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LIVRET GIMS 2018

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Invitant des jeunes élèves à construire<br />

leur regard et leur sensibilité grâce à une<br />

pratique artistique mise en perspective<br />

de leur formation professionnelle, le<br />

projet Jeunes producteurs constitue un<br />

programme de sensibilisation à la santé,<br />

la sécurité et au bien-être au travail ainsi<br />

qu’une initiation à l’art contemporain.<br />

De la recherche à la définition du<br />

projet artistique, du dessin jusqu’à sa<br />

réalisation, ce sont les compétences<br />

et les techniques développées au fil<br />

de la formation de ces jeunes qui sont<br />

sollicitées, valorisées et analysées pour<br />

une meilleure compréhension des risques<br />

liés à leur futur métier.<br />

Croisant leurs savoir-faire avec ceux<br />

d’un artiste invité, le projet favorise<br />

l’interdisciplinarité et contribue à<br />

remobiliser les élèves dans leur<br />

scolarité. Plateforme d’échanges<br />

et d’interrogations, ce programme<br />

pédagogique est l’occasion de<br />

questionner ensemble les manières dont<br />

l’art peut trouver des formes d’activations<br />

et de réactivations permanentes,<br />

et appartenir singulièrement à tous.


jeunes<br />

producteurs <strong>2018</strong><br />

dans le cadre de Gestes et métiers en images


Initié par la Fondation <strong>GIMS</strong> en partenariat avec l’académie Aix-Marseille et mis en<br />

œuvre par Art+, le projet Jeunes Producteurs a été lancé en 2014 afin d’initier les<br />

élèves de cursus professionnels à la création artistique contemporaine tout en les<br />

mobilisant sur l’importance de la prévention des risques professionnels.<br />

Pour ce programme <strong>2018</strong>, les workshops ont été menés par trois artistes au sein de<br />

trois établissements professionnels : Chloé Despax au lycée professionnel Perdiguier<br />

à Arles, Jean-Adrien Arzilier au lycée professionnel Germaine Poinso-Chapuis à<br />

Marseille, et Stéphane Protic au lycée Vauvenargues à Aix-en-Provence.<br />

En collaboration avec les intervenants en Prévention des Risques Professionnels de<br />

la Fondation du <strong>GIMS</strong>, service de santé au travail, ces micro-résidences croisent les<br />

pratiques et techniques du monde du travail, la prévention des risques et l’initiation<br />

aux mécanismes à l’œuvre dans la production artistique. L’objectif est de susciter<br />

l’intêret des jeunes pour l’art contemporain, tout en valorisant leurs compétences et<br />

développant une réflexion autour de leur futur métier.


Première bac professionnel Cuisine<br />

Lycée professionnel Perdiguier<br />

Arles<br />

—<br />

Artiste invitée :<br />

Chloé Despax<br />

—<br />

Professeure référente du projet :<br />

Michelle Gilli<br />

—<br />

Jeunes producteurs :<br />

Lucas Beltran<br />

Julien Bonachera<br />

Michel Cassignol<br />

Julien Franceschini<br />

François Freville<br />

Florian Guerin<br />

Célia Jacquot<br />

Maxence Jost<br />

Ophélie Lemaire<br />

Jean-Pierre Lieballe<br />

Luc-Marc Musitelli<br />

Mathis Nouveau<br />

Jordan Yacine Ouakaf<br />

Clément Perez<br />

Lisa Pradel<br />

workshop 1


L’artiste sonore Chloé Despax a invité les<br />

élèves à explorer l’environnement de la<br />

cuisine dans lequel ils évoluent pour leur<br />

formation en l’abordant par l’ouïe plutôt<br />

que par le goût.<br />

TABLES SONORES<br />

Les futurs experts culinaires ont eu<br />

l’occasion de se plonger dans l’univers<br />

de la création sonore, d’en connaître les<br />

différents trucs et astuces en utilisant un<br />

matériel de prise de son professionnel.<br />

Ils ont finalement réalisé leur propre<br />

montage avec le logiciel audacity.<br />

Pour trouver différentes matières à<br />

enregistrer, les élèves se sont servis<br />

de méthodes créatives comme le<br />

cadavre exquis (enchaînement de<br />

sons dans lequel chaque élève fait un<br />

enregistrement sans connaître le son<br />

précédent) ou le portrait chinois (« si<br />

j’étais un légume... je serais un oignon<br />

pour te faire pleurer dès que tu me<br />

touches la peau »). Ils ont écrit et mis<br />

en scène des créations fictives inspirées<br />

par des expressions et du vocabulaire<br />

propres au champ de la cuisine.<br />

Ensemble, ils ont réalisé une émission de<br />

radio, au cours de laquelle ils présentent<br />

leurs réalisations sonores entre rap,<br />

poésie, humour et fiction. Celle-ci était<br />

diffusée en direct sur les ondes de la<br />

station de radio RPA à Arles.


atelier #4 — salle de cours<br />

Écriture et enregistrement<br />

des portraits chinois,<br />

initiation au montage<br />

avec audacity.<br />

#4<br />

#3<br />

#2<br />

atelier #3 — salle de cours<br />

Enregistrement des projets « expressions ».<br />

atelier #1 — salle de cours<br />

Présentation de l’art contemporain,<br />

du projet et rencontre avec<br />

Chloé Despax .<br />

#1<br />

MARS<br />

atelier #2 — salle de cours<br />

Expérimentations sonores,<br />

après l’écriture des petites scènes/<br />

dialogues


#5<br />

atelier #5 — salle de cours<br />

Expériences d’enregistrements<br />

d’un jingle en explorant l’environnement<br />

sonore de la cuisine. #6<br />

atelier #6 — studio RPA<br />

Répétition générale<br />

avant le live radiophonique.<br />

atelier #7 — studio RPA<br />

Réalisation de l’émission en live<br />

avec diffusion des œuvres sonores.<br />

#7


Si j’étais<br />

un dessert, je<br />

serais un opéra,<br />

parce que c’est<br />

aussi bien comme la<br />

musique opéra.<br />

Ecrasé en cube,<br />

ou en tranche,<br />

donne de la saveur<br />

aux aliments. [...]<br />

Si j’étais<br />

glacé, je serais un<br />

parfait, car<br />

la vengeance est<br />

un plat qui se<br />

mange froid.<br />

Si j’étais une<br />

pâtisserie, je serais<br />

une chouquette, car je<br />

suis tendre à<br />

l’intérieur.<br />

T’amuse pas<br />

à ramener ta poire,<br />

tu vas te prendre une pêche,<br />

tu vas tomber dans<br />

les pommes et tu ne<br />

ramèneras plus<br />

ta fraise. [...]


TABLES<br />

ÉCOUTE-NOUS :<br />

SONORES<br />

http://bit.ly/2L8tJr7<br />

Dessin de Ophélie


Risques<br />

&<br />

Prévention<br />

Risque de brûlure<br />

Porter des protections adaptées.<br />

Ranger les manches des casseroles.<br />

Éviter de déplacer des marmites chaudes.<br />

Risque lié à l’activité physique<br />

Je plie les genoux plutôt que le dos pour soulever une charge.<br />

Je tiens mon dos droit quand je travaille.<br />

Risque de coupure<br />

Laisser les couteaux toujours visibles.<br />

Porter les couteaux par le manche,<br />

pointe vers le sol.


Seconde bac professionnel<br />

Charpentier de marine<br />

Lycée professionnel Poinso Chapuis<br />

Marseille<br />

—<br />

Artiste invité :<br />

Jean-Adrien Arzilier<br />

—<br />

Professeur référent du projet :<br />

Cédric Bahuaud<br />

—<br />

Jeunes producteurs :<br />

Milan Caparros<br />

David Crepin<br />

Leni Granier<br />

Tom Lepiece<br />

Amir Lezghed<br />

Romain Muntoni<br />

Louis Pluton<br />

workshop 2


LE GLOIRE<br />

Guidés par l’artiste Jean-Adrien Arzilier, les<br />

élèves de la classe de seconde Charpentier<br />

de marine sont allés à la découverte du<br />

dazzle-camouflage, technique utilisée<br />

notamment par les militaires de la marine<br />

britannique pendant la seconde guerre<br />

mondiale afin de confondre visuellement<br />

l’ennemi. Grâce à un recouvrement pictural<br />

déstructuré de la coque des navires, les<br />

trajectoires des bateaux devenaient moins<br />

lisibles et l’estimation de distance, de vitesse<br />

et de direction visée était plus compliquée.<br />

Après s’être familiarisés avec les silhouettes<br />

trompeuses des navires-dazzle, nos<br />

apprentis charpentiers de marine ont élaboré<br />

un plan technique en vue de la réalisation<br />

finale de leur demi-coque, figure imposée de<br />

leur apprentissage. Ils l’ont appelé le Gloire,<br />

en hommage à un croiseur entré en service<br />

en 1936-37, conçu par l’ingénieur du Génie<br />

naval Dupuy de Lôme, et considéré comme<br />

le premier véritable navire cuirassé.<br />

Démontable et pliable, leur réalisation<br />

perd donc sa fonction de navigabilité pour<br />

devenir une sculpture manipulable qui fait<br />

écho à l’apparence surprenante des navires<br />

historiques, ainsi qu’à la démarche artistique<br />

de Jean-Adrien Arzilier, qui cherche à<br />

questionner la fonctionnalité des objets<br />

manufacturés en les déformant ou en y<br />

insufflant de poétiques perturbations.


atelier #4 — salle d’atelier<br />

Conception de prototypes<br />

de la demi-coque dazzle.<br />

#4<br />

#3<br />

atelier #2 — salle de cours<br />

Rencontre avec Jean-Adrien Arzilier<br />

et pistes de recherche<br />

proposées aux élèves.<br />

#2<br />

atelier #3 — salle de cours<br />

Mise en forme de volumes avec de la pâte<br />

à modeler, dessins des plans techniques.<br />

#1<br />

NOVEMBRE<br />

atelier #1 — salle de cours<br />

Introduction à l’art contemporain,<br />

projets d’embarcation et bateaux<br />

dans l’art contemporain.


#5 atelier #5 — salle d’atelier<br />

Traçage sur planche de bois de 2 morceaux<br />

qui composent la demi-coque dazzle.<br />

atelier #6 — salle d’atelier<br />

Assemblage des différents<br />

éléments de bois avec vis et<br />

charnières.<br />

#6<br />

DÉCEMBRE<br />

atelier #7 — salle d’atelier<br />

Intervention de l’expert <strong>GIMS</strong> Ludwig Mancer<br />

pour une sensibilisation aux risques.<br />

#7<br />

atelier #8 — salle d’atelier<br />

Finalisation du projet :<br />

ponçage, traitement,<br />

peinture et assemblage.<br />

#8<br />

atelier #9 — parc de Maison Blanche<br />

Visite du Festival des Arts<br />

Éphémères.<br />

MAI<br />

#9


Risques<br />

&<br />

Prévention


Terminale bac professionnel<br />

Ouvrages du Bâtiment en Métallerie (OBM)<br />

Technicien menuisier-agenceur (TMA)<br />

Lycée professionnel Vauvenargues<br />

Aix-en-Provence<br />

—<br />

Artiste invité :<br />

Stéphane Protic<br />

—<br />

Professeurs référents du projet :<br />

Gaël Aurric (OBM)<br />

Benjamin Bernard (TMA)<br />

—<br />

Jeunes producteurs :<br />

Benjamin Eléon (OBM)<br />

Damien Navarro (OBM)<br />

Kévin Deparis (OBM)<br />

Guillaume Raymond (OBM)<br />

Damien Demirdjia (OBM)<br />

Tom Durieu (TMA)<br />

Eric Honnorat (TMA)<br />

Timmy Roger (TMA)<br />

Youne Sadrini (TMA)<br />

Julien Schmitt (TMA)<br />

workshop 3


ARCHITECTURE<br />

Le workshop guidé par l’artiste Stéphane<br />

Protic fait appel aux compétences de<br />

jeunes apprentis de la métallerie et de<br />

la menuiserie. Le but était de créer une<br />

structure hybride, à la fois sculpture<br />

et architecture, pliable et déplaçable,<br />

installée ensuite dans les espaces<br />

communs du lycée. Les élèves peuvent<br />

en développer les usages en fonction<br />

des évènements organisés dans<br />

l’établissement.<br />

MOBILE<br />

En inversant le processus habituel<br />

de travail, Stéphane Protic propose<br />

aux élèves de privilégier la forme à la<br />

fonctionnalité.<br />

À partir de formes géométriques simples,<br />

chaque élève a créé une maquette en<br />

papier. Puis une décision collective<br />

a permis de choisir parmi toutes les<br />

propositions celle qui serait réalisée à<br />

échelle 1.<br />

Les deux classes ont croisé leur savoirfaire<br />

afin de trouver ensemble des<br />

solutions techniques, réalisant ainsi<br />

un module qui marie astucieusement<br />

et esthétiquement deux matériaux<br />

emblématiques de la construction, le bois<br />

et le métal.


atelier #4 — salle d’atelier<br />

Finitions des maquettes et réflexion<br />

autour de la réalisation finale.<br />

#4<br />

atelier #2 — salle de cours<br />

Création de petites maquettes<br />

en papier à partir de formes<br />

géométriques simples.<br />

#2<br />

#3<br />

atelier #3 — salle de cours<br />

Développement des maquettes, réalisation de dessins<br />

techniques et consultation d’une bibliographie<br />

proposée par l’artiste<br />

#1<br />

JANVIER<br />

atelier #1 — salle de cours<br />

Introduction à l’art contemporain,<br />

au projet et rencontre avec Stéphane Protic.


#5 atelier #5 — salle d’atelier<br />

Discussion autour des matériaux<br />

et prises de vues des maquettes<br />

FÉVRIER<br />

atelier #6 — salle d’atelier<br />

Réalisation de prototypes pour le système<br />

d’ouverture des faces (pièces à échelle réduite).<br />

#6<br />

AVRIL<br />

#7<br />

atelier #7 — salle d’atelier<br />

Intervention de l’expert <strong>GIMS</strong> Ludwig Mancer<br />

pour une sensibilisation aux risques.<br />

JUIN<br />

#8<br />

atelier #8 — sortie à Marseille<br />

Visite de l’Atelier Ni et du CIRVA


http://bit.ly/2mwWoqN<br />

http://bit.ly/2mvj1fe<br />

http://bit.ly/2zSwVSf<br />

http://bit.ly/2L7WaVP<br />

http://bit.ly/2JBueEv<br />

http://bit.ly/2L6NTl3<br />

http://bit.ly/2L50bue<br />

http://bit.ly/2zV9Tue


les acteurs du projet<br />

Parce que la culture et la création sont les clefs pour agir sur les pratiques et les<br />

comportements, depuis 2008, le <strong>GIMS</strong> puis la Fondation <strong>GIMS</strong>, en collaboration<br />

avec l’Académie d’Aix-Marseille ont mis en place un dispositif culturel s’inscrivant<br />

dans la politique éducative et culturelle académique «Gestes et métiers en images» :<br />

des ateliers de pratique artistique sont ainsi réalisés chaque année dans les Lycées<br />

d’Enseignement Professionnel de la région. Cette action a pour ambition de<br />

contribuer à la prévention des risques physiques et psychologiques chez les jeunes,<br />

futurs actifs, dans l’exercice de leur métier tout en les initiant aux mécanismes de la<br />

création artistique. Plus encore, elle doit les inviter à réfléchir sur ce qui est en jeu au<br />

travail, lieu de créativité, de transformation de soi et du monde. L’ouverture est une<br />

nécessité pour préparer les élèves au monde de demain et c’est bien de cela dont il<br />

est ici question.<br />

Gérard Aubanel<br />

Le Président de la Fondation <strong>GIMS</strong><br />

Parce qu’il est urgent de réfléchir sur la place des jeunes dans l’entreprise, la<br />

Fondation <strong>GIMS</strong> met en place, dans la continuité des ateliers artistiques sur le thème<br />

du travail, le réseau Pop-Up (projet d’orientation et de prévention). Ce réseau a<br />

pour ambition de réunir des entreprises choisies pour leur faculté à accompagner,<br />

transmettre et s’engager avec de jeunes stagiaires issus des Zones d’Education<br />

Prioritaires des Bouches-du-Rhône.<br />

En orientant les élèves des lycées d’enseignement technique ou de Centre de<br />

Formation des Apprentis dans leurs recherches de stage ou de formation vers<br />

l’entreprise qui saura valoriser leurs capacités personnelles et professionnelles, nous<br />

espérons faciliter durablement leur insertion et établir un rapport de confiance<br />

mutuelle indispensable à la réussite de l’ensemble des acteurs.<br />

La question des jeunes et du travail dans toutes ses dimensions constitue un enjeu<br />

majeur, et tout particulièrement dans notre région où 74% des moins de 25 ans sont<br />

sans emploi après trois années…<br />

Aux côtés de nos actions en tant que producteur et diffuseur d’œuvres, concepteur<br />

d’expositions, gestionnaire de résidences d’artistes, éditeur et porteur d’ART-O-RAMA,<br />

salon international d’art contemporain, notre association a depuis de nombreuses<br />

années affirmé la transmission comme un axe fort et transversal à l’ensemble<br />

de nos activités. Il est le point de jonction de plusieurs volontés. Tout d’abord la<br />

volonté d’une Fondation qui fait de la prévention des risques au travail son fil rouge<br />

et se révèle un acteur indispensable de son temps. La volonté de l’inspection<br />

académique de valoriser ses filières et l’interface entre les porteurs de projets<br />

culturels et le monde de l’enseignement. La volonté des établissements scolaires<br />

eux-mêmes dont l’investissement des équipes éducatives ne fait plus débat. La<br />

volonté des lycéens pris dans la dynamique d’un projet dont ils deviennent très vite<br />

les principaux acteurs. Et enfin notre volonté en tant que coordinateur de ces élans<br />

multiples, mais aussi en tant que porteur, producteur, animateur et transmetteur qui,<br />

accompagnés des équipes artistiques, faisons de ces projets des vecteurs essentiels<br />

de dynamiques collectives. Ce programme de sensibilisation et d’actions s’adresse<br />

ainsi et prioritairement aux lycéens issus de filières professionnelles souvent éloignés<br />

des pratiques culturelles. Décloisonnant et mettant en partage les compétences, ce<br />

dispositif innovant participe à faire de l’art l’affaire de tous.<br />

Véronique Collard Bovy<br />

Directrice de Art+<br />

Odile Sigaud<br />

Déléguée de la Fondation <strong>GIMS</strong>


Fondation <strong>GIMS</strong><br />

En 2011, le <strong>GIMS</strong> (Groupement Interprofessionnel Médico-Social, Service de<br />

Santé au Travail) s’est doté d’une Fondation pour enrichir son offre de prévention<br />

et développer des actions éthiques et solidaires en direction, principalement, des<br />

travailleurs indépendants et des jeunes futurs actifs pour que la Santé au Travail<br />

se loge au coeur des préoccupations quotidiennes et au plus près des réalités du<br />

terrain. La Fondation s’engage avant tout à contribuer à la création de nouveaux<br />

systèmes d’actions collectives afin de mettre l’humain au centre des préoccupations<br />

d’un monde du travail en constante évolution.<br />

Président : Gérard Aubanel<br />

Déléguée : Odile Sigaud<br />

Art+<br />

Art+ est né de la fusion des associations Sextant et plus (production, diffusion,<br />

médiation, édition d’art contemporain) et Group (production d’Art-o-rama, Salon<br />

international d’art contemporain). Association résidente de la Friche la Belle de Mai<br />

depuis 2001, Art+ invente, développe et met en œuvre des systèmes de production et<br />

de diffusion de l’art contemporain. Productions d’œuvres, d’événements, de foires et<br />

d’expositions, programme de résidences, éditions de livres, conception de supports,<br />

d’ateliers et de parcours de médiation… sont autant d’expériences et de rencontres<br />

menées avec les artistes et le public, autant de projets dans lesquels la création<br />

s’inscrit en tant que vecteur d’expressions individuelles et collectives.<br />

Direction : Véronique Collard Bovy<br />

Coordination et mise en œuvre du projet : Magali Delrieu et Marleen Gasche<br />

Conception du livret : Maud Chavaillon et Marine Dautriche<br />

Partenaires projet :<br />

Partenaires Art+ :

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