L'ANCHLUSS - Bibliothèque de Toulouse - Mairie de Toulouse

Parler c'est bien 

Agir c'est mieux 

Au cours d'un des grands discours qu'il prononça à Carcassonne 

et à Bordeaux avant la période électorale dernière, 

M. Poincaré a bien voulu reconnaître que nous pouvions 

extraire de nos terres une somme de production beaucoup plus 

élevée. 

Et il précisa qu'il fallait, dans l'intérêt même de notre Pays, 

faire un effort sérieux de ce côté en changeant davantage la 

rénovation de notre agriculture nationale. 

En tenant ce langage, le président du Conseil faisait publiquement 

justice des sophismes que les agrairiens de la bourgeoisie 

à connneneer par plusieurs ministres de l'Agriculture 

n'ont cessé de nous opposer depuis notre première intervention 

à la tribune de la Chambre c'était en 1909 ! sur la 

question agraire. 

Puisque ce n'est que par comparaison qu'il est possible de 

se rendre compte exactement de l'état d'avancement d'une 

science, d'une industrie, d'une forme quelconque de l'activité 

humaine, nous nous sommes toujours efforcé de comparer la 

situation de l'agriculture française à celle de divers pays étrangers 

dans nos rapports sur le budget de l'Agriculture. 

Inutile de dire que nos conclusions ont été profondément 

attristantes dans la plupart de nos cultures. 

En ce qui concerne les rendements il ne faut pas se 

lasser de le dire et de le redire la France n'occupe pas le rang 

légitime auquel son sol, sa flore, sa topographie et son climat lui 

donnent droit, puisqu'elle est la quatorxième pour le froment, 

la quinzième pour le seigle, la douzième pour l'orge, la dixième 

pour l'avoine, le mais et la betterave à sucre, /a vingt et unième 

pour les pommes de terre. 

Seules la quantité et la qualité de ses vins marquent une 

assez nette supériorité. 

Le troupeau national représente, en moyenne, par kilomètre 

carré, 82 têtes pour les espèces bovine, ovine, caprine et porcine, 

ce qui place la France au neuvième rang, après certains 

pays qui ont un effectif de 140 et 155 têtes par kilomètre carré. 

Ces diverses constatations sont humiliantes poireauter pays, 

disions-nous.. 

Elles établissent sans discussion possible que chez nous les 

méthodes culturales ne progressent pas avec rapidité, malgré 

que le paysan français ne soit ni moins intelligent, ni moins travailleur 

que l'agriculteur de n'importe quelle nation et malgré 

que le sol français soit aussi fécond qu'aucun autre. 

A ce/a, les porte-parole des grands exploitants r propriétaires 

ou fermiers nous répondaient que c'était une erreur I Que 

les chiffres cités étaient erronés ! Que l'agriculteur français 

extrayait de notre 'sol les mêmes récoltes qu'en Belgique, qu'en 

Allemagne, qu'eu Danemark, etc... 

Mais si depuis que M. Poincaré, corroborant nos dires s'est 

rangé à nos côtés en dénonçant connne nous, mais après nous, 

le 'malthusianisme agricole, le silence de nos adversaires coi 

complet, rien n'a encore était fait pour remédier aux causes de 

celte stagnation, ou mieux de ce recul. 

Il importe d'agir sans délai, sous peine de voir notre agriculture 

nationale dépérir comme le fit l'agriculture anglaise au 

début du dix-neuvièmé siècle. 

Mais, si cette éventualité devait se produire, notre pays 

n'aurait pas, comme l'Angleterre, la possibilité de concentrer 

son activité sur l'industrie et le casanier-ce, ce qui permit à notre 

alliée de s'assurer nue supériorité longtemps indiscutée dans le 

monde. 

Chez nous, le dépérissement de l'agriculture amènerait la 

'disparition de la classe rurale dont l'activité, l'esprit d'économie 

et le solide bon sens ont toujours constitué notre principale 

Parce de résistance contre les assauts extérieurs ou les critiques 

intérieures en même temps qu'elle sert de réserve de force cérébrale 

saine et de santé physique robuste à notre industrie et à 

notre commerce 

Si nous voulons conjurer les dangers qui menacent de rompre 

notre équilibre économique, financier et social, il importe de 

régénérer sans délai la production agricole, de la mettre à même 

de pourvoir aux besoins de la consommation nationale et de 

permettre au paysan sans terre, au paysan pauvre, au paysan 

qui vend sa force-travail, d'envisager l'heure oit, relevé moralement 

et matériellement, il sera affranchi des inhumaines conditions 

d'existence qu'il subit. présentement et pourra devenir 

propriétaire du sol qu'il féconde actuellement de son labeur 

quoditien. 

Mais, pour cela, il faut une politique agraire hardie et oser 

se déclarer partisan de l'intervention de l'Etat, dont les tenants 

de la grande féodalité terrienne se sont faits les adversaires 

acharnés. 

M. Poincaré ira-t-il jusque-là ? 

Dénoncer l'infériorité de notre agriculture c'est bien, mais 

agie pour la faire disparaître serait mieux. 

si 

21. 'ANNEE. N. 11.00 

04£'14:44 

08"8,a811811110,4 

ABONNEMENTS) 

3 mole 18 te.: g mol. 34 fr.; 3an 85 nr: 

COMPERE-MOBEL. 

Député du Gard. 

:ope pa. »on écotIla niort pour le seul 

AU JOUR LE JOUR orgueil de tendre sa politeme à PAméri- 

___u___ cain. 

erait peue-orm sope d'arrhes ce rase- 

L'exploit nuisible 

Comme tisi le mondo, pal été cathom 

tiosmé per rems/oit de Charles Lindbergh. 

Mei., l'avouerai-je 7 fa commence cd. 

hécatombe d'aviateureshe chair] 

vaZ ime.. 

silo rassis. On is diseit bien 

trttri Plus tard, les ornons Pommet 

ln « mare aux harenge h comnta 

mrsé I,, /Anche d'abord, fet Médit 

ée ensuite. Male on n'était pas 

nt Pressé d'eseaver 

, avec ea formidable mise, a 

. On dut nd amdessas 

leM mn. ardernmont &dl 

cri mi ranonueN /a prouesse de 

l'on est allé de ,clastrophe en 

soit les Italiens, Ns EsPuernolsr 

cd Mo Anglais, les Polonais, les 

s chaque nation do Fa vieille Cm 

sacre. Traversas l'Atlantique en stolon de 

rE.i à l'Ossa :cade saris doute edmira, 

maia fion ne noua u oblige. Nous 

avons vécu sans cela depuis une l'homme 

est sur la p/onate, no. pouvons ben «6 

tendre encore un 

L'am.' est prompt, l'avion cst encore 

fuibk. Quand on songe qu'il suffit d'un 

Poli tuanu qui s'obstrue ou sie crave rom 

faim tomber u (a mer deux eu /rois icunea 

auatm ou cinq mille turco t'essence 

liamirs, frmtcs, prix moyen, lel/ Ci, iiireC), 1441 

aune./ halant quelques centain db 

Punies et les espoir. de Mat un pounia, on 

se demande si un sage mentor ne devrait 

Ires. 

André NEGIN 

ENVOYEZ vue LETTRES Si COLIS 

au MAROC, ul ALGÉRIE, r DAKAR 

AMÉRIDUE DU SUMMUM 

COMpAGNIEGEtiplig,.,AÉSOltee.LE 

SOCIALISTE 

Réiaatlea Aina;uLeret;en s 38, Rue Rogaalaiae . TOULOUSE Te c..... Chèque. peut... 4 iLer, 

De BUREAUX A PARIS 3, Rue d'A.1,01«, 3 (. Arrondissement) - Télitohone Central en-e3 

UNE DESERTION 

Le bureau régional a reçu de 

Carol Etienne une lettre scandaleuse 

de démission du Podû de secrétoise 

de rayon et membre da 

Parti. A l'heure où la bourgeoisie 

capitaliste frappe les travailleurs, 

essaie d'écraser la niasse ounfière 

et paysanne, le geste de Caro/ ne 

Peut avoir aucune excuse. Le bureau 

régional a accepté sa démis- 

'on, laissant à sa propre celltele 

l'initiative de prendre toutes sanctions 

que mérite la désertion de 

cet ex-camarade. Les hommes pus' 

notre parti reste et continue- 

, avec plus d'ardeur la lutte qu'a. 

bandonnent pour de vagues pré. 

textes ceux pue la lutte rcbute. 

Il est regrettable qu'un acte cons. 

me celui que Caro/ commet vienne 

ternir le souvenir des luttes que 

celui-ci avait soutenues nous sato 

tons taire tout n6tre devoir et expliquer 

aux travailler,ea de l'Ariège 

et du canton de Varilhes en 

particulier notre sévérité Pans vu 

ex-camarade qui nous avait habitués 

a un Peu Pive de courge 

LE BUREAU REG/MEM- 

et, 

Ce qui veut dire que le militant 

le plue ancien, le plue probe et le 

1\4r:2:M'or/vint qu'il pari, cens 

qui lui doivent tout le dénigrent 

aussitôt coanne un adversaire. 

On compxend /eus rage. ' 

C'est le glas qui sonne pour eux. 

Les Interpellations 

LES COMMUNISTES EN PRISON 

Paria, 19 août. M. André Berthon, 

député communiste, annonce son intention 

d'interpeller le ministre de la justice sur 

le maintien au résime droit commun 

dam la prison de Besançon des quatre 

détenu. communistes t Tré.d. Janin, Tisserand 

et Faivre, otti se plaignent de ne 

reoevotr n'Indes, al jeune., m malte. en 

dehors de celle. de» membre» de leur 

mals. 

Un nouveau cartel des gauches 

« Les récentes manifestations 

« d'union qui ont eu lieu à Vienne 

ont été plus imposantes rine San. 

tes les précédentes. Des Allemands 

« et des Autrichiens de tous les osa' 

tinents y assistaient. Les deux 

« principaux orateurs étaient 

a Karl Severing gui, plus que quia 

conque, a contribué à consolider 

si Ln démocratie répubheaine Misa 

mande, et Paul Iambe, le président 

a socialiste du Reichstag, qui a 

a toujours été l'apôtre de la paix 

« internationale. 

« Sans doute, le' mouvement est 

« soutenu par les conservateurs 

« aPeniands, mais s'ils Papprou. 

,t vent. c'est, dans une large me. 

a-sure, parce que la France et ses 

« alliés élèvent des objections. 

st On commet une erreur lorsqu'on 

u assimile ce mouvement au pana 

germanisme on au nationalisme 

a allemand. Le rattachement ne prit 

« seaterait d'ailleurs sac. dan- 

« ger. Il aurait même d'heureuses 

conséquences pour les deux pays 

« etpour l'Europe. L'Autriche et 

« l'Ailemagne sont surs. Leu VS 

« traditions communes, une nom_ 

« mune victoire de la démocratie, 

« des intérê Es matérieis communs 

« les rapprochent 

« Leur union serait une étape 

a vers la débalkanisation de l'Os. 

1.°P: rtr,Poree,!eelesr,Pil `ic= 

« lisme au nord du Remue, et à 

mm l'ouest de le Viatule 

est-il possible? 

« C'est de la fin de la guerre ma 

date I, mouvement mussent de 

liberté et d'unité nationale qui 

s'est emparé. des peuples de 

POrient et c'est seulement à la 

nation allemande que l'on on,.drait 

Qu'estree unit. ohmolient 

pbri déjerme nom- proch ain bombadoment aérien de Parà, lors de 

la prochains. 

L'Affaire de la Guyanne 

50( 

Le Quotidien déalare, serns plus, que la Paris-Midi noue révèle I. puissame mo. 

lei de Lunch a justement précédé la trop rale de jean Gelmot. 

lente magishature. 

Pour bien comprendre l'un- 

i.e parti Gobait rend ses adverletton qui s'est manifestée, aprês 

saires respensables de l'empoisonne- l'empoisonnement de Galmot 

ment de son chef. Il lu assaille 

dans les nies, les poursuit dans leur c-e-cletier,'ZiMOU 

logis, les assassine. C'ed une vin. 

dicte de sauva-ges. 

Si l'on se réfère au texte câblé 

d'Amérique eu l'absence de tontes 

autres h/Formations, car il sernNe 

bien que la censure veille aux deux 

extrémités du Tu télégraphique la 

police a fait de son muas. 

On la félicite, mais il est vantant 

certain que les autorités furent impuissantes, 

puimme des domicil. 

ont Olt violés, ers hommes tués, 1-un 

au moment. où, déjà blessé, on /e 

transportait g l'hôpital, l'autre dans ,f/nete,,,,t1riere egt erGi 

son grenier où il pensait échapper 

à ses bourreaux, en se cachant en- ayant quitté la Santé, revint 

ire deux matelas. 

Cayenne. a 

Votifs ou misse in pour, ',ta pu, , Jean Galmot n'avait pas seulement 

pêché. Faut-il la congratuler pane employé des noirs, niais aussi des 

geollo fut une force inefficace ? forçats. Le gonverneu en avait mis 

pluieurs dizaines à la disposition 

La Rumeur (Goa/ Garnier), dosssris sa do rhummier lorscpie celui-ci, ayant 

minute, des colons. quelles memres acheté des terrains aurifères, décida 

eomPte prend, s'II mem dee dmits que de les exploiter. Exploitation qui ne 

lai concéde la ConstiMtion. 

fit qu enrichir les larges gus, ca- 

Qu'il refuse, au contraire, de s'en chant l'or extrait du sol et des eaux, 

servir et, pour la plus grande honte avaient par la suite beaucoup de 

de la France, ce sora, dans cette chances de s'évader. 

colonie si passionnément française Et comme on demandât un jour à 

jusqu'id, un tel déchaînement de Galmot ce que lui avait rapporté sa 

rancunes et de haine â l'égard de la recherche ils l'or en Guyane 

mèrespatrie, que rien ne le saurait Ces trois pépites, répondit-D 

arrêter i ni le souvenir de trois siè- en montrant colles qui ornaient la 

cles de colonisation, ni l'autorité chaîne de sa montre. 

de gouverneur, ni les baïonnettes de Jean Galmot, lors de sa cainPagne 

la troupe, ni les fusils des gendar- électorale (il s'était présenté COM' 

mes me candidat ouvrier), avait trouvé 

Ce sera le déshonnour pour sens, un auxiliaire dévoué en la personne 

Monsieur le Ministre. 

de M. Gober, le maire de Cayenne. 

Pour la Guyane, un martyre Cons Mais lorsqu'il revint à la colonie, 

pareil. 

ce dernier ne lui cacha pas son ini- 

Le déshonneur, encore, Pose la mitié, et devint un des principaux 

France. 

adversaires politlqu.es de l'ex-député. 

Pour la Guyane, la mort. On dit que Jean Galant n'avait 

Ce n'est point cela que vous l'OU. pas renoncé à la vie publique. lent- 

lez, n'est-ce pas, M. Perrier ? être, car il était ambitieux, mais il 

Qu'allez-vous faire, messieurs du voullait avant tout refaire sa for. 

gouvernement ? 

tune. 

des nous de 

s 

résidé là-bas, il faut rappeler le rôle 

considérable joué politiquement Par 

Galmot en cette colonie. 

politrCur n trie: EsPenelp.saartieere nfornique 

qu'il représutait aux Yen. 

des Guyanais, 

c Lorsque éclata le scandale des 

pre,s ecLurainhe deGaInmoorts refuser le dent à dispnier 

d'elle-même, â réaliser ce qui 

fut la revendication des révolm 

tions bourgeoises l'union natio- 

ELLE N'EST PAS IMPOSSIBLE. LE PARTI RADICAL DEVRA nale 

PRENDRE LE POUVOIR SEUL OU EN PARTAGE AVEC LES u ...Nous ne savons pas quel mo- 

PARTIS DE GAUCHE QUI DEsillERONT pARTICIPEB AU COUment de l'histoire nous donnera te 

vERNEMENT s, ECRIT CH. BO uTET, DEPUTE SOCIALISTE 

rattachement. Ce sera peut_être 

grâce à une nouvelle révolution 

DES AR DENSES. 

sociale ou peut-être au nulieu des 

horreurs d'une nouvelle guerre 

capitaliste. En tout cas, nous na 

Membre du Parti socialiste 03'10, prêtero.nt leur concours pour l'obtiendrons qu'a l'unisson, avee 

Charles Boutet est, depuis longtemps face triompher ce prograndne. la volonté et ;a force des ouvriers 

conseiller génnral des Ardennes, Evidegment. pour l'exécuter, ce allemands, ang/nis et français, 

maire de la cité industrielle do programme, le parti radical devra nos camarades de classe, » 

Charleville. C'est an administrateur prendre le pouvoir. Il devra le pren- 

de qualité. /I peut définir Ce qu'est dre seul ou en partage avmo les par 

une a réalisation » ri exposer aussi lis de gauche qui désireront parti- 

eomment, on l'obtient. Averti de tous ciper au gouvernement nouveau. 

les problèmes que pose la politique, « Le parti socialiste sera-t-il au 

ause bien dans le domaine écono- nombre de ces dorniers ? 

De nouveau vers le Pèle 

mique que financier ou extérieur, « C'est la question brûlante. 

l'opinion de Charles Boulet est de Persomenement, je le souhaite LE » BRACANZA 

celles qui doivent être retenues. « Nin pas lue je sois participa- 

EST PARTI AVEC. 

Cette Chambre n'est tiouniste gym n'importe qui et pour DEUX HYDRAVIONS A BORD 

si mauvaise qu'On le test-lirepas pouvait n'importe quoi. Mais je considère Rune. 19 août. L'agence Sida. tom 

croire au lendemain du 29 avril. N que lorsque le programme et la blic commanieui officiel suivant . 

s'est-elle pas donné un bureau d composition d'un gouvernement of- « Le a Qua-di-Milano a radio:élima- 

gauche, élu tout entier centre les frant les garanties qu'un grand parti chié de I. baie du Oct nue Cas, hydiacandidats 

présentés par les droites ? comme le nôtre ont en dreitt d'exiger, M 18 ont été montés et emlearetuée 

Et jr suis amené à penser que /a c'est, la politique de la présence qui sur le a Braganra Our ce navire se sont 

constitution d'une majorité républi- est la plus profitable sus intérêts de également embarqués le capucine de. mn. 

caine n'y est pas impossible. la classe ouvrière et de la 'Montera- vette Beldimone, te capimine Som. Fine. 

tie paysanne. 

nieui Alhertini, queluttes marins et un 

u Mais cette majorité républicaine « Mnis, dira-Lon, si la parti so- 

ne se constituera que silo parti racialiste est, en majorité, hostile » Le Braga:ma » est varri le 16 août 

dical le veut fermement. 

toute partieipatien directe b. un gut, et, dam l'aumamidi du ayant rem.- 

« Le vouloir, c'est, tout d'abord, vernoment sIncèrement réformateur tem:t tamdéFirbr,e,6',/,1 

sortir de l'équivoque, c'est-à-dire mais non socialiste ? 

sortir de l'Union nationale. « A eette question je réendrai sana. »e niniaillem aux ofimaea esta. 

« Le vouloir, l'est établir un pro- que même si cette ht-pothèse se réa- il conatrium d'unes oalmoos avec 

gramme de réformes hardies, dans lisait, cola ne dispenserait pas dus dépôts de vives, et effectuer. des re. 

le 

lequel la Démocratie trouvera son parti radical de faire cherche. sur /a côte mord de la 

l'effort que 

terre du 

comitc. 

commande le devoir républicain Noid-Pst. En mûnhomo,,ern. dea avion» te- 

« C. réformes hardies, ces cerne. « En effet, en admettant la possifunt des e.lmations m s:O/mues ui dana 

mes « sociales », le pays les attend bilité d'un refus de 

ost et au ...d du un Lelelmmith, 

collaboration 

et point n'est besoin de pâlir long- directe du .parti socialiste, 

afin de rechercher /e 

ou ne 

d. Professeur 

Tontremoli. 

temps sur les dernières statistiques saurait envmaur alors autre eheae 

électorales peur s'apercevoir de sa part vniune politique Les hydravion. « S-55 et a Marina, 

que sa 

de sou- Il 

patience est à bout. 

tien, qui aurait pour effet 

., démontes. ont été emlamaia eue le 

me sous le gouvernement Herriot 

rem- puuUebot qui transportera Bergen, 

« En échange des charges écra- 

en môme temps mie le comniandunt Mach 

isLset 

santes qui pèsent sur 

de permettre au gouvernemun sin- 

elles, quels 

dalma et Pécitioasa do S-55 

chrement républicain 

ils dcsairab avantages retirent la classe pauvre 

et réforma- 

1=n1leae°12: ovnis ussnuf et la classe moyenne ? 

teur da gouverner ri de réaliser. 

la prospârté. Es s'étaient Jugé, Ralvevj 

« Poser la question c'est incisas- plus loir et posons mi 

en 

dre. 

principe que les conditions les plus 

favorables de partiel/Wien 

« Que le parti radical, sien même 

et de Au pied du programme étant réalisées. mur 

il n'exis- 

demander leur avis aux autru parte pas, â la Chambro de majorité 

tis de gauche, que le parti radical pour_ soutenir une telle entremit.. 

sorte de l'Union nationale, qMil éla- « Et puis a.près ? 

M. Marcel Hutin qui est nista, 

bore -un programme substantiel et a Est-ce que cela autoriserait les riographe attitré de M. Poincaré, 

audacieux, tant dans le domaine de partis de gauche à pratiquer 

la politique extérieure et 

une nous révàle que le président du 

du désar- politique de nonchalance 21 

mement que dans celui de la fiscali- 

â dû:es- Conseil, minisne des Finances, ne 

ter le devoir républicain ? consentirait- à, aucune 

té, de la réforme administrative, fie a II 

diminution 

faut se souvent 

Palle /inique, des Assurances 

que, selon d'imps ôt A diteivrai, en s'en dos- 

an, los fortes paroles de Pressersé, si taJt un 005. 

noies, du développement économi- BOns n'avons pas fait un pacte 

que et du syndicalisme corporatif et, 

avec 

vietoire,,nous en avons fait 

Ce n'est Pas que le 

comme d'instinct, tous les démocra- 

un 

Prochain 

avec la bataille, o 

budget soit déficitaire. M. Hués 

tes sincères de la Chambre et les 

annonce des excédents de Jecettes; 

We la Volonté, ast Mt 

socialistes sont des démocrates 

une ensm2te mr mais ceuxici sont 

cette question.) 

absorbés. Les 

pauvres contribuables doivent donc 

renoncer à toute espérance. 

L'ANCHLUSS 

Il faudrait dite les contribuable; 

les plus pauvre ce sont eux. en 

effet qui supportent le poids des 

impôts que 01,1 Poincaré a fait voter 

au mois d'août 1926, 

La presse française est encore agitée 

par le problème de SELOX 

L'Etat ne ,Jeut pas diminuer ses 

l'Anschluss 

recettes. 

Notons que la pause 

LA Admettons-le, encore 

e 

étrangère ARRL'ITER ZEITUNN n que les amis de M. Poincaré réel., 

s'en occupe bien moias et elle loin 

de mi aecorder Nous rârouvons la 

tant d'importance 

même argu- muent sans cesse des économies 

que la presse française. 

mentation dans l'organe officie/ de qu'ils ne réalisent point quand 

suial-démocratie autrichienne au htStuVetir. 

SELON LE « MANCHESTER «liest a,pparn que lès exci- .ats pourquoi les principales 

ilsprincipalessont 

CUARDIAN 

« tés, /es haineux les anxieux de ressources du budget doiveidulles 

Tandis que la presse française 

« Pans -, de Prague ont eu soin de Oser fournies par le travail et la 

considère l'Anchluss comme un désir 

« passer sous silence qu'à .ro dé- production. 

belliqueux qui met la paix « sir de rattachement s'allM 

Pourquoi le captal 

p, journal des 

en dan- 

natu- mort est-il épargr,é 

radinas anglais « relkment la renonciation à Pourquoi les 

l'are 

le considère comme une 

vienne 

nouvelle 

Allemagne 

valeurs mobilières sont.efles favo- 

monarehiste... 

garantie de pois, 

« Ci 5e manifestation pour le ratrisées 

par l'absence de contrôle 

ENCORE UN COMMUNISTE DE NOUE « Berlin et Venne :: tachement 

sont attirés 

fut, pour une oni permet la fraude 

targe 

« l'un vers l'autre non par des for. « paâ, une profession de foi répu. Si l'on ne peut pas demander 

CeS réactionnaires, mals par 

blicaine. C est 

des 

qui explique la 

Sacres démocratiques. Les vérita- 

« réserve avec laquâle la 

moins à l'ensemble des contribua, 

presse nu- 

QUI S'EN Vk _ÉCURE 

bles promoteurs du mouvement en 

a Donatiste de droite bles, on doit mieux répartir lei 

en Allemagne 

« faveur de l'union sont les majo- « rendit. coma. do-c. fêtes charges, M. Poincaré, 

gui ne 

en 1926. a 

« âtés républicaines dans ka deux « l'enchantent pus du tent Jamais 

diminué l'impôt global mi le reve. 

r pays et le mouvement se développe l'Autriche dynastique muas nu et augmenté ln taux des cédules 

Voix des Travailleurs », lias comageos qu'ils avaient clans « chaque fois que la sauche chiste des Habsbourg 

rem- 

n's Pu Ainsi les travailleurs, les fonction. 

organe du parti bolchevik de la ré. ln région, sien va. 

a porte une victoire. 11 n'a pu se 

ec Or ir la vole vers l'Allemagne 

des naiies, les employés, les petits 

lion de la Garonne publie rentre La façon dont le journal le trai- « manifester tant que lu natio., Hohenzollern. Mais si la dé/aucun commerçants, les modestes cultiva. 

« listes allemands 

Blet suivant en chronique de l Ate permet de supposer que Carol 

étaient au ima- 

« tie autriehienne fusionnaH avec teurs ont été surchargés, 

riège 

a dû exprimer 

.voir,.nmeis depuis que l'Allemagne « la République alleniande, tandis 

ce sesans 

Périer,a.es 

« Tait la mellkure garantie 

que les gr. capitalistes étaient 

contre 

que l'écoeurement était le motif de « sit r n"e raiéiâr nt g 

la retour 

eerairset:"C't 

de l'Allemagne 

exonérés partiellement. 

revansa 

retraite. 

« démocrate, il s'exprime avec si. « ehaGie des Hohenzollern. 

Il faut maintenant rétablir l'équi- 

La vie militante 

« Hindenburg n'aurât jamais 

de Carol, one 

été 

libre. C'est l'intérêt du pays, aussi 

« élu si l'Autnehe était déjà 

nous connaissons bien ici, au a Mi- 

e t intégrante du rida allemand partie bien que des particuliers de rédui- 

I re les charges de la production. 

di Socialiste » est au-dessus des in- 

« On parle d'annexion de l'Autri- M. Poincaré' fait 

suites de ceux qu'il abandonne. 

« che par les pangermanistes annoncer qu'il 

aile- s y refuse. 

« manda. Mais si l'armée 

Lorsqu'il quitta le parti socialis 

des 

« vriers se grossit d. ou- Les unionistes et en particulier 

700.00I1 

te, nous en Ils es navrés, mais 

« cial-démocrates autrichiens, 

nous évitâmes de qualifier un gen- 

c'en les radicaux avaient pourtant pro.. 

issu fait à jamais des 

te que nous pensions dicté par la 

projets pan- mis des dégréi.ements à leurs élec. 

tours. Tiendront-ils lems promes- 

probité de sa conscience. 

:: rorumruenors'es,s:itr'itchlsmn'tecerldai'. ses ou se den-catiront-da. 

Le parti communiste ariègeols 

nement pas favorable aux flohen- 

« zollern. 

Le. socIallaIsa, el" rousou,, " 

n'a pu se former, vivre, subsister 

mettront au pied do mur. 

ne,cgrâce à litilfoluemamrale de 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 

'd T. 

LUNDI 20 AUDE 1923 

I IEUREUSES MANUVRES 

LES MANUVRES AERIENNES AU DESSUS DE DUN, 

DRES ONT PROUVE QUE L'ANGLETERRE POUVA/11 

ETRE AISEMENT BOMB ARDEE. 

ET PAR CONSEQIJENT PARIS, BERLIN, ROME, AUSSI 

OOMMODE.MENT. 

FELICITONS-NOUS DE CETTE DECOUVERTE. 

Es Amdlisor, no r,f,,orts; de.finenv cindmq comme 1111_

La Nature déchaînée 

A Haïti 

-0- 

LE SECRET CYCLONE A FAIT 

PLUS DE DEUX MILLE 

VICTIMES 

Paris, 19 Mût 

Les dépêêobes 

reçues ce matin de Port-an-Prince 

confirment la gravité du désastre qui 

a ravagé Haïti. Les victimes sont 

très nombreuses et les deeits Met- 

cula/des. 

Port-au-Prince, 19 août. 

L'on 

ragea qui vient de sévir sur Haste 

est .ndidere comme le plus violent 

qui ait été constaté depuis quartnte- 

deux ans. Les dommages causés aux 

routes, anx réseaux télégraphiques 

et aux services publics atteindraient 

an million de dollms. De nombreu- 

ses petites embarcations ont lié cou- 

lées ou projetées sur la côte. 

Des pluies torrentielles qui aceom- 

pagn.aient la tempête ont duré plus 

de vingt heures, tendis que le vent 

soufflait en °mosan. Les ples gros 

dommages ont été enregistrés dans 

la périphérie. Les villes importer tes 

ont etê moins éprouvées. 

Les renseignements reçus dans la 

nuit .nfirment que de nombreuses 

personnes ont été tuées, ren certem 

nombre de villages emportés et des 

dégâts incalculables causés aux ré- 

coltes. Les dernières informations 

évaluent le n.ombre d.es morts é plut 

de deux cents. 11 y a dix mille per' 

sonnes sans abri. 

En Algérie 

311)1. BORDES ET CARLES 

REGAGNENT LEUR POSTE 

Port-Vendre, 19 aout A /a 

suite de la catastrophe qui vient de 

se produire dans l'Est algérien et 

inn a particulièrement sévi Pm la 

ville de Dildelli, M. Pierre Bordeu 

gouverneur entra) de l'Algérie, moi 

villégiaturait en Roussillon, et M, 

Cer/es, prect de Constantin, en 

tacatioes dans l'Ariège, ont dû in- 

terrompre leurs vacance et onf pris 

passage, dimanche men, h 10 h. 30, 

Û bord du paquebot a Gouverneur- 

Général-Tir:am a, courrier d'Alger, 

rejoignant leur poste, 

3IM. Bordes et Caries se rendront 

sur les lieux de la catastrophe pour 

suivre 'emmêle et. apporter tes eu.- 

doléances du gouvernement ms vin. 

thora de ce nouveau cataclysme qui 

vient de s'abattre sur ',Alqfrte. 

commémoration financière 

O n liane 

LA FETE DE LA LIRE 

Milan, 19 août. Une grande ma- 

eifestation a eu lieu, hier, Pesaro, 

t l'occasion du 2. mniversaire du 

discours que M. Mussolini prononça 

dans celte ville pour y annoncer 

son intention de revaloriser ri de 

stabiliser la lire. 

Rn présence de hLM. Ciano et Ric- 

cardi, ministre et sous-secrétaire 

d'Etat, de M. Arnaldo Mussolini, 

frère du duce, et des délégations de 

Mutes les provinces d'Halle, 

a 

Inauguré, à oette occasion, le non' 

'trou pelais des P. T. T., sur te 

façade duquel sont grevés les deux 

phrases saillantes du disoours en 

question a Je défendrai la lire jus- 

efuM ma dernière goutte vie stage et 

« je 

/amais au peuple ita- 

lien la honte morale et aesetomique 

d'une faillite de la tirer. 

Les tournanii remarquent que le 

aime a tem sa promesse. Gest pour- 

quoi ils appellent la journée de 

Pesaro la a tète de /a lire 

ntnith11111111 LE 27 

LE PROGRAMME 

I)ES CEREMONIES 

Paris, 19 août. 

Le quai d'Or- 

say nous a communiqué le détail 

du programme de la cérémonie 

qui se déroulera, le 27 août, pour 

la signature du pacte Kellogg. 

Le lundi 27 août, M. Kellogg, 

MM arrive le 26, aura offert dans 

la matinée, M Briand, afin que 

tout soit préparé pour la cérémo- 

nie. Celle-ci aura lieu l'eprès-midi, 

dans le beau .lon de l'Horloge, 

au Quai d'Ors. 

Le mardi 28 août, les del... 

ON COMPTE DIX MORTS 

ET CINQUANTE BLESSES 

Constanti., 18 août. (Retardé en 

transmission.) Le nombre des 

morts dans la catastrophe de Djid- 

PMI est, à l'heure mtuelle, de 

quinze. En effet, ce matin, à 10 heu. 

res, on comptait quatre indigènes 

Indu à Djiilleili, un Européen tué a 

Cavallo, et dix entres morts, dans 

les alentours, non idp,xliéév 

On compte, en outre, dans la popu- 

lation civile, cent cinquante blesses, 

dont dix grièvement Les autres 

n'ont reçu que des blessures légères 

Pgievel'insennti,Ntetate.u.%.nILy uplduisa lege 

ment atetints, et qu.arante, enfin qui 

ne soM que contusionnés. 

D. mins immédiats ont été don- 

nés am blessés par les médecins dc 

DPI:Reit auxquels sont bientôt te. 

nus se Joindre des médecins militai- 

res et civils accourus des locautes 

du département. Tons ont fait 

prouve d'un gran.d dévouement. Des 

dispositions ont été prises pour éva- 

cuer les blesses les Plus atteints sur 

RI Milia et sur Bougie, oit Ils se 

trouveront dans de meilleures con- 

ditions d'hospitalisation. 

LA VIOLENCE DU CYCLONE 

C'est 1 5 h. 15 exactement que le 

terrible cyclone, meompagiad de 

grèlr et de pluie, s'abatill sur /a 

ville et sur les environs. La violence 

des éléments se déchetou par/Mu/M. 

liement pendant cinq minutes. Ce 

lems de temps suffit pour Provoquer 

une dévastation inoute. D'innombra- 

bles toitures furent arrachées çt 

transportées au loin. Comme, en 

raison de la saison chaude, la pin- 

part d.es fenêtr00 des maisons se 

trouvaient .vertea des cloisons in- 

térieures furent enfonekes par la 

bourrasqUe, s'écroulèrent et mitral. 

chute des maisons. Prep 

que tom les arbres furent Muses au 

arrachés du sot Toutes /es instatim 

lions électriques one thé détruites. 

Le timm Apap 

écra.sé sur le sol. Les do,cks ne for- 

ment phis qu'un amas de décombres. 

Les télea, qui recouvraient des ma- 

gasins ru port ont été emportées 

par le vent. Fittes volaient au-des 

ms de la Mlle somme des feuilles de 

papier. L'une d'elles, pénétrant dans 

une maison à une vitesse thiniegiva- 

ble, faillit trancher la tête d'ou kunt- 

me qui a'' trouvait. 130e cotre, pr - 

jetée contre les moulures d'une MM- 

sen, garda Pempreinte exmte de cos 

dernières. L'hôpital militaire, três 

endomnege a dû être éventé. Les 

casernes ont également beaueoup 

Le raz de marée qui accompagna 

la torn.ade causa la destruction de 

plusieurs embarcations dans le port 

sans m.ort d'heaume, 

iront à Rambouillet, où ils seront 

les hôtes du président de la Répu- 

blique, qui les retiendra à dei.- 

ner Vers 5 heures, let diPlomatee an- 

rent reçus à l'Hôtel-de-Villes Cm, 

tains d'entre eux partiront le soir 

poux Genève, les autres mercredi 

matin seulement. 

Et, comme d'habitude, les conte, 

estions seront réservées pour les 

apartés de Genève. Le lac Léman 

servira de cadre à ce genre de 

dipiomatie par prise directe et oui 

a déjà valu à l'Europe Locarno. 

D'autre part, des agences amé- 

ricaines annonçant que M. Kellog 

repartira de Péris très moidement, 

car il a accepté déjà d'autres ren- 

dez-vo. ailleurs; que les ministres 

qui seront le 27 à Paris doivent 

être le 29 à Genève. Il suffit de li- 

re l'emploi du temps du 27 et du 

28 pour se rendre compte qu'il 

n'est nullement question de con- 

versations diplomatiques, mais pu- 

rement et simplement du pacte. 

En ce qui concerne le ministre 

des affaires étrangères du Reich, 

l'office allem.and de la presse an- 

nonce que M. Stresemann viendra 

seul à Parie. Quant à M. Maassolini, 

il A chargé M. Grandi de signer 

pour l'Italie. 

MAIS QUE FERA ENSUITE 

L'AMERIQUE 

Londres, 19 août. 

Dans un 

long câblogramme, hdremé à son 

journal, le correspondant de rob- 

server à New-York, exprime 

crainte de voir le Sénat américain 

rejeter le pacte de renonciation à 

la guerre, du fait même que la ai. 

tare de 

pacte coincide avec 

a campagne présidentielle aux 

Etats-Unis. 

Le correspondant pense que la 

tentation pour les démocrates d'at- 

taquer le pacte en question, ms 

moment de la ratification sénato- 

riale, pourrait se trouver augrnen- 

FEUILLETON DU e MIDI SOCIALISTE a 

PECHEMESSE 

Non. fit Julien en ballant la 

tête. 

Man un ami de ma mère... 

seni-lh... Il M'a élevé_ J'ai grandi 

dons sa famille... J'y étais anoure 

quand j'ai fait in. service mili_ 

taire... Mais maintenant que je suis 

ur homme Eh bien, mon bon Tony, 

51 faut que me débrouille dans la ma 

Out emene moi. 

J'avala toujours envie de ml 

Nha peintre,. Au lyeée de Brest... 

Ah I c'est lit-bas que tu de- 

meurais ? 

Oui.., tout près. Au lycée, on 

diabit cille l'Avale de grandes dis- 

Pesdiouse Mn), de ne rêvais qu'à 

en 

Tu aumis do t'y Presd,s galas 

têt. 

, 

Deohttestli PARTIE 

4RLETTE SAPHIR 

par PAUL LIN:ETNA/ 

(56) 

Je sais bien-, Un tas de rai- 

sons... Je te raconter..., Enfui, je 

semple rattraper 1e temps perdu... 

Et tete 

hIll, edet bien bizarre. Quand 

j'avais dit ans, un peintre est venu 

louer une maison tout pu)e de chez 

nous._ Délais tout le tempe en 

train de tourner autour de lui... et 

ça m'inteseetalte. et eà ana pasa 

SiOnnsitse il enet intimé à me faire 

essayer... II I dit à mon id. que 

Rata. là Un bol avenir. Ma bene- 

mère, gal pensait qu'en tau faisant 

Peintre, Je laisserais ma Pl'91 amui 

seule dans le domaine, a aPPuYé sur 

le chanterelle... D'a,bord, on m'a 

mis en miel. à Antenne et pute, 

eeize ans, alleZ donc, à Para.., 

Ide par le sentiment quasi général 

des éléments démocrates mais décidée h exécute 

son &Hale dessein t rectification de 

sa frontière orientale, absorption de 

l'Autriche. Dès lods, un rapproche- 

ment avec la Franee ne peut être 

peur elle que le moyen de satiefaire 

plus facilement son ambition. 

Sans cela, d'ailleurs, eromu-vous 

tiîzer 

e ves nationalistes - laisserefent 

hiStresemann I . 

un sr. (mi Iat Cane 

"LA MEUSE" 

.biana P61 

Toi aussi, j'espère bien. 

Mai... je veux... j et 

dussésje périr h la tache... 

Oh I le petit rota. d'amour 

Oui.., je te rmonterai plus 

Parce que se ne serait pas la 

peine de Wetre retrouvés, mon fré- 

rot, si on allait se lâcher, mainte- 

oira.,, J'ai ,ustee ont de ruile vis. 

là sur im épaules., aube peux 

t'éviter bien des sem. bien des rm- 

Par L eneces:l2ién7 

Pelisse qu'on recommence à 

être frères., comme autrefois... 

qoaod .en partageeit tout, ohez 

a pauvre maman Rose... Ah I 

de grand mon frêre Tony. 

Alors.., mon cadet, moi de 

commander la manuvre. Tu con- 

Mbigr...Pryhsiiis venu deux foin, 

pendant les vacances pour y DU- 

ser_houiht silouprlu.smeVeoi jittioeuts. Q.,;oue 

Mance que tu m'aim trouvé. Tu ne 

te doutes pas mmme il y a des 

tomes, ici, à tous les coins de rue, 

Pour croquer les petit,s provinciaux 

et leur ratiboimr leur galette 

Va 

Mame, tu en sa, de la 

e à o.i.eztezt je. 

ale f 

La Vie Sportive 

A qui l'Automobile ? 

Tombola du Comminges 

La voiture a SALMSON s. 

d'une velem de 27.700 ft, a été 

go,ée p. le Ns 7.101 

mes., pour le verifictis 

don da son authenticité, . La 

Papeterie Baste 57, "te 

Brivard,4 Toulouse. 

IsIMMUm 

LA TRAVERSEE DE PARIS 

A LA sAes 

Paris 19 août. 

La classique tra- 

versée 'de Paris h la nage organisée 

par Le Petit Parisien o, West dis- 

putée ce, après-midi par un temps 

idé 

Lal.e départ esi donné au pont Na- 

tional h 23 concurrente. 

Dês le début, Mlle Moitié, de Po, 

toise, s'efforce de prendre de l'a- 

vanoe; elle parvient h gagner rapi- 

dement une dizaine de mètres sur 

ses concurrents ; derrière elle, la 

distance s'allonge entre ses adver- 

salles; lorsqu'elle réussit à prendre 

sa barque. hille Moitié a 50 mètres 

d'avance. 

Un quart d'heure plus tard, oieet 

au tour des hommes de rentrer en 

danse ; 

sont quelque 200 nageur.. 

L'avantage sera d'abord oenu om- 

mes vites et, de fait, le Tourquen- 

noms Vandenplannue, gai emPlee le 

orawi, a pris la tête. Son avance 

augmente et, lorsqu'il arrive au pont 

de Tolbiac, Il a (0 mètres sur son 

suivant immédiat, le Bordelais Ra- 

beyrol 

Au pont de Bercy, Mile MOitié est 

toujours première et son avantage 

s'est accent., elle a 80 mètres da- 

vance 

Côté des hommes, Vaudenplanque 

est en tète avec une cinqu.taine 

métres d'avance sur Rebere ; rat- 

ure du Tourquenmis est magnifi- 

que. La lutte et chaude pour Inc 

places de second entre Reheyrol et 

Vm. 

Au pont d'Austerlitz, aucun chan- 

gement, Mlle Moitié a une avance 

considérable, licheynt et Vos lut- 

tent toujours pour la seconde place, 

tandis que Vandenplan,que, d'une al. 

Pore magnifiquement aisée, est pas- 

mé ayant 100 mètres d'avance. 

A partir du pont d'Austerlitz, lei 

entières femmes sont rejointes par 

Ive premiers concurrents, Vende- 

planque en tête, et augmente tou- 

jours son mance. Au pont Sully, 11 

a nettement 100 mètres d'avantage 

sur ses suivants immédiats. Pour la 

seconde pince Ang,lessy, Souvestre et 

Sourdet luttent désespérément l'un 

pris de l'autre, à dix mètres d'eux, 

llebetrei Sent Mit, sembiant atten- 

dre l'heure de produire son effort. 

ChroniquedeialIF. 

PROGRAMME DU 20 AOUT 

RAD1O-TOULOUSE 

(Longueur d'andet 391 métres.) 

A 12 h. 30, concert offert par le Radio- 

Club d'Aeen. 

Première .rde (festival Mec...Plan. 

queue, opéretteq 

< Les GR.. d. Corneille Tem. 

plat.) Ouverture Va, petit mese., 

je maardaie an l'ai; a Rie s (Planmette) 

Cet un rien; C'est malgré moi ai i'me, 

« Véronique (Mossaaer) Couplet d'en. 

sic h Air de la lettre < La B.mhe v 

je suis aimé de I. plu, belle; 

foui cher les ni..uu mea frère.: A ton 

amour simple et sincère Roumis 

(Messager) Si voue morale que ie 

dire: Ma vielle mai.. gris, Lomme le 

n'émis qu'un enfant. 

Deuxième partie (mea.. jeb 

Cortisonoia si; Femme. eapero 

< Tinielas Casamove 1 « amenas 

del Sud e o Mi pat., e, a Tan. omem 

01 s: Flat. s. 

A 20 h. 30, concert 

Première nome Mn pev de mienne 

Javel 

< Cesse Noiee. r (Tchelsoveky) h Ou: 

verte. mineure; Marche; -Dente do 

à te cacher, pou vrai I une [tom- 

me de dix mille francs, 

Dix mille balles I que, tn as 

apportées.., avec toi... Tu es fou I 

Je les al apportées. pures que 

c'est toute ma fortune, pares que je 

anis parti de la maison où y étale, 

sans esprit de retour, parce qu'avec 

ces dix mille francs, il faut, ni fent 

absolument, voleta, que je vive jus; 

qu am moment oh j'aurai du talent.., 

oh jarriverai h la :réputation., 

airiee.. 

tr.jyie "errie neje7rnsépe 

dans ma tête.., que 0m but t dunes ma 

seulement quant Julien 

Delaunay sera un artnte d'avenir, 

un artne déjà indiscuté... mi. 

Topa, u' vol seulement alors qu'il 

pourra entrer, par /a grande porte, 

dans une mitre 

Oh il p.. une jeune personne... 

Ah I mon frère Tony, je te ra- 

°noterait je te raconterai... Ce 

sera l'histoire de toute ma via de 

mes ilbnions, de mes espérances, de 

mes déceptions, de la, cruauté du 

sort., de la méchanceté des homme 

Mme A115,1 de la radieuse fille d.t 

l'énergie m'a rendu le courage la 

foi. Vespoir obstinés., la volonté, 

Tout, la volonté surtout I 

La brasserie était pleine de jeu. 

me artistm, d'étudiants, la plupart 

menus de Tony.. 

n 

t comme 'Ife, élevait en os 

amen< sa rais. more, . point 

A Noire-Marne, loreque vandoplass. 

que passe, longuemeni applaudi, g 

ea 10 h. 20; le nageur Uturqueeess, 

poursuit sans Mai/lance et d'une 

allure remarquable se course, mais 

le pelle semble déôts de voir Ra-, 

beyrol Rudement en cinquième po. 

sillon 01 51 loin. 

AU pont tlaint-M /chat pas 

moindre changement et il en est ds 

rnâme au Pont-NOM et au pont dea 

Arts. Au p.ont du Carrousel, le s.s., 

mur tourquennoia,sans paraltre fat, 

paumait e murso vert le suc: 

cès. 

Se Massent derrière hl 1 Sourdet, 

sûeond: A.glessy, troisième; Smvest 

De, quatrieme, et Reheyrol, cinquiè- 

me. 

Vandaplaeque n'est plue en% olnq 

mètres de Mlle Moitea 

L'arrivée 1, Vand.lanque (15, 

N. Tourcoing), en / h, Io'_; 2. Re, 

beyed, en / h. 54' ; S. Souvent. 

(Marseille); A. Sourdais (C. N. P.), 

Dames Mme Ledoux (Tourcoing? 

LA TRAVERSEE DE LA MANCHE 

A LA NA« 

Beuloee-sur-Mer, 19 boêls. 

à 

Deux compétiteurs la traversée dg 

la Manche à le nage ont quitté, si, 

soir, le eap Gris-Ne en vue d'es., 

sayer de gagner la côte anglaise. 

Miss Ivy Hawkey. gui sellnia que> 

qUes semaines, a subi un entraîne- 

ment très erieux s'est mise h Duos 

In première h SI h. 69. Elie sera es_ 

minée dans es tentative par le re- 

morqueur « Alsace a, du port. de 

Boulogne. 

A 22 heures, t'Anglais Park, It 

quitté, à son tour la côte françaimi 

avm l'espoir de gagner la côte de 

son pays. La mer est calme et 

temps est propice à une traveMée, 

Cyclisme 

LES DEMY-FINAL/rd 

DU (11/AMP/ONNAT DU MONDE 

DERRIERE MOTOS 

Budapest, ID août. Aujour- 

d'hui ont été disputées à Budapet 

im demi-finales du championnat du 

monde des 100 kilomètres derrière 

motos. Lm résultats en ont été le 

suivants 

Première demi-finale : L Sao« 

Molli 1 h. 20' 19"; R. Linan (Bel. 

gique), / h. 26' 54^. 

Deuxième demi-finale t 1, Bre.. 

(France) 1 h. 22' 35"; 2. Semait (Al- 

lemagne), 1 h. 22' 54"; 3. Lafuppl 

(Suisse) 1 h. 23' 13". 

La finale sera courue demie 

bAR 

LE CIRCUIT DE latiVAUR. 

Laveur, 19 août. Le comité dei/ 

fêtes de Laveur °remise pour la 

dimanche 2 septembre, et sous le 

contrôle de VU. V. F., une course 

cyolMte régionale sur environ 500 

kilomètres, dotée de 2.1100 francs de 

prix Le droit d'inscription est fixé 

5 fr. A eette course, tous les cou- 

reurs de toutes catégories sont oit. 

Lei 

sser'' 

,nUrteir!'nft reçues 

°omit& 

fée dineée; Tréma (dame russe: Dan. 

amber Damer chinoise; Danee dee 

tons: Valse dee Rems: o 1, Prime Roi s 

Illorodme): Chwur reao, avec accola». 

emmennt de amie mahestre. 

Danse. himiluctim ; Danses robot' 

Dame de la steppe do Emie 

centrale s (Borodine/te ta Som de Sm- 

tchineki 1Mousmr.ky) I Introduction r 

Une chaude tournée en pente Ruesie 

sélmtion de < Borie Godounov. Chant 

de V..., lui le pouvoir eirpréme: Me 

de Bari, Scène du carillon; Le adieu. de 

Boris: Mort de Borie: s Lu Bouleau ai 

chanson omnium nese (Borodine), 

bord du Danube ,,, chanson do genie riv- 

e inctodine); L'Oiseau de bu e, hep 

caca, grand «tissue (Stravonakt). 

Deuxième pude Mmes menins) t 

Le Violeter, al a El Cirma 

que diian al «Feder:mien tanao 

Glorias si Se amierm lue oradm se ; 

Omette si s lhulivoiosh e Derecho 

Vie.

L'éclairage, le pavage, le loge. 

ment voilà ce que le pubhc con. 

naît le plue de rceuvre municipale. 

Soit parce que les journaux sont 

M. loquaces en ces chapitre., soit 

parce que les travarx se voient 

mieux, plus souvent, au cours des 

déplacements quotidiens de aléa. 

ruel'habitant. 

Mais la municipalité fait autre, 

chose ; réalise d'autres choses, 

dont la population n'est Inc aven 

tir comme il conviendrait 

La presse n'en parle pas pares 

qu'elle n y trouve aucune matière 

à critique. 

Ainsi en cet-il par exemple des 

abattoirs dont le maire a dit un 

mot, l'autre jour, en cours de réas. 

ne publique. 

C'est une couvre vaste que cette 

réfection des abattoirs. Nos leu. 

arasaen connaissent la nécessité, 

ayant lu dansant colonnes une 

partie du rapport Y relatif. 

Rapport°ns ici, aujourd'hui, les 

paroles du maire, qui en un court 

chapitre resume la question dans 

le mémoire dont la lecture parut si 

muerte à nos confrèrea 

L'une des réformes qui alarme- 

saientl que les municipalités so- 

cialistes de 1906 et 1912 avaient 

étudiée était celle des abattoirs. 

En 1913, un concours fut ouvert. 

L'un des auteurs, M. Piat frères, 

rie Pont,i fut primé. Le Consel 

municipal en 1919, vota la recons, 

truction des abattoirs sur le tes. 

min de la Faourette. Lé devis esti, 

metif était fixé à 17 millions. 

La municipalité précédente aban 

donna le projet, mais ne fit aucu- 

ne modification aux abattoirs ac- 

tuels. 

. Le projet imimitif let frères 

Piat coûterait, à l'heure actuelle, 

55 à 60 minbars. 11 ne tallait pas 

songer à le realiser. D'autre part, 

on ne pouvait laisser les abattoirs 

dans l'état où ils se trccvent, et 

qui ne permettent nes industnah- 

sation de l'absence des viandes, et 

laissent trop à désirer an point de 

vue hygiène. 

Le Conseil municipal a envisagé 

/a réfection des abattoirs sur rem- 

placement actuel. 

Le projet s été adopté et murais 

à l'approbatibe de l'ardmité supé- 

rieme, après evoir reçu les avis 

favorables de la Commission des 

Bâtiments civ;Is et du Conseil dé- 

partemental d'hygiène. 

Les nouveaux abattoirs sont 

conçus suivant le type industriel. 

La mécanique remplace la Main- 

d oeuvre huma:ne, et la propreté la 

-^ 

- o-- 

Voir Le Midi Socialiste du mercredi 8 août 

DELAISTRE 

Prz&seeur crarchiteeture (1778-1780), 

Directeur de l'Académie des arts de 1782 

à 1751. 

J'aurai bien voulu marquer an- 

Jourd'hui le 130. anniversaire de 

l'entrée en fonctions à l'Académie 

des Arts de Toulouse du prof.seur 

Delaistre, chargé du cours d'archi- 

tecture en 1778, mais toutes mes re- 

cherches ont été vaines à son sujet. 

Cependant, ce profe.ss,eur paraît 

avoir été un person,ge assez im- 

portant, puisqu'après ,oir enseigne 

t'architecture de 1778 à 1780, com- 

me /Indiquent les palmarès de l'épo- 

7AeAiàémlfue t ctitargé de la direction de 

d, Arts de 1782 â 1784. 

Dans cette chaire d'architecture, il 

avait suecédé à François Cam.. en 

1777, et II fut remplacé par Pascal 

Virebent en 1781. A la direction de 

l'Académie 1/ avait succédé à Phi- 

litre Hardy en 1 782 el Précédé Pin 

Jusqu'en 1784. 

Ses fonctions à l'Académie des 

Arts sont donc absolument incontes- 

tables, bien qu'il ne semble pas les 

avoir remplies avec une ponctualité 

exemplaire. 

M. de Mondran, en effet, dans son 

manuscrit Cahiers Pour serY11' 

l'histoire de l'Académie des Arts 

1790 fi, nous dit : e En 1763, la 

place de professeur de la carte au 

Lavis qu'occupait M. Delaistre fut dé- 

clarée vacante par défaut d'assiduité 

et réunie â l'école des Ponts et 

Chaussées, nouvellement établie. 

Dans son « Histoire de l'art et des 

artistes toulousains au MX. siècle s, 

M. le baron Pesasses de monigel- 

1,,rd dit t 5 Gros excellait dans les 

Portraita. Un de ses élèves, devenu 

bon ami intime et qui s'est fait son 

Principal biographe, Delestre, en a 

MO ou décrit une cinquantaine. é 

Peutson confondre re biographe 

Delestre et l'architecte Delaistre ? 

Ba:métal, qui édita, en 1887, f la 

librairie Der, à Paris, un diction- 

naire des architectes français, ne 

précise rien sur un architecte tua- 

...na de ce nom. Mais alors, 

II'après Raucha!, pent.étre ce Pelota' 

tee litait un descendant, venu en Pays 

toulousain, de Dellaistre Nieoias, 

maltre-maçon et créancier de l'an 

ebovéque de Reims pour la somme 

.tio 1.228 livres, qui est cité dans 

itut acte dit Parlement de 1645 et Rai 

est vraimemblableme.nt l'enteuc 

ratais archiépiscopal entrepris 

Rems vers cette époque et terminé 

sen/entent en 1675. Ce Pa/015 oété 

arnit rie 1914 4 1918, P. lf z_ 

Itardeme.nt allemand. 

le me permets de laisser à des 

eltereheurs plus érudits et 18us 

teux mie mol le soin de compléter 

reg° notice. 

LAGARDE, 

Tolosa Nouba' "Ct;F' :,p;Ilar 

plus rigoureuse régnera dans les 

divers stands d'abatage. 

Un frigorifique permettra la com 

servation des viandes et sera mis à 

la disposition, non saylement dee 

bouchers, meus encore des indus- 

triele ou partIculiers tan veulent 

conserver des marchanrbses péris- 

sables. 

De grandes salles de resserre ce' 

rune aménagées pour t'exposition 

des viandes abattuee. 

Une protestation s'est fait tom 

au 'sujet du projet adapté par le 

conseil municipal. Elle émane de 

Faubec, ancien conseiller mu- 

nicipal, président de la chambre 

syndicale de la charcuterie et 

membre de :a commise:on extra, 

municipale chargée d'émettrel un 

avis aur le projet présenté par 'Ar- 

chitecte Monttunol. M. Faubee 

est rest' muet le jour cû la dite 

commission s'est rénine et ce n'est 

qu après le vele par la conseil ims- 

nicipal que M. Faubdc, se revés 

lant tout à coup, à pcisenté 

contre-projet. La m.anccuvre malt 

claire ; essayer de retarder ou de 

faire échouer ce que M. Ferle, 

membre de précédente munie/. 

peiné e aven pu réaliser. 

Une autre protestatran émane 

de M. Destatarau, encore un an- 

cien membre de la municipalité 

sortante dont le projet n'a pas été 

retenu par le coneed municipal 

pour une double raison 

I. Parce qu'il était incomplet ; 

r Parce qu'il revenait plus cher 

que le projet adopté par l'An/rem- 

bl Inumc/pa e. 

n y a rien à retera de cette 

protestation, si ce n'est le mouve- 

ment d'hurneu d'un candldat évin- 

oé 

Le projet mésenté par l'Admi- 

nistration mun,mpale a reçu r, 

probation des autorités supérieu- 

res. liexécution en est comme', 

faieeial eme"th.e7rZnérpuis la"lin do 

la présente année ou le, tout pre- 

miens mois 'le 929. 

Une convention passée entre les 

syndicats de Bebucherie et de la 

charcuterie de la ville aseure aux 

usagers la herrniture d, la glace 

industielle jusqu'à concurrence de 

quatre malle tonnes , ai an, et une 

recette, pour la ville, de plue de 

440.000 francs. 

La dépens.r totale s'elève à le 

somme de 12_300.000 francs néces- 

agent l'inscription d'un, annuité 

de 1168.000 francs. 

L. première annuité sera payée 

le ler août 1928. 

L'exploitai,co industrielle du 

nouvel abatteir est prévue pour un 

rapport de 1.600.000 fr par an. 

Propos D'ART Reaseisaame Gomagralaux 

REG/ON ECONOMIQUE 

DE TOULOUSE ET DES PYRENEES 

Offres et demandes de représentation 

Articles pour lesquels sont deman- 

dés des représentants dans la ch- 

gion r 121 T t haricots; 122 T, s rai- 

sins frais et secs, ligues, citrons, etc.; 

/23 T n biscuits de luxe; 124 T 

alcool extrameutre, .mde-vie de 

fruits d'Alsace, liqueurs, nes aller/- 

tifs; 125 T n vins de Saumur et d'An- 

jou, vins mousseux; 126 T vins et 

deterceri.ei,r128g'll'' itulres:artioles 

m 

prod uits ntreti. .o 

, stne,merne 

et produits chimiques; 189 T : en- 

enuesioienotzus vrinil; 130 T verz 

colorées pour les i.'nerL'irel'esedulagours, 

du cuir, etc.; 131 T n produits chi- 

miques; 132 T n glycérine et co- 

déine, paraffine, naphtaline, gou- 

dron végétal, savon mou noir, soude 

et potasse caustique, nitrate d'am- 

moniaque, etc.; 133 T z colle pour 

chaussures; 134 T soudure spéciale 

cv fuzaliurn; 135 T s tubes isolants; 

136 T n 10.anes, peau- mégesees 

137 T t dentelées h la main. 

Articles pour lesquels s'offrent des 

représentants 543 T n cornichons 

au vinaigre; 544 T n arlleies d'ali- 

nentation; 545 T i cuirs façonnés, 

chaussures, produits pharmaeeutti- 

rues, produits chimiques, couleurs, 

peintures, vernis, etc.; 546 T t d/e- 

nlises, espadrilles, charentaises, bon- 

neterie; 547 T n charentaises, espa- 

drilles; 518 T : chemises, bas et 

chaussettes; 549 T articles envers; 

550 T r articies divers; 551 T i arra 

cies divers. 

Offres et demandes de marchandises 

Marchandises offertes 1.035 T 

endives de Bruxelles; 1.039 T hué 

/es d'o/ives, dattes, amandes décorna 

que., marjolaire, éponges; 1.040 T 

moteurs h bulle bolide diesel et 

semi-diesel, grues, etc.; 1.041 T : 

maroeptinerie, broderie de Fez, cuirs, 

peaux, laine, crin végétal, tapis ma- 

rocains. 

Marchandises demandées n 1.577 T 

bérets basques et bérets pyrénéens; 

4,118 T n mule; 1.579 T lessive et 

cristaux de soude; 1.580 n pinceaux, 

colle de lein, colle forte, colle géla- 

tine, noir de fumée, bleu d'outremer, 

bleu de Prusse, blanc de Meudon, 

ocre, silex, silex de tner, talc, sable, 

terre réfractaire, kaolin, spath fluor, 

feldspath, quartz, bauxite. 

Offres et demandes d'emplois 

Demande d'empioi 

2.900 T n tra- 

vaux d'écritures ou emploi de ven- 

deuse. 

Les offres et demandes de repré- 

sentations, de marchandises et d'em- 

plois gni préendmt sou pubhées 

sous toutes réserves. 

Pour les adresses, se rendre ou 

écrire à la IX. légion counumique 

(Région économique de Toulouse et 

les Pyrénées), hôtel de 10 Chambre 

de Commerce, Toulouse. TM. 9-69. 

Un jeune hommé frappé 

de ton:cation ailla la Won 

Iliveul à 15 heures, le 

jeune Elie Fautrier, plâtrmr, 17 ans 

demeurant rue St-Jacques, 8, au 

Pont des Demoiselles, se baignait 

da. la Garonne à la chaussée VI- 

vent, au Parc du Château. Subite- 

ment, il coula te. pic. 

Des jeunes gens qui faisaient du 

canotage l'epereurent et sa Portè- 

rent à eon amours, ainsi que M. 

Verdier, passeur, qui transborde des 

pntnsgreteoeeoov nxsvmobilt do 

l'Avenue de Muret au Pare Toute, 

Sain. 

1.0 jeune homme avait essayé de 

s'accrocher à un canot, mais avait 

lache prise, avant de rouler. M. Ver- 

dier h l'aide d'une ancre anale/IO h 

une corde trussit h tirer de l'eau le 

malheursux jeune homme qui res- 

pirait encore. Il fut embarqué sur 

In canot que montaient Min Malet 

et Pierson qui le ramenerent h bord 

et Ird prodiguèrent des soins dé- 

voués, pratiquant notamment la res- 

piration artificielle. Malgré toue 

leurs soins, hi malheureux Fourrier 

exPiert ana h.. .après. Les consta- 

tations d'usage furent faites par 111. 

le eomtnissaire de service h la per- 

marnera, assisté du docteur Dupin 

oui a diagnostiqué :un décès par 

congestion. 

.SIEGES e STELLA s, Tous les mo- 

deles sont exposés r 3, rue Rivais. 

A ET LA 

CARNET BLANC 

Nous anirenons avec plaine le 

mariage très prochaM du jeune fils 

17-edonjenrip7Ité,darymuniladremo'isrele° 

Yvonne ' déBoyé-Paurnês. 

La cérémonie aura lieu samedi 

przybain 25 août à 17 h.10. 

I llicitations et meilleurs souhaits 

dit ii Midi » et de toute la famille 

socialiste. 

CHAMBRE DE COMMERCE 

DE TOULOUSE 

La ville et le Syndicat d'initiative de 

Revel organisent une foiremposition com- 

merciale, industrielle. artiatique et ab, 

cote, qui aura lieu du 15 au 23 septembre. 

au collège munkipal de Revel. e à mua les 

jor26i* ' 

tecreZtintnatZynaV et. mut par- 

ticulièrement à ceux des ind,riea locales 

et régionale. 

On trouvera au secrémriat de la Cham. 

bre de aernrner.. de Touloae des rem 

seignements détaillés sur les conditions 

auXquelles l'on peut participer festin ma- 

nifestation. 

L'on peut avisai s'adreseer à M. te con, 

maire généra) de In foiresex,sition, 

Syndicat d'initiative de Revel-Saint-1-a 

réol. 

PRIX MAURY 

Il sera mis au concours, cette ain 

ree, par la Chambre de Commercé 

de ,Toulouse, deux prix Maury dt 

mille francs qui seront décernés Pun 

h un employé, l'autre à une em- 

ployée de commerce, natifs de Tou- 

Ruse, ayant demeuré dix ans sann 

interruption chm le méme négo- 

ciant, h Toulouse, el dénués de res- 

same.. 

Ces prix seront attribués au méri- 

te professionnel. 

Les employés et employées de 

cornmerce qui remplissent les con- 

diflons exigées par le donateur el 

qui désirent poser leur candidatme 

au Prix Maury sont priés de faire 

parvenir leur dossier 

I. Demande de l'intéressé ; S ex- 

trait de naissance ; 3. certificat du 

patron ; 4. extrait du elle des con- 

tributions .ou eertific de non in, 

,position 

Le tout sue papier libre b M. le 

Président de la Chambre de Com- 

merce avant le 30 septembre. 

Ouvrières couturières demandées 

aux ateliers ou h demietle, a AU 

PRINTEMPS n, rue Lapeyrouse. Soit 

peur journées entières, goit pour 

demi-journées; convenant aux tem- 

mes ayant ménage. Travail assuré 

toute l'armée. Se présenter aeve ré- 

férences. 

DANS LA RUE 

IL RENVERSE UN CYCLISTE 

ET S'EN VA 

nier après-midi t 18 h. 30, M. Be- 

nazet Jean, cultivateur à Pectlibus- 

que passait à boyelette foute de 

Castanet se dirigeant vers Peehbus- 

que, lorsqu'il a été croisé par une 

auto marque tt Citroen o qui ne te- 

nait pas sa droite, alors que lui 

élan parfaitement h an main. Il a 

été heurté mais n'a pas eu de mal. 

La maehine a été détruite. L'auto- 

mobiliste a refusé de donner son 

nom et a diSparu. M &L'un( qui 

avait relevé le numéro de Van» a 

porté plainte contre ce dernier. 

FEU DE CREMINEE 

Hier à 13 h. 30, un feu de che- 

minée dû à un Men de construction 

e.l déclare dans l'immeuble du N. 

9 de la Place du Ravelin, apparte- 

nant à Mme Causse II a été éteint 

par leu pompiers, après 10 minutes 

de frayai/ 

INDISPOSTITON 

Avant-hier vers II berces, la 

ranneeâ 'antrn't-get% d'Aquin, 

d'une indispotion subite filtre 

de Rémusat, a été sur sa demande 

transportée à son domicile avec la 

eanuonette muni/virale. 

L'OISEAU S'EST ENABLE 

Sur plainte de M. B. M. 22 ans, 

boulanger, une emplette est onverle 

contre la nommée Aljdeleine M. 25 

=,,,so aneuttirrlee a,ei a quitté le do- 

portant la somme drerfMtarnr es7- 

CE TOMBEREAU 55e11 

irizt1011E 

L'AUTO 

Avant-hier M. Garriguee Antoine, 

chemin de la P02010,«induisant un 

tombereau de la maison Blanc, pas- 

sait rue Fermai el a aocrucha une 

automobile qui stationnait devant M 

N. 2 et mparten.ant à M. Cournef, 

'LE MIDI SOCIALISTE 

voyageur dé cOmmerCe. denneUrant 

'aLe ge 

nul' Mei la portière du 

°Cté gaule ont été endommagée. Il 

n'y a pa.s 

d'roident 

AUTO CoNTRE VELU 

Samedi vers 12 h. 30 le sienr Boy. 

lino René, demeuranl rouie de Leu- 

naguet, maison Louches, qui s'était 

es'a: y,:troul erpt tale: am7rintelt h:sesun 

Julien, 

hvu'et 

d umouvement de la Compagnie T. 

C.R.T. demeurant rne VIlletnur, 13. 

La roue arrière de la bicyclette a 

été endommagée. 

Il n'y a pas eu d accident. 

P 

Hier malin nota1CIKE/1.150, la dame 

Lafore Marie, 66 ans, demeurant Im- 

passe de l'Université 24, faisait des 

achats eur la place du Capitole, lors- 

que voulant régler le montant, elle 

a constaté la disparition de son por- 

tefeuille °lantanavi la somme de 80 

franm et amers papiers qui se trou- 

vait dans la poche extérieure galb- 

e. de sa robe. 

Sur plainte une enquete est vs. 

verts, 

'CAMPAGNE EN FEU 

Dimanche vers 13 ly 15, Un lets 

d'herbes s'est déclaré dans un 

champ loué à M, Madère, quartier 

Paleficat, et appartenant, à Mlle Vi- 

dal, Pla,ae du Capitole. 

Les pompiers alertés se sont 

traneportés sur les lieux et après 

une heure de travail, cet incendie 

était circonscrit. 

300 pieds de vigne et 200 mq d'her- 

bes environ vol été la proie des 

flammes. Les dégâts sont couverte 

par une assurance. 

TROUVAILLES 

Réclamer k M. Daffix, rue des 

Tourneurs, 60, une montre bracelet; 

Mme Ripait, ch. M. Lagrange, 118 

rue St-Michel, un bracelet; à M. Di 

Sente, chantiers du Calvaire, un pi- 

geon voyageur avec bague; h Mme 

Baylet, rue de la Concorde, 45, une 

breloque; b M. Copy., autobus Tou 

lause MeAr., en station place Ma- 

tabiau, une valise dur. fermée à 

olé; à 111. Pescano, III allé. Jean- 

Jaurès, Restaurant des Alliés, un 

soulier d'enfant; au bureau des Fra- 

yes, une pompe de vélo; un livret 

militaire, un trousseau de trois clés; 

2 cartes d'entrée sreeiale h Phospice 

de In Graveet un coupon d'action 

Beers. 

La vie socialiste 

Fédération de la Fiaute-Garoune 

COM1TE FEDERAL 

L comité fédéral est convoqué 

Pour le dimanche 9 septembre à 

9 heures do matin, à Toulouse, 

salle du conseil municipal. 

Ordre du jour r 

1. Ratification des candidats so- 

cialistes eux élections cantonales 

du 14 octobre 

2. Dernières .dispositions à pren- 

dre pour la campagne Heetora/e 

Elections sénatoriales 

4. Questions diverses. 

L'importance de cette réunion 

niéchapera à personne. Aussi de- 

mandons-nous instamment à tou- 

tes les sections de prendre leurs 

dispositions pour du faire rePré- 

serder par leurs délégués titulaires. 

Pour la Commission Eysonfie. j 

Le Secrétaire fédéral 

J. MASO/ME. 

La vie syndicale 

Syndicat dee ouvriers tailleur. d'habite 

- Lundi 20 courant, à 21 heures, à /a 

Bourse du travail, réunion mensuelk. 

Syndicat des pêtissinu,- Réunion ex- 

traordinaire aujourd'hul, 1 21 heures, 

Bourae de trevall. 

Compte rendu de la journée do 13 août. 

LA VIE DES SOCIÉTÉS 

Lieue des Arasa...a. - Les ligueure sont 

invités a assister à rassemblée générale se- 

modurelle qui mua lieu mardi G ao, 

121 heure, au siège méta café Faget, 

allées Jmn-jaurès, 77. 

Vu l'importance dea gueulons qui se- 

ront Boumisee à l'assemblée et discutée, 

la présence de toua est iadispensable. 

La Vie Sportive 

- 

CALENDRIER 

DU TOULOUSECHEMINOTA 

MARENGO -SPORTS 

(Saison 1928-291 

Août r 26, entraînement. 

Septembre 2, A. S. d. la Cfito-Pavée, 

9 Marengo( 9, Sponine-Union ...nais III, 

à Agen; 16, 'Foulouse-Bonnefoy-Sportd, à 

Mar..: 23, Skde-Union cavaillonnaia à 

Ctemilan: 30. Recharchtla earboanek, à 

Narbonr. 

Olymprque, à Marengo ; 18. PAS, de 

Groix-Daurade, Marengo (deur .) i 25. 

A'-enir moissagais, à Moise. lchampi 

Décembre , 2, Arnik Sportive lis. 

Iékei à M.,.80 Icheam.) n 9. Sporting- 

Club toulousain, à Marengo; Stade toutou- 

eain (II), am Ponts.Jumeaus; 23, Cavé. 

dian-Club à Marengo n 25, GelliaClub 

toulousain, au Galli.; 30. dembfinale du 

championmt des Pyrénées. 

Janvier lar, réservé; 6, demidinale 

champiormat ou A. S. a...sonnais, à 

Carcastionne; 20, Olympique de Carmen., 

à Carraeux; 27, finale du championnat dee 

Pyrénées, 

pé,,,; 3, championnat (matchee de 

classement); 10, Toulouse-Lalande 

Pique, à Marengo; /7. 'Foulouemillonhoure 

Olympique. à Merengo-; 24, Footbair.ckb 

toulommin, à Mango. 

Mare ; 3, Sporting-Club toulotreein, au 

SPorting-Ciab If, Football -Club toulou- 

sain, à la Poudrerie: 17, Stade aurdlroie, 

Anillam 24. Gallia-Club toulouriain, au 

Galli. ; 31. 5rade mule..0 dl), ans 

7 Toulouse -Bonnefoy Sportif, à 

Bomiefur n 14, Toulouse-L.1.de Olympt. 

que, à Lalande; 21, àémoos, 28, en mur. 

BOGIE/RE D'EDUCATION 

PHYSIQUE 

Vall, LA HAUTE-GARONNE 

La Seeiéta d/Education Physique 

de /a lite-Garonne après Ire bril- 

aats su,ocès obtenus eux derniers 

examens du B.P.M.E., ainsi qu'aux 

concours de Salies-du-Salat In 22 

juillet et de St-Girons le /2 aoqt a 

clôturé m saison scolaire le 15 tont 

dernier. 

L. cours seronl repris au mois 

d'.tobre prochain. 

Une note ultgrieure en fera con- 

naine la date exacte. 

Pour tous renseignements an/dres- 

ser au Président. rue des Lois, 32. 

MUR 

AVIS DE DECES 

Madame Jean MARROU, née Altières 

et sa fille Marthe; Madame veuve Marie 

ALLIERES Se G y-Cessea ; Madame 

veuve Antonin ALLIERES I las familles 

MARROU, ALCIERES, TEYCHENE, 

FLUTRE. GUY-CESSES ont la douleur 

de faire part à feu, renia et cormaisaances 

de la perte cruelle qu'ils viennent d'émou- 

ver en la pereonne de 

Monsieur Jean ALIRROU 

Chef du bureau militaire è la mak& de 

Tordons, Membre de la Fédération dé- 

fi...mentale des mutités, réformés ci 

anciens conamants, décoré de le Croix 

de guerre. 

leur Mo., père, gendre, beamfrère, mu- 

su, parent et allié, décédé à rm. de 

46 ane. et lee prie. de vouloir Inen assis- 

ter à ses alasèque nui auront lieu dermip 

mardi Al août 1928, h 8 heures du matin. 

Case réunira à la maison mortuaire, 

Il, rue des Couteliers. 

Selon la volonté du défunt, ka obaèques 

seront civiles. 

Le présent avis tient lien de Mire part. 

-6- 

rompes Funèbre. Municipales. 34, rua 

Pargenunières - réléphone 1140 

te chapitre L'Encyclopédique a; lee 

membres de la loge s l'Hammnie sociale e, 

et Inc francs-maçons de l'Orient de Tou- 

louse ont la dordeur de vous faire part 

de la perm cruelle qu'ils vienneuo créerons 

ver en la personne du 

EL'. Jean mArituL 

Chef du burem militaire de la mairie 

Membre do clarifie L'Encyclopédique, 

et de ts l'es l'Harmonie s.iale. 

Les obsèques civile. auront lieu le 

mardi 21 août, à 8 heures. 

On se réunira à la maison mortuaire, 

11, ote des Couteliers. 

muas.. et Madame Jomph PRAT, pa- 

rents et alliés ont la douleur de faire pan 

leurs amis et connaissances de la perte 

cruelte qu'ils viennent d'éprouver co ta 

Personne d. 

Madame Veuve PEYRONNET. 

Née Jeanne BOL/ROME 

pieueement décédée le 18 août 1928, à 

lege de 70 ans, munie des sacrements de 

rEglise, et les prient de vouloir bien as- 

sister à ses obsèques, ,i auront lieu aajoa, 

d'hui lundi 20 mûe O 10 hmres, eur la 

Paroisse Saint-Pierre. 

On se réunira à la maison mortuaire. 

71, allée de Brienne. 

Le posent airis tient lieu de faire par, 

Pompe. Funèbres Municipales, 34, be 

Pargarninières - Téléphone 

A L'INIIIIMIELLE. 6, rue liennumt, 

ParUre$ de Mariées et Ir' Communion 

Conformes 41orlualreS 

ETAT CIVIL 

Publieations de maronites 

du 14 et 15 Août 1928 

Arrhn Fondés, entalay8 Coriamme d. 

Chemins de kt du Midi, zue Saint-Louis, 

et Marie-Louise Rolland, mé6.6.à-à, à 

Serviès (Tarn). 

J.eph Reka, manuvre, à tarournam 

m, n Madeleine Rallias, s. p., à Latin.- 

guette. 

Honoré Berné, bros.ur, rue dee Blan- 

che., 6, et Jeanne .Balard, ouvrière en 

olmeasur, avenue de Pois, 29, 

Marius Gela., entrepreneur de peintu- 

re, Imper, Souligna 3, et Hermine Al- 

,é, coutueère, rue des Coutelier, 25. 

Armand Trembla, caporal Urne seu 

tion de C. O. A., T I , t A Ir 

imtitutrice, à Bastia (Corse). 

Pierre Lente., roulier, à Lafourguette. 

et Anne Relun, ménagère. à Lafoargue- 

te. 

Fernand Amis, propriémire, rue du Taus, 

et Aug.tine a. p., rua des 

Pmadoux, 51. 

Joseph Sie..., boulangez, me de Pé- 

/iole, I, et Marguerite Ournière, jardin.- 

, à Au.unvilk (Hte-CmG. 

Chartes Vidal, employé de banque, fau- 

bourg Bonnefoy, 77, et Catherine Librès, 

tailleuse à Monteautekleuragais. /Hie- 

Garonne). 

du 17 août 1928 

Pierre Chung., machiniste sur bois, 

rue de Castrea, 16, et Maria Sechausseir, 

modiste, avenue de &rotule. 

Désiré Brouese, compmble, place Sa,- 

Pieu, 6, et Andréa Ro.so,, compkble, 

rue de la Colombe.. 03. 

Willy &herr., électricien, rue Ville- 

nouvelle, 4, et Laure Janv.«, s. p., ere 

Tournante.dev Vignes. 

tobre n 7. Spn,t,oi.Clab m.amétain C 

r181., 1111, Paré S'"én' 

? M 

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René Cimes, mécanicien, petite rue Sté 

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Pargaminières, 48. - Marie Remo, CP.- 

, Lai., 56 uns, quarner Monteur... - 

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Lejeune, 29. -- Al,sis Cam.. 73 ans. me 

Dom Vaiseette, 5. - Bernard Tranier. 44 

ana, rue Denfert-Rochereau, - Marie 

Marty, veuve Maure, 68 ans, r, ontai- 

ne-Lestang, 18. - Jean Berthoumieu, 48 

ane,place extérieure Saint-Michel, 7. - 

Joseph Franc., 30 ana, me Sainte-Anne. 

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Lardenne. - Marius Civeyrel. 49 ans, 

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Denbonne, 57 ans, rue den Fleure, I. - 

Maurice Chanfreau, I an, quartier du Pech. 

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enziox. - Louise Ratier épouae Cainors, 65 

ans, rue dos Fulatiers, 39. - Marie ,Au- 

riol, veuve Suez., 81 a.. M. de l'Hers. 

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ans, rue ScOrens, I. Aug,e Banau, 

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3. - Catherine Larzamendy, 85 ans, rue 

Commennges, 6. - Rose D., 82 me, 

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Carrère, 78 ans, boulevard de la Gare, 58' 

Bernard. Lions, veuve Mi/let, 90 an. 

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route de Lam., 34. - Virginie Torcatis, 

époue Ducos, 34 ans, rue des Trois-Pi- 

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CONVOIS FUNEBRES 

Le Maire de la Ville de loulou'. a non, 

ne. de rappel., à ses achninetrée, afin 

de les mettre en garde contre des erreur. 

regrettables, que le. déclaration, de lia. 

ne peuvent être reçuee que dans le. Sn 

reem de l'Etat Cioil a la Mairie. conforrné. 

ment atm arec, 77 et 78 du Code Civil st 

du Décret du 15 Avril 1919. 

li mntrelle, m outre. qu'aux mmer 

l'art. 97. Man. 4, de le Loi Mnrimpas du 

5 avril 1884, l'autorité munrcrpale règle le 

mode de mamport des asanass rificialée., 

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Roy; MM. Pkrre Nova. Paul Berkl. Sioux, 

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Les devoirs du militant 

I. S'assurer que tous les mem+ 

bree du groupe auquel on aPParrs 

tient lisent bien le iournal du Parti 

2. Faire le siège de toua les so- 

cialistes qui achètent un autre jours 

nal afin de les décider d prendre 

quotidiennement It ii Midi s. 

3. Profiter de free les événee 

rnents et de toutes les occasions 

P9ur le faire connaitte 

En le faisant coin, en le mets 

tant en évidence, Pendant et après 

sa lecture. 

En donnant son numéro, ki 

lecture faite 

cl Ou en Ilentioyant fréquemment 

un ami susceptible de ,siabon- 

ner. 

4. Ne jamaie cesser de faire de 

I, propagande er laveur da 

Midi u, dans les milieux ois Port 

se trouve. 

5. Demander des bulletins d'as 

bonnement, des tracts et des lis' 

tes de souscription en Mu., dg 

a Midi n, à l'Adiritiastration poue 

Ion remplir ou les filtre remplir. 

6. Ne pas distribuer sine circus 

laire ou coller une affiche sans 

faire une réclame pour le n, Midi à 

7. Envoyer les noms et adresses 

p,so;ines susceptibles de s'a- 

bonner au « Midi s din qu'un ser- 

vice leur soit lait. 

13- S'ingénier à trom er chaque an« 

née autour de soi un arni ou un 

Pnrent aiin d'obierar de lui qu'a 

s'abonne au i Midi p. 

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fixés mur environs de 6 franOs le 

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Torrs les veaux amenés ont été ri 

peu pubs vend., 

REVEL 

POIRE -EXPOSITION DE SEP- 

TEMBRE. - Dans un rnois s'ouvri- 

ra M grande manifestation écono- 

mique régionale qu'organisent avec 

succés le syndicat d'Initiative et la 

ville de Reval. 

Les oser phono localeS sont nom- 

breuses, dm professions très diver- 

ses exposeront leurs et dé- 

il te comité s'est pré.cupé de les 

répartir dans les diverges sallee dot 

collège pour formur un ensemble 

harmonieux et de bon goût. 

Le 0011 artistique n'est pas négli- 

ge et les sailes du premier seront 

des travaux die notre cours 

.professimmel; des productions ar- 

tistiques. lies diverees eces; des 

travaux d'art des jeunes pupilles de 

la Nation; des peintures des artis- 

tes régionaux. 

Les fêtes prévues pour les 2 dt- 

manches du 16 au 23 septembre, at- 

tireront eneore beaueoup d'étran- 

gers et ainsi une fois de plus, la 

coqu.ette ville de Revel, ees indus- 

tries spkia/es, ses sites ineompaca- 

hies seront h l'honneur. 

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débarqué en France, dont la visite qud 

voue lui accorderez d& mn arrivée vous 

sera dee plus imposante, 

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durée du apeetacle et dans les mois t'Utes 

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1928, à 21 heurea grande réunion 

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Ransg, déput:, de l'Ariège. 

/nec,s amie,, député du Nord, 

délégué à la propagande per- 

manente du parti. 

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budget au lieu de l'aider. 

-(-4.4-o-44:6-u-666aW/Iatere:Werl.644.84,./. 

Rhumatisme 

ardirite sèche 

Te suis heureuse de vous faire 

connaître nia guérison qui date déjà, 

de quelques mois et liens à xpiamer 

mes vifs remerciements au 

Enfilement du Chartreux dom Harle 

Obligée do quitter mes études â 

cause d'un rhumatisme arthritique 

au genou, pendant quatre mois jr 

restai allongée sans fairele moindre 

mouvement. Ayant essayé on gratid 

nombre de remèdes qui ne m'apportaient 

qu'un soulagement passager, 

je commençais h désespérer lorsque 

je lus sur plusieurs journaux les 

bienfaits du Traitement du Chartreux 

dom Marie. Yen fis fessai 

aussitôt; an troisième flacon de Potion 

je me /evai et commençai 

marcher, continuant la cure je fus 

radicalement guérie. 

Ma joie est grandis car jo fais de 

la bicyclette et ne ressens IOES aucune 

gêne. 

Je vous auterise à publier ma lettre 

pour encourager les malheureux 

qui souffrent à suivre avec confiance 

oe remède incomparahle. 

Mlle Rose ARAGON 

/h Sei/lans 

Le rhumatisme partiel ou arthrite 

sèche frappe 000 00 deux articulations 

le genou et la hanche. La 

maladie chronique d'emblée, débute 

par des eraquementS des douleurs 

persistantes, mais, bientôt. l'adieulaUon 

se déforme, et devient malhabile 

A tout mouvement. 

L'arthrite riche était daelarre incurable 

avant que la Potion et le 

Baume du Chartreux dorn Marie ne 

la gùérisseut radicalement ; la personne 

qui en était atteinte restait 

tOuto sa vie ankylonée, infirme. 

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alais pour se guérir, il faut éviter 

les nombreuses contrefaçons et exiger 

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dom Marie. 

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