■HIIIIIII DIMANCHE-ILLUSTRÉ uiiiiiiiiiniuiiiuiiiiiiinnuutuiiiiniiiiiniitiiittiiiniHititiiiiiMiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiitiiiiiitiiiiiii 2 iiiiiiiliiiiimimiiiiimiiiiii iiiitiiiiiiiiiin minuit ■ i ■ t iiiiimiiiii» LE <strong>20</strong> MAI 1934 niiitiiiiv VENTE AU NUMÉRO France, Colonies .. a a a ;; ;. :. 0.50 Belgique 0.75 belges Etranger.. .. .. .. .. .. ;. ;. ;. 1 fi". MAUVAIS ESTOMAC; VIE DE MISÈRE ! C'est un fait qu'un estomac " détraqué " est très souvent la source de maux innonibrables, physiques el moraux. Un excès d'acidité, l'indigestion plus ou moins chronique,donnent lieu souvent à une mauvaise baleine qui écarte de vousr les êtres les plus chers. Des gaz, de la flatulence, l'envie de vomir après les repas, créent un état mental qui enlève toute énergie, toute ambition. Souvent ces maux, légers au début, dégénèrent en gastrite, dyspepsie chronique ou en ulcération Stomacale. Arrêtez net les plus légers symptômes du mauvais fonctionnement de l'estomac. Au moindre malaise après les repas, migraines, étourdissements ou lourdeurs, prenez une petite dose de poudre, ou deux ou trois comprimés de Magnésie lîismurée, l'antiacide qui arrête en trois minutes la fermentation des aliments.»» La Magnésie Bismuréeest un anti-acide énergique qui supprime très rapidement toutes les aigreurs. Elle est d'autre part un accélérateur des fonctions digestives et empêche toute fermentation. Elle vous procure, dans l'un ou l'autre cas, un soulagement immédiat. En vente dans toutes pharmacies 10 Frs. ou grand format économique 14 frs. 86. DIMANCHE-ILLUSTRE Tél. : Provence 15-22,23 ou 24-Administration, abonnements : <strong>20</strong>,rue d'Enghien, Paris (X e ) -C te chèque post. n°5970 EST EN VENTE PARTOUT DÈS LE SAMEDI Services de Publicité : 118, Avenue des Champs-Elysées — Téléphone : Élysées 65-94 à 65-98 NOTRE NOUVEL ALB4JMlMo24 CORSETS-GAINES VIENT DE PARAITRE - DEMANDEZ-LE. NOUVEAUX TISSUS VRELASTIC - TRILASTIC (DÉPOSÉS) NOUVEAUX PRIX 52 F ! S à 165 La véritable élégance féminine, le confort et la ligne actuelle par les nouveaux modèles de CORSETS-GAINES CEINTURES - MAILLOTS SOUTIENS-GORGE Modèles spéciaux élégants contre toutes affections de l'abdomen et de l'estomac. SUCCURSALES : LILLE, 62, rue Faidherbe * LYON, 104, rue de l'Hôtel-de-Ville MARSEILLE, 59, Allées Léon-Gambetta 44, B d Sébastopol - PARISI P - POUR VOS CORS - un seul remède qui les résume tous ! Le meilleur I L'Emplâtre FEUILLE DE SAULE (Wiilow Leaf) qui & lafois Protège, Soulage, Guérit. 4.25 T l " Pharmacies. MI W FT M lTT\ SeuJe l'Uectrolyse détruit Ull,t> f. I Ifl I II I J la rac'ne des pou* dures* pai épilatotres. Mme Alilan (dlpi.) garantit lee résultats. U, t. de l'Etoile. Parte. U
mi M 111 M 1 1 _F R <strong>20</strong> IVÎ AI 1934 iiiiiiiini m iiiiiiiiii iiiiim tiiiiiiiiiiiiiiinii Miiiiiiinii I1IIIMIMII1IIII1IIUIM iiMiiiiiM jiniiiiiiii ni ni ii rm 3' iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiMtiiitiiilfilllilliiiilliliiiillilliliiillliiilltlllllllim«Mn»^tillM* DOUZIEME ANNEE : N° 586 DIMANCHE ILLUST ENTRE NOUS UN comité composé de personnalités tourangelles a décidé d'élever, à Vouvray, un buste de Gaudissart... — Gaudissart ? C'est sans doute quelque politicien fameux à Vouvray, <strong>mai</strong>s inconnu ailleurs... Admirons la logique du hasard qui l'avait affublé d'un tel nom ! Car Balzac a campé, dans l'Illustre Gaudissart, le type même du commis-voyageur, du joyeux hâbleur que nos pères ont connu et qui a été remplacé par le « représentant de commerce », personnage moins réjouissant et même, en ces temps de crise, moins réjoui. Gaudissart politicien... Preuve nouvelle- que les noms prédestinent ! Certes, <strong>mai</strong>s c'est bel et bien le héros pittoresque du roman de Balzac que représentera le buste projeté à Vouvray. Ainsi sera glorifié le personnage à la fois légendaire et réel qui inspira aussi un refrain lancé par Paulus : Qu'il pleuve ou vente, Toujours il chante, Le joyeux commis-voyageur ! On aurait pu craindre une opposition, tout au moins une protestation de ceux qui, aujourd hui, exercent l'ambulante profession de Gaudissart... Le portrait caricatural de leur ancêtre leur a longtemps déplu dans le roman de Balzac : le buste ne serait-il pas plus compromettant encore pour ces infatigables « pionniers » qui ne tiennent pas du tout à la réputation de « rigolos » qu'on leur a faite ? Eh bien, la Fédération nationale des voyageurs et représentants de commerce de France et des colonies a fait savoir au comité tourangeau qu'elle approuvait l'hommage rendu à 1' « Illustre Gaudissart » et qu'elle contribuerait à l'éclat de l'inauguration du buste en envoyant, à Vouvray, une délégation... Ainsi, les représentants seront eux-mêmes représentés et rien ne manquera à la gloire de Gaudissart ! I »-, -V•■■ - ■ f '• L s'agit cependant d'un « héros » purement imaginaire : Gaudissart n'a ja<strong>mai</strong>s existé, encore que Balzac, pour le créer, se soij; inspiré de la réalité. Mais qu'importe ? Pour nous, Gaudissard a vécu et même il vit encore, comme tant de personnages fabriqués de toutes pièces par des romanciers, des auteurs dramatiques, des poètes... Et, certes, des monuments élevés à ces « créatures » toutes littéraires seraient, pour nous, plus évocateurs que ne le sont tant de navets plantés en l'honneur de Tartempions qui, avant d.'être en marbre ou en bronze, étaient en chair et en os. La statue d'un sous-vétérinaire qui fît de la politique essentiellement cantonale ne nous intéresse guère... Nous contemplerions avec plus de curiosité celle de Numa Roumestan dont nous connaissons tous l'amusante histoire. A quand la statue de Tartarin, ce don Quichotte provençal ? Qui dressera, sur un piédestal, l'effigie de César Birotteau, héros et martyr de la parfumerie et de l'honneur commercial ? Nous n'irons pas jusqu'à réclamer un buste de la Dame aux Camélias, <strong>mai</strong>s celui de Boubouroche pourrait avoir sa place au square d'Anvers, dans le quartier où vécut — il y vit sans doute encore — ce type d'une éternelle humanité. Statues de Candide, de Jean Valjean, de Lagardère et même de Robert Macaire, nous vous attendons, car vous, au moins, vous nous diriez quelque chose- Robert Macaire surtout, quel précurseur, quel grand homme ! En voilà un dont les disciples sont nombreux ! Et vous imaginez l'inauguration, les discours... Ce serait magnifique. Mais vous me direz qu une autre statue devrait lui faire pendant : celle de M. Gogo. CLÉMENT VAUTEL. à Vordre du jour VOICI le proche été et la grave question des vacances à donner à leurs enfants se pose à nouveau pour de nombreux parents. Beaucoup d'entre eux, retenus par leurs occupations ou reculant devant de trop lourds sacrifices, ne peuvent point, en effet, accompagner leur petite famille dans les déplacements qui sont, pour la jeunesse, si utiles et si bienfaisants. Et le problème devient quelquefois angoissant quand la santé des enfants est en jeu. Or, de nombreux groupements se sont donnés la philantropique mission de pourvoir aux vacances des enfants et d'en faciliter le cours. Par leur action salutaire, par leur désir d'accomplir une œuvre sociale féconde, ils permettent, chaque année, à des milliers et des milliers d'adolescents, de se fortifier, de vivre heureux au grand air, au soleil, sans que leurs parents aient le souci de pourvoir à l'organisation matérielle du voyage et de l'installation. Pour atteindre à ce but, ces associations ont donc organisé, par toute notre belle France, des camps et des colonies de vacances qui accueillent les enfants des grandes villes, et veillent sur leur repos et sur leurs jeux avec une maternelle sollicitude. Ces camps sont nombreux et il en est pour toutes les classes, pour toutes les bourses, des plus simples aux plus confortables. Beaucoup de ces œuvres ont été créées sur des initiatives officielles; et sont soumises au contrôle de délégués de l'Etat, de villes ou de départements. La plupart sont reconnues d'utilité publique et vivent de dons, de souscriptions* de legs, de subventions, et, bien entendu, des frais de séjour versés par les parents. Mais comment connaître tous ces camps, toutes ces colonies, toutes ces auberges de vacances conçus pour la jeunesse et disséminés sur tout le territoire ? Comment, pour les familles, se renseigner facilement et sûrement sur les conditions d'admission les prix de séjour, la durée d'ouverture de telle ou telle formation ? Camp ? Colonie 7 Auberge ? Autant de termes dont la définition est à donner et que nous allons expliquer succintement à nos lecteurs. Le camp de vacances, en principe, est organisé pour la belle saison. Les campeurs ne sont pas obligatoirement logés sous des tentes. Des parents peuvent appréhender pour des enfants délicats ce mode d'hébergement. Il y a donc, dans <strong>mai</strong>ntes organisations, des camps qui se tiennent dans des baraquements ou des <strong>mai</strong>sons confortables. Voie] qu'approchent tes grandes vacances ! Où les p a r é nt s qui ne peuvent accompagner leurs enfants (es enverront • ils ? Qui en prendra soin ? Et surtout à qui s'adresser ? DIMANCHE ILLUSTRÉ travaille pour vous et vous expose ici son organisation. La colonie — en principe aussi — est une organisation plus stable, généralement fixe et qui comprend, à proximité d'une forêt, d'une plage, d'une colline propre aux ébats de la jeunesse, l'habitation ou les habitations nécessaires à son logement. Alors que le camp ou la colonie sont organisés pour des vacances à demeure, les auberges pour la jeunesse jalonnent quelques grands itinéraires et sont prévues pour recevoir les voyageurs adolescents de passage, isolés ou en groupes, qui parcourent les routes à pied ou à bicyclette. Dimanche-Illustré, dont nos lecteurs savent le grand désir de toujours leur être utile, s'est livré à une grande enquête sur les camps, les colonies, les auberges dédiés à la jeunesse. L s'est mis en rapport avec un grand nombre de leurs organisateurs, a constitué une importante documentation sur leurs formations et est désor<strong>mai</strong>s capable d'orienter les pères ou les mères de famille, les tuteurs, les éducateurs, ver3 les centres susceptibles de convenir le mieux aux enfants dont ils ont la charge. A nos lecteurs, abonnés on non, nous sommes heureux de dire ceci : Vous avez un garçon, une fille — qu'il ait trois ans ou dix-huit ans — que vous voudriez envoyer cet été a la mer, à la montagne, près de Paris, ou loin de la capitale ! Vous voulez bénéficier de conditions extrêmement réduites, ou vous pouvez, au contraire, engager une dépense restant cependant modeste ? Vous désirez que l'œuvre soit religieuse ou -laïque ? Venez nous voir ou écrivez-nous. (On trouvera les heures de réception au tableau des consultations verbales, en page If.) Nous vous aiderons à organiser pour vos enfants, les vacances de votre choix. Nous avons obtenu, dans un certain nombre d'associations des avantages ou des conditions particulières pour nos lecteurs. Nous vous les ferons connaître et nous vous en ferons bénéficier, en n'intervenant pas, cependant, dans le régime particulier à chaque association et en lui laissant, vis-à-vis de vous, sa responsabilité entière. Dans notre prochain numéro, nous publierons une carte de France sur laquelle vous découvrirez, de la mer aux Vosges, du Nord aux Pyrénées, bien des lieux de villégiature et dont la lecture vous permettra de faire une première sélection. Et si, grâce à nous, vos petites familles trouvent au grand air la joie de vivre, nous aurons simplement atteint notre but : vous rendre service. DIMANCHE-ILLUSTRE. LE PROBLEME DES MOTS ' CROISES HORIZONTALEMENT. — 1. Qui concerne une membrane blanche et résistante du corps hu<strong>mai</strong>n ; 13. Appelée aussi herbe aux chats ; 14. Elimé ; 15. Reine de Thèbes ; 16. Chef-lieu de canton dans la Côte-d'Or ; 17. Poisson d'eau douce ; 19. Dans .le Venezuela ; 22. Seul ; 23. Chef-lieu de canton de l'Eure ; 24. Vieux ; 26. Vilain, hideux ; 28. Préfixe ; 30. Prénom féminin ; 31. Pronom ; 32. Fils aîné de David ; 34. Filet ; 35. Les quatre septièmes de Mélanie ; 37. Liquides blancs ; 39. Article arabe; 40. Emotion, soucis ; -11. Personne méchante et cruelle ; 42. Passage entre les îies de Sein et d'Ouessant ; 44. Volonté : 45. Nom vulgaire des poissons du genre triglé ; 47. Terminaison de participe ; 48. Ville de France ; 49. Enveloppe ; 51. Contrée d'Europe; 52.' Lettre quelconque; 53. Genre de légumineuse. VERTICALEMENT. — 1. Traité de la chasse aux oiseaux ; 2. Remède universel ; 3. Ville de France ; 4. Négation ; 5. Nom de plusieurs rois de Suède et de Danemark ; 6. Signature qui rend un acte authentique ; 7. Dieu égyptien ; 8. Du verbe avoir ; 9. Ville d'Espagne ; 10. Pronom ; 11. Homme d'Etat et littérateur suisse ; 12. Trois fois la même voyelle ; 18. Seul ; <strong>20</strong>. Déesse du ciel chez les peuples sémitiques ; 21. Prédicateur italien (1452- 1498) ; 25. Il trahit Roland ; 26. Orne ; 27. Ville du département du Nord ; 29. Tas ; 33. Conjonction ; 34. Fatigué et a<strong>mai</strong>gri ; 35. Contrée de l'Europe ancienne ; 36. Saint normand ; 38. Ce qui sert à la manœuvre d'un navire ; 42. Ville d Espagne ; 43. Abréviation usuelle ; 45. Nom donné par Ezechiel au roi de la terre de Magog ; 46. Préposition ; 48. Possessif ; 50. Dans la Çôte-d'Or. Nous publierons dans le prochain numéro, la solution de ce problème, qui, ne comportant aucun classement, dispense nos lecteurs de nous envoyer leur solution. A gauche ; Problème proposé ; à droite : So.ufion du problème paru dans le dernier numéro RÉFLEXIONS yj MESURE que je vieillis, que je consi- /\ dère les années écoulées et tes œu- XJL vres dont je les ai marquées, je me rends mieux compte de ce que je suis capable de [aire. J'écris des choses assez intéressantes pour avoir un public qui veut bien me suivre avec une fidélité dont je lui sua profondément teconnaissant, et si je dois prendre la parole je me tire sans peine de cette épreuve. C est à quoi se réduisènt mes talents. Je ne sais pas danser, ni écrire un poème, ni jouer du piano. je serais bien mal venu à concourir dans une course à pied, je ferai encore plus piètre figure dans une course d'obstacles dans un combat de boxe ou un tournoi de tennis. Tout ce qui est machinisme ou même outil, me réduit à l'impuissance absolue, je suis aussi désarmé devant un marteau que devant une locomotive. Et je me suis reconnu tristement devant cet homme pour qui une épouse peu indulgente achète une brouette en disant à l'employé : « Vous en expliquerez le mécanisme à mon mari. Il ne comprend rien aux machines. » Je suis incapable de faire une addition de dix chiffres et j'ai renoncé ù y parvenir ja<strong>mai</strong>s. Je ne sais pas apprivoiser un animal sauvage, ni dresser un chien, encore moins un cheval. J'aime les échecs, le bridge et tous les jeux de carte, <strong>mai</strong>s je peux marquer d'un caillou blanc les jours où je gagne. Durant un séjour que ;c fis en Italie, j'achetai chaque jour un billet d'une lire pour la loterie nationale, je n'ai ja<strong>mai</strong>s eu l'aubaine du plus modeste prix. Ne me demandez pas de remonter une pendule, ni de coller du papier de tenture, de démonter un tuyau de poêle, de suspendre des rideaux, à moins que vous n'ayez envie de quelque malheur pour vous distraire. Je n'ai ja<strong>mai</strong>s réussi à me rendre populaire dans un cercle, dans un parti ou dans une communauté, aussi n'ai-je ja<strong>mai</strong>s été élu à quelque poste que ce soit, excepté pour des situations dont personne ne voulait. Je manque complètement de ce que j'appellerai l'esprit de compétition. J'aime beaucoup la compagnie des femmes dont la conversation me paraît infiniment pl us agréable que celle de mes semblables, <strong>mai</strong>s je vois bien qu'elles trouvent à ma présence beaucoup moins de charmes que je ne vois à la leur. Quand j'étais jeune, j'avais autant d'ambitions qu'il y a de types d'activité hu<strong>mai</strong>ne. Tour à tour, je voûtais devenir avocat, physicien, botaniste, entomologiste, helléniste, professeur de langues modernes, homme d'affaires, orateur, romancier, dramaturge, homme politique, explorateur, marin. • Peu à peu, j'ai dû en rabattre. Des expériences et des échecs répétés m'ont appris que le nombre de choses auxquelles j étais bon se trouvaient extrêmement réduites. Le monde m'a aidé à faire cette découverte en applaudissant à ce que je savais faire, en ignorant ce que je ne savais pas faire. Tout être pourvu de bons sens et d esprit critique en arrive fatalement là. C'est la seule façon de découvrir notre véritable moi, celui qui peut servir la communauté. Et il faut féliciter tout homme qui a établi nettement ce bilan, ne sut-il faire qu'une chose, tailler des favoris ou poser des briques. Descendez en vous-même, demandez-vous si vous ne vous croyez pas capable de plus de choses que vous n'en pouvez faire. Et, pour éclairer votre propre lanterne, faites passer le même examen aux personnes de votre entourage — <strong>mai</strong>s fans leur souffler mot, c'est plus prudent. Emerson a ait : « Peu d'hommes se trouvent avant de mourir. » FRANK CRÂNE.