RAA MODELE - Préfecture de la Haute-Marne

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NUMERO 11 15 NOVEMBRE 2011
La version intégrale du présent recueil peut être consultée :
- sur simple demande aux guichets d’accueil de la Préfecture et des Sous-Préfectures,
- sur le site internet des services de l’Etat : www.haute-marne.gouv.fr - rubrique “Publications”.
En application du décret n° 2001-493 du 6 juin 2001, toute personne demandant copie d’un document administratif dans les conditions
prévues à l’article 4 de la loi du 17 juillet 1978 peut obtenir une copie.
SERVICES DU CABINET ET DE LA SECURITE
Service des Affaires Réservées et de
la Communication Interministérielle
Arrêté préfectoral n° 2323 du 7 octobre 2011 désignant les représentants
de l'administration au sein des commissions administratives
chargées de dresser et de procéder à la révision de la liste
électorale ......................................................................................1
Arrêté préfectoral n° 2524 du 26 octobre 2011 décernant la
médaille de bronze pour acte de courage et de dévouement.......2
Pôle Sécurité
Arrêté préfectoral n° 2272 du 29 septembre 2011 autorisant la
mise en œuvre d’un système de vidéoprotection .........................2
Arrêté préfectoral n° 2346 du 11 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................3
Arrêté préfectoral n° 2390 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................4
Arrêté préfectoral n° 2391 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................4
Arrêté préfectoral n° 2392 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................5
Arrêté préfectoral n° 2393 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................5
Arrêté préfectoral n° 2394 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................6
Arrêté préfectoral n° 2395 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................6
Arrêté préfectoral n° 2396 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................7
Arrêté préfectoral n° 2397 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................7
Arrêté préfectoral n° 2398 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................8
SOMMAIRE
République Française
RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS
DE LA PREFECTURE DE LA HAUTE-MARNE
Membres du corps préfectoral
M. le Préfet Claude MOREL
M. le Secrétaire Général Alexander GRIMAUD
M. le Directeur des Services du Cabinet Nicolas REGNY
Mme la Sous-Préfète de Langres Florence VILMUS
M. le Sous-Préfet de Saint-Dizier Thilo FIRCHOW
Arrêté préfectoral n° 2399 du 17 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................8
Arrêté préfectoral n° 2436 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................9
Arrêté préfectoral n° 2437 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection..................................9
Arrêté préfectoral n° 2438 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................10
Arrêté préfectoral n° 2439 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................11
Arrêté préfectoral n° 2440 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................11
Arrêté préfectoral n° 2441 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................12
Arrêté préfectoral n° 2442 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................12
Arrêté préfectoral n° 2443 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................13
Arrêté préfectoral n° 2444 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................13
Arrêté préfectoral n° 2445 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................14
Arrêté préfectoral n° 2446 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................14
Arrêté préfectoral n° 2447 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................15
Arrêté préfectoral n° 2448 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................15
Arrêté préfectoral n° 2449 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................16
Arrêté préfectoral n° 2450 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................16

Arrêté préfectoral n° 2451 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................17
Arrêté préfectoral n° 2452 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................18
Arrêté préfectoral n° 2453 du 20 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................18
Arrêté préfectoral n° 2476 du 24 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................19
Arrêté préfectoral n° 2477 du 24 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................19
Arrêté préfectoral n° 2478 du 24 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................20
Arrêté préfectoral n° 2479 du 25 octobre 2011 autorisant la mise
en œuvre d’un système de vidéoprotection................................20
Direction Départementale des Services
d'Incendie et de Secours
Arrêté préfectoral n° 2321 du 5 octobre 2011 nommant le commandant
de sapeurs-pompiers professionnels Joël FRETTE aux
fonctions de chef de colonne ......................................................21
DIRECTION DE LA REGLEMENTATION,
DES COLLECTIVITES LOCALES
ET DES POLITIQUES PUBLIQUES
Bureau des Elections, des Associations
et de la Réglementation Générale
Arrêté préfectoral n° 2315 du 6 octobre 2011 portant habilitation
dans le domaine funéraire ..........................................................21
Arrêté préfectoral n° 1145 du 14 octobre 2011 désignant les
représentants de l'administration au sein des commissions administratives
chargées de dresser et de procéder à la révision des
listes électorales .........................................................................21
Arrêté préfectoral n° 2455 du 21 octobre 2011 portant classement
d’un meublé de tourisme ...................................................21
Bureau des Relations avec les Collectivités Locales
Arrêté préfectoral n° 2309 du 30 septembre 2011 portant création
de deux nouvelles communes, par partage de l'actuelle com -
mune de ROBERT-MAGNY-LANEUVILLE-A-REMY .................21
Arrêté préfectoral n° 2419 du 20 octobre 2011 dissolvant l’association
foncière de remembrement de CHAUFFOURT ..............22
Arrêté préfectoral n° 2420 du 20 octobre 2011 instituant l’association
foncière de remembrement de SOMMERECOURT........22
Arrêté préfectoral n° 2421 du 20 octobre 2011 instituant l’association
foncière de remembrement de VAUDRECOURT ...........22
Arrêté préfectoral n° 2422 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement d’ANNE -
VILLE-LA-PRAIRIE.....................................................................22
Arrêté préfectoral n° 2423 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement d’AUTRE -
VILLE-SUR-LA-RENNE..............................................................22
Arrêté préfectoral n° 2424 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de
BIERNES ....................................................................................22
Arrêté préfectoral n° 2425 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de BOUZAN-
COURT-DAILLANCOURT-GUINDRECOURT-SUR-BLAISE.....23
Arrêté préfectoral n° 2426 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de CHAMP-
COURT (commune associée de COLOMBEY-LES-DEUX-
EGLISES) ...................................................................................23
Arrêté préfectoral n° 2427 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de CON -
SIGNY.........................................................................................23
Arrêté préfectoral n° 2428 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de CRENAY
(commune associée de FOULAIN).............................................23
Arrêté préfectoral n° 2429 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de GERMAIN-
VILLIERS ....................................................................................23
Arrêté préfectoral n° 2430 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement d’HARRI-
COURT (commune associée de COLOMBEY-LES-DEUX-
EGLISES) ...................................................................................23
Arrêté préfectoral n° 2431 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de MARAULT
(commune associée de BOLOGNE)...........................................23
Arrêté préfectoral n° 2432 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de
MERREY ....................................................................................23
Arrêté préfectoral n° 2433 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de PREZ-
SOUS-LAFAUCHE-LAFAUCHE.................................................23
Arrêté préfectoral n° 2434 du 20 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de ROCHE-
FORT-SUR-LA-COTE ................................................................23
Arrêté préfectoral n° 2512 du 28 octobre 2011 modifiant les statuts
du Syndicat Mixte du Pôle Technologique de Haute-Champagne
(SYMTEC) .......................................................................23
Bureau du Développement du Territoire
Arrêté préfectoral n° 2483 du 27 octobre 2011 fixant la liste des
catégories d'investissements susceptibles de bénéficier d'une
subvention au titre de la Dotation d'Equipement des Territoires
Ruraux 2011 ...............................................................................23
Bureau du Pilotage des Politiques Publiques
Arrêté préfectoral n° 2328 du 20 septembre 2011 portant déclaration
d’utilité publique en vue de distribuer l’eau destinée à la
consommation humaine..............................................................24
Arrêté préfectoral n° 2368 du 12 octobre 2011 autorisant le
GAEC des Barraques à mettre en exploitation un élevage de
bovins et une fromagerie à GENEVRIERES ..............................24
Arrêté préfectoral n° 2369 du 12 octobre 2011 accordant une
dérogation de distance au GAEC de l'AZUR à ANGLUS (com -
mune de Ceffonds) .....................................................................24
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
ET DES MOYENS DE L’ETAT
Bureau du Budget
Arrêté préfectoral n° 2468 du 24 octobre 2011 nommant le régisseur
titulaire de la régie de recettes de la Circonscription de
Sécurité Publique de Saint-Dizier ...............................................24
SOUS-PREFECTURE DE LANGRES
Arrêté préfectoral n° 1091 du 3 octobre 2011 approuvant les statuts
de l'association foncière de remembrement de VALS
D’ESNOMS.................................................................................25
Arrêté préfectoral n° 1092 du 3 octobre 2011 approuvant les statuts
de l'association foncière de remembrement de MUSSEAU ...25
Arrêté préfectoral n° 1104 du 4 octobre 2011 relatif au bureau de
l'association foncière de remembrement de BANNES ...............25
Arrêté préfectoral n° 1109 du 6 octobre 2011 approuvant les statuts
de l'association foncière de remembrement de HORTES-
ROSOY-SUR-AMANCE .............................................................25
Arrêté préfectoral n° 1137 du 12 octobre 2011 relatif au bureau
de l'association foncière de TRONCHOY...................................25
Arrêté préfectoral n° 1146 du 14 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de POUILLY-
DAMREMONT ............................................................................25
Arrêté préfectoral n° 1159 du 20 octobre 2011 relatif au bureau
de l'association foncière de remembrement de VAUX-SOUS-
AUBIGNY....................................................................................25
Arrêté préfectoral n° 1167 du 24 octobre 2011 approuvant les
statuts de l’association foncière d’aménagement foncier agricole
et forestier de VICQ ....................................................................26

Arrêté préfectoral n° 1172 du 24 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de
RECOURT ..................................................................................26
Arrêté préfectoral n° 1173 du 24 octobre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de
SAULXURES ..............................................................................26
Arrêté préfectoral n° 1197 du 28 octobre 2011 modifiant les statuts
du Syndicat Mixte de Transports du Pays de Langres
(SMTPL) .....................................................................................26
Arrêté préfectoral n° 1198 du 28 octobre 2011 modifiant l’article
13 des statuts du SIVOM de la Resaigne...................................26
SOUS-PREFECTURE DE SAINT-DIZIER
Arrêté préfectoral n° 100 du 30 septembre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de
FRAMPAS ..................................................................................26
Arrêté préfectoral n° 101 du 30 septembre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de FER-
RIERES-ET-LA FOLIE................................................................26
Arrêté préfectoral n° 102 du 30 septembre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de FAYS ....26
Arrêté préfectoral n° 103 du 30 septembre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de BROUS-
SEVAL ........................................................................................26
Arrêté préfectoral n° 104 du 30 septembre 2011 approuvant les
statuts de l'association foncière de remembrement de CHE-
VILLON .......................................................................................26
Arrêté préfectoral n° 106 du 6 octobre 2011 approuvant les statuts
de l'association foncière de remembrement de ROCHES-
SUR-ROGNON...........................................................................26
Arrêté préfectoral n° 107 du 6 octobre 2011 approuvant les statuts
de l'association foncière de remembrement d’OSNE-
LE-VAL .......................................................................................26
Arrêté préfectoral n° 109 du 11 octobre 2011 approuvant les statuts
de l'association foncière de remembrement de DOMREMY...26
Arrêté préfectoral n° 111 du 20 octobre 2011 approuvant les statuts
de l'association foncière de remembrement d’ALLI-
CHAMPS ....................................................................................27
AGENCE REGIONALE DE SANTE
DE CHAMPAGNE-ARDENNE
DELEGATION TERRITORIALE
DE LA HAUTE-MARNE
Arrêté préfectoral n° 2327 du 6 octobre 2011 remplaçant la Commission
Départementale des Hospitalisations Psychiatriques par
la Commission Départementale des Soins Psychiatriques ........27
DIRECTION DEPARTEMENTALE
DE LA COHESION SOCIALE ET DE LA
PROTECTION DES POPULATIONS
Arrêté préfectoral n° 35 du 1er juillet 2011 portant composition de
la commission départementale d’examen des situations de surendettement
des particuliers et des familles...............................27
Arrêté préfectoral n° 67 du 14 septembre 2011 modifiant l’arrêté
préfectoral n° 14 du 22 janvier 2009 fixant la liste des personnes
habilitées pour être désignées en qualité de mandataire judiciaire
à la protection des majeurs.........................................................27
Arrêté préfectoral n° 101 du 18 octobre 2011 modifiant l’arrêté
préfectoral n° 35 du 1er juillet 2011 portant composition de la
commission départementale d’examen des situations de surendettement
des particuliers et des familles...................................27
Arrêté n° 104 du 26 octobre 2011 donnant subdélégation de
signature .....................................................................................27
Arrêté n° 106 du 27 octobre 2011 Conseil général de la Haute-
Marne/Préfecture de la Haute-Marne relatif à la présidence de la
commission départementale spécialisée de coordination des
actions de prévention des expulsions locatives..........................28
Arrêté préfectoral n° 107 du 27 octobre 2011 relatif à la prési -
dence de chaque sous-commission d’arrondissement de prévention
des expulsions locatives ......................................................29
DIRECTION DEPARTEMENTALE
DES FINANCES PUBLIQUES
Décision du 23 septembre 2011 donnant délégation de
signature .....................................................................29
DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES
Arrêté préfectoral n° 2310 du 30 septembre 2011 accordant
l’autorisation d'exploiter sollicitée par le GAEC des CERISIERS
en voie de création .....................................................................29
Arrêté préfectoral n° 2311 du 30 septembre 2011 accordant
l’autorisation d'exploiter sollicitée par le GAEC des SEPT FON-
TAINES.......................................................................................30
Arrêté préfectoral n° 2326 du 5 octobre 2011 accordant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par l’EARL BAVEREL en voie de
création .......................................................................................30
Arrêté préfectoral n° 2331 du 7 octobre 2011 relatif à l'état des
risques technologiques (effets thermiques et effets de surpression)
pour l'information des acquéreurs et des locataires de biens
immobiliers situés sur la commune d'AUTREVILLE-SUR-LA-
RENNE .......................................................................................30
Arrêté préfectoral n° 2329 du 10 octobre 2011 refusant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par le GAEC du SAULE.......................30
Arrêté préfectoral n° 2340 du 10 octobre 2011 prolongeant le
délai pour statuer sur la demande d’autorisation d'exploiter
déposée par la SAS TRUSSART Négoce de bétail ...................30
Arrêté préfectoral n° 2361 du 12 octobre 2011 accordant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par M. MACLOUD Jérémy sous
réserve........................................................................................30
Arrêté préfectoral n° 2362 du 12 octobre 2011 accordant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par l’EARL de la BIOSSE.................30
Arrêté préfectoral n° 2363 du 12 octobre 2011 refusant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par le GAEC LOUET............................30
Arrêté préfectoral n° 2364 du 12 octobre 2011 accordant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par Mlle HENNEBICQUE Clarisse...31
Arrêté préfectoral n° 2365 du 12 octobre 2011 refusant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par la SAS TRUSSART Négoce de
bétail ...........................................................................................31
Arrêté préfectoral n° 2366 du 12 octobre 2011 refusant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par Mme DAVENET Leslie Anne.........31
Arrêté préfectoral n° 2367 du 12 octobre 2011 refusant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par M. PELLOUARD Laurent...............31
Arrêté préfectoral n° 2371 du 13 octobre 2011 portant soumission
au Régime Forestier............................................................31
Arrêté préfectoral n° 2400 du 18 octobre 2011 prolongeant le
délai pour statuer sur la demande d’autorisation d'exploiter déposée
par l’EARL AGRIMAATZ......................................................31
Arrêté préfectoral n° 2401 du 18 octobre 2011 prolongeant le
délai pour statuer sur la demande d’autorisation d'exploiter déposée
par l’EARL MARY ................................................................31
Arrêté préfectoral n° 2402 du 18 octobre 2011 portant soumission
au Régime Forestier............................................................31
Arrêté préfectoral n° 2403 du 18 octobre 2011 portant distraction
du Régime Forestier ...................................................................31
Arrêté préfectoral n° 2475 du 21 octobre 2011 accordant l’autorisation
d’exploiter sollicitée par Mme BERNARD Mélanie à PLAN-
RUPT et MONTIER en DER et refusant l’autorisation d’exploiter
à PLANRUPT..............................................................................31
Arrêté préfectoral n° 2495 du 21 octobre 2011 accordant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par l’EARL des METS DESSUS ......32
Arrêté préfectoral n° 2496 du 21 octobre 2011 accordant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par l’EARL du CLOS SAINT-ROCH en
voie de création ..........................................................................32
Arrêté préfectoral n° 2497 du 21 octobre 2011 accordant l’autorisation
d'exploiter sollicitée par le GAEC des TROIS FON-
TAINES.......................................................................................32

DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES,
DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI
DE CHAMPAGNE-ARDENNE
UNITE TERRITORIALE DE LA HAUTE-MARNE
Arrêté préfectoral du 30 septembre 2011 portant agrément pour
la fourniture de services aux personnes .....................................32
AGENCE REGIONALE DE SANTE
DE CHAMPAGNE-ARDENNE
Arrêté n° 2011-929 du 20 octobre 2011 arrêtant la somme due
par la Caisse Primaire d'Assurance Maladie - Centre Hospitalier
de Chaumont ..............................................................................32
Arrêté n° 2011-930 du 20 octobre 2011 arrêtant la somme due
par la Caisse Primaire d'Assurance Maladie - Centre Hospitalier
de Saint Dizier ............................................................................33
Arrêté n° 2011-931 du 20 octobre 2011 arrêtant la somme due
par la Mutalité Sociale Agricole - Centre Hospitalier de
Langres.......................................................................................33
DIRECTION REGIONALE DE L’ENVIRONNEMENT,
DE L’AMENAGEMENT ET DU LOGEMENT
DE CHAMPAGNE-ARDENNE
Arrêté du 7 octobre 2011 relatif à la correspondance entre les
champs d'attribution et de compétence des services de la
DREAL et les dispositions de l'arrêté préfec toral portant délégation
de signature à M. Jean-Christophe VILLEMAUD ................33
DIRECTION REGIONALE DES DOUANES ET DROITS
INDIRECTS DE CHAMPAGNE-ARDENNE
Décision du 25 octobre 2011 prononçant des fermetures définitives
de débits de tabac ordinaires permanents .........................34
RESEAU FERRE DE FRANCE
Décision du 12 octobre 2011 portant déclassement du domaine
public ferroviaire .........................................................................34
Décision du 13 octobre 2011 portant déclassement du domaine
public ferroviaire .........................................................................34
AVIS ET COMMUNIQUES
Centre Hospitalier Geneviève de Gaulle Anthonioz
Vacance d’un poste d’assistant médico-administratif à pourvoir
au choix ......................................................................................34
EHPAD de POISSONS
Recrutement d’un cadre de santé à I’EHPAD de POISSONS....34

SERVICES DU CABINET ET DE LA SECURITE
Service des Affaires Réservées et de
la Communication Interministérielle
Par arrêté préfectoral n° 2323 du 7 octobre 2011 signé par
M. Claude MOREL, Préfet de la Haute-Marne, les personnes ciaprès
désignées représenteront l'administration au sein des commissions
administratives, instituées dans chaque commune de
l’arrondissement de CHAUMONT par l'article L17 du Code Electoral,
et chargées de dresser et de procéder à la révision de la
liste électorale :
AGEVILLE M. Pierre SIMONNOT
AILLIANVILLE M. Stéphane JUCQUIN
AIZANVILLE
ANDELOT-BLANCHEVILLE
Mme Laurence GUERBER
Section électorale d'ANDELOT Mme Martine JONQUET
Section électorale de BLANCHEVILLE M. Maurice DIDIER
Commission spéciale Mme Marie-Rose PAYEUR GIGOUX
ANNEVILLE-LA-PRAIRIE Mme Huguette PRUVOT
ARC-EN-BARROIS Mme Isabelle CHEVALIER
AUBEPIERRE-SUR-AUBE M. Louis-Marie DORNAY
AUDELONCOURT
AUTREVILLE-SUR-LA-RENNE
Mme Eliane CARIELO
Section électorale d'AUTREVILLE SUR LA RENNE M. Claude LHUILLIER
Section électorale de LAVILLENEUVE AU ROI M. Patrice PENSEE
Section électorale de SAINT-MARTIN M. Louis FOURIER
Section électorale de VALDELANCOURT M. Robert CARBILLET
Commission spéciale M. Jean-Louis CHAROTTE
BASSONCOURT
BIESLES
M. Michel RAY
Section éléctorale de BIESLES Mme Anne-Sophie PEIGNEY
Section électorale du PUITS DES MEZES Mme Magali MENDES
Commission spéciale M. Claude RAGOT
BLAISY Mme Marcelle COLLIN
BLESSONVILLE
BOLOGNE
M. Xavier MICHELOT
Section électorale de BOLOGNE M. Robert HURNI
Section électorale de MARAULT M. Lionel LACROIX
Section électorale de ROOCOURT-LA-COTE M. Didier THIEBAUT
Commission spéciale M. Didier GEORGES
BOURDONS-SUR-ROGNON M. Jean-Pierre MARCHAND
BOURG-SAINTE-MARIE
BOURMONT
M. Jean-Paul CHAMPSAUR
Section électorale de BOURMONT Mme Geneviève SOYER
Section électorale de GONAINCOURT M. Rémy JOLY
Commission spéciale M. Michel GALLAND
BRAINVILLE-SUR-MEUSE Mme Annette GAUTHIER
BRAUX-LE-CHATEL Mme Martine CONSTANT
BRETHENAY
BREUVANNES-EN-BASSIGNY
M. Alain VOINCHET
Section électorale de BREUVANNES M. Patrick GEORGE
Section électorale de COLOMBEY-LES-CHOISEUL M. Michel PETITFOUR
Section électorale de MEUVY M. Jean-Louis GOBILLOT
Commission spéciale M. Yves MILLIARD
BRIAUCOURT M. Jean-Pierre THIEBAUT
BRICON M. Jean-Gabriel MARTIN
BUGNIERES Mme Madeleine PECHIODAT
BUSSON M. René BERARD
BUXIERES-LES-CLEFMONT Mme Stéphanie HUMBLOT
BUXIERES-LES-VILLIERS Mme Bénédicte GAUTHIER
CHALVRAINES
CHAMARANDES-CHOIGNES
Mme Evelyne GAUDICHOT
Section électorale de CHAMARANDES Mme Colette CHANNAUX
Section électorale de CHOIGNES M. François AUBERT
Commission spéciale Mme Régine POLICE
CHAMBRONCOURT M. Louis GIRONCOURT
CHAMPIGNEULLES-EN-BASSIGNY M. Jean DUPREY
CHANTRAINES
CHATEAUVILLAIN
Mme Claudine PIERRET
Section électorale de CHATEAUVILLAIN Mme Colette PEDRINA
Section électorale de CREANCEY M. Denis RIOTTOT
1
Section électorale d'ESSEY-LES-PONTS M. Serge COLLOT
Section électorale de MARMESSE M. Arnaud GAUCHEROT
Commission spéciale Mme Denise GENTIL
CHAUMONT
1er bureau Mme Michèle FENAUX
2e bureau M. Bernard AUBEPART
3e bureau Mme Claude PAGE
4e bureau M. Jacques SIMON
5e bureau Mme Brigitte DUVAL
6e bureau M. Guy DULOR
7e bureau M. Guy SIMON
8e bureau M. Daniel GRODARD
9e bureau M. Henri BERTRAND
10e bureau Mme Angélina GRIMA
11e bureau M. Jean-Marie BOURBON
12e bureau M. Claude BRETON
13e bureau M. Francis POINSOT
14e bureau Mme Arlette CHENEVOIS
15e bureau M. Stéphane HRVOJ
16e bureau Mme Annick DECHANET
17e bureau M. Renato DAL BORGO
18e bureau Mme Michèle MINOT
19e bureau Mme Nicole NOTAT
20ème bureau M. Jean-Claude LABACHE
Commission spéciale M. Claude TOLMER
CHAUMONT-LA-VILLE Mme Sylvie RIPART
CHOISEUL Mme Régine PARISEL
CIREY-LES-MAREILLES M. Louis THOMAS
CIRFONTAINES-EN-AZOIS M. Eric ETIENNE
CLEFMONT M. Gérard DENJEAN
CLINCHAMP M. Bernard BELTZUNG
COLOMBEY-LES-DEUX-EGLISES
Section électorale d'ARGENTOLLES Mme Dominique ESMARD
Section électorale de BIERNES M. Pierre VOILLEQUIN
Section éléctorale de BLAISE M. Michel LESEURRE
Section électorale de CHAMPCOURT Mme Françoise BABOUOT
Section électorale de COLOMBEY LES DEUX EGLISES M. Robert FOURIER
Section électorale d'HARRICOURT M. Pascal ROLLAND
Section électorale de LAVILLENEUVE-aux-FRESNES Mme Eva SLANGEN
Section électorale de PRATZ M. Francis DELACROIX
Commission spéciale M. Yves CONSIGNY
CONDES M. Eric ROLLAND
CONSIGNY M. Rémi PETIT
COUPRAY M. Denis STASSENS
COUR-L'EVEQUE Mme Monique LAHAIE
CURMONT M. Romain BIENFAIT
CUVES Mme Francine MALLET
DAILLANCOURT M. Claude PAULIN
DAILLECOURT M. Denis HEMONNOT
DANCEVOIR M. Régis MOREAUX
DARMANNES Mme Gilberte BERGE
DINTEVILLE M. Philippe PIOT
DONCOURT-SUR-MEUSE Mme Aline RONDOT
ECOT-LA-COTE Mme Elisabeth PASQUET
ESNOUVEAUX M. Jacky PITOLLET
EUFFIGNEIX M. Christian CARCHON
FORCEY M. Patrick GRAVIER
FOULAIN
section électorale de FOULAIN M. Robert FORGEOT
section électorale de CRENAY M. Jean CHANE
Commission spéciale M. Roland TOUSSENEL
FRONCLES
section électorale de FRONCLES Mme Gisèle CATTANI
section électorale de PROVENCHERES-SUR-MARNE M. Jean-Pierre KOEHL
commission spéciale M. Luc NOIROT
GERMAINVILLIERS M. Daniel HUMBERT
GIEY-SUR-AUJON M. Antoine ESPRIT
GILLANCOURT M. Michel ROUSSEL
GONCOURT Mme Christine POPULUS
GRAFFIGNY-CHEMIN M. Jean-Marie CHEVALLIER
GUINDRECOURT-SUR-BLAISE M. Bernard JOBARD

HACOURT M. Francis MAROT
HARREVILLE-LES-CHANTEURS Melle Doriane VISENTINI
HUILLIECOURT M. Marcel RAGOT
HUMBERVILLE M. Pascal BERNARD
ILLOUD M. Georges TRUCHOT
IS-EN-BASSIGNY M. Jean LALLEMANT
JONCHERY
Section électorale de JONCHERY Mme Joëlle FOUGEU
Section électorale de LAHARMAND Mme Jeannine NOIRTIN
Section électorale de SARCICOURT M. Georges FLAMERION
Commission spéciale M. Jean-Philippe LEMOUTON
JUZENNECOURT M. Jean-Louis MOUTON
LA CHAPELLE-EN-BLAISY M. Guy DELACROIX
LAFAUCHE M. Denis BERLOT
LAFERTE-SUR-AUBE Mme Marie-France ROLLANDEZ
LA GENEVROYE Mme Jeannine PELLOUARD
LAMANCINE M. Daniel VOIRIN
LAMOTHE-EN-BLAISY M. Thierry COLIN
LANQUES-SUR-ROGNON Mme Lydie BORD
LANTY-SUR-AUBE M. Damien AUBRIOT
LATRECEY
Section électorale de LATRECEY M. Roland FLEURIOT
Section électorale d'ORMOY SUR AUBE M. Charles BLONDEAU
Commission spéciale Mme Michèle FUNCKEN
LAVILLE-AU-BOIS M. Christian PERNY
LEFFONDS M. François LHUILLIER
LEURVILLE M. Pierre FONTAINE
LEVECOURT M. Pierre BOURGEOIS
LIFFOL-LE-PETIT Mme Sylvaine PAILLOT
LONGCHAMP-LES-MILLIERES M. Georges VAUTRIN
LOUVIERES Mme Béatrice SCIAUX
LUZY-SUR-MARNE M. Sylvain BOUCQUEMONT
MAISONCELLES Mme Janine DUCRET
MALAINCOURT-SUR-MEUSE M. Michel VEUILLIER
MANDRES-LA-COTE M. Roger MAINO
MANOIS M. Claude LECOURT
MARANVILLE Mme Odile DUCHE
MARBEVILLE M. Daniel COURAGEOT
MAREILLES M. Gérard CAUSSIN
MARNAY-SUR-MARNE M. André SAUVAGE
MENNOUVEAUX M. Jean-Marie SAUVAGE
MERREY M. Bernard BEUNET
MEURES M. Patrick POINSOT
MILLIERES Mme Annie SIMMONOT
MIRBEL M. Jacques DAUBANTON
MONTHERIES M. Michel GALAN
MONTOT-SUR-ROGNON Mme Laetitia HERNANDEZ
MORIONVILLIERS Mme Josiane BATUT
NEUILLY-SUR-SUIZE M. Michel GACHET
NIJON M. Alain BEZOT
NINVILLE Mme Antoinette MOUSSU
NOGENT
Section électorale de NOGENT
1er bureau M. Georges NOIROT
2ème bureau M. Georges FAITOUT
3ème bureau M. Gilbert PEROTIN
Section électorale de DONNEMARIE M. Jean-Louis FAIPOUX
Section électorale d'ESSEY-LES-EAUX M. Jean-Marie CHAMPION
Section électorale d'ODIVAL M. Maurice MOUTENET
commission spéciale Mme Marie-Claude BOURNOT
NOYERS M. Gilbert BOILLETOT
ORGES Mme Geneviève GERARD
ORMOY-LES-SEXFONTAINES Mme Magdeleine LAHAYE
ORQUEVAUX M. Thierry SIMON
OUDINCOURT Mme Claudette HARLE
OUTREMECOURT M. Jean-Paul JAUGEON
OZIERES M. Georges REMY
PERRUSSE M. Abel POIROTTE
POINSON-LES-NOGENT M. Jean-Michel ROYER
PONT-LA-VILLE M. Jacques PROTIN
POULANGY M. Philippe BERNARD
2
PREZ-SOUS-LAFAUCHE Mme Joëlle REYREN
RANGECOURT M. Jacques HUGUENOT
RENNEPONT M. Emmanuel GUILLERME
REYNEL M. Gilbert PLANTEGENET
RIAUCOURT M. René MAGNIEN
RICHEBOURG Mme Françoise SIMONIN
RIMAUCOURT Mme Maryline LONGUEVILLE
RIZAUCOURT-BUCHEY
section électorale de BUCHEY Mme Mauricette MASSON
section électorale de RIZAUCOURT M. Jean-Pierre BERTIN
commission spéciale M. Roland CASTIGNEROL
ROCHEFORT-SUR-LA-COTE Mme Yvette DORE
ROMAIN-SUR-MEUSE M. James DENIS
SAINT-BLIN M. Bernard MOUGIN
SAINT-THIEBAULT M. Guy DUGRILLON
SARCEY Mme Martine BERTRAND
SEMILLY M. Pierre BELLANGER
SEMOUTIERS-MONTSAON
section électorale de SEMOUTIERS M. Jean-Claude LAMONTRE
Section électorale de MONTSAON M. Hubert CRENET
commission spéciale M. Bernard MILLE
SEXFONTAINES Mme Marie-Thérèse LESEUR
SIGNEVILLE M. Olivier LESEUR
SILVAROUVRES M. Guy DROUOT
SOMMERECOURT M. Mickaël JEANMAIRE
SONCOURT-SUR-MARNE Mme Maryse THOMAS
SOULAUCOURT-SUR-MOUZON M. Jean MOUGIN
THIVET M. Claude GSCHWIND
THOL-LES-MILLIERES M. Serge DESLOGES
TREIX M. Pierre MAIGRET
VAUDRECOURT M. Jean-Marie CHEVALLIER
VAUDREMONT Mme Caroline GUERINOT
VERBIESLES M. Didier RAGOT
VESAIGNES-SOUS-LAFAUCHE M. Jack MARTIGNONI
VESAIGNES-SUR-MARNE M. Michel AVIER
VIEVILLE M. Jean-Claude LATARGE
VIGNES-LA-COTE Mme Irène KOPEC
VIGNORY Mme Nicole SCHAEFFER
VILLARS-EN-AZOIS Mme Odile SILVESTRE
VILLIERS-LE-SEC M. Michel DORKEL
VILLIERS-SUR-SUIZE M. Robert GUENY
VITRY-LES-NOGENT M. Roland BOURNOT
VOUECOURT M. Gabriel FISCHER
VRAINCOURT M. Claude DEROCHE
VRONCOURT-LA-COTE M. Claude LADIER
Cet arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux devant le tribunal
administratif compétent dans un délai de deux mois courant
à compter de sa publication au Recueil des Actes administratifs
de la Préfecture de la Haute-Marne.
Les arrêtés préfectoraux n° 2797 du 18 octobre 2010 et n° 3051
du 2 décembre 2010 sont abrogés.
Par arrêté préfectoral n° 2524 du 26 octobre 2011 signé par
M. Claude MOREL, Préfet de la Haute-Marne, la médaille de
bronze pour acte de courage et de dévouement est décernée à
la maréchale des logis-chef BORDES Sophie et au gendarme
adjoint volontaire BONNAILLIE François pour avoir secouru une
personne qui tentait de mettre fin à ses jours en sautant d'un
pont surplombant l'autoroute A5 permettant ainsi d'éviter un accident
de la circulation et la mort quasi-certaine d'une personne
suicidaire.
Pôle Sécurité
Par arrêté préfectoral n° 2272 du 29 septembre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, Mme AGNES SAAL
est autorisée dans les conditions fixées au présent arrêté à
mettre en œuvre au CENTRE NATIONAL D'ART ET DE CUL -
TURE GEORGES POMPIDOU - rue Savignac 52000 CHAU-
MONT un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention
des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics,
Autres (PROTECTION DES OEUVRES), Prévention d'actes terroristes.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 11 caméras intérieures
et 6 caméras extérieures.
Les caméras extérieures devront être disposées de façon à ne
pas visionner la voie publique et ne pas filmer les parties privatives
de tiers.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Fabien GOUGEON.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
L'autorisation est délivrée pour une durée de quatre mois à
compter de la date du présent arrêté.
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Par arrêté préfectoral n° 2346 du 11 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Xavier LESEUR est
3
autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement SARL LE QG - rue du Val Poncé 52000 CHAU-
MONT un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 5 caméras intérieures
et 3 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Xavier LESEUR.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une

nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2390 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Stuart MADDEN
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement IDS SCANIA - Route de Villiers en Lieu - Hallignicourt
52100 SAINT-DIZIER un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 1 caméra intérieure
et 10 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
IDS Network Operations, 7C Place du Dôme, Immeuble Elysée
La Défense 92056 PARIS LA DEFENSE.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
4
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2391 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Jean-Christophe
MARCHAND est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre pour son établissement SHRHM - Autoroute A5 - Aire de
Chateauvillain 52120 CHATEAUVILLAIN un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 8 caméras intérieures
et 4 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Thomas MARCHAL, directeur.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2392 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Emmanuel SOLO-
FRIZZO est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre
pour son établissement LIDL - 99, rue de Pierrancey 52200
LANGRES un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 14 caméras intérieures
et 1 caméra extérieure.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
Mme Léa ALLIOT, responsable administratif.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
5
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2393 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Jean-François
DELAMARRE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre pour son établissement LECLERC EXPRESS - SAS
JALU - 4 place de Verdun 52600 CHALINDREY un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 7 caméras intérieures
et 4 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Jean-François DELAMARRE, PDG.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux

(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2394 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, Mme Claudie
PILARES-GIL est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre pour son établissement LE SAN JUAN - 16 rue Aristide
Briand 52300 JOINVILLE un système de vidéoprotection conformément
au dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
Mme Claudie PILARES-GIL, Gérante.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
6
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2395 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Gilles BOURGOIN
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement Tabac Presse Les Franchises - Centre Commercial
Les Franchises 52200 LANGRES un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Gilles BOURGOIN, Gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.

L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2396 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Ahsen GHERZOU-
LI est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans
les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour
son établissement STREET GIRLZ - 38 rue Docteur Mougeot
52100 SAINT-DIZIER un système de vidéoprotection conformément
au dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 2 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Ahsen GHERZOULI, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
7
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2397 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, Mlle Alexandra MUL-
TON est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre
pour son établissement TABAC MULTON - 23 rue du 19 mars
1962 52100 SAINT-DIZIER un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
Mlle Alexandra MULTON, gérante.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2398 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Pascal CHARTON
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement INTERMARCHE - rue de Vergy 52100 SAINT-
DIZIER un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 47 caméras intérieures
et 8 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
8
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Pascal CHARTON, PDG.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2399 du 17 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Xavier LESEUR est
autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement SARL LE STRIKE - 20 route de Neuilly 52000
CHAUMONT un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 7 caméras intérieures
et 3 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour

le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Xavier LESEUR, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2436 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. BLOCK, est auto -
risé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son établissement
SARL BLOCK AUTO SERVICES FEU VERT - ZAC
du Chêne St Amand 52100 SAINT-DIZIER un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 9 caméras intérieures.
9
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. BLOCK, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2437 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. le responsable
d'agence est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre
pour son établissement CIC - 23 rue du Docteur Mougeot SAINT-
DIZIER un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 6 caméras intérieures
et 1 caméra extérieure.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. le responsable d'agence.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2438 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. le responsable
d'agence est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre
pour son établissement CIC - route de Bar le Duc 52100 BET-
10
TANCOURT LA FERREE un système de vidéoprotection conformément
au dossier présenté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures
et 1 caméra extérieure.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. le responsable d'agence.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.

Par arrêté préfectoral n° 2439 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. le responsable
d'agence est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre
pour son établissement CIC - 2 place Diderot 52200 LANGRES
un système de vidéoprotection conformément au dossier pré -
senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 6 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. le responsable d'agence.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
11
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2440 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Nicolas LEMOlNE
est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement SARL Aux délices des sorciers - 60 rue de la
République 52600 CHALINDREY un système de vidéoprotection
conformément au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Nicolas LEMOlNE, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).

La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2441 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Damien BRO-
CHAIN est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre
pour son établissement Pharmacie du Cavalier - 8 rue des
Erables 52000 CHAUMONT un système de vidéoprotection
conformément au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Damien BROCHAIN, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
12
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2442 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. François LEGROS
est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement POINT S - 111 rue Ernest Renan 52100 SAINT-
DIZIER un système de vidéoprotection conformément au dossier
pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 5 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
Mme Catherine LIPKA, responsable ressources humaines.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 6 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).

Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2443 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Nicolas ROBERT
est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement WHY NOT BAR - 16 rue Jean Roussat 52200
LANGRES un système de vidéoprotection conformément au dossier
pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Nicolas ROBERT, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 12 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
13
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2444 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Smain BATACHE
est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement Bar du Centre - 37/39 Grande rue 52400 BOUR-
BONNE-LES-BAINS un système de vidéoprotection conformément
au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Smain BATACHE, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 5 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -

lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2445 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Jean-Marc CHI-
CLET est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre
pour son établissement AUBERGE LA ROSE DES VENTS - RN
19 52500 BRONCOURT un système de vidéoprotection conformément
au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 1 caméras intérieures
et 2 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Jean-Marc CHICLET, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
14
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2446 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Eric DEHAND-
SCHUTTER est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre pour son établissement COLRUYT - 62 rue de la République
52600 CHALINDREY un système de vidéoprotection
conformément au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 16 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès du service
prévention antivol, 4 rue des Entrepots 39700 Rochefort.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 20 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2447 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Dominique BOUR-
GINE est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre
pour son établissement ADEF RESIDENCES - 2 rue André Barbaux
52100 SAINT-DIZIER un système de vidéoprotection
conformément au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 2 caméras intérieures
et 13 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
Mme Karine MATRY, directrice de l'établissement.
15
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2448 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Sébastien EVEN
est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement BUT - ZAC du Chêne St Amand 52100 SAINT-
DIZIER un système de vidéoprotection conformément au dossier
pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 6 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Sébastien EVEN, directeur.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 6 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2449 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Christian DEBUS
est auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement FLUNCH - Centre commercial Leclerc 52100
SAINT-DIZIER un système de vidéoprotection conformément au
dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 3 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
16
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Christian DEBUS, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 14 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2450 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, Mme Catherine KHA-
CHLOUF est auto risée, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre pour son établissement NOVELTY MAROQUINERIE - 54
rue Gambetta 52100 SAINT-DIZIER un système de vidéoprotection
conformément au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
Mme Catherine KHACHLOUF, gérante.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2451 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Bruno DRIAT est
auto risé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement PHARMACIE DRIAT - 13 rue du Général Giraud
17
52100 SAINT-DIZIER un système de vidéoprotection conformément
au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 4 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Bruno DRIAT, gérant.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.

Par arrêté préfectoral n° 2452 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, Mme Aida M'DALLA
est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement ALLURE COIFFURE - 7 avenue de la République
52000 CHAUMONT un système de vidéoprotection conformément
au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 2 caméras intérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
Mme Aida M'DALLA , gérante.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
18
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2453 du 20 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. le responsable
d'agence est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre
pour son établissement BNP PARIBAS - 19 Grande Rue 52400
BOURBONNE-LES-BAINS un système de vidéoprotection
conformément au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 5 caméras intérieures
et 1 caméra extérieure.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. le responsable d'agence.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).

La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2476 du 24 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. VIOLIER est auto -
risé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son établissement
INTERMARCHE - Lotissement la Champagne 52310
BOLOGNE un système de vidéoprotection conformément au
dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 13 caméras intérieures
et 2 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. VIOLIER, PDG.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
19
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2477 du 24 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Luc CHATEL est
autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement Mairie de Chaumont - Place de la Concorde 52000
CHAUMONT un système de vidéoprotection conformément au
dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Jean-Michel ZUPAN, directeur général des services.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de

présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2478 du 24 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Luc CHATEL est
autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement Communauté de Communes du pays chaumontais
- 8 ruelle de Villiers 52000 CHAUMONT un système de vidéoprotection
conformément au dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 3 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
Mme Stéphanie COURVOISIER, animatrice pépinière.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 3 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
20
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Par arrêté préfectoral n° 2479 du 25 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, M. Julien XUEREF est
autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre pour son
établissement DECATHLON - Avenue du Général Sarrail 52100
SAINT-DIZIER un système de vidéoprotection conformément au
dossier pré senté.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection
des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par
la réglementation en vigueur.
Le dispositif de vidéoprotection est composé de 15 caméras intérieures
et 2 caméras extérieures.
Le public devra être informé dans l'établissement cité à l'article
1er, par une signalétique appropriée :
- de manière claire, permanente et significative, à chaque point
d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection
et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour
le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut
exercer son droit d'accès aux enregistrements.
- l'affichette mentionnera les références de la loi et du décret et
les références du service et de la fonction du titulaire du droit
d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
Le droit d'accès aux images pourra s'exercer auprès de
M. Julien XUEREF, directeur.
Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire
ou d'une information judiciaire, les enregistrements
seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant
les enregistrements réalisés, la date de destruction des images
et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter
garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation
ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du
système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité
des images captées et/ou enregistrées et des atteintes
à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement
des images devra être strictement interdit à toute personne
n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préa -
lablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système
ou de son exploitation.

Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les
dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et
les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés.
Toute modification présentant un caractère substantiel devra
faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant
la protection des images).
Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente
autorisation pourra après que l'intéressé aura été mis à même de
présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier
1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été
délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21
janvier 1995 modifiée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres
procédures éventuellement applicables (code du travail, code
civil, code pénal).
La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes
Administratifs de la Préfecture de la Haute-Marne.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le tribunal adminis -
tratif de Châlons-en-Champagne dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa
publication au document précité.
Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une
nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre
mois avant l'échéance de ce délai.
Direction Départementale des Services
d'Incendie et de Secours
Par arrêté préfectoral n° 2321 du 5 octobre 2011 signé par
M. Claude MOREL, Préfet de la Haute-Marne, à compter du 1er
mai 2011, le commandant de sapeurs-pompiers professionnels
Joël FRETTE, du Corps Départemental des Sapeurs-Pompiers
de la Haute-Marne, assure, sous l'autorité du Directeur des Opérations
de Secours et du Directeur Départemental des Services
d'Incendie et de Secours, en qualité de chef de colonne, le commandement
des opérations de secours.
Conformément au Code de Justice Administrative, le présent
arrêté peut faire l'objet d'un recours dans les deux mois à compter
de sa notification devant le tribunal administratif territorialement
compétent.
DIRECTION DE LA REGLEMENTATION,
DES COLLECTIVITES LOCALES
ET DES POLITIQUES PUBLIQUES
Bureau des Elections, des Associations
et de la Réglementation Générale
Par arrêté préfectoral n° 2315 du 6 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’entreprise dénommée
"Hygiène Funéraire Haut-Marnaise", sise 7 rue du Moulin à
52150 HARREVILLE-LES-CHANTEURS, est habilitée pour exercer,
sur l’ensemble du territoire national, les activités funéraires
suivantes :
Soins de conservation.
Le numéro d’habilitation est 11.52.025.
La présente habilitation est valable SIX ANS à compter de la
date du présent arrêté.
En application de l’article R.2223-63 du Code général des collectivités
territoriales, tout changement dans les indications fournies
lors de la demande pour la délivrance de la présente habilitation
devra être déclaré à la préfecture dans le délai de deux mois.
Le présent arrêté peut être déféré devant le Tribunal administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE (51036) - 25 rue du Lycée dans
un délai de deux mois à compter de ce jour.
Par arrêté préfectoral n° 1145 du 14 octobre 2011 signé par Mme
Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, sont désignés
21
pour représenter l'Administration au sein des Commissions Administratives
chargées de l'établissement et de la révision des listes
électorales : voir l’annexe au présent recueil.
Par arrêté préfectoral n° 2455 du 21 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, le meublé de tourisme
situé au 14 rue du Général de Maistre à Bourbonne-les-
Bains est classé meublé de tourisme de catégorie trois étoiles
pour 4 personnes susceptibles d'être accueillies. Ce classement
est valable pour une durée de cinq ans à compter de la notification
du présent arrêté.
La présente décision peut faire l’objet d’un recours contentieux
devant le tribunal administratif dans un délai de deux mois courant
à compter de sa notification.
Bureau des Relations avec les Collectivités Locales
Par arrêté préfectoral n° 2309 du 30 septembre 2011 signé par
M. Claude MOREL, Préfet de la Haute-Marne, il sera procédé, à
compter du 1er janvier 2012, et sous les dénominations LANEU-
VILLE-A-REMY et ROBERT-MAGNY, à la création de deux nouvelles
communes, par partage de l'actuelle commune de
ROBERT-MAGNY-LANEUVILLE-A-REMY.
Les limites territoriales des deux communes seront identiques à
ce qu'elles étaient antérieurement au regroupement. Les nouvelles
communes continueront à faire partie du canton de MON-
TIER-EN-DER.
La population totale des deux communes sera celle résultant des
populations légales arrêtées par l'INSEE au 1er janvier 2011, soit
59 habitants à LANEUVILLE-A-REMY et 233 habitants à
ROBERT-MAGNY.
Ce recensement servira de base chaque fois qu'il sera fait application
du critère "au prorata de la population".
Chaque nouvelle commune sera propriétaire des biens immobiliers
tels qu'ils figureront à l'état de l'actif dressé par le comptable.
Les biens mobiliers seront répartis entre les deux sections
de commune.
Les annuités des emprunts contractés avant et pendant la fusion
seront remboursées par les nouvelles communes selon la localisation
des investissements. Toutes les annuités d'emprunt
constitueront pour les communes des dépenses obligatoires.
La dotation au titre du Fonds de Compensation de la TVA
allouée en 2012 sur les dépenses d'investissement réalisées en
2011 sera ventilée entre les deux communes selon la localisation
des investissements pour lesquels la TVA a été acquittée.
Pour la détermination des contingents des diverses dotations,
des fonds de concours qui nécessitent, pour leur calcul, la prise
en charge d'éléments ne pouvant être dissociés, il sera fait application
du critère "au prorata de la population".
Les restes à payer et les restes à recouvrer constatés au 31
décembre 2011 seront répartis par chaque commune en fonction
de l'origine, et donc de la localisation de l'opération. Pour les
opérations qui ne pourront être imputées à l'une ou l'autre des
deux communes, la répartition s'effectuera au prorata de la population.
Les dettes et les créances de LANEUVILLE-A-REMY et
ROBERT-MAGNY qui se révèleront postérieurement à l'arrêt
définitif des comptes seront reprises par chaque commune en
fonction de l'origine, et donc de la localisation de l'opération.
Les opérations qui ne pourront être imputées à l'une ou l'autre
des deux communes seront réglées ou encaissées par la commune
de ROBERT-MAGNY, qui en assurera la répartition entre
les deux communes au prorata de la population.
Les effets à recevoir échus en 2012 au titre des ventes de
coupes de bois 2011 seront repris au bilan des communes propriétaires
des forêts concernées.
Les archives appartenant à la commune de LANEUVILLE-
A-REMY qui auraient été transférées, lors de la fusion, à la commune
de ROBERT-MAGNY, seront restituées à la commune
d'origine.
Les documents établis pendant la fusion, et qui sont communs
aux deux communes, resteront à ROBERT-MAGNY et seront

obligatoirement communiqués à la commune de LANEUVILLE-A-
REMY à sa demande, sous forme directe ou de copie.
A compter du 1er janvier 2012, et jusqu'au vote du budget primitif
2012 de chacune des deux communes, un "budget de référence"
calculé sur la base du budget 2011 de ROBERT-MAGNY-
LANEUVILLE-A-REMY permettra aux ordonnateurs de chaque
commune d'engager les dépenses courantes, notamment en ce
qui concerne la rémunération du personnel.
Un arrêté ultérieur viendra compléter les modalités de répartition
de l'actif et du passif entre les deux communes concernées ainsi
que la ventilation du personnel, dont les modalités seront
annexées à l'arrêté.
Le conseil municipal de ROBERT-MAGNY-LANEUVlLLE-A-
REMY sera dissous à compter du 1er janvier 2012. Chacune des
deux communes sera administrée par une délégation spéciale
jusqu'à l'installation d'un nouveau conseil municipal. Un arrêté
ultérieur viendra désigner les membres de chaque délégation
spéciale.
Conformément aux dispositions de l'article R.421-5 du Code de
Justice Administrative, la présente décision peut faire l'objet d'un
recours contentieux devant le Tribunal administratif de Châlonsen-Champagne
dans le délai de deux mois courant à compter de
la notification de celle-ci.
Par arrêté préfectoral n° 2419 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’association foncière
de remembrement de CHAUFFOURT est dissoute à compter
de la date du présent arrêté.
Les biens et l’actif de l’association foncière de remembrement
de CHAUFFOURT sont transférés à la commune de CHAUF-
FOURT.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2420 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, une association
foncière ayant pour objet la réalisation, l'entretien et la gestion
des travaux ou ouvrages mentionnés aux articles L.123.8 et
L.123.9 du code rural et de la pêche maritime est instituée dans
la commune de SOMMERECOURT.
Cette association foncière prend le nom de “association foncière
de remembrement de SOMMERECOURT” et a son siège en
mairie de SOMMERECOURT.
Cette association foncière de remembrement comprend tous les
propriétaires des terrains inclus dans le périmètre de SOMME-
RECOURT qui a été clôturé le 31 juillet 1981.
Cette association foncière sera administrée par un bureau qui
comprendra :
le maire ou un conseiller municipal désigné par lui;
quatre propriétaires désignés pour six ans, par moitié par le
conseil municipal et par moitié par la Chambre d'Agriculture;
un délégué de la Direction Départementale des Territoires de la
Haute-Marne.
Les membres du bureau de l'association foncière de SOMMERE-
COURT sont désignés pour une durée de six années.
Le conseil municipal désignera, dans le mois qui suit l'affichage
du présent arrêté dans la commune intéressée, deux propriétaires
de parcelles incluses dans le périmètre de remembrement
pour faire partie du bureau.
M. le Président de la Chambre d'Agriculture procédera, dans un
délai d'un mois à compter de la date de réception, à la désignation
de deux propriétaires de parcelles incluses dans le périmètre
de remembrement autres que ceux désignés par le conseil municipal.
Les membres du bureau doivent jouir de leurs droits civils, avoir
atteint leur majorité, et sous réserve des conventions internationales
être de nationalité française.
Un arrêté ultérieur fixera la composition du bureau de l'association
foncière au vu des désignations qui auront été faites.
22
Les fonctions du receveur seront exercées par le comptable
public de BOURMONT.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2421 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, une association
foncière ayant pour objet la réalisation, l'entretien et la gestion
des travaux ou ouvrages mentionnés aux articles L.123.8 et
L.123.9 du code rural et de la pêche maritime est instituée dans
la commune de VAUDRECOURT.
Cette association foncière prend le nom de “association foncière
de remembrement de VAUDRECOURT” et a son siège en mairie
de VAUDRECOURT.
Cette association foncière de remembrement comprend tous les
propriétaires des terrains inclus dans le périmètre de VAUDRE-
COURT qui a été clôturé le 31 juillet 1981.
Cette association foncière sera administrée par un bureau qui
comprendra :
le maire ou un conseiller municipal désigné par lui;
quatre propriétaires désignés pour six ans, par moitié par le
conseil municipal et par moitié par la Chambre d'Agriculture;
un délégué de la Direction Départementale des Territoires de la
Haute-Marne.
Les membres du bureau de l'association foncière de VAUDRE-
COURT sont désignés pour une durée de six années.
Le conseil municipal désignera, dans le mois qui suit l'affichage
du présent arrêté dans la commune intéressée, deux propriétaires
de parcelles incluses dans le périmètre de remembrement
pour faire partie du bureau.
M. le Président de la Chambre d'Agriculture procédera, dans un
délai d'un mois à compter de la date de réception, à la désignation
de deux propriétaires de parcelles incluses dans le périmètre
de remembrement autres que ceux désignés par le conseil municipal.
Les membres du bureau doivent jouir de leurs droits civils, avoir
atteint leur majorité, et sous réserve des conventions internationales
être de nationalité française.
Un arrêté ultérieur fixera la composition du bureau de l'association
foncière au vu des désignations qui auront été faites.
Les fonctions du receveur seront exercées par le comptable
public de BOURMONT.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2422 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement d’ANNEVILLE-LA-PRAIRIE
adoptés par l’assemblée des propriétaires membres le 18 avril
2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2423 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement d’AUTREVILLE-SUR-LA-
RENNE adoptés par l’assemblée des propriétaires membres le
15 juin 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2424 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de BIERNES adoptés par
l’assemblée des propriétaires membres le 29 septembre 2011
sont approuvés.

Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2425 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de BOUZANCOURT-
DAILLANCOURT-GUINDRECOURT-SUR-BLAISE adoptés par
l’assemblée des propriétaires membres le 18 mai 2011 sont
approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2426 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de CHAMPCOURT (commune
associée de COLOMBEY-LES-DEUX-EGLISES) adoptés
par l’assemblée des propriétaires membres le 3 octobre 2011
sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2427 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de CONSIGNY adoptés par
l’assemblée des propriétaires membres le 30 septembre 2011
sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2428 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de CRENAY (commune
associée de FOULAIN) adoptés par l’assemblée des propriétaires
membres le 8 juin 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2429 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de GERMAINVILLIERS
adoptés par l’assemblée des propriétaires membres le 3 octobre
2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2430 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement d’HARRICOURT (commune
associée de COLOMBEY-LES-DEUX-EGLISES) adoptés par
l’assemblée des propriétaires membres le 28 septembre 2011
sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2431 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de MARAULT (commune
associée de BOLOGNE) adoptés par l’assemblée des propriétaires
membres le 26 avril 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
23
Par arrêté préfectoral n° 2432 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de MERREY adoptés par
l’assemblée des propriétaires membres le 4 mai 2011 sont
approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2433 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de PREZ-SOUS-
LAFAUCHE-LAFAUCHE adoptés par l’assemblée des propriétaires
membres le 1er octobre 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2434 du 20 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, les statuts de l'association
foncière de remembrement de ROCHEFORT-SUR-LA-
COTE adoptés par l’assemblée des propriétaires membres le 21
avril 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 2512 du 28 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, à compter de ce
jour, les statuts du Syndicat Mixte du Pôle Technologique de
Haute-Champagne (SYMTEC) sont modifiés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de publication du présent arrêté.
Bureau du Développement du Territoire
Par arrêté préfectoral n° 2483 du 27 octobre 2011 signé par
M. Claude MOREL, Préfet de la Haute-Marne, la liste des catégories
d'investissements susceptibles de bénéficier d'une subvention
au titre de la Dotation d'Equipement des Territoires
Ruraux 2011 a été fixée le 17 octobre 2011 par la Commission
départementale d'Équipement des Territoires Ruraux ainsi qu'il
suit.
CATEGORIES TAUX MAXIMUM
en %
1 - INGENIERIE TERRITORIALE 50
2 - ASSAINISSEMENT (hors lotissement
et quartiers neufs) 40
3 - EAU POTABLE (hors lotissement et quartiers neufs) 40
4 - OPERATIONS DE RENFORCEMENT DES
SECURITES CIVILE, ROUTIERE ET PUBLIQUE 40
5 - ECOLES ET CANTINES SCOLAIRES 40
6 - MAIRIES ET SIEGES DES INTERCOMMUNALITES 40
7- CREATION ET RENOVATION D'EQUIPEMENTS
SPORTIFS - RENOVATIONS D'EQUIPEMENTS
CULTURELS 40
8 - EDIFICES CULTUELS 40
9 - PROJETS ECONOMIQUES 40
10 - PROJETS SANITAIRES ET SOCIAUX 40
11 - PROJETS ENVIRONNEMENTAUX 40
12 - PROJETS TOURISTIQUES 40
13 - DEVELOPPEMENT OU MAINTIEN DES
SERVICES AU PUBLIC EN MILIEU RURAL 40
14 - AlRES D'ACCUEIL ET AIRES DE GRAND
PASSAGE DES GENS DU VOYAGE 40
15 - DIVERS ET IMPREVUS -
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de publication du présent arrêté au Recueil des Actes
Administratifs.

Bureau du Pilotage des Politiques Publiques
Par arrêté préfectoral n° 2328 du 20 septembre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, sont déclarés d’utilité
publique en vue de distribuer l’eau destinée à la consommation
humaine :
- les prélèvements effectués par la commune de MONT-
CHARVOT ;
- la dérivation des eaux de la source de la Fontaine Meuthé sise
sur la commune de MONTCHARVOT ;
- l’utilisation de l’eau prélevée dans le milieu naturel en vue de la
consommation humaine ;
- la mise en place des périmètres de protection autour des captages
de la source de la Fontaine Meuthé ;
- les ouvrages de traitement et de distribution des eaux. La réalisation,
la mise en œuvre et l’efficacité de ces systèmes seront
placés sous le contrôle de la DTD ARS Haute-Marne (ou les services
compétents en matière de contrôle).
Les prescriptions auxquelles est soumis le projet peuvent être
consultées en Préfecture - Bureau du Pilotage des Politiques
Publiques.
Par arrêté préfectoral n° 2368 du 12 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, le GAEC des Barraques,
dont le siège social est situé 17 rue des Barraques
52500 GENEVRIERES, est autorisé à mettre en exploitation
sur les parcelles ZD n° 45 et 46 (exploitées à Genevrières) un
élevage de bovins au titre de la nomenclature des Installations
Classées pour la Protection de l'Environnement et sur la parcelle
ZB n° 22 une fromagerie.
Désignation de l'activité
Bovins (Etablissements d'élevage,
vente, transit, etc. de)
2. Elevage de vaches laitières :
Rubrique Capacité Classement
c) De 101 à 150 vaches laitières 2101-2 c 146 vaches
laitières Déclaration
Bovins (Etablissements d'élevage,
vente, transit, etc. de)
1. Elevage de veaux de boucherie et/ou
bovins à l'engraissement; transit et vente
de bovins lorsque leur présence simultanée
est supérieure à 24 heures, à l'exclusion
des rassemblements occasionnels :
c) De 50 à 200 animaux
Dépôts de bois, papier, carton ou
matériaux combustibles analogues.
La quantité stockée étant :
2. Supérieure à 1000 m
2101-1 c 90 bovins Déclaration
3 mais
inférieure ou égale à 20000 m3 1532-2 7500 m3 Lait (Réception, stockage, traitement,
transformation etc. du) ou des produits
issus du lait.
La capacité journalière de traitement
exprimée en litre de lait ou
équivalent-lait étant :
Déclaration
2. supérieure à 7000 litres par jour 2230-2 1 411 litres
par jour Non Classé
Les prescriptions auxquelles est soumise l’exploitation peuvent
être consultées en Préfecture - Bureau du Pilotage des Politiques
Publiques.
Par arrêté préfectoral n° 2369 du 12 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, une dérogation de
distance à moins de 100 mètres vis-à-vis des deux tiers (sur les
parcelles YL n° 27 et 31) et de la zone U du PLU est accordée au
GAEC de l'AZUR, dont le siège d'exploitation est au 21 rue Principale
52220 ANGLUS (commune de Ceffonds), pour limiter des
problèmes sanitaires et répondre aux besoins de modernisation
de l'exploitation du bâtiment d'élevage des vaches laitières soumis
à déclaration au titre de la nomenclature des Installations
Classées pour la Protection de l'Environnement.
24
Désignation de l'activité Rubrique Capacité Classement
Etablissement d'élevage
de vaches laitières 2101-2b 100 Déclaration
Etablissement d'élevage
de bovins d'engraissement 2101-1c 50 Déclaration
Dépôts de bois sec ou matériaux
combustibles analogues 1532-2 3700 m 3 Déclaration
Le GAEC de l'AZUR doit respecter rigoureusement les plans
annexés au présent arrêté pour la mise en œuvre du réaménagement
du bâtiment des vaches laitières et ses annexes sur la
parcelle YM n° 57 à Anglus.
Le GAEC de l'AZUR est autorisé, conformément aux plans
annexés au présent arrêté, à :
- réaménager le bâtiment d'élevage des vaches laitières du site
principal en logettes paillées avec couloirs de raclage pour loger
98 vaches laitières;
- construire une nouvelle fosse couverte de 275 m 3;
- modifier la salle de traite pour installer un roto de 24 postes;
- construire une plate forme à fumier couverte de 530 m 2.
Le nouveau mode d'élevage des vaches laitières logettes
paillées doit être équipé de racleurs électriques automatiques
pour le raclage des effluents et le paillage doit être de 5 kg/
animal/jour minimum.
Toute installation métallique de contention animale (type comadis)
susceptible de produire du bruit devra être équipée de dispositif
anti-bruit.
Une haie d'arbres doit être implantée le long de la nouvelle
fumière au Nord du bâtiment et autour de la nouvelle fosse
conformément à l'annexe, afin d'assurer une intégration paysagère
de cette extension.
Concernant la canalisation transitant de l'eau potable par la parcelle
dite PrésCornus, le GAEC de l'AZUR doit :
- prendre toutes les précautions vis-à-vis de cette canalisation
pendant la phase de réalisation des travaux afin de ne pas la
détériorer;
- laisser l'accès à cette canalisation pour que la collectivité ait la
possibilité d'intervenir rapidement sans contrainte.
L'arrêté ministériel du 7 février 2005 et l'arrêté préfectoral
n° 1778 du 15 mai 2006, fixant les règles techniques auxquelles
doivent satisfaire les élevages de bovins, de volailles et/ou
de gibier à plumes et de porcs soumis à déclaration, s'applique.
Le présent arrêté doit être affiché en permanence, de façon
visible, dans l'installation.
Le présent arrêté sera affiché un mois à la mairie de la commune
de CEFFONDS.
La présente autorisation ne peut être déférée qu'au Tribunal
Administratif de Châlons-en-Champagne. Le délai de recours est
de :
- deux mois pour l'exploitant. Ce délai commence à courir du jour
où la présente décision a été notifiée ;
- un an par les tiers, personnes physiques ou morales, les communes
intéressées ou leurs groupements, à compter de la publication
ou de l'affichage de cette décision. Toutefois, si la mise en
service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la
publication ou l'affichage de ces décisions, le délai de recours
continue à courir jusqu'à l'expiration d'une période de six mois
après cette mise en service.
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
ET DES MOYENS DE L’ETAT
Bureau du Budget
Par arrêté préfectoral n° 2468 du 24 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, M. Franck VUR-
PILLOT, capitaine de police, est nommé régisseur titulaire de la
régie de recettes de la Circonscription de Sécurité Publique de
Saint-Dizier à compter du 1er septembre 2011 avec pour mission
d'appliquer exclusivement les dispositions prévues dans l'acte de
création de celle-ci.
M. Franck VURPILLOT devra constituer un cautionnement et
percevra une indemnité de responsabilité selon les termes de

l'arrêté du 28 mai 1993, modifié par l'arrêté du 3 septembre
2001.
En cas d'absence pour maladie, congé ou tout autre empêchement
exceptionnel, M. Franck VURPILLOT sera remplacé par
M. Yannick GIN, capitaine de police, régisseur suppléant.
M. Yannick GIN ne percevra pas d'indemnité de responsabilité.
Le régisseur titulaire et le régisseur suppléant sont conformément
à la réglementation en vigueur personnellement et pécuniairement
responsables de la conservation des fonds, des
valeurs et des pièces comptables qu'ils ont reçus, ainsi que
l'exactitude des décomptes de liquidation qu'ils ont éventuellement
effectués.
Le régisseur titulaire et le régisseur suppléant ne doivent pas
percevoir de sommes pour des produits autres que ceux énumérés
dans l'acte constitutif de la régie, sous peine d'être constitués
comptables de fait et de s'exposer aux poursuites disciplinaires
et pénales prévues par l'article 432-10 du Nouveau Code Pénal.
Le régisseur titulaire et le régisseur suppléant sont tenus de présenter
leurs registres comptables, leurs fonds et leurs formules
de valeur inactives aux agents de contrôle qualifiés.
Les arrêtés préfectoraux n° 2586 du 17 septembre 2008 et
n° 1411 du 7 avril 2010 sont abrogés.
SOUS-PREFECTURE DE LANGRES
Par arrêté préfectoral n° 1091 du 3 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, les statuts
de l'association foncière de remembrement de VALS D’ESNOMS
adoptés par l’assemblée des propriétaires membres le 5 mai
2011 sont approuvés.
Le comptable de l'association foncière de remembrement de
VALS D’ESNOMS est le Chef de poste de la Trésorerie de
PRAUTHOY.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1092 du 3 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, les statuts
de l'association foncière de remembrement de MUSSEAU adoptés
par l’assemblée des propriétaires membres le 22 septembre
2011 sont approuvés.
Le comptable de l'association foncière de remembrement de
MUSSEAU est le Chef de poste de la Trésorerie de PRAUTHOY.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1104 du 4 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, le bureau
de l'association foncière de remembrement de BANNES créée
par l'arrêté préfectoral n° 154 du 6 septembre 1982 est renou -
velé. L’article 1 de l’arrêté préfectoral n° 59 du 23 janvier 2008
est modifié ainsi qu’il suit.
a) Membre de droit :
M. Charles MONOT, 1er adjoint de la commune
M. le maire ou un conseiller municipal désigné par lui
b) Les propriétaires dont le nom suit :
Membres désignés par le conseil municipal de BANNES :
M. Daniel MARULIER
M. Alain VITRY
Membres désignés par la Chambre d'Agriculture de la Haute-
Marne :
M. Jean Baptiste JEAUGEY (GAEC du Moulinot)
M. Jacky ROYER
c) Membre de droit :
le délégué de la Direction Départementale des Territoires
Tous les membres du bureau de l'association foncière de
remembrement de BANNES (y compris les deux membres de
droit) ont leur mandat qui se terminera à la date du 4 octobre
2017.
25
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1109 du 6 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, les statuts
de l'association foncière de remembrement de HORTES-ROSOY
SUR-AMANCE adoptés par l’assemblée des propriétaires
membres le 27 mai 2011 sont approuvés.
Le comptable de l'association foncière de remembrement de
HORTES-ROSOY SUR AMANCE est le Chef de poste de la Trésorerie
de BOURBONNE LES BAINS.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1137 du 12 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, le bureau
de l'association foncière de TRONCHOY créée par l'arrêté préfectoral
n° 76 du 12 juin 1979 renouvelé par arrêté préfectoral
n° 125 du 20 mars 2007 est modifié. L’article 1 de l’arrêté préfectoral
n° 125 du 20 mars 2007 est modifié ainsi qu’il suit.
Membre à voix délibérative :
Mme le maire ou un conseiller municipal désigné par elle
Membres désignés par la Chambre d'Agriculture de la Haute-
Marne :
M. Guy CARBILLET de CHARMES
M. Dominique HUEBRA
Mme Mathilde HUEBRA épouse DOUCHE
Membres désignés par le conseil municipal de ROLAMPONT :
Mme Marguerite CEZARD
M. Bernard COUSIN
M. Jean-Pierre DOUCHE
Membre à voix consultative :
le délégué de la Direction Départementale des Territoires
L'organisme qui apporte une subvention d'équipement au moins
égale à 15 % du montant total des travaux participe, à sa de -
mande, aux réunions du bureau.
Tous les membres du bureau de l'association foncière de
remembrement de TRONCHOY (y compris les deux membres de
droit) ont leur mandat qui se terminera à la date du 20 mars
2013.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1146 du 14 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, les statuts
de l'association foncière de remembrement de POUILLY-DAM-
REMONT adoptés par l’assemblée des propriétaires membres le
26 septembre 2011 sont approuvés.
Le comptable de l'association foncière de remembrement de
POUILLY-DAMREMONT est le Chef de poste de la Trésorerie de
BOURBONNE LES BAINS.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1159 du 20 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, le bureau
de l'association foncière de remembrement de VAUX-SOUS-
AUBIGNY créée par l'arrêté préfectoral n° 10 du 29 janvier 1988
est renouvelé. L’article 1 de l’arrêté préfectoral n° 58 du 20
octobre 2007 est modifié ainsi qu’il suit.
Membre à voix délibérative :
Mme le maire ou un conseiller municipal désigné par elle;
Trois Membres désignés par la Chambre d'Agriculture de la
Haute-Marne :
M. André BŒUF de VAUX SOUS AUBIGNY
M. Guy COUROUX de CHATOILLENOT
M. Sylvain PRAT de CHATOILLENOT

Trois Membres désignés par le conseil municipal de VAUX-
SOUS-AUBIGNY :
M. Michel AUER
M. Michel CADET
M. Jean CHIGNARDET
Membre à voix consultative :
le délégué de la Direction Départementale des Territoires
L'organisme qui apporte une subvention d'équipement au moins
égale à 15 % du montant total des travaux participe, à sa de -
mande, aux réunions du bureau.
Tous les membres du bureau de l'association foncière de
remembrement de VAUX SOUS AUBIGNY ont leur mandat qui
se terminera à la date du 21 février 2011.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1167 du 24 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, les statuts
de l’association foncière d’aménagement foncier agricole et
forestier de VICQ adoptés par l’assemblée des propriétaires
membres le 4 juin 2011 sont approuvés.
Le comptable de l’association foncière d’aménagement foncier
agricole et forestier de VICQ est le Chef de poste de la Trésorerie
de BOURBONNE LES BAINS.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1172 du 24 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, les statuts
de l'association foncière de remembrement de RECOURT adoptés
par l’assemblée des propriétaires membres le 15 octobre
2011 sont approuvés.
Le comptable de l'association foncière de remembrement de
RECOURT est le Chef de poste de la Trésorerie de VAL DE
MEUSE.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1173 du 24 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, les statuts
de l'association foncière de remembrement de SAULXURES
adoptés par l’assemblée des propriétaires membres le 20
octobre 2011 sont approuvés.
Le comptable de l'association foncière de remembrement de
SAULXURES est le Chef de poste de la Trésorerie de VAL DE
MEUSE.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 1197 du 28 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, les statuts
du Syndicat Mixte de Transports du Pays de Langres (SMTPL)
sont modifiés.
L’adhésion de la commune de Chanoy au SMTPL est autorisée à
compter du 1er janvier 2012.
L’article 2 des statuts est complété comme suit :
Dans le cadre de sa compétence de transport de personnes, le
syndicat pourra réaliser sur la demande de collectivités extérieures
des prestations de services dont les conditions d’exécution
et de rémunération seront fixées par convention.
Par arrêté préfectoral n° 1198 du 28 octobre 2011 signé par
Mme Florence VILMUS, Sous-Préfète de LANGRES, l’article 13
des statuts du SIVOM de la Resaigne sont complétés comme
suit :
26
Dans le cadre de la compétence SPANC, le syndicat pourra réaliser
sur la demande de collectivités extérieures des prestations
de services dont les conditions d’exécution et de rémunération
seront fixées par convention.
SOUS-PREFECTURE DE SAINT-DIZIER
Par arrêté préfectoral n° 100 du 30 septembre 2011 signé par
M. Thilo FIRCHOW, Sous-Préfet de SAINT-DIZIER, les statuts
de l'association foncière de remembrement de FRAMPAS adoptés
par l'assemblée générale des propriétaires membres le 16
mai 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 101 du 30 septembre 2011 signé par
M. Thilo FIRCHOW, Sous-Préfet de SAINT-DIZIER, les statuts
de l'association foncière de remembrement de FERRIERES-ET-
LA FOLIE adoptés par l'assemblée générale des propriétaires
membres le 24 septembre 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 102 du 30 septembre 2011 signé par
M. Thilo FIRCHOW, Sous-Préfet de SAINT-DIZIER, les statuts
de l'association foncière de remembrement de FAYS adoptés par
l'assemblée générale des propriétaires membres le 17 septembre
2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 103 du 30 septembre 2011 signé par
M. Thilo FIRCHOW, Sous-Préfet de SAINT-DIZIER, les statuts
de l'association foncière de remembrement de BROUSSEVAL
adoptés par l'assemblée générale des propriétaires membres le
20 mai 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 104 du 30 septembre 2011 signé par
M. Thilo FIRCHOW, Sous-Préfet de SAINT-DIZIER, les statuts
de l'association foncière de remembrement de CHEVILLON
adoptés par l'assemblée générale des propriétaires membres le
9 mai 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 106 du 6 octobre 2011 signé par
M. Thilo FIRCHOW, Sous-Préfet de SAINT-DIZIER, les statuts
de l'association foncière de remembrement de ROCHES-SUR-
ROGNON adoptés par l'assemblée générale des propriétaires
membres le 1er octobre 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 107 du 6 octobre 2011 signé par
M. Thilo FIRCHOW, Sous-Préfet de SAINT-DIZIER, les statuts
de l'association foncière de remembrement d’OSNE-LE-VAL
adoptés par l'assemblée générale des propriétaires membres le
1er octobre 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 109 du 11 octobre 2011 signé par
M. Thilo FIRCHOW, Sous-Préfet de SAINT-DIZIER, les statuts

de l'association foncière de remembrement de DOMREMY adoptés
par l'assemblée générale des propriétaires membres le 29
septembre 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
Par arrêté préfectoral n° 111 du 20 octobre 2011 signé par
M. Thilo FIRCHOW, Sous-Préfet de SAINT-DIZIER, les statuts
de l'association foncière de remembrement d’ALLICHAMPS
adoptés par l'assemblée générale des propriétaires membres le
26 septembre 2011 sont approuvés.
Le délai de recours contentieux devant le Tribunal Administratif
de CHALONS-EN-CHAMPAGNE est de deux mois à compter de
la date de notification du présent arrêté.
AGENCE REGIONALE DE SANTE
DE CHAMPAGNE-ARDENNE
DELEGATION TERRITORIALE
DE LA HAUTE-MARNE
Par arrêté préfectoral n° 2327 du 6 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’arrêté préfectoral
n° 298 du 31 décembre 2009 portant renouvellement de la Commission
Départementale des Hospitalisations Psychiatriques,
conformément à la loi n° 2011-803 du 5 juillet 2001 relative aux
droits et à la protection des personnes faisant l'objet de soins
psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge, la Commission
Départementale des Hospitalisations Psychiatriques est
remplacée par la Commission Départementale des Soins Psychiatriques.
L’article 2 de l'arrêté n° 298 du 31 décembre 2009 est modifié
ainsi qu'il suit :
représentant d'une association agréée de familles de personnes
atteintes de troubles mentaux :
Mme Michèle LEBEUF, présidente déléguée de l'Union Nationale
des Amis et Familles de Malades Mentaux (UNAFAM), section
Haute-Marne
Le reste sans changement.
DIRECTION DEPARTEMENTALE
DE LA COHESION SOCIALE ET DE LA
PROTECTION DES POPULATIONS
Par arrêté préfectoral n° 35 du 1er juillet 2011 signé par
M. Emmanuel GERAT, Secrétaire Général, la commission départementale
d’examen des situations de surendettement des particuliers
et des familles de la Haute-Marne est composée comme
suit.
Membres permanents
- Le Préfet de la Haute-Marne, Président, ou son représentant
- Le Directeur Départemental des Finances Publiques, Vice-Président,
ou son représentant
- Le Directeur de la Banque de France ou son représentant
Membres nommés sur proposition de l’association française des
établissements de crédit et des entreprises d’investissement
- Mme Chantal Fournier, titulaire
- M. Vincent Pezet, suppléant
Membres nommés sur proposition des associations familiales et
de consommateurs
- Mme Nathalie Zirotti, titulaire
- M. Charlie Pesce, suppléant
Les personnes suivantes sont associées à l’instruction des dossiers
et assistent aux réunions de la commission avec voix
consultative :
Personne justifiant d’une expérience dans le domaine de l’économie
sociale et familiale
- M. Abdoul Kamardine, chef de mission politique de la ville à la
Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection
des Populations, titulaire
27
- Mme Stéphanie Perrot, assistante sociale, responsable adjoint
du service de développement social à Ville de Chaumont, suppléante
Personne justifiant d’un diplôme ou d’une expérience dans le
domaine juridique
- Mme Isabelle Paquier, responsable du contentieux à la MSA
- suppléant, à désigner
La commission est constituée pour une durée de deux ans à
compter de la signature du présent arrêté.
Le secrétariat de la commission est assuré par M. le Directeur de
la Banque de France et ses services.
L’arrêté préfectoral n° 2438 du 20 août 2010 est abrogé.
Par arrêté préfectoral n° 67 du 14 septembre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’arrêté préfectoral
n° 14 du 22 janvier 2009 fixant la liste des personnes habilitées
pour être désignées en qualité de mandataire judiciaire à la protection
des majeurs est modifié ainsi qu'il suit.
La liste des personnes habilitées pour être désignées en qualité
de mandataire judiciaire à la protection des majeurs par les juges
des tutelles pour exercer des mesures de protection des majeurs
au titre de la tutelle, de la curatelle ou du mandat spécial auquel
il peut être recouru dans le cadre de la sauvegarde de justice est
ainsi établie pour le département de la Haute-Marne :
1 - TRIBUNAL DE CHAUMONT
b) Au titre de l'article L 471-2 du code de l'action sociale et des
familles :
2) Personnes physiques exercant à titre individuel
M. Stéphane MONNIN - 3 rue de la Noue au Moulin 10150
CHARMONT SOUS BARBUISE
Le reste sans changement.
Par arrêté préfectoral n° 101 du 18 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’arrêté préfectoral
n° 35 du 1er juillet 2011 portant composition de la commission
départementale d’examen des situations de surendettement des
particuliers et des familles est modifié comme suit.
Personne justifiant d’une expérience dans le domaine de l’économie
sociale et familiale
Titulaire :
Mme Aline Fournier, chef de mission politique de la ville à la
Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection
des Populations
Le reste sans changement.
Par arrêté n° 104 du 26 octobre 2011 signé par M. Serge
BARTH, directeur départemental de la cohésion sociale et de la
protection des populations, à compter de ce jour, subdélégation
est donnée, en cas d'absence ou d'empêchement de M. Serge
BARTH, à M. René DEGIOANNI, directeur adjoint, à l'effet de
signer l'ensemble des actes d'administration relevant des attributions
et compétences de la direction.
En cas d'absence ou d'empêchement de M. René DEGIOANNI,
délégation est donnée à :
- M. Laurent CLAUDET, inspecteur de la santé publique vétérinaire,
chef du pôle protection du consommateur,
- Mme Corinne BIBAUT, inspecteur principal de l'action sanitaire
et sociale, chef du pôle jeunesse, sport et cohésion sociale,
à l'effet de signer l'ensemble des actes d'administration relevant
des attributions et compétences de la direction.
En cas d'absence ou d'empêchement de M. Laurent CLAUDET
et de Mme Corinne BIBAUT délégation est également donnée à :
- Mme Martine LECHEVALLIER, vétérinaire, Inspecteur contractuel,
chef du service santé et protection animales et environnement
pour les actes du service ci-après désignés :
- ensemble des documents et actes d'administration relevant des
attributions et compétences de son service et notamment laissez-passer
et attestations sanitaires, rapports et bordereaux de
transmission, décisions concernant les animaux non identifiés,
- bilans DGAL / ENSV,
- bilans de contrôle conditionnalité,

- avis sur l'opportunité des formations, congés et absences des
agents (sous réserve du respect du maintien en service d'un
quota de 50 % des effectifs),
- courriers concernant suspicions de maladies, mandats sanitaires
des vétérinaires et autorisations de manifestations avicoles,
etc.
- certificats de capacités en faune sauvage ou pour l'élevage
d'animaux de compagnie,
- propositions de transactions pénales.
Sont exclus de cette subdélégation :
- les notes au préfet, aux élus, aux autres administrations territoriales,
aux administrations centrales et aux ministères,
- les ordres de missions non permanents,
- les autorisations individuelles ou collectives de déroger à la
réglementation.
- M François HOURS, ingénieur de l'agriculture et de l'environnement,
chef de la cellule Installations Classées pour la Protection
de l'Environnement (ICPE) pour :
- l'ensemble des actes d'administration relevant des attributions
et compétence des ICPE et notamment les courriers d'accompagnement
des rapports d'inspection,
- les avis, les rapports et les bilans transmis aux autres administrations
ou à l'administration de tutelle (qui seront soumis au
préalable à l'avis du chef de pôle ou à la direction), à l'exception
des récépissés de déclaration, des mises en demeure et des
autorisations,
- les avis sur l'opportunité des formations, congés et absences
des agents (sous réserve du respect du maintien en service d'un
quota de 50 % des effectifs),
- les propositions de transactions pénales.
- Mme Véronique SCHMAL, inspecteur expert, chef du service
protection économique, sécurité et concurrence pour les actes du
service ci après désignés :
- courriers et autres documents relevant de la compétence ou
des attributions de ce service, notamment réponses aux consommateurs
et aux professionnels, documents de transmission de
lettres, rapports et actes contentieux (bordereaux, lettres de
transmission...),
- demande de formation, congés et absences des agents (sous
réserve du respect du maintien en service d'au moins 50 % des
effectifs),
- propositions de transaction (conformément au barème arrêté
par la DGCCRF),
Sont exclus de celte subdélégation :
- Les actes susceptibles d'engager l'administration ou de lui causer
un préjudice,
- Les courriers destinés au préfet, aux élus, aux autres administrations
et aux ministères,
- les autorisations individuelles ou collectives de déroger à la
réglementation.
- Mme Aline FOURNIER, attachée d'administration, chargée de
la mission politique de la ville pour les actes relatifs à cette mission
ci-après désignés :
- bordereaux d'envoi à l'exception de ceux destinés aux administrations
centrales ou régionales,
- correspondances liées aux actes préparatoires de la politique
de la ville,
- avis sur l'opportunité des formations, congés et absences des
agents,
- actes concernant la gestion de la commission de réforme et du
comité médical.
- Mme Francine PERRON-FAURE, directeur de service PJJ, chef
du service jeunesse, sports et vie associative pour les actes relatifs
au service jeunesse, sports et vie associative ci après désignés
:
- correspondances liées aux réunions et invitations,
- demandes de pièces complémentaires dans le cadre de l'instruction
des dossiers,
- bordereaux d'envoi à l'exception de ceux destinés aux administrations
centrales,
- récépissés de déclaration des accueils de mineurs,
28
- récépissés de déclaration des locaux hébergeant des mineurs,
- récépissés de déclaration des établissements d'activités physiques
et sportives,
- délivrance des cartes professionnelles des éducateurs sportifs,
- avis sur l'organisation des manifestations sportives,
- avis sur les stages de formation des candidats au brevet d'aptitude
aux fonctions d'animateur en accueil collectifs de mineurs,
- autorisation d'emprunt de matériel technique et pédagogique,
- avis sur l'opportunité de formation des agents,
- actes concernant la gestion de la commission de réforme et du
comité médical,
- autorisations d'absences et de congés des agents (sous réserve
du respect du maintien en service d'un quota de 50 % des
effectifs).
- Agnès GRATTE, secrétaire administratif affectée à la DDCSPP
et mise à disposition de la Maison Départementale des Personnes
Handicapées (MDPH) à l'effet de signer les actes relatifs
aux notifications de décisions d'attribution ou de rejet de la carte
européenne de stationnement. En cas d'empêchement de Agnès
GRATTE, délégation est donnée pour la signature de ces actes à
Edith GRAVELIN.
En cas d'absence ou d'empêchement de M. René DEGIOANNI,
de M. Laurent CLAUDET et de Mme Corirme BIBAUT, délégation
est également donnée à Mme Martine LECHEVALLIER pour
les actes du service sécurité sanitaire et qualité des aliments
désignés ci-dessus.
Les règles de signature du courrier s'appliquent de fait et pareillement
à toute autre forme de communication relevant des
domaines de compétence de la DDCSPP.
L'arrêté n° 14 du 27 avril 2011 est abrogé.
Par arrêté n° 106 du 27 octobre 2011 signé conjointement par
M. Yves RAUSCH, Directeur général des services du Conseil
général de la Haute-Marne, et M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire
Général, il est décidé que la présidence de la commission
départementale spécialisée de coordination des actions de prévention
des expulsions locatives est assurée conjointement par
M. le Préfet de la Haute-Marne et M. le Président du Conseil
général de la Haute-Marne ou leurs représentants.
Sa composition est ainsi fixée :
Sont membres de droit :
- représentants de l'Etat :
Titulaire : M. Alexander Grimaud, Secrétaire Général de la Préfecture
Suppléant : M. Serge Barth, Directeur Départemental de la Cohésion
Sociale et de la Protection des Populations
- représentants du Département :
Titulaire : Mme Yvette Rossigneux, conseiller général, présidente
de la commission insertion sociale et solidarité départementale
Suppléant : M. Philippe Bossois, vice-président délégué à l'insertion
sociale, à la protection de l'enfance et aux maisons de santé
- représentants de la Caisse d'Allocations Familiales de la Haute-
Marne :
Titulaire : Mme Fabienne Champion, directrice adjointe
Suppléant : Mme Marie-Line Haaz, directrice
- représentants de la Mutualité Sociale Agricole Sud Champagne
:
Titulaire : M. Christian Lebègue, sous-directeur
Suppléant : Mme Odile Berthelot, assistante sociale
- les maires des communes où se trouvent les logements des
ménages concernés ou leurs représentants,
Sont membres avec voix consultative :
- représentants de l'office public de l'habitat de Saint-Dizier :
Titulaire : Mme Hélène Paulin, responsable juridique
Suppléant : Mme Rachel Blanc, directrice clientèle
- représentants de l'office public de l'habitat Chaumont Habitat :
Titulaire : Mme Francine Fatalot, responsable du pôle social
Suppléant : Mme Sylvie Andrique, conseillère sociale
- représentants de l'office public de l'habitat Hamaris :
Titulaire : M. Jacques Chambaud, directeur clientèle
Suppléant : Mme Michèle Robak, responsable du service social

- représentants de la chambre syndicale des propriétaires
bailleurs privés de la Haute-Marne :
Titulaire : Mme Jacqueline Goyard, vice-présidente
Suppléant : M. Jean-Marie Viart, président
- représentants de la Banque de France :
Un représentant de la commission de surendettement des particuliers
- représentants des associations de locataires :
Un représentant de l'association Union des Locataires de Chaumont
Un représentant de l'Association Force Ouvrière Consommateurs
Un représentant de la Confédération Nationale du Logement
- représentants des associations dont l'un des objets est l'insertion
ou le logement des personnes défavorisées ou la défense
des personnes en situation d'exclusion par le logement :
Un représentant de l'association SOS Femmes Accueil, pour les
dossiers relevant de l'arrondissement de Saint-Dizier
Un représentant de l'Association pour l'Accueil des Sans Logis,
pour les dossiers relevant de l'arrondissement de Chaumont
Un représentant de l'association du Foyer Langrois des Jeunes
Travailleurs pour les dossiers relevant de l'arrondissement de
Langres
Un représentant de l'Union Départementale des Associations
Familiales de la Haute-Marne
Les membres désignés ci-dessus sont nommés par le Préfet de
la Haute-Marne et le Président du Conseil général de la Haute-
Marne pour la durée du Plan Départemental d'Action pour le
Logement des Personnes Défavorisées (PDALPD), soit jusqu'au
31 décembre 2015.
Un règlement intérieur fixe les règles d'organisation et de fonctionnement
de la commission départementale spécialisée de
coordination des actions de prévention des expulsions locatives.
L’arrêté préfectoral n° 373 du 22 avril 2010 est abrogé.
Par arrêté préfectoral n° 107 du 27 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, la présidence de
chaque sous-commission d’arrondissement de prévention des
expulsions locatives est assurée, pour l'arrondissement de Chaumont,
par le Secrétaire Général de la Préfecture, Sous-Préfet de
Chaumont, pour l’arrondissement de Saint-Dizier, le Sous-Préfet
de Saint-Dizier, et pour l’arrondissement de Langres, la Sous-
Préfète de Langres, ou leurs représentants.
Sa composition est ainsi fixée :
Sont membres de la sous-commission d’arrondissement de
Chaumont :
- le Secrétaire Général de la Préfecture, Sous-Préfet de Chaumont
ou son représentant
- le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale et de la Protection
des Populations ou son représentant
- le Directeur Départemental des Finances Publiques ou son
représentant
- le Directeur Départemental de la Sécurité Publique ou son
représentant
- le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Haute-
Marne ou son représentant
- le Président du conseil général ou son représentant
- le maire de la commune où réside le locataire concerné par la
procédure d’expulsion locative ou son représentant
- le Président du bailleur public concerné ou son représentant
- le Président de la chambre syndicale des propriétaires bailleurs
privés ou son représentant
- le Président de Union Départementale des Associations Familiales
ou son représentant
- le Président des organismes payeurs (CAF et/ou MSA Sud
Champagne) ou son représentant
- les huissiers de justice en charge du dossier du locataire
concerné par la procédure d’expulsion locative ou son repré -
sentant
Sont membres de la sous-commission d’arrondissement de
Saint-Dizier :
- le Sous-Préfet de Saint-Dizier ou son représentant
29
- le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale et de la Protection
des Populations ou son représentant
- le Directeur Départemental des Finances Publiques ou son
représentant
- le Directeur Départemental de la Sécurité Publique ou son
représentant
- le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Haute-
Marne ou son représentant
- le Président du conseil général ou son représentant
- le maire de la commune où réside le locataire concerné par la
procédure d’expulsion locative ou son représentant
- le Président du bailleur public concerné ou son représentant
- le Président de la chambre syndicale des propriétaires bailleurs
privés ou son représentant
- le Président de Union Départementale des Associations Familiales
ou son représentant
- le Président des organismes payeurs (CAF et/ou MSA Sud
Champagne) ou son représentant
- les huissiers de justice en charge du dossier du locataire
concerné par la procédure d’expulsion locative ou son repré -
sentant
Sont membres de la sous-commission d’arrondissement de
Langres :
- la Sous-Préfète de Langres ou son représentant
- le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale et de la Protection
des Populations ou son représentant
- le Directeur Départemental des Finances Publiques ou son
représentant
- le Directeur Départemental de la Sécurité Publique ou son
représentant
- le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Haute-
Marne ou son représentant
- le Président du conseil général ou son représentant
- le Président du Foyer Langrois des Jeunes Travailleurs ou son
représentant
- le maire de la commune où réside le locataire concerné par la
procédure d’expulsion locative ou son représentant
- le Président du bailleur public concerné ou son représentant
- le Président de la chambre syndicale des propriétaires bailleurs
privés ou son représentant
- le Président de Union Départementale des Associations Familiales
ou son représentant
- le Président des organismes payeurs (CAF et/ou MSA Sud
Champagne) ou son représentant
- les huissiers de justice en charge du dossier du locataire
concerné par la procédure d’expulsion locative ou son repré -
sentant
La composition des sous-commissions d’arrondissement est
fixée pour la durée du Plan Départemental d’Action pour le Logement
des Personnes Défavorisées (PDALPD), soit jusqu’au 31
décembre 2015.
Un règlement intérieur fixe les règles d’organisation et de fonctionnement
des sous-commissions d’arrondissement.
L’arrêté préfectoral n° 328 du 25 février 2010 est abrogé.
DIRECTION DEPARTEMENTALE
DES FINANCES PUBLIQUES
Par décision du 23 septembre 2011 signée par M. Philippe
BLANCHARD, Directeur départemental des finances publiques
de la Haute-Marne, délégation de signature est donnée à
M. Michaël YAOUANC, Chef d'établissement des services intormatiques
de la Marne, à effet de signer pour son compte et sous
sa responsabilité les lettres chèques émises par ses services.
DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES
Par arrêté préfectoral n° 2310 du 30 septembre 2011 signé par
M. Jean-Pierre GRAULE, Directeur Départemental des Territoires
adjoint, l’autorisation d'exploiter sollicitée par le GAEC des
CERISIERS en voie de création est accordée.

Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2311 du 30 septembre 2011 signé par
M. Jean-Pierre GRAULE, Directeur Départemental des Territoires
adjoint, l’autorisation d'exploiter sollicitée par le GAEC des
SEPT FONTAINES est accordée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2326 du 5 octobre 2011 signé par
M. Jean-Pierre GRAULE, Directeur Départemental des Territoires
adjoint, l’autorisation d'exploiter sollicitée par l’EARL
BAVEREL en voie de création est accordée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2331 du 7 octobre 2011 signé par
M. Nicolas REGNY, Directeur de Cabinet, il est décidé que les
éléments nécessaires à l'élaboration de l'état des risques technologiques
(effets thermiques et effets de surpression) pour l'information
des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers
situés sur la commune d'AUTREVILLE-SUR-LA-RENNE sont
consignés dans le dossier d'information annexé au présent ar -
rêté. Ce dossier comprend :
la fiche technique des risques technologiques pris en compte;
la cartographie relative au périmètre d'étude;
la fiche communale.
Ce dossier et les documents de référence sont librement consultables
en mairie, en préfecture ou sur son site Internet - http:
//www.haute-marne.gouv.fr - rubrique Politiques Publiques -
Sécurité Civile - Information des acquéreurs et locataires de
biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques
majeurs.
Le dossier communal d'information est mis à jour à chaque arrêté
mentionnant la situation de la commune au regard des conditions
mentionnées à l'article L.125-5 du code de l'environnement.
Par arrêté préfectoral n° 2329 du 10 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’autorisation d'exploiter
sollicitée par le GAEC du SAULE est refusée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
30
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2340 du 10 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, le délai de quatre
mois pour statuer sur la demande d’autorisation d'exploiter déposée
par la SAS TRUSSART Négoce de bétail est prolongé de
deux mois soit jusqu’au 14 décembre 2011.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2361 du 12 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’autorisation d'exploiter
sollicitée par M. MACLOUD Jérémy est accordée sous
réserve de son installation effective dans le GAEC MACLOUD
dans un délai de deux ans, comme jeune agriculteur agréé à
bénéficier des aides à l’installation de l’Etat.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2362 du 12 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’autorisation d'exploiter
sollicitée par l’EARL de la BIOSSE est accordée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2363 du 12 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’autorisation d'exploiter
sollicitée par le GAEC LOUET est refusée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être

déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2364 du 12 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’autorisation d'exploiter
sollicitée par Mlle HENNEBICQUE Clarisse est accordée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2365 du 12 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’autorisation d'exploiter
sollicitée par la SAS TRUSSART Négoce de bétail est
refusée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2366 du 12 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’autorisation d'exploiter
sollicitée par Mme DAVENET Leslie Anne est refusée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2367 du 12 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’autorisation d'exploiter
sollicitée par M. PELLOUARD Laurent est refusée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2371 du 13 octobre 2011 signé par
M. Frédéric LARMET, Chef du Bureau Forêt à la Direction
Départementale des Territoires, relèvent du Régime Forestier les
parcelles de terrain désignées ci-après :
Personne morale propriétaire : commune de CUSEY
31
Lieu-dit Au Socq, Section YI, N° 42, Contenance 77 a 10 ca
Lieu-dit Le Bec, Section YR, N° 5, Contenance 05 ha 15 a 70 ca
Territoire communal : CUSEY
La présente décision ne pourra être déférée devant le Tribunal
Administratif de CHALONS-EN-CHAMPAGNE que dans le délai
de deux mois à compter du jour de sa publication.
Par arrêté préfectoral n° 2400 du 18 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, le délai de quatre
mois pour statuer sur la demande d’autorisation d'exploiter déposée
par l’EARL AGRIMAATZ est prolongé de deux mois soit
jusqu’au 4 janvier 2012.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2401 du 18 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, le délai de quatre
mois pour statuer sur la demande d’autorisation d'exploiter déposée
par l’EARL MARY est prolongé de deux mois soit jusqu’au
30 décembre 2011.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2402 du 18 octobre 2011 signé par
M. Frédéric LARMET, Chef du Bureau Forêt à la Direction
Départementale des Territoires, relève du Régime Forestier la
parcelle de terrain désignée ci-après.
Personne morale propriétaire : commune d’AUJEURRES
Lieu-dit Bois Delet, section ZD, N° 64, Contenance 13 ha 13 a
82 ca
Territoire communal : AUJEURRES
La présente décision ne pourra être déférée devant le Tribunal
Administratif de CHALONS-EN-CHAMPAGNE que dans le délai
de deux mois à compter du jour de sa publication.
Par arrêté préfectoral n° 2403 du 18 octobre 2011 signé par
M. Frédéric LARMET, Chef du Bureau Forêt à la Direction
Départementale des Territoires, est distraite du Régime Forestier
la parcelle de terrain désignée ci-après.
Personne morale propriétaire : commune d’AUJEURRES
Lieu-dit Bois Delet, section ZD, N° 36, Contenance 13 ha 17 a
28 ca
Territoire communal : AUJEURRES
La présente décision ne pourra être déférée devant le Tribunal
Administratif de CHALONS-EN-CHAMPAGNE que dans le délai
de deux mois à compter du jour de sa publication.
Par arrêté préfectoral n° 2475 du 21 octobre 2011 signé par
M. Alexander GRIMAUD, Secrétaire Général, l’autorisation
d’exploiter sollicitée par Mme BERNARD Mélanie est accordée
pour la superficie de 34 ha 67, qui n'est pas en concurrence, sise
à PLANRUPT (parcelles XA 8, XA 11 et XA 12) et MONTIER en
DER (parcelles ZA 24, ZB 6 et ZB 7). L'autorisation d'exploiter

sollicitée par Mme BERNARD Mélanie est refusée pour la superficie
de 24 ha 27, qui est en concurrence, sise à PLANRUPT
(parcelles XB 40, XB 44, XB 51, XB 174, XC 62 et XD 58).
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2495 du 21 octobre 2011 signé par
M. Jean-Pierre GRAULE, Directeur Départemental des Territoires
par intérim, l’autorisation d'exploiter sollicitée par l’EARL
des METS DESSUS est accordée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2496 du 21 octobre 2011 signé par
M. Jean-Pierre GRAULE, Directeur Départemental des Territoires
par intérim, l’autorisation d'exploiter sollicitée par l’EARL du
CLOS SAINT-ROCH en voie de création est accordée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
Par arrêté préfectoral n° 2497 du 21 octobre 2011 signé par
M. Jean-Pierre GRAULE, Directeur Départemental des Territoires
par intérim, l’autorisation d'exploiter sollicitée par le GAEC
des TROIS FONTAINES est accordée.
Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent
sa notification :
- par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par
recours hiérarchique adressé au Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation,
de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du
Territoire. L’absence de réponse dans un délai de deux mois fait
naître une décision implicite de rejet qui peut elle-même être
déférée au Tribunal Administratif de CHALONS-EN-CHAM-
PAGNE dans les deux mois suivants.
- par recours contentieux devant le Tribunal Administratif de
CHALONS-EN-CHAMPAGNE.
DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES,
DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI
DE CHAMPAGNE-ARDENNE
UNITE TERRITORIALE DE LA HAUTE-MARNE
Par arrêté préfectoral du 30 septembre 2011 signé par Mme
Nelly CHROBOT, Directrice par intérim de l'Unité Territoriale de
32
la Haute-Marne de la Direction Régionale des Entreprises, de la
Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi de
Champagne-Ardenne, le renouvellement d'agrément qualité est
accordé au CENTRE INTERCOMMUNAL D’ACTION SOCIALE
AVENIR, pour une durée de cinq ans à compter du 22 décembre
2011, pour la fourniture de services aux personnes, conformément
aux dispositions des articles L 7232-1 à 4 et R 7232-4 à 6
du Code du Travail, dans le champ territorial de son activité, soit
sur le département de la Haute-Marne.
Son renouvellement devra être demandé au plus tard trois mois
avant le terme de la période d'agrément.
Le CENTRE INTERCOMMUNAL D'ACTION SOCIALE AVENIR
exerce son action selon la modalité suivante :
Prestataire
Mandataire.
Les activités agréées sont les suivantes :
- Entretien de la maison et travaux ménagers,
- Garde et accompagnement dans leurs déplacements d'enfants
de plus de 3 ans,
- Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux
commissions,
- Livraison de repas à domicile,
- Livraison de courses à domicile,
- Soins et promenades d'animaux de compagnie à l'exclusion
des soins vétérinaires et du toilettage, pour les personnes dépendantes,
- Maintenance, entretien et vigilance temporaires à domicile de la
résidence principale et secondaire
- Garde d'enfants à domicile de moins de 3 ans
- Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui
ont besoin d'une aide personnelle à leur domicile, à l'exception
d'actes de soins relevant d'actes médicaux,
- Garde malade à l'exclusion des soins,
- Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés
de déplacement,
- Accompagnement des enfants de moins de 3 ans dans leurs
déplacements, des personnes âgées ou handicapées en dehors
de leur domicile (promenades, transports, actes de la vie cou -
rante).
L'agrément peut être retiré à la structure dans les conditions
fixées à l'article R7232·13 et 7232-14 du code du travail, à savoir
lorsque l'association ou l'entreprise :
- Cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations
mentionnées aux articles R 72324 à R 232-10;
- Ne respecte pas les dispositions légales relatives à la santé et à
la sécurité au travail;
- Exerce des activités autres que celles déclarées dans la
demande d'agrément;
- N'est pas en mesure de justifier à tout moment du caractère
exclusif de son activité de service;
- Ne transmet pas au préfet compétent, avant la fin du premier
semestre de l'année, le bilan qualitatif et quantitatif de l'activité
exercée au titre de l'année écoulée.
AGENCE REGIONALE DE SANTE
DE CHAMPAGNE-ARDENNE
Par arrêté n° 2011-929 du 20 octobre 2011 signé par M. Jean-
Paul HOULIER, Directeur de l’Offre de Soins à l’Agence Régionale
de Santé de Champagne-Ardenne, la somme due par la
Caisse Primaire d'Assurance Maladie - Centre Hospitalier de
Chaumont est arrêtée à 2 411 232,18 € soit :
2 321 906,05 € au titre de la part tarifée à l'activité (activité d'hospitalisation
: 2 061 465,27 € et activité externe : 260 440,78 €),
67 676,38 € au titre des spécialités pharmaceutiques (DMO),
21 649,75 € au titre des dispositifs médicaux implantables (DMI),
0,00 € au titre de l'activité d'hospitalisation à domicile.
Tout recours contentieux contre le présent arrêté doit parvenir au
secrétariat du Tribunal Interrégional de la tarification sanitaire et
sociale - 4 rue Bénit - C.S. 10011 - 54035 NANCY Cedex dans

un délai d'un mois à compter de sa notification pour les personnes
et organismes auxquels il a été notifié, ou de sa publication
pour les autres personnes.
Par arrêté n° 2011-930 du 20 octobre 2011 signé par M. Jean-
Paul HOULIER, Directeur de l’Offre de Soins à l’Agence Régionale
de Santé de Champagne-Ardenne, la somme due par la
Caisse Primaire d'Assurance Maladie - Centre Hospitalier de
Saint Dizier est arrêtée à 3 108 453,79 € soit :
2 961 411,64 € au titre de la part tarifée à l'activité (activité d'hospitalisation
: 2 638 314,43 € et activité externe : 323 097,21 €),
120 492,33 € au titre des spécialités pharmaceutiques (DMO),
26 549,82 € au titre des dispositifs médicaux implantables (DMI),
0,00 € au titre de l'activité d'hospitalisation à domicile.
Tout recours contentieux contre le présent arrêté doit parvenir au
secrétariat du Tribunal Interrégional de la tarification sanitaire et
sociale - 4 rue Bénit - C.S. 10011 - 54035 NANCY Cedex dans
un délai d'un mois à compter de sa notification pour les personnes
et organismes auxquels il a été notifié, ou de sa publication
pour les autres personnes.
Par arrêté n° 2011-931 du 20 octobre 2011 signé par M. Jean-
Paul HOULIER, Directeur de l’Offre de Soins à l’Agence Régionale
de Santé de Champagne-Ardenne, la somme due par la
Mutalité Sociale Agricole - Centre Hospitalier de Langres est
arrêtée à 1 012 116,56 € soit :
958 608,36 € au titre de la part tarifée à l'activité (activité d'hospitalisation
: 841 241,76 € et activité externe : 117 366,60 €),
39 726,28 € au titre des spécialités pharmaceutiques (DMO),
13 781,92 € au titre des dispositifs médicaux implantables (DMI),
0,00 € au titre de l'activité d'hospitalisation à domicile.
Tout recours contentieux contre le présent arrêté doit parvenir au
secrétariat du Tribunal Interrégional de la tarification sanitaire et
sociale - 4 rue Bénit - C.S. 10011 - 54035 NANCY Cedex dans
un délai d'un mois à compter de sa notification pour les personnes
et organismes auxquels il a été notifié, ou de sa publication
pour les autres personnes.
DIRECTION REGIONALE DE L’ENVIRONNEMENT,
DE L’AMENAGEMENT ET DU LOGEMENT
DE CHAMPAGNE-ARDENNE
Par arrêté du 7 octobre 2011 signé par M. Jean-Christophe VIL-
LEMAUD, Directeur régional de l’environnement, de l’aménagement
et du logement de la région Champagne-Ardenne, la correspondance
entre les champs d'attribution et de compétence
des services de la DREAL et les dispositions de l'arrêté préfec -
toral du 18 avril 2011, portant délégation de signature à M. Jean-
Christophe VILLEMAUD, est la suivante :
Service Dispositions de l'article 1er
de l'arrêté préfectoral
Direction régionale Article 1.1
Article 1.2
Article 1.3
Service risques et sécurité Article 1.1 :
parties 1, 2, 3, 4, 10, 12 et 13
Service milieux naturels Article 1.2 :
partie A
Service climat, énergie,
construction, transports Article 1.1 :
parties 5, 6, 7, 8, 9 et 11
Service logement,
territoire, planification Article 1.2 :
partie B
Service maîtrise d'ouvrage Article 1.1 :
partie 14
Unité territoriale
Aube/Haute-Marne Article 1.1 :
parties 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7,
10, 12 et 13
33
En application de l’article 2 de l'arrêté préfectoral du 18 avril 2011
portant délégation de signature à M. Jean-Christophe VILLE-
MAUD, subdélégation est donnée pour signer les décisions et
documents visés à l’article 1,
1) attributions et compétences de la direction régionale :
M. Christian MARIE
Mme Marie LECUIT-PROUST
en cas d’empêchement, M. Maxime CUENOT
2) attributions et compétences de leur service, mission ou unité
territoriale, et des intérims qu'ils exercent :
Service Agents ayant délégation
Secrétariat général M. Nicolas PONCHON,
secrétaire général
M. Emmanuel WEISTROFFER,
secrétaire général adjoint
Service risques et sécurité M. Thierry DEHAN,
adjoint au chef de service
M. Manuel VERMUSE,
chef du pôle santé environnement
M. Raynald VICTOIRE,
chef du pôle hydrologie hydraulique
M. Pierre CASERT,
chef de la mission pilotage
de l'inspection
Service milieux naturels Mme Marie-Laure TANON,
chef du service
M. Bernard COLY,
adjoint au chef de service
Mme Muriel ROBIN,
chef du pôle espaces remarquables
Mme Françoise MARCHAL,
chef du pôle ressources en eau
Service climat, énergie,
construction, transports M. Pierre BERNAT-Y-VICENS,
chef du service
Mme ALBERTINI-FOURBIL,
chef du pôle construction
et gestion immobilière
Mme Carole CARBONNIER,
chef du pôle mobilité durable
et infrastructures
Mme Corinne HELFER,
chef du pôle réglementation
des transports et des véhicules
M. Jean-Jacques FORQUIN,
chef du pôle climat, air, énergie
M. Yves MESLARD,
chargé de mission énergie
Service logement,
territoire, planification M. Pascal LEMERAY,
chef du service
Mme Annick MONNEHAY,
adjointe au chef de service
M. Romain BONHOMME,
chef du pôle aménagement
des territoires
Service maîtrise d'ouvrage M. Christophe GAMET,
chef de service
M. Thierry MARY,
adjoint au chef de service
Unité territoriale
Aube/Haute-Marne M. Jean-Marie GIROD-ROUX,
chef de l'unité territoriale
M. Vincent RUGUET,
adjoint au chef de l'unité territoriale
M. Fabrice CHOPIN,
chef de subdivision contrôle
technique

Demeurent réservés à ma signature ou à celle des personnes
visées au 1) de l'article 2 les correspondances administratives
adressées aux ministres et membres des cabinets ministériels.
Le présent arrêté abroge l’arrêté de subdélégation du directeur
de la DREAL pour le département de la Haute-Marne du 19 avril
2011.
DIRECTION REGIONALE DES DOUANES ET DROITS
INDIRECTS DE CHAMPAGNE-ARDENNE
Par décision du 25 octobre 2011 signée par M. ARSENIEFF,
Directeur régional des douanes de Champagne-Ardenne, sont
prononcées les fermetures définitives des débits de tabac ordinaires
permanents :
- Fermeture définitive du débit de tabac sur la commune de
SAINT-BLIN (52700), géré par M. CHAPERON Olivier, suite à sa
démission sans présentation de successeur à la date du 1er avril
2011 ;
- Fermeture définitive du débit de tabac sur la commune de COL-
MIERS-LE-HAUT (52160), géré par M. PROST Jean-Claude,
décédé le 28 juin 2011 et sans reprise par sa veuve, à la date du
30 juin 2011 (cessation d'activité) ;
- Fermeture définitive du débit de tabac sur la commune de
CLEFMONT (52240), géré par Mme PELTIER Sandrine, suite à
sa démission sans présentation de successeur à la date du 1er
juillet 2011 ;
- Fermeture définitive du débit de tabac sur la commune de VIE-
VILLE (52310), géré par M. COURTE Jordan, suite à sa démission
sans présentation de successeur à la date du 3 juillet 2011 ;
- Fermeture définitive du débit de tabac sur la commune de HAL-
LIGNICOURT (52100), géré par M. VAYSSIERE, suite à sa
démission sans présentation de successeur à la date du 31 août
2011.
RESEAU FERRE DE FRANCE
Par décision du 12 octobre 2011 signée par M. Bertrand WAHL,
Chef du Service Aménagement et Patrimoine, le terrain nu sis à
DONJEUX tel qu’il apparaît dans le tableau ci-dessous et sur le
plan joint à la présente décision figurant sous teinte jaune est
déclassé du domaine public ferroviaire.
Commune DONJEUX, Lieu-dit La Gare, Section G, n° 46, Sur -
face (m²) 4 980
Par décision du 13 octobre 2011 signée par M. Bertrand WAHL,
Chef du Service Aménagement et Patrimoine, le terrain nu sis à
ROUVROY-SUR-MARNE tel qu’il apparaît dans le tableau cidessous
et sur le plan joint à la présente décision figurant sous
teinte jaune est déclassé du domaine public ferroviaire.
Commune ROUVROY-SUR-MARNE, Lieu-dit des Tilleuls, Section
OB, n° 429, Sur face (m²) 2 210
AVIS ET COMMUNIQUES
Centre Hospitalier Geneviève de Gaulle Anthonioz
Un poste d’assistant médico-administratif à pourvoir au choix,
conformément aux dispositions de l’article 20-II-2° du décret
n° 2011-660 du 14 juin 2011, est vacant au Centre Hospitalier
Geneviève de Gaulle Anthonioz.
Peuvent faire acte de candidature les adjoints administratifs hospitaliers
et les permanenciers auxiliaires de régulation médicale
des établissements mentionnés à l’article 2 de la loi n° 86-33 du
9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives à la fonction
publique hospitalière. Ces agents doivent justifier de neuf
années de services publics.
Les demandes doivent être adressées, par écrit, le cachet de la
poste faisant foi, à M. le Directeur du Centre Hospitalier de
Geneviève de Gaulle Anthonioz - rue Albert Schweitzer 52115
SAINT-DIZIER Cedex dans le délai d’un mois à compter de la
date de publication du présent avis au Recueil des Actes Administratifs.
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EHPAD de POISSONS
Avis pour le recrutement d'un cadre de santé à I’EHPAD de
POISSONS
Les arrêtés et décisions publiés sous forme d’extrait dans ce
recueil peuvent être consultés dans leur version inté grale soit
en préfecture, soit dans les services déconcentrés de l’Etat à
l’ori gine de ces actes administratifs.

ANNEXE
Arrêté préfectoral n° 1145 du 14 octobre 2011 désignant les représentants de l'administration au sein
des commissions administratives chargées de dresser et de procéder à la révision des listes électorales