Service - Commission scolaire de la Capitale
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RÈGLES DE RÉPARTITION DES RESSOURCES FINANCIÈRES POUR L’ANNÉESCOLAIRE 2009-2010*****<strong>Service</strong> :<strong>Service</strong>s <strong>de</strong>s ressources financièresCo<strong>de</strong> d’i<strong>de</strong>ntification :RF. SRF.02Numéro <strong>de</strong> résolution :CC:Date d’entrée en vigueur : Le 1 er juillet 2009
LA COMMISSION SCOLAIRE DE LA CAPITALE1. TITRE : Règles <strong>de</strong> répartition <strong>de</strong>s ressources financières 2009-2010.2. ÉNONCÉ : La commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> établit, après consultation, les règles <strong>de</strong> répartition <strong>de</strong>sressources financières entre celle-ci et ses établissements.3. OBJECTIF : Établir les objectifs, principes et critères <strong>de</strong> répartition <strong>de</strong>s ressources entre <strong>la</strong>commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> et ses établissements.4. DÉFINITIONS : Déconcentration : transfert <strong>de</strong> responsabilité budgétaire vers les directrices oudirecteurs d’écoles et <strong>de</strong> centres.Réingénierie : réorganisation dynamique <strong>de</strong>s métho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> travail dans uneperspective d’optimisation <strong>de</strong> celles-ci.Imputabilité : obligation <strong>de</strong> reddition <strong>de</strong> comptes.5. FONDEMENT : L’article 275 <strong>de</strong> <strong>la</strong> Loi sur l’instruction publique, lequel précise que <strong>la</strong> commission<strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> doit établir et rendre publics les objectifs et les principes <strong>de</strong> répartition <strong>de</strong>sressources entre <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> et ses établissements.« 275. La commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> répartit entre ses écoles, ses centres <strong>de</strong> formationprofessionnelle et ses centres d’éducation aux adultes, <strong>de</strong> façon équitable, entenant compte <strong>de</strong>s inégalités sociales et économiques et <strong>de</strong>s besoins expriméspar les établissements, les subventions <strong>de</strong> fonctionnement allouées par leministre, y compris <strong>la</strong> subvention <strong>de</strong> péréquation <strong>de</strong> tout ou partie <strong>de</strong> ceproduit, déduction faite du montant que <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> déterminepour ses besoins et ceux <strong>de</strong>s comités <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>.La répartition doit prévoir les montants alloués au fonctionnement <strong>de</strong>sconseils d’établissement.La commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> doit rendre publics les objectifs et les principes <strong>de</strong>répartition <strong>de</strong>s subventions, du produit <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> et <strong>de</strong>s autresrevenus entre ses établissements et les critères afférents à ces objectifs etprincipes, ainsi que les objectifs, les principes et les critères qui ont servi àdéterminer le montant qu’elle retient pour ses besoins et ceux <strong>de</strong>s comités <strong>de</strong><strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>. »6. CONTENU :6.1 PRÉAMBULELa répartition <strong>de</strong>s ressources entre <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> et ses établissements doit se faire à <strong>la</strong>lumière <strong>de</strong>s besoins respectifs <strong>de</strong> ceux-ci. Afin <strong>de</strong> faciliter <strong>la</strong> répartition, le budget <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission<strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> est divisé en secteurs entre lesquels <strong>la</strong> transférabilité est autorisée sauf pour le secteur <strong>de</strong>l’investissement.Secteurs d’analyse (les définitions plus exhaustives apparaissent à l’annexe 1):• formation générale <strong>de</strong>s jeunes-enseignants• éducatif – jeunes autres qu’enseignants1
• formation professionnelle• formation générale <strong>de</strong>s adultes• transport <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>• services <strong>de</strong> gar<strong>de</strong>• administration• équipement• investissements (service <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte-portion capital, amortissement)• autres secteurs (service <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte-portion intérêts et financement propre à <strong>la</strong> commission<strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>, projets <strong>de</strong> cogestion et fonds <strong>de</strong> recherche et développement)Également, afin <strong>de</strong> faciliter le partage <strong>de</strong>s ressources et i<strong>de</strong>ntifier les besoins respectifs <strong>de</strong> <strong>la</strong>commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> et <strong>de</strong>s établissements, les activités à déconcentrer vers les établissements,apparaissant à l’annexe 2, sont i<strong>de</strong>ntifiées pour chacun <strong>de</strong>s secteurs.Dans ce contexte, les activités non déconcentrées sont considérées comme <strong>de</strong>s besoins <strong>de</strong> <strong>la</strong>commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> aux fins <strong>de</strong> l’article 275 <strong>de</strong> <strong>la</strong> L.I.P. et sont assumées centralement alors que lesactivités déconcentrées constituent <strong>de</strong>s besoins <strong>de</strong>s établissements et sont assumées par ceux-ci.6.2 OBJECTIFS :6.2.1 <strong>Service</strong>s <strong>de</strong> qualitéL’allocation <strong>de</strong>s ressources financières doit permettre d’offrir <strong>de</strong>s services <strong>de</strong> qualité à <strong>la</strong>clientèle <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> en tenant compte <strong>de</strong>s projets éducatifs <strong>de</strong>s écoles, <strong>de</strong>s p<strong>la</strong>ns <strong>de</strong> réussite <strong>de</strong>sétablissements, <strong>de</strong>s orientations et objectifs <strong>de</strong>s centres et du P<strong>la</strong>n stratégique <strong>de</strong> <strong>la</strong>commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>.6.2.2Équilibre :L’équilibre <strong>de</strong>s revenus et dépenses <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> doit encadrer <strong>de</strong> façonincontournable <strong>la</strong> démarche <strong>de</strong> répartition <strong>de</strong>s ressources financières :- La commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> doit i<strong>de</strong>ntifier <strong>de</strong>s sources <strong>de</strong> revenu additionnel et <strong>de</strong>s pistes <strong>de</strong>réduction <strong>de</strong> dépenses permettant l’équilibre global <strong>de</strong> son budget, prioritairement, dansles secteurs déficitaires.- Les unités administratives <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> doivent également viser l’atteinte<strong>de</strong> l’équilibre budgétaire.- À moyen terme, on vise l’équilibre <strong>de</strong> chacun <strong>de</strong>s secteurs tout en considérant qu’unsecteur avec un résultat positif peut amener <strong>de</strong>s coûts dans un autre secteur, parexemple, <strong>de</strong>s coûts excé<strong>de</strong>ntaires à l’égard <strong>de</strong>s immeubles pour les services <strong>de</strong> gar<strong>de</strong>.- L’équilibre du secteur investissements risque d’être difficile à atteindre suite auchangement <strong>de</strong>s normes comptables. Une métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> transition est à prévoir afin <strong>de</strong>présenter ce secteur en conformité avec les nouvelles normes comptables.6.2.3 Valeur ajoutée :La déconcentration <strong>de</strong>s ressources financières aux établissements doit être associée à <strong>la</strong>possibilité <strong>de</strong> contrôler les coûts. Les directrices et directeurs d’écoles et <strong>de</strong> centres peuventdonc faire <strong>de</strong>s choix qui pourraient permettre <strong>de</strong> générer une marge <strong>de</strong> manœuvre.2
6.2.4 Équité :La répartition <strong>de</strong>s ressources entre les établissements doit viser l’équité et tenir compte <strong>de</strong>sinégalités sociales et économiques, <strong>de</strong>s besoins exprimés par les établissements et <strong>de</strong> leurmission.6.2.5 Responsabilité <strong>de</strong> gestion et imputabilité :Les directrices et directeurs d’unités administratives sont responsables et imputables <strong>de</strong> <strong>la</strong>gestion financière <strong>de</strong>s budgets qui leur sont impartis. Les budgets approuvés <strong>de</strong>s écoles et<strong>de</strong>s centres constituent <strong>de</strong>s crédits distincts : les surplus et déficits leur sont imputés et sonttransférés d’une année à l’autre, selon les modalités d’allocation <strong>de</strong>s ressources aux écoles etcentres <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>.Tout surplus accumulé significatif d’une unité administrative et/ou toute augmentation <strong>de</strong>celui-ci <strong>de</strong>vront être commentés à <strong>la</strong> direction générale au regard <strong>de</strong>s projets envisagés.Selon l’article 95 <strong>de</strong> <strong>la</strong> Loi sur l’instruction publique, le conseil d’établissement adopte lebudget annuel <strong>de</strong> l’établissement proposé par <strong>la</strong> direction incluant l’utilisation <strong>de</strong>s surplus.Compte tenu <strong>de</strong> <strong>la</strong> nouvelle directive du MELS re<strong>la</strong>tive à <strong>la</strong> limitation <strong>de</strong> l’utilisation <strong>de</strong>ssurplus accumulés <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>, chaque résolution d’utilisation <strong>de</strong> surplusaccumulé d’une unité administrative recommandée par le conseil d’établissement (ou conseil<strong>de</strong> gestion) doit être acheminée à <strong>la</strong> direction générale pour autorisation avant que lesdépenses soient effectuées.Tout responsable d’unité administrative en déficit <strong>de</strong>vra présenter à <strong>la</strong> direction générale unp<strong>la</strong>n <strong>de</strong> redressement pour parvenir à l’équilibre budgétaire dans un dé<strong>la</strong>i raisonnable. Lacommission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> recherchera le retour à <strong>la</strong> normale dès l’année suivante et <strong>la</strong>récupération <strong>de</strong> sommes déficitaires dans un dé<strong>la</strong>i normal <strong>de</strong> 3 ans.6.2.6 Autonomie locale :Les activités décou<strong>la</strong>nt d’initiatives locales à caractère financier doivent, dans <strong>la</strong> mesure dupossible, profiter aux milieux qui ont généré ces ressources. De <strong>la</strong> même manière, tout coûtre<strong>la</strong>tif à <strong>de</strong>s initiatives locales est assumé par l’unité administrative concernée.Tout projet particulier (tels PEI, informatique, sport, art, etc.) nécessitant l’ajout <strong>de</strong>ressources et/ou <strong>la</strong> participation budgétaire centralisée <strong>de</strong>vra faire l’objet d’un montagefinancier impliquant l’unité administrative et approuvé par <strong>la</strong> direction générale.6.2.7 Rationalisation <strong>de</strong>s effectifs :La rationalisation <strong>de</strong>s effectifs doit orienter les choix budgétaires : cette rationalisationprésume <strong>de</strong>s réorganisations du travail permettant d’assurer <strong>de</strong>s services <strong>de</strong> qualité, <strong>de</strong> tenircompte <strong>de</strong>s besoins i<strong>de</strong>ntifiés comme étant prioritaires tout en générant <strong>de</strong>s économies.Toute nouvelle allocation servant à ajouter du personnel <strong>de</strong>vrait être utilisée en premier lieupour le maintien <strong>de</strong>s postes existants avant d’en créer <strong>de</strong> nouveau, à moins d’obligationsministérielles différentes. Particulièrement, il faudra faire attention à <strong>la</strong> création <strong>de</strong> postesou au remp<strong>la</strong>cement <strong>de</strong> personnel dans <strong>de</strong>s secteurs d’activités déficitaires.La décroissance <strong>de</strong> <strong>la</strong> clientèle amène une diminution <strong>de</strong>s revenus <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>.Celle-ci <strong>de</strong>vrait prendre <strong>de</strong>s mesures visant à freiner cette décroissance. Néanmoins, lesprévisions démographiques indiquent que <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> a subi et subira unecertaine décroissance.3
En formation générale <strong>de</strong>s jeunes, on note une diminution <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 4 000 élèves <strong>de</strong>puis le1 er juillet 1998. Également, on note <strong>de</strong>s diminutions <strong>de</strong> clientèle en formationprofessionnelle et à l’éducation <strong>de</strong>s adultes.Dans ce contexte, il y aura une diminution <strong>de</strong>s revenus et plus particulièrement <strong>de</strong>s revenusautonomes (taxe <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> et péréquation), ces <strong>de</strong>rniers finançant une gran<strong>de</strong> portion <strong>de</strong> p<strong>la</strong>nsd’effectifs du personnel non enseignant.À cet effet, <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> <strong>de</strong>vra prendre <strong>de</strong>s mesures permettant <strong>de</strong> rationaliser leseffectifs. Une gran<strong>de</strong> pru<strong>de</strong>nce <strong>de</strong>vra être maintenue quant à <strong>la</strong> création <strong>de</strong> nouveaux postesou au comblement <strong>de</strong> postes vacants susmentionnés.Dans ce contexte, tout poste vacant <strong>de</strong>vrait faire l’objet d’un examen par <strong>la</strong> directiongénérale avant d’être affiché.6.3 PRINCIPES ET CRITÈRES :Des principes et critères <strong>de</strong> répartition <strong>de</strong>s ressources financières viennent appuyer les lignesdirectrices tracées précé<strong>de</strong>mment. Un principe général sous-tend que tout coût accessoire est imputéau même secteur que le coût principal qui le génère, par exemple, le coût <strong>de</strong> <strong>la</strong> secrétaire du conseillerpédagogique est imputé au même secteur que le coût du conseiller pédagogique.Lors d’allocations supplémentaires du MELS pour l’ajout <strong>de</strong> ressources humaines, <strong>la</strong> commission<strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> <strong>de</strong>vra prévoir un pourcentage <strong>de</strong> coût (basé sur l’expérience, environ 6%) pour couvrir lesautres rémunérations éventuelles (assurance-sa<strong>la</strong>ire, droits parentaux, CSST, ma<strong>la</strong>dies monnayables).Lorsqu’une unité administrative embauche du personnel supplémentaire au p<strong>la</strong>n d’effectifs et qu’ellele finance à même <strong>de</strong>s budgets qui lui ont été décentralisés par <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>, les dépenses àtitre <strong>de</strong>s autres rémunérations re<strong>la</strong>tives à ce personnel sont à <strong>la</strong> charge <strong>de</strong> l’unité administrative.Cependant, l’unité administrative peut déci<strong>de</strong>r préa<strong>la</strong>blement <strong>de</strong> contribuer à une assurance qui fera ensorte que si <strong>de</strong> telles dépenses survenaient, qu’elles soient à <strong>la</strong> charge <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>. Lecoût d’une telle assurance sera <strong>de</strong> 6 % <strong>de</strong>s sommes décentralisées utilisées à l’ajout <strong>de</strong> personnel.Cette mesure s’applique au personnel dont l’absentéisme à long terme n’est pas déjà couvert par uneréserve à cet effet (réserve adultes, réserve formation professionnelle, réserve services <strong>de</strong> gar<strong>de</strong>).En contexte <strong>de</strong> décroissance <strong>de</strong> clientèle, tout ajout <strong>de</strong> ressources <strong>de</strong>mandé dans un secteur <strong>de</strong>vra êtreaccompagné par une économie équivalente dans le même secteur ou par une augmentation <strong>de</strong> revenuspropre au secteur.6.3.1 Principes par secteurs :A) Formation générale <strong>de</strong>s jeunes - enseignants :Autofinancement, sans affectation <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>, du secteur jeunes-enseignants,avec prise en compte d’une partie <strong>de</strong>s services spécifiques financés à même cetteenveloppe budgétaire (ex. : éducation spécialisée, orthopédagogie, psychoéducation).Chaque année, <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> injecte <strong>de</strong>s ressources supplémentaires, enéquivalent temps plein enseignant, au financement du MELS (notamment en 2008-2009 : 3,7 enseignants au primaire et 6,32 ETP enseignants au secondaire). Cette mesureest appliquée <strong>de</strong>puis l’année 2002-2003.4
B) Secteur éducatif - jeunes autres qu’enseignants :Rationalisation <strong>de</strong>s coûts (personnel autre qu’enseignant et autres coûts) <strong>de</strong>s écolesprimaires et secondaires avec affectation d’une partie <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> (voir Annexe 3)et imputation d’une partie <strong>de</strong> <strong>la</strong> mesure récurrente <strong>de</strong> réduction <strong>de</strong> dépenses <strong>de</strong>s annéesantérieures, tout en assurant <strong>la</strong> réalisation <strong>de</strong>s activités nécessaires dans ce secteur, entenant compte <strong>de</strong> <strong>la</strong> décroissance <strong>de</strong> <strong>la</strong> clientèle propre à ce secteur.C) Formation professionnelle :Autofinancement du secteur <strong>de</strong> <strong>la</strong> formation professionnelle, en recherchant :- L’équilibre <strong>de</strong> <strong>la</strong> masse sa<strong>la</strong>riale <strong>de</strong>s enseignants, sans apport du pouvoir <strong>de</strong> taxation.- L’équilibre <strong>de</strong>s autres coûts (masse sa<strong>la</strong>riale du personnel autre qu’enseignants (RS),et autres dépenses (RM)), avec affectation <strong>de</strong> <strong>la</strong> portion <strong>de</strong> taxe <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>correspondante à <strong>la</strong> subvention pour <strong>la</strong> gestion <strong>de</strong>s centres transférée au champ <strong>de</strong>taxation en 1997-1998 (voir Annexe 3) et imputation d’une partie <strong>de</strong> <strong>la</strong> mesurerécurrente <strong>de</strong> réduction <strong>de</strong> dépenses <strong>de</strong>s années antérieures.- Contribution à l’équilibre budgétaire <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> représentant unepartie <strong>de</strong>s coûts <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong>s équipements assumés par les <strong>Service</strong>s <strong>de</strong>s ressourcesmatérielles.D) Formation générale <strong>de</strong>s adultes :Autofinancement du secteur <strong>de</strong>s adultes, avec affectation <strong>de</strong> <strong>la</strong> portion <strong>de</strong> taxe <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>correspondant à <strong>la</strong> subvention pour <strong>la</strong> gestion <strong>de</strong>s centres transférée au champ <strong>de</strong>taxation en 1997-1998 (voir Annexe 3) et imputation d’une partie <strong>de</strong> <strong>la</strong> mesurerécurrente <strong>de</strong> réduction <strong>de</strong> dépenses <strong>de</strong>s années antérieures.E) Transport <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> :Autofinancement du transport <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> en considérant un effort <strong>de</strong> réduction <strong>de</strong>s coûtsdu transport <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> avec affectation <strong>de</strong> <strong>la</strong> portion <strong>de</strong> taxe <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> s’y rapportant (voirAnnexe 3).F) <strong>Service</strong>s <strong>de</strong> gar<strong>de</strong>Autofinancement du secteur <strong>de</strong>s services <strong>de</strong> gar<strong>de</strong> tenant compte <strong>de</strong>s coûts générés quisont assumés par les services centralisés (services administratifs et services <strong>de</strong>l’équipement) au niveau <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>.G) Administration :Rationalisation <strong>de</strong>s coûts <strong>de</strong> gestion, tout en assurant <strong>la</strong> réalisation <strong>de</strong>s activitésnécessaires dans ce secteur et en tenant compte d’une réingénierie <strong>de</strong>s services offerts.5
H) Équipement :Rationalisation <strong>de</strong>s dépenses liées à <strong>la</strong> conservation <strong>de</strong>s bâtiments, à l’entretien <strong>de</strong>sterrains, tout en assurant l’entretien adéquat du parc immobilier <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission<strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> et en tenant compte d’une réingénierie <strong>de</strong>s services offerts. Rationalisation <strong>de</strong>sespaces disponibles du parc immobilier. Une partie <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> est affectée à cesecteur (voir Annexe 3).I) Investissements :Autofinancement du secteur d’investissements en fonction <strong>de</strong>s subventions allouées parle MELS et en tenant compte :- d’une déconcentration vers les unités administratives;- d’une affectation au budget d’investissements <strong>de</strong>s emprunts à <strong>la</strong> charge <strong>de</strong> <strong>la</strong>commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> ;- <strong>de</strong> l’affectation prioritaire du produit <strong>de</strong> <strong>la</strong> vente <strong>de</strong> bâtiments ou <strong>de</strong> terrains à <strong>la</strong>réduction <strong>de</strong>s emprunts à <strong>la</strong> charge <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> liée à ces immeubles;- du financement à même les revenus <strong>de</strong> tout investissement supplémentaire;- le résultat <strong>de</strong> ce secteur sera affecté <strong>de</strong> façon importante par les nouvelles normescomptables (politique <strong>de</strong> capitalisation, amortissement <strong>de</strong>s immobilisations,revenus d’investissements (portion capital du service <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte),etc...)Une métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> transition est à prévoir afin <strong>de</strong> présenter ce secteur en conformitéavec les nouvelles règles du MELS.J) Autres secteurs :6.3.2 Critères :Autofinancement <strong>de</strong>s autres secteurs, tels que les projets d’agent payeur et le service <strong>de</strong><strong>la</strong> <strong>de</strong>tte, le financement et le fonds <strong>de</strong> recherche et <strong>de</strong> développement. Les profitsgénérés par les projets d’agent payeur augmentent les revenus du secteur concerné.Recherche <strong>de</strong> nouvelles sources <strong>de</strong> revenus et <strong>de</strong> partenariat afin d’assurer une marge<strong>de</strong> manœuvre pour <strong>de</strong>s projets <strong>de</strong> développement consécutifs aux orientations <strong>de</strong> <strong>la</strong>commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>.L’actualisation <strong>de</strong>s principes énoncés précé<strong>de</strong>mment repose sur un certain nombre <strong>de</strong> critèresqui encadrent <strong>la</strong> répartition <strong>de</strong>s ressources entre les établissements. Ce sont :a) Le respect <strong>de</strong>s conventions collectives, les règlements définissant certaines conditions<strong>de</strong> travail <strong>de</strong>s cadres et hors cadres <strong>de</strong>s commissions <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>s » <strong>de</strong> même que <strong>de</strong>s règlesnormatives, pour l’affectation <strong>de</strong>s ressources dans les établissements (notamment lesmodèles <strong>de</strong> répartition par points et <strong>la</strong> répartition <strong>de</strong> ressources éducatives par d’autrescritères).b) La prise en compte <strong>de</strong>s besoins et spécificités :• Pour le personnel enseignant au primaire, une répartition par établissement basée surune analyse réseau qui prend en compte les spécificités <strong>de</strong>s milieux en terme <strong>de</strong>6
clientèle, <strong>de</strong> taille d’établissements, <strong>de</strong> vocations particulières et <strong>de</strong> caractéristiquessocio-économiques.• Pour le personnel enseignant au secondaire, une répartition par établissement baséesur un modèle commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> qui détermine <strong>de</strong>s ratios propres à chaque école,ces ratios étant déterminés par diverses variables telles les spécificités <strong>de</strong> <strong>la</strong>clientèle, <strong>de</strong> taille d’établissement, services régionalisés, c<strong>la</strong>sses fermées, etc.. Lesbesoins d’enseignants sont déterminés par chaque direction d’écoles secondaires.• Pour le personnel enseignant <strong>de</strong>s centres, les subventions sont remises à chaquecentre, déduction faite d’une retenue pour couvrir les autres rémunérations, et <strong>la</strong>direction effectue son organisation <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> selon un modèle qu’il détermine luimêmeen fonction <strong>de</strong> ses besoins et <strong>de</strong>s caractéristiques propres à <strong>la</strong> clientèle ou auxprogrammes offerts.• Pour le personnel autre qu’enseignants <strong>de</strong>s écoles primaires (sauf le personne<strong>la</strong>dministratif) et <strong>de</strong>s centres administratifs, le redéploiement <strong>de</strong>s effectifs à <strong>la</strong>lumière d’un ensemble d’indicateurs et d’un nouveau partage <strong>de</strong>s responsabilités,afin <strong>de</strong> viser l’équité tout en tenant compte <strong>de</strong>s besoins <strong>de</strong>s milieux.• Pour le personnel <strong>de</strong> soutien administratif <strong>de</strong>s écoles primaires, incluant les banques<strong>de</strong> personnel surnuméraire l’application d’un modèle réseau qui détermine le niveau<strong>de</strong> ressources théoriques <strong>de</strong>vant être allouées en fonction du nombre d’enseignants<strong>de</strong> l’année précé<strong>de</strong>nte. Tout écart entre le p<strong>la</strong>n d’effectifs réel et le modèle théoriquedonne lieu à un ajustement à <strong>la</strong> hausse ou à <strong>la</strong> baisse du budget <strong>de</strong> l’établissement.• Pour le personnel autre qu’enseignants <strong>de</strong>s écoles secondaires, l’application d’unmodèle réseau qui détermine le niveau <strong>de</strong> ressources théoriques <strong>de</strong>vant être allouéesà l’école selon les caractéristiques propres à chacune <strong>de</strong> celles-ci (ex. : clientèle <strong>de</strong>l’année précé<strong>de</strong>nte, type <strong>de</strong> clientèle, taille <strong>de</strong> l’établissement, cours offerts, etc.).Tout écart entre le p<strong>la</strong>n d’effectifs réel et le modèle théorique donne lieu à unajustement à <strong>la</strong> hausse ou à <strong>la</strong> baisse du budget <strong>de</strong> l’établissement.• Pour le personnel autre qu’enseignants <strong>de</strong>s centres, <strong>la</strong> totalité <strong>de</strong>s allocations duMELS, déduction faite d’une retenue pour couvrir les autres rémunérations, ainsique <strong>la</strong> portion <strong>de</strong>s revenus autonomes re<strong>la</strong>tive à <strong>la</strong> gestion <strong>de</strong>s centres leur sontremises. Le centre détermine lui-même son p<strong>la</strong>n d’effectifs en fonction <strong>de</strong> sesbesoins et caractéristiques.• Pour les autres coûts <strong>de</strong>s écoles primaires, <strong>de</strong>s écoles secondaires et <strong>de</strong>s centres,l’établissement <strong>de</strong> montants gradués pour tenir compte <strong>de</strong> données historiques, <strong>de</strong>sbesoins exprimés par les établissements et <strong>de</strong>s caractéristiques <strong>de</strong>s milieux (type <strong>de</strong>clientèles, projets d’école, effectifs, statut <strong>de</strong>s établissements, taux <strong>de</strong> diplomation,taux <strong>de</strong> défavorisation). Également, certaines allocations du MELS serontredéployées aux établissements en fonction <strong>de</strong> critères proposés en comitéssectoriels.• Pour les autres coûts <strong>de</strong>s centres, <strong>la</strong> décentralisation <strong>de</strong>s allocations du MELSpropres à chacun <strong>de</strong> ceux-ci et l’établissement <strong>de</strong> montants normatifs pour certainsautres coûts.7
Le document sur les modalités d’allocation <strong>de</strong>s ressources précise les normes d’allocationaux établissements, compte tenu <strong>de</strong>s critères retenus. Généralement, les ressources allouéesaux établissements le sont a priori sur <strong>la</strong> base <strong>de</strong>s clientèles prévues, avec ajustement final enfonction <strong>de</strong>s clientèles réelles.7. RÔLES ET RESPONSABILITÉS : La direction générale veille à l’application <strong>de</strong>s présentes règles.8. APPLICATION : En vigueur : le 1 er juillet 2009.8
ANNEXE 1DESCRIPTION DES SECTEURS D’ANALYSE1. FORMATION GÉNÉRALE DES JEUNES – ENSEIGNANTSCe grand secteur regroupe toutes les activités d’enseignement pour les ordres pré<strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>s, primaire etsecondaire général. Ce sont en général <strong>de</strong>s activités comptabilisées dans les champs 1xxxx du p<strong>la</strong>nd’enregistrement comptable ainsi que le perfectionnement <strong>de</strong>s enseignants au champ d’activités 552xx.2. ÉDUCATIF – JEUNES AUTRES QU’ENSEIGNANTSCe secteur regroupe les activités <strong>de</strong> soutien à l’enseignement tant au chapitre du personnel que <strong>de</strong>s autrescoûts. Les principales activités, généralement comptabilisées dans <strong>de</strong>s activités 2xxxx du p<strong>la</strong>nd’enregistrement comptable, sont : <strong>la</strong> gestion <strong>de</strong>s écoles, les bibliothèques, les moyens d’enseignement, lesservices complémentaires tels que l’orientation, <strong>la</strong> psychologie, l’éducation spécialisée, l’orthophonie,l’animation à <strong>la</strong> vie spirituelle et à l’engagement communautaire, <strong>la</strong> réussite éducative <strong>de</strong> même que ledéveloppement pédagogique. On y retrouve aussi les dépenses autres que sa<strong>la</strong>riales <strong>de</strong>s champs d’activités1xxxx, notamment le matériel didactique, <strong>la</strong> fourniture, les manuels <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>s, les logiciels, l’imprimerie à<strong>de</strong>s fins pédagogiques, les livres <strong>de</strong> bibliothèque, les honoraires et contrats ainsi que certaines dépenses duchamp d’activités 5xxxx telles que les conseils d’établissement, <strong>la</strong> téléphonie, l’informatique <strong>de</strong> gestion<strong>de</strong>s écoles et le perfectionnement du personnel du champ d’activités 2xxxx.3. FORMATION PROFESSIONNELLECe secteur regroupe l’ensemble <strong>de</strong>s activités liées à <strong>la</strong> formation professionnelle, tant au chapitre <strong>de</strong>l’enseignement que <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> soutien à l’enseignement, en incluant les cours financés autres queMELS, les services offerts aux entreprises et certains services corporatifs (téléphonie, timbres, conseild’établissement, etc.).4. FORMATION GÉNÉRALE DES ADULTESCe secteur regroupe l’ensemble <strong>de</strong>s activités liées à <strong>la</strong> formation générale <strong>de</strong>s adultes tant au chapitre <strong>de</strong>l’enseignement que <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> soutien à l’enseignement, en incluant les cours financés autrement quepar le MELS, les services offerts aux entreprises et certains services corporatifs (téléphonie, timbres,conseil d’établissement, etc.).5. TRANSPORT SCOLAIREÀ cette rubrique se retrouvent <strong>de</strong>s activités reliées au transport <strong>de</strong>s élèves <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>excluant le transport pour activités complémentaires.9
6. SERVICES DE GARDECe secteur regroupe les activités <strong>de</strong>s services <strong>de</strong> gar<strong>de</strong> qui sont généralement comptabilisées au champd’activités 36xxx. À titre exceptionnel, ce secteur inclut ses propres activités d’investissements.7. ADMINISTRATIONOn retrouve dans ce secteur les activités généralement comptabilisées dans les activités 5xxxx du p<strong>la</strong>nd’enregistrement comptable. Ce sont les activités <strong>de</strong>s centres administratifs :‣ gestion <strong>de</strong>s services d’enseignement,‣ gestion informatique,‣ gestion <strong>de</strong>s ressources financières,‣ gestion <strong>de</strong>s ressources humaines,‣ gestion <strong>de</strong>s ressources matérielles,‣ frais corporatifs,‣ direction générale,‣ secrétariat général,‣ conseil <strong>de</strong>s commissaires,‣ comité <strong>de</strong> parents,‣ comité EHDAAIl s’agit en quelque sorte <strong>de</strong>s dépenses sa<strong>la</strong>riales et non sa<strong>la</strong>riales du personnel administratif <strong>de</strong>s centresadministratifs.8. ÉQUIPEMENTÀ ce secteur se retrouvent les activités généralement comptabilisées dans les activités 61xxx à 66xxx dup<strong>la</strong>n d’enregistrement comptable (sauf l’investissement). Ce sont les activités liées à :‣ l’entretien et <strong>la</strong> réparation <strong>de</strong>s biens meubles et immeubles,‣ <strong>la</strong> consommation énergétique,‣ l’entretien ménager‣ <strong>la</strong> protection et sécurité.9. INVESTISSEMENTSCe secteur couvre toutes les dépenses re<strong>la</strong>tives à <strong>la</strong> construction et à l’aménagement <strong>de</strong> bâtiments, lemobilier, appareil<strong>la</strong>ge et outil<strong>la</strong>ge et <strong>la</strong> capitalisation du développement informatique. Ce secteur est enrefonte suite aux nouvelles normes comptables édictées par le MELS.10. AUTRES SECTEURSOn retrouve à ce chapitre <strong>de</strong>s activités périphériques telles que le service <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte et financement et lesprojets d’agent payeur où <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> agit à titre d’agent payeur, moyennant subvention etrémunération, et le fonds <strong>de</strong> recherche et <strong>de</strong> développement.10
ANNEXE 2Les <strong>Service</strong>s <strong>de</strong>s ressources financièresOBJETS DE DÉCONCENTRATIONPOUR L’ANNÉE FINANCIÈRE 2009-20101.SECTEURFORMATION GÉNÉRALE DESJEUNES – ENSEIGNANTSDÉCONCENTRATIONOUINONPRINCIPE‣ Organisation <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> :• Masse sa<strong>la</strong>riale X S’il y avait déficit <strong>de</strong> ce secteur, le montant serait pris encompte l’année suivante dans l’organisation <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>primaire et secondaire au prorata du niveau <strong>de</strong>s écarts <strong>de</strong>dépenses survenues au primaire et au secondaire.• ETP (postes enseignantséquivalents à temps plein) :. au primaire X L’écart résiduel (monnayé au sa<strong>la</strong>ire subventionné par leMELS) est distribué, après entente en table sectorielle, unefois tenu compte <strong>de</strong>s résultats <strong>de</strong> l’ensemble du secteur et<strong>de</strong>s autres ressources éducatives financées par le secteur.. au secondaire X L’écart, (monnayé au sa<strong>la</strong>ire subventionné par le MELS) parrapport à un modèle <strong>de</strong> répartition convenu, est déconcentré,une fois tenu compte <strong>de</strong>s résultats <strong>de</strong> l’ensemble du secteuret <strong>de</strong>s autres ressources éducatives financées par le secteur.• Banque <strong>de</strong> suppléancedéconcentrée (CPEE)XMontant prévu à même l’organisation <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>, s’il y a lieu(selon une recommandation annuelle du comité sectoriel).‣ Mandats régionaux (Enseignants)• École Anne-Hébert secteurDUNN (déficience intellectuelleprofon<strong>de</strong>)• École <strong>de</strong> <strong>la</strong> CitéSecteur initiation à <strong>la</strong> vie(déficience intellectuelleprofon<strong>de</strong> et autisme)• École régionale <strong>de</strong>s Quatre-Saisons, Hôpital <strong>de</strong> jour avecsco<strong>la</strong>risation adaptéeXXXGéré <strong>de</strong> façon distincte en fonction <strong>de</strong>s subventions duMELS pour ce type <strong>de</strong> service.Géré <strong>de</strong> façon distincte en fonction <strong>de</strong>s subventions duMELS pour ce type <strong>de</strong> service.Géré <strong>de</strong> façon distincte en fonction <strong>de</strong>s subventions duMELS pour ce type <strong>de</strong> service.11
SECTEUR‣ Autres rémunérations (congé <strong>de</strong>ma<strong>la</strong>die monnayable, assurancesa<strong>la</strong>ire,droits parentaux,supplément d’acci<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> travail,suppléance)‣ Revenus (Ex. : libérationssyndicales, CSST, etc.)‣ Autres éléments :Sécurité d’emploi, rétroactivité‣ Projets spécifiques ex. :DÉCONCENTRATIONOUI NONXXXPRINCIPEIl n’y a pas déconcentration <strong>de</strong>s autres rémunérations <strong>de</strong>senseignants payés centralement, mais l’écart entre le coûtet le financement doit être assumé par le secteur.Il n’y a pas <strong>de</strong> déconcentration <strong>de</strong> ces revenus mais cesrevenus améliorent le résultat du secteur.Il n’y a pas déconcentration <strong>de</strong>s autres éléments. Cescoûts doivent être assumés par le secteur.• Mesures d’accueil et <strong>de</strong>francisationX En fonction <strong>de</strong>s besoins <strong>de</strong> <strong>la</strong> clientèle et <strong>de</strong> <strong>la</strong> subventiondu MELS.• Encadrement <strong>de</strong>s stagiaires X Activités initiées et gérées par l’unité administrative etgénératrices d’une marge <strong>de</strong> manœuvre.2. SECTEUR ÉDUCATIF JEUNES-AUTRES QU’ENSEIGNANTS‣ P<strong>la</strong>ns d’effectifs :• Masse sa<strong>la</strong>riale X Pas <strong>de</strong> valeur ajoutée.• ETP (postes équivalents à tempsplein)• Congés sans traitement (nonremp<strong>la</strong>cés)• Libérations syndicales (revenus)XXXPrimaire : L’économie générée par une diminution <strong>de</strong>seffectifs par rapport aux effectifs prévus au p<strong>la</strong>nd’effectifs annuel, (monnayé à un sa<strong>la</strong>ire moyen parcatégorie <strong>de</strong> personnel par rapport aux effectifs prévusdéduction faite <strong>de</strong> <strong>la</strong> portion <strong>de</strong>s autres rémunérations etdu perfectionnement), est déconcentrée, compte tenu <strong>de</strong><strong>la</strong> marge <strong>de</strong> manœuvre générée. Pour le personne<strong>la</strong>dministratif, selon un modèle théorique par points.Au secondaire, selon un modèle par points reconnu.L’économie générée est déconcentrée, car génératrice <strong>de</strong>marge <strong>de</strong> manœuvre.Déconcentrées si l’unité assume les frais par exemple ausecondaire.• CSST (revenus)XAucune marge <strong>de</strong> manœuvre dans le cas <strong>de</strong> remp<strong>la</strong>cement.‣ Techniciens(nes) en éducationspécialisée (TES)‣ Banque <strong>de</strong> surnuméraires (gestionécole,surveil<strong>la</strong>nce d’élèves,activités étudiantes) et tempssupplémentaireXXNon déconcentré a priori. Les budgets sont déconcentrés aprèsentente en comités sectoriels en fonction <strong>de</strong>s clientèles, <strong>de</strong>smontants prévus au budget initial et <strong>de</strong>s montants dégagés parl’organisation <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>. Ces montants, si positifs, sonttransférables annuellement, mais non utilisables à d’autres fins.Activités générées et gérées par l’unité administrative,autonomie locale. Selon les modèles par points reconnus auprimaire et au secondaire.12
SECTEURDÉCONCENTRATIONOUINONPRINCIPE‣ Projets spécifiques X Activités gérées par l’unité administrative et génératrices d’unemarge <strong>de</strong> manœuvre, autonomie locale.Les libérations <strong>de</strong> personnel sont assumées par l’unitéadministrative concernée au coût <strong>de</strong> <strong>la</strong> personne libérée afin<strong>de</strong> respecter les systèmes <strong>de</strong> financement (MELS, GRICS).• Réussite éducative (P<strong>la</strong>n Pagé) X• Moniteurs <strong>de</strong> <strong>la</strong>ngue secon<strong>de</strong> X• Ai<strong>de</strong> alimentaire et lutte contre X<strong>la</strong> pauvreté• Lait-écoleX• Projet-entrepreneuriat X Activité <strong>de</strong> promotion financée par :Montant assumé par <strong>la</strong> direction générale, par chaqueétablissement, par les SFPEA et un montant retenu parparticipant aux projets entrepreneuriat.• Ai<strong>de</strong> aux <strong>de</strong>voirsX• École en forme et en santéX• Soutien à l’enseignement X Allocation du MELS pour <strong>de</strong>s ressources <strong>de</strong> soutien.• École orientanteX• Adhésion au programmeXd’étu<strong>de</strong>s internationales• Agir autrement - secondaire X Non déconcentré a priori. Les budgets sont déconcentrésaprès entente avec les écoles secondaires concernées. Annéeadditionnelle <strong>de</strong> <strong>la</strong> mesure et reddition <strong>de</strong> compte à prévoir(8 e année).• Agir autrement – primaire X Cette allocation sert à défrayer les adjoints à <strong>la</strong> pédagogie enmilieux défavorisés.• Ajout <strong>de</strong> ressourcesprofessionnelles et <strong>de</strong> soutien –Annexe 42 <strong>de</strong> <strong>la</strong> conventioncollective <strong>de</strong>s enseignantsXNon déconcentré a priori. Les budgets sont déconcentrésaprès consultation du comité paritaire. Reddition <strong>de</strong> compteà prévoir (4 e année).‣ Le budget <strong>de</strong> fonctionnementpédagogique :Activités générées et gérées par l’unité administrative• Manuels <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>s :. maintien au primaire X. maintien au secondaire X. développement au primaire X. développement au secondaire X. nouvelles c<strong>la</strong>sses X Non déconcentré a priori. Les budgets sont déconcentréspar les SEJ après analyse <strong>de</strong>s besoins <strong>de</strong>s établissementsconcernés.• Livres <strong>de</strong> bibliothèque X Allocation du MELS prévue à cet effet.• Reliure <strong>de</strong> volumesX13
SECTEUR• Matériel didactique• Matériel audio-visuel (films,photos, cassettes)• Fournitures• Imprimerie et reprographie à <strong>de</strong>sfins pédagogiques (incluant lesexamens)• Transport pour sorties• Droits d’auteursDÉCONCENTRATIONOUI NONXXXXXXPRINCIPE‣ Budget <strong>de</strong> fonctionnementadministratif• Fournitures• Frais <strong>de</strong> dép<strong>la</strong>cement• Imprimerie et reprographie à <strong>de</strong>sfins <strong>de</strong> gestion• Trousses <strong>de</strong> premiers soinsXXXX‣ Mandats régionaux (personnel ensoutien à l’enseignement)• École Anne-Hébert secteurDUNN (déficience intellectuelleprofon<strong>de</strong>)X(TES)X(autrespersonnels)Géré <strong>de</strong> façon distincte en fonction <strong>de</strong>s subventions duMELS pour ce type <strong>de</strong> service.• École <strong>de</strong> <strong>la</strong> CitéSecteur initiation à <strong>la</strong> vie (déficienceintellectuelle profon<strong>de</strong> et autisme)• École régionale <strong>de</strong>s Quatre-Saisons,Hôpital <strong>de</strong> jour avecsco<strong>la</strong>risation adaptéeX(TES)X(TES)X(autrespersonnels)X(autrespersonnels)Géré <strong>de</strong> façon distincte en fonction <strong>de</strong>s subventions duMELS pour ce type <strong>de</strong> service.Géré <strong>de</strong> façon distincte en fonction <strong>de</strong>s subventions duMELS pour ce type <strong>de</strong> service.3. FORMATION PROFESSIONNELLE‣ Masse sa<strong>la</strong>riale <strong>de</strong>s enseignants et<strong>de</strong>s autres personnels‣ Dépenses autres que sa<strong>la</strong>riales XXActivités générées et gérées par les centres <strong>de</strong> formationprofessionnelle, responsabilité <strong>de</strong> gestion et imputabilité,autonomie locale et marge <strong>de</strong> manoeuvre. Une portion estretenue pour l’absentéisme à long terme et <strong>la</strong> sécuritéd’emploi.‣ Coûts reliés à l’absentéisme à long termedu personnel (selon les conventionscollectives et les règlements en vigueur),coûts du personnel en sécurité d’emploine pouvant être utilisé à 100 %, coûts <strong>de</strong>srèglements <strong>de</strong> griefs, ajustements nonrécurrents du MELS suite à <strong>la</strong>vérification <strong>de</strong>s clientèles, s’il y a lieu.XPas <strong>de</strong> valeur ajoutée : les sommes retenues à même lesressources du secteur <strong>de</strong> <strong>la</strong> formation professionnelle pourdéfrayer ces coûts seront gérées <strong>de</strong> façon centralisée et lesol<strong>de</strong> au 30 juin <strong>de</strong> chaque année fait partie du surplusréservé <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>.14
SECTEURDÉCONCENTRATIONOUINONPRINCIPE4. FORMATION GÉNÉRALE DESADULTES‣ Masse sa<strong>la</strong>riale <strong>de</strong>s enseignants et<strong>de</strong>s autres personnels‣ Dépenses autres que sa<strong>la</strong>rialesXXActivités générées et gérées par les centres <strong>de</strong> formationgénérale <strong>de</strong>s adultes, responsabilité <strong>de</strong> gestion etimputabilité, autonomie locale et marge <strong>de</strong> manœuvre.Une portion est retenue pour l’absentéisme à long terme et <strong>la</strong>sécurité d’emploi.‣ Gestion <strong>de</strong>s montants non alloués<strong>de</strong> l’enveloppe fermée a priori(réserve d’ETP non donnés)‣ Coûts reliés à l’absentéisme à longterme du personnel (selon lesconventions collectives et lesrèglements en vigueur), coûts dupersonnel en sécurité d’emploi nepouvant être utilisé à 100 %, coûts<strong>de</strong>s règlements <strong>de</strong> griefs, s’il y alieu.XXDéconcentration, s’il y a lieu, en cours d’année, en fonctiondu volume d’activités réalisé.Pas <strong>de</strong> valeur ajoutée : les sommes retenues à mêmel’enveloppe globale du secteur adultes pour défrayer cescoûts seront gérées <strong>de</strong> façon centralisée et le sol<strong>de</strong> au 30 juin<strong>de</strong> chaque année fait partie du surplus réservé <strong>de</strong> <strong>la</strong>commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> aux fins d’augmentation <strong>de</strong>s ETP(équivalent temps plein) réalisés et ce, en fonction dunouveau modèle <strong>de</strong> financement du MELS.‣ Ajout <strong>de</strong> ressourcesprofessionnelles et <strong>de</strong> soutien –Annexe 42 <strong>de</strong> <strong>la</strong> conventioncollective <strong>de</strong>s enseignantsXFait partie <strong>de</strong> l’ai<strong>de</strong> additionnelle. Les budgets sontdéconcentrés après consultation du comité paritaire.Reddition <strong>de</strong> compte à prévoir (4 e année).‣ <strong>Service</strong> d’accueil, <strong>de</strong> référence, <strong>de</strong>conseil et d’accompagnement‣ Ai<strong>de</strong> additionnelle aux élèves ayant<strong>de</strong>s besoins particuliers.XXSuite à une proposition en comité sectoriel.Suite à une proposition en comité sectoriel. Ce montantd’ai<strong>de</strong> additionnelle inclut l’ajout <strong>de</strong> ressourcesprofessionnelles et <strong>de</strong> soutien – Annexe 42 <strong>de</strong> <strong>la</strong> conventioncollective <strong>de</strong>s enseignants.5. SERVICES DE GARDE‣ Masse sa<strong>la</strong>riale X Activités gérées par l’unité administrative.‣ Dépenses autres que sa<strong>la</strong>riales X Activités gérées par l’unité administrative.‣ Transformation et MAO X Activités gérées par l’unité administrative en col<strong>la</strong>borationavec les SRM.‣ Coûts reliés à l’absentéisme àlong terme du personnel (selon lesconventions collectives et lesrèglements en vigueur), aux coûts15XPas <strong>de</strong> valeur ajoutée : les sommes retenues à mêmel’enveloppe globale du secteur services <strong>de</strong> gar<strong>de</strong> pourdéfrayer ces coûts seront gérées <strong>de</strong> façon centralisée et lesol<strong>de</strong> au 30 juin <strong>de</strong> chaque année fait partie du surplus
SECTEURdu personnel en sécurité d’emploine pouvant être utilisé à 100 %,aux coûts <strong>de</strong>s règlements <strong>de</strong> griefset <strong>de</strong>s libérations syndicales, s’il ya lieu.6. ADMINISTRATION(CENTRES ADMINISTRATIFS)DÉCONCENTRATIONOUINONPRINCIPEréservé <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> aux fins particulières <strong>de</strong>l’absentéisme <strong>de</strong>s services <strong>de</strong> gar<strong>de</strong>.‣ Masse sa<strong>la</strong>riale X Pas <strong>de</strong> valeur ajoutée.‣ Banque <strong>de</strong> personnel occasionnel ettemps supplémentaireXLes sommes ne sont pas transférables annuellement saufdans le cas <strong>de</strong> continuité <strong>de</strong> projet financé par le MELS. Leservice doit toutefois générer ce surplus en fin d’année.‣ Congés sans traitement (nonremp<strong>la</strong>cés)XL’économie générée est déconcentrée, car génératrice <strong>de</strong>marge <strong>de</strong> manœuvre.‣ Dépenses autres que sa<strong>la</strong>riales X Les sommes ne sont pas transférables annuellement saufdans le cas <strong>de</strong> continuité <strong>de</strong> projet financé par le MELS.Le service doit toutefois générer ce surplus en fin d’année.‣ Projets spéciaux (prêts <strong>de</strong> service,etc.)XPas <strong>de</strong> valeur ajoutée.‣ Comité <strong>de</strong> parents et comitéEHDAAXCes montants sont transférables annuellement.7. ÉQUIPEMENT‣ Entretien du mobilier,appareil<strong>la</strong>ge et outil<strong>la</strong>ge (MAO)sous <strong>la</strong> responsabilité <strong>de</strong> l’écoleou du centre (incluant lesordinateurs)XAutonomie et marge <strong>de</strong> manœuvre.‣ Entretien et réparation <strong>de</strong>bâtiments :Déconcentration d’uneenveloppe <strong>de</strong> coûts variables :• Programme <strong>de</strong> peinture X Autonomie locale et marge <strong>de</strong> manœuvre.• Matériel utilisé par les ouvrierscertifiés d’entretien dont <strong>la</strong>gérance est déconcentrée auxunités administrativesXAutonomie locale et marge <strong>de</strong> manœuvre.Autres dépenses d’entretien etréparationXPas <strong>de</strong> valeur ajoutée.16
SECTEURDÉCONCENTRATIONOUINONPRINCIPE‣ Entretien <strong>de</strong>s terrains X Pas <strong>de</strong> valeur ajoutée‣ Entretien ménager X Pas <strong>de</strong> valeur ajoutée• Produit d’entretien pourentretien en régieXAutonomie locale• Autres X Pas <strong>de</strong> valeur ajoutée‣ Intercommunication (système) X‣ Téléphonie et télécommunication X(centres)X(écoles)Un système <strong>de</strong> base est octroyé à chaque école. Tout ajoutà ce système <strong>de</strong> base est à <strong>la</strong> charge <strong>de</strong> l’école concernée.Pour les centres, les coûts sont décentralisés.‣ Manutention et transport X Autonomie locale• Déménagement dans lesXAutonomie locale, activités initiées et gérées par les unitésimmeubles et inter-immeublesadministratives.• Transport d’équipement pour lessorties éducatives et sportivesXPas <strong>de</strong> valeur ajoutée ni <strong>de</strong> marge <strong>de</strong> manœuvre pourl’unité administrative.‣ Consommation énergétique X Pas <strong>de</strong> valeur ajoutée. Enveloppe dédiée.‣ Sécurité et gardiennage X Autonomie locale, activités générées et gérées par lesunités administratives.‣ Revenus <strong>de</strong> location à court terme,produit <strong>de</strong> <strong>la</strong> vente <strong>de</strong> matériel etd’équipements désuetsXSelon <strong>la</strong> politique en vigueur pour les revenus <strong>de</strong> location <strong>de</strong>locaux et <strong>la</strong> règle <strong>de</strong> fonctionnement sur <strong>la</strong> vente <strong>de</strong> matérielet d’équipements désuets.‣ <strong>Service</strong> <strong>de</strong> reprographie centralisé X Géré par les <strong>Service</strong>s <strong>de</strong>s ressources matérielles. Toutsurplus annuel sera réservé pour l’achat d’équipements <strong>de</strong>reprographie l’année suivante.8. TRANSPORT SCOLAIRE X Pas <strong>de</strong> marge <strong>de</strong> manœuvre ni <strong>de</strong> valeur ajoutée associées àcette activité.9. INVESTISSEMENTS‣ Travaux d’aménagement sous <strong>la</strong>responsabilité <strong>de</strong> l’établissement(besoins locaux)XMarge <strong>de</strong> manœuvre et autonomie locale. Ces besoinsd’aménagement découlent d’une décision <strong>de</strong>l’établissement.‣ Mobilier et équipement X Marge <strong>de</strong> manœuvre et autonomie locale.17
SECTEURDÉCONCENTRATIONOUINONPRINCIPE‣ Projets majeurs et besoins réseau X Pas <strong>de</strong> valeur ajoutée ni d’autonomie locale. De façongénérale, ces besoins d’aménagement sont définis par lesSRM et découlent d’une décision <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>.Ces besoins proviennent du p<strong>la</strong>n quinquennal <strong>de</strong> <strong>la</strong>commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>.Tout déficit causé par <strong>de</strong>s projets d’amélioration ettransformation assumés centralement sera financé par unediminution équivalente du budget centralisé <strong>de</strong> l’année encours ou suivante. Une contribution du secteur ou <strong>de</strong> l’unitéconcernée peut être <strong>de</strong>mandée.‣ P<strong>la</strong>n TIC X Autonomie locale. Financement du MELS avecparticipation <strong>de</strong> l’établissement.‣ P<strong>la</strong>n TIC (élèves handicapés) X Achats effectués en fonction <strong>de</strong>s besoins et du financementdu MELS.‣ <strong>Service</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte (capital) X Aucune marge <strong>de</strong> manœuvre.‣ Amortissement X Aucune marge <strong>de</strong> manœuvre.10. AUTRES SECTEURS‣ <strong>Service</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte et financement X Pas <strong>de</strong> marge <strong>de</strong> manœuvre ni <strong>de</strong> valeur ajoutée associéesà cette activité.‣ Projets d’agent payeur ou projetsfinancés par le MELSXPour les projets gérés par les services, les profits sont <strong>de</strong>srevenus du secteur <strong>de</strong> l’administration.Pour les projets gérés par les écoles et centres, les profits<strong>de</strong>vront être partagés entre ceux-ci et l’administration.Des intérêts doivent être systématiquement chargés pours’assurer que <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> n’ait pas à assumer cetype <strong>de</strong> dépenses à même ses subventions.‣ Fonds <strong>de</strong> recherche et <strong>de</strong>développementXProjets sélectionnés par <strong>la</strong> commission <strong>sco<strong>la</strong>ire</strong> etdécentralisés aux unités concernées.11. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALESTOUCHANT PLUSIEURSSECTEURS‣ Ristournes <strong>de</strong> taxes TPS/TVQ (saufportion <strong>de</strong> TVQ (17% du 47%)finançant le Fonds <strong>de</strong>s services <strong>de</strong>santé)XÉquité, activités générées et gérées par les unitésadministratives.‣ Perfectionnement lié auxconventions collectivesXLa majorité du montant est déconcentrée aux établissementsselon les décisions <strong>de</strong>s comités paritaires et transférablesannuellement.18
SECTEUR‣ Perfectionnement lié à <strong>la</strong> politique <strong>de</strong>gestion <strong>de</strong>s cadresDÉCONCENTRATIONOUINONPRINCIPEX Les montants sont déconcentrés et transférablesannuellement selon les décisions <strong>de</strong>s divers comités <strong>de</strong>perfectionnement.19
ANNEXE 3Les <strong>Service</strong>s <strong>de</strong>s ressources financièresFacteurs <strong>de</strong> pondération <strong>de</strong> <strong>la</strong> clientèle aux fins <strong>de</strong> calcul du pouvoir <strong>de</strong> taxationSecteurÉquipement etchoix locauxGestionadministrativeGestion <strong>de</strong>sécoles etcentresTransport<strong>sco<strong>la</strong>ire</strong>TotalMaternelle 4 ans 0,75 0,20 0,05 0,00 1,00Maternelle 5 ans 1,25 0,20 0,35 0,00 1,80Maternelle 5 ans – accueil/francisation 1,25 0,40 0,60 0,00 2,25Primaire 1,00 0,20 0,35 0,00 1,55Primaire – accueil/francisation 1,40 0,40 0,60 0,00 2,40Secondaire 1,45 0,30 0,65 0,00 2,40Secondaire – accueil/francisation 1,80 0,55 1,05 0,00 3,40Handicapés 3,50 0,45 2,45 0,00 6,40Formation professionnelle 2,00 0,30 1,10 0,00 3,40Éducation <strong>de</strong>s adultes 0,96 0,67 0,77 0,00 2,40<strong>Service</strong>s <strong>de</strong> gar<strong>de</strong> (équipement) 0,05 0,00 0,00 0,00 0,05Transport exclusif 0,00 0,00 0,00 0,75 0,75Transport intégré (RTC) 0,00 0,00 0,00 0,40 0,4020