suite, E 497-1116 (XIIIe-XXe s.) - Archives départementales
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Série E — Famille Auvé-Révérend<br />
29 mai 1710). Certificat de non parenté avec<br />
d’autres officiers dudit baillage, sauf avec Christophe<br />
J. Blondeau de la Vallée, son beau-frère<br />
(22 mars 1710). — 9. Procès-verbal d’enregistrement<br />
au Parlement de Paris des dites provisions<br />
d’office de conseiller du Roi au présidial de La<br />
Flèche (15 juillet 1710). — 10-11. Autorisation de<br />
transfert et reçu des droits de mutation pour ledit<br />
transfert donné à Jean François de Briqueville,<br />
comte de La Luzerne pour l’office de greffier au<br />
Présidial de La Flèche après le décès de Pierre I<br />
Auvé (20 7 bre et octobre 1724). — 12-13. Lettres<br />
patentes, avec procès-verbal de leur enregistrement<br />
au Parlement permettant audit Auvé de<br />
conserver son dit titre d’avocat, nonobstant la<br />
résignation qu’il a faite de son office (14 octobre<br />
1738, mauvais état).<br />
34<br />
E 530 (liasse). — 1 pièce, parchemin ;<br />
8 pièces, papier ; un registre de 49 feuillets.<br />
1657-1784. FAMILLE AUVÉ (<strong>suite</strong>). — 1.<br />
Sentence du Parlement renvoyant à la chambre<br />
des enquêtes la cause de Jacques Auvé, René<br />
Foucquet sieur de La Varenne, commandeur de<br />
l’ancien Hôpital d’Angers, et admettant comme<br />
intervenants Claude Rocher sieur de La Vaux et<br />
deux officiers du baillage de La Flèche (16 mai<br />
1659). — 2. « Nouveau registre des affaires<br />
d’Anjou, formé du précédent registre [perdu ?],<br />
tant des effets restant à recevoir que de ce que<br />
les fermiers doivent, suivant les comptes que<br />
M r de Poligny a fait avec eux. » Il s’agit d’un<br />
cueilloir des fermages du domaine de Gaillemer 1 ,<br />
de la métairie de la Bédinière, et de la closerie, de<br />
la Palisse à Noyant (M. et L.), des métairies du<br />
Marquet et de Chédrue à Meigné (M. et L.), de la<br />
Closerie de la Salle à Méon, des effets provenant<br />
de la succession de M me Mondain, au Lude et des<br />
effets dus par le métayer de La Bourée (1707-<br />
1721, 49 feuillets cartonnés). — 3-10. Quittances,<br />
notes et comptes relatifs aux revenus d’une rente<br />
sur l’Hôtel de Ville de Paris faisant partie de la dot<br />
de Madeleine Révérend, femme de Pierre II Auvé,<br />
fils du précédent (1758-1784).<br />
E 531 (liasse). — 1 pièce, papier.<br />
1615. — FAMILLE NOUET DE LA GRAND-<br />
MAISON ALLIÉE À LA FAMILLE AUVÉ. — Jacques<br />
Nouet, marchand demeurant à Loué (Sarthe),<br />
Jehan Guymaud marchand à Solesme et<br />
1. Sur Galmer, C me de Noyant (M.-et-L.), voyez E 513, N os 57-88.<br />
Catherine Guimaud sa fille accordent à Catherine<br />
Guymaud leur fille et petite fille, en vue de son<br />
mariage avec Jacques Nouet, et en avancement<br />
d’hoirie le lieu de l’Hostellaizie et de la Havelière<br />
et 500 livres (1615, 16 juillet), extrait conforme<br />
ayant servi plus tard au règlement de la<br />
succession de la dite Catherine Guymaud (voyez<br />
E 561, 4 e partie).<br />
E 532 (liasse). — 6 pièces, parchemin ;<br />
35 pièces, papier.<br />
1640-1703. — FAMILLE SORIN DE LA<br />
HARDOUINIÈRE. — 1-3. Mariages successifs<br />
d’Urbain Sorin, sieur de la Hardouinière, conseiller<br />
du roi, lieutenant général civil et criminel<br />
au siège royal de Ste Suzanne, maître des<br />
requêtes ordinaire du chastel de la Reyne,<br />
résidant audit Ste Suzanne. Requête de ce<br />
dernier au baillage de La Flèche contre des<br />
beaux-parents, maistre Antoine Panais et Jacquine<br />
Deslandes qui le dernier jour d’avril 1640<br />
« donnèrent par advansement de droict successif<br />
à leur dicte fille unique le lieu des Châteauxneufs<br />
composé de vingt et un journaux de terre et de<br />
six à sept charretées de foin, avec les bestiaux<br />
et semanses dudict lieu, sans donner audict<br />
Sorin aucunes bagues et joyaux ni habiller<br />
aucunement ladicte fille d’habits nuptiaux, ainsi<br />
qu’il fut obligé de faire habiller ladicte fille chez le<br />
sieur Jolinet marchand à Angers, où il lui coûta<br />
bien cent escus »… Le futur, qui devait loger<br />
chez ses beaux-parents » ne trouva aucuns<br />
meubles pour se loger, mesme pas des draps<br />
pour sa nécessité, d’autant que la dame Panais<br />
estoit une très mauvaise ménagère, etc. Plaintes<br />
pour parasitisme contre les nièces de ceux-ci<br />
« Madgeleine et Renée Caoreau (sic)… géans<br />
de néans » (sic). Ladite Renée Panais, femme<br />
d’Urbain Sorin « n’eust osé quitter un corset et<br />
souliers ni habits que lesdicts Caoraux père et<br />
enfants ne les ussent pris. » Celle-ci mourut dix<br />
ans après, le 27 février 1650, après avoir donné<br />
audit Sorin, six enfants vivants, etc. Après un<br />
tableau de la misère des dits Panais et de la façon<br />
dont ils vendirent leur terre de la Sansonnière à<br />
Brains près du Mans et quelques autres, Urbain<br />
Sorin requiert l’inventaire des biens revenant à ses<br />
enfants et dont l’un, Renée Sorin, épouse de<br />
Louis de La Vallée, est en difficulté avec lui, et<br />
demande la nomination d’un curateur afin qu’il<br />
puisse lui-même rembourser divers emprunts<br />
faits pour l’achat de sa charge et se remarier avec<br />
Renée Foureau. Les enfants de sa première femme