jazz en Bulgarie

QUESTIONNAIRE GUIDE EUROPE 2003 

1. INFORMATIONS sur votre STRUCTURE 

type : média nom : rfi-bulgarie nom du contact : ludmil fotev 

adresse : 1, rue kouzman shapkarev 1000 sofia bulgarie site internet : www.rfi.bg 

Tel :+359 2 9869476 fax : +359 2 9869475 e-mail : ludmil@rfi.bg 

Description : radio biculturelle de service publique avec la plus forte programmation spécialisée 

jazz en Bulgarie 

2. COURT HISTORIQUE du Jazz dans votre pays 

A quelle époque et comment le jazz est-il apparu dans votre pays ? Quels ont été les événements importants dans le 

milieu du jazz dans le passé ? A t’il été, est-il aujourd’hui très influencé par le jazz américain ? Serait-il à la recherche 

d’une identité propre, nationale ? 

Parmi les premiers musiciens de jazz bulgares enregistrant avec jazzmen européens dans les années 20-30 – les 

chanteurs Iva Vanya /étoile du cinéma allemand/, Ari Leshnikoff /enregistrements avec Hot Club de France, dont un des 

fondateur était le père de la plus grande diva du jazz bulgare, Camélia Todorova – M. Cyril Todoroff/ et le créateur du 

Big Band de Dance de Berlin Ouest. Lubo D’Orio /cl, as/. Début de la vie jazzistique réelle dans le pays – 1945. Lors 

des purges communistes dans les années 50 il y a des musiciens de jazz qui trouvent leur mort dans les camps – Sacho 

Sladoura, d’autres sont exilés – Lea Ivanova, très peu nombreux sont ceux qui subsistent – Jazz des optimistes. Le style 

Nouvelle Orleans prédomine dans les années 40-50, très peu du vrai be-bop /dans certains bistro à la fin des 50 par les 

plus jeunes/, les musiciens des années 60-70 vont directement dans la fusion avec très peu de créations originales 

/Milcho Leviev, Mario Stantchev, Simeon Chterev /une des premières flûtes européennes/, dont le quatuor gagne 

premier prix au premier Montreux jazz festival 1967/. Début des années 70 grand chambardement par Vesselin Nicolov 

– sideman dans les années 60 de J. Griffin et M. Westbrook. La troisième vague – fin des années 70-80 a des débuts 

prometteurs /Version Acoustique, premier prix jeune formation jazz Lewerkusen /pour l’un de ses membres, A. 

Donchev cf audio 2//. En ce temps-la certaines stars internationales /Sarah Vaughan, Ray Charles, Joe Pass, Toots 

Thielemans/ font la percée sur la scène nationale, fermée par des raisons idéologiques a différence de certains pays 

voisins. Rencontres annuelles de jazz a Sofia tolérées par les autorités car jugées inoffensives par rapport au hard rock. 

Faute de ressources, stagnation de la vie internationale après la chute du mur de Berlin jusqu’a l’avènement d’un 

promoteur local qui mise sur des valeurs sures – Chick Corea, John McLaughlin, Al di Meola /mi-90/. Faible continuité 

et suivi des artistes locaux, faute de vie en club et de vrai marche du disque. Très peu de projets de métissage entre 

sonorités traditionnelles bulgares et jazz international /Theodossi Spassov-Trilok Gurtu, Theodossi Spassov-Mino 

Cinelu, Yildiz Ibrahimova-Antoine Herve, Ethnosynthèse: Nicolay Ivanov-Javier Paxariño-Kornel Horvat, Les chevaux 

balkaniques/. NB Théodossi Spassov – cf audio 5 et 6 

Merci à M. Vlado Gadjev pour les informations de ses archives secrètes 

+ d’info en anglais : 

http://www.bulgarianspace.com/bmg/article/jazz_oldtime_eng.htm 

http://www.bulgarianspace.com/bmg/article/jazz_modern_eng.htm 

http://www.bulgarianspace.com/bmg/article/jazz_contemp_eng.htm 

3. PROCEDURES LEGALES 

Statuts des musiciens : 

Est ce que les musiciens sont considérés par les services officiels comme des travailleurs réguliers, ou ont-ils un statut 

de travail particulier, leur permettant de travailler pour développer leurs propositions artistiques ? Pouvez-vous décrire 

la manière dont les musiciens de jazz travaillent dans votre pays ? 

A condition de cotiser tout seuls leur retraite et leur santé, oui. Réduction officielle jusqu’à 50% sur les sommes 

imposables en droit d’auteur et 35% en contrat. Presque personne n’accepte de paiements officiels, les cachets sont 

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négocies le plus souvent sans laisser de trace écrite, surtout dans les soirées corporatives et les prestations en boite. Très 

peu de sponsors, la plupart a titre amical ou en image de marque /téléphonie mobile/. 

Montant des cachets : 

Quel est le montant moyen du cachet gagné par un musicien de jazz bulgare dans un festival ? Quel est le montant du 

cachet pour un musicien étranger ? Dans les clubs de jazz ? 

Le moindre cachet, soit en club, soit pour un festival, c’est 25 euros /jeunes, débutants, sideman/, le maximum connu 

par moi pour un musicien bulgare, c’est entre 1500 et 2000 euros. Très peu nombreux sont les musiciens étrangers qui 

peuvent accueillir un public et des sponsors pour être payes plus /prix d’entrée entre 1,5 euros et 9 euros pour un grand 

concert ou festival/ 

Les contrats : 

Quelle sorte de contrat s’applique aux musiciens ? Quelles sont les déclarations à faire, les systèmes fiscaux et les 

charges sociales en cours ? 

Quelles seraient les procédures légales qui s’appliqueraient à un musicien français qui jouerait dans votre pays ? 

Réduction officielle jusqu’à 50% sur les sommes imposables en droit d’auteur et 35% en contrat. Presque personne 

n’accepte de paiement officiels, les cachets sont négocies le plus souvent sans laisser de trace écrite, car l’employeur 

doit s’acquitter aussi de charges de 42% sur le montant du cachet et d’en prélever a la source un impôt de 15%. 

Les artistes français pourraient bénéficier d’un contrat de cession de droit pour leur prestation qui ne sera pas considère 

comme relation de travail et donc soumis aux charges. Tout contrat supérieur à 500 euros sera quand même passible 

d’un impôt a la source de 15%. Si le musicien vient comme invite d’un organisme étranger, c’est la réglementation en 

vigueur du pays d’origine de l’invitant qui est appliquée. 

Autres informations : 

4. DIFFUSION 

Festivals : 

Pouvez-vous nous donner les noms des festivals de jazz les plus importants de votre pays ? Pouvez-vous aussi nous 

donner leurs adresses, le nom d’un contact (le directeur artistique par exemple), les dates du festival, leur site internet, 

un exemple de leur programmation… Pouvez-vous aussi nous exposer leur importance (pour le public, pour les 

professionnels ) leur originalité, leur intérêt pour le jazz européen ? 

Rencontres de jazz de Sofia, transformées en Sofia jazz fest /longtemps en coproduction avec les festivals en Belgrad, 

Zagreb et Skopie/, puis Sofia jazz fall et Music Jam Sofia – octobre - novembre, une ou deux vedettes ou formations 

de renom mondial pour faire une audience maximale, quelques cadeaux des centres culturels étrangers a Sofia ou 

parfois il y a de belles choses a ne pas manquer et sélection opportuniste de musiciens bulgares. Presque pas de projets 

particuliers, de créations et de vraies découvertes. Logique commerciale sans travail approfondi sur les goûts, le jeune 

public. Programmation souvent déséquilibrée, fait coup sur coup. Organisateur: Sofia Music Enterprises, M.Dimitar 

Kovatchev - Funky, mobile + 35988 613336 mél sme@sme.bg. Les mêmes organisent depuis l’année 2002 en été un 

festival mixte de rock et jazz – Arène Musique /Manhattan Transfer/. 

Euro Jazz Sofia /depuis trois ans/, devenu cette année Sofia Jazz Peak – commence comme partie d’un festival de 

cinéma et ne travaillant que sur cadeaux des centres culturels européens a Sofia, en 2003 organise pour la première fois 

par la nouvelle radio de jazz, toujours ne comptant que sur les musiciens payes par les centres culturels de leurs pays 

d’origine. Pas de créations ni projets spéciaux. 2003 – première ouverture vers l’électro /Gabin/. Organisateur Jazz FM, 

devstatiev@jazzfmbg.com www.jazzfmbg.com . 

Festival d’été de Varna /part d’un des plus anciens festivals européens fondé en 1926 

http://www.varna.bg/kult/v_summer/imf.htm /– l’unique en province qui tourne autour d’un vrai jazzman, M.Anatoli 

Vapirov /s/, célèbre par ces créations surtout brass et parfois régionales /mer Noire, Balkans/. Lieu de rencontres, 

donnant lieu a des projets postérieurs /Trilok Gurtu-Theodossi Spassov/. Fin juillet - début août. Editions de certains 

projets en CD par le même M.Vapirov. Difficultés énormes pour récupérer des financements régionaux et locaux, très 

peu de sponsors, malgré que c’est en pleine saison touristique au bord de la mer. 

Parade internationale du dixieland – Gabrovo, la ville du premier club de jazz en Bulgarie /1965/ – 23 éditions 

/B.Lubat/. Directeur M Manol Tzokov. 

Festival de Bansko /août/. Apres un début fort /Mario Stantchev avec son trio français – cf 

http://www.banskojazz.com/org/l_fotev.html /, faute de vrai programmateur et organisation liée aux intérêts de son 

propriétaire /médecin, hôtel thermal/, le festival est en plein déclin, se contentant de certaines miettes d’amis personnels 

dudit “organisateur” – orchestres de brasseries allemandes et pareils, souvent indemnises par un séjour et un voyage, 

tout comme leurs confrères bulgares. A éviter a tout prix. Organisateur – M.Peter Iliev. Un de ses anciens associes, 

représentant de SAAB en Bulgarie, M.Tchotchev a essaye d’en faire une réplique dans un village a cote de Sofia – 

Bankya, fracas des la première tentative. 

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Fêtes des arts Apollonia – Sozopol, début septembre. Les nouveaux projets du jazz bulgares et le cas échéant – 

certains artistes étrangers en tournée dans la région par leurs centres culturels respectifs. Malgré la présence d’un public 

plutôt attentif, très peu de garanties pour une vraie fête /changement des programmateurs, cachets misérables, 

sonorisation mauvaise/. Organisateur – Fondation Apollonia. http://www.apollonia.hit.bg 

Clubs : 

Pouvez-vous nous donner les noms de clubs de jazz importants dans votre pays ? Pouvez-vous aussi nous donner leurs 

adresses, le nom d’un contact, leur site Internet, un exemple de leur programmation, ainsi que leur importance (public et 

professionnel), leur originalité, leur intérêt pour le jazz européen… 

Didier Lockwood et Ventzi Blagoev /cf audio 2/, Bœuf au Swinging Hall 18.11.2002 

©http://www.bulphoto.com/event.php?eid=955 Les deux uniques clubs de Sofia ou en fin de semaine il y a une 

programmation jazz, appartiennent a un même propriétaire, M. Galiléev – Backstage 

http://zavedenia.gbg.bg/rest.phtml?rid=4678&lng=EN et Swinging hall. L’intérêt du premier est la proximité du 

studio de la radio JazzFM et des enregistrements live sont possibles. Le public est le même /une petite cinquantaine, s’il 

y a un boeuf avec star étrangère /Didier Lockwood – la dernière fois en décembre 2002/ - jusqu’a 100 personnes – 

capacité maximale. 2 salles au Swinging hall, mais la deuxième est rock /en pause de la première et vice versa/. M. 

Galiléev est aussi les peu nombreux éditeurs de jazz en Bulgarie, quoiqu’avec 1 seul projet – Anguel Zaberski Jr en 

2001. 

Deux villes en province ont des clubs propres – Plovdiv /deuxième ville/ et Rousse, ou un vrai jazzman – M Peter 

Petrov /s/ fait tourner la vie jazzistique de la ville au bord du Danube /sélection jazz au festival de mars – Amsallem 

trio/ et surtout le plus magnifique des clubs – celui des artistes a Rousse /une centaine de places/. 

Managers et programmateurs : 

Pouvez-vous nous donner les noms, adresses, téléphone, site Internet… des tourneurs et des managers les plus 

importants dans le domaine du jazz dans votre pays ? 

M Anatoli Vapirov avapirov@varna.bg ++35952226 041 /cf fichier audio 5/ 

M Dimitar Kovatchev - Funky, mobile + 35988 613336 http://www.sme.bg/home2.html mél sme@sme.bg 

M Krassimir Jelyazkov – Aquastorm /ethno pour un desmembres de Balkan Horses Band, M Stoyan Yankoulov cf 

fichiers audio 2, 3 et 5/, mobile + 35988 406211 http://www.aquastormbg.com/index.php 

Projets speciaux: Ludmil Fotev, Jazz+ RFI Sofia 103.6, mobile +35988 567265 ludmil@rfi.bg 

http://rfi.bg/prog/prog_33/show.shtml?type=show&program=prog_33&news_NUM=prog_33&indexa=no 

Cf fichiers vidéo 1 et audio 6, 7, 8, 9 

Fonds Public et fonds privés : 

Comment sont financés les festivals ? Les clubs de jazz ? Quelle est leur source de financement la plus importante ? 

Ont-ils des financements de la ville, de la Région, du Ministère de la Culture. Ont-ils des sponsors de l’économie ? Y a 

t-il des fondations qui sponsorisent le spectacle vivant dans votre pays ? 

Les festivals n’ont presque pas de financement de fonds publics /de telles n’existent pas au niveau national, il y a 

certaines mairies qui assurent certain support pour des opérations spéciales, le reste – soit des cadeaux des instituts 

culturels étrangers, soit de sponsors genre téléphonie mobile et boissons gazeuses et/ou alcoolisées. Lors de l’existence 

jusqu’a 2002 de Pro Helvetia et a moindre mesure de l’Open society jusqu’a 2000, certaines projets ont vu le jour. 

autres informations : 

Un bon partenaire des projets spéciaux /salle gratuite, enregistrement multipiste/, y compris leur programmation dans 

les salons des arts d’hiver ou de printemps, c’est le Palais national de la culture a Sofia /directeur M. Christo Droumev, 

programmateur M Peter Parvanov parvanov@ndk.bg /. Malheureusement, même pour eux la tendance est de diminuer 

ce type de collaborations. Nos projets enregistres sont parus grâce a telle collaboration /Ethnosynthèse 2001, Gueorgui 

Kornazov /cf audio 2/ carte blanche, etc/. 

5. DISQUE 

Situation : 

Est-ce que le marché du disque est développé dans votre pays ? Y a t-il des problèmes de piratage de disque dans votre 

pays ? Que représente une « bonne » vente de CD pour un musicien de jazz ? 

Pas de piratage pour le jazz car public peu important pour des pirates. Toute vente supérieure de 100 exemplaire est 

considérée comme bonne pour un artiste local.. 

Producteurs : 

Y a t-il des producteurs indépendants de jazz ? 

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Le métier de producteur n’existe pratiquement pas. On peut parler d’organisateurs qui essaient de rassembler des 

sponsors pour un concert, mais sans parler de direction artistique, contrats d’exclusivité, etc. 

Une petite exception: M Victor Lilov – Kuker music /ethnojazz, cf audio 4/ kuker-music@gmx.net 

labels : 

Existe t-il des labels indépendants ? 

Tous les CD jazz sont soit autoproduits, soit tires par des producteurs indépendants /Kuker http://www.kukermusic.com/indexen.htm/ 

/cf fichiers audio/ou liés a d’autres types de structures, comme radios /RFI, Jazz FM, radio 

nationale/. L’unique représentant de major n’est pas efficace dans ce domaine car le public vise est très réduit 

Distribution : 

Existe t-il des distributeurs indépendants ? Quel est le vendeur de disques le plus important dans votre pays ? Quel est le 

prix moyen d’un CD? 

Une seule boutique dans la capitale pour des CD import, vente sur catalogue, représentants officiels de ECM – Dukyan 

Mélomane. Prix d’un CD local – entre 6 et 9 euros, un disque importe peut arriver jusqu’a 14 euros. 

http://www.melomanbg.com/web/dm/home.nsf/fsWebMain?OpenFrameSet&Frame=Main&Src=http://www.meloman-bg.com/welcome.htm 

Fonds publics et fonds privés : 

Existe t-il des fonds publics ou privés qui aident à la production et à la diffusion de Cd de musiciens de jazz ? 

A part certaines promotions commerciales sporadiques /banques/, aucun autre soutien n’a pour l’édition ni la diffusion 

de disques jazz. 

autres informations : 

6. LES MEDIAS… 

Situation : 

Existe t’il des émissions (radio ou télévisée), des journaux spécialisés dans le jazz ? Y a t’il des retransmissions de 

concerts à la radio ou à la télévision ? 

Tv – 40 minutes bihebdomadaires a la tv nationale d’Etat en pleine nuit et sans animateur – pas de site /heureusement 

Mezzo est sur toutes les chaînes câblées/ 

Radio nationale http://www.nationalradio.bg/index.htm - 2 heures hebdo sur chacune des 2 chaînes /Jazz studio 

débutée il y a 25 ans, par un des vétérans de la vie jazz en Bulgarie – M Vladimir Radoulov : enseignant, critique de 

jazz, pianiste et créateur du feu club jazz universitaire dans la deuxième moitié des années 70 /cf photo ci-dessous/ 

JazzFM – radio smooth jazz 23h/24 + 1 heure quotidienne de programmation spécialisée /R’N’B, latino compris/ 

RFI Sofia 103.6 : Une des plus anciennes émissions radio /10 ans/ - c’est Jazz+ /par Ludmil Fotev / - au début 1 heure 

hebdo sur les ondes nationales, après la création de RFI à Sofia – deux heures hebdo + déclinaison matinale en deux 

heures hebdo. Encore 6 heures d’émissions spécialisées en jazz sur les ondes de RFI a Sofia, y compris faits par les ci 

mentionnés MM Vladimir Gadjev - le plus ancien critique de jazz, Victor Lilov /Kuker music/, Yavor Gantchev - 

boutique de CD Dukyan Mélomane. Première radio avec programmation spécialisée a Sofia. 

M Toni Nicolov, Jazz et philosophie dimanche, 10-11 RFI Sofia 103.6 ©archivesRFI Sofia 

Revues de CD jazz dans l’un des hebdomadaires /Capital/, fait par la boutique de CD Dukyan Mélomane et dans 

l’édition bulgare de Playboy fait par Ludmil Fotev 

Contact : 

Pouvez vous nous donner le nom des critiques de jazz et des journalistes musicaux les plus importants dans votre pays, 

ainsi que le journal, emission de télévision ou de radio dans lesquels ils travaillent ? Pouvez vous aussi nous donner les 

adresses, site internet, téléphone… des émissions (de radio, ou de télévision ) et des journaux de jazz importants ? 

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Dimitar Evstatiev – programmateur de Jazz FM www.jazzfmbg.com devstatiev@jazzfmbg.com 

Vladimir Radoulov– émission Jazz studio, mardi, 23-24 Radio nationale /NB Peut lire seulement en Brail/ 

Nikolay Zakhariev – émissions Zone pour rock et jazz, dimanche 23-24, Jazz studio, mardi, 23-24 Radio nationale 

Milen Panayotov – émission Inventions spontanées, lundi 00-02, Radio nationale 

/pas de site et mails propres à la RNB/ 

Vladimir Gadjev – RFI 103.6 – émission Les archives secrètes de Vlado Gadjev, journal Douma 

©archivesRFI Sofia /+3592 8438998/, samedi 21-23 www.rfi.bg 

Sofia 

Victor Lilov – RFI 103.6 – emission Tropicalissimo tropicalissimo@rfi.bg , Kuker music ©archivesRFI 

Yavor Gantchev – RFI 103.6 – émission Dukyan mélomane 

©archivesRFI Sofia 


meloman@rfi.bg , boutique Dukyan mélomane. 

Ludmil Fotev - RFI 103.6 – émissions Jazz+ /dimanche 21-23/ et Jazz ensoleille /samedi 10-12/ 



©archives perso, Eric Truffaz et Ludmil Fotev, Gaume jazz festival, 10 aout 2002 

7. LE JAZZ FRANCAIS CHEZ… 

Point de vue local sur le jazz français 

Y a t-il beaucoup de gens ou peu de gens qui connaissent le jazz français dans votre pays ? Beaucoup de gens ou peu de 

gens intéressé par le jazz français ? Y a t-il beaucoup de concerts de musiciens de jazz français ? 

L’unique public qui suit régulièrement les nouveautés dans le jazz français, c’est celui de RFI Sofia 

103.6 grâce a notre étroite collaboration avec AFIJMA, les Carrefours de Sud, Grenoble jazz festival, Jazzebre, Jazz a 

Vienne, New Morning, Duc des Lombards, Dreyfus jazz. Grâce a cela le boeuf de Didier Lockwood, improvise en 24 

heures a fait tabac. 

©archives perso, Mino Cinelo, New Morning 2000 

Couverture médiatique 

Y a t-il des médias (émissions télévisées, journaux, radios) médias parlant parfois du jazz français ? 

Toujours et encore RFI. Parfois nous sommes invités à faire des directes pour la Radio nationale surtout des 

festivals en étranger /Montreux, Montréal, Vienne, Vitoria-Gasteiz et San Sebastian/ avec des musiciens français. 

©archives perso, Jean-Luc Ponty, Festival International de Jazz de Montréal 1997 

Les musiciens de jazz français les plus connus 

Django Reinhard, Stephane Grappelli, Jean-Luc Ponty, Michel Petruccianni, Didier Lockwood, Antoine 

Herve, Martial Solal, Franck Amsallem, Mino Cinelu, Richard Bona, Stephane Belmondo, Eric Truffaz, Julien Loureau 

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©archives perso, Michel Petrucianni, à Prague pour Jazz+ 1994 

Relations existantes 

Y a t-il déjà des coopérations existantes entre votre pays et la France ? 

Sporadiquement – projets de Franck Amsallem, Antoine Hervé-Yildiz Ibrahimova, le reste ce sont des musiciens 

bulgares qui vivent et jouent en France – Mario Stantchev, Gueorgui Kornazov et font parfois de projets sur place. 

©archives perso, Amsallem à Sofia 1999 

Idées de développement 

Auriez vous des idées qui pourraient aider au développement des liens et des relations entre la France et votre pays ? 

Quant a la diffusion du jazz français en Bulgarie, nous avons mis en contact Dreyfus Jazz avec la boutique Dukyan 

Mélomane pour les diffuser sur place. Le réseau a Sofia tisse par RFI pourrait être très utile a toute structure française: 

du simple partenariat médiatique a la création de projet, leur présentation en concerts, leur enregistrement et édition, 

jusqu’a la diffusion en Bulgarie et en France. 

©éditions RFI/RFI-Musique/RFI-Sofia /fichiers audio/ 

1. vidéo – Détéramida /radio édit/ © RFI Sofia 103.6 

2. Antoni Donchev /p/ – Macbu /Bremen Theater 1996/ avec Ventzi Blagoev /tp/, Guéorgui Kornazov /tb/ et Stoyan 

Yankoulov /perc/ © Kuker music 

3. Zig zag trio: Peter Ralchev /acc/, Atechkhan Yusséinov /g/ et Stoyan Yankoulov /perc/ – Zig zag /édit/ © Kuker 

music 

4. Orchestre Karandila – Amerikanskoto © Kuker music 

5. A Fairy-Tale trio : Anatoli Vapirov /s/, Théodossi Spassov /kaval/ et Stoyan Yankoulov /perc/ - Rapship, Sapship, 

Rapshipsarap © Marko’s music/A.Vapirov 

6. Everest Concert : Théodossi Spassov /kaval/, Nicolay Ivanov /g, cl/ - Avril ©RFI-Bulgarie 

7. Ethnosynthèse : Nicolay Ivanov /g, cl/, Javier Paxariño /fl/, Kornel Horvat /perc/ - Impro finale © RFI-Bulgarie 

8. Détéramida – Réveil © RFI-Bulgarie 

9. Camélia Todorova – Lady Sings the Blues (B.Holiday-H.Nicholas) © Camélia Todorova/RFI-Bulgarie 

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