University Microfilms - The University of Arizona Campus Repository

his first idea of the importance of the subject or theme as a unifying
factor: "Le Sujet est l'Ame du Balet. . .. Ainsi il regne uniquement
durant toute 1'action et dans toute la duree du divertissement, encore
que les entrees en paroissent separees, et que l'union en soit apparan-
te et interrompue" (Pure, p. 216).
When he discusses the method of expressing the subject of the
ballet, Pure seems to realize that the rather lofty subjects he had
given to the ballet at the beginning of his treatise would sit rather
uneasily in the framework of a joyous divertissement. He finally
arrives at a definition which is comparable to Jean Rousset's descrip­
tions of the baroque spirit;
Le brillant d'un Sujet doit estre toujours gracieux., et ne laisser
que d'agreables Idees. II en est de deux sortes: Les uns en ont
un passager et si j'osois user du mot de Montagne prinsautier,
qui frape d'abord qui saute aux yeux, et qui s'evanoiiit aussitot.
Les autres en cachent plus qu'ils ne montrent, et vont successivement
§. leur point, oCi. ils eclattent et oft ils durent. Mais les uns
et les autres en composent une troisieme espece qui tient des
deux, et qui sont et prompts et durables. Ce sont les plus parfaits,
ou du moins les plus propres pour le Balet. Toute [sic]
en est galant, tout en est aimable (Pure, p. 219).
Pure makes some very good suggestions toward giving the
ballet a entrees more unity. The great ballets danced at court often
had four or five parts, each divided into as many as ten entrees. Of
course, many of these ballets lasted several days, during a festival
or celebration at court, but any unity of theme or subject was almost
impossible with such a multitude of plots. Pure suggests that the