Manuel de l'accumulateur d'orgone - Free
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MANUEL DE L'ACCUMULATEUR D'ORGONE<br />
les stases sexuelles liées au cancer. Le sang fortement<br />
chargé distribuait la nouvelle énergie vitale fournie par<br />
1' accumulateur dans tout le corps, dans chaque organe et<br />
tissu, en provoquant simultanément un relâchement <strong>de</strong>s<br />
blocages émotionnels et un approfondissement <strong>de</strong> la respiration.<br />
Il était clair que <strong>l'accumulateur</strong> pouvait recharger<br />
l'organisme, et même, dans une mesure limitée, ai<strong>de</strong>r à<br />
surmonter diverses manifestations secondaires du<br />
désordre organique. Il n'était pas rare que <strong>de</strong>s patients<br />
retrouvent les fonctions d'organes perdus et connaissent<br />
un regain d'énergie pendant quelques années, associé<br />
parfois à une rémission complète <strong>de</strong>s symptômes. Mais<br />
souvent, du moins dans les comptes rendus publiés, une<br />
rechute survenait. Dans certains cas, il était visible<br />
qu'alors que les tumeurs <strong>de</strong>s patients commençaient à se<br />
désintégrer, ils étaient affaiblis par les produits toxiques<br />
engendrés par la tumeur, et mouraient <strong>de</strong> complications<br />
secondaires, telles que <strong>de</strong>s affections <strong>de</strong>s reins ou du<br />
foie. Cela posait un problème particulier causé par le fait<br />
que <strong>de</strong>s tumeurs profondément enracinées dans le corps<br />
étaient détruites et qu'une simple libération <strong>de</strong>s débris<br />
toxiques <strong>de</strong> la tumeur n'était pas possible.<br />
Dans certains cas, lorsque le niveau bioénergétique<br />
<strong>de</strong>s patients était rechargé par <strong>l'accumulateur</strong>, ils commençaient<br />
à sentir sourdre <strong>de</strong>s sensations enfouies avec<br />
lesquelles ils voulaient souvent n'avoir pas affaire.<br />
Parfois, alors qu'ils commençaient à recouvrer la santé,<br />
ils ressentaient dans la région génitale ou dans les<br />
cuisses <strong>de</strong>s douleurs liées à leur stase sexuelle. Reich<br />
établit que la plupart <strong>de</strong> ses patients cancéreux n'avaient<br />
pas eu <strong>de</strong> rapports sexuels <strong>de</strong>puis <strong>de</strong>s années, ou bien<br />
étaient prisonniers d'un ménage compulsif, sans amour,<br />
ou étaient profondément religieux. Dans ces cas-là, sur-<br />
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