiquaitencore les accouchements. Bien queGennevillois (il a longtemps vécu au Villageavant de s’installer au Fossé-de-l’Aumône),Sylvain Padellec n’avait plus jamaisremis les pieds dans le quartier depuislors. Un Bafa passé en 2003 lui a ouvert lesportes d’un champ d’activités qu’il n’imaginaitpas encore occuper huit ans plustard.« J’ai fait, comme la plupart <strong>des</strong> jeunesqui passent ce diplôme, la surveillance<strong>des</strong> cantines, les centres de loisirs,les classes transplantées, les colos.J’ai également travaillé au collègeEdouard-Vaillant et au lycée Galiléeen tant qu’assistant d’éducation. »Puis il intègre le service jeunesse entant que vacataire. « J’ai travaillé auLuth et on a commencé à me confier<strong>des</strong> responsabilités. » Sylvain accèdealors au poste de responsable du PointRencontre Jeunesse <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong> quiaccueille un public âgé entre 16 et 25ans. « L’objectif c’est de proposer <strong>des</strong>activités aux jeunes du quartier etde les accompagner dans <strong>des</strong> projetsaxés sur la citoyenneté, leur donner lesmoyens de réaliser ces mêmes projetset de les réussir. C’est un travail qui metient vraiment à cœur. A terme, il fautque je sois reconnu par les jeunes etpar les différents partenaires commeétant le référent jeunesse du quartier. »Un quartier qu’il découvre et qu’ilapprécie vraiment au fil du temps.« C’est une vraie surprise pour moi.J’apprécie cette partie de la ville. Il ya une vraie vie d’ensemble, un respectentre les différentes générations. J’aile sentiment que tout le monde seconnait. Cela donne une ambiance depetit village. Un esprit solidaire qu’onne trouve pas forcément ailleurs » etqui n’est vraiment pas pour déplaire àce footeux qui évolue le week-end avecses copains de l’AS Fossé.Sylvain Padellec,référent jeunesse du quartier.Dans lerétro...<strong>La</strong> naissancede l’activitéindustrielleaux <strong>Grésillons</strong>.Après le développement <strong>des</strong> activitésagricoles (culture de légumesdue à la présence dechamps d’épandage), l’activité industriellecommence à se développer à lafin du XIX e siècle dans le quartier. Lechemin de fer va maintenant vers Ermont(actuelle ligne C) et le tramwayaméliore la circulation. Sans oublier laproximité immédiate de Paris.Le textile avec les chiffonniers va durerjusque dans les années 1960 (présenced’une teinturerie vers l’actuel parc Camille-Ronce),mais c’est surtout l’automobilequi va prendre de l’ampleur :l’ouest parisien devient le berceaude deux <strong>des</strong> trois gran<strong>des</strong> marquesnationales actuelles, et cette industriefait graviter dès les années 1900-1910 toute une série d’autres activités(sous-traitance, récupération, réparation,etc). A cette époque, on comptaitplusieurs dizaines de marques de voitures!EnvironnementPiscine :on tourne la pageAprès de longues années de bons et loyauxservices, la piscine qui se trouvait rueDanton vient de connaître ses dernièresheures. A la place, une extension du squareCamille-Ronce devrait voir le jour.LogementBienvenus au Clos <strong>des</strong> Lilas« Je pense que l’on pourrait yconstruire un nouveau parc… Pourquoipas aussi <strong>des</strong>logements.En fait, lesdeux seraientbons pour leshabitants duquartier. »Ali El Baz,habitant <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong>.« Ah oui, c’est vrai qu’ici il y avait lapiscine. J’y venais souvent quand j’étaispetit. Je pensequ’on pourraitétendre leparc à côtéou pourquoipas construireun nouveaugymnase. »Choukri Abedi,habitant <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong>.Les ouvriers sont encore à piedd’œuvre pour pouvoir livrerdans les délais les 31 logements(appartements et maisons de ville) quicomposeront l’ensemble Clos <strong>des</strong> Lilas,à l’angle <strong>des</strong> rues Georges et Marcel-Royer.C’est la deuxième opérationd’accession à la propriété de la coopérativeHLM qui propose <strong>des</strong> logementsneufs en location-accession. En attendantd’emménager, Yamina Chami faitses cartons.« Je voulais rester vivre à<strong>Gennevilliers</strong> parce que c’est uneville populaire que j’affectionne,que j’aime. Je suis particulièrementheureuse de venir habiter aux<strong>Grésillons</strong> car cela me rappelle unepartie de mon enfance. Quand, deNanterre, mon père partait fairele marché dans le quartier. Cela mesemblait être si loin.S’il n’y avait pas eu la coopérativeHLM, je n’aurais pas pu avoir unetelle surface de logement. Pour lemême prix, j’aurais dû me contenterd’un petit deux-pièces. Pour moiqui suis militante, cela fait drôle deme dire que je deviens propriétairemais, dans le même temps, je libèreun logement de l’office et puisfinalement ce n’est pas une tare.J’incite même ceux qui le peuvent,surtout s’ils sont jeunes, à faire ladémarche. »


<strong>La</strong> <strong>lettre</strong> <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong>L’Entr’actepour les petitscreuxDepuis un an, le restaurant achangé de carte et de gérant.Au départ, un peu frileuse àl’idée de venir s’installer ici, Valérie Brigaudin,la « patronne », est finalementravie. Les clients aussi, de plus en plusnombreux, le midi notamment.« Cela fait un an maintenant quenous avons repris le restaurant.C’est le propriétaire qui est venunous chercher. Avec mon mari,<strong>La</strong>urent, nous tenions boutiqueà Asnières. <strong>La</strong>urent a tout <strong>des</strong>uite été enthousiaste à l’idéede venir ici. Il faut dire qu’il alongtemps habité rue Marcel-Royer. Moi, j’ai eu un peu demal. Mais finalement, je suisravie. <strong>Gennevilliers</strong> est une villequi bouge. Et nous sommes dansun endroit sympathique. Nousavons une clientèle qui vientessentiellement <strong>des</strong> entreprisesalentours : Secan, ERDF, Prisma…et une clientèle plus familialele samedi. Nous présentonsune carte traditionnelle avecdeux plats du jour qui changentquotidiennement.Dès l’arrivée <strong>des</strong> beaux jours, nousallons pouvoir offrir une terrasseque nous allons personnaliser.En fait je suis vraiment contenteparce que cela tourne bien etqu’on nous a fait un bon accueil.Je ne regrette vraiment rien.Mes parents étaient de la partie.A priori, rien ne me <strong>des</strong>tinaità tenir un restaurant. J’avaistout tenté pour l’éviter. J’avaisfait <strong>des</strong> étu<strong>des</strong> en pharmacie.Puis il s’est trouvé que j’ai dûaider mes parents… Et depuis…je n’ai pas quitté le tablier. Noushabitons Asnières et, en fait, ilme plairait assez de venir vivre à<strong>Gennevilliers</strong>. »L’Entr’acte est ouvert du lundiau samedi. Le soir du mercredi auvendredi.1, rue Georges.Tél. 01 47 91 54 99EconomiePrismas’installe à<strong>Gennevilliers</strong>Le comité de rédaction de « <strong>La</strong>Lettre <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong> » souhaite labienvenue dans la ville, et plusprécisément dans le quartier, aux nouveauxsalariés de la société Prisma Presse,2 e groupe de presse magazine en Francequi édite 21 titres dont une bonne part<strong>des</strong> Gennevillois sont lecteurs.Superbe soiréeQue de bons souvenirs après cettesoirée de la mi-décembre. Près de130 personnes sont venues festoyerautour d’un délicieux buffet. Mentiontoute particulière pour nos rockeursseniors Geneviève et Alfred. Au total, prèsde 64 cadeaux ont pu être offerts aux famillesbénéficiaires du Secours populaire.Un grand merci aux Grésillonnais pourleur solidarité et leur convivialité.Celles et ceux qui n’ont pas pu récupérerla photo prise lors de cette soirée, au momentdu partage de la galette le 12 janvierdernier, peuvent venir la chercher à l’antenne.Nocturneà la ludothèquePas besoin de faire « 1 000 bornes »pour passer une sacrée soirée. <strong>La</strong>ludothèque du quartier invitetous les adultes, joueurs invétérés ou non,à une nocturne, vendredi 25 février, de 20heures à 22 heures. Aucune inscription aupréalable. Vous pouvez venir en famille ouentre amis, vous serez les bienvenus.Horaires d’ouverture :Mardi : de 16 heures à 19 h 15Mercredi : de 16 heures à 18 h 15Jeudi : de 16 heures à 19 h 15Vendredi : de 16 heures à 19 h 45Samedi : de 13 h 30 à 17 h 45Ouvert dès 13 h 30 les jours de vacancesscolaires à l’Espace éducatif,30-40, rue François-Kovac.DémocratieparticipativeLes membres du bureau du conseilde votre quartier ont rencontré leshabitants, lors de la visite urbainequ’ils organisaient le 9 févrierdernier, mais surtout ils ont faitle point sur la possible réalisation<strong>des</strong> différents projets et travauxdébattus en assemblée plénière.Les membres du bureau du conseilde quartier sont William Grassin,Muriel Goudou, Clarence Kouikoui,Marie-Blanche Fernandez, MurielHappy, Nada Oussada, ChristianLouvel, Azzedine Benkherouf,Mohamed Grichi, Dominique Mané.Pas d’agepour s’amuserEquipement culturel, la ludothèqueaccueille <strong>des</strong> personnes de tout âge,particuliers et collectivités (crèches,écoles, centres de loisirs, etc.). Ellepropose du jeu sur place maiségalement <strong>des</strong> prêts, <strong>des</strong> animations,<strong>des</strong> conseils. Les ludothèques sont<strong>des</strong> lieux ressources pour les parentset les professionnels. En favorisant lejeu, les ludothèques aident les enfantsà grandir et les parents à vivre <strong>des</strong>moments privilégiés avec eux et entreeux. <strong>La</strong> ludothèque <strong>des</strong> <strong>Grésillons</strong> estgratuite mais une fiche individuellede renseignements et la carted’adhérent sont indispensables pourfréquenter et bénéficier du prêt de jeux(inscriptions auprès <strong>des</strong> ludothécaires).<strong>La</strong> ludothèque est ouverte au publicà partir de 8 ans. Les enfants de 4 à8 ans doivent être accompagnés deleurs parents ou d’un autre adulte. Lesenfants de moins de 4 ans ne peuventpas être accueillis à la ludothèque.Agenda• Prochaine réunion de la commission animationdu conseil de quartier : mercredi 16 février à 18 h 30,à l’antenne de quartier.• Animation jardinage : plantation de fèves et de petits poisle samedi 26 février, de 14 heures à 17 h 30,dans le jardin partagé (ancien boulodrome), face à la rue Georges-Corète.• L’association numismatique de <strong>Gennevilliers</strong> organise, avec le concours de la Ville,son salon toutes collections, le 5 mars de 9 heures à 18 heuresà l’Espace éducatif, rue François-Kovac.

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