bulletin 11-1 - Société suisse pour la science des religions

2. News – Informations
2.7 Note sur la rencontre annuelle de l’EASR, Budapest, du 18 au 22
septembre 2011
Les hongrois, bien connus pour leur sens de l’hospitalité, ont organisé une magnifique
conférence annuelle de la EASR dans la vieille ville de Buda. La soirée inaugurale a été
animée par la musique hongroise, alors que la dernière soirée a été couronnée par un
gâteau d’anniversaire pour fêter les 10 ans des conférences de la EASR, accompagné
d’un chant hongrois pour l’occasion. Entre deux, nous avons eu l’occasion d’assister à
un large programme académique autour de la thématique New Movements in Religions.
Theories and Trends. La plupart des exposés étaient montés en panels, organisés par des
groupes de chercheurs, avec des thématiques aussi variées que, par exemple : Nonreligiostity,
identity and ritual, Archeo-Cosmology –Witnesses of Ancien Skies, The
Transformation of Religious Communities in Modern Societies, World Religions’ in
Religious Education – in the Past, Present and Future, Localizing Global Christianity:
Issues of Translation and Interpretation in the Russianized World, Buddhism and
Shamanism in Buryatia: Modernism vs.Traditionalism, Agency and Actants in the Postsecular
Culture, Religion and Music. Les informations détaillées peuvent être trouvées
sur le site général de la EASR.
L’association européenne dispose d’ailleurs d’un nouveau site internet :
http://easr.org/home.html sur lequel se trouvent les informations au sujet des
prochaines réunions ainsi que sur les thématiques retenues (2012 : Stockholm ; 2013
Liverpool ; 2014 Leiden), tout comme d’autres informations d’intérêt général ou
résumant les activités de l’organisation. En 2015, la conférence annuelle coïncidera
avec celle organisée par la IAHR, l’Association internationale d’histoire des religions,
qui se tiendra à Erfurt en Allemagne. A noter que l’association européenne est très
active et recrute surtout des chercheurs de la jeune génération. La Suisse a été très
faiblement représentée cette année, alors que le nombre des participant/es de l’Europe
de l’Est est en constante augmentation. L’Association hongroise a eu soin d’inviter des
conférenciers en séances plénières qui étaient des représentants de méthodes variées –
sciences humaines, sciences sociales, sciences cognitives : un contraste agréable avec
des colloques qui orientent leurs séances plénières en fonction d’une seule approche
méthodologique.
Maya Burger
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