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NewTech Magazine N04

À la une: - Grand dossier: Google Stadia - Test : Les nouveautés du Raspberry Pi 4 - Conseils : Hébergeur Web à Madagascar

À la une:
- Grand dossier: Google Stadia
- Test : Les nouveautés du Raspberry Pi 4
- Conseils : Hébergeur Web à Madagascar

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T E S T - A C T U - G U I D E - G A M I N G

m e n s u e l g r a t u i t n ° 4

Google STADIA

Le cloud gaming !

ACTU

Netflix va être

distribué par Canal+

TEST

Les nouveautés

du Raspberry Pi 4

Conseils

Les hébergeurs Web à

Madagascar

1


ACTU

SOMMAIRE

4 Valve est condamné en France

8 Netflix va être distribué par Canal+

9 Le visionnage annuel de vidéos Youtube en émission de CO2

TEST

10 Les nouveautés du Raspberry Pi 4

Conseils

12 Les hébergeurs web à Madagascar

DOSSIER

18 Google Stadia

E-SPORT

21 Ninja signe chez Adidas

Gaming

22 Une balle tue la moitié de la ville Red Dead Redemption 2

SECURITE

23 Varenyky

SOCIAL

25 Facebook modifie le système des groupes fermés ou secret

26 Instagram mode sombre

27 WhatsApp Les messages supprimés ne le sont pas vraiment

2


Éditorial

De retour après une période pause l'équipe

de Cube Media est heuuse de fournir à ses

abonnées des informations viable et utile pour

mieux comprendre ce monde toujours plus innovant

du numérique et de l'informatique.

NewTech Magazine est une publication mensuelle

qui fournit toute l’actualité informatique et nouvelle

technologie.

Nous aborderons à chaque numéro, les résultats des

différents tests des nouveaux produits. Des guides

d’achat avec un tour d’horizon des critères important

à considérer avant d’acheter un gadget high-tech.

Nous offrons également des astuces pratiques pour

vous aider à familiariser avec ces objets connectés.

... L'éditeur

Cube media sarlu

Contact régie publicitaire: 034 01 057 30 / contact@cubemedia.mg

Retrouvez nous sur www.cubemedia.mg

3


ACTU

Steam : Valve est condamné en

France pour avoir interdit la

revente de jeux dématérialisés

L'UFC-Que Choisir a remporté une victoire majeure contre Valve, l'éditeur Steam,

la plus importante plateforme de jeux vidéo sur le marché. L'association a obtenu

l'annulation de plusieurs clauses, dont celle interdisant la possibilité de revendre des

jeux dématérialisés.

C’est l’aboutissement de presque trois ans de procédure. Et une victoire pour l’UFC-Que

Choisir. Dans le cadre d’un jugement rendu le 17 septembre par le tribunal de grande

instance de Paris, et que relaie le site Next Inpact, l’association de défense des droits des

consommateurs est parvenue à obtenir l’annulation d’un certain nombre de clauses que

Valve imposait sur Steam.

La plus significative d’entre elles concerne celle qui interdisait de fait la revente des jeux

vidéo dématérialisés, c’est-à-dire les produits n’étant pas liés à un support physique

particulier (une cartouche ou un disque par exemple). Dans l’accord de souscription

que Valve a rédigé pour sa plateforme de distribution de jeux vidéo, des dispositions

empêchent en principe cette possibilité.

Il est ainsi déclaré que le compte Valve et les informations qui s’y rattachent « sont

strictement personnels ». Cela vaut notamment pour les souscriptions, qui désignent les

« droits d’accès et / ou d’utilisation des contenus et services accessibles par l’intermédiaire

de Steam ». Ces contenus et services incluent les jeux vidéo, les objets virtuels achetés, les

contenus de jeu, les logiciels ou encore les mises à jour.

4


Le droit européen à la rescousse

ACTU

C’est là que le tribunal de grande instance entre en scène.

La clause litigieuse (1-C) a été écartée par la justice française, en prenant appui sur

le droit européen, via les directives européennes (directive 2001/29/CE sur l’harmonisation

de certains aspects du droit d’auteur et des droits voisins dans la société

de l’information et 2009/24/CE sur la la protection juridique des programmes

d’ordinateur), et sur la jurisprudence de la Cour de justice de l’Union européenne.

Ces deux directives, écrit le tribunal, «

proscrivent l’éventuelle entrave que

pourrait constituer la protection du

droit d’auteur en reconnaissant le

principe d’épuisement du droit de

distribution, lequel « interdit d’interdire

», serait-ce par le jeu de dispositions

contractuelles [comme, ici, celles

édictées dans l’accord de souscription

Steam, ndlr], la libre circulation des

marchandises au sein de l’Union. »

L’épuisement du droit est un principe

selon lequel une fois qu’une œuvre a été

vendue avec l’autorisation de l’auteur,

celui-ci n’a plus de contrôle sur les

reventes suivantes. C’est ce qui permet

le marché de l’occasion, les particuliers

n’ayant pas besoin de solliciter l’accord

préalable de l’auteur pour vendre tel ou

tel bien. Or, cette disposition vaut aussi

pour les contenus dématérialisés acquis

légalement.

En 2012, la justice européenne a jugé qu’il

est interdit à un ayant droit de s’opposer

à la revente d’un logiciel. Quand celui-ci

est vendu, y compris en téléchargement,

son acquéreur est libre de le revendre

: « Une telle transaction implique le

transfert du droit de propriété de cette

copie », si, « contre paiement d’un prix,

un contrat de licence [accorde] au client

le droit d’utiliser cette copie pour une

durée illimitée ».

5


ACTU

C’est bel et bien un achat

Or justement, le tribunal observe que la licence d’un jeu est bien

achetée et non obtenue dans le cadre d’un abonnement à la souscription

dudit jeu. En effet, cet abonnement évoqué par Valve «

consiste en réalité en un achat, le jeu étant mis à la disposition dudit

utilisateur pour une durée illimitée. Il ne peut donc s’agir d’un

« abonnement » – au sens usuel du terme – mais de la vente d’un

exemplaire d’un jeu vidéo, réalisé moyennant un prix déterminé à

l’avance et versé en une seule fois par l’utilisateur. »

Le tribunal poursuit en expliquant que le titulaire du droit en cause

« ne peut plus s’opposer à la revente de cette copie (ou exemplaire)

même si l’achat initial est réalisé par voie de téléchargement ».

Quant à l’éditeur du logiciel ou ses ayants droit, il n’est plus possible

de « s’opposer à la revente de cette copie ou exemplaire, nonobstant

l’existence de dispositions contractuelles interdisant une cession

ultérieure. »

Bien sûr, le tribunal n’a pas ignoré le fait que, dans le Code de la

propriété intellectuelle, il est question d’un « exemplaire matériel »

dans le cas de l’épuisement du droit. Mais pour la justice, cette formulation

ne « doit pas être assimilée au seul support physique du

logiciel, mais doit s’entendre du téléchargement du logiciel à partir

du site internet et de son installation sur l’ordinateur de l’utilisateur.

»

Le tribunal brandit ainsi un autre article du même code, qui

énonce que « la propriété incorporelle est indépendante de la

propriété de l’objet matériel », ce qui distingue l’œuvre de l’objet

matériel dans laquelle l’œuvre est incorporée. En outre, poursuit

le tribunal, le droit européen « ne laisse aucunement aux États

membres la faculté de prévoir une règle d‘épuisement autre que

celle de l’épuisement communautaire. »


Clause réputée non écrite

ACTU

Dans ces conditions, la clause litigieuse est « réputée non écrite », du fait

de son caractère abusif et illicite. Valve ne peut donc pas en principe la

brandir pour empêcher un joueur de revendre un jeu, alors considéré

comme « d’occasion ». Ses effets sont considérés comme inexistants. La

clause devra être supprimée et, parmi les décisions du tribunal, il faudra

que le jugement soit affiché sur Steam pendant 3 mois.

L’intégralité du jugement devra ainsi être accessible et activable via la

page d’accueil du site ainsi que sur celles de ses applications sur tablettes

et smartphones. Valve a un mois pour se conformer à cette demande, à

compter du jour du verdict, sinon il s’exposera à une astreinte journalière

de 3 000 euros par jour de retard, jusqu’à un maximum de six mois.

Des dommages et intérêts sont aussi prévus pour l’UFC.

Enfin, le tribunal rappelle que l’ensemble des offres contractuelles de

Valve, bien que de droit américain, et de sa filiale luxembourgeoise

Valve SARL, « doit être régi par le droit français lorsqu’il concerne des

utilisateurs disposant d’une résidence sur le territoire français ». Ce qui,

en théorie, doit conduire Valve à prévoir la possibilité de pouvoir faire

une revente de jeu sur sa plateforme.

7


ACTU

Netflix va être distribué par Canal+

à partir de mi-octobre en france

La filiale de Vivendi annonce lundi avoir finalisé un accord avec le géant américain

de vidéos à la demande.

A partir du 15 octobre, Netflix sera disponible... dans les offres de Canal+. La

plateforme américaine de vidéos à la demande et la chaîne cryptée annoncent

avoir scellé un accord, lundi 16 septembre. Dans le détail, Canal+ proposera

Netflix dans son pack Ciné/Séries dans un premier temps au prix de 15 euros

par mois. Il faudra toutefois débourser au minimum 35 euros par mois, l'abonnement

à la chaîne payante Canal+ (20 euros par mois) étant nécessaire pour

accéder à cette offre.

Disney+ et AppleTV+ en approche

Le géant américain devrait être disponible comme une option supplémentaire.

Il n’est pas exclu en revanche que Canal+ propose des formules couplées, financièrement

plus avantageuses pour les consommateurs.

Netflix, qui compte désormais 6 millions d'abonnés en France, pourrait grâce à

ce nouveau partenariat accélérer le recrutement de nouveaux abonnés... avant

l'arrivée dans les prochains mois de concurrents puissants, comme Disney+ et

AppleTV+. Ce partenariat a "vocation à être étendu" à d'autres pays, à commencer

par la Pologne, ont précisé les dirigeants des deux groupes.

8


LE VISIONNAGE ANNUEL DE

VIDÉOS YOUTUBE ÉMET AUTANT

DE CO2 QU’UNE VILLE DE PETITE

TAILLE

ACTU

Une récente étude scientifique montre

que les milliards d'heures de visionnage

enregistrées sur Youtube émettraient une

quantité d'émissions de CO2 similaire à

celle d'une ville comme Francfort.

Contrairement aux apparences, visionner

des vidéos sur Youtube, même pour parfaire

sa culture écologiste et regarder des

tutos pour trier des déchets, pollue quand

même l'atmosphère. Selon une étude de

l'Université de Bristol, si le visionnage

d'un internaute unique ne représente

qu'une part lilliputienne dans les émissions de gaz à effet de serre mondiales, appliqué

à des milliards d'heures de vidéos, la facture carbone finit par s'alourdir de façon

significative.

Jusqu'à 11,3 millions de tonnes de CO2

Les résultats de l'étude menée par des chercheurs de l'Université de Bristol ont de

quoi impressionner. En 2016, les visionnages de vidéos Youtube ont émis plus de 11,3

millions de tonnes de CO2 dans l'atmosphère. C'est l'équivalent de la quantité de gaz à

effet de serre de villes comme Francfort, Glasgow ou Scotland sur un an.

Pourtant, à l'inverse des émissions carboniques de secteurs comme l'automobile ou

l'énergie qui demandent du temps et des investissements de taille pour être endiguées,

les chercheurs soulignent que le plus gros problème de plateformes comme Youtube

réside dans le « design » de leur interface.

Un simple changement d'interface pour réduire les émissions

Pour les scientifiques, certains sites web comme Youtube « utilisent plus d'électricité

que nécessaire pour maintenir la même expérience client ». L'étude fustige notamment

le système de lecture automatique des vidéos de musique de Youtube qui, s'il « pouvait

s'arrêter dès qu'un internaute arrête de regarder la vidéo activement », pourrait réduire

l'empreinte écologique de 323 000 tonnes de CO2.

9


TEST

Les nouveautés

du Raspberry Pi 4

Sa faisais longtemps que les utilisateurs

attendaient la sortie de la nouvelle

version du micro-ordinateur, qui fut

vraiment surprenant puisque cette version

n’était pas prévue avant longtemps.Voyons

quel sont les nouveautés proposées par

cette nouvelle version ?

La RAM jusqu’à 4 Go, une amélioration

considérable, passant de 1 Go en DDR3 à

4 Go en DDR4

Cette augmentation permettra de faire

tourner de plus en plus d’application à

forte consommation, comme les vidéos et

le traitement d’images.

La version sera proposée en plusieurs modèle

avec au choix 1 Go, 2 Go et 4 Go de

RAM

Un processeur bien plus puissant, le

CORTEX A72

Cadencée à 1500 Mhz, par rapport aux

versions précédent à 1400 Mhz, ce sera

toujours un ARM, un ARMv8-A en mode

64 bits.

Ce processeur va donner un coup de boost

au micro-ordinateur

Le GPU, est bien entendu amélioré,

VideoCore VI qui permet les vidéos en 4K

Avec l’arrivée du processeur A72, la partie

GPU embarqué à aussi reçu les améliorations,

puisque le Raspberry Pi 4 supportera

la vidéo en 4K, et sur deux écrans.

Il y a également l’ajout du support d’Open-

GL 3.0 qui est présent, ce qui va améliorer

la performance coté rendu graphique et

d’accélération vidéo.

Meilleur port HDMI, Ethernet et USB

Le port Ethernet 1 Gigabit, cette amélioration

était très attendue pour augmenter

les flux en matière d’utilisation comme

serveur de l’appareil et des flux vidéo via

internet.

Les ports USB ont été revu, et deux parmi

les ports sont des USB3.

Le port HDMI traditionnel se change en

deux ports Micro-HDMi, ce qui permet

l’utilisation directement sur deux écrans.

Bluetooth et Alimentation

Le Bluetooth lui aussi passe à la version 5.0

par rapport aux versions précédentes qui

était de 4.2.

L’alimentation a été remplacé, le port USB

micro-B par un port USB-C.

10


TEST

Conclusion

Le Raspberry Pi 4 apporte son lot d’amélioration

et qui promet une utilité accrue

pour nos utilisations, que ce soit pour le

traitement de vidéo, mise en place d’un

serveur ou pour les fans de l’électronique.

PRIX

1 Go de RAM

2 Go de RAM

35 € 45 €

4 Go de RAM

55 €

Le nouveau Raspberry 4 Modèle B propose :

• Processeur : Broadcom BCM2711 Cortex A72 (ARMv8),

quad-core cadencé à 1,5 GHz

• GPU : VideoCore VI prenant en charge OpenGL ES 3.0,

décodage HEVC 4K à 60 i/s

• Mémoire RAM : LPDDR4 de 1 Go, 2 Go ou 4 Go

• Stockage : non fourni (port microSD)

• Affichage : 2 ports micro-HDMI supportant la 4K à 60 i/s

• Audio : Port AV 3,5 mm

• Connectivité : Ethernet Gigabit (RJ45) avec PoE, WiFi

802.11b/g/n/ac (5 GHz + 2,4 GHz), Bluetooth 5.0

• Ports : 2 xUSB 3.0, 2 x USB 2.0, 1 x USB-C (alimentation

15W), 1x GPIO 40 pin (le même que la génération

précédente), 1x CSI, 1x DSI, 1x port quadripôle

Audio/Vidéo composite

11


CONSEILS

Les hébergeurs web à Madagascar

Aujourd’hui la rédaction vous propose un comparatif des hébergeurs web à Madagascar.

Si vous êtes une entreprise, ou un particulier et que vous souhaitez

crée ou mettre en ligne votre site web, alors vous avez besoin d’un hébergeur

web, c’est essentiel pour que votre site web soit en ligne et accessible par internet. Nous

vous facilitons le travail, plus besoin de chercher, voici une liste des hébergeurs les plus

connus avec leurs offres.

Mpiketrika Company

Site : www.mpiketrika.com

Cette entreprise propose une solution professionnelle avec nom de domaine ainsi que

la création de votre site internet et c’est gratuit pour la première année. Utilisant CPanel

pour configurer votre domaine, la possibilité de création d’adresses emails personnalisées

et bien sûr Certificat SSL gratuit pour protéger la navigation des internautes. Le

serveur en question est hebergé à Londre et l’assistance est 100 % gratuite.

L’entreprise propose trois offres d’hébergement :

Acajou : Pour 175 000 Ar/an, vous avez 1 Go de stockage, nom de domaine offert et 10

adresses mail

Palissandre : Pour 350 000 Ar/an, vous avez 25 Go de Stockage, nom de domaine offert

et 25 adresses mail

Bois de rose : Pour 700 000 Ar/an, vous avez stockage illimité, nom de domaine offert et

100 adresses mail.

12


Mada Web Hosting

Site : mada-webhosting.com

CONSEILS

Il se dise être le moins cher du marché, l’équipe est basée à Madagascar, une

suivi et assistance 24h/24 et 7j/7, le nom de domaine est offert à vie pour

chaque hébergement, les serveurs sont performants, paiement facile à partir

de Mvola, Orange Money, chèque ou virement, une sauvegarde journalière

est présente avec une protection contre les virus et les spams.

Cette société propose 4 formules d’hébergement :

PERSO : 95 000 Ar/an vous avez 1 Go de stockage, avec un nom de domaine gratuit,

un traffic illimité et 5 adresses email compatible Outlook, aucun sous domaine,

et un compte FTP et une base de données, l’administration du domaine se fait avec

Cpanel.

STARTUP : 132 000 Ar/an vous avez 5 Go de stockage, avec un nom de domaine

gratuit, un traffic illimité et 25 adresses email compatible Outlook, aucun sous

domaine, et un compte FTP et une base de données, l’administration du domaine se

fait avec Cpanel.

BUSINESS : 244 000 Ar/an vous avez 10 Go de stockage, avec un nom de domaine

gratuit, un traffic illimité et des adresses email illimité compatible Outlook, des sous

domaines illimités, et des comptes FTP illimité et trois bases de données, l’administration

du domaine se fait avec Cpanel.

ENTREPRISE : 320 000 Ar/an vous avez 50 Go de stockage, avec un nom de domaine

gratuit, un traffic illimité et des adresses email illimité compatible Outlook,

des sous domaines illimités, et des comptes FTP illimité et des bases de données

illimité, l’administration du domaine se fait avec Cpanel.

13


CONSEILS

MADANET

Site : www.madanet.info

Cette entreprise quant à elle, propose un stockage à choix en SSD, des

adresses email Pro illimité, l’administration avec Cpanel, un éditeur de site

gratuit qui est softaculous, la bande passante et des sous domaines illimité. Il

propose aussi un transfère de contenu d’un ancien compte vers le nouveau,

le site web, les adresses email, … gratuitement. Propose aussi 446 applications

installable en 1 clic, comme WordPress, Joomla, Prestashop et bien

d’autre.

Elle propose 4 solutions d’hébergement :

PACK ESSENTIEL : Pour 100 000 Ar/an, on dispose d’un stockage de 10 Go, d’un

nom de domaine offert, de 50 comptes email, de 10 sous domaine, d’une bande

passante illimité tout comme le traffic et les comptes ftp, avec une sauvegarde quotidienne,

la protection contre les virus et les spams.

PACK STANDARD : Pour 150 000 Ar/an, on dispose d’un stockage de 30 Go, d’un

nom de domaine offert, avec certificat SSL, de 150 comptes email, de sous domaine

illimité, d’une bande passante illimité tout comme le traffic et les comptes ftp, avec

une sauvegarde quotidienne, la protection contre les virus et les spams.

PACK CONFORT : Pour 200 000 Ar/an, on dispose d’un stockage de 60 Go, d’un

nom de domaine offert, d’un certificat SSL, de 300 comptes email, de sous domaine

illimité, d’une bande passante illimité tout comme le traffic et les comptes ftp, avec

une sauvegarde quotidienne, la protection contre les virus et les spams.

PACK PREMIUM : Pour 300 000 Ar/an, on dispose d’un stockage illimité, d’un

nom de domaine offert, d’un certificat SSL, de compte email illimité, de sous domaine

illimité, d’une bande passante illimité tout comme le traffic et les comptes ftp,

avec une sauvegarde quotidienne, la protection contre les virus et les spams.

illimité, l’administration du domaine se fait avec Cpanel.

14


CONSEILS

Tranokala

Site : www.tranokala.pro

Ce site par rapport aux autres propose un plan tarifaire mensuel et annuel,

il propose de construire les sites web, avec une offre de 350 CMS, incluant

softaculous, un marketing sur mesure.

Cette entreprise propose trois offres d’hébergement :

START HOSTING : 7 500 Ar/mois ou 90 000 Ar/an on a un stockage en

SSD illimité, tout comme la bande passante et les bases de données et 20

comptes FTP, sous domaine illimité, nom de domaine en .com offerte, la

sauvegarde, le certificat SSL et la protection antivirus et antispam sont inclus,

avec 100 comptes email et 1 seul domaine hébergeable.

BUSINESS HOSTING : 12 000 Ar/mois ou 135 000 Ar/an on a un stockage

en SSD illimité, tout comme la bande passante et les bases de données et

50 comptes FTP, sous domaine illimité, nom de domaine en .com offerte,

la sauvegarde, le certificat SSL et la protection antivirus et antispam sont

inclus, avec 250 comptes email et 10 domaines hébergeable avec accès SSH.

PREMIUM HOSTING : 15 000 Ar/mois ou 180 000 Ar/an on a un stockage

en SSD illimité, tout comme la bande passante et les bases de données et

50 comptes FTP, sous domaine illimité, nom de domaine en .com offerte,

la sauvegarde, le certificat SSL et la protection antivirus et antispam sont

inclus, avec des comptes email et domaines illimité hébergeable avec accès

SSH.

15


CONSEILS

SIMAFRI

Site : www.simafri.com

Numéro 1 à Madagascar, sur le marché depuis 2002, il est simple et rapide,

les bureaux situés à Antananarivo, des offres plutôt complètes, des espaces

de stockage illimité, l’administration se fait avec Cpanel, avec une remise de

20% si on choisit un nom de domaine .COM en utilisant le code promotionnel

POINTCOM. Satisfait ou Remboursé 30 jours.

Cette société propose 3 solutions d’hébergement :

Pack Perso : Pour 99 000 Ar/an, on dispose d’un espace disque et traffic

illimités, d’un domaine .COM, .NET ou .MG offert, d’une base de données

MySQL illimitées, de 50 comptes email et 1 domaine hébergeable avec certificat

SSL inclus et Webmail compatible Outlook, sous domaines illimités

avec Antivirus et Antispam inclus.

Pack Pro : Pour 149 000 Ar/an, on dispose d’un espace disque et traffic

illimités, d’un domaine .COM, .NET ou .MG offert, d’une base de données

MySQL illimitées, de 150 comptes email et 5 domaines hébergeable avec

certificat SSL inclus et Webmail compatible Outlook, sous domaines illimités

avec Antivirus et Antispam inclus.

Pack Premium : Pour 199 000 Ar/an, on dispose d’un espace disque et traffic

illimités, d’un domaine .COM, .NET ou .MG offert, d’une base de données

MySQL illimitées, des comptes email et des domaine illimités hébergeable

avec certificat SSL inclus et Webmail compatible Outlook, sous domaines

illimités avec Antivirus et Antispam inclus.

16


Tableau Récapitulatif :

CONSEILS

17


DOSSIER

Google Stadia

Stadia est la plateforme de google qui

propose le cloud computing, ou en

langue de Molière une plateforme de

streaming de jeux vidéo à la demande dans

le cloud.

Cette plateforme à été présenté lors du

Game Developer Conférence 2019, le

service permet de jouer à des jeux vidéo

dotés de budgets de développement et de

promotion les plus élevés ou ayant reçu de

bonnes évaluations de la part de critiques

professionnels, ce qui veut dire de grande

qualité.

Elle peut être accessible sur toutes sortes

d’appareils, comme un ordinateur ou un

Chromecast.

Le jeu est exécuté sur des serveurs distants,

le flux vidéo est ce qui est retransmis à partir

des serveurs sur le la plateforme choisie

par l’utilisateur.

Le service sera lancé en novembre 2019

dans 14 pays.

2 types d’utilisateurs peuvent profiter de

Google Stadia, les éditeurs et les créateurs

de contenus qui peuvent mettre leurs jeux

sur la plateforme, qui ont à leur disposition

par Google des outils, ils profitent

aussi d’instances dotées d’une puissance de

calcul inédite, et peuvent optimiser leurs

contenus pour des architecture bien plus

performante pour aboutir à un rendus graphiques

incroyable.

18


Puis il y a les joueurs, ils peuvent accéder

à la plateforme et au jeux contenus dans

celui-ci via un simple lien, quelle que soit

la machine sur laquelle ils le consultent,

du moment où il y a Google Chrome. Ce

dernier terminal n’a pas besoin d’être puissant,

juste d’un débit de connexion internet

suffisant.

On peut alors jouer pratiquement à de gros

titre de l’univers du jeu vidéo, sur des appareils

pas si puissants, et directement jouer

à un jeu, plus de temps d’installation, de

mise à jour ou de lancement.

Le prix et la date de sortie :

Deux formules seront proposées :

• Stadia de base est gratuite

• Stadia Pro 9,99 € par mois

Stadia Base permet l’accès au service, mais

il faut payer dès qu’on souhaite jouer. Et

bien sûr le prix de chaque jeu varie en

fonction, de leur date de sortie, la qualité

du flux vidéo que vous recevrez qui est bridée

à 1080p. l’offre gratuite sera disponible

DOSSIER

bien après le lancement de la plateforme,

vers le milieu de 2020 et aucun jeu ne sera

offert avec cette offre.

Stadia Pro permet pour 9.99 € par mois de

profiter d’un accès jusqu’à 4K HDR 60 FPS

avec un son 5.1 surround. Et permet de

bénéficier de jeux gratuits à la manière du

Playstation Plus et Xbox Live Gold. Destiny

2 sera disponible au lancement, par

contre tout le reste du catalogue est payant.

Et c’est cette offre qui sera disponible au

lancement de la plateforme.

Google propose aussi de pré-réserver un

pack Google Stadia Edition fondateur,

mais faut mettre la main bien profonde

dans la poche. Proposé à 129 # et inclut

une manette Stadia Controller en édition

limitée Night Blue, un Chromecast Ultra

et 3 mois d’abonnement. Si vous choisissez

cette offre, vous recevrez un email avant le

lancement de Stadia pour que vous choisissiez

et réserver votre pseudo avant tout

le monde.

19


DOSSIER

Liste des eux disponibles au lancement

de Stadia

A ce jour, il y a minimum 27 jeux lors du

lancement, Google n’a pas précisé lesquels

seront gratuits ou lesquels seront payants

pour les abonnés Pro. Le prix des jeux

payants sur la plateforme sera le même à

ceux pratiqué sur le store des consoles.

Les abonnés de l’offre Pro auront toujours

accès aux jeux qu’ils ont acheté après l’annulation

de leur abonnement, mais pas

ceux qu’ils ont reçu gratuitement, ils retrouveront

l’accès à ces jeux dès qu’ils reprendront

leur abonnement.

Les appareils compatibles

Il suffit que votre ordinateur, smartphone

ou tablette puisse lancer le navigateur

Chrome, pour les téléviseurs il faut obligatoirement

passer par un Chromecast.

Faudra faire attention puisque toutes les

définitions ne sont pas prises en charge au

lancement du service. Tout comme l’optimisation

des écrans ultra wide n’est pas

prévu au début du lancement.

Windows ou Linux.

Une connexion aux alentour de 10 MB/s

permet d’accéder au service en 1080p.

Pour le 4K HDR 60 FPS il faut autour de 35

MB/s minimum.

Stadia : la fiche technique incroyable

Chaque instance (il s’agit d’une sorte de

machine virtuelle dans un datacenter)

s’adaptera aux besoins de chaque jeu.

Néanmoins Google à donné une configuration

type lors de la présentation du service.

•GPU AMD 10.7 Téraflops avec

56 unités de calcul et mémoire

HBM2

•CPU adapté x86 @2.7 GHz avec

hyperthreading, AVX 2 et 9.5 Mo

de cache L2+L3

•16 Go de RAM avec des vitesses

de transfert de 484 GB/s

Google propose d’acheter une manette,

le Stadia Controller, qui se connecte en

WIFI, elle est disponible seule et elle ne

permet pas d’accéder à la plateforme. Cette

dernière est dotée d’un port USB-C pour

jouer en filaire sur PC, tablette ou smartphone.

Au lancement de la plateforme, le service

ne sera pas disponible sur tous les smartphones,

mais via une application uniquement

disponible sur les Pixel 3/XL et 3a/

XL. En revanche possible ssur les MacOs,

20


E-SPORT

Ninja, le joueur de Fortnite, devient le premier streamer

pro individuel signé par Adidas

La marque Adidas et le streamer

Ninja ont annoncé un partenariat

habituellement réservé aux sportifs de

haut niveau.

Tyler Blevins, plus connu sous le nom de Ninja, est

en train de devenir l’équivalent d’un Cristiano Ronaldo,

un Lionel Messi ou encore un Neymar. Dans

une vidéo publiée le 27 août 2019, le vidéaste star

du jeu Fortnite a annoncé un partenariat avec Adidas.

Habituellement, l’équipementier sponsorise

des sportifs (exemple : le basketteur James Harden).

La marque s’était mise aux équipes eSport en 2018,

mais c’est la première fois qu’elle signe un joueur

individuellement.

« Je me souviens quand les gens me demandaient

si je pensais vraiment pouvoir faire carrière dans le

gaming. Je me souviens que les gens me disaient

que ça ne serait jamais possible », indique Ninja,

philosophe d’un jour, dans la description de la vidéo.

La star souhaite ainsi se diversifier (et gagner

toujours plus d’argent), à la manière d’autres professionnels.

Ninja devient un athlète comme les autres

Selon les informations de The Verge publiées le

27 août 2019, Ninja, qui pèse plus de 22 millions

d’abonnés sur YouTube, va s’associer à Adidas pendant

plusieurs années (sans précision sur la durée

ni le montant du deal). On ne connaît pas encore

précisément les contours du rapprochement mais

on peut déjà tabler sur une collection de vêtements

thématiques. Adidas a indiqué qu’il pourrait y avoir

des produits « physiques comme virtuels ». Dans la

vidéo, on aperçoit un sweat à capuche avec une inscription

‘Ninja’ sur l’une des manches.

Cette collaboration étonnante prouve que Ninja

embrasse de plus en plus une carrière comparable

à celle d’un athlète de haut de niveau. Comme un

footballeur, il a changé d’équipe via un transfert retentissant

(il est passé de Twitch à Mixer). Comme

un footballeur, il associe son nom à celui d’une

marque de sport. Et il est intéressant de rappeler

que Tyler Blevins a démarré en tant que joueur professionnel

d’Halo 3, à une époque où l’eSport n’était

encore qu’au stade embryonnaire.

Pour Adidas, la signature d’une célébrité comme

Ninja lui permet de s’adresser à un public qu’il a

moins l’habitude de toucher. Son concurrent Nike

a, de son côté, un pied dans l’eSport en fournissant

des vêtements à la ligue professionnelle chinoise

de League of Legends.

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GAMING

Red Dead Redemption 2 : Un joueur a éliminé la moitié d'une ville

avec seulement une balle

Un joueur a récemment réussi un

exploit assez dingue, puisqu'il a

tué la moitié d'une ville dans Red

Dead Redemption 2 avec seulement une

balle !

Red Dead Redemption 2, la suite tant attendue

de l'emblématique Red Dead Redemption,

a été publié sur console le 26

octobre 2018, soit plus de huit ans après le

premier titre.

Près de neuf mois après la sortie du jeu,

les joueurs arrivent encore à découvrir de

nouvelles choses et également à accomplir

certains exploits.

Récemment, l'utilisateur MC_Sandman a

publié une vidéo sur Reddit, montrant une

scène d'action assez folle puisqu'il a réussi

à éliminer plus de la moitié d'une ville à

l'aide d'une seule et unique balle. Le joueur

était recherché par de nombreux ennemis

et s'étant réfugié dans une petite maison en

bois, il a directement dégainé son pistolet

et à tirer une balle enflammée sur le premier

ennemi qui a franchi la porte.

Cette balle a complètement enflammé

l'entrée de la maison et tous les autres qui

ont tenté de rentrer à l'intérieur de la maison

ont directement brûlé sans avoir eu le

temps de tirer une balle.

Les utilisateurs Reddit qui ont vu ce clip

ont tous été très surpris et certains ont

déclaré vouloir tenter de reproduire cette

action.

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SECURITE

Varenyky, le malware qui enregistre l’écran des utilisateurs

visitant des sites pornographiques

C’est un logiciel malveillant dont l’ESET,

n’a pas encore, percé tous les secrets.

ESET entreprise spécialiste de la sécurité

informatique a annoncé avoir détecté un

programme se diffusant par e-mail et

Comment se diffuse-t-il ?

capable d’enregistrer l’écran des internautes consultant

un site pornographique. Avec une particularité, c’est

qu’elle ne sembler cibler que les français.

Que fait ce malware :

Il est capable d’effectuer différentes missions sur les

ordinateurs qu’il infecte :

Enregistrer l’écran des internautes qui consultent

de la pornographie, quand l’utilisateur d’un ordinateur

ouvre une fenêtre dans laquelle des motsclés

liés à la pornographie (mais aussi les termes «

bitcoin » ou … « Hitler ») apparaissent, le logiciel

enregistre ce qui se passe à l’écran et peut l’envoyer

à un serveur distant.

Envoyer des spams, les ordinateurs infectés sont

utilisés pour envoyer des messages de phishing

(consiste à duper les internautes pour leur dérober

des informations personnelles, les messages envoyés

incitent la cible à cliquer sur un lien vers une

page, leur faisant croire qu’ils sont sur le point de

gagner un prix, à condition qu’il mette leurs informations

personnelles) à des milliers de personnes.

Dérober des mots de passe, et les identifiants à partir

du navigateur internet ou du logiciel de gestion

d’e-mails.

Varenyky se diffuse par e-mail, ESET donne un

exemple du type de courriel reçu par les victimes,

intitulé « facture ». « Le paiement de la commande

#656472 d’un montant de 491,27 € vient d’être validé

» c’est ce qu’on peut lire dans le prétendu e-mail,

avec la fausse facture en pièce jointe, sous format

Word. De quoi inquiéter le récipiendaire qui n’a pas

souvenir d’une telle commande, et le pousser à ouvrir

la pièce jointe pour en savoir davantage. C’est

elle qui contient le malware. Celui-ci fonctionne sur

Windows.

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SECURITE

Qui vise-t-il ?

Ce logiciel est conçu pour viser les français : l’équipe

d’ESET a constaté qu’il vérifie avant de se lancer que

Windows est configuré en langue française et a défini

la France comme pays. Il vérifie aussi la configuration

du clavier, pour exclure les claviers anglais

ou russe. Alors pourquoi ne cibler que les français

? ESET avance une tentative d’explication sur son

site :

« Ceci constitue une astuce ingénieuse pour tromper

les analyseurs automatiques d’échantillons et

éviter d’attirer l’attention, grâce au nombre limité

de configurations informatiques sur lesquelles ce

logiciel malveillant est installé. »

Par ailleurs, les spams envoyés par Varenyky ne

le sont qu’à des adresses e-mail orange.fr (ou

wanadoo.fr, l’ancêtre du fournisseur d’accès à Internet

Orange).

Qui sont les auteurs de ce malware ?

Les rares indices dont dispose ESET ne lui permettent

pas de se risquer à établir des hypothèses.

L’entreprise souligne toutefois la qualité du français

utilisé dans l’e-mail contenant le malware, « ce qui

pourrait indiquer que ses opérateurs parlent couramment

français ».

Plus étonnant, l’équipe d’ESET a découvert une

page, accessible sur le darkweb par le biais du logiciel

TOR, permettant visiblement aux auteurs du

malware de se connecter à l’interface du serveur

distant qui récupère les informations dérobées. La

page a été plusieurs fois modifiée, et dans ses différentes

versions, les chercheurs ont pu y voir, pêlemêle,

une statue de Marianne avec les yeux rouges,

la formule latine « vade retro satanas », un panneau

allemand « Arrêt – Frontière de l’Etat – Entrée interdite

», la chanson de Mylène Farmer Fuck Them All

se lançant automatiquement, une publicité pour

une bière serbe, une photo de l’inspecteur de la

Panthère rose, un bouton de connexion en russe…

Difficile d’en tirer la moindre conclusion.

Les pirates ont-ils rançonné des victimes ?

ESET dit n’avoir trouvé aucune preuve que des

enregistrements d’écran aient été utilisés afin de

rançonner des victimes. « On ignore si ces vidéos

ont été enregistrées pour satisfaire la curiosité des

auteurs [de Varenyky] ou si ces derniers avaient

l’intention de les monétiser en pratiquant la “sextorsion”

[une pratique consistant à faire chanter des

internautes pour leurs photos ou vidéos explicites]

», écrit l’entreprise. Mais elles « pourraient être utilisées

pour exercer du chantage convaincant ».

D’autant que les auteurs de Varenyky ont déjà fait

chanter des internautes, en lançant en juillet une

campagne de « sextorsion » par e-mail, mais qui,

selon ESET, « ne semble pas reliée » à leur capacité à

enregistrer les écrans des internautes.

Cette arnaque « assez courante » et « largement

documentée », souligne l’entreprise, consiste à

envoyer un message de menaces aux victimes. Le

message laisse entendre que son auteur a piraté

l’ordinateur de la victime, a enregistré sa navigation

sur des sites pornographiques et l’a filmé, par l’intermédiaire

de sa webcam. Le message menace la

victime de divulguer ces vidéos à ses proches et sur

les réseaux sociaux, à moins qu’il ne verse 750 euros

en bitcoins. « L’adresse bitcoin utilisée pour cette

arnaque avait reçu quatre paiements », la dernière

fois qu’ESET a vérifié, la semaine dernière.

Si ces e-mails ne sont pas liés, selon ESET, à la capacité

d’enregistrer les écrans, et si l’entreprise ne

dispose d’aucune preuve que cette capacité ait été

exploitée, elle met les utilisateurs en garde, prévenant

que cela pourrait arriver. En disposant de capacité

de spam, d’enregistrement d’écran et de vol

de données personnelles, les auteurs du malware

ont toutes les cartes en main pour rançonner efficacement

leurs victimes.

L’entreprise de cybersécurité insiste aussi sur le fait

que ce logiciel « est en plein développement » : « Il

a considérablement changé depuis la première fois

que nous l’avons observé. »

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SOCIAL

Facebook modifie le système des groupes

fermés ou secret

Dans l’objectif de simplifier et mieux

expliciter les niveaux de confidentialité

des groupes, Facebook

passe aux groupes publics ou privés.

C’est la fin des groupes secrets, et de même,

Facebook communique que qu’il ne sera

plus question de groupes fermés. Il ne s’agit

pas d’une entorse à la nouvelle stratégie de

Facebook concernant une plateforme davantage

centré sure la vie privée avec justement

les groupes, mais d’une simplification

pour les paramètres de confidentialité

des groupes.

De ce fait les groupes seront privés ou

publics. Avec les groupes privés, seuls les

membres verront les publications, commentaires

et partages des membres dans

le groupe, ainsi que les noms des membres

du groupe, les noms des administrateurs et

modérateurs.

Les administrateurs pourront agir sur la

visibilité du groupe privé afin de permettre

ou non sa découverte (recherche) par quiconque.

Avec ce paramétrage de visibilité,

la situation sera similaire à ce qui était auparavant

proposé en tant que groupe fermé

ou secret.

Pour les groupes publics, rien ne change

avec des publications visibles par tout le

monde. Par ailleurs, les mêmes standards

de la communauté s’appliqueront aux

groupes privés et publics, ce n’est pas par

ce qu’un groupe est privé et caché que tout

est permis… les algorithmes de machine

learning veillent au grain.

« Nous apportons ce changement par ce

que des utilisateurs nous ont dit qu’ils

veulent davantage de clarté sur les paramètres

de confidentialités – publics et privé

- permettra de savoir plus clairement qui

peut trouver le groupe et voir les membres

et les publications qui en font partie », écrit

Facebook.


SOCIAL

INSTAGRAM, LE MODE SOMBRE

De plus en plus d’applications se parent

d’un mode sombre pour réduire la

fatigue oculaire de leurs utilisateurs et

prolonger l’autonomie de la batterie de

nos smartphones.

Pour en profiter sur votre smartphone

Android ou iOS, vous devez installer la

dernière version du système d’exploitation.

Comment activer le mode sombre ?

Android

Pour l’activer vous devez installer Android 10. Une fois que c’est fait, vérifiez que vous

êtes bien équipé de la dernière version de l’application. Vous devez au minimum avoir

installé la version 114.0.0.38.120. Si ce n’est pas le cas, récupérer la dernière version sur

le Play Store. Suivez ensuite la méthode ci-dessous.

•Rendez-vous sur l’icône des Paramètres d’Android 10

•Cliquez sur l’icône Affichage

•Faites défiler l’écran qui se présente vers le bas : là vous trouverez l’option

Thème foncé, qu’il vous suffira d’activer pour en bénéficier

•Fermez et relancez l’application

Il suffit donc d’activer le thème sombre d’Android 10. Le mode est aussi accessible en

un clin d’oeil dans la fenêtre de configuration rapide.

iOS

La procédure est sensiblement la même sur iOS. Là encore, vous devez absolument

installer iOS 13 et pour cela, il faut aller dans les réglages de votre iPhone, vous rendre

dans Général puis dans Mise à jour logicielle. On vous conseillera d’activer les mises à

jour automatiques dans la foulée. Une fois iOS 13 installé, suivez ces directives :

•Rendez-vous dans les Réglages de l’iPhone

•Allez dans Centre de contrôle

•Choisissez Personnaliser les commandes

•Dans Autres commandes, cherchez le Mode sombre et appuyez sur le + à

côté

•Retournez à l’écran d’accueil

•Faites glissez votre doigt du coin droit de l’écran vers le centre pour afficher le

centre de contrôle

•Appuyez sur mode sombre

•Fermez et relancez l’application Instagram

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SOCIAL

Les messages supprimés ne le sont pas vraiment

avec WhatsApp

Il semblerait que la fonctionnalité “Supprimer

pour tout le monde” de WhatsApp ne

fonctionne pas à tous les niveaux pour les

propriétaires d’iPhone. Un problème qui ne

semble pas vraiment inquiéter le service de

discussion instantané.

Imaginez, vous envoyez une photo ou n’importe

quel contenu multimédia à l’un de vos contacts

WhatsApp, et là, c’est le drame : votre doigt a

ripé, et vous réalisez trop tard qu’au lieu du selfie

parfait au bord de la plage, c’est un cliché raté de

votre double menton en contre-plongée qui a été

envoyé. Depuis 2017, WhatsApp permettait de

résoudre assez simplement le problème, en proposant

l’option “Supprimer pour tous” jusqu’à une

heure après l’envoi. Une fonctionnalité plutôt pratique,

puisqu’elle permettait de rendre invisible un

message pour tous les membres de la conversation.

Seul problème (de taille), l’outil, bien que pratique

n’est pas du tout fiable, en tout cas concernant les

utilisateurs d’iPhone. Dans un récent article publié

par le site HackerNews, le chercheur en cybersécurité

Shitesh Sachan dévoile en effet que les utilisateurs

de la marque à la pomme peuvent toujours

accéder aux contenus multimédias reçus sur WhatsApp

depuis leur smartphone, même si ces derniers

ont été supprimés de l’application. Dans la plupart

des cas, les images et vidéos envoyées sur le service

de messagerie sont automatiquement sauvegardées

dans l’app Galerie d’un téléphone Android, ou

dans la Pellicule d’un iPhone. Quand un utilisateur

fait appel à la fonctionnalité “Supprimer pour tous”,

le fichier multimédia en question est bien effacé de

l’application WhatsApp et de la galerie Android. En

revanche, il reste toujours accessible depuis la Pellicule

de l’iPhone, et ce, de manière définitive.

Contacté par le chercheur à l’origine de la découverte

de la faille, WhatsApp a expliqué que l’entreprise

ne comptait pas résoudre le problème

dans l’immédiat. Selon un porte-parole du service

de messagerie appartenant à Marc Zuckerberg,

la fonction “Supprimer pour tous” vise en effet

uniquement la suppression sur la plateforme

WhatsApp, et ne garantit donc pas une suppression

permanente et définitive du contenu multimédia

en question.

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