Diagnostic communautaire - Gland

petits-enfants, tricot, TV, travail, associations, politiques, culturel (chorale, musique), aller aux
champignons, gymnastique, Festival du film de Nyon, Informatique, écriture, accordéon,
écouter de la musique, chalet à la montage, golf, vélo, tâches quotidiennes.
Groupe Ressources - initiation au tir à l’arc, Société des Archers - 27 juillet 2010
Un faible sentiment d’insécurité
De manière générale, les personnes rencontrées ne ressentent pas
de sentiment d’insécurité à Gland. Sur 130 réponses, 90 personnes ne
se sentent pas en insécurité alors que 19 oui. Si la gare est parfois
citée comme effrayante le soir lorsqu’il y a un attroupement de
jeunes, et qu’elle est évitée tout comme le sous-voie, ce sentiment
n’est pas généralisé. La crainte qu’il augmente avec la nouvelle
place a tout de même été entendue. Un sentiment d’insécurité
autour du centre de Montoly les vendredis et samedis soir a été
relevé dans les entretiens : les allées et venues des jeunes, qui
discutent fort, qui cassent des bouteilles sur le chemin, font peur. A la
rue de la Prairie, autour de la fontaine, des jeunes se battent parfois
le soir et cela effraie les riverains. Tout comme les nuisances de
« On ferme pas notre porte
à clef. »
« On ne sort pas le soir. »
« Gland c’est une ville
relativement sûre. »
« Une fois que nos volets
sont fermés, on se sent en
sécurité. »
« C’est un état d’esprit la
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