mobilites, flux et reseaux de communication dans la mondialisation

Stage nouveaux programmes de 1 ère
Florian NICOLAS
MOBILITES, FLUX ET RESEAUX DE
COMMUNICATION EN FRANCE
DANS LA MONDIALISATION
Une publicité pour RhonExpress dans la gare TGV de l’aéroport Lyon-Saint Exupéry
Source : www.wikipedia.com (DR)

Anciens et nouveaux programmes :
Points communs et différences
Programme 2002
Thème 2 : Réseaux et flux en Europe
et en France (10 heures)
Chapitre 2 : Les réseaux de communication
et les flux de transports (3-4 h)
Etude de cas : Les grands axes de communication
transalpins (impératifs économiques, contraintes naturelles
et enjeux environnementaux)
A l’échelle européenne et française, on met en valeur le
rôle structurant des axes de communication et des
carrefours.
Chapitre 3 : La mobilité des hommes (3 h)
A l’échelle de l’Union européenne et de la France, on
étudie les migrations à caractère économique et politique,
internes ou externes (tourisme exclu).
Ce qui reste
un volume horaire sensiblement identique
la présence d’une étude de cas obligatoire
une démarche multi-scalaire qui cherche à analyser la
place de la France dans un contexte plus large
une forte dimension cartographique
persistance des enjeux économiques et environnementaux
Programme 2010
Thème 2 : Aménager et développer le territoire
français (24-26 heures)
Chapitre 4 : Mobilités, flux et réseaux de communication
dans la mondialisation (6 h)
Roissy : plate-forme multimodale et hub mondial (étude
de cas).
La connexion inégale du territoire français à l’Europe et au
monde par les réseaux de transport et le numérique.
Ce qui change
deux chapitres fusionnés en un
analyser aussi l’insertion de la France dans le monde
une conception plus large des réseaux (à la fois les
réseaux de transport et le numérique : mobile, Internet…)
une conception plus large des mobilités et des flux
(intégrer les flux touristiques, les flux immatériels…)

Quelle démarche adopter pour la séquence ?
Comment passer de l’étude de cas à la contextualisation ?
Etude de cas (3 heures)
Mise en activité des élèves
sur un dossier documentaire
Roissy,
plate-forme
multimodale
et hub
mondial
Un hub
aéroportuaire
d’envergure
européenne et
mondiale
Une plate-forme
aéroportuaire bien
reliée à Paris et à
l’extérieur
Un pôle
économique
majeur générant
des nuisances
Contextualisation (3 heures)
Apports magistraux du professeur
en utilisant des documents
à d’autres échelles
Un territoire
français
inégalement
desservi et ouvert
sur l’extérieur
Une offre variée en
terme de réseaux
pour répondre à
des besoins
croissants en terme
de mobilité
Des stratégies
d’acteurs
concurrentes ou
complémentaires ?
La connexion
inégale du
territoire
français à
l’Europe et au
monde…
Problématique : En quoi l’évolution des mobilités et l’organisation des réseaux révèle-t-elle l’inégale connexion
du territoire français sur l’Europe et le monde ?

Etude de cas : Roissy, plate-forme multimodale et hub mondial
A. Un hub aéroportuaire d’envergure européenne et mondiale
Doc. 1 : Le « top ten » des aéroports mondiaux
Source : Géographie 1 ère , Belin, 2011 (DR)
Doc. 2 : Evolution du trafic à Roissy
Source : www.acnusa.fr (DR)
Apports de la partie A
4 ème rang mondial pour le trafic de passagers
5 ème rang mondial pour le trafic de marchandises
Augmentation régulière du trafic
Air France a fait de Roissy son hub principal : elle
concentre les flux des court et moyen-courrier dans de petits
avions avant de les redistribuer à partir de Roissy dans des
avions gros-porteurs pour des vols long-courrier.
Doc. 3 : Roissy, le hub d’Air France
Source : corporate.airfrance.com (DR)

Etude de cas : Roissy, plate-forme multimodale et hub mondial
B. Une plateforme aéroportuaire bien reliée à à Paris et à l’extérieur
Doc. 4 : La carte IGN de Roissy Doc. 5 : La desserte de Roissy : problèmes et projets
Source : Institut géographique national (DR)
Apports de la partie B
Différents modes de transports en correspondance :
autoroute A1 (Paris-Lille)
LGV (France du Sud/France du Nord)
ligne B du RER (vers Paris et Orly)
ligne de métro interne à Roissy (CDGVal)
Mais des réseaux saturés et/ou inadaptés au
transports de passagers aériens : embouteillages sur
l’A1 et l’A3 ; RER B saturé et malcommode…
Des projets pour améliorer la desserte de Roissy :
projets routiers
projets ferroviaires
Aujourd’hui, l’aéroport Charles de Gaulle se place au deuxième rang
européen en terme de passagers aériens internationaux. Mais sa
desserte ne se situe pas au niveau des standards internationaux et
demeurent mal perçue par les passagers aériens, en particulier
étrangers, en voyage d’affaire ou de tourisme.
Plus de 80% des déplacements entre Paris et l’aéroport Charles de
Gaulle s’effectuent par la route. En raison des embouteillages presque
permanents sur les autoroutes A1 et A3, le temps de parcours entre le
centre de Paris et l’aéroport peut varier d’une demi-heure à plus de deux
heures […]. Par ailleurs, le RER B n’est pas adapté au transport de
passagers aériens : manque de lisibilité de l’information et de la
signalétique, peu de place pour les bagages, manque de confort pendant
les heures de pointe […].
La plupart des grandes villes européennes et mondiales bénéficient
d’une liaison ferroviaire express entre leur centre-ville et leurs principaux
aéroports […]. En créant une nouvelle liaison ferroviaire rapide [entre la
gare de l’Est et la gare Aéroport CDG2-TGV], le projet CDG Express
propose une desserte à haut niveau de service aux passagers aériens. »
www.cdgexpress.equipement.gouv.fr, 2010
Doc. 6 : Les projets en matière de transport à Roissy
Source : Le Parisien (DR)

Etude de cas : Roissy, plate-forme multimodale et hub mondial
C. Un pôle économique majeur qui génère des nuisances
Doc. 7 : Un aéroport créateur d’emplois
« Il existe un rapport direct entre le flux de passagers qui transitent par Charles de
Gaulle et les emplois créés autour de la zone aéroportuaire. L’an dernier, un million
de passagers correspondait à 1500 emplois créés, ratio qui n’a cessé de s’améliorer
au fil des ans […]. Le nombre de salariés y a, en effet, presque doublé en 10 ans,
passant de 45 000 en 1995 à 80 000 en 2005 […].
Sur 80 000 salariés, 38 300 travaillent directement dans le transport aérien, 13
000 dans le fret transport express, 13 000 autres dans le commerce ou l’hôtellerierestauration,
4 700 dans la sécurité et presqu’autant dans les services publics.
75,5% des salariés qui s’affairent au cœur et autour de Paris-Charles de Gaulle
habitent l’Ile-de-France et 49% l’un des trois départements limitrophes1. La majorité
des salariés travaille pour de grandes entreprises de la plate-forme, comme
Aéroports de Paris (ADP) ou Air France-KLM. »
« Roissy : des passagers créateurs d’emplois », Le Figaro, 15 octobre 2007
1 Seine et Marne (77), Seine Saint-Denis (93) et Val d’Oise (95)
Doc. 9 : Des solutions envisagées contre les nuisances aériennes
Source : www.eurocarex.com (DR)
Source : www.developpement-durable.gouv.fr (DR)
Doc. 8 : Une manifestation contre les nuisances
Apports de la partie C
80 000 emplois sur la plate-forme
(chiffre qui a doublé en 10 ans), dans
tous les secteurs liés à l’aéroport
mais des nuisances importantes
pour les riverains (bruit, pollutions…)
qui s’organisent et manifestent
des solutions envisagées par les
pouvoirs publics afin de réduire les
nuisances aéroportuaires :
- versement d’aides pour l’isolation
phonique des logements
- développement d’un réseau ferré
à grande vitesse pour le fret

Schéma : Roissy, plate-forme multimodale et hub mondial
vers Paris
Roissy
en
France
Un hub aéroportuaire d’envergure
européenne et mondiale
Terminaux en service
Terminal en construction
Pistes
Concentration des vols
moyen-courrier sur Roissy
Redistribution des vols longcourrier
à partir de Roissy
vers Lille
Piste 3
Piste 1
T1 T3
Une plate-forme bien reliée à Paris
et à l’extérieur ?
Autoroutes
Ligne TGV et gare
RER B (vers Paris et Orly)
Métro interne (CDGVal)
Projet routier
Projet ferroviaire
T2
Piste 2
Piste 4
Un pôle économique majeur
générant des nuisances
Zone de fret
Le
Mesnil
Amelot
Zone aéroportuaire de Roissy,
un bassin de 80 000 emplois
Florian NICOLAS
Communes les plus exposées aux
nuisances et les plus aidées

I. Un territoire français inégalement desservi et ouvert sur l’extérieur
Source : Géographie 1 ère ,
Nathan, 2011 (DR)
Source : AFP (DR)
A. Métropoles, littoraux et vallées : des espaces bien desservis
Les espaces du territoire français les mieux desservis : Paris et les métropoles
régionales (Lyon, Marseille…), les grandes vallées (Seine, Rhône, Rhin…) et quelques
littoraux (Côte d’Azur, Languedoc, Normandie, Bretagne…)
Pourquoi ? Espaces les plus peuplés donc générant le plus de trafic
B. Les « angles morts » de la desserte par les réseaux
Les espaces les moins bien desservis du territoire français : les zones de montagne, les
espaces ruraux et l’intérieur des territoires ultra-marins.
Pourquoi ?
- l’éloignement par rapport aux grands axes et nœuds
- les faibles densités : prévisions de trafic faible
- le relief accidenté : coût de construction élevé
rentabilité
C. Les « synapses » permettant la connexion de la France sur l’extérieur
Les aéroports : avant tout Roissy (1ère porte d’entrée et de sortie du territoire
français; au 2ème rang européen, au 4ème rang mondial) puis quelques aéroports de
province ayant un rayonnement international (Lyon et Nice).
Les ports : avant toute Le Havre et Marseille (intégrés dans le réseau portuaire
européen et mondial – de moins en moins pour Marseille). Maintien de quelques ports
régionaux au rayonnement européen (Dunkerque, Saint-Nazaire).
Mise en connexion des réseaux terrestres français sur les réseaux européens :
- connexion routière et autoroutière achevée
- connexion ferroviaire achevée au Nord, en cours au Sud (Italie, Espagne)
Les réseaux numériques (Internet ou téléphonie mobile 3G) permettent de
communiquer avec l’étranger, à condition d’être abonné et de capter le signal.

II. Une offre variée pour répondre à une demande croissante
Source : Géographie 1 ère ,
Hachette, 2011 (DR)
Source : La documentation
photographique, 2008 (DR)
A. Des mobilités croissantes à toutes les échelles
Des mobilités locales quotidiennes autour des métropoles : migrations pendulaires dans
le cadre des déplacements domicile/travail.
Des mobilités régionales : Nord, Est et territoires ultra-marins au solde migratoire
négatif ; Sud, Ouest et Corse au solde migratoire positif. Recherche d’un cadre de vie
agréable (héliotropisme) et de zones créatrices d’emplois.
Des mobilités internationales de deux types :
- migrations professionnelles : + de sorties que d’entrées (Europe surtout)
- migrations touristiques : 1ère destination touristique mondiale
B. La réponse apportée : le développement des réseaux à toutes les échelles
A l’échelle nationale, développement du réseau autoroutier (1 000 km en
1970 contre 11 000 km en 2001) et du réseau de LGV (400 km en 1981
contre 2000 km en 2011)
A l’échelle locale, le développement des transports urbains en commun dans les grandes
métropoles (1 seul réseau de métro, celui de Paris, jusqu’en 1977 ; aujourd’hui, 6
métropoles ont un réseau métro. Total : 358 km de lignes)
C. Les limites du développement des réseaux
Mais les métropoles sont encore privilégiées du fait de la configuration
radioconcentrique des réseaux à toutes les échelles (réseaux centrés sur Paris à l’échelle
nationale et sur les métropoles à l’échelle régionale)
Mais certains axes (axe Lille-Paris-Lyon-Marseille) et certains nœuds sont saturés
(autour des métropoles), ce qui nuit à l’efficacité des réseaux.
Mais, malgré la création de liaisons transversales (A89 Lyon-Bordeaux), de nombreux
territoires sont encore mal desservis et certains sont juste traversés, faute de gares ou
d’échangeurs (« effet tunnel »).

III. Des stratégies d’acteurs concurrentes ou complémentaires ?
Source : La Dépêche (DR)
Source : Thalys (DR)
Source : Conseil régional
d’Ile-de-France (DR)
A. Les individus : accéder aux réseaux sans en subir les désagréments
Une volonté d’accéder facilement et rapidement aux infrastructures de transports afin
de satisfaire les besoins de mobilité.
Une réaction parfois vive des individus contre les projets d’infrastructures proposés du
fait des nuisances, des expropriations (lobbying).
Phénomène « Nimby » (not in my back yard) : les individus veulent profiter de la
proximité d’infrastructures de transports sans en subir les inconvénients
B. Les entreprises : attirer la clientèle pour rentabiliser les investissements
Les entreprises exploitent les réseaux de transport/communication donc facturent leurs
services à leurs usagers (pour les entreprises publiques) ou à leurs clients (pour les
entreprises privées)
Des stratégies de communication destinées à capter des clients en argumentant sur le
prix et la vitesse et le confort… afin de rentabiliser les investissements
D’où une concurrence entre les modes de transports (ici concurrence train-avion sur les
liaisons Paris-Bruxelles, Paris-Francfort, Paris-Amsterdam).
C. Les pouvoirs publics : corriger les inégalités et lutter contre les nuisances
Rôle des pouvoirs publics (UE, Etat ou collectivités) : décider de la construction des
réseaux, en assurer la construction et le financement, garantir leur gestion (exploités par
des entreprises via une « délégation de service public »).
Deux objectifs majeurs aujourd’hui dans les politiques de transport :
- Améliorer la desserte (construction de nouvelles infrastructures ou
prolongement d’infrastructures existantes, hausse des fréquences…)
- Favoriser les modes durables de développement (priorité au ferroviaire)

Evaluation : Compositions
Les deux problématiques les plus probables pour un sujet de composition :
1. Un sujet sur Roissy, car l’étude de cas a été traitée par tous les élèves
2. Un sujet sur une thématique centrale du chapitre
Sujet n°1 : « Roissy, plate-forme
multimodale et hub mondial »
Problématique : Roissy est la principale porte d’entrée
et de sortie du territoire français, mais à quel prix ?
I. Un hub aéroportuaire d’envergure
européenne et mondiale
A. Une des premiers aéroports européens et mondiaux
B. Des trafics en croissance régulière
C. La stratégie du hub qui stimule le trafic
II. Une plate-forme multimodale
bien reliée à Paris et à l’extérieur
A. Un aéroport relié à Paris
B. Un aéroport relié au reste de la France
C. Les problèmes de cette desserte
III. Un pôle économique majeur
qui génère des nuisances
A. Roissy, un pôle économique majeur
B. Des nuisances sonores et environnementales
C. Des alternatives pour régler les nuisances ?
Réponse à la problématique : Roissy est l’élément qui
permet la connexion de la France au monde, au prix de
nuisances importantes.
Sujet n°2 : La France, carrefour
des réseaux en Europe ?
Problématique : Après les élargissements de l’UE à
l’Est, la France ne voit-elle pas sa position centrale dans
les réseaux européens marginalisée ?
I. La France, un point de passage obligé en Europe
A. Des axes européens majeurs traversent la France
B. Des nœuds européens majeurs sont en France
C. Le Nord et l’Est, une bonne connexion sur l’Europe
II. Une marginalisation de la France en Europe ?
A. Des axes qui « contournent » la France
B. Des nœuds concurrents en Europe
C. Le centre de gravité de l’Est glisse vers l’Est
III. Développer et moderniser les réseaux français
pour rester arrimé sur l’Europe
A. Renforcer la connexion ferroviaire sur l’Europe
B. Moderniser les portes d’entrée et de sortie
C. Achever les liaisons fluviales et maritimes
Réponse à la problématique : Le basculement du
centre de gravité de l’UE vers l’Est est en train de
marginaliser la France, d’où l’intervention des acteurs
publics et privés pour mieux l’arrimer sur l’Europe.

Deux cas de figure possible :
1. Un seul document
2. Deux documents
Evaluation : Analyse de documents
Une analyse organisée en partie avec des références précises aux documents et des
compléments/nuances apportés par les connaissances du candidat
Sujet : « Mobilités, flux et réseaux de communication en France dans la mondialisation »
Consigne : « Présentez puis analysez les documents pour mettre en évidence l’inégale desserte et connexion du
territoire français sur l’extérieur et les mesures prises pour atténuer ces déséquilibres. »
Doc. 1 : La couverture du territoire français
par l’ADSL haut débit (2008)
Source : AFP (DR)
Doc. 2 : Le financement du programme
« haut débit pour tous » en Charente
Source : Conseil
général de
la Charente
Etape 1 : Rédiger une courte introduction
Présentation du document
Annonce de la démarche retenu pour l’analyse
Etape 2 : Rédiger une analyse structurée mobilisant des
connaissance pour compléter ou critiquer le document
I. Un territoire français inégalement desservi et ouvert
sur l’extérieur
A. Des réseaux inégalement déployés dans l’espace
B. Une inégale connexion du territoire français sur
l’extérieur
II. Des acteurs publics et privés mobilisés pour atténuer
ces déséquilibres
A. Une mobilisation d’acteurs publics et privés
B. Des politiques de développement des réseaux
Etape 3 : Rédiger une courte conclusion
Résumé de l’analyse
Eventuellement, une critique du document (non exigible en
1ère, mais qui ne peut être que valorisée)

Evaluation : Schéma ou croquis
Deux cas de figure possibles :
1. Un sujet de schéma cartographique (sans fond de carte) sur l’étude de cas à propos de Roissy
2. Un sujet de croquis (avec fond de carte) sur une thématique centrale du chapitre
Schéma
Sujet : « Roissy, plate-forme multimodale et hub mondial »

Océan
Atlantique
1 PAYS-BAS ESPAGNE
2 BELGIQUE
3 LUXEMBOURG
Florian NICOLAS
Croquis
Sujet : « L’inégale connexion de la France, par les flux et les réseaux, à l’extérieur »
ROYAUME-UNI
Londres
Le Havre
Nantes
Bordeaux
Toulouse
Paris
FRANCE
Lyon
Marseille
Barcelone
1
Amsterdam
Rotterdam ALLEMAGNE
Anvers
2
3
Nice
SUISSE
Mer
Méditerranée
Francfort
Milan
Gênes
Des flux variés entre la France et l’extérieur
Flux touristiques
Flux d’immigration (légale ou illégale)
Flux commerciaux
Régions où s’effectuent des flux transfrontaliers
Des réseaux connectant la France à l’extérieur
Axes majeurs, secondaires
Ports majeurs, secondaires
Aéroports majeurs, secondaires
Liaisons Corse-continent
Des territoires inégalement connecté à l’étranger
Espace bien intégré aux réseaux internationaux
Espace bien desservi à l’échelle nationale mais
marginalisé à l’échelle internationale
Espace encore enclavé
Espace en cours d’intégration avec l’Europe