OH LIFE 18 juin 2024 (1) - Auto et Loisirs

l’étude de faisabilité. Le premier point
structurel est incontestablement le besoin
de lieux de recharges de batteries
pratiques et sans contraintes.
L’évidence indique que les domicile
et les lieux de travail doivent
être équipés, et vite.
C’est le job d’EDI !
Le secteur des voitures de société est l’un
des moteurs du changement. D’abord
avec les hybrides rechargeables puis les
100% électriques. Les Entreprises commencent
à électrifier leur parc, et ont
besoin de points de recharges sur leurs
parkings, et, installent aussi des bornes
chez leurs employés disposant de voitures
électrifiées.
Très vite un constat s’opère, les titulaires
de voitures PHEV ne jouent pas tous le
jeu. Ils négligent de recharger les batteries,
et se contentent de rouler au fossile.
Evidemment, la consommation explose,
car les PHEV transportent environs 150 à
200 kg de batteries ce qui fait grimper la
consommation d’essence de plus de 25%.
Aussi, l’Etat qui subsidiait et favorisait fiscalement
les PHEV, revoit sa copie et réduit
à peau de chagrin l’avantage fiscal.
Les particuliers, comme quelques indépendants
ayant opté pour cette formule,
à la fois rassurante en terme d’autonomie
profitent des avantages de la formule
PHEV. Obtenant des consommations et
des rejets de CO2 très bas, comme vous
avez pu le lire dans l’essai de la Mercedes
S580e qui n’a consommé que 3,3 litres
aux cent de super 98, malgré ses plus de
2,5 tonnes, et tout son équipement électrique,
ou ses 510 ch.
Tout récemment, nous avons consommé
9,6 litres aux 100 km avec le Defender
PHEV P400e au lieux des 12,4
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