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metamorphose

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metamorphose, subst. fém.

[ meta + mórphosıs ]

«changement de forme»


Adını özgür ve çağdaş düşüncen n öncüler nden alan Tevf k F kret l ses n n öğrenc ler olarak, İç nde bulunduğumuz

bu sıkıntılı dönemde b rb r m zle paylaşım alanımız h ç olmadığı kadar kısıtlı. Bu sebeple okulumuz öğrenc ler

arasında yazılı paylaşım kültürünü gel şt rmen n önem n n farkında olarak, tar hsel objekt fl ğ temel alan, gerçekç ve

aynı zamanda b zlere eleşt rel b r göz le günümüzde meydana gelen olayların kökenler n daha y anlama fırsatı

sunacak b r derg çıkarmaya karar verd k. Kısacası, okulumuz öğrenc ler n n her türden yazma becer ler n

gel şt reb leceğ ve aynı zamanda okul paydaşlarının yazılı b r şek lde b rb rler yle düşünce paylaşımını

gerçekleşt reb leceğ b r alan olması hedef yle yola çıkıyoruz.

Derg de okuyacağınız “les unes” bölümüyle objekt f yazım yeteneğ n gel şt rmey ve bunun yanında b rer dünya

vatandaşı olarak çevrem zde olanlara duyarsız kalmamayı hedeflerken derg n n bel kem ğ n oluşturan fransızca

bölümde se öğrenc ler n f k rler n özgürce ve b l msel temellerle paylaşab lmes n esas aldık.

Derg n n, okul öğrenc ler n n ortak çalışma sürec n n b r ürünü olduğunu bel rterek, kolekt f b r çalışma anlayışının

ben msem ş olmasını öneml buluyoruz. Öğrenc ler n aldığı sorumluluklar sonucu ortaya çıkacak ürünle bağlarının

daha sıkı olacağına nandığımızdan yaratmaya çalıştığımız bu yen geleneğ n sürdürüleb l r olacağını b l yor ve

umuyoruz

İler de dünyaöda görmek sted ğ değ ş m n kend nde başlaması gerekt ğ n n b l nc nde olan öğrenc ler olarak;

okuduğumuz ve yazdığımız her şeyde da m b r gel ş m göster yoruz. Pandem neden yle düşünceler m zle baş başa

olduğumuz bu zamanlarda, gündem hızlıca şek llen rken b reysel ve toplumsal değ ş m, b r sonuçtan öte b r ht yaç

olarak karşımıza çıkıyor. Bütün b r benl k değ ş m anlamına gelen “métamorphose” sözcüğü derg n n oluşum sırasında

karşımıza çıkarken, sembol ze etm ş olduğu sürekl y ye yönelme ve evr lme anlamı bağlamında, derg n n sm ç n en

uygun seçeneğ n “Métamorphose” olduğunu düşünüyoruz.

Hazırladığımız lk sayıyla beraber, derg n n özgür düşünce paylaşımını arttırmasını umuyor ve böyles b r geleneğ n

başlamasına ves le olmaktan mutluluk duyuyoruz. Derg n n ed törler olarak, yazımızı f k rler n ben msem ş

olduğumuz Ölü Ozanlar Derneğ f lm nden b r alıntıyla b t rmek st yoruz. “K m ne derse des n, sözcükler ve f k rler

dünyayı değ şt reb l r.”

Den z El f Bayram

Doğa Çakar

Eylül Şıray


En tant que les élèves du Lycée Tevf k F kret d’Izm r, qu porte le nom des l'un des p onn ers les plus mportants

de la pensée l bre et contempora ne, notre espace de partage est plus l m té que jama s en cette pér ode. Pour

cette ra son, en ayant cons ence sur l’ mportance de développer une culture de partage écr te entre les élèves

de notre école, nous avons déc dé de publ er un magaz ne qu est basé sur l'object v té h stor que et réal té.

Il est ndén able que nos grands efforts, nous donnent l'opportun té de m eux comprendre les or g nes de

l'actual té avec un espr t cr t que. Donc, notre but pr nc pale est créer un platforme où les élèves peuvent

développer toutes sortes de compétences en écr ture en donnant leur reflex ons sur les sujets qu concernent

tous le monde.

Parallèlement, nous v s ons à développer des compétences rédact onnelles object ves avec la sect on "les

unes" que vous l rez dans le magaz ne au prem ère part e dans le but d'être un c toyen du monde qu est

sens ble à ce qu se passe autour de lu . En plus, nous nous sommes focal sé sur le partage des av s par les

éléves l brement et sc ent f quement dans la sect on frança se, qu const tue une p erre angula re du

magaz ne.

Nous trouvons essent el d’ nd quer que le magaz ne adopte une compréhens on collect ve du trava l, aff rmant

qu' l est le produ t du processus de trava l collaborat f des élèves de notre école. Nous savons et espérons que

cette nouvelle trad t on que nous a mer ons créer sera durable, grâce aux l ens forts entre les étud ants et

leurs responsab l tés.

En soul gnant que, nous sommes des éléves qu savent le changement qu' ls souha tent vo r dans le monde à

l'aven r devra t commencer en eux-mêmes; nous sommes déterm nés à montrer une amél orat on constante

dans tout ce que nous l sons et écr vons. De nos jours, l est peu probable que nous partag ons nos dées en

ra son du conf nement et de pandém e. C’est pourquo le changement nd v duel et soc al apparaît comme un

beso n plutôt que comme un résultat. Alors que le mot "métamorphose", qu s gn f e un changement complet de

so , est apparu lors de la format on du magaz ne. Nous croyons que l est l'opt on la plus appropr ée pour le nom

du magaz ne en fonct on des choses qu’ l symbol se tel que l'amél orat on et l'évolut on.

Dès le prem er numéro que nous publ ons, nous espérons que le magaz ne a dera à fa re entendre nos vo x et

nous sommes heureux de contr buer au début d'une telle trad t on. En tant que rédactr ces en chef du

magaz ne , nous souha tons term ner la préface par un extra t du f lm ‘Le Cercle Des Poètes D sparus’ , dont

nous sommes beaucoup nfluencés par les dées: "Peu mporte ce que quelqu'un d t, les mots et les dées

peuvent changer le monde."

Den z El f Bayram

Doğa Çakar

Eylül Şıray


meta

morphose.

[ META + MÓRPHOSIS ]

METAMORPHOSE NO.1

D rectr ce de Publ cat on

-Dürr n Toksöz

Professeurs Référents

-Hakan Şeneken

-Elmas Özb n c

-Murat Yapucu

Rédactr ces en Chef

-Den z El f Bayram

-Doğa Çakar

-Eylül Şıray

Responsables de la M se

en Page

-Efe Çakanş mşek

-Hüsey n Eren Özgün

Des Essa s

Les Unes

L’EFFET DE LA RÉVOLUTION FRANÇAISE

DANS LA RÉVOLUTION ANATOLIENNE

AYÇA DENİZ KAYA

LA REVOLUTİON INDUSTRIELLE

DENİZ ELİF BAYRAM

LE POSTMODERNISME EST-IL UN NOUVEL

OUTIL DANS LA LUTTE POUR L'ÉGALITÉ

DES SEXES

DOĞA ÇAKAR

PREMIÈRE GUERRE MONDIALE : FRONT DE

L’OUEST ET L’ENTRÉE EN GUERRE DES

ETATS-UNIS

MEHMET MERT DALKILIÇ

ÉMEUTES DANS L'HISTOIRE CHINOISE

DURU ŞAHİN

CIVILISATION CURIEUSE DE L'HISTOIRE :

CIVILISATION D’INCA

YAĞMUR KASKAN

HISTOIRE DE LA MODE

SOFİYA GÜRGÖNÜL

L’ ÉDUCATION FRANÇAISE EN TURQUIE

EYLÜL ŞIRAY

LE TOURNANT DE LA SECONDE GUERRE

MONDIALE : LA GUERRE FRANCO-

ALLEMANDE

EKİN YAKA

GRÈCE ANTİQUE

DEFNE BEDİR

LE YAOURT “DANONE”

ZEYNEP EYLÜL ÇELİK

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35

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THE FRENCH DISPATCH

EYLÜL ŞIRAY

GEORGE ORWELL PİYASASI

DENİZ ELİF BAYRAM

BEŞİNCİ YILINDA PARİS İKLİM

ANTLAŞMASI

DOĞA ÇAKAR

AŞI-LANMAK

EKİN YAKA

STARSHIP SN11

SİMGE ÖZÇELENK

PANDEMİDE ÇARESİZ BİR KEMANCI

YAĞMUR NERMAN KASKAN

TRİLOBİTLERDE OKSİJENLİ

SOLUNUM

AYÇA ERCAN

KÜÇÜK BALIK BÜYÜK BALIĞI YER

HÜSEYİN EREN ÖZGÜN

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5







11


L’EFFET DE LA RÉVOLUTION FRANÇAISE

DANS LA RÉVOLUTION ANATOLIENNE

metamorphose.

12

L'Emp re ottoman, l'un des plus grands États établ s par les Turcs à travers l'h sto re, a été

fondé au XVème et XVIème s ècle. C'est le seul super-état du XVIIème s ècle avec des terres

mportantes sur tro s cont nents majeurs du monde. Les changements qu ont eu l eu en Europe

aux XVIIème et XVIIIème s ècles ont provoqué des changements mportants en Europe.

Cependant, ces développements n'ont pas eu l eu dans l'État ottoman, ls sont tombés en décl n

et ont fa t face à un effondrement au début du XXème s ècle.

La Révolut on frança se n'est pas un événement souda n. Dans l'Europe méd évale, des règles

str ctes de rel g on dom na ent dans la mental té des gens. Avec la Rena ssance, l'égl se a été

forcée de se ret rer dans sa propre coqu lle. A ns , l éta t poss ble de penser l brement dans les

doma nes de la sc ence, de la techn que, de la culture et des beaux-arts. Cependant, malgré la

Rena ssance et les réformes, la l berté pol t que ne s'est pas matér al sée. Les efforts pour

rejo ndre l'adm n strat on ont été réal sés avec la Révolut on frança se et le peuple a pu obten r

ses dro ts et l bertés fondamentaux. À la su te de la Révolut on frança se, la compréhens on

état que oppress ve et négalée a été détru te par la force en France.

Le concept de nat onal sme, né de la

Révolut on frança se, a condu t à la

fragmentat on des États mult nat onaux.

L'État ottoman est l'un des États les plus

touchés par le concept de nat onal sme. La

compréhens on du nat onal sme a mob l sé

les m nor tés v vant dans les terres

ottomanes et, à la su te de la provocat on

des pu ssances étrangères, les m nor tés

v vant dans les terres ottomanes ont

augmenté. À mesure que ces nat ons ont

accédé à l' ndépendance, l'Emp re ottoman

est devenu progress vement plus pet t.

Indépendance, l'Emp re ottoman est

devenu progress vement plus pet t. Malgré

l' mpact négat f de la Révolut on frança se

sur l'Emp re ottoman, elle a donné l'exemple

aux Turcs et la compréhens on du turqu sme

est née Atatürk a déclaré que la révolut on

frança se a donné l' dée de l berté à toutes

les nat ons et que la démocrat e turque éta t

en vo e de révolut on frança se, ma s qu'elle

s'est développée avec ses propres

caractér st ques. Le mouvement frança s de

1789, comme le d t Atatürk, est une sér e de

v olat ons qu ont duré cent ans.

La révolut on anatol enne est un mouvement

popula re. Elle a about à la guerre de l bérat on

et s'est transformée avec des révolut ons.

Que s gn f ent donc «révolut on» et “réforme”

La Révolut on est "Le renouvellement des

nst tut ons dans les doma nes pol t que, soc al

et m l ta re appartenant à un État au moyen de

l'État, rad calement changé et renouvelé". La

Réforme : «Il s'ag t d'un mouvement popula re à

grande échelle créé par la force pour changer

l'organ sat on pol t que d'un État sans se

conformer aux formes jur d ques.»

Atatürk a fréquemment ut l sé le mot

révolut on et a att ré l'attent on sur la d fférence

entre ces deux concepts.

Comme on peut le vo r, la réforme se réfère à

un changement dans le développement et le

progrès, ma s la révolut on a un sens de

perturber l'ordre ex stant. En fa t, la révolut on

const tue une phase de la révolut on, la part e

destructr ce.


Comment s'est déroulée la révolut on anatol enne ?

L'emp re ottoman a commencé au temps du sultan Sol man le Magn f que. Avec les

cap tulat ons qu'elle donna à l'Angleterre, à la France, à l'Ital e pu s aux États-Un s, les terres

anatol ennes dev nrent une colon e complète. L'économ e de l'emp re, y compr s l'agr culture,

éta t entre les ma ns de ces États.

Avec l'organ sat on des Turcs en Anatol e sous la d rect on de Mustafa Kemal, la guerre contre

les forces d'occupat on a été lancée, et le pr nc pe de la souvera neté nat onale a été m s en

avant avec la c rcula re d’Amasya qu' ls ont publ ée, et d'autre part, l a été tenté de sauver

l' ndépendance en danger. La c rcula re d’Amasya est un document de base qu prépare la

créat on du nouvel État turc, une déclarat on de révolut on, et montre que la révolut on a

commencé en Anatol e.

Pour qu’une réforme se produ se, certa nes cond t ons do vent être réun es :

-Problèmes adm n strat fs, soc aux et économ ques rencontrés par la soc été. Il est poss ble

de vo r cette s tuat on dans la révolut on frança se.

-Une d sc pl ne, un plan et un programme do vent être nécessa res pour qu'une réforme a t

l eu. Il n'y a pas de plan n t al dans la Révolut on frança se. Cependant, un plan et un programme

ont ensu te été élaborés.

-Amél orer sa v e et développer des études pour préparer la révolut on. Sans Montesqu eu,

Volta re, Jean Jacques Rousseau, l n'y aura t pas de révolut on frança se. Tand s qu'en Turqu e,

pendant la pér ode const tut onnelle, Namık Kemal, Ş nas , sous la pér ode de Z ya Pasha

Tanz mat, les travaux d' ntellectuels const tut onnels tels que Tevf k F kret, Z ya Gökalp,

Abdullah Cevdet et leurs pensées ont été très nfluents. Issu de cette générat on, Mustafa

Kemal a appr s les dées de ces penseurs, les a adaptées à la structure soc ale turque et les a

appl quées.

metamorphose.

Dans la révolut on turque, l y a un

certa n plan, programme et

d sc pl ne depu s le début. De cette

façon, Mustafa Kemal et ses am s

ont réal sé la révolut on turque qu

donnera l'exemple au monde.

S nous regardons le concept de rébell on, la

rébell on est l'acte de se rebeller contre l'État

af n de réal ser le but et la c ble l m tés d'un

certa n groupe ou de toute organ sat on dans

la soc été.

S la révolte peut se développer, elle peut se transformer en révolut on, et s la révolut on peut

se développer, elle peut se transformer en révolut on. Ce fut le cas lors de la révolut on

frança se. Dans la révolut on turque, l n'y a pas de phase de rébell on et de révolut on.

L'oppos t on de Mustafa Kemal au gouvernement d'Istanbul ne peut pas être décr te comme

une rébell on parce qu' l n'y a pas d'État pour se rebeller. L'État ottoman, qu a s gné l'arm st ce

de Moudros, a perdu son ex stence légalement parce qu' l a perdu des personnes autres que

l'élément nat onal, qu devra t être présent dans un État.

13 11


metamorphose.

metamorphose.

-Avant la Révolut on frança se, l y ava t une dée de préparat on dans le pays et le

mouvement s'est développé du sol au plafond. La révolut on turque s'est déroulée du

plafond au fond, avec les cadres d r geants, notamment Mustafa Kemal.

-Il y a eu une rébell on et une longue sér e de révolut ons dans les étapes précédentes

de la Révolut on frança se. Au bout d'un s ècle, l' nc dent en France est devenu une

révolut on. Dans la révolut on turque, l n'y a pas de phase de rébell on et de révolut on. La

révolut on a été lancée d rectement.

-La Révolut on frança se est née dans son propre État et a été menée contre sa propre

adm n strat on. Le po nt de départ de la révolut on turque est une lutte nat onale contre

les forces d'occupat on.

-La Révolut on frança se a commencé à la classe bourgeo se et l'a fa t réuss r.

Cependant, la révolut on turque ne peut être attr buée à aucune classe, car aucune

classe pr v lég ée n'a été formée à aucune pér ode de l'h sto re de la soc été turque.

-La révolut on turque n'est pas longue et sanglante comme la révolut on

frança se.

Ayça Den z Kaya

B bl ograph e

14 11

ATATÜRK İLKELERİ VE İNKILAP TARİHİ. (n.d.). Başkent Ün vers tes . http://www.baskent.edu.tr/~ek s kl /not1.html

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Derg s , 3 (1) , . Retr eved from https://derg park.org.tr/tr/pub/ataun ad/ ssue/2357/30197


LA RÉVOLUTİON INDUSTRIELLE

Avez-vous déjà entendu parler de la révolut on ndustr elle, le créateur de la plupart des

mach nes que nous ut l sons actuellement, des m ll ers de marques de vêtements que nous

portons, des vo tures que nous condu sons. Quel est le vra v sage de la révolut on ndustr elle

que nous rencontrons dans de nombreuses sources : «L' mpact des nouvelles nvent ons sur la

product on en Europe aux XVIIIe et XIXe s ècles et les mach nes à vapeur donnant na ssance à

l' ndustr e mécan sée». Quels sont les aspects de ce «chef-d'œuvre» qu est l'un des

événements qu a eu des mpacts énormes sur le monde au 21e s ècle?

Commençons par une déf n t on plus réal ste s vous le souha tez. Révolut on ndustr elle: c'est

la na ssance de la classe bourgeo se composée de propr éta res d’us nes et d’ atel ers (us nes

qu emplo ent des salar és, les travaux se font plus manuellement que des mach nes)

metamorphose.

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metamorphose.

Comment éta t l' ndustr e en Angleterre au XVIIIe s ècle?

Les profess ons requ ses au Moyen-Âge ayant perdu leur ra son d'être, les

art sans ndépendants éta ent nnombrables. La major té de ceux qu t ssa ent le

t ssu des marchands qu commanda ent le t ssu de la robe qu' l fera t éta ent des

art sans. Après un certa n temps, les commerçants ont commencé à employer

ces art sans sous le même to t. Pendant ce temps, l a accumulé des trésors

n mag nables de l'explo tat on de tous les pays sous le joug de l'Angleterre. Les

marchands qu pouva ent déposer leur argent dans toutes sortes d'endro ts, les

propr éta res d'atel ers (propr éta res de partout où l'employeur explo ta t les

trava lleurs et où les choses se fa sa ent sans mach nes) et les nobles éta ent plus

que ce à quo vous vous attend ez. Les paysans et les art sans à la recherche d'un

emplo éta ent les plus répandus dans ce pays. Les propr éta res ont été

ncend és avec une v e lle cabane de paysannes, qu n'a pas accepté

d'abandonner et de la sser les paysans sur leurs terres lorsqu' ls ont qu tté leur

logement. Le trava l du paysan «chanceux» qu a trouvé un emplo dans un atel er

éta t plus eff cace qu'un art san. En même temps, l'atel er n'éta t pas en mesure

de sat sfa re les beso ns de l'Angleterre et de ses colon es et d'augmenter

név tablement sa product on. Pendant ce temps, les trava lleurs se batta ent et

protesta ent contre cette njust ce et cette explo tat on nhuma ne. Les

employeurs éta ent dés reux d'embaucher des femmes et des enfants au l eu de

ces émeutes, ma s ces emplo s nécess ta ent une grande maîtr se et une pér ode

de préparat on suff sante.

Quelle est la ra son pr nc pale de la révolut on ndustr elle?

La Grande-Bretagne a connu des événements mportants au XVIIIe s ècle, lorsque

l' ndustr e et le commerce ont fa t de grands progrès, la demande a augmenté et les

rébell ons des trava lleurs ont progress vement augmenté: l' nvent on de la

prem ère mach ne. Ceux-c ont commencé à en bénéf c er mméd atement. Des

us nes employant des m ll ers de trava lleurs ont été créées. Il a d'abord été ut l sé

dans l' ndustr e du coton en 1765, pu s avec la créat on de la prem ère us ne de

t ssage en 1771. Cependant, une mach ne éta t nécessa re pour permettre aux us nes

d'être nstallées non seulement sur les r ves d’eau ma s auss a lleurs. C'est alors

qu'un employé de laborato re de l'Un vers té James Watt a réuss à constru re une

mach ne à vapeur capable de fa re fonct onner toute la mach ne d'une us ne, grâce

au système de transm ss on. Dans les années su vantes, la mach ne à vapeur s'est

transformée en wagons sur les ra ls et en nav res sur la mer.

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Effet sur la répart t on des classes:

Prolétar at et bourgeo s l'ut l sat on

de mach nes et l' mplantat on

d'us nes ont commencé à mettre les

art sans dans une s tuat on d ff c le.

Le développement du cap tal sme a

provoqué l'effondrement d'une part e

de la pet te bourgeo s e. Certa ns

membres de cette classe ont gagné

des bénéf ces en explo tant les

efforts des autres. Avec la créat on

des prem ères us nes, les trava lleurs

mascul ns ont été remplacés par des

femmes et des enfants. Le temps de

trava l par jour éta t de quatorze,

qu nze ou même d x-hu t heures. Les

enfants éta ent fouettés au trava l,

les femmes sub ssa ent des

v olences phys ques et sexuelles.

Après un certa n temps, la poss b l té pour les art sans et les ouvr ers de trouver un emplo éta t

presque nex stante. Ceux qu ont vu la faute de cette s tuat on sur les mach nes, pas sur les

patrons cap tal stes, ont commencé à détru re les mach nes. A ns , le mouvement des «br seurs

de mach ne» a éclaté. Depu s que la féodal té, l'un des pr nc paux facteurs empêchant le

cap tal sme, a été él m née avant d'autres pays, la product on de mach nes est née en Angleterre.

l'appauvr ssement des paysans, leur expuls on de leurs foyers ont créé une nouvelle masse à la

recherche de trava l. L'excès de colon es éta t la ressource pour l'accumulat on de cap tal. Avec la

révolut on ndustr elle, la cro ssance démograph que s'est produ te et avec la mécan sat on du

secteur agr cole, le même lop n de terre a pu nourr r plus de personnes. La populat on urba ne

dans les pays a augmenté régul èrement, entraînant des logements déformés, des problèmes

d'ordures et des b donv lles malsa ns. La révolut on ndustr elle a fa t l'objet de nombreuses

œuvres d'art, de ses aspects brutaux au monde. Ma s nous pouvons cho s r cette phrase de

Charles D ckens comme la phrase qu résume le m eux. " C’éta t le me lleur et le p re des temps, le

s ècle de la sagesse et de la fol e, l’ère de la fo et de l’ ncrédul té, la sa son de la lum ère et des

ténèbres, le pr ntemps de l’espérance et l’h ver du désespo r ; devant lu , le monde ava t tout et

r en, l alla t tout dro t au c el et tout dro t en enfer.

metamorphose.

Den z El f Bayram

B bl ograph e

Laura. (2016, Fevr er 13). Un conte de deux v lles, Charles D ckens. https://lecturesandco.com/un-conte-de-deux-v llescharles-d

ckens/

Progres Technolog ques Occ dent [d j tal görsel]. (n.d.). https://www.superprof.fr/ressources/wpcontent/uploads/2008/01/progres-technolog

ques-occ dent.jpg

Yel seyeva, N. V. (2014). Yakın Çağlar Tar h . Yordam K tap.

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LE POSTMODERNISME EST-IL UN NOUVEL OUTIL

DANS LA LUTTE POUR L'ÉGALITÉ DES SEXES?

metamorphose.

Imag nez une pe nture rupestre, une femme ou un homme qu la dess ne? C'est le sujet de

cet art cle. Femmes nv s bles de l'h sto re de l'art… Ma s pour rendre le sujet plus ntéressant,

je tra tera du postmodern sme. Notre prem ère et plus mportante quest on est : Qu'est-ce que

l'art? Il n'y a pas de déf n t on absolue de l'art! L’art, c'est une chose ntu t ve et hol st que. Pour

mo , l’art n'est pas un commencement, ma s un résultat. Il est le résultat de la géograph e dont

l est ssu, de la s tuat on économ que de l'époque, de la soc été dont l est ssu et de b en

d'autres concepts. Selon Gombr ch: “Il n’y a r en qu s’appelle “art” l n’y a que des art stes…”

Une autre quest on mportante est de savo r ce qu'est une œuvre d'art. Pendant un certa n

temps, la réponse a été que l'esthét que sera t une œuvre d'art. Ma s le parad gme change. Les

prem ères réponses que nous donnerons à cette quest on pour le moment seront les su vantes

: L'œuvre d'art do t d re quelque chose. L'œuvre do t toucher la v e d'au mo ns une personne

autre que son propr éta re. Comme je l'a d t, b en que cet art cle se concentre davantage sur

les relat ons du fém n sme et du postmodern sme, je parlera b en sûr d'abord de l'h sto re de

l'art et du postmodern sme.

L'h sto re de l'art est ple ne de ruptures. Commençons donc l'examen par l'une des pr nc pales

ruptures. Passer à la v e sédenta re, à l'agr culture… Avec l' ntroduct on de la v e sédenta re, la

populat on a augmenté et les prem ères c tés-états ont été établ es dans des zones densément

peuplées. Cela a ouvert la vo e à une seconde pause, et avec l'émergence de l'État, l'art a

commencé à être produ t systémat quement. Encore une autre rupture est le Moyen Age. Dans

cette pér ode, nous voyons que l'art est complètement sous l' nfluence de la rel g on. La

Rena ssance a une place très mportante dans l'h sto re de l'art. La pe nture dev ent très

mportante à la fo s. La s tuat on économ que commence à changer. La bourgeo s e, autrement

d t, la classe des «nobles urba ns» émerge. Découvertes géograph ques et perte du pouvo r de

l'Égl se… Ma s le po nt le plus mportant est que la Rena ssance est la "représentat on parfa te de

la réal té". Après les 18ème et 19ème s ècles, nous devr ons exam ner le concept de modern sme.

Trouver l'appare l photo est mportant à la fo s car l a affecté l'h sto re de l'art et a également fa t

beaucoup de bru t pendant cette pér ode. De plus, la réal té do t être représentée d'une autre

man ère et l' mag nat on de l'art ste est un autre po nt à ment onner. Le postmodern sme est

apparu en réact on à ses prédécesseurs. Il a la ssé l'art comme quelque chose d' ndéf n . Il a

détru t l'él te. Le popul sme a émergé... Après avo r présenté un aperçu de l'h sto re de l'art, b en

que superf c ellement, notre sujet pr nc pal est le postmodern sme.

18


Le postmodern sme est une cr t que occ dentale. C'est le centre de l'art qu s'élo gne de l'Europe

et de l'Amér que. Certa ns acceptent le début de L'Ur no r de Marcel Duchamp (1917). L'œuvre est

jetée à la poubelle après sa prem ère expos t on. Ce que nous verrons plus tard, ce sont leurs

reproduct ons. En fa t, lorsque L'Ur no r a été accepté comme une entrepr se mportante, l a

changé la d rect on de l'art. Alors pourquo ? Pour mo , l'œuvre d'art do t être déroutante. Quand

nous voyons l'œuvre, nous devr ons pouvo r poser cette quest on : "Est-ce de l'art?". L'œuvre

d'art devra t déclencher des quest ons à se poser. Ces ra sons montrent également que le

postmodern sme rapproche l'art de la ph losoph e. Bertolt Brecht a d t que: «La personne qu

v ent au théâtre la sse son cerveau au vest a re avec son chapeau». Réfléch ssons un peu à cette

phrase. Sachant que ce que vous voyez est une œuvre d'art, ce n'est qu'un spectacle. Le

postmodern sme a déclenché l'art de la pensée en suppr mant l'art de certa ns modèles et en le

la ssant ndéf n . En parlant de Duchamp, parlons de l'émergence, de la f nal té et de l'h sto re de

l'art conceptuel. L'art conceptuel commence entre 1913-1917 lorsque Marcel Duchamp expose

des objets du quot d en et présente des objets sélect onnés au hasard comme des œuvres d'art.

En 1929-1930, "Cec n'est pas une p pe" de René Magr tte. L' mage d'une p pe avec son écr ture

remet en quest on les concepts trad t onnels de la relat on des mages et des mots aux objets.

Pu s, 1993: à la B ennale de Ven se, Hans Haacke détru t systémat quement le sol en marbre du

pav llon allemand, ut l sé par les naz s, et en fa t à la fo s un objet d'art et une nst tut on qu le

présente avec de s mples matér aux. Le but de l'art conceptuel est de démocrat ser l'art, dont

nous ne pouvons pas prétendre avo r atte nt cet object f parce que l'art a été dans une relat on

de pouvo r tout au long de son h sto re et qu conque a le pouvo r a donné une d rect on à l'art ; l a

également écr t l'h sto re de l'art. C'est la relat on de pouvo r de l'art qu déterm ne la

problémat que de cet art cle et ses effets sur les femmes et la lutte des femmes.

metamorphose.

1) La place de la femme dans l'h sto re de l'art

2) Comment l'art postmoderne a-t- l contr bué au fém n sme?

3) Un examen à travers des publ c tés et des mages.

Commençons par le prem er élément. Il n'y a pas de place pour les femmes dans l'h sto re de

l'art! Plus préc sément, l n'y ava t pas de place pour les femmes dans l'h sto re de l'art. S vous

êtes ntéressé par l'h sto re de l'art, le prem er l vre recommandé est E.H. Gombr ch sera «

L'H sto re De L'Art ». Malgré cela, aucune art ste fém n ne n'est ment onnée. Ce n'est pas la

mauva se ntent on de Gombr ch. Même s elle se br se lentement, les art stes femmes n'ava ent

pas leur place dans l'h sto re de l'art, surtout au moment où le l vre a été écr t. Je d s qu' l a

commencé à se br ser lentement, car les femmes ont commencé à élarg r leurs champs de lutte

à la fo s avec la montée du fém n sme et la revend cat on de l'art conceptuel, démocrat sant l'art.

"Comment l'art postmoderne a-t- l contr bué au fém n sme?" Exam nons la quest on avec des

v suels.

19


metamorphose.

“Housew ves Mak ng Drugs/Molecular Queer ng Agency” est une ém ss on de cu s ne f ct ve

où les stars Mar a et Mar a, 2 femmes transsexuelles, ense gnent au publ c à la ma son

comment cu s ner leurs propres hormones, étape par étape. C’est une œuvre d’art de Mary

Magg c. Tout d'abord, ce qu fa t de ce programme un art, c'est le postmodern sme et son nf n .

S nous exam nons le «trava l», l' dée qu surg t lorsque les femmes sont empr sonnées dans la

cu s ne à travers l'h sto re : «Commençons la révolut on dans la cu s ne !»

Alors, quelle est la pr nc pale chose que le trava l essa e d'expl quer? Le dro t de contrôler le

corps, la cr t que des États qu mènent des pol t ques paternelles avec l' dée que cela ne peut

être restre nt par aucune autor té et que les nd v dus ne peuvent pas protéger leur santé…

B en que certa ns n'acceptent pas ce s te, ses v déos, les recettes données c sont de l'art,

elles peuvent auss être de l'art. De plus, non seulement les femmes ma s auss les personnes

du LGBTIQ+ s'y opposent. Ce trava l représente une lutte b opol t que.

Le groupe Guer lla G rls qu a cr t qué le fa t que les femmes so ent gnorées dans l'h sto re de

l'art, n'est représenté que comme un spectacle dans l'art, l'objet de pla s r présenté aux

hommes dans des mages nues, étant un élément de « beauté » et n'entrant dans les musées

que de cette man ère ''. Avec son aff che «Les femmes do vent-elles être nues pour entrer au

musée ?» révèle la d scr m nat on sexuelle des nst tut ons art st ques.

20


Révélant le fa t que le nombre d'œuvres avec des mages de femmes nues dans les musées et

les galer es est b en plus que les œuvres de femmes art stes, Guerr lla G rls montre une att tude

cr t que envers le fa t que les femmes ne sont représentées que comme objet de spectacle ou

publ c dans le monde de l'art.

B en que j'a e décr t le postmodern sme comme un moyen de lutter pour parven r à l'égal té des

sexes jusqu'à présent, certa nes cr t ques devra ent être formulées.

1. Relat v té sans l m te résultant de la destruct on de valeurs object ves et de cr tères object fs;

2. Manque de commun cat on avec les concepts et manque de références object ves aux

dent tés;

3. Le résultat des deux prem ers est le fossé éth que, c'est-à-d re la morale dans laquelle se

trouvent la soc été et les nd v dus.

metamorphose.

Le tro s ème élément sera à nouveau une cr t que des dommages qu' l cause aux femmes dans

le postmodern sme et de la culture de consommat on qu' l apporte.

Dans la publ c té, l'attra t du parfum est tenté refléter l'attra t de la

femme. C'est un type pop-art et les formes rondes reflètent la

fém n té.

Le regard dro t vers le

consommateur donne un message

d’«égal té» au publ c. On souha te

donner une mage « m gnonne » de

la femme. L'œuvre montre la

pos t v té et l'énerg e.

21


metamorphose.

Les deux aff ches publ c ta res que nous avons exam nées réfutent la thèse que j'a soul gnée

depu s le début de l'art cle, selon laquelle le postmodern sme a rompu les moules.

Avec sa structure qu nourr t la culture de la consommat on, le postmodern sme permet aux

femmes de sort r de leurs hab tudes, et d'autre part, ut l se les femmes pour une consommat on

ultér eure. Comme dans l'annonce DKNY, la femme v se à compr mer la femme dans un moule

"fém n té", et dans l'annonce Peps , elle place la femme dans un moule "m gnon", et l'object f est

la même : augmenter le volume de consommat on.

Résultat :

Le postmodern sme, d'une part, est venu avec la revend cat on de démocrat ser l'art et a pu

répondre part ellement à cette revend cat on. Il a accru les poss b l tés de lutte pour l'égal té des

sexes en suppr mant les front ères. Cependant, les front ères qu restent de cette pér ode ne se

l m tent pas à l'art. Les front ères entre les pays ont ma ntenant été levées et les soc étés sont

devenues une « Soc été De Consommat on ». Cependant, l'objet ut l sé dans les publ c tés éta t

encore une fo s les femmes.

Doğa Çakar

B bl ograph e:

22

Akbay, B., & Can kl g l, İ. (2020). Sanat Hâlâ Var Mı? [v deo] [Youtube]. Flu Tv. https://www.youtube.com/watch?

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PREMIÈRE GUERRE MONDIALE : FRONT DE L’OUEST

ET L’ENTRÉE EN GUERRE DES ETATS-UNIS

Dans le système éducat f turc, le Front de l’Ouest et l’entrée en guerre des Etats-Un s

à la Prem ère Guerre mond ale ne sont pas racontés en déta ls. Dans cet art cle, nous

essayerons de vous donner ces déta ls af n de présenter plus cla rement l’h sto re de la

Prem ère Guerre mond ale.

Pour les Allemands, f n r la guerre rap dement est vra ment très mportant car s la guerre dura t

longtemps, les Allemands, bloqués en mer, pourra ent mour r de fa m. Le prem er plan des

Allemands éta t d'occuper Par s rap dement et désarmer la France. Donc, le Royaume-Un sera

seul et les Allemands gagneront la guerre. En 1914, après la défa te des Combats Tannenberg, les

Russes se sont rendus compte que leur vra ennem éta t l’Emp re Hongro s Autr ch en. Il n’y ava t

en fa t qu’un seul front pour les Allemands (malgré cela, les Allemands ont gardé le Général

Ludendorff, l’un des généraux les plus expér mentés, au Front de l’Est jusqu’à ce que les Russes

se so ent ret rés de la guerre en 1917.) La rés stance Belge sur le Front de l’Ouest a pr s beaucoup

plus de temps que prévu et beaucoup plus de soldats ont été perdus. Après la Belg que,

Empereur Ka ser II. W lhelm s’est tourné vers Par s et a fa t de grands progrès. Les gens

pensa ent que la guerre alla t durer un ou deux ans et que les Allemands gagnera ent. Cependant,

les progrès allemands ont ralent lorsque les armées frança ses ont battu les Allemands à

Verdun avec les renforts qu’ ls ont reçus des colon es d’Afr que et de leurs all és br tann ques.

Les Allemands, co ncés à la front ère França s, ont changé leur plan. Ils ont déc dé de c bler les

ressources qu vena ent en Grande-Bretagne, de sorte que Royaume-Un se ret re de la guerre,

et la France sera t la ssée seule. Ma s pour que ce plan fonct onne parfa tement, non seulement

les nav res br tann ques ma s auss les nav res amér ca ns et les nav res neutres allant en

Grande-Bretagne deva ent être coulés. Les allemands ava ent une flotte de sous-mar ns très

forte ; et pendant ce temps, l éta t très d ff c le pour les Br tann ques d’arrêter ces sous-mar ns.

Ma s c’éta t un jeu r squé car les Etats-Un s, dont les rav nes coula ent, ont déclaré une guerre

contre l’Allemagne.

Le m n stre des Affa res Étrangères Allemand de l’époque Arthur Z mmermann pensa t que la

Grande-Bretagne se ret rera t avant l’arr vée des armées Amér ca nes. En même temps,

Z mmermann pensa t que le Mex que qu ava t perdu son terr to re au prof t des Etats-Un s, en

ra son des troubles nternes, occupera t les Etats-Un s, s les Etats-Un s entra ent dans la

guerre. La lutte pour la dom nat on du Pac f que entre l’Amér que et le Japon remonte à

beaucoup plus tôt que «Pearl Harbor». B en que le Japon so t entré en guerre aux côtés des

Etats all és, l pourra t b en sûr changer de camp. Z mmermann a s gnalé à l’Ambassadeur

d’Allemagne à Wash ngton que l’attaque sous-mar ne ll m tée commencera t le 1er févr er. Il a

envoyé un message beaucoup plus frappant à l’Ambassadeur d’Allemagne au Mex que. Le

message éta t le su vant : « Le généreux sout en économ que et la compréhens on que nous

apporterons est de reprendre les rég ons du Texas, Nouveau-Mex que et Ar zona que le Mex que

a perdues. » Le message contena t des nformat ons selon lesquelles le Japon combattra t

contre les Etats-Un s et que les sous-mar ns allemands exclura ent la Grande-Bretagne de la

guerre en deux mo s.

metamorphose.

23


metamorphose.

Ce que Berl n ne sava t pas, c’est que le Rense gnement de la Mar ne Br tann que ava t déjà

déch ffré le code de ch ffrement allemand. Le message a été lu à Londres b en avant d’atte ndre

l’Ambassadeur d’Allemagne. Lors d’un événement nat onal, la nouvelle a été transm se aux

Etats-Un s. Ma s l’all ance Mex ca ne-Germano-Japona se s’est avérée s r d cule qu’un certa n

segment du publ c pensa t que c’éta t un jeu angla s. Pourtant, les Amér ca ns n’éta ent pas sûrs

d’entrer en guerre, jusqu’ à ce que la nouvelle so t conf rmée. Les Etats-Un s sont off c ellement

entrés en guerre en Avr l 1917.

Les attaques de sous-mar ns allemands ont eu un effet mortel sur la Grande-Bretagne. Ils ont

réuss leurs plans et ont amené la Grande-Bretagne à abandonner la guerre. En quelques

sema nes, le pétrole br tann que éta t épu sé et n’ava t pas réuss à répondre à de nombreux

beso ns essent els, notamment l’al mentat on. A ce stade, les Etats-Un s envoya ent des nav res

ple ns de troupes en Europe. L’Allemagne a fa t un effort pour surmonter le blocage sur le Front

de l’Ouest, ma s elle a perdu le gros jeu qu’elle joua t. L’Allemagne, qu a sub de lourdes pertes

sur le Front de l’Ouest, a trouvé le remède en écartant les Russes, déplaçant les troupes de l’est

vers l’ouest. Soutenant les bolchev ks, l’Allemagne a également envoyé le chef révolut onna re

Lén ne, qu éta t en Su sse à l’époque, en Russ e dans un tra n scellé. Dans une déclarat on qu’ l a

écr te dans le tra n, Lén ne a déclaré qu’ ls ne coopérera ent pas avec le gouvernement

ntér ma re, qu’ ls voula ent fa re la pa x avec l’Allemagne en toute c rconstance et qu’ l voula t

que l’autor té so t partagée par le parlement, les com tés ouvr ers, les soldats, lu -même les

bolchev ks. Lorsque la Russ e s’est ret rée de la guerre en ra son de ses troubles nternes, les

Allemands ont déplacé leurs troupes de l’est vers l’ouest. Ils prévoya ent d’entrer à Par s en

remportant le Front de l’Ouest avec une attaque f nale, ma s à ce stade, l n’éta t plus poss ble

d’avancer sur le Front de l’Ouest. B en qu’ ls a ent peu progressé, ls n’éta ent pas en mesure de

charger le résultat. Les Allemands, qu éta ent ncapables de rés ster aux agress ons

aggravantes des Etats all és depu s septembre, ont ex gé le début des négoc at ons de pa x le 3

Octobre 1918. Le 11 Novembre 1918, la Prem ère Guerre mond ale est f n e lorsque l’Allemagne a

s gné l’arm st ce.

Mehmet Mert Dalkılıç

24

B bl ograph e:

B r nc Dünya Savaşı. (n.d.). https://www.tar hhakl .com/b r nc -dunya-savası/

Marr, A. (2016). Büyük Dünya Tar h . Yakamoz.


ÉMEUTES DANS L'HISTOIRE CHINOISE

Tout au long de l'h sto re de notre monde s'est produ t de nombreux soulèvements,

rébell ons, révolut ons et protestat ons. Cependant, étant donné que les révoltes contre une

structure pol t que oppress ve comme la Ch ne sont un sujet ntéressant, nous exam nerons

les révoltes qu ont eu l eu dans l'h sto re de la Ch ne du XIXe au XXIe s ècle.

Soulèvement de Ta p ng : Ce soulèvement, qu a eu l eu entre 1850 et 1864, a commencé

lorsqu'un paysan ch no s ord na re s'est nsp ré du chr st an sme et a créé une nouvelle rel g on.

Cette rel g on s'est répandue parm les paysans et a ns l'Un on des Adorateurs de D eu (Ba

Shang Hu ) a été établ e. Cette communauté rel g euse a att ré les pauvres du peuple à ses côtés

au f l du temps. Le soulèvement de cette communauté contre la dynast e Q ng a entraîné la mort

de 20 m ll ons de personnes.

Soulèvement de Duncan : C’est un soulèvement de m nor tés rel g euses et ethn ques

récemment lancé par des groupes musulmans, a causé env ron 8 à 12 m ll ons de morts. La

dynast e Q ng, qu connaît déjà sa dern ère pér ode, a perdu ses forces. En ra son des m grat ons

étrangères, des confl ts et de la sécheresse, la populat on de la Ch ne a d m nué dans une large

mesure. Cependant, jusqu'au XXe s ècle, la Ch ne a dû fa re face à b en d'autres problèmes.

Soulèvement de Boxer : En 1894, la Ch ne et le Japon se sont battus pour prendre le contrôle de

la Corée. Les États européens et la Russ e qu sont troublés par le Japon, de plus en plus fort,

ont prêté de l'argent à la Ch ne pour se renforcer contre le Japon. Cependant, lorsqu' ls n'ont pas

pu reprendre leur dette, la Grande-Bretagne, la France et la Russ e ont occupé d' mportantes

rég ons économ ques de la Ch ne. La Ch ne a sub une grave défa te contre le Japon.

metamorphose.

Exactement dans un tel env ronnement, un groupe de Ch no s qu las des press ons des pays

étrangers, a secrètement fondé la Communauté de Boxer. Ils ont attaqué les représentat ons,

les m ss onna res, les construct ons ferrov a res (les construct ons ferrov a res ont été

constru tes par des États étrangers). Les États troublés par les émeutes ont créé les "8 All ances

d'État" (États-Un s, Royaume-Un , France, Russ e, Allemagne, Ital e, Autr che-Hongr e, Japon) et

ont occupé Pék n. La Ch ne a dû rendre la Corée, Taïwan et Hong Kong. B en que le peuple

ch no s n'a t pas soutenu la Communauté de Boxer, la dynast e Q ng les a soutenus.

Révolut on de X nha : Le tournant de cette révolut on, qu a eu l eu entre 1911 et 1912, est le

soulèvement de Wuchang, où de nombreux soulèvements et confl ts récents ont préparé

l'env ronnement. Le soulèvement de Wuchang est un soulèvement armé qu a eu l eu à la su te de

la réact on contre la mauva se gest on du "Mouvement de protect on des chem ns de fer" sous la

d rect on de La Nouvelle Armée, nfluencée par des dées nat onal stes et révolut onna res. À la

su te du soulèvement, le dern er empereur de 8 ans, Puy , a été dest tué et la Républ que de

Ch ne a été établ e. La républ que a été proclamée en 1912 et Le Part Nat onal ste qu s’appelle

Kuom ntang a été créé.

25


metamorphose.

Guerre C v le Ch no se : La guerre c v le, qu a duré de 1927 à 1950, a eu l eu entre le Part

nat onal ste nommé Kuom ntang et le Part commun ste d r gé par Mao Zedong. La guerre c v le a

commencé lorsque des nat onal stes rad caux ont attaqué les commun stes. À la su te de la

guerre c v le, les nat onal stes ont dû se ret rer à Taïwan, tand s que le groupe commun ste a

établ la républ que popula re de Ch ne sur les terres restantes.

(B en qu' l a t été l'un des membres fondateurs de l'ONU et membre du Conse l de sécur té de l'ONU,

Ta wan a été dest tué du conse l en 1971 et remplacé par la Républ que popula re de Ch ne et est

devenu membre permanent.)

Il y a eu de nombreux développements mportants en Ch ne des années 50 aux années 90.

Nous pouvons résumer ces développements comme su t : Avec la campagne économ que et

soc ale nt tulée qu s'appelle "Grande Avancée" menée par Le Part Commun ste Ch no s, ls

ava ent pour object f d'adopter une ndustr al sat on rap de et une approche soc al ste dans

l'économ e agr cole. Cependant, la campagne a échoué. La “Grande Pénur e de Ch ne”, qu s'est

produ te à la su te de la sécheresse, des catastrophes naturelles et des mauva ses pol t ques

menées par le PCC, ont causé la mort de près de 45 m ll ons de personnes.

Inqu ète de la séparat on s no-sov ét que entre 1966 et 1976, l'a le Mao Zedong a créé la

"Révolut on culturelle ch no se" af n de mettre f n à la "compréhens on du commun sme

bureaucrat que". Pendant cette pér ode, toutes les écoles et un vers tés ont été forcées de

su vre les man festes de Mao par le b a s Les Gardes Rouges. Les act v tés culturelles et

art st ques éta ent restre ntes, les travaux écr ts h stor ques nterd ts et seules les "les travaux

écr ts révolut onna res" éta ent autor sés. Dans ce contexte, des b bl othèques, des un vers tés,

des magas ns et des musées ont été détru ts et des l eux de culte ont été ncend és. La

révolut on culturelle ch no se a affecté négat vement les relat ons de La Ch ne avec L'URSS et

Le Bloc Occ dental. La révolut on s'est term née avec la mort de Mao en 1976.

26


Massacre de la Place T ananmen : Les événements ont commencé après la mort du secréta re

général du PCC Hu Yaobang par des protestat ons qu demandant au Part Commun ste Ch no s

de revo r leur v s on off c elle négat ve de Hu Yaobang. En ra son de l'att tude dure et v olente de

la pol ce envers les man festants, les man festat ons se sont transformées en un soulèvement

ant -gouvernemental. En ra son d' nflat on et de chômage élevés, une mauva se structure de

part et une restr ct on des dro ts, des étud ants un vers ta res et des ntellectuels su v s par des

trava lleurs et des part sans du dern er publ c ont commencé à se rassembler sur La Place

T ananmen. Même s' l y ava t des d vergences d'op n on sur l'adm n strat on du PCC la façon de

prendre pos t on contre les man festants au se n, cela a f nalement été déc dé d’ut l ser une

att tude dure et v olente contre les protestata res. A ns , ls ont déc dé de répr mer les

protestat ons plutôt que de répondre aux demandes, et lo mart ale a été déclarée le 20 ma .

metamorphose.

(La photo de l'homme debout seul devant les chars avec leurs sacs lors du Massacre de la Place

T ananmen est cons dérée comme l'une des photograph es les plus mportantes et les plus

mpress onnantes du 20e s ècle. / Reuters)

La nu t qu rel a t le 3 ju n au 4 ju n, des chars et des troupes d' nfanter e ont été envoyés sur La

Place T ananmen pour mpr mer la place et d sperser les man festants. De vra s obus ont été

ut l sés par la pol ce de Pék n lors des ntervent ons. B en que le nombre de v ct mes so t

controversé, le nombre de v ct mes est d'env ron 2000-3000, tand s que le nombre de blessés a

atte nt 7000-10 000. Après la nu t du 4 ju n, le gouvernement a procédé à de nombreuses

arrestat ons, la presse étrangère a été nterd te, les membres du part qu sout ennent le

soulèvement ont été condamnés à une ass gnat on à rés dence. Le Gouvernement Ch no s a été

largement condamnée par le publ c nternat onal, Les États-Un s ont mposé un embargo sur les

armes car Le Gouvernement Ch no s a ut l sé des armes contre le publ c, de plus le chef de l’État

a changé.

27


metamorphose.

Aujourd'hu , le gouvernement ch no s s'oppose aux cérémon es préparées pour la

commémorat on des événements de la place T ananmen et cont nue de censurer les contenus

et les débats dans des méd as et sur Internet.

En conséquence, malgré tous les soulèvements, le gouvernement ch no s cont nue de

ma nten r son att tude d'oppress on et de sub r les cr t ques du monde ent er. En même temps,

des émeutes comme le soulèvement de Hong Kong contre le gouvernement ch no s se

poursu vent et le gouvernement ch no s cont nue de répondre v olemment à ces soulèvements.

Duru Şah n

B bl ograph e:

28

Özmen, İ , Buluş, A . (2017). Başlangıçtan Devr me Ç n’ Anlamak (Mı)? . Meden yet ve Toplum Derg s , 1

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[d j tal görsel]. (n.d.). BBC.

https:// chef.bbc .co.uk/news/660/cpsprodpb/D2E7/product on/_106519935_022468588-2.jpg


CIVILISATION CURIEUSE DE L'HISTOIRE :

CIVILISATION D’INCA

L a c v l sat on Inca, qu s'est étendue au terr to re de l'Équateur, du Pérou, de la Bol v e et

du nord du Ch l et a été détru te par les colons espagnols tels que les Aztèques et a été

effacée de la scène h stor que, a toujours att ré l'attent on des h stor ens. En tant que

c v l sat on qu n'a pas été trouvée par écr t, les nformat ons sur les Incas sont très l m tées et

les prem ères pér odes de l'h sto re Inca sont généralement basées sur des légendes.

Qu sont les Incas ?

Les Incas v va ent dans les vallées

des hautes rég ons des Andes. Ce sont

les peuples autochtones d'Amér que

du Sud qu ont établ un grand emp re

au cours des 12ème et 16ème s ècles.

Avant l' nvas on espagnole au 16ème

s ècle, cet emp re très b en organ sé

avec une moyenne de 5 à 10 m ll ons

d'hab tants s'est renforcé aux 14ème

et 15ème s ècle, élarg ssant son

terr to re pour nclure des part es de

l'actuelle Bol v e, du Pérou, de

l'Équateur et des part es de l'Argent ne

et du Ch l . La tr bu nca, une tr bu

guerr ère, a dom né les tr bus vo s nes

et a commencé à descendre dans la

vallée de Cuzco. A ns , ls ont poursu v

leur expans on en occupant les

rég ons qu les entourent en ut l sant

cet emplacement avantageux. Dans

les années 1500, les Incas éta ent

devenus l'emp re le plus grand et le

plus r che de l'Amér que anc enne. Les

Incas se sont étendus à presque

toutes les côtes ouest-amér ca nes et

les Andes, à 4 000 k lomètres de

Cuzco, leur cap tale.

metamorphose.

29


metamorphose.

30

Système d'État

Dans les Incas, des groupes de 10 fam lles se cho s ssent eux-mêmes comme leader, et les

leaders sera ent sous la responsab l té d'un chef. Il y ava t 5 leaders au commandement de

chaque chef, et cet ordre s'étenda t à l'empereur, l’adm n strateur de tous. Les gens

deva ent su vre un certa n ordre de v e et de trava l. Tout appartena t à l’Etat. Tout le monde

deva t trava ller, sauf les enfants et les personnes âgées. Un comportement contra re à la

paresse et à la d gn té huma ne aura t été sévèrement pun .

Structure Économ que et Soc ale des Incas

Depu s la na ssance de la prem ère c v l sat on, la base de la structure soc ale et de

l'économ e trad t onnelles des Andes éta t le "ayllu", un système fonc er d'env ron 300

membres, fondé sur des l ens de parenté, partageant les terres pendant un certa n temps et

fondé sur l'entra de. Dans ce système, les terres éta ent la propr été commune de tout un

peuple v llageo s. La fert l té du sol éta t déterm née par la ta lle de ces parcelles, appelées

«tupu», qu éta ent tracées et d str buées aux v llageo s chaque année. Un t ers des terres a

été planté pour répondre aux ex gences du prêtre, la deux ème part e a été explo tée par

l'État et le reste a été donné aux paysans du système. Qu tter un état sans autor sat on éta t

str ctement nterd t. B en que la plupart des terres appartena ent à l'État, l ex sta t toujours

le concept de propr été pr vée dans les Incas.

La soc été Inca éta t dans un ordre h érarch que très str ct. Il y ava t de nombreux n veaux

d fférents de la soc été : le Sapa (prêtre en chef et souvera n) et le commandant de l'armée

éta ent au sommet de ces n veaux. Tous les membres de la fam lle éta ent les conse llers du

Sapa, les femmes ava ent autor té dans cet ordre. Sous eux se trouva ent des prêtres, des

arch tectes et des commandants de l'armée dans les temples. Les classes nfér eures

éta ent des art sans, des off c ers m l ta res, des agr culteurs et des bergers. Ayant une

rel g on polythé ste, les Incas ut l sa ent l'or, qu' ls cons déra ent comme le symbole du Sole l

et la source de pouvo rs surnaturels, à des object fs rel g eux, pas à des f ns économ ques.

Les doles éta ent généralement en or. Ils offra ent à leurs ancêtres des sacr f ces en or et

en argent. Ils éta ent très tolérants des caractér st ques culturelles ou des croyances

rel g euses des groupes ethn ques qu' ls ava ent pr s sous leur souvera neté, ma s ls

essaya ent d' mposer un modèle de gest on central sée ou d' nculquer aux peuples des terres

conqu ses la croyance au sole l.


La mob l sat on constante de

ressources huma nes et de produ ts

pour la guerre et d' mportants travaux

publ cs ex gea t une pr se de

consc ence obl gato re des

poss b l tés de l'emp re. Par

conséquent, les représentants de

l'empereur surve lla ent constamment

les sources de revenus, effectua ent

le recensement de la populat on. Les

produ ts collectés sur les terres

appartenant à l'État éta ent stockés

dans des entrepôts al gnés le long de

la route, les Incas et les off c ers supér eurs ut l sa ent ces fourn tures lorsqu' ls nav gua ent. B en

que l'empereur rassembla t les r chesses du pays dans un centre, l d str bua t la nourr ture au

peuple ou aux pauvres en fam ne.

Les Incas ava ent un système de pun t on très brutal. S une personne vola t ou éta t avec la

femme de Sapa ou avec une jeune f lle v erge, cette personne éta t jetée de la fala se, ava t les

ma ns coupées, les yeux creuvés ou éta t suspendue jusqu'à ce qu’elle meurt de fa m. Il n'y ava t

donc pas de pr sons. Malgré cette brutal té, les lamas éta ent sacr f és à D eu, et non pas l'homme.

Arch tecture chez les Incas

Comme la monna e n'éta t pas

ut l sée dans la c v l sat on Inca, les

v llageo s éta ent obl gés de

trava ller dans la fonct on publ que

à certa nes pér odes comme

mpôt. Les routes ou les canaux

d' rr gat on éta ent entretenus

avec cette corvée appelée « M ta »

et les v llageo s ava ent l'hab tude

de trava ller à la construct on de

châteaux constru ts pour les protéger des menaces des états vo s ns. Ils se sont développés en

trava llant dans ces construct ons, ls ont constru t leurs v lles et leurs châteaux, pr nc palement

sur des pentes ra des et escarpées dans les part es hautes des Andes. Aujourd’hu encore cette

arch tecture étonne les sc ent f ques. Les escal ers en p erre dans les v lles atte gnent les po nts

les plus élevés de la v lle en traversant les ma sons en p erre, les éd f ces rel g eux, bref, toute la

v lle. Les énormes blocs de p erre de ces structures sont s préc sément et so gneusement

comb nés qu' ls sont toujours ntacts même après des m ll ers d'années. Les Incas ava ent établ

un vér table réseau de transport avec deux routes pr nc pales s'étendant dans la d rect on nordsud

le long de la côte, traversant les Andes et rel ant les routes traversant les vallées. Ils ava ent

constru t des ponts que les gardes attenda ent toujours.

metamorphose.

31


metamorphose.

B en que leurs nst tut ons a ent une structure h érarch que très développée, on ne peut pas d re

que les Incas ava ent un art r che. On peut d re qu' ls n'ont avancé que dans le doma ne de

l'arch tecture. De la c v l sat on Inca, l ne resta t que les restes de la grande v lle et du château à

cause de la destruct on des colon al stes espagnols. Malgré leur maîtr se de la construct on, du

t ssage et de la joa ller e, les Incas ne pouva ent pas dépasser la technolog e de l'âge de p erre

pol e. Comme l n'y ava t pas de m nes, les agr culteurs ne conna ssa ent pas la charrue et la roue,

les champs éta ent labourés par les Incas, ls ut l sa ent les lamas comme an maux de charge.

Compte tenu de toutes ces lacunes, le succès des Incas dans les conquêtes, plan f ées dans les

mo ndres déta ls, est encore plus frappant. Il est également à noter que malgré cet

env ronnement de sc ences sous-développé, ls mom f a ent les membres de la fam lle royale.

Causes de destruct on

Les pr nc pales ra sons pour lesquelles l'armée espagnole de 180 hommes sous le

commandement de P zarro a va ncu les 40 000 hommes de l'armée Inca :

-Une grande part e de l'armée Inca a été tuée par une sorte de var ole provoquée par des

envah sseurs espagnols.

-Les envah sseurs espagnols ava ent persuadé d'autres tr bus sous les Inca de lutter contre

elles.

-Les armes des combattants ncas éta ent eff caces pour la guerre tr bale, ma s elles éta ent

trop fa bles pour être comparées à la force des armes de l'armée espagnole.

Yağmur Kaskan

B bl ograph e:

32

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HISTOIRE DE LA MODE

«

L’or g ne du terme mode v ent du mot lat n 'fac o'. En frança s, "Fazon" éta t ut l sé au

Moyen Âge comme "façon" et en angla s comme "mode" et l est ut l sé dans notre langue pour

s gn f er "fa re, façonner". Le mot (ut l sat on du frança s) s gn f e la méthode, la méthode ou le

comportement actuel ». «Dans certa nes sources, l y a l' dée que la mode v ent du mot « mod »,

un terme stat st que. C'est le nom donné à l' nfrastructure réelle ut l sée lors de la préparat on

d'une concept on de vêtements lorsque les vêtements sont adaptés au monde de l'hab llement

». «Dans le Random House D ct onary ; vêtements, style, structure » et « Le d ct onna re du

Pet t Robert » sont déf n s comme « pla s rs communs, modes de v e tempora res et se sent r

appropr és dans une certa ne soc été ». S nous résumons ces déf n t ons, nous pouvons d re

que la ra son d'ex stence de la mode est la pass on de l'homme pour ntrodu re de nouvelles

formes.

Emrah N hat Erel a nterprété la mode et le but de la mode sous un angle d fférent :

«La mode est le m ro r mag que des soc étés, des trad t ons, des événements. B en qu'elle fasse

part e ntégrante de nos v es aujourd'hu , c'est un concept qu s'est transformé en un grand

secteur ndustr el. Le sens de rechercher le me lleur et le plus beau, le dés r d'acquér r le même

plutôt que le vêtement usé, usé est également un équ valent de la mode. Lorsque les êtres

huma ns ont voulu s'hab ller, pas se couvr r, ls ont peut-être créé le concept de mode, même

nconsc emment. En fa t, dans la mode, le but est que les vêtements so ent d fférents, pas

nécessa rement ut les et nécessa res.»

En plus de ces déf n t ons, Cem Hakko a évalué la mode sous d fférents angles :

«D'un po nt de vue nd v duel, c'est un jeu où les gens se d fférenc ent en se ressemblant.

H érarch quement, la mode est un moyen de déterm ner sa propre pos t on soc ale, démontrant

a ns qu' l est membre d'une classe soc ale part cul ère. Soc alement, l reflète l'évolut on d'une

soc été. Lorsque la soc été change, la mode se transforme également. Plus v te une soc été

change, plus v te la mode change. »

La mode se reflète dans la s tuat on soc ale, pol t que et culturelle de la soc été. C'est la mode

qu a condu t l' mpératr ce frança se Eugén e à se rendre à l'ouverture du canal de Suez en 1936

avec 250 vêtements. La mode est ce qu a obl gé 27 ta lleurs par s ens au 14ème s ècle à coudre

des robes de bal à part r de 100 mètres de t ssu pendant 11 jours. La mode est la ra son pour

laquelle d vers peuples à travers l'h sto re ont créé d fférents styles en ut l sant d vers

vêtements, b joux et pe ntures. Aujourd'hu , la prem ère émergence de la mode hante les

experts. De l'av s de la major té, les or g nes de la mode sont basées sur l'émergence de la

prem ère personne. «Avant le Moyen Âge, les Égypt ens cho s ssa ent des t ssus f ns et aérés

pour se protéger de la chaleur, des vêtements s m la res au manteau ont été cho s s chez les

Sumér ens. En Grèce ant que on ne cousa t pas les vêtements. Les sandales et les tun ques

éta ent préférées dans la Rome ant que et Byzance.»

metamorphose.

33


metamorphose.

Quand on parle de vêtements au 21e s ècle et plus tard, l est frappant de constater que le

publ c est toujours noble. Au 13ème s ècle, les vêtements des nobles éta ent très d fférents des

vêtements folklor ques. En plus de leurs vêtements r ches, ls ava ent auss leurs emblèmes

nd quant leur noblesse. Aux XVe et XVe s ècles, les manches des femmes du pala s en Europe

éta ent drapées et elles porta ent des cônes sur la tête, avec une étam ne suspendue à leur

sommet po ntu. La caractér st que la plus mportante trouvée dans les vêtements pour femmes

au 19e s ècle sont les jupes longues, larges et mult couches ouvertes jusqu'à la ta lle. Dans la

prem ère mo t é du s ècle, des couleurs extrêmement v ves comme le rouge et le bleu sont

v s bles dans les vêtements de la classe supér eure. On sa t que le prem er bas de so e a été

porté par la re ne El zabeth I en 1560.

Dans les soc étés pré ndustr elles, le comportement vest menta re démontra t cla rement sa

pos t on dans la structure soc ale. Jusqu'à la révolut on ndustr elle et l'émergence de vêtements

prêts à l'emplo , les vêtements éta ent souvent cons dérés comme l'un des b ens les plus

préc eux de la personne. Les vêtements naccess bles à la classe ouvr ère éta ent des b ens

fac lement access bles pour les classes supér eures. Les membres des autres classes qu

voula ent adopter un look à la mode deva ent m ter les classes supér eures.

La demande cro ssante de consommat on avec la révolut on ndustr elle (avec l' nvent on de la

mach ne à vapeur) a suppr mé le pansement du beso n et l'a transformé en une forme de

matér au de consommat on. De plus, l'écart entre les classes soc ales est à nouveau observé

avec cette pér ode. Gürsoy (2010) expl que cette s tuat on comme su t : l semble que certa nes

att tudes et approches, qu devra ent être qual f ées de mode et de mode en général, a ent

réellement commencé après la Révolut on frança se. Jusqu'à la Révolut on frança se, l y ava t

une d st nct on très cla re et préc se entre la classe noble et l'agr culteur et le paysan. Après la

révolut on, les nobles n'ont pas été complètement él m nés, ma s les paysans / agr culteurs

(c'est-à-d re la couche pauvre) qu sont venus du v llage à la v lle ont créé leur propre culture

dans la v lle. Et ls sont a ns devenus des partena res du patr mo ne culturel des nobles. C'est à

ce moment que la bourgeo s e est apparue, ce qu a créé la révolut on ndustr elle. À part r de ce

moment, les classes nfér eures m tent et essayent d’atte ndre les classes supér eures.

Sof ya Gürgönül

34


L’ ÉDUCATION FRANÇAISE EN TURQUIE

Dans le passé, les França s éta ent préférés par les groupes soc aux él tes et éduqués,

et l est l'une des plus mportante langue étrangère ense gnée en Turqu e.

L'ense gnement des langues étrangères dans notre pays est d v sé en deux comme la

pér ode ottomane et républ ca ne. La pér ode ottomane est également d v sée en deux so t

après et avant la réorgan sat on (Tanz mat). Les ra sons de cette d st nct on sont que

l'éducat on est effectuée comme un devo r de l'État après réorgan sat on et que l'éducat on

avant été basée sur des pr nc pes rel g eux. À Enderun, l'un des établ ssements

d'ense gnement les plus mportants de la pér ode avant la réorgan sat on, des cand dats

éduqués ont été sélect onnés pour le pala s et le frança s a été ense gné comme langue

seconde. En 1773, l y ava t une format on en frança s dans les écoles de Mühend shane-

Bahr Hümayün et en 1796 dans les écoles de Mühend sl khane- Berr - Hümayün. Avec le

mouvement d'occ dental sat on qu a émergé après l'annonce de la réorgan sat on

(Tanz mat), l'ense gnement des langues étrangères a également commencé à avo r l eu dans

les écoles seconda res. Des écoles sultanes, équ valentes aux lycées actuels, ont été

ouvertes. En 1868, l'ouverture Mekteb- Sultan a également été un po nt tournant dans

l'ense gnement des langues étrangères en Turqu e.

Avec la créat on de la Républ que Turque les beso ns et les ntérêts de la langue étrangère ont

augmenté, le frança s éta t la deux ème langue dans cette pér ode.

En Turqu e, b en qu' l ne so t pas à l'avant-garde de l'angla s comme l'anc en ense gnement

frança s parce qu' l ya beaucoup d'écoles ayant l'ét quette de FrancEducat on*. Ces écoles sont

au total tre ze, une à Ankara, hu t à Istanbul et quatre à Izm r. Vous pouvez vo r le bref

h stor que de neuf d'entre eux c -dessous.

*L'ét quette FrancEducat on est un t tre attr bué aux écoles les plus performantes d spensant

un ense gnement francophone dans le monde ent er par un conse l d'adm n strat on du

m n stère de l'Éducat on nat onale, de l'Agence frança se de l'éducat on à l'étranger et de la

M ss on sécul ère frança se.

metamorphose.

Notre Dame de S on:

Le 7 octobre 1856, 11 rel g euses venues à

Istanbul ont repr s le pens onnat nommé

"Ma son du Sa nt-Espr t", qu porte le nom

des "F lles de la Char té", et qu éta t d r gé

par les "F lles de la Char té". En 1856, le

«pens onnat» Notre-Dame de S on est

devenu le prem er lycée fém n n ouvert

off c ellement dans notre pays

35


metamorphose.

Sa nt M chel:

Le lycée Sa nt-M chel a été fondé en 1886 à

Beyoğlu. L'école, qu compta t à l'époque 25

élèves, a été reconnue en peu de temps

grâce à sa bonne éducat on et a cont nué de

croître en se développant. En 1923, l'école a

atte nt 458 élèves. Il a fus onné avec le

Collège Jeanne d'Arc, qu est ma ntenant

dans le d str ct d'Osmanbey, et a poursu v

son développement avec une éducat on qu

chevauche la compréhens on de l'éducat on

de l'État.

.

Sa nt-Joseph İstanbul / İzm r:

Le Lycée Sa nt-Joseph d'Istanbul est un lycée

pr vé frança s, également connu sous le nom de

Kadıköy Sa nt-Joseph. Le prem er est venu en

1841 et a ouvert une école à Istanbul et Izm r

Sa nt Jean-Bapt ste de la Salle fondée par Fran

Soc été sont en Turqu e. L'assoc at on, qu

compte actuellement 4 500 membres, compte 1

800 écoles, 82 000 éducateurs et 780 000 élèves

dans 82 pays.

36

Sa nte Pulchér e:

L'école nommée Sa nt-V ncent

de Paul a été fondée le 15 ju n

1846 par les rel g euses de la

compass on et a ouvert ses

portes à l'éducat on pour la

prem ère fo s. En 1927, l'école a

été reconnue par le

gouvernement turc. La ta lle des

étud ants à cette époque éta t

de 740. Alors que le lycée a

fermé progress vement avec la

lo pr ma re promulguée en 1998,

l ava t le dro t de changer de

statut et de poursu vre ses

études en tant que.


Sa nt Benoît:

Sa nt-Benoît, une organ sat on d r gée par les prêtres de Bened kten en 1362, a été créée

comme une école où les enfants pauvres de l'env ronnement ont été éduqués et la fondat on du

collège avec une h sto re de s x s ècles a été posée en 1583.

Lors de l' ncend e qu éclata en 1686, l'éd f ce fut gravement endommagé. En 1733, sur ordre du

ro XIV Lou s, des prêtres jésu tes rem rent les mo nes lazar stes qu ouvr rent l'école actuelle au

collège Sa nt-Benoît. En 1880, certa ns des murs de Galata et les bât ments sous le nom

d'ambassade de France ont été reconstru ts et l'ambassade est devenue le prem er propr éta re

off c el de ces bât ments. L'école, qu a poursu v ses études au lycée d'Istanbul pendant la

Prem ère Guerre mond ale, a de nouveau ouvert ses portes à l'ense gnement et à la format on en

tant que collège Sa nt-Benoît en 1919 avec 594 élèves. Jusqu'en 1987, alors que l'éducat on des

étud ants fém n ns et mascul ns éta t d st ncte, en 1987, l'ense gnement m xte a été lancé.

Le lycée de Galatasaray:

L'école, dont les rac nes sont basées sur la carr ère du pala s de Galata fondée en 1461, nommée

Mekteb Sultan en 1868, et a poursu v ses études en tant que lycée de Galatasaray à l'époque

républ ca ne, est l'une des écoles les plus établ es de l'h sto re ottomane et turque.

L'école Galay Palace Humayun

formera t du personnel hautement

qual f é d'Enderuna (école du pala s).

Ic , les gens qu éta ent b en

nformés dans de nombreux

doma nes, en part cul er le sultan,

pouva ent être consultés par

d'autres fonct onna res du pala s.

Jusqu'en 1820, l'une des nst tut ons

les plus mportantes de l'Emp re

ottoman, la médersa du pala s de

Galata a été ut l sée comme

médec ne et caserne m l ta re après

cette année.

metamorphose.

Avec le beso n d'une nouvelle équ pe ntellectuelle apportée par Tanz mat et Western zat on,

Mekteb- Sultan a commencé ses act v tés le 1er septembre 1868. L' nst tut on forme des

étud ants musulmans, cathol ques, orthodoxes et ju fs de même qual té, équ valent au lycée en

France. Avec les nnovat ons apportées par le manager Tevf k F kret en 1908, la pér ode

d'éducat on passe à 9 ans.

En 1924, l' nst tut on a commencé l'ense gnement sous le nom de Galatasaray H gh School et

conformément aux révolut ons républ ca nes et des cours de culture générale ont commencé à

être d spensés en turc. En 1965, des étud antes sont adm ses à l'école. En 1975, l' nst tut on a été

convert e en lycée anatol en et l'éducat on dure 8 ans. Enf n, avec le protocole s gné entre le

prés dent frança s Franço s M tterrand et le 8e prés dent Turgut Özal le 14 avr l 1992, l' nst tut on

d'éducat on et de format on de Galatasaray (GEÖK), qu comprend l'ense gnement pr ma re et

un vers ta re, est m se en prat que.

37


Tevf k F kret Ankara-İzm r:

Les professeurs d'un vers té trava llant à l'étranger et en part cul er dans des pays européens

comme la France et la Su sse, et les d plomates ont rencontré des d ff cultés car l n'y ava t pas

d'établ ssement d'ense gnement seconda re ense gnant le frança s à leur retour à Ankara.

metamorphose.

Af n de combler cette lacune,

d verses réun ons ont eu l eu et l a

été entendu que le problème

sera t résolu en créant une

assoc at on qu se consacrera t

aux act v tés d'éducat on et de

format on et serv ra t à ouvr r une

école pr vée. En plus de cela, bon

nombre de ses membres

fondateurs éta ent A.Ü.

Une assoc at on sous le nom d “Ankara Teach ng Assoc at on” a été créée par des académ c ens

membres du corps professoral de la Faculté de dro t, et les fondateurs ont off c ellement m s

l'assoc at on en serv ce en présentant leur règlement établ le 8 ju n 1964 au gouvernement

d'Ankara. Il est st pulé dans le Statut des États-Un s qu' l a le pouvo r d'ouvr r des écoles

pr ma res et seconda res axées sur l'ense gnement du frança s à Ankara et dans d'autres

prov nces.

Au début de l'année scola re 1970-1971, l'école d'Ankara est passée de son prem er bât ment à ses

bât ments constru ts dans la rue D kmen, au l eu de son emplacement actuel. Au cours de l'année

scola re 1979-1980, le lycée pr vé İzm r Tevf k F kret a été créé à Izm r Alsancak.

Eylül ŞIray

38

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MODELLER, UYGULAMALAR (M. E. Özcan, Ed.). https://docplayer.b z.tr/53640716-Turk ye-de-ortaogret m-

kurumlar nda-frans zcan n-ogret m -tar hsel-gel s m-modeller-uygulamalar.html

35


LE TOURNANT DE LA SECONDE GUERRE

MONDIALE : LA GUERRE FRANCO-ALLEMANDE

metamorphose.

10 ma 1940… La Wehrmacht a term né ses préparat fs pour la plus grande v cto re de ses

dern ères années et est prête à l’occupat on. Après les dern ers contrôles, le plan Schl effen

a commencé avec l'ordre d'Adolf H tler, qu a tourné sa d rect on vers l'ouest. L'object f est de

traverser les Pays-Bas, la Belg que et atte ndre la France. Le Luxembourg s'est rendu le

prem er jour et les Pays-Bas en 96 heures. Au jour du 14 ma , les Allemands ava ent capturé 2

terra ns mportants sans presque aucune perte. Après ces zones rap dement capturées au

cours de ces 4 jours, les forces all ées ont réal sé à quel po nt le danger éta t proche et ont

tourné leur attent on vers le Nord. Les All és pensa ent qu'H tler attaquera t la France par le

Nord (v a la Belg que).

Cependant, le plan d'H tler éta t d fférent : l s'ag ssa t d'att rer l'attent on des All és sur le

Nord et de ve ller à ce que la l gne Mag not reste auss m l ta re que poss ble. Et comme nous

l'avons vu, H tler a réuss la prem ère phase de son plan.

Les França s ava ent att ré beaucoup de leurs troupes vers le Nord, en s'appuyant sur les

forteresses de défense constru tes sur la l gne Mag not et la rég on des Ardennes, où aucune

force terrestre ne

pouva t passer. Le grand écart la ssé par les soldats qu ttant cette rég on a dera t à accélérer

le plan d'H tler dans la rég on.

metamorphose.

Prof tant du déf c t frança s, H tler convert t toute sa concentrat on sur son ennem éternel le

28 ma 1940 (après la redd t on de la Belg que) et ordonna le début d'une opérat on Bl tzkr eg

beaucoup plus dure qu' l ne le f t aux Pays-Bas. Les França s, qu attenda ent l'attaque du nord,

éta ent choqués : les l gnes défens ves naturelles, qu éta ent mposs bles à passer pour

aucune force, ava ent traversé la rég on des Ardennes ncroyablement v te, sans manger,

pendant des jours, seulement en mangeant.

B en sûr, cette armée ncroyablement rap de ava t un secret nconnu : la perv t ne. La perv t ne

est une sorte de drogue que les sc ent f ques allemands ont essayée sur les soldats après

qu'Adolf H tler a t voulu rendre ses soldats " mmortels" avant le début de la Seconde Guerre

mond ale. Le psychost mulant reço t le nom de Perv t ne. N. Ohler en décr t les effets : «

Commence une sorte de feu d’art f ce neuronal, comme s un fus l-m tra lleur t ra t sans arrêt

des rafales d’ dées. Tout à coup, le consommateur se sent parfa tement réve llé et a

l’ mpress on d’un rega n d’énerg e. Ses sens sont affûtés, l a le sent ment d’être plus v vant,

électr sé jusqu’au bout des do gts. (…) C’est un coup de fouet art f c el. » Et l’effet dure plus de

douze heures.

39


metamorphose.

S'attendant à ce que cette pu ssante armée les attaque à travers la Belg que, les

França s n'éta ent pas d'accord sur ce qu' l falla t fa re. Les rrégular tés au se n de l'armée,

l'occupat on très rap de des Allemands et la surpr se des soldats frança s ont contr bué à

raccourc r la pér ode d'occupat on d'H tler. Les França s ont mméd atement demandé

l'a de des All és : la Grande-Bretagne a appelé ses troupes en Europe à souten r la France.

Cependant, même ce sout en m l ta re n'éta t pas suff sant pour arrêter les Allemands qu

avança ent rap dement; c'éta t seulement eff cace pour ralent r un peu. Les Allemands, qu

éta ent mot vés par leurs occupat ons et ont accéléré leur occupat on quand ls éta ent

mot vés, ont écrasé tout ce qu les précéda t en commettant des cr mes de guerre.

Pendant ce temps, à Dunkerque, pet te v lle côt ère entre la Belg que et la France, 338 000

soldats frança s et br tann ques ont été acculés par les Allemands. Après le transfert de

cet nc dent à Church ll par les serv ces de rense gnement br tann ques, tous les véh cules

de transport mar t me en Angleterre ont été mob l sés pour sauver ces soldats.

Des centa nes de bateaux ont parcouru 217 k lomètres pour traverser la Manche et

ramener leurs soldats dans leur pays. Avec cette opérat on spontanée de dern ère m nute,

tous les soldats br tann ques sur le cont nent européen s'éta ent ret rés. Le v e l am des

França s les a également qu ttés : les França s éta ent désorma s seuls. Les Allemands, qu

poursu va ent leurs attaques à la fo s par la l gne Mag not et par la Belg que (des deux

côtés), ava ent déjà atte nt leur prem er object f : progresser vers l' ntér eur de la France.

La prem ère étape de l'opérat on s'est term née avec succès et un nouveau plan du centre

pr nc pal éta t attendu.

Pendant ce temps, les Allemands ont déc dé de se reposer un peu pour se débarrasser de

la fat gue de leur ntense lutte au cours des 1,5 dern ères sema nes. La prem ère défa te

psycholog que majeure de Luftwaffe et H tler a été que lorsque les Allemands ont arrêté

les progrès de la Wehrmacht, les ont forcés à bombarder et à rendre les soldats ennem s

qu' ls ava ent co ncés avec Luftwaffe (Force Aér enne Allemande) à Dunkerque.

Néanmo ns, les Br tann ques ont réuss à transporter la plupart de leurs troupes sur l'île

br tann que. La conf ance d'H tler en Hermann Gör ng, le commandant de la Luftwaffe, a

été ébranlée.

La Belg que s'est rendue le 27 ma , deux jours seulement après la défa te psycholog que de

Dunkerque. C'éta t la seule consolat on pour les Allemands à ce moment. Le 29 ma , les

Allemands su va ent les nav res qu fuya ent Dunkerque sur la Manche. Le 2 ju n, tous les

soldats br tann ques en France ont déc dé de retourner sur l'île br tann que. Malgré les

bombardements régul ers de Luftwaffe, la 1ère et la 7ème un té m l ta re, les dern ères

troupes frança ses bloquées à Dunkerque, ont désespérément cont nué de défendre leur

propre terre. Cependant, ls n'ont pu rés ster aux Allemands que jusqu'au 5 ju n.

metamorphose.

40

37


metamorphose.

Alors que les dates nd qua ent le 5 ju n 1940, les Allemands ava ent off c ellement lancé

la 2e étape de la bata lle/campagne de France. L'object f est d'occuper la France et

d'atte ndre la front ère su sse v a une nouvelle opérat on Bl tzkr eg (du nord au sud)

depu s l'est de Par s, derr ère la l gne Mag not et le nord de la France.

B en que les prem ères heures de l'opérat on se so ent déroulées très rap dement, la

l gne de défense dense et forte établ e au nord de Par s a ralent les Allemands. Les

França s, qu ont fa t une grande défense pendant les 2 prem ers jours, ont perdu leur

pouvo r et leurs ressources le 7 ju n: les Allemands ont percé la l gne de défense

Weygand, fondée par le général frança s Max me Weygand. Après la perforat on de sa

propre l gne de défense, le général Weygand ava t fa t savo r au gouvernement qu' l

n'ava t aucun espo r que la guerre pourra t être gagnée et que des pourparlers de pa x

devra ent être entamés avec les Allemands. Le 9 ju n, des troupes de p onn ers allemands

traversent la Se ne et frappent à la porte de Par s sans rencontrer de rés stance.

Avec l'arr vée d'H tler à Par s le 14 ju n, les Allemands ava ent off c ellement occupé Par s.

Cependant, ls n'ont pu trouver aucun soldat frança s à défendre à Par s car les França s

s'éta ent ret rés de la v lle sans heurter les Allemands af n de ne pas endommager leur

cap tale. Après la dém ss on du Prem er m n stre Reynaud le 16 ju n, le maréchal Ph l ppe

Péta n, qual f é de "héros de la guerre mond ale",a été remplacé. Le maréchal Péta n éta t

cons déré comme un héros aux yeux du publ c, ma s après sa collaborat on avec les

Allemands et son sout en à la m se en place du gouvernement de V chy, l dev endra un

manager que les França s détestent. Le jour où le maréchal Péta n a pr s ses fonct ons, l

a offert la pa x aux Allemands. H tler ava t demandé que le l’accord se t enne dans

l’Or ent-Express wagon numéroté 2419 dans la forêt de Comp ègne.

(Le wagon 2419 de l'Or ent Express est le wagon où l'accord du cessez-le-feu a été s gné

entre les França s et les Allemands le 11 novembre 1918. En effet H tler a effect vement

demandé que l'accord y so t s gné pour se venger de la défa te des Allemands lors de la

Prem ère Guerre mond ale.)

metamorphose.

38 41


metamorphose.

Le 22 ju n 1940, le maréchal Péta n arr ve dans la forêt de Comp ègne comme H tler le

dés re. Le tra té de cap tulat on s gné c est l'une des plus grandes v cto res d'H tler.

Selon ce tra té, les terr to res qu composent le nord de la France et toutes les côtes

atlant ques seront au contrôle de l'Allemagne, les terr to res formant la front ère su sse

deva ent être contrôlés par l'Ital e, le reste des rég ons ne sera t pas touché et une

"mar onnette" frança se aff l ée à l'Allemagne sera créé. Les forces m l ta res frança ses

sera ent désarmées et l vrera ent leurs armes aux troupes allemandes, ma s ces armes

ne sera ent ut l sées par les Allemands et les Ital ens dans aucun confl t.

Le 6 ju n 1944, les États all és débarquent sur la côte de la Normand e sous l'occupat on

allemande. Leurs soldats ont débarqué sur la plage avec l'a de des forces navales et

aér ennes. Pendant ce temps, ls se sont affrontés avec des soldats allemands qu leur

ont rés sté sur le l ttoral. Avec cette opérat on de débarquement sur les plages d'Omaha,

Utah, Gold, Sword et Juno, la défense allemande a été br sée et les all és se sont d r gés

vers la France et ont m s f n à la dom nat on allemande sur la France.

metamorphose.

Ek n Yaka

B bl ograph e:

42

(2004). In P. M quel (Ed.), H sto re (142, 330, 334, 338, 356, 360). Ed t ons de la C té.

Şarman, K. (2014, Haz ran). Normand ya Çıkarması: Tar h n 3. Boyutu. Atlas, (255).

https://www.atlasderg s .com/gundem/normand ya-c karmas -tar h n-3-boyutu.html

39


GRÈCE ANTIQUE

metamorphose.

La Démocrat e de la Grèce Ant que Est le Prem er Exemple de Démocrat e au Monde:

Le plus célèbre des temples grecs, le Parthénon s'élève magn f quement au-dessus de la

v lle d'Athènes. Le temple, qu est un exemple concret du grec class que, a été constru t par

la prem ère démocrat e du monde dans un sens réel. La démocrat e grecque a atte nt sa

forme déf n t ve peu de temps avant la construct on du Parthénon. Ce n'est pas un hasard.

Les Grecs rechercha ent l'excellence dans la pass on et la pol t que. Leur succès dans les

deux doma nes marque le début de l'h sto re occ dentale. Aujourd'hu , les hommes et les

femmes r squent de se battre et de mour r pour la démocrat e. À Athènes, la monarch e a

été abol e en 683 JC. Les ar stocrates qu ont fa t d'Athènes une mmense v lle de commerce

et de mar ne ont été su v s par le tyran P s strate et les f ls. Lorsque l'ordre despot ste a été

renversé au cours de cette pér ode, le prem er ordre démocrat que du monde a été déclaré

par Kle sthenes en 500 avant JC. La démocrat e t re sa force d'un conse l d'hommes urba ns.

Ce conse l éta t une communauté de personnes locales excluant les esclaves et les non-

Athén ens.

H sto re de la Grèce Ant que:

Avec l'effondrement de la c v l sat on mycén enne au 8ème s ècle avant JC, la Grèce a

commencé à dater de l'âge des ténèbres. De grands réve ls ont commencé à la fo s dans les

sphères culturelles et soc ales. L'alphabét sat on a d sparu et l'écr ture mycén enne a été

oubl ée. Ma s les Grecs ont créé l'alphabet grec. Plus tard, l a été d v sé en pet tes un tés

adm n strat ves autonomes, qu serv ra ent de modèle à toute la géograph e grecque, où

chaque île, vallée et pla ne éta ent séparées par des front ères mar t mes ou montagneuses.

Au 6ème s ècle avant JC, la langue et la culture grecques ont été nfluencées dans une zone

beaucoup plus large que le terr to re géograph quement couvert. B en que les colon es

grecques so ent tr buta res des v lles dont elles provena ent rel g eusement et

commerc alement, elles éta ent pol t quement sous leur contrôle. Les Grecs anc ens se sont

d v sés en pet tes communautés ndépendantes, à la fo s dans leur patr e et dans leurs

colon es. Les v lles qu' ls ont nommées Pól s sont devenues les pr nc pales un tés du

gouvernement grec. L'émergence de la classe des marchands avec l' ntroduct on du système

monéta re à cette pér ode a condu t à des d v s ons de classe dans les grandes v lles.

metamorphose.

40

43


metamorphose.

Époque Hellén st que:

C'éta t la pér ode où l' nfluence grecque a atte nt son apogée dans le monde ant que, qu a

commencé avec les nvas ons d'Alexandre le Grand. La pér ode hellén st que a su v la pér ode de

la Grèce ant que, et après la pér ode hellén st que, la rég on sous la dom nat on du grec anc en

est tombée sous la dom nat on de la Républ que roma ne. Même pendant cette pér ode, la

culture grecque ant que (en tant que rel g on, art et l ttérature) nf ltre toujours la dom nat on

roma ne. À tel po nt que, outre le lat n, le grec cont nue d'être parlé et écr t. La pér ode

hellén st que est parfo s cons dérée comme la pér ode de décl n et d'effondrement de la

c v l sat on grecque ant que. À un autre égard, elle est cons dérée comme une pér ode de

trans t on entre la c v l sat on grecque ant que et la c v l sat on roma ne.

Après la v cto re d'Alexandre le Grand sur l'Emp re perse, de nouveaux royaumes

commencèrent à s'établ r sous le royaume macédon en en As e du Sud-Ouest. Ces nouveaux

royaumes ont transporté la culture et la langue de la Grèce ant que dans les pays en quest on. De

même, ces royaumes ont également été nfluencés par les cultures locales et ont adopté des

prat ques et des nst tut ons locales.

En ce sens, la pér ode hellén st que représente une fus on de la c v l sat on grecque ant que et

du Proche-Or ent, du Moyen-Or ent et de l'As e du Sud-Ouest, et une d vergence avec l'att tude

grecque ant que qu cons dère ces soc étés comme des "barbares". Cependant, l est d ff c le

d'aff rmer qu'une culture grecque-as at que vér tablement m xte est courante.

L' nfluence grecque s'étend t sur une zone plus large que les terres dom nées par les quatre

pr nc paux royaumes établ s par les généraux d'Alexandre le Grand.

metamorphose.

Époque roma ne:

L'h sto re grecque, les armées de la Républ que roma ne, BC. Après la coll s on avec les Grecs

lors de la guerre de Cor nthe en 146, le terr to re grec est passé sous dom nat on roma ne et en

330 c'éta t la pér ode jusqu'à la reconstruct on de la v lle actuelle d'Istanbul par Constant n I

(d'abord à Nova Roma). La pén nsule sur laquelle la Grèce est s tuée rejo nt désorma s

ent èrement le terr to re de l'Emp re roma n en 146 avant JC, su v e par la pr se des îles de la mer

Égée en 133 avant JC. La Grèce éta t la prov nce la plus mportante de l'Emp re roma n à l'est. La

base de cec éta t l' nteract on culturelle ntense et la s m l tude entre les deux côtés. La

commun cat on entre l'Ital e et le monde grec éta t assurée par le d alecte grec Ko nè, une

langue commune. De nombreux ph losophes et sc ent f ques grecs comme Gal en ont effectué la

plupart de leurs travaux à Rome. La culture roma ne a été cons dérablement nfluencée par les

Grecs, en part cul er dans des sujets tels que la médec ne, la cu s ne et l'agr culture. Dans une

œuvre d'Horat us, l a écr t: Graec a capta ferum v ctorem cep t (le capt f grec a capturé son

cruel conquérant).

44

Époque roma ne:

L'h sto re grecque, les armées de la Républ que roma ne, BC. Après la coll s on avec les Grecs

lors de la guerre de Cor nthe en 146, le terr to re grec est passé sous dom nat on roma ne et en

330 c'éta t la pér ode jusqu'à la reconstruct on de la v lle actuelle d'Istanbul par Constant n I

(d'abord à Nova Roma). La pén nsule sur laquelle la Grèce est s tuée rejo nt désorma s

ent èrement le terr to re de l'Emp re roma n en 146 avant JC, su v e par la pr se des îles de la mer

Égée en 133 avant JC. La Grèce éta t la prov nce la plus mportante de l'Emp re roma n à l'est. La

base de cec éta t l' nteract on culturelle ntense et la s m l tude entre les deux côtés. La

commun cat on entre l'Ital e et le monde grec éta t assurée par le d alecte grec Ko nè, une

langue commune.

41


De nombreux ph losophes et sc ent f ques grecs comme Gal en ont effectué la plupart de leurs

travaux à Rome. La culture roma ne a été cons dérablement nfluencée par les Grecs, en

part cul er dans des sujets tels que la médec ne, la cu s ne et l'agr culture. Dans une œuvre

d'Horat us, l a écr t: Graec a capta ferum v ctorem cep t (le capt f grec a capturé son cruel

conquérant).

metamorphose.

Structure Communauta re:

En Grèce, la séparat on généralement percept ble dans la soc été concerne les l bertés, les

métr ques et les esclaves. Les devo rs et responsab l tés soc aux var ent selon qu' ls ont une

rel g on, un sexe, des proches occupant une pos t on mportante ou qu' ls sont nobles. La v e

soc ale à Athènes a été un exemple pour le monde grec. À Athènes, l éta t d v sé en quatre

n veaux en fonct on du revenu de la populat on. Les gens r ches en fa sant de l'argent pouva ent

sauter des cours. Les esclaves n'ava ent aucun dro t n statut soc al. Ils n'ava ent pas le dro t de

se mar er et de fonder un foyer, de fa re de la pol t que et de voter.Le mode de v e dans les

v lles grecques est resté le même pendant longtemps. Les hab tants des v lles v va ent dans

leurs ma sons nd v duelles selon leur r chesse ou dans les structures const tuées de

nombreuses ma sons comme les appartements d'aujourd'hu . Des ma sons, des bât ments

soc aux et des temples ont été constru ts autour de l'Agora. Les gens v va ent parfo s dans des

v llages et dans des zones peu rés dent elles en dehors du centre-v lle.

L'économ e la plus développée de son époque:

Env ron 80% des Grecs éta ent engagés dans l'agr culture. Le sol éta t mo ns fert le et les

plu es rares. C'est une des ra sons pour lesquelles les Grecs ava ent beso n de colon ser des

terres fert les. B en que de nombreux travaux a ent été effectués par des ma ns huma nes à

cette époque, les bœufs éta ent parfo s ut l sés pour la double condu te. Les ferm ers grecs

alla ent aux fest vals pour acheter de la va sselle, du sel, du po sson et vendre les surplus de

récoltes.

Au cours de cette pér ode, la Grèce et les colon es d'outre-mer ont connu une évolut on

économ que majeure et le n veau de v e des personnes s'est cons dérablement amél oré. Selon

certa ns h stor ens de l'économ e, la Grèce ant que est l'une des économ es les plus avancées

avant l' ndustr al sat on. Le sala re journal er moyen du trava lleur grec corresponda t à env ron

12 kg de blé. C'éta t env ron 3 fo s plus que le sala re d'un trava lleur égypt en à l'époque

roma ne, avec un journal moyen d'env ron 3,75 kg.

Un autre nd cateur de la propagat on de la langue et de la culture grecques anc ennes est les

p èces de monna e grecques trouvées dans les fou lles archéolog ques. Ces p èces de monna e

de style grec et ces fêtes grecques ont cont nué d'être ut l sées même après l'occupat on de la

Grèce par Rome.

metamorphose.

42

Educat on:

À Sparte, les enfants sont restés avec leur fam lle jusqu'à l'âge de 7 ans, pu s sont allés dans

des nst tut ons publ ques. Le corps a été développé avec de la gymnast que, qu éta t

pr nc palement accompagnée de mus que, et en outre, la lecture, l'écr ture, l'ar thmét que, les

affa res d'État et la rel g on ont été ense gnées. De nombreuses c tés-États ont ouvert des

écoles publ ques pendant la pér ode hellén st que. Les hommes apprena ent à l re et à écr re et

des textes l ttéra res. De plus, les enfants qu ont appr s à chanter et à jouer au mo ns un

nstrument de mus que ont également été élevés comme soldats pour des un tés m l ta res.

45


metamorphose.

Ils asp ra ent non seulement à une profess on, ma s auss à deven r un c toyen mpress onnant.

Les f lles ont également appr s des procédures ar thmét ques s mples dans les écoles pour a der

à l re et à écr re et a der aux travaux ménagers, ma s après l'enfance, l n'y ava t presque pas

d'éducat on.

Dans la pér ode hellén st que, Athènes a ma ntenu sa pos t on d st nguée, en part cul er avec

les établ ssements d'ense gnement supér eur dans le doma ne de la rhétor que et de la

ph losoph e et sa célèbre b bl othèque. La b bl othèque d'Alexandr e cont ent 700 000 l vres et

documents. En plus de deven r un mportant centre d'écr ture de l vres, Pergame posséda t la

deux ème plus grande b bl othèque du monde après la b bl othèque d'Alexandr e avec env ron

200 000 l vres.

metamorphose.

Rel g on:

Il y ava t une croyance polythé ste dans la culture grecque ant que. Il y ava t des d eux à propos

de chaque élément mportant de la nature et des émot ons huma nes. Le d eu des d eux Zeus a

gouverné la terre et les c eux, après quo ses frères Hadès et Posé don sont venus. Les Grecs

croya ent qu'un ru sseau de grottes éta ent des temples de leurs d eux. À Cor nthe et à Delf , les

prêtres et les rel g euses éta ent autrefo s une prophét e pour les d eux.

Art:

Dans la Grèce ant que, des fest vals éta ent souvent organ sés dans les grandes v lles comme

Athènes, c'éta t une tâche d'ass ster à ces fest vals. Lors des fest vals, des cadeaux tels que de

la mus que, de la poés e et du théâtre ont été offerts aux d eux. Les Athén ens se vanta ent

d'avo r des fest vals les uns après les autres. Le théâtre éta t l'élément le plus mportant de la

culture dans la Grèce ant que. Les théâtres éta ent ut l sés pour d vert r le publ c a ns que pour

d vert r le publ c. Étant donné que seuls les hommes éta ent autor sés à être des acteurs de

théâtre à cette pér ode, les acteurs mascul ns jouera ent également le rôle de masques et de

femmes s nécessa re. Dans l'art du théâtre grec anc en, les p èces éta ent d v sées en tro s:

tragéd e, sat r que et coméd e. Souvent sur la mytholog e grecque

Beaucoup de scr pts écr ts sont des chefs-d'œuvre poét ques. À l'époque, les art stes ont créé

des formes géométr ques telles que des tr angles, des carrés et des cercles sur d verses

poter es. À l'époque class que, les art stes ont commencé à produ re des œuvres comme le

Parthénon.

Defne Bed r

46

B bl ograph e:

Anc ent Greece [müze]. (n.d.). The Br t sh Museum. https://www.br t shmuseum.org/learn/schools/ages-7-

11/anc ent-greece

Baran, A. (n.d.). Yunan Tanrıları. En y .co. https://en y .co/yunan-tanr lar

Çev k, Ç. (2015, 8 24). A’dan Y’ye Ant k Yunan’a da r her şey. Hürr yet. https://www.hurr yet.com.tr/kelebek/key f/adan-y-ye-ant

k-yunan-a-da r-her-sey-29882561

Green, P. (n.d.). The Hellen st c Age: A Short H story.

Green, P. (2008). Alexander The Great And The Hellen st c Age.

https:// pfs. o/ pfs/QmQP99yW82xNKPxXLroxj1rMYMGF6Grwjj2o4svsdmGh7S/out/A/Helen st k.html#c te_note-1. (n.d.).

Oned o. (n.d.). Ant k Yunan stan Hakkında Muhtemelen Daha Önce Duymadığınız 17 İlg nç B lg .

https://oned o.com/haber/ant k-yunan stan-hakk nda-muhtemelen-daha-once-duymad g n z-17- lg nc-b lg -975576

Rampel, G. (1996). HELLENISTIC CIVILIZATION.

W k ped a. (n.d.). The H stor es (Polyb us). https://en.w k ped a.org/w k /The_H stor es_(Polyb us)

W k péd e. (n.d.). Grèce ant que. https://fr.w k ped a.org/w k /Gr%C3%A8ce_ant que

W lcken, U. (n.d.). Gr ech sche Gesch chte.

43


LE YAOURT “DANONE”

.

Le mot “Yoğurt” a prem èrement été ut l sé dans “D vanû Lûgat ’t-Türk,1075” une œuvre de

Kasgarlı Mahmut et dans une œuvre de Yusuf Has Hac p nommée “Kutadgu B l g”.

Il y a beaucoup de b enfa ts du yaourt pour notre corps. Par exemple, l renforce le système

mmun ta re, protège la flore ntest nale, act ve la combust on des gra sses, l régule la press on

artér elle etc.

Au XVII s ècle Franço s 1er ro de France, souffrant de troubles ntest naux, fut guér grâce au

yaourt ut l sé comme méd cament envoyé par Sol man le Magn f que(10e Sultan de la dynast e

ottomane). C’éta t la prem ère fo s qu’on ut l sa t le yaourt comme méd cament dans l’h sto re.

Comment un al ment s bon pour la santé a-t- l été trouvé ? Avec cette quest on l y a d’autres

quest ons qu se su vent. Par exemple l'or g ne du yaourt est-elle grecque, turque ou bulgare ?

Selon les réponses non conformes on pense que le yaourt a été trouvé en As e centrale ou

Moyen-Or ent. Le yaourt est un al ment que les Bulgares a ment et consomment beaucoup ma s

ls pensent qu’ l a été trouvé par les tr bus de m grants qu v vent en As e centrale et au Moyen-

Or ent. La ra son pour laquelle le monde connaît le yaourt est l’ ntroduct on en Europe par la

Bulgar e.

Le yaourt est auss un al ment que l'on peut fa re à la ma son sans acheter dans les

supermarchés. Il résulte de la fermentat on du la t par deux bactér es lact ques thermoph les :

streptococcus sal var us, subsp. et lactobac llus delbrueck subsp. bulgar cus.

Pendant la fermentat on, les bactér es transforment le lactose, le sucre du la t, en ac de lact que.

Avec l’augmentat on de proport on d’ac de dans le la t, le ph d m nue et f nalement le la t dev ent

du yaourt.

metamorphose.

En 1600 avant J.C., les nomades turcs ont commencé à ut l ser le la t de leurs béta ls. Avec le

temps, les Turcs se sont amél orés et ont commencé à prof ter du la t. En s'amél orant, ls se sont

rendu compte de la fermentat on et ls ont commencé à ut l ser le la t pour fa re du yaourt. Une

autre quest on c’est su v , “Comment le prem er leva n a été réal sé ?” La réponse est “Ils ont

ut l sé des œufs de fourm et du la t pour fa re le prem er leva n.”

Une autre grande quest on v ent en tête, “Comment une marque frança se comme Danone s’est

appropr é le yaourt or g na re du Moyen-Or ent et de l'As e centrale ?”

Début des années 1900 la fam lle Carasso qu v t à Thessalon que a ém gré en Espagne à cause de

la découverte de la Grèce de Thessalon que. Izak Carasso a ouvert un cab net en Espagne ma s la

pauvreté qu est venue après le prem ère guerre mond ale a affecté auss l’Espagne. C’est

pourquo l'accès aux méd caments et la fam ne éta t un grand problème. En même temps, l y

ava t des malad es ntest nales chez les enfants et les docteurs ne sava ent pas tra ter les

malad es ntest nales. Mons eur Carasso éta t très tr ste de cette s tuat on donc l a essayé de

trouver des solut ons.

47


metamorphose.

Il a rappelé que quand ls éta ent à Thessalon que, les malades mangea ent du yogourt 3 fo s

par jour et que cela les a da t à se so gner rap dement. De plus Mons eur Carasso sava t fa re

du yogourt et grâce à cette conna ssance, l a commencé à produ re du yogourt en 1919.

Ma s les européens ne conna ssa ent pas le yogourt donc c’éta t d ff c le de les vendre.

Seuls les m grants des terres ottomanes acheta ent et consomma ent ce produ t. Pour le

vendre, l a déc dé de le commerc al ser comme méd cament, méthode qu a réuss . Les

pharmac ens ont commencé à vendre du yaourt comme méd cament. Malgré qu’ l a t

ntrodu t le yogourt en Europe, celu -c éta t méconnu par les amér ca ns. Il a réfléch à la

façon dont l alla t leur ntrodu re ce produ t. F nalement l a déc dé d’y ajouter des fru ts et

ça a fonct onné.

Pour avo r le brevet l a dû chercher une marque et l a trouvé la marque “Danon” qu est le

nom de son f ls en Catalan, ma s cette marque éta t déjà pr se par quelqu’un d’autre donc l a

ajouté un “e” et la marque est devenue “Danone”. La marque du yaourt qu a l’ dée pr nc pale

de ‘’ Une bonne nutr t on fa t d m nuer la pauvreté.” En peu de temps fabr quer du yaourt est

devenu le mét er de Mons eur Carasso, plus tard l a envoyé son f ls d’abord dans un lycée

profess onnel à Marse lle et après pour un stage sur la bactér olog e l a envoyé son f ls à

l’Inst tut Pasteur à Par s. Après son père, Dan el Carasso a cont nué le même mét er et l a

ouvert un magas n de yaourt au 18ème arrond ssement à Par s. La product on de yaourt

avec la prem ère us ne de 1932 qu se s tue à Levallo s-Perret. Désorma s, Danone est une

marque qu a d' nnombrables us nes sur 5 cont nents et on peut auss d re qu’elle est la

marque de yogourt la plus popula re au monde.

Zeynep Eylül Çel k

48

B bl ograph e:

Danone. (n.d.). Our Ep c H story. L v ng Her tage. https://www.danone.com/about-danone/ourh story.html

Fransız Danone Avrupa’yı yoğurtla tanıştıran s m babasını kaybett . (2009, Mayıs 20). Habertürk.

https://www.hurr yet.com.tr/ekonom /frans z-danone-avrupa-y -yogurtla-tan st ran- s m-babas n -kaybett -11684376

Raman , M. (2018, Ocak 11). Yoğurdu dünyaya tanıtan ülke. BBC Türkçe. https://www.bbc.com/turkce/vert-tra-42637002

.


Tevfik Fikret'i Anlamak

Yaşadığı dönem göze alındığında halka

yapılan her tür baskı ve zulüme karşı ş rler

ve düşünceler le ler c l ğ , çağdaşlığı ve

aydınlığı ben msem ş Tevf k F kret’ n adını

taşıyan okulumuzun öğrenc ler olarak,

kend s n n ‘geleceğ n umudu’ olarak

n teled ğ b z gençlere bıraktığı bu ş r

sayes nde sürekl b r gel ş m göstermeye

devam ed yoruz.

FERDA

- Bugünün gençlerine -

Ferda senin; senin bu teceddüd, bu inkılâb...

Herşey senin değil mi ki zâten?.. Sen, ey

şebâb, ey şehre-i behîc-i ümîd, işte mağkesin

karşısında: Bir semâ-yi seher, saf o bîsehâb,

ağûş-i lerzedârı açık, bekliyor... Şitâb! Ey

fecr-i handezâd-ı hayât, işte herkesin enzârı

sende; sen ki hayâtın ümidisin, alnında bir

sitâre-i nev, yok, bir âfitâb, âfâka doğ,

önünde şu mâzî-i pürmihen sönsün

müebbeden. Sönsün müebbeden o

cehennem; senin bugün cennet kadar güzel

vatanın var: Şu gördüğün zümrüd bakışlı, inci

şetâretli kızcağız kimdir, bilir-misin?

Vatanın... Şimdi saygısız bir göz bu nazlı

çehreye - Allah esirgesin,- kim bir nazarla

baksa tahammül eder misin? İster-misin, şu

ak sakalın pâk ü muhteşem pîşâni-i vakarına,

bir kirli el demem hattâ yabancı bir el

uzansın? Şu makberi, râzıy olur musun, taşa

tutsun şu serseri? Elbet hayır; o makber, o

pîşâni-i vakûr kudsî birer misâl-i vatandır...

Vatan gayûr insanların omuzları üstünde

yükselir.

Gençler, bütün ümîd-i vatan şimdi sizdedir.

Herşey sizin, vatan da sizin, her şeref sizin;

lâkin unutmayın ki zeman tünd ü mutma’in

bir hatve-i samût ile tağkıyb eder bizi,

önden koşan, fakat yine dikkatle her izi

tağmîka yol bulan bu yanılmaz mu’âkibin

şermende-i itâbı kalırsak, yazık!.. Demin

"Ferdâ Senin", dedim, beni alkışladın; hayır,

birşey senin değil, sana ferdâ vedî’adır

her şey vedî'adır sana, ey genç, unutma ki

senden de bir hisab arar âtı-i müşteki.

Mâzîye şimdi sen bakıyorsun pürintibâh,

âtî de senden eyliyecek böyle iştibâh.

Her uzvu girdibâb-ı havâyicle sarsılan

bir neslin oğlusun; bunu yâdet zeman zeman.

Asrın, unutma, hârikalar asr-ı feyzidir:

Her yıldırımda bir gece, bir gölge devrilir,

bir ufk-ı iğtilâ açılır, yükselir hayât;

yükselmiyen düşer: Ya terakkî, ya inhitât!

Yükselmeli, dokunmalı alnın semâlara;

doymaz beşer dedikleri kuş - , iğtilâlara...

Uğraş, didin, düşün, ara, bul, koş, atıl, bağır;

durmak zemânı geçdi, çalışmak zemânıdır!

Tevfik Fikret

( 1867 - 1915 )

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Les Bibliographies des 'Les

Unes'

The French D spatch

Dawson, B. (2021, Apr l 22). Wes Anderson’s The French D spatch f nally has a

prem ere date. Dazed. https://www.dazedd g tal.com/f lm-tv/art cle/52561/1/wesanderson-the-french-d

spatch-f nally-has-a-prem ere-date-cannes-2021

The French D spatch. (2021). IMDb. https://www. mdb.com/t tle/tt8847712/

Beş nc Yılında Par s İkl m Anlaşması

George Orwell P yasası

George Orwell. (n.d.). V k ped .

https://tr.w k ped a.org/w k /George_Orwell

Br ggs, H. (2021, Şubat 19). Par s İkl m Anlaşması ned r ve ABD'n n anlaşmaya

dönmes neden öneml ? BBC Türkçe. https://www.bbc.com/turkce/haberlerdunya-56124983

Hang Ülkeler Par s Anlaşması’nı Onaylamadı? [d j tal görsel]. (n.d.). İkl m Haber.

https://www. kl mhaber.org/hang -ulkeler-par s-anlasmas n -onaylamad /

Par s Anlaşması. (n.d.). Türk ye Cumhur yet Çevre ve Şeh rc l k Bakanlığı. Retr eved

2021, from https:// kl m.csb.gov.tr/par s-anlasmas - -98587

Aşı-Lanmak

AB'de aşı kr z ! Anlaşmazlık büyüyor... B r çağrı daha geld ! (2021, Ocak 27). Hürr yet.

https://www.hurr yet.com.tr/dunya/abde-as -kr z -anlasmazl k-buyuyor-b r-cagr -

daha-geld -41726108

Çağrı, Z. (2021, Ocak 9). Dan marka haz ran sonuna kadar tüm vatandaşlarını

aşılayacak. Kronos. https://kronos34.news/tr/dan marka-haz ran-sonuna-kadartum-vatandaslar

n -as layacak/

[d j tal görsel]. (2020, Aralık 15). Global T mes.

https://www.globalt mes.cn/content/1210058.shtml

Pf zer aşı dağıtım hedef n yarıya düşürdü. (2020, 12 4). DW. h

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Starsh p SN11

Elon Musk: Starsh p SN11, gökyüzüyle buluşmaya "neredeyse hazır" [d j tal görsel].

(2021, Mart 18). Independent Türkçe.

https://www. ndyturk.com/node/332161/b %CC%87l %CC%87m/elon-muskstarsh

p-sn11-g%C3%B6ky%C3%BCz%C3%BCyle-bulu%C5%9Fmaya-neredeysehaz%C4%B1r

Mack, E., & Ryan, J. (2021, March 30). SpaceX Starsh p SN11 test fl ght soars h gh

and explodes n the fog. CNET. https://www.cnet.com/news/2021-spacecalendar-ch

nas-mars-land ng-spacex-starsh p-nasa-launches-and-more/

Pandem de Çares z B r Kemancı

André R eu. (n.d.). V k ped . https://tr.w k ped a.org/w k /Andr%C3%A9_R eu

Andre R eu orkestrasını yaşatmak ç n gerek rse 400 yıllık Strad var us kemanını

satacak [d j tal görsel]. (2021). Londra Gazete.

https://londragazete.com/yasam/kultursanat/216497/andre-r eu-orkestras n -

yasatmak- c n-gerek rse-400-y ll k-strad var us-keman n -satacak/

Özkan, Y. (2021, Ocak 11). Andre R eu orkestrasını yaşatmak ç n gerek rse 400

yıllık Strad var us kemanını satacak. BBC Türkçe.

https://www.bbc.com/turkce/haberler-dunya-55617441

Tr lob tlerde Oks jenl Solunum

Un vers ty of Cal forn a - R vers de. (2021, March 31). 450-m ll on-year-old sea

creatures had a leg up on breath ng: F rst ev dence of tr lob tes' b zarre breath ng

organs uncovered. Sc enceDa ly. Retr eved May 15, 2021 from

www.sc enceda ly.com/releases/2021/03/210331143025.htm

The New York T mes. (n.d.). When Tr lob tes Ruled The World [d j tal görsel].

https://www.nyt mes.com/2014/03/04/sc ence/when-tr lob tes-ruled-theworld.html

Küçük Balık Büyük Balığı Yer

Gamestonks! Devr m : Borsa 101 ve 102. (2021). Fularsız Entell k.

https://fulars zentell k.com/journal/2021/1/30/gamestonk-borsa-101-ve-b r-gar p-

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Lev ne, M. (2021, Şubat 4). Who’s W nn ng the GameStop Game? Bloomberg.

https://www.bloomberg.com/op n on/art cles/2021-02-04/elon-musk-sgamestop-tweets-are-now-a-hedge-fund-s

gnal

Pareto. (2021, Şubat 8). F nansın demokrat kleşmes mümkün mü? Aposto!

https://read.apos.to/ /f nans n-demokrat klesmes -mumkun-mu#haftann-h kyes

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Pour Vous

Görüngü Ötes

Yazma tutkunuzu gerçekleşt reb leceğ n z b r alan bulmakta zorluk çek yor olab l rs n z. S z

çok y anlıyoruz. Bu derg n n tüm öğrenc lere kend n fade etme fırsatı tanımasını çok öneml

buluyoruz. Her sayıda, duyurulacak konuda yazılan çeş tl türlerde yazıların değerlend r lmes

sonucu seç len eserler n sonrak sayıda yayımlanmasını hedefl yoruz.

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