Cherchez-le où il est - Bibliothèque de Toulouse

tIll".419741 a
POT de TtRRE et POT de FER
U nous taus attirer l'attentioas du publk
un le iralheraeux sort réservé aux ou,
;rien victimes d'un accident de travail.
Entre autres je prends comme exemple
4111
père de hua enfants, M. Philippe
Jean-des, demeurant à Fauch (Tarn), au
quel j'ai déjà fmt ailmion dans cm lettre
ouverte.
En septembre 1920, M. lourdes -appelé
en journée chez M. Coutody, épicer et
propriétaire à Entra, ftm invité par ce
de.rmer à lai aider au forage d un putts.
La tâche dévolue à M. lourdes fut celle
de creuser le paras prou, ci que deux
membres de la famille Couto«, ro...n-
iera/en/ à le surface les débris qu il ex.
trairait.
Le travail allait bon train, ih étaient
déjà à huit rnètres de profonde- tr, lors.
que une berne chargée de débris que les
trier; becs de la famille Coutouly sermon.
talent retomba d'alla certaine hauteur
Eue I. ier, courbé au travail.
Prinésst six Mais erns rani d fia inCa-
p th1; da travailler, il dut même abam
devras on métier de maçon. L'ample,
yeux Ce ousy informa 1, Compagnie
d'assurances à laquelle il était assuré
pour ses isques contre ses ouvriers, de
l'accidem qui lui etait arrivé et urit Jour-
des en mippost avec elle.
Ici cami,ince une histoire exuatradi-
mire de procédUre capable de détrem
per les pille sohdes carauteres
Six nroia après 'l'accident, jousdes n'a.
ya,nt rien tomhé, sursos lireau avec rami,
irlsn é une deararche auprès de l'agent
d'assurance de cette Compagnie. Celui-
atts reçut as.c mal et laina espérer
à raccidenté 52 derai-lourivées-de salai-
re. Pourquoi plutôt 32 cc. 54. que airs
mois 3 énigme qu'il se refusa de nous ex-
pliquer, tolu en écartem grossièrement
le demande d'une reparaticun plus &mi-
telle. Ne nouaient accepter cette rom
tien par ;rop simpliste, 1 assistance judi-
ciene accordée, on fit appel à la (estive',
le tribpal désigna notre vr.é. UteN9
nous avens appris à nos deipens que I a-
voué MF Pltribué observait la loi du
moindre effort; six /Mis s'étaiera ému.
S'..s avant notre appel A la justice, q.uinze
b.cuveaux mois ne suffirent pas à notre
avoué pour préparer le dossier et &Iran
der rinscripiim au rale. A bout de pa.
tierce rom rimes demander les raisons
rk ce remrd. L1evonle répond ('ai
demandé à mon colléepir de la Campa.
gale e,P3 pièces quit ne m'adresse
pss allez ks lui réclamer. n
dAn-mnrrhe fut faite mais le collègue
d'avoué omfirmo el: beau fils de la vie.
titre ce que rndiffeherce da notre
avoue laissait entendre (les malheureux
e!..6P) Pa., droit à la )ustice).
I a Réforme de Ilaselpement
primaire
Voici le texte des questions que M.
Léon Bérard, ministre de l'Instruction
poli, que, a annoncée dans le discours
quia a prononcé en oasien la session du
C0715e.ii supérieur. Elles ont été rerreses
à tms /es membres du conseil sous le ti-
tre rie s Questions relatives à cii projet
de réforme de Tenseigr.ernent primaire r.
En parlant de réalitas telles que la per.
sis ance de l'analphabétisme, l'instuffe
moue de la fréquentaton molaire, les
dommages intellectuels et moraux de /a
guerre, les résultats ecuels des exa-
mens, etc...
Et en considérant successivement
Les écoles primaires;
Les écoles primaires supin-. ie..,
Les éCOles normales prima:des;
I° N'estimez-vous pas que l'objet es-
sentie! de l'enseignement primaire étant,
avec la formation morale et civique,
l'acqu.si.ion de connaissances nécessaires
au développement intelectuel progressif
de l'élève, il convient de fortifier encore,
par les méthodes et par les programmes.
Tenseigremen. de ees rotions premières
sans lesquelles I initiation à resprit arien
tifique, même élémentaire, ne nomrait
pas se conmvoir.
2° Comment peur-on définir le carac-
tère propre de l'enseignement primaire
91. ses d:vers degrés 1:démisse:ro. sapé.
nom, normal), oeuvrant a nseignement
à ses divras degrés (élém44,4144.
riem ? La taro ion même du premier
n'impliqued-elle pas qsel se distingue
nettement des deux aunes, dant il y au.
rai: Per
quelque danger à vouloir
lui faire pomsuivre Inc méhodes et les
fins ?
3° NMposte-Lil pua en ,t particulier s
d'envisager une organimtion pédagogi.
que dfférentepora les écoles à lm maître
(60 000) écoles àplonicuzn 'taxi nec
(10.0ow
La différence, s'il y a lieu, doit-elle
porter
Sur les méthodes ?
Sur les programmes ?
Ou sur les degx à la fois
Et dans quelle memre
4° Les examens qui donnent RaCès aux
brevets de l'enseignemen. primaire (bre-
vet élémentaire, breve a perieur).doivent
ils être considérés comme des épreuves
professionnelles, destinées sur .out aux fu-
turs maîtres?
Ne conviendrait-il pas au contraire, de
Ira organiser, sans abaisser aucunement
le gieegt des études, de :elle sorte qu'ils
soiert pareillement accessibles à tom les
mndidats, que cetmci recherchera ou
non des fonctions d'enseignement ?
5° Fiant donné que le ravive et la cul-
ture d'un maître doivent 'é ne très supé-
rieurs à la somme des corrmaissan44. 4.11
est chargé de dispenser à ses élèves, niy
attrait-il pas lieu de rechercher et de
prPuiser les moyens sert pies d'ass-ner
la collaboration régulière de l'emeigne.
Pri-nt second,aire et de r,seig^en-.t su-
périeur à la formation des maltent pri-
maires ?
En effet, la réponse fut celle-ci r Je
ne sais tomme pas de quelles pièces vora
me parlez, .et purs, que croyez-vous faire
avec une Cornpagnie d'emurance
Ce cyniPne nous écoeura. Enfin, apr",
pcolu:,iteeure%th,réclasualra,ent,irt;:rtaa,tin,es
d'un défi à notre adresse, l'inscription au
sole fut faite et le tribunal desIgna
expert pour ronagrément d'en.quée.
Nous rendons hornm.ge à ce dernier
pour /a préolsion et la clarté de son cap.
port, ses conclusions sana entièrement fa
vorables a !ouvrer.
La Compagnie d'assurance continue à
mer de moyens dilatoires pore retarder
le jugement. Cependant ce moment a,
rive, on espérait en avoir fini; hélas !
quelle desTusion 1 1 L'affaire avait été
engagée tom le bénéfice de la loi d,
1898, la Compagnie plaida la ferma e
14 tribu...1 Mrea que l'accident ne béné-
ficiait pas de cette loi, que son cas noie.
voit du droit commun, art. 1382 en ais.
varias d: Code civil, et le débouta de sa
clernande.
Meus voici 239 mois après l'accident,
et si ce vieux père de famille venu obte-
nir réparation il faut m11 intente un
nouveau procès. Le nécesmire a été fait
et Tassiaance Judiciaire accordée.. Mais
ciras l'agent de le Compagnie et son
avoue se ventent que s Ils perdent ce cou
veau procès ils feront appel àToulouse et
, treme en cassaion, afin de laner, de dé
murages çe malheureux
Au nom de ces malheureuses victimes
du travail, ras protestons vivement con-
tre les procédés odieux de cote Compa-
gnie et de certaines autres qui font cern.
I ms elle, et surrou contre k prodeline
' de ces deux jeunes avoués. Cens, en ef-
fet en les lassant, en /es décoraageant
que les deux tiers des accidentés dépour-
vus de ressources Pour bête(' oentee 19u
asugances restent déçus de toute indem-
nité t traînent, dans les villages, une
mos ecce des plus rraserables, cependant
que certaines Compagnies d'assurances
accumulent des milliom de bénéfices, si
ça Pogt s'anneler ainsi !
C'est toujours l'histoire du per de terre
contre le pu i de fer I Mais vous semas
q riez braves Peyo:Ileum que l'intérêt
qu'on prate aux eéres de familles nom
breuses victimes d'un accidmt de travail,
n:es qu'une façade d'hypocrites discours,
et que la plyp,rt clos assurances contre
les accidents clu_agtveil n'est et ne sera
qu'un leurre, un contrat de moeurs iller
mires sans la volonté combative de l'uni-
té ouvrière diti la campagne comme de la
ville. H, MUR, ex-agriculteur.
Ne conviendraitél pas, en outre, d'erre
courages le inéri e professionnel primaire
en donnant aux maures de cet ordre le
moyen de passer de leurs prciessions, où
ils sont présenteurtent enfermés, aux au-
tres carr'ères i iv i
Tous les membres du conseil supérieur
de l'instrmtion publique ont été priés
par In ministre de bien vouloir lui répare
dre pax écrit avant le let nier,
In On a rtS
LISEZ ET FAITES LIRE
LE o MIDI SOCIALISTE
L'Affaire Bersol
POUR LE COLONEL AUROUX,
LA LIGUE DES DROITS DE
L'HOIVEME. DEMANDE, DES
JUGES
On ne muvient qm la Ligue des Droits
de l'Homme avan pmté l'attention du
a/Misse de la guerre sus rettiturte
TQuilenel Auroux qui, en févier 1915,
avoua provoqué la condamnation à mort
alu sotclat Bermt, yom avoir refusé de
mettre un pantalon sale.
Cote atitude était nettement exposée
clam la déposition d'un témoin parties,
dièmernent quai fié, M. Perriete, de Vel-
te, juge au tribunal des mables-d Osomne.
Perriche de Velna accusait le nolo-
timl Auroux d'avoir arbitrairerren mien-
fié ri refus d'obéissance a un une sans
.'apport avec le servee m
d'avoir comstitué me Cour martiale
am. qui Ir Conseil de guerre de la divis
Mao fait compétent, d'avoir gris la pré.
adurcie de cette Cocu martiale contraire-
s:nen à la loi, enfin, devoir choisi comme
assesseurs ses propres subordonnés.
Le ministre de la guerre vient de faire
savoir à la Ugue sa résolution d'enendre
contradictoirement, dura l'intérêt de
vérité le colonel incriminé et le témoin
gai l'accuse.
D-ns sa réponse. la Ligue des Droits
de l'Homme fait remarquer à M. Magi-
not que le témoin a dépose sous la fui dit
serment, dans dm mnditions régulières
e; qu'il ne peut que srmintenir ses décla.
raCons.
I, vérité, c'est dans Tercpu.te à la-
eimIle il ,été procédé par la Coq d'Ad.
pel de Bemroon Alleseafe
/bat le Raaks.Club Narbonne. (I) par 8 potier
à zéro.
A AGEN. Le S. Ii, Agenais bat le B.E.C.,
Ps, 23 points (7 essais, 1 but) à 6 .fins ( 2 es.
egs).
A TOULOUSE. En sheausioun. de la
Ume des Pyrénées le greêo Taule oam. bat
Camps par 4 buts à 0, nerfs ane fon hdle.
Partie.
A BAYONNE Aviren Int k Boue.. par
24 points à 3.
A BIARRITZ.
B. O. bat Sudeceste
bals, per 35 points 45, L'équipe du Stades.ns
était tr. mine.
A BEZIERS. A, S. B. bat Sargon en
Islam, per 14 à O.
A DAX. U. S. P. bat U S. Dacsenese,
Pet 14 à 0,
A TARBES. Stade Insiste) bat S.de
lecasin (2) Issr
Le Champinnat
de Cross-Country
LUTTE SECERE ENTRE LE STADE
ET LE T. O. E. C. LEs RaucEs
L'EMPORTENT
Le temps et te cadre ant favorisé le channe
Plonnrt Os ...cou., des Pyrénées Esse..
Idée d'utiliser rhippagome de la Cam. dui
Assurait être po= le plse grand plagie des
feestions d'ad/lé/Jerne exige. un Vsne
La lare fut Rem. sersée 10 jusqu'ou qua
desias ent, le Sade Toulousain et le T.O.E.C.
Les antres clubs ne furent iramis de. lu b.
La luge des trois premiers surto. fut gal.
tante. Dès le premier tom (il y en arak sent
ê tslur. c'estk-dire 13 kilomètres envi,. artm
deux haies et un mus), lee de. Stadirtee Mes
sat, Vandevelée et le toeciste es dém.
obèrent nettement et avancèrent trois 1m r. ,lu"
unt à l'allure de 7 m. 413 au o.. Pnis
perdit quelque, mètres. Au 6e tour 0 rouanaur
et méme pre.it la tète, dodu te l'irspession
de semer ses deux advereeires. Mais mente: le