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28 juin - Saint-Brice-sous-Forêt

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VILLE DE SAINT-BRICE-SOUS-FORET<br />

COMPTE RENDU<br />

du<br />

CONSEIL MUNICIPAL DU <strong>28</strong> JUIN 2001<br />

ETAIENT PRESENTS :<br />

M. LORAND - M. DEGRYSE – M. JEAN-NOEL – Mme PFARR – Mme NEDELLEC – Mme CAYRAC –<br />

M. GAGNE – M. RENAUD – M. DAMBRINE,<br />

Mme CHOJNACKI – Mme DALPHRASE – M. DUBEAUX – M. GUIOT – Mme BARKATS - Mme MATHIEU –<br />

M. SALFATI - M. AUBRY – M. RONTARD – Mme SALFATI N. - M. BALDASSARI – Mme LEMAITRE –<br />

Mme BECRET - M. TAILLEZ – M. TRONCHET – M. HUYET - Mme CHALARD - M. LARCHER –<br />

Mme SERGENT.<br />

ABSENTS :<br />

M. REY-BROT pouvoir à M GUIOT<br />

Mme SALFATI C. pouvoir à M. SALFATI<br />

Mme LAURENT pouvoir à M. DUBEAUX<br />

Mme FRENOT pouvoir à Mme SALFATI N.<br />

M. ALIMI.<br />

SECRETAIRE DE SEANCE : M. GUIOT<br />

<br />

M. le Maire ouvre la séance et désigne M. GUIOT en qualité de secrétaire de séance. Celui-ci procède à<br />

l’appel ; le quorum étant atteint, la séance peut commencer.<br />

I - APPROBATION DU COMPTE RENDU DU 31 mai 2001<br />

M JEAN-NOEL donne des précisions sur le séjour organisé en juillet 2001 (décision N°39) en direction des<br />

jeunes.<br />

M. BALDASSARI souhaite savoir si l’avis des Domaines a été sollicité concernant la vente du 1 er étage du<br />

local des Vergers.<br />

Concernant la délibération proposée par la SEMAVO sur les constats de conversion en EURO, M.<br />

RENAUD lui indique que la délibération n’est pas reproposée au présent conseil par manque d’éléments<br />

nouveaux.<br />

M. HUYET trouve que les interventions de l’opposition ne sont pas assez prises en compte dans les comptes<br />

rendus comme cela doit être en toute démocratie. M. le Maire indique qu’un contrôle sera effectué.<br />

Mme BECRET souhaite porter deux précisions à ses interventions : premièrement, elle n’a pas demandé de<br />

créer un local poubelles à l’Ecole C.Perrault mais de l’agrandir ; deuxièmement, à propos du vote pour ou<br />

contre l’annulation des titres de recettes concernant Mme LECORRE, elle rappelle qu’il s’agissait d’un vote<br />

à bulletin secret donc elle n’a pas dit ce qu’elle avait voté mais précise que les éléments fournis à cette<br />

époque concernant cette affaire étaient incomplets pour voter en toute connaissance de cause.<br />

Le compte rendu est approuvé, à la majorité, moins 4 voix CONTRE de M. HUYET, Mme<br />

CHALARD, M. LARCHER, Mme SERGENT.<br />

II – DECISIONS DU MAIRE<br />

2001/044 –Convention avec KPMG Collectivités Territoriales relative à un audit financier<br />

au prix de 124 384 francs.<br />

2001/045 -Contrat signé avec l’Association « Caravanes et Compagnie » pour l’organisation<br />

d’un spectacle intitulé « Boutchou le Petit train » à la crèche familiale<br />

le 22 <strong>juin</strong> 2001 au prix de 1 400 francs.<br />

2001/046 –Contrat signé avec l’Association « Caravanes et Compagnie »<br />

pour l’organisation d’un spectacle intitulé « Ateliers musique » à la crèche familiale


les 01, 15, 29 <strong>juin</strong> 2001 au prix de 1 350 francs.<br />

2001/047 –Contrat signé avec Séance Tenante pour l’organisation d’un spectacle<br />

intitulé « le Cirque National de Cuba » le 02 décembre 2001 au Théâtre<br />

Silvia Monfort au prix de 54 860 francs.<br />

2001/048 –Convention signée avec l’Association ESCAPAD’EVASION pour l’organisation<br />

de mini-séjours d’enfants dans le département de la Sarthe en juillet 2001<br />

pour un montant total de 42 850 francs.<br />

2001/049 –Contrat signé avec Les Enfants d’Arlequin pour l’organisation d’un spectacle<br />

intitulé « la Fille de Madame ANGOT » le 27 janvier 2002 au Théâtre Silvia Monfort<br />

au prix de 70 000 francs HT.<br />

2001/050 –Contrat signé avec La Compagnie DARU pour l’organisation d’un spectacle<br />

intitulé « Alexandre, le singe et le crocodile » le 05 mars 2002 au Théâtre Silvia Monfort,<br />

au prix de 12 641.50 francs pour le spectacle et 2 802.02 francs pour les frais<br />

de transport et d’hébergement faisant l’objet d’un avenant n°1.<br />

2001/051 -Contrat signé avec SOS Artistes pour l’organisation d’un spectacle intitulé<br />

« Grands pas Classiques » le 23 mars 2002 au Théâtre Silvia Monfort au prix de 31 650 francs.<br />

2001/052 –Contrat signé avec l’Association Arts Impact pour l’organisation d’un concert<br />

de l’Orchestre de Jazz d’Ile-de-France le 13 octobre 2001 au Théâtre<br />

Silvia Monfort au prix de 35 000 francs.<br />

2001/053 –Contrat signé avec SODAL Sécurité pour la maintenance de la porte du parking<br />

souterrain de la mairie et pour la gestion des portes d’accès aux bâtiments<br />

municipaux ( mairie-annexe et ateliers) pour une durée de 1 an,<br />

à compter du 1 er mai 2001, au prix de 10 888.88 francs.<br />

M. BALDASSARI demande que les prix soient précisés en HT ou TTC et que ceux qui concerneront 2002<br />

soient déjà portés en EUROS.<br />

Concernant le budget du Théâtre, M. BALDASSARI souhaite un point et en particulier, sur le budget de la<br />

soirée du Cirque de Moscou dans le gymnase L . Terray. Mme CAYRAC enregistre la demande et indique<br />

qu’une commission Culture sera réunie à cet effet à la rentrée.<br />

M. GAGNE indique que le Cirque de Moscou a coûté 416 000 francs sans compter les réparations du<br />

parquet du gymnase abîmé en cette circonstance. M. HUYET précise que la ville avait <strong>sous</strong>crit une assurance<br />

à cet effet.<br />

Décision N°048, M. TAILLEZ souhaite savoir combien d’enfants sont concernés par ce séjour dans la<br />

Sarthe.<br />

Décision N°044, Mme BECRET souhaite connaître précisément les objectifs de l’Audit et sa durée.<br />

A propos de l’Audit financier, M. le Maire suspend la séance du Conseil et demande à KPMG de présenter<br />

les premiers éléments de l’analyse financière. Cette présentation n’a pas été suivie de débat et fera l’objet<br />

d’un rapport écrit non repris dans le présent compte rendu.<br />

III – VOTE DU COMPTE ADMINISTRATIF 2000 DE LA COMMUNE.<br />

M. DAMBRINE présente le Compte Administratif de l’année 2000.<br />

Les comptes ont été arrêtés avec le Percepteur et les résultats du Compte Administratif présenté par le Maire<br />

sont en tout points identiques au Compte de Gestion dressé par le Percepteur.<br />

RESULTATS :<br />

Section d'Investissement<br />

Prévisions<br />

2000<br />

Réalisations 2000 Restes à Réaliser 2000<br />

DEPENSES 147 247 205.46 42 058 357.48 7 580 151.16<br />

RECETTES 147 247 205.46 42 124 198.15 2 196 714.00<br />

SOLDE : + 65 840.67 - 5 383 437.16<br />

2


Section de Fonctionnement<br />

DEPENSES<br />

RECETTES<br />

Prévisions 2000 Réalisations et<br />

rattachements 2000<br />

90 473 094.74 78 126 303.71<br />

90 473 094.74 91 206 730.33<br />

SOLDE<br />

+ 13 080 426.62<br />

SECTION D'INVESTISSEMENT<br />

Elle fait apparaître un résultat excédentaire, ce qui est inhabituel.<br />

En effet, conformément à l'Instruction comptable M14, l'autofinancement de la Section d'Investissement<br />

prévu n'étant jamais réalisé pendant l'exercice même, mais l'année N+1, le solde est normalement déficitaire<br />

et doit être comblé par son report en année N+1 et financé par le résultat excédentaire de la section de<br />

fonctionnement.<br />

L'exercice 2000 ayant bénéficié en recettes d'un excédent 1999 de 10 207 648.98 F, alors qu'en contrepartie<br />

les dépenses liées aux opérations prévues n'ont pas été réalisées, tels que :<br />

travaux du bâtiment de la Plante au Flamands : 2.344 KF<br />

construction du centre Planète Jeunes : 3.293 KF<br />

construction Centre Social : 2.079 KF<br />

réhabilitation du Stade : 2.875 KF<br />

les mouvements budgétaires se traduisent par un excédent de 65 840. 67 F<br />

Les Restes à Réaliser 2000 (engagements non réalisés au 31/12/2000) en recettes et en dépenses ont été<br />

réinscrits au Budget Primitif 2001, pour un solde négatif de 5 383 437.16 F à prélever sur l'excédent 2000 de<br />

la section de fonctionnement.<br />

Le montant du remboursement de la dette en capital s'élève à 7 391 707 F<br />

Les nouveaux emprunts <strong>sous</strong>crits s'élèvent à 7 651 269 F<br />

L'écart important entre le montant prévisionnel et le montant réalisé s'explique également par le compte 166<br />

"Refinancement de la dette" dont la différence entre le crédit prévu et le montant réalisé est dû uniquement<br />

au fait que la plus importante partie de la dette a été refinancée par le prêteur initial et que dans ce cas la<br />

transaction est non budgétaire, car sans mouvement de fonds.<br />

SECTION DE FONCTIONNEMENT<br />

Le résultat de la Section de Fonctionnement fait apparaître un excédent de 13 080 426.62 F<br />

Cet excédent comporte cependant certaines charges de l'exercice 2000, non réalisées pour des raisons<br />

techniques et administratives, notamment l'absence de vote de Décisions Modificatives et de Délibérations,<br />

en raison des difficultés dans l'équipe municipale,<br />

Il s'agit entre autres de :<br />

- la participation dans le déficit de la ZAC Centre Ville : 1 000 000 F<br />

- les intérêts de la dette en raison du réaménagement: 2 300 000 F<br />

- les honoraires du cabinet chargé de la renégociation de la dette : 235 000 F<br />

Ces dépenses constituent des charges reportées au budget 2001.<br />

M. BALDASSARI note qu’il y a un écart entre les subventions votées et les subventions versées.<br />

Par ailleurs, il souhaite également que sur la liste des postes créés pour le personnel soit précisé si les postes<br />

sont vacants ou pourvus.<br />

M. HUYET revient sur l’excédent de 13 millions de francs qu’il laisse à ses successeurs en fin de mandat. Il<br />

s’agit pour lui d’un excellent résultat.<br />

3


Mme BECRET regrette qu’il n’y ait pas eu de commission des finances pour solliciter des détails sur ce<br />

compte.<br />

M. DAMBRINE indique que le Percepteur a fourni son compte de gestion au dernier moment et qu’il ne<br />

s’agit pas de voter un quitus à l’ancienne municipalité.<br />

M. BALDASSARI propose que tous ceux qui n’étaient pas élus avant 2001 ne prennent pas part au vote.<br />

Mme BECRET et M. TAILLEZ s’abstiendront mais précisent que, dès le 18 avril 2000, ayant perdu leurs<br />

délégations, ils n’ont plus participé à la gestion de la ville.<br />

M. le Maire reprend la proposition de M. BALDASSARI et met le Compte Administratif aux voix.<br />

M. HUYET ainsi que tout son groupe refuse de voter dans ces conditions.<br />

Pour que le Compte Administratif soit approuvé, MRS. DAMBRINE et DEGRYSE proposent de voter<br />

POUR. Le Compte Administratif est soumis à nouveau au vote.<br />

Le Compte Administratif 2000 de la ville est approuvé par 2 voix POUR de MRS. DAMBRINE et<br />

DEGRYSE, 4 Abstentions de M. DUBEAUX, M. AUBRY, Mme BECRET et M. TAILLEZ. Les autres<br />

ne prennent pas part au vote.<br />

IV – APPROBATION DU COMPTE DE GESTION 2000 ETABLI PAR LE PERCEPTEUR.<br />

Le Compte de Gestion 2000 de la commune en tout point identique au compte administratif 2000 est<br />

approuvé, à l’unanimité.<br />

V – AFFECTATION DU RESULTAT 2000.<br />

M. DAMBRINE rappelle l’excédent de fonctionnement à affecter de 13 080 426.62 F.<br />

Une reprise anticipée ayant été votée au Budget Primitif 2001, il convient de délibérer sur l'affectation<br />

définitive du résultat 2000, qui est proposée comme suit :<br />

Section d'Investissement : compte 1068 : 8 644 932.29 F<br />

Section de Fonctionnement : compte 002 : 4 435 494.33 F<br />

13 080 426.62 F<br />

L’affectation proposée est approuvée, à la majorité, moins 5 abstentions de M. BALDASSARI, Mme<br />

LEMAITRE, Mme BECRET, M. TAILLEZ, M. TRONCHET.<br />

VI – DECISION MODIFICATIVE N°1 – BUDGET DE LA COMMUNE.<br />

M. DAMBRINE rappelle que le Compte Administratif 2000 et le Compte de Gestion 2000 font apparaître le<br />

résultat suivant :<br />

- section d'investissement : excédent de 65 840,67 F<br />

- section de fonctionnement : excédent de 13 080 426,62 F<br />

VU l'affectation de ce résultat 2000 au Budget 2001,<br />

Considérant que conformément à la nomenclature M14, seul le résultat de la section de fonctionnement doit<br />

faire l'objet d'une affectation au budget de l'exercice comptable suivant, le résultat de la section<br />

d'investissement devant faire l'objet d'un report pur et simple;<br />

Considérant que, comme l'Instruction comptable l'autorise, une reprise anticipée du résultat 2000 au Budget<br />

Primitif 2001 a été votée pour un montant de 13 144 932.29 F, conformément au certificat délivré par le<br />

comptable;<br />

Considérant que ce montant étant différent du résultat définitif, la différence, soit 64 505.67 F en moins en<br />

section de Fonctionnement et 0.67 F en plus en Section d'Investissement, il convient de régulariser ces<br />

écritures par une Décision Modificative s'établissant comme suit :<br />

DEPENSES RECETTES<br />

Section d'Investissement<br />

compte 001 / Excédent reporté 0.67<br />

compte 165 : Dépôts 0.67<br />

TOTAL : 0.67 0.67<br />

Section de Fonctionnement<br />

compte 002 : Excédent reporté - 64 505.67<br />

4


compte 673 : Titres annulés - 64 505.67<br />

TOTAL - 64 505.67 - 64 505.67<br />

La Décision Modificative N°1 est approuvée à la majorité, moins 3 abstentions M. BALDASSARI,<br />

Mme LEMAITRE, M. TRONCHET.<br />

VII – COMPTE ADMINISTRATIF 2000 DU SERVICE DE L’ASSAINISSEMENT.<br />

M. DAMBRINE indique que le Compte Administratif du Service de l'Assainissement 2000 est excédentaire<br />

depuis plusieurs exercices; ces excédents sont constitués par des amortissements obligatoires, et cumulés, du<br />

réseau d'eaux usées sur lequel il n'y a pas eu de travaux importants d'effectués jusqu'en 2000. Actuellement<br />

plusieurs opérations sont en cours et d'autres à l'étude.<br />

le résultat du compte administratif 2000 est le suivant :<br />

- section d'investissement :excédent de 1 430 586.69 F<br />

- section d'exploitation : excédent de 3 067 104.20 F<br />

Le Compte Administratif 2000 du Budget de l'Assainissement est approuvé, à la majorité, moins 2<br />

abstentions de Mme BECRET et de M. TAILLEZ. M. BALDASSARI, Mme LEMAITRE et M.<br />

TRONCHET ne prennent pas part au vote.<br />

VIII – COMPTE DE GESTION 2000 DU SERVICE DE L’ASSAINISSEMENT.<br />

Le Compte de Gestion 2000 du service de l’Assainissement établi par le Percepteur en tout point identique<br />

au Compte Administratif est approuvé, à l’unanimité.<br />

IX – AFFECTATION DU RESULTAT 2000 – BUDGET DU SERVICE DE L’ASSAINISSEMENT.<br />

Considérant que conformément à la nomenclature M49 applicable au Budget de l'Assainissement, seul le<br />

résultat de la section d'exploitation doit faire l'objet d'une affectation au budget de l'exercice comptable<br />

suivant, le résultat de la section d'investissement devant faire l'objet d'un report pur et simple;<br />

Considérant que les crédits prévus au Budget Primitif en section d'exploitation ne nécessitent pas<br />

d'inscription budgétaire supplémentaire,<br />

Il est proposé au Conseil Municipal d'affecter l'excédent de l'exercice 2000, soit le montant de<br />

3 067 104.20 F, au financement des travaux d'investissement du réseau Eaux Usées au budget de l'exercice<br />

2001.<br />

Pour mémoire M. DAMBRINE précise que seuls les travaux du réseau Eaux Usées peuvent être pris en<br />

charge par ce budget, les travaux du réseau Eaux Pluviales étant à la charge du Budget Principal de la<br />

commune.<br />

L’affectation proposée est approuvée, à la majorité, moins 5 abstentions de M. BALDASSARI, Mme<br />

LEMAITRE, Mme BECRET, M. TAILLEZ, M. TRONCHET.<br />

X – SERVICE DE L’ASSAINISSEMENT : DECISION MODIFICATIVE N°1 AU BUDGET DE<br />

L’EXERCICE 2001.<br />

VU la décision d'affectation du résultat 2000 définie précédemment ;<br />

considérant qu'il n'a pas pu être procédé à une reprise anticipée de ce résultat, ni au report des Restes à<br />

Réaliser (R.A.R.) au Budget Primitif 2001, il convient de régulariser ces écritures par une Décision<br />

Modificative n° 1 s'établissant comme suit :<br />

Section Investissement DEPENSES RECETTES<br />

compte 001 : excédent reporté 1 430 586.69<br />

compte 10682 : réserves 3 067 104.20<br />

compte 1318 : R.A.R. 2000 1 167 865.00<br />

compte 2315 : R.A.R. 2000 1 255 056.75<br />

compte 2315 : travaux 4 410 499.14<br />

TOTAUX : 5 665 555.89 5 665 555.89<br />

L'alimentation en crédits du compte 2315 provisionne les projets de travaux en cours d'étude.<br />

5


La Décision Modificative N°1 est approuvée, à la majorité, moins 5 abstentions de M. BALDASSARI,<br />

Mme LEMAITRE, Mme BECRET, M. TAILLEZ, M. TRONCHET.<br />

XI – CONSTATS DE CONVERSIONS A SIGNER AVEC DEXIA –CREDIT LOCAL DE France.<br />

DEXIA-C.L.F propose à la commune un projet de constat de conversion précisant les modalités de passage à<br />

l’EURO. Il s’agit de préciser le traitement d’opérations de conversion relativement lourdes et notamment les<br />

tableaux d’amortissement des contrats d’emprunts en cours.<br />

Le constat global de conversion précise le contexte, la méthode et le calendrier de la conversion.<br />

Mme BECRET demande si cela génère un coût ; la réponse de M. DAMBRINE est non.<br />

Le projet de constat global de conversion proposé par DEXIA-C.L.F est approuvé à l’unanimité.<br />

XII – FONDS SCOLAIRE 2001 – DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL GENERAL.<br />

M. DEGRYSE indique que le Conseil Général accorde au titre du Fonds Scolaire une subvention pour la<br />

réalisation de travaux de réparations, d’entretien ou de sécurité des bâtiments scolaires.<br />

Le taux de l’aide est de 35% du coût prévisionnel HT des travaux mais dans la limite d’un plafond annuel de<br />

50 francs par élèves du 1 er degré, soit pour la commune de <strong>Saint</strong>-<strong>Brice</strong> : 50 francs X 1548 élèves = 77 400<br />

francs.<br />

Il est demandé au Conseil Municipal de solliciter la subvention pour les travaux suivants :<br />

- Création d’un local poubelles à l’Ecole Jules Ferry : 101 520 F HT<br />

- Mise en sécurité de l’escalier et des 2 auvents de<br />

l’Ecole Maternelle Léon Rouvrais : 133 500 F HT, soit un total de 235 020 F HT.<br />

Le demande de subvention au Conseil Général est acceptée, à l’unanimité.<br />

XIII – MODIFICATION DE LA LISTE DES MEMBRES DU COMITE TECHNIQUE PARITAIRE.<br />

M. DEGRYSE informe que lors de sa séance du 26 avril 2001, le Conseil Municipal avait fixé les membres<br />

du Comité Technique Paritaire au nombre de 6 et les avait désignés.<br />

Cependant, un nouveau décret de janvier 2001 modifiant les dispositions portant sur le nombre de<br />

représentants n’avait pas été pris en compte. Désormais, pour les villes de moins de 350 agents, (comme<br />

c’est le cas pour <strong>Saint</strong>-<strong>Brice</strong>), le nombre maximum de membres est de 5 pour les représentants du personnel<br />

et de 5 pour les représentants des élus.<br />

Il y a donc lieu d’annuler la délibération du 26 avril et de redélibérer sur la question.<br />

Il est demandé au Conseil Municipal :<br />

de fixer à 5 le nombre des membres du CTP – (5 membres représentants le Conseil Municipal<br />

et 5 membres élus par le personnel).<br />

de préciser qu’il est décidé d’étendre la compétence du CTP aux agents du CCAS.<br />

de désigner les membres du CTP représentant le Conseil Municipal ainsi qu’il suit :<br />

- 4 membres titulaires représentant la majorité municipale : les mêmes :M. LORAND, M. DEGRYSE,<br />

Mme LAURENT, M. REY-BROT.<br />

- 4 membres suppléants représentant la majorité municipale : les mêmes : M. GAGNE, M.SALFATI,<br />

Mme SALFATI. N, Mme FRENOT.<br />

- 1 membre titulaire représentant l’opposition et 1 membre suppléant représentant l’opposition.<br />

M. BALDASSARI présente sa candidature au poste de délégué titulaire et Mme BECRET au poste de<br />

délégué suppléant. Il n’y a pas d’autres candidats.<br />

6


Les deux personnes proposées ont été élues, à la majorité, moins 4 voix CONTRE de M. HUYET,<br />

Mme CHALARD, M. LARCHER et Mme SERGENT.<br />

XIV – PERSONNEL : CREATIONS ET TRANSFORMATION DE POSTES.<br />

1. Créations :<br />

M. DAMBRINE propose de créer des postes pour assurer les entrées et les sorties d’écoles en lieu et place<br />

des agents de police municipale ; ceci dans le souci de renforcer la lutte contre l’insécurité et de recentrer les<br />

forces de police municipale sur des actions de prévention, de sécurité et de maintien de la tranquillité et du<br />

bon ordre public.<br />

Le temps nécessaire aux entrées et sorties d’écoles (7h30 hebdomadaires) étant souvent un obstacle au<br />

recrutement, il serait préférable de s’orienter vers des postes à temps non complet à raison d’une durée<br />

hebdomadaire de 17h30 ; ce qui permettra, à la fois, de rendre les offres plus attractives et de donner un peu<br />

de souplesse aux services gestionnaires lorsqu’il faut assurer des surveillances cantines, des services de<br />

nettoyage ou de gardiennage.<br />

Il est donc demandé au Conseil Municipal de créer 4 postes d’Agent d’Entretien à temps non complet à<br />

raison d’une durée hebdomadaire de 17h30 chacun à compter de la rentrée scolaire 2001/2002 qui seront<br />

financés en 2001 par les économies réalisées sur les postes non pourvus.<br />

M. TAILLEZ regrette que les agents de Police ne fassent plus aucune sortie et souhaite des précisions à ce<br />

sujet. M. BALDASSARI souhaite que les surveillances des cantines soient réalisées par du personnel<br />

qualifié.<br />

M. le Maire indique que la sécurité est la première priorité de la nouvelle équipe municipale. La police<br />

municipale continuera à faire la surveillance du Collège. Il souhaite le redéploiement de la police municipale<br />

vers des missions plus importantes. Par ailleurs, la police municipale patrouillera sur les différents points de<br />

sorties d’écoles pour surveiller.<br />

M. HUYET pense que la présence de policiers en tenue était importante surtout devant le Groupe Scolaire de<br />

la Plante aux Flamands qui compte 4 écoles. Par ailleurs, il souhaite que ce point soit soumis à l’avis du<br />

Comité Technique Paritaire.<br />

M. BALDASSARI souhaite que le personnel, pouvant effectuer 17h30 par semaine, ait un emploi du temps<br />

préétabli et non appelé au dernier moment à la convenance de la commune.<br />

La création des 4 postes d’agent d’entretien à temps non complet (17h30 hebdomadaire) a été<br />

approuvée, à l’unanimité.<br />

2. Transformation de poste :<br />

M. DAMBRINE indique que le poste de Responsable des Services Techniques est vacant depuis le 1er mars<br />

2001 et qu’il est nécessaire de recruter son successeur dans le cadre d’emplois des Ingénieurs.<br />

Le grade étant inférieur à celui occupé précédemment, il n’y aura donc pas d’incidence financière. De plus,<br />

ce cadre aura en charge la Direction des Services Techniques et de l’Urbanisme.<br />

Il est donc proposé au conseil municipal de transformer le poste de Responsable des Services Techniques<br />

contractuel en un poste d’Ingénieur Subdivisionnaire.<br />

Mme BECRET s’interroge sur l’opportunité de regrouper, les 2 postes de responsables des Services<br />

Techniques et du Service Urbanisme ; ces deux secteurs tout particulièrement lourds, devant traiter des<br />

dossiers importants comme la mise en œuvre du Contrat régional et mener la procédure de transformation du<br />

Plan d’Occupation des Sols en Plan Local d’Urbanisme.<br />

M. RENAUD indique qu’il s’agit d’assurer un fonctionnement plus homogène des deux services qui sont,<br />

sur de nombreux dossiers, complémentaires.<br />

La transformation de poste est approuvée, à la majorité, moins 4 abstentions de M. HUYET, Mme<br />

CHALARD, M. LARCHER et Mme SERGENT.<br />

7


XV - RECRUTEMENT DES AGENTS DE POLICE MUNICIPALE – MOTION<br />

M. Le Maire souhaite mettre au vote du Conseil une motion visant à réclamer au Ministre de l’Intérieur<br />

l’organisation de concours de gardiens de police afin de pourvoir aux 200 postes nécessaires à la sécurité<br />

publique du territoire de la Région. Il s’agit de difficultés de recrutement rencontrées par l’ensemble des<br />

Collectivités locales de la Région.<br />

Mme LEMAITRE indique son accord sur le principe mais son groupe veut connaître le texte exact de la<br />

motion avant le vote.<br />

Mme BECRET souhaite que 2 motions soient présentées : celle proposée par le Maire et une autre<br />

demandant au Ministre de pourvoir en matériel et en moyens son propre personnel afin que celui-ci puisse<br />

travailler correctement. Un texte sera proposé par Mme BECRET.<br />

Ce point sera réexaminé en septembre.<br />

XVI - AVENANT N°12 AU CONTRAT DE CONCESSION SOGERES<br />

M. DEGRYSE indique que le contrat de concession pour la restauration scolaire signé avec la SOGERES<br />

vient à expiration le 31 août 2001. L’appel d’offres n’ayant pas été mené en son temps, il y a lieu de<br />

prolonger le contrat du 1 er septembre 2001 au 31 décembre 2001.<br />

M. BALDASSARI ne pense pas opportun de renouveler le contrat un 1 er janvier surtout s’il s’agit d’un<br />

changement de concessionnaire ; le mieux aurait été de redémarrer avec un nouveau concessionnaire en<br />

début d’année scolaire, en septembre. Il propose de le prolonger de un an et de redémarrer avec un nouveau<br />

contrat en septembre 2002.<br />

Mme CHALARD précise que l’ancienne municipalité était consciente de ce problème mais qu’elle n’a pas<br />

souhaité mener un appel d’offres pendant la période de la campagne électorale.<br />

M. DEGRYSE indique qu’il n’y a aucun problème à changer un 1 er janvier, un changement de<br />

concessionnaire peut se faire d’un jour à l’autre car en général le personnel est repris par le nouveau<br />

concessionnaire.<br />

L’avenant N°12 mis aux voix, a été approuvé, à la majorité, moins 5 abstentions de M. BALDASSARI,<br />

Mme LEMAITRE, Mme BECRET, M. TAILLEZ, M. TRONCHET.<br />

XVII - PARTICIPATION DES COMMUNES AUX CHARGES DE FONCTIONNEMENT DES<br />

ECOLES PUBLIQUES<br />

Vu la loi n°83-663 du 22 juillet 1983 et notamment son article 23 prévoyant la répartition intercommunale<br />

des charges de fonctionnement des écoles publiques,<br />

Vu la proposition de l’Union des Maires du Val d’Oise, en date du 14 mai 2001 fixant le montant de la<br />

participation pour l’année scolaire 2001/2002 à :<br />

Ecole élémentaire : 2 330,00 Frs<br />

Ecole Maternelle : 3 389,00 Frs<br />

M. DEGRYSE demande au Conseil Municipal d’adopter les tarifs proposés par l’Union des Maires et<br />

d’appliquer la gratuité réciproque pour les enfants du personnel communal et enseignants du 1 er degré.<br />

Cette proposition est adoptée à l’unanimité.<br />

XVIII - CHARGES DE FONCTIONNEMENT DES ECOLES PUBLIQUES : ACCORD DE<br />

RECIPROCITE AVEC LA VILLE DE GROSLAY<br />

Afin de régulariser l’accord tacite qui existe entre les villes de <strong>Saint</strong>-<strong>Brice</strong>-Sous-<strong>Forêt</strong> et Groslay, M<br />

DEGRYSE propose que les deux communes s’accordent pour signer un accord de réciprocité compte tenu du<br />

nombre à peu près équivalent d’enfants de Groslay à <strong>Saint</strong>-<strong>Brice</strong> et réciproquement (sauf classe CLIN) ; 5 ou<br />

6 enfants sont concernés chaque année.<br />

Le Conseil Municipal, à l’unanimité, autorise le maire à signer la convention de réciprocité.<br />

XIX COMPLEMENT DE CREDITS SCOLAIRES A L’ECOLE JULES FERRY - PROJET<br />

« DANSE DANS LA VILLE »<br />

8


L’école Jules Ferry a déposé un projet intitulé « Danse la ville » s’inscrivant dans la continuité de celui de<br />

l’an passé « Parade de l’an 2000 ». Cette action a concerné 9 classes des écoles Jules FERRY et Antoine de<br />

<strong>Saint</strong>-EXUPERY.<br />

Les principaux objectifs, à travers une pratique culturelle et sportive de la danse, étaient l’ouverture de<br />

l’école sur la vie de la cité et l’amélioration des résultats scolaires, la connaissance du patrimoine de la ville,<br />

la mise en place d’un système d’évaluation personnelle et l’optimisation d’un soutien individualisé et<br />

diversifié.<br />

La participation de deux intervenants spécialisés en Danse Contemporaine a été nécessaire et a permis un<br />

travail de proximité avec les enfants.<br />

Budget de cette action :<br />

- Dépenses : 43400 F<br />

- Recettes : 13 400 F provenant d’une subvention AAEI et d’un reliquat sur projet 2000.<br />

M. DEGRYSE propose de verser un complément de crédits scolaires à l’Ecole Jules FERRY d’un montant<br />

de 30 000 F.<br />

M. BALDASSARI remarque que l’action a déjà été menée alors que la demande de subvention n’a pas été<br />

faite au préalable. Il souhaite que ce soit une exception et que tout nouveau projet soit présenté pour un<br />

subventionnement avant sa mise en œuvre.<br />

Un complément de crédits de 30 000 Francs a été accordé à l’Ecole Jules FERRY, à l’unanimité.<br />

XX - REPARTITION DES CREDITS SCOLAIRES<br />

M. DEGRYSE indique qu’à la rentrée scolaire de l’année 2001-2002, une enseignante supplémentaire<br />

rejoindra le RASED ( Réseau d’Aide et de Soutien aux Enfants en Difficulté) au sein de l’école <strong>Saint</strong><br />

Exupéry afin de soutenir les enfants en difficultés scolaires. Deux maîtres « E » sont déjà en place et<br />

bénéficient d’un budget de 7 500 Frs attribué par le Conseil Municipal du 12 avril 2001.<br />

Il est demandé d’autoriser le versement de la somme de 3000 Frs à l’association de gestion des crédits<br />

scolaires de l’école <strong>Saint</strong> Exupéry en vu de cette création de poste.<br />

Cette somme s’imputera sur les crédits inscrits au budget 2001.<br />

Cette proposition est acceptée, à l’unanimité.<br />

XXI - PARTICIPATIONS COMMUNALES AUX SEJOURS EXTRA SCOLAIRES<br />

M. JEAN –NOEL indique qu’en complément des participations déjà versées conformément à la délibération<br />

du conseil municipal du 12 avril 2001, il est demandé au conseil municipal d’accorder, d’une part, à l’école<br />

Charles Perrault pour un séjour extra-scolaire la participation à verser en complément de ce qui a été accordé<br />

le 12 avril 2001 : Séjour du 30 avril au 4 mai 2001 (Compensation tarifs dégressifs) la somme de 212.50 Frs<br />

et d’autre part, de rectifier la participation à l’école Antoine de <strong>Saint</strong> Exupéry, suite à de nouveaux éléments :<br />

Séjour du 11 au 12 <strong>juin</strong> 2001<br />

131 enfants X 2 jours X 100 Frs 26 200.00 Frs<br />

+ compensation tarifs dégressifs 3 332.50 Frs<br />

+ compensation 60 Frs (sortie extra scolaire) X 240 élèves 14 400.00 Frs<br />

43 932.50 Frs<br />

soit d’accorder une participation supplémentaire de 12 460.00 Frs<br />

(31 472.50 voté en avril 2001).<br />

L’explication sur le supplément accordé à l’Ecole <strong>Saint</strong>-Exupéry n’étant pas donnée, ce point sera représenté<br />

en septembre.<br />

A l’unanimité, les 212.50 F supplémentaires sont accordés à l’Ecole C. Perrault.<br />

XXII - ANNULATION D’UN TITRE DE RECETTE – ANNEE 1996.<br />

Il est demandé d’annuler un titre de recettes en faveur de M. DALPHRASE ; titre émis à tort par la<br />

bibliothèque. Il s’agit du titre de recette n° 1996- 670/1 d’un montant de 238 francs.<br />

Cette proposition est acceptée, à la majorité ; Mme DALPHRASE n’ayant pas pris part au vote.<br />

9


XXIII - SIAH- BUDGET 2001 – VENTILATION DES CENTIMES SYNDICAUX.<br />

Conformément à l’article L.5212-20 du Code Général des Collectivités Territoriales, les communes<br />

adhérentes au Syndicat doivent approuver la répartition des centimes syndicaux pour chaque commune tel<br />

que le Comité Syndical les a adoptés lors de sa séance du 21 février dernier.<br />

M. BALDASSARI rappelle que lorsque la décision a été prise que le SIAH prélève des centimes syndicaux<br />

(impôts locaux intercommunaux) et non plus que la ville verse une participation au SIAH, celle-ci avait<br />

décidé de baisser d’autant ses impôts. Il demande que cela soit vérifié.<br />

A la remarque que la ville de Sarcelles participe à la même hauteur que <strong>Saint</strong>-<strong>Brice</strong>, M. HUYET précise que<br />

la ville de Sarcelles participe à deux syndicats puisqu’elle est sur deux versants et que les centimes<br />

syndicaux sont répartis au prorata du nombre d’habitants concernés par les interventions du SIAH.<br />

La répartition des centimes syndicaux est approuvée, à l’unanimité.<br />

XXIV - FONDS D’ACTION FONCIERE – ZAC DU CENTRE VILLE<br />

M. RENAUD informe que le Conseil Général a versé à la SEMAVO, qui intervient pour le compte de la<br />

commune de <strong>Saint</strong>-<strong>Brice</strong>-Sous-<strong>Forêt</strong>, une avance de 432 000 francs au titre de l’avance ordinaire de la<br />

tranche exceptionnelle en application de la délibération du Conseil Général du 26 avril 1996, pour la ZAC du<br />

Centre Ville.<br />

La commune a sollicité, compte tenu de la modification du plan d’aménagement de zone de la ZAC<br />

ralentissant sa commercialisation, le bénéfice de la prorogation qui est rendue possible par l’article 3 de la<br />

convention.<br />

La délibération du Conseil Général du 22 décembre 2000 a accepté la prorogation de deux ans de la durée du<br />

remboursement de l’avance de 432 000 francs.<br />

Il est demandé au Conseil Municipal d’approuver cette prorogation et d’autoriser le Maire à signer l’avenant<br />

à la convention du <strong>28</strong> mai 1997.<br />

A la demande de M. BALDASSARI, M. RENAUD indique qu’il s’agit bien d’une avance remboursable<br />

(portage foncier) et qu’à la fin de la prorogation de 2 ans une nouvelle demande de prorogation sera<br />

sollicitée, le cas échéant.<br />

L’avenant à la convention est approuvé, à l’unanimité.<br />

XXV - GARANTIE D’EMPRUNT POUR 78 LOGEMENTS DE LA RESIDENCE « LE VILLAGE »<br />

M. DAMBRINE expose que dans le cadre du rachat de la résidence « Le Village » par la société les 3 F,<br />

celle-ci souhaite réaliser une opération d’Acquisition Amélioration, portant sur 78 logements PLUS (Prêt<br />

Locatif à Usage Social). Ces prêts seront <strong>sous</strong>crits auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. Pour ce<br />

faire, la société les 3 F sollicite une garantie à hauteur de 100 % des emprunts d’un montant global de<br />

31.750.987 F nécessaires à l’opération : acquisition et travaux d’amélioration.<br />

En contrepartie de la garantie accordée, la Commune bénéficiera d’un quota de réservation de 20 % de<br />

logements, soit 16 logements. La Caisse des Dépôts et Consignations a donné un avis favorable sur ce<br />

dossier.<br />

Il est demandé au Conseil Municipal de garantir à hauteur de 100 % les emprunts nécessaires à l’opération<br />

d’Acquisition-Amélioration de 78 logements par la Société les 3 F, résidence Le Village et d’autoriser le<br />

Maire à signer la convention, portant sur cette demande.<br />

M. TRONCHET est surpris par le petit nombre de logements (16) composant le contingent communal et<br />

pense qu’il aurait fallu négocier un pourcentage supplémentaire avec la Société en faisant référence au<br />

programme de la Plante aux Flamands à sa création.<br />

M. RENAUD explique qu’il n’y a que les prêts PLUS concernant 78 logements sur les 272 qui sont à<br />

garantir par la commune et génèrent un contingent communal d’attribution.<br />

Sur l’ensemble du programme, la Préfecture aura un contingent d’attribution de 30%.<br />

Mme BECRET souhaite que ces nouveaux logements permettent l’accès à un logement aux jeunes de la<br />

ville.<br />

M. TRONCHET souhaite qu’une commission d’attribution de logements soit constituée sur la ville. Mme<br />

NEDELLEC y est favorable.<br />

La demande de garantie d’emprunt présentée par l’Immobilière 3 F est approuvée, à l’unanimité.<br />

XXVI – MODIFICATION DU PLAN D’OCCUPATION DES SOLS<br />

10


M. RENAUD propose de poursuivre la procédure de modification du POS engagée par l’ancienne<br />

municipalité en mai 2000.<br />

En juillet 2000, le Commissaire enquêteur avait, suite à l’enquête publique, émis un avis défavorable.<br />

Cependant, M. RENAUD propose de relancer la procédure sur 3 points particuliers qui avaient fait l’objet<br />

d’un avis favorable.<br />

1. Dans la zone d’activités des Perruches au nord de la rue Jean MONNET, il est proposé de transformer<br />

cette zone UI en zone UIa ; ce secteur, de fait, comportant des activités de nature commerciale.<br />

2. Pour permettre l’installation de commerces dans la zone des anciennes entreprises S. JOYEUX,<br />

MONTREUIL OFFSET et LISTA – rue G. EIFFEL, il est proposé également de transformer cette zone<br />

UI en zone UIa.<br />

3. Il est proposé de modifier l’intitulé de la zone UA afin de permettre éventuellement d’avoir une<br />

alternative à la création d’une ZAC. L’article 8-1 des règlements de la zone UA indique : « Zone à<br />

caractère d’habitat de services et d’activités où les bâtiments sont construits en ordre continu….. » Il est<br />

proposé de le modifier de la façon suivante : « ….les bâtiments peuvent être construits en ordre<br />

discontinu » Il est bien entendu que l’application de cette disposition restera soumise à l’avis de<br />

l’Architecte des Bâtiments de France.<br />

Normalement, il est prévu dans le cadre de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbain du 13<br />

décembre 2000 (loi SRU) de créer notamment le plan local d’urbanisme (PLU) en remplacement du POS. Le<br />

législateur n’a pas prévu le cas des POS en cours de modification. Dans ce cas, toute modification de POS en<br />

cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi devra respecter les dispositions de l’article L.123-13 du<br />

Code de l’Urbanisme.<br />

M. RENAUD propose dans l’intérêt de la commune de continuer cette procédure de modification de POS,<br />

sur les points favorables du Commissaire Enquêteur et l’extension proposée.<br />

Il est nécessaire de refaire une délibération du Conseil Municipal afin de relancer une procédure de<br />

modification de POS demandant au président du tribunal administratif de nommer un Commissaire<br />

Enquêteur.<br />

M. BALDASSARI n’est pas d’accord pour que les zones industrielles UI se transforment en zone UIa pour<br />

éviter le tout commerce. Cette transformation est pour lui la fin de la zone industrielle, il demande plutôt de<br />

prendre des mesures pour la sauver.<br />

Mme BECRET n’est pas d’accord non plus, la zone commerciale pouvant s’agrandir sans cesse et créer des<br />

effets pervers à cette concentration comme l’afflux de circulation.<br />

M. GUIOT et M. RENAUD disent qu’il ne s’agit pas d’exclure l’industrie mais qu’il faut être réaliste et<br />

accepter ce qui est possible. Une action de requalification de la zone industrielle va être entreprise avec la<br />

Chambre des commerces et le Conseil Général.<br />

M. HUYET pense que la situation de la zone industrielle est très fragile, qu’elle compte beaucoup de friches<br />

qui cherchent preneurs, en vain actuellement.<br />

M. RENAUD dit être très conscient du problème et qu’ils seront particulièrement attentifs pour préserver ce<br />

site. Il propose d’engager la procédure pour relancer une enquête publique.<br />

La proposition est acceptée, à la majorité, moins 5 abstentions de M. BALDASSARI, Mme<br />

LEMAITRE, Mme BECRET, M. TAILLEZ, M. TRONCHET.<br />

XXVII – MISE EN ŒUVRE DU PLAN LOCAL D’URBANISME<br />

M. RENAUD indique que comme cela est prévu dans la nouvelle loi SRU, il s’agit pour le Conseil<br />

Municipal de prescrire la révision du POS qui vaudra élaboration d’un P.L.U. Pour cela, il y a lieu d’exposer<br />

les objectifs qui motivent la mise en œuvre de l’élaboration du P.L.U, de définir les modalités de<br />

concertation du P.L.U (L 300-2) et de demander au Préfet de nommer les services de l’Etat qu’il souhaite<br />

voir associés à la procédure (L 123-7).<br />

Il est demandé au Conseil Municipal d’approuver les objectifs suivants qui ont motivé la mise en œuvre de la<br />

procédure d’élaboration du P.L.U et qui sont notamment :<br />

- Requalifier et redynamiser le centre ville et le quartier de la gare, en revitalisant le commerce de<br />

proximité, en améliorant les conditions de stationnement et de circulation, en particulier des espaces de<br />

circulation piétons, ainsi que les conditions de trafic, de sécurité et de transports publics.<br />

11


- Préserver les espaces naturels et les éléments paysagers existants, équilibrer l’accès à la population<br />

compatible aux activités agricoles.<br />

- Améliorer l’aspect des entrées de ville et l’image perçue de la commune, notamment depuis les<br />

infrastructures routières (RN1 –RD125).<br />

- Contribuer au développement du tissu économique, principalement par la requalification des zones<br />

d’activités existantes, et étudier de nouvelles implantations possibles.<br />

- Assurer la mise en valeur du paysage urbain en favorisant la réhabilitation du patrimoine bâti, ainsi que<br />

la valorisation urbaine et paysagère des voies publiques.<br />

- Définir l’utilisation foncière des sols et leurs délimitations nécessaires à une amélioration des voiries, à<br />

la réalisation des équipements publics dans le but de conserver un équilibre entre le bâti et le non bâti.<br />

- Rechercher les dispositions architecturales permettant de garder une harmonie, en particulier pour les<br />

constructions du centre ville et des îlots limitrophes.<br />

- Assurer l’étude des îlots à restaurer ou à restructurer.<br />

Il est demandé au Conseil Municipal d’approuver les modalités de concertation suivantes, conformément aux<br />

articles L 123-6 et L 300-2 du Code de l’Urbanisme, engagées avec la population. La concertation attachée à<br />

l’élaboration du P.L.U se déroulera pendant toute la période de l’élaboration du P.L.U jusqu’à son<br />

approbation.<br />

- Insertion préalable dans le journal municipal et affichage public, d’une annonce informant le public<br />

de l’engagement d’une concertation et de la période au cours de laquelle la concertation est<br />

envisagée.<br />

- Organisation d’une exposition permanente présentant notamment les éléments du diagnostic<br />

territorial ainsi que les grandes orientations du projet d’aménagement et de développement durable<br />

de <strong>Saint</strong>-<strong>Brice</strong>-Sous-<strong>Forêt</strong>. Au cours de cette exposition, un registre sera tenu à la disposition du,<br />

public, afin que chaque administré puisse exprimer ses remarques sur les éléments présentés ;<br />

- Insertion dans la revue locale d’informations sur l’évolution du projet :<br />

- Concertation avec les habitants : Organisation d’une ou plusieurs réunions publiques, et réunions de<br />

quartier si nécessaire.<br />

Il est décidé d’engager au sein du Conseil Municipal un débat sur les orientations principales du projet<br />

d’aménagement et de développement durable défini à l’article L 123-6 du Code de l’Urbanisme, dont les<br />

conclusions seront rendues au plus tard deux mois avant l’examen du projet de Plan Local d’Urbanisme,<br />

conformément aux dispositions de l’article L123-9 du Code de l’Urbanisme.<br />

Il est demandé au Conseil Municipal d’autoriser Monsieur le Maire, conformément aux dispositions de<br />

l’article L 123-7 du Code de l’Urbanisme, de solliciter monsieur le Préfet du Val d’Oise, afin que ce dernier<br />

désigne les services de l’Etat qui seront associés à l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme.<br />

Il est demandé au Conseil Municipal d’autoriser de notifier la présente délibération, conformément à l’article<br />

L 123-6 du Code de l’Urbanisme à :<br />

- Monsieur le Préfet du Val d’Oise ;<br />

- Monsieur le Président du Conseil Régional d’Ile de France ;<br />

- Monsieur le Président du Conseil Général du Val d’Oise ;<br />

- Monsieur le Président du Syndicat Intercommunal d’Etudes et de Programmation de l’Ouest de la<br />

Plaine de France ;<br />

- Monsieur le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Versailles, Val<br />

d’Oise/Yvelines ;<br />

- Monsieur le Président de la Chambre des Métiers du Val d’Oise ;<br />

Le Conseil Municipal charge les membres suivants du suivi du P.L.U : membres composant la commission<br />

d’Urbanisme.<br />

Le Conseil Municipal demande que les services de la Direction Départementale de l’Equipement soient mis<br />

à la disposition de la commune, conformément à l’article L 127-7 du Code de l’Urbanisme, pour l’assister<br />

dans la conduite de la procédure d’élaboration du P.L.U.<br />

12


Le Conseil Municipal décide de donner délégation à Monsieur le Maire pour signer tout contrat, avenant ou<br />

convention de prestation ou de services concernant l’élaboration du P.L.U.<br />

Le Conseil Municipal informe que conformément aux dispositions des articles R 123-24 et R 123-25 du<br />

Code de l’Urbanisme :<br />

- la présente délibération sera affichée pendant un mois en mairie,<br />

- mention de cet affichage sera insérée en caractères apparents dans un journal diffusé dans le<br />

département,<br />

- la présente délibération sera publiée au recueil des actes administratifs mentionné à l’article R 2121-<br />

10 du Code Général des Collectivités Territoriales.<br />

M. BALDASSARI demande à ce que cette procédure importante soit réalisée dans la plus grande<br />

concertation possible et qu’en particulier des réunions de quartiers soient réellement organisées bien que le<br />

texte précise « …. des réunions de quartiers, si nécessaire… »<br />

M. LORAND en est d’accord et passe au vote.<br />

La procédure de lancement pour l’élaboration d’un P.L.U est approuvée, à l’unanimité.<br />

XXVIII – APPROBATION DU REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL MUNICPAL.<br />

M. le Maire indique quelques modifications dans le règlement intérieur concernant en particulier le compte<br />

rendu des séances.<br />

M. BALDASSARI trouve la nouvelle rédaction trop lourde, d’un formalisme excessif. Il souhaite que toute<br />

question traitée en Conseil soit systématiquement vue avant en commission.<br />

M. le Maire promet de la souplesse dans l’application du règlement et précise à M. BALDASSARI que les<br />

commissions sont faites pour cela.<br />

Le règlement intérieur du Conseil Municipal est approuvé, à l’unanimité.<br />

M. le Maire précise avant de clore la séance à 0h15, que le Conseil Municipal de septembre aura lieu le<br />

troisième jeudi.<br />

Le Maire<br />

Alain LORAND<br />

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