Le Fil rouge de Rahab - Nouvelle Naissance
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<strong>de</strong>mandais : " Et maintenant, quoi ? Ce n'est pas <strong>de</strong> cette manière que<br />
nous avions envisagé l'avenir ! " Quand soudain l'Ecriture me revint :<br />
" Même si quelqu’un <strong>de</strong>s morts ressuscitait, ils ne le croiraient pas. »<br />
Et soudain je me <strong>de</strong>mandai : « que ferais-je s’il me parlait et disait :<br />
« Déliez-moi « comme l'a dit Jésus à la tombe <strong>de</strong> Lazare, " Déliez-le<br />
et laissez-le aller. "<br />
Et soudain, je me <strong>de</strong>mandai s'il <strong>de</strong>vait ressusciter, si frère Billy<br />
Paul me croirait ? Frère Bor<strong>de</strong>rs, me croirait-il ? Ou dirait-il au<br />
contraire : " Je savais qu'on ne pouvait pas se fier au frère Green ! "<br />
Je me surpris à dire : " Seigneur, veux-tu me montrer qu'il<br />
ressuscitera avec tous les morts en Christ ? Seigneur, ne le laisse pas<br />
ressusciter ici avec moi seulement. Attends qu'il y ait au moins trois<br />
témoins. " J'avais peur que les hommes ne me croient pas et d'après<br />
la Parole, ils ne pouvaient pas croire, à moins d'avoir déjà cru.<br />
S'il était ressuscité <strong>de</strong>s morts, qui l'aurait cru, excepté ceux qui<br />
croyaient déjà qu'il était le prophète <strong>de</strong> Dieu et qui étaient déjà<br />
pré<strong>de</strong>stinés à le croire comme la plupart d'entre vous. L'avion atterrit,<br />
nous l'avons chargé en faisant la même prière que nous avions faite à<br />
Amarillo, Texas. Nous sommes arrivés à Jeffersonville, Indiana. Je<br />
n'oublierai jamais la scène. Mr. Coots, un ami très intime <strong>de</strong> frère<br />
Branham, le coroner <strong>de</strong> la ville <strong>de</strong> Jeffersonville, Indiana, et le<br />
directeur <strong>de</strong>s pompes funèbres qui m'avait été recommandé par Billy,<br />
attendaient le corps avec l'ordre <strong>de</strong> ne le montrer à personne jusqu'à<br />
ce que Billy arrive d'abord. Je me souviens du respect que me<br />
témoignait frère Ben Bryant. Il avait pris un avion, très tôt ce jour, à<br />
Amarillo. Je n'oublierai jamais l'impression que me fit ce frère si<br />
respectueux vis-à-vis <strong>de</strong>s restes <strong>de</strong> celui qu'il avait tant aimé.<br />
Combien <strong>de</strong> fois ce frère n'avait-il pas dit " Amen " en entendant la<br />
prédication <strong>de</strong> frère Branham. Vous avez entendu ses « Amen »<br />
vous-mêmes sur les ban<strong>de</strong>s magnétiques. Tout autour du mon<strong>de</strong>, il<br />
est i<strong>de</strong>ntifié avec le message.<br />
J'étais présent à Shreveport, Louisiane, quand notre frère<br />
Branham regarda vers frère Ben qui avait crié : " Nous vous aimons,<br />
Prophète ! " Et frère Branham avait baissé les regards vers lui et dit :<br />
" Frère Ben, je vous aime aussi. " Frère Branham avait dit : " Ici se<br />
trouve mon frère qui avait été rempli <strong>de</strong> shrapnels <strong>de</strong> la <strong>de</strong>rnière<br />
guerre mondiale et qui lui raclaient les nerfs. " Mais, il dit : " Je<br />
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