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155<br />
155 – ANSELME BOIX-VIVES<br />
(1899-1969)<br />
LE CONCIERGE<br />
Gouache sur papier<br />
Signée et monogrammée en bas au<br />
centre<br />
101 X 13,5 CM<br />
1 000 / 1 500<br />
Nous remercions Madame Valérie<br />
Boix-Vives qui a aimablement confirmé<br />
l’authenticité de cette œuvre<br />
156 – ANSELME BOIX-VIVES<br />
(1899 -1969)<br />
LE CIRQUE, 1963<br />
Gouache sur papier<br />
Signée en bas à droite<br />
63 X 44,5 CM<br />
1 000 / 2 000<br />
Bibliographie :<br />
Boix-vives catalogue raisonné 2003<br />
Volume I, Valérie Boix-vives, Édition de la<br />
Différence à Paris, reproduit sous le numéro<br />
1963 / 235 page 346<br />
157 – ANSELME BOIX-VIVES<br />
(1899-1969)<br />
SANS TITRE (PARC DE LA VANOISE)<br />
Gouache sur papier<br />
Signée en bas à gauche<br />
83 X 27 CM<br />
700 / 900<br />
Nous remercions Madame Valérie<br />
Boix-Vives qui a aimablement confirmé<br />
l’authenticité de cette œuvre<br />
156<br />
157<br />
158 – SÉRAPHINE DE SENLIS (SÉRAPHINE LOUIS DITE)<br />
(1864-1942)<br />
DEUX GRANDES MARGUERITES<br />
Huile sur toile<br />
Signée en haut à droite<br />
81 X 65 CM<br />
10 000 / 15 000<br />
Bibliographie :<br />
JP Foucher, Seraphine de Senlis, éditions du temps, Paris, 1968, reproduit<br />
page 85<br />
Séraphine Louis dite Séraphine de Senlis est née à Arsy le 2 septembre<br />
1864. Elevée par les sœurs de la Providence à Clermont, elle entre comme<br />
domestique chez le célèbre collectionneur d’<strong>art</strong> Wilhelm Uhde à Senlis où<br />
ce dernier s’est installé avec sa sœur Anne Marie. Il découvre sa peinture et<br />
achète toute sa production lui donnant ainsi les moyens de se consacrer<br />
exclusivement à sa peinture.<br />
Anne Marie Uhde, disait de Séraphine qu’ elle “s’adressait au ciel, aux<br />
nuages, aux arbres, aux fleurs des champs, à tous les êtres de la nature.<br />
Elle était directement en communication avec les puissances cosmiques”.<br />
En effet, sa démarche <strong>art</strong>istique révèle un profond mysticisme.<br />
Comme dans toute son œuvre, le bouquet prend la forme d’un arbre. Cet<br />
arbre s’apparente à l’arbre du paradis terrestre, l’arbre de Jessé qui relie la<br />
terre et le ciel. Le bouquet se pare de fleurs savamment disposées en<br />
constellation autour d’un axe central. Tels deux yeux immenses, deux<br />
marguerites aux pétales flamboyants animent le centre de la composition<br />
d’une ferveur divine.<br />
Le Ripolin auquel elle ajoute de la peinture à l’huile, à l’instar de Braque et<br />
Picasso, donne aux couleurs de ses œuvres cette profonde intensité.<br />
62 – TAJAN TAJAN – 63
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