<strong>AOPA</strong> <strong>Switzerland</strong> 4 Position Report 237 <strong>AOPA</strong> <strong>Switzerland</strong> 5 Position Report 237 so schnelles Individualreiseverkehrsmittel hat. Und so «schwer» kann das alles doch gar nicht sein. Was die Flugplanung betrifft, alles eine Sache von Minuten mit Rocketroute.com, selbst im Balkan. Abflug am Montag gegen 09:50 Uhr Richtung Colmar, Landung 10:40 Uhr. Refuel für € 1,96 <strong>und</strong> Landegebühr € 15 ging es mit maximalem Startgewicht in Richtung Dubrovnik. Superwetter, die ganze Strecke so gut wie keine Wolken. Man hätte das problemlos auch VFR fliegen können. Der Steigflug auf FL190 dauerte r<strong>und</strong> 20 Min <strong>und</strong> mit 210 kn GND bei FF 2 x 15 Gal sind auch nicht zu verachten. Der Wind war auch kein Thema, wenn überhaupt, gab es gerade mal 3-5 Knoten Gegenwind. Da wir die Alpen eher quer als längs überfliegen, können wir das Alpenpanorma länger genießen. Die meisten Gipfel sind schnee/eisfrei. Manche Gletscher sind noch zu erkennen. Es ist ein völlig «langweiliger» Flug. Dank Rocketroute ist das Routing schon sehr gut <strong>und</strong> das erzeugte Flightlog hilft sehr bei den vielen Intersections, die so ein Flug mit sich bringen. Keine Probleme mit Routing oder ATC. Alles geht sehr zügig, die Controller machen einen guten Job, Verständigungsprobleme gibt es keine. Nach knapp drei St<strong>und</strong>en sind wir schon im Anflug auf die Piste 30 in Dubrovnik. Wir machen einen Visual <strong>und</strong> werden vom „Follow-Me“ auf unseren Stellplatz gelotst. Der Handling-Agent ist auch schon da, fährt uns sofort zur Einreise <strong>und</strong> eine knappe Viertelst<strong>und</strong>e nach der Landung sind wir schon unterwegs ins Hotel. Das nenne ich eine schnelle Abfertigung. Doch warum sind wir eigentlich nach Dubrovnik geflogen <strong>und</strong> nicht gleich nach Tivat? Das hat zwei Gründe. Horst wollte seiner Tochter <strong>und</strong> mir Dubrovnik zeigen <strong>und</strong> außerdem – wohl der Hauptgr<strong>und</strong> – gibt es kein AVGAS in Tivat. Wir trafen am nächsten Tag am Flugplatz viele der <strong>AOPA</strong>-Gruppe, die auch nach puis, cela ne peut pas être si „difficile“. Tout ce qui concerne le plan de vol, est une affaire de Rocketroute.com, même dans les Balkans. Départ le l<strong>und</strong>i vers 09:50 heures en direction de Colmar, atterrissage à 10:40 heures. Refuel pour € 1,96 et taxe d’atterrissage de € 15 et le voyage continue avec un poids max. au décollage à destination de Dubrovnik. Du temps splendide, sur toute la route pratiquement pas de nuages. On aurait pu voler en VFR sans aucun problème. La montée jusqu’au FL 190 durait env. 20 minutes et avec 210 kn GND à FF 2 x 15 Gal ne sont pas nonplus à négliger. Le vent n’était pas un sujet nonplus et – si du tout – nous avions un vent contraire de 3-5 nœuds. Etant donné que nous traversons les Alpes plutôt en sens diagonal que longitudinal, nous pouvons profiter pendant plus longtemps de la vue panoramique sur les Alpes. La plupart des sommets est sans neige et sans glace. Quelques glaciers sont encore visibles. Un vol totalement „fastidieux“. Grâce à Rocketroute, le routing est déjà très bon et le flightlog produit nous assiste vraiment lors des maintes intersections qui se présentent pendant un tel vol. Pas de problèmes avec le routing ou l’ATC. Tout se déroule sans interruption, les contrôleurs font un bon travail. Il n’y a pas de problèmes de communication. Après un peu moins de trois heures, nous nous trouvons déjà dans l’approche sur la piste 30 à Dubrovnik. Nous effectuons un „visual“ et sommes guidés par le „Follow-Me“ vers notre place de stationnement. Le handling agent est déjà sur place, nous ammène immédiatement vers l’immigration et un petit quart d’heure après l’atterrissage, nous sommes dèjà sur le chemin vers l’hôtel. C’est ce que j’appelle un handling rapide. Mais, pourquoi au fait avons-nous fait escale à Dubrovnik au lieu de nous diriger directement sur Tivat? Pour deux raisons. Horst voulait nous faire voir Dubrovnik et en plus – probablement la raison Tivat wollten. Dubrovnik selber kann es übrigens problemlos mit den Urlaubszielen in Spanien aufnehmen. Das merkt man nicht zuletzt daran, dass viele Spanier in Kroatien Urlaub machen.“ Leerer Tankwagen in Dubrovnik „Am Flughafen wollten auch wir den Flieger auftanken, um den Hüpfer nach Tivat zu machen. Wie zu erwarten war, waren viele Schweizer bereits auch schon da, um zu tanken. Der arme Tankwart musste echt schuften. Sein 2000 Liter fassender Tankwagen war dann irgendwann leer <strong>und</strong> der Tankwart entschuldigte sich mehrfach, dass er jetzt erst mal seinen Tankwagen auftanken müsste. Er murmelte etwas wie „Das hatte ich noch nie“. Nach ca. 15 Minuten, wir hatten bereits mit den anderen Mitfliegern die ersten wirklich netten Kontakte aufgenommen, kam er wieder <strong>und</strong> hat uns aufgetankt. Mittlerweile kamen drei weitere GA-Maschinen aus der Schweiz. Ich vermute, dass sein Tankwagen hinterher wieder leer war. Wir hatten r<strong>und</strong> 400 Liter gebunkert, die anderen haben wohl ähnlich getankt, da es hieß, dass wir keinen Sprit außer in Albaniern bekommen <strong>und</strong> dass es diesen dort immer nur in 300-Liter-Fässern gebe. Der Abflug lief insofern problemlos, da wir gefragt wurden, ob wir statt IFR auch Visual fliegen könnten. Kein Problem, dachten wir, aber als uns dann der Kontroller von Tivat/Montenegro VFR Pflichtmeldepunkte nannte, auf die wir, ehrlich gesagt, nicht wirklich vorbereitet waren (Wir gingen von Vectors bzw, «Field in sight <strong>und</strong> base leg aus) wurde es hektisch, zumal mehrere Maschinen der Reisegruppe recht zeitgleich den Platz anflogen. Wir haben dann festgestellt, dass der Kontroller kein Radar hat. Alles kein Problem, Field in Sight <strong>und</strong> nach Base 33 cleared to land. Dort sammelte sich dann nach <strong>und</strong> nach die ganze <strong>AOPA</strong>-Reise- principale – il n’y a pas d’AVGAS à Tivat. Le lendemain, nous rencontrions bien de participants du groupe <strong>AOPA</strong> à l’aéroport qui avaient aussi l’intention de voler à Tivat. En outre, Dubrovnik peut sans autre être comparée avec les destinations de vacances en Espagne. Un fait qui est souligné par la présence de beaucoup d’Espagnols qui passent leur vacances en Croatie. Camion-citerne vide à Dubrovnik „A l’aéroport nous avions aussi l’intention de faire le plein et de faire le petit saut à Tivat. Comme on pouvait prévoir, bien de Suisses étaient déjà sur place pour faire le plein également. Le pauvre pompiste devait vraiment boulonner. Au moment donné, son camion-citerne avec une capacité de 2000 litres était vide, et le pompiste s’excusait plusieurs fois d’être obligé maintenant de faire le plein de son camion-citerne d’abord. Il murmurait quelque chose comme „je n’ai jamais vu ça“. Après env. 15 minutes, nous avions déjà établi le premier contact sympathique avec les autres participants, il revenait et faisait le plein de notre avion. Entre-temps, trois autres appareils de l’aviation générale arrivaient de la Suisse. Je présume que son camion-citerne – après ces clients – était de nouveau vide. Nous avions avitaillé env. 400 litres, et je pense que les autres ont pris à peu près la même quantité étant donné qu’on nous avait informé qu’à part en Albanie nous ne trouverons plus de quoi à faire le plein et que là-bas il y avait seulement des tonneaux à 300 litres. Le départ se déroulait sans problème par le fait qu’on nous avait demandé si nous pouvions voler en VFR au lieu d’IFR. Pas de problème, pensions-nous, mais lorsque le contrôleur de Tivat/Montenegro nous annonçait des points de compte rendu obligatoires, auquels, à dire la vérité, nous nous n’étions pas vraiment préparé. (nous partions de „vectors“ resp. „Field in sight and base leg),