SEPTEMBRE

a La une
p.l : Depuis 2005, la Région est notre principal partenaire, fi nancier
et technique. La collectivité a très bien compris que nous jouons un rôle
d’accélérateur de croissance pour nos entreprises. Le partenariat avec la
région est maintenu et il progresse régulièrement.
V.H : nous travaillons en harmonie et les résultats
sont là. Lorsque la région investit 1 € d’argent
public dans le réseau, elle génère 6 € de chiffre
d’affaires pour les entreprises ! c’est un impact
concret, quantifi able, qui permet de travailler dans
la transparence et la confi ance.
montpellier, outre swelia, héberge également le pôle de compétitivité à
vocation mondiale eau. L’etat vient d’ailleurs de choisir ce pôle pour piloter
le réseau national des Éco-technologies qui fédère lui-même 14 pôles
environnementaux français... Quels sont vos rapports avec le pôle EAU ?
V.H : nous travaillons étroitement ensemble. nous sommes membres
du pôle : nous avons activement participé à sa création ! Le lien entre
nos deux structures est très fort, avec des compétences bien défi nies et
complémentaires : le pôle a une forte résonnance sur l’aspect recherche
et développement, les universités et les fi nancements des grands projets
portés par l’europe ; et swelia se charge de faire la jonction entre l’activité
du pôle et les entreprises régionales.
Au fi nal, entre Swelia et le Pôle, Montpellier est-elle devenue la capitale
française de l’eau ?
p.l : Oui ! Montpellier peut prétendre au titre de capitale française de l’eau.
mais aujourd’hui, c’est toute la région occitanie qui peut se positionner
comme le grand territoire français des métiers de l’eau. D’autant plus que le
fait d’être intégré dans les grandes instances nationales de l’eau (le cosei,
‘‘Lorsque la Région investit 1 euro
d’argent public dans le réseau,
elle génère 6 euros de chiffre
d’affaires pour les entreprises !
Patricia Levrault, directrice Marketing © Mario Sinistaj
/ mardi 13 septembre 2016— N°1814
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