qui parlent - Bibliothèque de Toulouse - Mairie de Toulouse

ANNEE. 10,381.
ABONNEMENTS
UMM« el AdoilnIsfratles 33, rue PorinetaNe, TOUS OVSC s mou, 33t mois, 64 Ir. un on, 122 m.
Tel. 200.83
SUREAUX A PAPIS s 3, rue
C. C. Paalaux5.
St.Atigicatim 12e) SOCIALISTE -=
TEltph. Richelieu 60.00 (3 mua. na me -':
Des chiffres
qui parlent
LA ZONE
On vrtt encore trop, autour de certaines portes de Paris, de ces baraques
Minables ou habitent des fana. entière!.
A LA CORRECTIONNELLE
DE LYON
ami Lucien Laurat unes est moine" marque: -il tripe
donnait l'autre jour dans le que de 7 pour 100 (de 47 / 1929
NOTRE «Peuple a organe officiel à 40 en 1937). Le groupe e / qua-
de la C. G. T., un relevé de la sitre pays européens est r rendu
tuation respective des nations in- d'une proportion de 36 à telle de
dustrielles au point de vue de la 34 pour 100 (donc recul 1 2). Ici,
« sidérurgie a c'est-à-dire de la plus encore qu'en ce qui concerne
production des fers et aciers. Di- In fonte de fer, c'est /a r(rance qui
rai-je comme lui que cette produc. est en recul, Est-ce Simplement
tien est « le fondement de toute parce que, comme on sait, la crise
notre civilisation moderne ? Je a commencé plus lentement chez
crois volontiers que l'ensemble de elle et qu'elle s'en remettrait plus
le civilisation est chose plus com- tardivement ? Cela se peut, puispleXe
et il y aurait bien à dire à que au plus fort de la crise, en
se sujet. Mais ce qui est certain, 1933, elle enregistrait au contraire
c'est que les industries du fer et me montée relative sur 1929. En
Le colonel de La Rocque au !
de l'acier fournissent, par leurs Mut cas, descente dans rensem-
oniffres de 'production une mesure rte. Et forte poussée en avant dans
indicatrice des besoins matériels a groupe des « pays neufs a qui,
grandissants du monde contem- le 7 pour 100 qu'ils prenaient de
rain. Or, la création de besoins a production universelle en 1129,
collectifs nouveaux en tant genre, Canut pris en 1937 jusqu'à 19 pour
c'est justement ce qu'on appelle la LOO ou presque:
Louent, dont I5eil est Un mot pour avertir les ama-
si vigilant et l'esprit si perspicace, vues de vérifications, crayon en
sera d'accord avec moi là-dessus. anin. Si entre l'addition dm reculs
Résumons donc les données numé- jour les deux premiers groupes et
riques présentées par lui. Elles ;elle des progrès du troisième il
sont ihrtructiven.
n'y a pas toujours concordance
Ouatent classer légilaila iïdi pro mande, c'est que, bien entendu,
duisent la fonte de fer en trois quelques petites productions en
groupes principaux e P Les Etat. lehors des trois grands groupes
Unis d'Amérique; 2° Pays d'indus, se sont pas chiffrables dans le
trie déjà ancienne en Europe Al- ;tassement. Elles tenaient en 1/39
lemagne, Belgique, France, Gran- me petite pince qu'elles ont Perde-Bretagne;
3°.Pays « neufs » enlue. Arithmétiquement, cela protrés
dans le cercle de grmde indus- Me aux amroissenuents proportrie
au cours du 20° siècle Rusionnels. Il n'importe guère.
sie, Japon, Inde Britannique. 11 Que de réflexions comportent
s'agit de comparer leurs parts res- tes chiffres bruts! Places-les dans
pectives dans 1s production intud.
.0 ,Oedceo,, boude te/ que nuus
diale avant la grande crise com-
le voyons aujourd'hui, d'un monmencée
en 1930 et au moment où
de oit le mode de production ca-
ttottg atmuneas..-41=SI ta rempuiêe
tutaliste latte. ne fut-ce que
à ramené à peu da chose prés celte kehtlitpierraTe- &lita lés contra-
production au niveau antérieur dictions et les difficultés qu'il se
Laurat met donc en présence leu crée à lui-mante par son fonction-
chiffres revenant à chaque grange nement
dans le total de fonte produite en concurrence où les faibles dis-
1929 et ceux de l'année 1937 au paraissent vaincus; élargissement
point où la montrent les statisti- des marchés créant des casoar.
ques tenues quasi à jour. cessera nouvelles ; recroqueville-
Groupe I Etats-Unis. -- En ment des Etats sur eux-mômes,
1926, proportion de 45 pour 106 par le fève mortel qu'une nation
dans l'ensemble de la production peut s'enfermer dans des murai>
mondiale; en 1937, elle est de 3e les franchissables seulement par
pour 100, Donc, recul de 1 pour elle pour aller au dehors, infran-
100, malgré le retour signalé vers chissables aux marchandises d'ail-
la « prospérité » d'autrefois.
leurs qui veulent pénétrer ; créa-
Groupe II. En 1126, fournition, non seulement par rentes
ture de 39 pour 100; en 1137, de sion de la chasse aux débouchés
37 pour 100. Recul de 2 pour 100 et la recherche de main-d'oeuvre
et plus. Il serait plus fort encore, bon marché, mais aussi par la
si l'Angleterre ne manifestait une guerre, de concurrents nnur.u.
petite montée de huit dixièmes qui l'on a été apprendre la tech-
pour 100, toute récente, et si l'Alnique de l'exploitation, tout cela
lemagne n'apportait un progrès de transparaît à travers la mise en
plus d'un et demi pour 100. La dis- présence de ces chiffres.
tinction des différences de pays Et quant aux causes, aux déve-
pays n'est pas de mon sujet. Il ioppements, aux effets des mises,
saut pourtant se rappeler que l'AL auxquelles, même par /es restric-
demagne a amplifié de façon énortions de concurrence qui s'impose,
me sa production métallurgique e capitalisme ne saurait échapper,
pour les armements, et il y a quel. pelle confirmation /mimait être
que chose de cela depuis douze à i la fois plus claire, plus instrucquinze
mois dans l'industrie an- :Ive et plus dramatique de ce qu'en
glaisa,
itablit /e génie de Kari Marx 7
tiroupe III, En 1926, propor- Le smialisme voit là de quoi
fion de 7 pour 100; en 1937, elle éclairer sa marche.
dépasse 20 pour 100.
BRACKE.
Avance allant
jusqu'à 13 pour 100.
Et pom l'acier ? C'est à peu de
chose près la même histoire, Sauf Lire à la page 2
crue le recul de la part prise à la Comme quoi la non-intervention est
talait mn
Une duperie, Mussolini prépare 100.000
hommes pour prendre Madrid.
adieu des témoins. (Pm Penn.)
3 ARRESTATIONS
VOIR
Eto
DEGEIGh4E
PAGE
Plus l'enquête avance plus il se
vérifie que le « Midi Socialiste » a
vu juste en affirmant, dès son arrestation
que l'Italien Tamborini
est à la solde du gouvernement
fasciste italien.
Nous apprenons, en effet, qu'une
tentative de communication avec le
détenu a été faite à Pamiers par le
vice-consul d'Italie à Port-Vendres.
Pourquoi cette tentative ?
Nous ne poserions pas la question
si elle avait été faite par les
voies normales, c'est-a-dire si ce
personnage s'était présenté au procureur
de la République et avait
sollicité une autorisation que vraisemblablement
on ne lui aurait pas
refusée.
Mais g n'a pas agi ainsi'
Le représentant italien à Port-
Vendres s'e.st fait transporter à
Pamiers dans une puissante auto'
mobile. Dans cette ville, il a prie
un avocat réactionnaire de demander
l'autorisation dont il avait besoin.
Puis il a attendu la ...Panse
tapi dans l'ombre d'un monument.
Pourquoi pareille dissimulation ?
Pourquoi après avoir vu le geste
négatif, fait derrière une vitre 'du
palais de justice de Pamiers par
l'avocat chargé de la mission, est-il
reparti à toute allure vers Perpignan
?
La reponse est simple.
Le représentant mussolinien tenait
à ce que sa démarche passât
inaperçue. Lemaladroit, n'avait
la vigilince des journa-
publicains et de leurs amis.
ATIENTATS TERRORISTES
El ORGANISATiON
DE GUERRE CIALE
160 PERQUISITIONS, dont
54 parmi les «Cagoulards»
Cprévu ei rrévu
DEHORS, LE CONSUL
Parfaitement. Dehors ! La ,Frantce
n'a que faire de pareils tanindus...
Nous ne saurions supporter que
des fonctionnaires ayant des fonctions
déterminées, soient constamment
un objet de trouble pour
notre pays. Indiquons également
grue certaines complaisanc. Permèr.
à leur égard noua paraissent
difficilement explicalilea.
Précisons.
A Perpignan, le 12 mare, à
15 heures, Tamborini, arrêté à la
suite de l'attentat du tunnel de
Cerbère, était interrogé par le
commissaire de police mobile. M.
Giardini, c'est le nom du viceconeul,
se présanta et demanda à
voir Tambormi. On lui fit remarquer
avec raison, que l'enquête
pourrait souffrir de cette communication.
M. Giardini précisa alors
gis si voulait demander à son compatriote
« où il avait mis un pantalon
à lui confié pour nettoyage a.
Au lieu de flanquer l'importun a la
porte, le commissaire servit d'inter.
maniere et rapporta la réponse au
Celui-ci insista pour voir Tomberini.
On finit pa^ lui donner satiaai
faCtiOn. Mais à peine ma deant,Ignir.
police a saisi des papiers
et- des documents chez le commandant
MAX OUDARD et chez
sa secrétaire
Tamborini est bien un fasciste.
mes furent-ils Ms en rrésence que
l'agent consulasre dit a l'astre
« Alors ! tu t'es fait choper, espane
d'imbécile !
Sans commentaire, n'est-ce pas?
Le lendemain, encouragé sans
nul doute par la déconcertante
complaisance de la police poregnanaise,
M. Giardini revint voir
le commissaire. Et dans le greffe
du parquet, é prononça une violente
diatribe contre la police française,
C'était un comble.
Mais entre temps, M. le viceconsul
à Port-Vendres, avait fait
disparaître de radreme donnee par
Tamborini, un paquet. Etait-ce un
pantalon ? Nous ne voulons pas le
croire. Vraiment les policiers de
là-bas ne sont pas curieux...
Aussi bien, vous conviendrez
avec nous, que nous avons raison
de demander l'expulsion d'an aussi
peu recomma.ndable personnage,
qui au lieu de se cantonner dans un
rôle strictement délimité, est placé
constamment derrière un individu
plus quo
A la porte, le consul !
Jul. BLANC
Un nouveau
personnage
Cette nuit, la gendarmerie de
Blagnac iliaffte-Garonne), sur les
indications de la brigade de police
spéciale, a arrêté une femme, Marie
Ferracini, née le 18 avril 1891, à
Palonya (Italie), et domiciliée naguère
au numéro 3 de la rue
Marie Ferraeini est l'objet d'un
arrêté d'expulsion mil lui fut notifié
le 9 aout 1907, a Perpignan.
Quelle est cette femme qui i n,
tentent brusquement dans l'af-
Avant les Elections Cuntondes
travaillé à mes côtes dans une res urgentes et montre /a nécessité
Un discours de union parfaite et plus encore, au à cet égard, le moindre doute ?d'
peuple de France, qui m'a soutenu d'accélérer le rythme de la producde
son calme, de son labeur et de tion. La vaste et impartiale enquêa
M. Chautemps
« LA FRANCE DOIT AVOIR
CONFIANCE EN SON AVENIR »
DECLARE LE PRF,SIDENT
DU CONSEIL
Max Dormoy,
Pont Fauré,
et Rivière
Aubusson
lino bombe VG11111 mieux
que cent discours »
MUSSOLINI, 1910.
(Cité par c l'uvre s du 23 moi 1930)
sa confiance, je pense aussi à vous, te que nous avons récemment or.
mes amis radicaux si souvent atta- donnée avec le précieux accord de
ques et toujours si attachés à votre In C. G. T. apportera sm ce sujet,
devoir envers le pays.
dans quelques jours, les enseigne-
a Le destin sévère et honerable ments nécassaircs et si, comme
de notre grand parti a voulu qu'on tout porte à le croire, elle tend à
fit appel à lui à une heure redouta- conseiller une rationalisation des
A BLOIS
ble pour la France. Il a rempli tout usines et une amélioration de l'or-
son devoir envers elle. Nul ne peut ganisation du travail, il faudra que
lui adresser un reproche. ni du patrons et ouvaiers consentent,
M. Camille Chautemps a assisté, point de vue national, ni du point chacun de leur côté, aux a.daptuaujourd'hui
au château de Blois, à de vue démocratique. Allez donc Mons nécessaires.
l'assemblée generale de la Fanera- devant le peuple la tete haute, car « Le gouvernement leur tiendra
lion radicale socialiste de Loir-et- vous l'avez fidèlement servi. » aux uns et aux autres le langage
Cher, dont il est président /non-
de la raison et du devoir et j'ai la
ne..
CE QU'IL RESTE A FAIRE conviction qu'il sera entendu. D.
-A l'issue du banquet qui a atiivi
cette réunion politique, 1s président
« Mais des difficultés restent à
du conseil a prononcé un impor-
vaincre, reprend l'orateur après un
moment de puise.
tant discours
« Si heureux
a Après trois mois d'une activité
qu'ils soient, ces
minianerielle, dont, dit-ii d'abord
résultats demeureront fragiles et
personne ne contestera qu'elle fut précaires tant que nos finances,
qui ne sont que le reflet de la ri-
intense et dont je crois sincèrement
qu'elle fut utile au pays, on trouchesse .publique, ne seront pas apvers
naturel que j'éprouve le bepuyées
par une solide armature
soin d'en tracer le bilan et a une
économique. D'autre part, dans lin
heure où je sens renaître de l'in- régime de liberté monétaire, auquel
certitude «éclairer la nation sur en dépit de certaines rumeurs malles
actes, les methodes et les buts I isceoel'u r: esàr 't aé.n-it,tareei njuavtmee a Looue suo:m mse
de son gouvernement. 5.
qtsal
HOMMAGE AU GOUVERNE- l% c:lficretzét:::f
MENT BLINI
aeamvueestitssler:ee,ll
M. Camille Chautemps estime des Pilissunc. étrangères,
qu'on aurait tort d'oublier trop
vite les conditions spécialement dif- nous est venu recommmt d'une
ficiles, dans lesquelles il a pris le nouvelle attaque sur le marehé des gences meurtm des idéologies eologies
pouvoir et qu'il n'évoque, d'ailleurs, chmges. Tout eermet de penser avides de s'affronter les armes à la
sens aucune pensée polémique que
pour souligner l'étendue de sa tâ- mete..-dreasuendr.se ,'.0 :. 51";eta
Bourses étrangères, le calme ne son droit, à ec/tru canar', asanslassi.: P
che.
e Je tiens, au contratre, à tardera pas à ranaître. Mais il se- tude, les moyans de vivre en paix
rapp,eler que je me suis associe rait vain de s'étonner ou d'accuser -avec toutes les nations. 5,
sincerement à itceuvre du précédent
les méfaits de la spéculation. S'il Et M. Chautemps conclut
Icabinet et à rendre hommage à la «est que trop mai que des hommes Mais laissons-là c. préoccupa-
générosité de smo réformes sociales, d'argent sont toujours afix aguets Sons. lm seul probletne qui mérite
comme à san courageux efforts en des difficultés publiques, nous n'en d'être aujourd'hui clairement et
faveur de la paix.
avons pas moins le devoir d'agir fortement posé as peye c'eet celui
Et le président du conseil résume avec clairvoyance et avm énergie de la confiance qu'Il doit avoir en
l'histoire financière de la dernière Pour réalisôr nom-roam. les con- son avenir. La France est une
année I « La reprise économique ditions de notre salut, grande nation, riche et laborieuse,
ne venant pas comme on l'avait « Bien que la situation soit lé- qu'aucune force extérieure n'est
espéré, compenser Ms charges nan- gèrmnent améliorée LA PAIX
Et voici le tanditionnel couplet
lm la paix
« Car qui donc pourrait nourrir,
à cet égard, le moindre doute ?
Comme le deait hier mon ami Delbon
dans l'admirable discours qu'il
prononçait à Genève en notre nom,
il n'est pas au monde un peuple
plus sincèrement et plus ardemment
attaché à la paix que le nôtre,
à l'abri de sa magnifique armée
que mon ami Daladier, chef vigilant
et tenace, a portée à un degré
de puissance auquel le ministre
britannique de la guerre rendait
hier un émouvant hommage. Il ne
SOsge qu'à la sécurité et à la deité
de la aptile, il repousse les exià
ce point de capabie «abattre si elle est résolue
elles géminant des loin sociales, Vus. dans deux mois, et que lu à travailler dans l'ordre et la paix.
les crises suce.sivru de la monnaie Musse den prix de détail, malgré Elle ne pourrait connaître de grave
peureuse
l. Tr
revalorisation des péril que celui qui viendrait de son
met. te. Bietreue pause que I p0r n
eut le
iaedMs agricoles, n'ait été que de propre abandon. Et /e secret de
4p4i r bilai e,te, de proclamer pour y parer,greed e,
1 cemdif défit ginuoen jep, r:ids aunt
leu
crise
en dépit
unee,,,,,s
de c. efforts, la
Uede issmone' inCle-
do Joue, adadatara. male appelle à révidence des menu- gence, ni de son courage. D.
sée par la baisse dm rentes, la fuite
accélérée de l'or, l'assèchement de
la Trésorerie.
5 C'est dans cette Mtuation, aggravés
par une sérieuse crise politique,
que l'orateur a dut, sur de
hautes instanc., accepter, aans
ravoir souhaité, la plus lourde
charge a.
Ensuite de quoi, M. Chautemps
déclare que son gouvernement et
M. Bonnet en particulier a accompli
une ceuvre immense dans un
court délai.
« Je 'ne crains pas d'affirmer
qu'il «est pas ms technicien, ni en
France, ni au dehors, qui ne donne
à M. Bonnet sa pleine approbation
a, déclare le rerésident du conseil.
En résumé, continue M. Chautemps,
lorsque je jette un regard
sur cette brève et ardente période,
quand je mesure I. obstacles accumulés
elles résultats obtenus, je
ne puis me défendre, et je ne m'en
excuse pas, d'une certaine fierté.
Et si je rends de tout cur hommage
5. tous mes collègues qUi. ont M. CHAUTEMPS censière cecec Léon BLUM
être, dans le monde, dec gens qui
ne se laasent de repîter, clugue
jour, que la France es: au bord an
l'abbne anvolutionnaire, sans que
rien ne vienne jamais étayer leurs
Prophettes et leurs espérances, et
qui s'efformnt d'y aider euxamèmes,
bien que, comme l'a déclaré
11, le président du conseil, cela
donne beaucoup à penser sur les
Pressions intolérables que l'on entend
exercer sur t'ensemble du
pays, comme sur la République et
In démocratie. Il y a la, cependant,
, de quoi no. faire éprouver un vei
fitable soulagement en constatant
igue le peuple de France unanime,
:entend réglm ses proprm affaires
dans la légalité qu'il sest lui-même
donnée.
> DeS troubles, où les voit-on 7
Où sont-ils produits t Te le demande.
Ce qui est vrai, c'est que les
LA SITUATION EST CLAIRE DIT
LE MINISTRE DE L'INTIERIEUR
ET NOTRE ATTITUDE LOYALE
Aubusson, 19 mptembre. N.
camarades Dormoy, Paul Faure et
faire ? Nous allons bnevement Rivière ont assiste a une ganisele
manif.tation socialiste à l'occa-
l'indiquer.
Marie est la femme ou sion de l'inauguration du nouvel
hoit,e1 de ovilled,d'Adurbusiseonidin,st,e
la compagne, on ne sait très bien
encore, d'un anarchiste notoire, IintaZeur ' a comme.nce par dénia-
ImPPoes entre le patronat et le
Gmseppe PavotS,
salart ont été modifiés sans
Il fut mêlé à une affaire qui fit
heurts verltables et la France /a
en son temps assez de bruit. La
« 'C'est bmucoup moins comme I vraie France travaille dans le
membre du gouvernement, que le Icalme. On compte quelques milliers
voici rapidement rappelée prends la parole, ante comme mili-
Le 10 mars dernier, on arrêtait à
de grévistes à. peine da. Penser.
tant du parti socialiste, annelé Pan
Perpignan un garçon d'hôtel, Mel-
:Me du pays. Ce chiffre est plus élo-
d'autres ranitants socialistes à
chior Escobar, qui, Pour le Minante
quent que tous les discours.
participer à une fête socialiste. .le
d'un certain Marci et d'un anar-
5 Sans doute des fractions espe-
le fais à trois semaines des élecchiste
Guiseppe Pamiti, interceptrent
toujours asservir la République
lions cantonales, qui auront, qu on
tait des lettres dans un- hôtel:
!et leur action malfaisante ne recule
désire ou qu'on le déplore, du
Muai, rmherehé, fut introuvable
1 Mrait point, le cou échéant, devant
fait des événements, une grande
devenu suspect aux républicains
des actes de violence pour briser la
importance politique. 5
espagnols, il avait été arrêté au
légalité républicaine.
Avant d'aborder les prob/èmes
eoli d'un de ses voyagea à Barce-
Parlant ensuite de la situation
lone et incarcéré. Pasotti, seul, fut
Politique actuelle, le ministre de
l'actmctut ne 7,Ze ter'à' rfi enedrrir e
donc arrêté et au coma d'une per-
l'intérieur a poursuivi ainsi ;
hommage aux effmts lapolice de
e
quisition ehez lui ce retrouva des
Tl y a tout d'abord un point
pour 'découvrir et arrêter les cou- qui domine toute cette
doeuments dans lesquels la sincépables. Et 11 a ajouté
situation.
Au grand désappointement de nos
rite de Manet était sincèrement appréciée,
En outre, d'autres docu- CE N'EST PAR UN FRANÇAIS adversaires, le front popuaire conments
établissaient le rôle de Pa- QUI 'A ACCOMPLI L'ATTENTAT tinue, Mais précisément parce que
euh' dans /e passade des voila tai-
DE L'ETOI.LE
le front 'populaire fonctionnera à
plein rendement, et nous avons laras
italiens engagés dans l'armée Il t'y avait rien de Fra/lacis dessus, en ce qui concerne nos anus
républicaine espagnole. dans l/ cancepticn, comme dans radical., les paroles
(Voir la mité an deuxième page). l'exécutien- dit ming. Il y
Prononcé.
a pend-
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
40 CENT
LUNDI 20 SEPTEMBRE 1037
Premier leur se déroulera néces-
' snirement en prévision des nécessités
du second. Nous aurona donc
le devoir de n engager la lutte,
avm no,s concurrents et amis qu'avec
cette courtoisie que se doivent
des gens qui savent qu'au délà des
Progranunes particuliers, ils se
rencontreront sur un idéal commun,
qui est leur propre program-
Et le ministre de l'intérieur a
glemS défini et expliqué la tactique
socialiste
« Non, non, les socialistm n'ont
1 délie de vaisiede leurs alliés
,18.31e le rassemblement PoPulaire.
Es ont pour objectif d'abord de
s'affirmer sur un programme, ensuite
de battre la réaction. Je sais
que l'on a regretté que l'on riant
pu arriver à retabliesement de
candidatures uniques. Mais si l'on
ru kas ranust, /4 Puis donner ce
témoldosle que ce n'est pas la
faute des mciaistes. Je Puis même
ajouter que nous n'étions nullement
opposés à ce que certaines
situations locales, fussent emminées
amicalement et que, dans l'intérêt
du succès républicain, on Y
aboutit à une candidature unique.
Il Ma pas non plus défendu de
nous qu'un tel résu/tat fut obtenu.
Il ne faut d'ailleurs rien exagérer.
D
Dormy montré, à pannes gué
eiétalt am règle ancienne, qui anposait
ms socialistes les déployer
leur Maneam au premier tour.
Quelle sera ab second tele leur attitude
rts-a-vis des usé:eaux.
a Qua'o, cor radicaux, emme.
nos gille" vans, mas ne leur demandevu
jamais que de r.ter fidèles.
C'est notre seule existence,
c'eut Iguane chose qu'il soit permis
d'exiger de nous.
5 Ainsi dons, la situation ait
Par Sarraut et Daladier. lis, claire et notre attitude -10701e.

2
D'ailleurs, comme c'était leur droit
absolu, nos pulluSi fadlean2t, Menine
o amie Fenamilallate.6, n Ont-on
pas décidée-comma, nous,esPalier a
la bataille au Premier tour se leur
propre prpgramre jet itibeg" des
candidats partout ? De tels et ne-
cessaires affrontements ne sont
C>tine'eîeiltIcer.lnscl'it'sedsds Pfe:
rents partis du rassemblement po-
pulaire, savent observer une atti-
tude loyale et correcte, vie-t-vis
des antres et S'abstioinené :de tou-
te polémique malseee,--quteepour-
rait donner une apparence de rai-
son aux craintes que l'on n'a ex-
primées delleure, mie none lea
écarter de nom voir livrer je ne
ses ern ibelatft Mt parti ratiMal.
Encore une fon, 71" no is souhnétdés
notre propre victoire, g faut que
Ion sache bien que nous ne voyons
qu'avantattad
:dé salle SaCcOm-
pagne des promres-et Ou renforce-
ment de tous les oartis qui consti-
tuent avec nous le rassemblement
Populaire.
Temporel! est Men
un !Beige
(Seita de lv Itteltqm
A' la suite de vie val .ffe lettres,
Guiseppe Pasotti fut poursuivi et
traduit clevant le tribunal encrer-
tienne de Perpignan et condamné
à trois mois de prison, Sans sursis.
A la suite de cette condamnation
il fut l'objet d'un arrêté d'expul-
sion qui lui fut notifié, en même
temps qu'a sa maîtresse, Marie
Ferracini, le W eût &tem..
Fasotti connemet Tareorini.
Ils avaient agité ensemble, pendant
quelque temps, b Toulouse. Pour
des raisons qu'il est difficile d'etat
blir, les deux hommes se brouillè-
rent Cl Se Séparêment.--
Les_ delta iiomMeSaMe S'étaient
brouillés devaient se' rètrianver à
Perpignan et au cours de la pre-
mese affaire, celle du vol de let-
tres, Il fut question de Tamborini.
Mais avant que la police ait-Perqui-
sitionné chez ce dernier, perquisi-
tion Cul n'eues aucun restfitat,
Tamborini avait ..été cambriolé. Sa
valise avait été ouverte par un
agent de Guiseppe Pasotti, Julia
Mir, qui put y prendre copie des
piafs de fortifications de Huesca
et de Saragosse.
En Me se iteRIPS 079u.t
certaines de ses relatons officie
les... avec /es représentants d'un
gouvernemmt étranger, il déclarait
s'être trouvé en rapports avec Oct
natienalistes espagnols et que .ces
rapports et son .aCtivité n'avalent
pas échappé aux éléments none-
chiales de Perreertan qui le pour-
suivaient de leur haine. Il crai-
gnait que sa vie fut en danger et
citait comme son ennemi le plus
redoutable Gutseppe Pasotti, qui
l'épiait sans crise, qui avait cam-
briolé son domicile, Pavait tignalé
en Espagne et tenté de le faire ar-
rêter au Per us.
GUISEPPE PASCYITI
Oïl est Guiseppe Pasottl ?
Le les juin 1931, il t'installa à
Tonloumb au numéro 19 de la rue
Héliot avec sa compagne. Et dès
/ore, 11 se révèle comme un anti-
fasciste dee plut militants et des
plus ardente., bien qu'il ne démon-
tre jamais ,publiquement ses con-
victions. Il n'appartient pas au
parti communiste, ni à la section
française, nr à -la section italienne
et cependant, il fréquente les mi-
eux aetiiaselsteu toaleunnins,
ainsi que les rnilieux syndicalistes
tendenee f fiftirreete. Tous inc
jours, Pasotti reett un vo/Mainenu
courrier eit à partir de 19 heures,
chaque soir, il reçoit de nombreu-
ses visites. [
Le 7 août' télé, 'navel quitte
Toulouse pour s'installer à Perpi-
gnan où il habite ereessivemmt à
deux adresses, d'abord 20, petite
rue de la Monnaie où il sotie repré-
sentant des moteurs lirez. Il fait
à ce mommt-là figure de révolu-
tionnaire.
Quelque temps après, il ouvre
avec sa compagne une pension de
famille au numéro 8 de la rue Du-
Merde., à Perpignan, où il est en
relations avec certains de ee. Com-
patriotes anarchistes militants
dont il paraît être le chef ou le
membre /e plus influent.
Guisepee Pasotti est né le 10 fé-
vrier 18¢-8, b Concalice (Italie).
Le 20 avril dernier, et d'après ce
qm nous a été affirmé par des per-
sonnes au courant de ces événe-
ments, /e consulat général d'Italie
à Toulouse prévenait la police tou-
lousaine qu'une organisation terro-
riste avait projete un attentat con-
tre le consulat général d'Italie et
la maison des Italiens au numéro 2
de la rue Cantege à l'occasion de
la célébration le 21 avril, de la fête
de la natalité à, Rome, Dee blenlbes
devaient être lancéed dues le§ bu-
reaux plu -consulat et dans les lo-
caux de la maison dru Italiens.
Parmi les organisateurs et les
chefs de cette organisation terro-
riste contre le consulat se trouvait
disait-on, Guiseppe Pasotti, qui se-
rait détenteur d'explosifs et qu'il
aurait convoqué de Marmande par
le moyen de dépêches convention-
nelles, les antifascistes prèle à
toutes les besbgnes et qui devaient
accomplir l'attentat.
Cependant, l'enquête Menée par
In police de Lot-et-Garonne ne put
pas retrouver trace des soi-disant
télégrammes expédres.-
Mais il est dativalfq allée et ve-
num de Gutseppe liesofti au cours
de ces dernières semaines -un point
troublant. Se trouvait-il à Paris au
moment de l'attentat de l'Etoile ?
Certains indices - permettent de
crome que Gumeppe Pasotn venant
de Paris en corEpagnie d'une de
ses amies - il en avait Plusieurs
- la femme Vauthder, serait are
vé à Toulouse dam la matmée du
15 Septembre, et après .avair effec-
tué une cource dans la banlieue
aurait repris le train -pour Perpi-
gnan. Guiseppe Pasottl, qui est
sous le coup d'un arrêté d'entai]
alun, est demeuré- jusqutiel 'introu-
Il a glissé entre lest mains de la
gendarmerie_ Il court- Courra-tai
longtemps ? C'est IO secret de
demain. . .
Après les attentats
terroristes
Au moment ou nous écrivons ces II
ta-elle n exactement une semaine
que deux bombes, éclatant rue Boissiâre
et rue de Presbourg, détruisaient en
canin deax immeubles abri.nt le silo,
de deux organisations patronales.
Cinq jours pMs tard, éclatait l'affaire
dite daa cagoulards a.
Nous avons, au Mur le Mur, tenu no
Meteurs a,u cernant de la marche di
nretteure savent que depuis huit
jours, toutes les polices de France sont
en alerte et vue rimpossiMe est tente
en vue de self cuver /es auteurs des deux
attentats du qmartier de l'Etoim.
'f.eli'ee;aree:1ércre'c'e'tcele'e
Il n'en p. de même da. raffal-
rrt Z"eial:ri: d'gre
'dae eeteaesoelat%n Ze;,;..
verrous. D'autres arrestations peuvent.
Notonu que le nembre des perquIst
!egstre'rel'it7rnr.:.17.setÎéctedlte'n=ile,
Par la déconoccle de racsociatiou des
Cagoulards ».
An cours de res a visites domiciliai.
res effectuées en vertu de commis.
Mons rogatoires délivrées par MM, am
teille et Barr., juges d'instruction, de
nombreus documents, des idées chif
Soles et des plane ont été saisis, qui se.
rom examinée tritérieurement
On estline que l'examen de ce
tlo ne demandera pas moine d'une /mi
/One de tours. Les trois individoa arra
tés no semant entendus que lorsque sera
terminé ce. travail de romain s.
Les opérations d'hier
A propos des a eagoularde » de nor.
veAux noms sont chuctees. Entre au-
tres ceux du générai Duseigneur et de
Ce que dit la femme
de Jean Batiste
ciation dito a Les Cagoulards a, te
naient des réunions dans des ferm., no
tamment à Saint-Nom-I.Bretéche, Ren.
nemoulin et NoisydeRol. On disait m.
me qu'ils possédaient dea dépôts d'an
mes ut une imartmerie clandestine.
lino enquêta faite immédiatement sur
place par la police d'Etat a réduit à
néant cette révélation, le bruit étant
sans fondement
Les attentats terroristes
de l'Etoile
ont leur répercussion
au Maroc
U'l".'aurcr'o'reererrità
'
l ' Ont 'da
'veFereerdéelrer%roeértrmei's 'en rool
session de la liste des personnes, aux
quelles l'amis du protectorat doit etri
Mterdit.
Par ailleurs, 11 tarait question d'eus
naenter les contingents français dei
troupes du corps d'occupation.
Le n Libertdre » est poursuivi
pour provocation au meurtre
Star con...Minou rosetoire .
Bar-
r., juge &Matrone, qui a o,ert une
atto.n contre m. André Grardes.
gant.. ni/maous et mus autres. pour
Provo.. au meurtre, lu. euète dam
artkle paru en première pate dans .
Journal en data du lu eaptennne niai, tau
num,. du LibcoMro mis en vente ont
été sains ; une pemunttion a été ofe.
tate au 01He de ce -Mounal, 9, r. de
Bande., oil 00 cetmain rumb. dexern.
P..sa o. été prie et mares sous aCe.
Ducale micas
une perquitition.
Deloncle 80 défend d'ailleurs d't
voir trempé en quol que .it dau
dmennie>i'ntfOr'rnr"de dc°11°rOerpee Là CUE1111E CE CHICE
cette affaire
Les Chinois
-
etmeardent
Mangeai
EugêneAuguste-Odave Delonci
ara ur le 20 min 1890 n Brest. Si mura
actuel'ement, rue Rodin, un sopa.
ment au Myer annuel de 23.000 (-rano
Ancien élève de Polytechnique, liest
Ingénieur-conseil de /a Société d. chas
et de la Compagnie de navigation di
Rhin a Strasbourg
AdminIstrateurdélemié relu coudra
miie de navigation Coulons, 7, ru comm.LES PUBIOC,tiNS
nri.nl'ire du comité technique du brl
tot u ravi`
Allelre.R....L
reau Vernes ;
seEzerte mr,,Q,u,tribunal civiles h
Le. peeee, 0,,,pone nic0t 000,,ge
Otieve'le de la Légion d'honneur
de s'amenauer eî eue amatit, a (tes
Perm/
tatiré
nt d',£.1illiren, Une perquist SI, à mesure qu'ils se retirent, Hait
a Da icullerement Patton ils sauter digms et Ponte, afin do
c'estt qu'aussi aller 'est effectuée rie laisSer derrière eux el. IMYs
na une mportante inunimmie ou Ici inonde ou lm mouvements de ton,
allé. et venues des pOliders n'ont pal se. sont es. espèrent
manu. d'attirer l'attention des nés -
mcnbreue, per,unnes, ienrne ainsi
plus difficil
sauver yarmée encerclée près
listes et ouvriers,. fréquentant l'immeu . Solanb XdMang.
site uitua 10, me faesenre Moema8 LE SHANGHAI EN FLAMMES
Sur cotrunieelors rogatoire de te Da
Shang/mi, 10 soPtembr°.
Smille, les erten/émut., onn-pénét. eu tic avions chinois ont attaqué, cette
as re: elo ro na, 1ijz nuig le
ua na 0m l nuit. jelorfrtiorr.r jterre.t.a dans la
chi directeur du journal, M. M. Ou Les raids ont commencé
à la nuit
dard.
tombante et Re se sont poursuivis
ers.
nenni si 00gitredou
ont ese mou de .demi-heure en demi-heure jus-
lier de M. Croient la seconde au dom, qua une heure du matin.
Me de re Seeretaire
cartionliare, mme
nomade lés aviateurs CLI111018 na-
FYOkard, femme d'un jockey, demem valent tu. peu'. d'Une telle te-
nant 60, rue du Gros-Murger, a Maisons. inérité Cl d'an si grand acharne-
Lerete. ment. Lorsque le feu était Vrai-
Envers documents ont été saisis sur merci trop serré tour leur permet-
tre d on
nmpà° dee."I' nucolt 5. Ire d'atteindre leur but, ils S'éloi-
Cest qu'en effet M. Max finaud El... q q
avait été prévenu vingt...Ore heur. jusqu'a environ la limite occiden-
t revenue de l'opération projetée cm. tale de ta concession française, et
Ira lut II a donc eu le temps de faire la alltunaient leurs feux de Pm
un tri dans ses domments, d'en brûler sition vert et rouge, solt pour si-
l/cil: part.2%et de remettre les mires grader leur présence, soit par sim-
Cen in ment ceux offrant le mo.
t pie coquetterie puis ils revenaient
"'"""""""'''' """"ai"' à l'attaque et 'n'éteignaient leurs
Précisons que relue indiciaire ln-
d.1.0 0,,,,,,gu 0511m Item na feux qu'en arrivant dans la zone
domicile de M. éluda/d que dans son dangereuse.
bureau, au journal, concernent unique, I
Mei. minuit, Un avion chinois a
ment ton activité politique personnelle eu Panda. de descendre, en plein
et aent aucun rapport arec ses renct barrage, à quelques deux cents me-
tione journalistiques,
tees du sol, sur la concession fran-
çaise. Dec obus D. C. A. sont tom-
lofs un dans l'avenue Joffre, l'un
dans l'avenue du Roi-Albert et l'un
La femme de Jean Batiste, disparut rue Victor-Emmanue Les bOillb.
dabs les circonstanaes que no. avons chinoises ont incendié, dans le
relatées hler, a pu être jointe. Elle a quartier oriental de la concession,
asit les déclarations suivantes
de nombreuses usines et des entre-
deux J'al Calcula avec on ari e
enfacUs, des jou m m t mes plis
rs heureu . No. '
habitions la le suis encore, '52, rue
b
,
----.-
Albert-loly, à V iles
ersal.
a II 9 a exactement 7 ans et dembi Les uenganges
*Près deux ans de mariage. que mon.
mari m'aandonna avec mes deux en-
fants, Agés alors de 2 et 20 mole, Peur ELLES SONT EXCELLENTES
vivre auraCôte d'Azur avec uno fille
de salle, Léontine Rémy, qui travaiRait DANS LA .CHARENTE-INEURIEURE
elo,, rhôpital américain de Necely. Rochefort, 19 septembre. - Avec la
Cependant lui arrivait de m'écrite, pluie qui tombe depuis plusieurs jours,
de2Uic:,11,1111-1,0y0,=p,,e,ze212 ;te sesle nain grossit énormément. La yen-
etre,
da,nge sera magnifique et le titrage des
CP ra(onlent.
alla. au moins de trois degrés supérieur
mus, soc ma activité politique, Mme n
dernière, ta Oient. osa Oda-
Jean Baptiste ne potinait rien, ou MO lement Men Minérieure
peu de choses. Ce qu'elle veut bien nous( LE VIGNOBLE VENCEEN
déclarer, c'est que, pend.t qu'elle était.
avee son mari celui.ci ne s'occupait en!,
ES. CONTRE, EST MIME
1?ree. Ct.:teee eassis Qtn ' 55'-
reimUtennaevn
averse 8%.est gr:a:UV:1'
1'2
l'eut abandonnée, qu'll entra. dans Un unio:e
groupement ana Chissa. Cmt son ami. ace In noelis.anc.Voncleaeaieoinoeu
M. Paul, mi, Ini, était un militant
acharné, qui le fit entrer d.s ce partl.: ,
Se crois, dit-elle, qu'on s da , oses,
faire miroiter qu'il gagnerait beaueoudd
d'argent dans cette .sornation, et quai
ce
;a"nt "rréitefteUrpe"ri :JR= s'u'rr'
miel se feelent
u'el
urnrr menomone.
Enfin,
Mme Jean BatIsto précise ces gens -le
ri, dotait 55 13 juillet 1936, Elancour
que la dernigre fo. qle vit son
00 se !roà1,1,neerpeer,re Berlin, 17 seleembre. - Le V oi-
B0..0, kischer Raabe, ter, toi annonce
de son ami 00. Juif, dont le rola., d'une Manière seriSatiOnnelle les
on le sait int advouvert dans un Canal mesures envisagées Par le couver-
ai la province crimpéria, en Italie. » - nement franges contre certains
La mort de Juif Intitulé e On va nettoyer la pou-
A proPos de la mort de Juif, ind1. bette de l'Europe »,
qttorte que M. Mente, luge d'instrue. L'organe °Hie,. du Parti deal
ion, a expédié en Italie une commi.e. troll entre autres bons conSeits
ion rogatoire aux fins lé claircir in L'opinion
mYstéro Qat eu.... ,,ette souhaite que Ms autorités frau 1-
ROPelou.11,'
`Pere°,.?:;:°,,je je, ies n'enlèvent pas seulemn t
haraitMeneg, 'I'sparut le tende: a poubelle les débris deebomebeas
nI
main même du hum 00 te corps de ce\ st les douilles de cartouches, mals
dernier Mt retrouvé
-nacre tous les détritus qui empes-
Fausse alerte ment
tent déSagreablement et inutile-
Versailles 18 sem - Le bruit La France poubelle de l'Europe ?
PatmOsphère ».
5011 mure ele Sen Menin de Pneu téflexion faite, Il est préférabl
alter au '
e
. 4Messleurs lés NaZÎ.S
qu'usa
...' 'n%-
LE MIDI SOC/ALISTE
CONTRE LES DEFAITISTES
DE LA PAIX ET DU FRANC
Fais.t 12 00100 au lendemain de P.-
cord de NYon, M. Elia. Bols écrit
dans le Petit Paen
Au demeurant, lsttidanon eme
,r.
n'el, P. de telles oui activent engen-
drer le pestes», dont te trace st,
ire jourati, subi le contre.couP. Cet.
conftMence Marna de 2ey. ers Un end.
ta de t'entente antio-françaim. Mie a
prou. que l'axe Londres-POM Joue
Céglaieren/CW, nor.arernent, dans tes
arondes Arconatantet.
L'mcident itsticn peut, par une ra-
pide négociation, attester line Mis
Plus
torve et sa sopreme.
dociley. Peu de eitrarnter. Je riaIs
même
conttutre. Notre avenir sera
ce Que nous te ferons. Il y a eu les da-
faaLastes de la guerre. ne doit pas y
avoir des défaitistes de la pa. et du
bue
SAPOLEON OU PICROCHOLE
mécontent de la eonderenoe do Nyon,
et de l'attitude de l'U.R.S.S., M.solini
mimit prêt, selon la presse nationaliste,
e. aller se battre sur les a marais fi&
mens de la mine î pour installer là
ms une
d'opération contre la Rues
Me bave « patriotes » d'en conclure
MI/ faut Demédiatement céder au ch.-
aga fasciste et donner satisfaction
Puce. Albert Bayet, dans r0Euvre, leur
Mplittne
J'entends Men serves
o fascistes de
France vont, et Ma saaare. msaeet,
Ors hauts aria. De »reine Melle
0f-
rectade pousser des c./meure terrtitées
quand le Duce a menacé a'atM.Quer le
monde, Os ont Prendm
tastata.
le coup des a marais fiévreux a. De.
main, tores les mosolinieres P.Pele
nous diront. bléntes et Lagar* g a Al.
, t'on N'irrites las ne flore Le
set-lui les Bali.« et, s'il le faut, t
Corse et Ntm et nome 1 Vo. ne
savez pas de quoi est eaPable APn9
'avoir mangé ta Otite et la Russie, il
dévorera la France et l'Angleterre
Seulement, uoild ta France ne mar.
dee plus, êtUssolini est erré trop Io.,
et la menace end devait faire trembrer,
foie sourire. :Capo/éon Fan Pioro.
choie.
POSITION DE L'ITALIE
n'amer/rd. ai tes iouruaaa réaaêàn
ovinssm. et partisans de l' en
rangement » de Nyon mai d'ac-
cord pour affirmer que les
dico ro le 14 septembe Moque..
tournant très importmt do la situation eu-
mpémne
Ce tournant est heureux,, à pluriele
égards.
a
f.
pis MOM,
In acte de piraterie qui avaient provoqué
une tension très dangertuee dans la Médi-
terranée. Cr n'est peut-être qu'un gain de
quelques jours, rnais Ph atour de juillet-
nota 1914 prouve que dans certaines si.
Mations les loue et même les heures ont
kur grand poids dans la lutte pour la paix.
A Nyon, en outre, neuf puissances se
sont tonnées d'accord, non seulement sur
un même texte, mais sur une même for-
mde d'action. Le apaisements donnés aux
petites puissance pour la lut. contre la
piraterie crans leurs eau terntoriales ont
consolidé le bloc réalisé le 14 septembre.
Et, enfin, Vase Londres-Paris s'est trouvé
consolidé de telle façon que l'on peut con.
sidérer comme déjà neutralisé et escompté
chamage de ta vis. spectaculaire de
Mussolini à Hider. 000
/ a convmtion de Nyon a créé ainsi
ka ...Lions indispensable mondons se.
/ution satisfaisante des difficulté. qui m
sont accumulée sur le plan européen, mais
elle n'a pas encore donné et ne peut don.
nen à elle seule cette solution.
Mussolim a ro'nelque peu hésité quant à
l'attitude à prendre à l'égard de Nyon.
Après la signature de la convention, la
presse itanenne a retardé d'au moins vingt-
quatre heures ses commentaire,. C'est que
le :c duo a voulait faire payer au plus haut
prix son adhésion. Deux questions ont été
soulevées par lui
cee de l'octroi du
droit de belligérant à rranco et, surtout,
celle de la reconnaissance de l'Empire int
Io-éthiopien.
La macecuvre de Mussolini a été cette
fus déjouée, car le caractère immédiate-
ment exécutif des accords de Nyon lui s
fait perdre mute monnaie d'éallan,e. Et
Puisqu'a Genève aucune contestadm osété,
soulevée sur le droit de l'Etlree de
membre
embre de la S.D.N.. l'Italie far
Chte a perdu l'occasion et t'espoir de Ms.
lier cens partie de mn programme.
Elle ne pousuivre que clos iésoltoent
sa lutte pour la mainmise sur l'Un.
, et
pour l'hégémonie fasciste en Europe.
Les rebelles continuent d'annon-
cer de grands succès dans les As-
Unes plille s léeclepteec eles,,sodrétsodre.
mals decidé. Selon eux, 1 investisse-
ment de la ration ne serait plus
M
qune question d'heures.
Sur le front de Léon, erres Et.'
cunation du col de Pajarès, les trou-
mea du général Aranda se Seraient
installées hier sur pluels I s [Posi-
lions de montagne qui dominent le
fameux passage.
or,
même temps, une opération de
este envergure aimait été entre-
nairas continuent o ee faire 100101 set
Xa.1""'lae'en'etl'dea.701,35.ionrr1darts
tomme,
ue la déconvenue du Duce en méson'
avo
ce des reaultats de la ontérence midi
terranécnne
Pour l'instant, M. Mussolini est en
meure difficile. Lee puissances MN,
tertateenne. ad sa.t regroum,es et ta
Poeta/sanie eilensOes, en dépit au
traité apné avec Dante le 26 rare, est
entrée do. le cercle.
le.
DES NATIONAUX
tribue tensien des chatig. à une spé-
culation da lorauger. sur la perspectme
de a mauvaises élections cantenales
(traduises des élections A ga che).
Madelin- de l'Académie française, sel
cous niutc. if t n in Ménade
dans rEpoque. Si ts.lement on pouvait
empêcher les électeure d'affirmer leue
confiance dans le Front populaire Y //m.
possible
Et c'est pourquoi an attend, non
sans anonese, ces érections d'octobre
sot ne «Fent en principe mettre en
Question que les affaires deodéparte.
mente, vent cependant /astre SaVOir
IMOunger 01 00 France a stem/ment
a en-d in en 1:136 - ee qui est A.
main - si ans persémere » -05
serait a diabolique - et d'ail-
sors, 05 notre scie, Dote et mensonger.
LE COLONEL DE LA ROCQUE
SUR LA « VOIE DE GARAGE
Dent le Petit Journal, M. Edmond
Parrachln, directeur du bureau politi-
que du P.S.P., essaye de renomme aus
Rens de droite oui ont accusé son ami
de Le Rocque d'avoir fui devant la le.
taille en restant sur la a vole de in
mme 5. Et uavoue en morne temps.
m
maladroiteent, que le Chef dot Ex.
Croix de Feu a en peur de la défaite.
Si La Rocque mit rependu Mn,
honteux esPoirs dont est orrestion, si
l'épouvantable choc. par sa faute, s'és
tait produit. que scraitH aried I
Deux hypothèses t
le Moue Insu mouversent eut scoreanéanti,
le Parti détruit. Les comm.
nicto ceultent ils apparaissent com-
me les aferneelai de t'ordre et de la
lagalité, car les Hies ont ddeormaie
rommuos Dea
mr/recre
le tournant de Nyon
et l'intervention
Membre du cercle Jacques-Bainvillei ruSunat el
a 100 sem, A An-
I Pas
révoI u ti
Présidonnaireent
fondateur du pmti nati.a teSole,..
Perquisition au s
Len (Pnois
iège 1
. imoyees ma s
'n'eux' '"télnes 1s nt'lant's"tp.tf italienne en Espagne
résistent de leur .
et soolal.
d'un journal hippique
enrayer l'avance des ennemis. Am:
Tanaro que
Hess/ils Boom at-
Le 6 septembre, Musmlini a reçu à
Rome une délégation abaissaiso eseaS10-
le, vol es' venue lui el-mimer « sa mve
mconnalearme pour tout ce que fhali,
famine Xernpour la victoire de la nouvelle
Espagne r. Cool l'aveu encore mne foU
tennestek deaintervention ouverte de ne.
fedietde France, e.,
Cette intervention muid un iirecHre
off1sieluAti cousi de cette preMière MO-
de"iotembre, l'organisation des en-
vene clé étmengeMs en Espagne a pris le
1100ctère,d1une derni.moblisaeon. Tout ce
qui nomes, distinguer le « volontaire »
militaire els". nnée a été supprimé. Les
Q volontenes
euisserit des mêmes droits
que les autres soldats et les officiers qui se
distingue, en ha' pagne reçoivent de l'avan-
cement dans l'armée régulière.
A. employés industriels nui se trouvent
en Espagne on garde 'emploi, en appli,
quant aine la mune deponnon legale qur
vaut pour toue les mobilisés et pour les
Volontaires en Afrique orientale. Le 7 sep.
Ombre denier, les Confédérations fasciste
de l'Agriculture ont décidé que les accords
stipulés pour les vdlontaires en Afrique
u doivent boa considérés valables auss1
pour les colons et les métayers volonmire
en Emaine ». Même .iemion de la Par
de la Cause Je compenan,mecs tee
iudemnitas eux employés privés mobilisés.
I1 y a done, sans «brun doute, une ac-
tion militaire de l'Italie fasciste en Espagne
pour s'assurer des avantages politiques et
nihtaires qu'elle constates comme esen.
t'eu et .xquels elle n'entend renoncer à
aucun u.ix. Elle a dam., 5000e tmint,
cap.i MM] de l'Allemagne, comme on e
pu le voir du &Items cie clôture Promue=
par Hitler au congrès de Nuremberg.
Le problème de la non-intervention en
Espagne doit dose être abordé dans le
même esprit, avec la même fermeté que
celui de la lutte contre la piraterie en Md.
dimrran5o. Il s'agit du teste,. du même
problème. Il faut que les divisions Mie,
urr redut rinpuldes d'Espagne, de même
que les saus.marins pirates doivent être re-
foulés de la Méditerranée.
Le droit, le droit tout court ayaet ainsi
été rétabli dans la vie internationale, ou
aura en même temps rendu possible h pins
totale, la phis réelle a égalité des droits a
entre les Etats emopéens.
André LEROUX.
En Espagne
msshrn Orenarered 100.000 110111m3
pour prendre Ma«.
La situation d'après les rebelles.
prise par une autre colonne é rem
Même gauche du dispositif rebelle,
travers les hauteurs de la cOrdil-
Hee .ntubrique.
Si oes notivellet étaient confir-
mées, elles marqueraient l'effondre-
évnt du front sud républicain des
Asturies.
Dans le centre et dans l'est, Ou
ne signale que des rentifiedions de
e ozo tenon embatte, quel.
nos /entement b cause de la réels.
tance ennemie
d'Op...ces s'éthanottaaeret, tundis sue
4es poinga derolt,o et de vataVea as
tendent Inépitnyeleetent CP.,. Or mml
WeinC2 aventurier...
An contraire, canera toute vrais.>
Mance, La Roepl. réussit. AD., 11.1a
LItypothEse
plua faaorable, c'eSt la
ripailles die événements d'Espagne.
Est.11 besoin d'es dire ab.
Co 001 prolVO que de In, Rom.
a Men p.sé
eh. a, Mats a hésité,
sachant que la victoire était Mon 113..
Mine - o contre toute vraisemblance »
écrit id. Barranhin. Vous en05 bien lu I
LE SABOTAGE
DE L'ECONOMIE NATIONALE
Récemment, Illnion syndicale des
travailleurs du Havre avait mole:,
dans Ma Porte etre
.p. rIo
tlon adreeeee sa haut Itett endo
son effet
Mais voici que des faite semblables se
Plokurt1 cArg. ont été db
dg es sur les chantiers bore de France.
A ce sulet, Eugène :Orel éon dans le
Peuple t
Cette façon de pascalee est inadmis
sotte et nous sommes dureard nese les
travain.rs ele ta méta/Ionie du H.
ers pour dire qu'elle COX9111te un vd
ritale sabotage de rée.ontle na010
nate.
Nonavone bien Ose Poar tenter de
DtBlifier leur attitude, tes compagnie,
mnpation insinuent Ose ce sono
Ose exigences ouvrières qui ont pour
résultat d'érotoser des chantiers na,
vals du Havre les natif'. ayant Dm
soin de réparent.
L'Union tredirate dé, travailleurs
de la métallurgie du Innad Port ente.
rrit en four contre ces bruits malvee
lents.
Elle rappelle oPpOrfunèment «Me
a ton/ours ezaininé amer attentim ta-
ret neteretteru afin drue point greer
l'armement et qu'elle 5 inoittdd. è Mie
sieurs reprises, d'une Den «M'Une
combien est grande la bonne Polontd
mamie,
ga protestation doit dose être enteos
due et le nécessaire doit être fait afin
que Me navires français »tent renarde
dans les chantiers navals de France l
Parfaitement d'amui t
INTERIM.
IIN SOUS-MARIN AURAIT ME
CAPTURE A TENEDOS
Stamboul, 19 septembre. - Ln
journal < Ronron v apublie me in-
formation de son correspondant
Mentir et disant que les batteries
côtières de Tenedos ayant embu ta
périscepe d'un submersible ont ou-
vert le feu. Le périscope ayant été
détruit, le sous-marin a été obligé
de remonter 1 la surface et a été
capturé avec Sen équipage de vingt-
deux hommes par les emonniers.
Le journal 0001e qu'il n'a Pas ob-
tenu confirmation de cette nouvelle.
LE GENERAL MDLA
ETE
VICTIME D'UN. ATTEN'aAT
COMMIS PAR DES PHALANGISTES
Valence, 19 septembre. - Le gou-
ver'nement a reçu, de Caspe, divers
documents trouvés à Boichito et
Prree. bene HiplualtleenathintSeSYinn-
nnnce-t-on, pour l'histoire poli tque
du mouvement nationaliste.
On cite des lettres où H 00 'PIde
général élMa n'est pas, Poneeniée
manne la conséquence d'an acci-
dent fortuit, mais comme le résultat
d'un attentat. Dans une de ces let-
tres, on ajoute t e Mola est tombé
et Franco suivra D.
résutte de ces documents, Pre-
ciseA-on, que ks phalangistes no'
talent pas étrangers .au complot qm
avait pour objet 'd'ôter le poUvoir
simonie anx .1 aires ml de le
fier A un groupe de phalangistes et
dv. requ êtes ayant à leur tête le chet
Medina, considéré- comme SUCees-
seur de Primo de Rivera.
UN COMPLOT CONTRE LB
TRIUAIVIRAT FRANCO-QUEIPO.
CABANELLAS
Dam une des pièces saisies, on
cite ce passage t < Coûte que celle,
nous tirerons Réelle de Prison et
nous obligerons Franco à remplir
ses fondrons de généralissiMe et à
commander à son choix un corps
d'armée ou l'année entière mats non
de plus m
lais pièces concordent avec les do-
cuments trouvés sur un chef pha-
langiste tué durant un. combat
Belette et où est signalé le conflit
qui eMste entre les phalangistes et
le militairct partisans du tri.ivirat
Franco-Queipc-Cabancllas. On y lit,
indique-t-on, la menace d'une rup-
ture violente et les dissidents .05I.1
tenaient sisr l'ambition du général
Saliquet, chef ale l'armée nationa-
liste du centre, en Aragon, qui sou-
haite s enlever le pouvoir à Fran-
co ».
D'après ces mêmes pièces, seraient
égaiement niôles an complot les e.
néraux Varela et Vague, Ceuxe se-
raient très irrités par le traitement
Privilégiés accordé aux étrangers
s sans aucune considératiOn
les vrais sauveurs de la patrie p.
L'INMRV.ENTION ITALIENNE
ET ALLEMANDE EN ESPAGNE
Hier, à Genève, sont parvenues
d'Espagne des informations selon
lesquelles l'Italie conformément h'
ce que nous annoncions récemment
préparerait Ilne action qu'elle dit
densue, sur Madrid. Le 6 septem-
ont débarqué b élelilla.
Ils ont déclaré que d'autres régi-
ments allaient cuivre et q,fils
avaient entendu citer le chiffre d'un,'
centaine de Mille hommes qui de-
vaient per petites quantités être en-
voyés en Espagne pour prendre part
à la prise de Madrid.
En outre, deux batteries alleman-
des d¢ gros calibre viennent d'être
montées à Cabovillia-Alhuomas et
les travaux de fortifications entre
le Maroc espagnol et 1¢ Maroc fran-
çais vont leur train.
Dais emplanements pour d'autres
eonoun do tort calibre sont Prép..-
rés à Cabotresforça et tau Monte Gu-
rue.
PARIS -PONTAR LIER'
lignes et de coulis duels d'artillerie.
rfcc,
P. con're, les gellvernementaux de
°tarent que leur avance dans le sec-
e[f[cit"^meut reMés Pau,'
torse sumarsremnp
.1 bes huit, quatre partent en dis
sidenen
IIa1Sd'Aliemuglle
etlails d'AuKche
PREPARERAIENT LIN COUP
DE THEATRE t L'ANSCHLUSS
Bruxelles, 18 septembre - L'Ale
lernagne profitera-t-elle 411 VoYage
M, lelussoltni à Berlin pour p.,
clamer l'AnSchluSs avm l'Autrle
che ?
D'eprèS le récit que nota font ses
étrangers venus recentinent de
caPitale du Reich o ils Suer01 te".
gus officiellement, les o
trIchlens se trouvent dé/ dans o.
les bureaux militaires allemands 14.
comme nos VOYsGeurs
de l. Y Vote
- Que/ de plus naturel, leur dite
y a des Officiers alletnandti
dans tous lm bureaux .
de la Guerre à Vienn du ministère
e -
Les Allemands auraient Monté :
- L'Anschluss est pratIquemeut
faite,
Peut-être n'estece qu'un simple
e bluff s. 1,es Allemands aiment
cela, mais ils aiment aussi tes
emps de théâtre, et l'expérience
appris b l'Europe que Hitler pretê,
ri la mettre devant le fait Mem.
pli,
Il ne faut pas oublier non plut
que tout récemment le Dr Guida
Ochmidt, ministre des Artel,
étrangêrm d'Autriche, se rendit à
Berlin et qu'il chassa pendant Ilim
sieurs Jours chez le genéral O.
ring.
Les diplomates se demandèrent
quel était le but de cette Visite.
Les Autriehlens répondirent Mn.
liement, de façon à détetner let.
tention. Cependant des soupmns
firent jour. A Berlin aujourd'hat
no dit qu'il s'agirait d'une confé-
rence qui réunirait à la lin de Sep-
tembre les Allemands, les Itt/lee,
les Yougoslaves, les Hongrois
Autrichiens, Mest-à-dire en tait
une tentative d'encerclement di la
Tchéooslovaquie.
Cette conférence ne vernit-aie
PM précédée d'une preclamatton
de l'Anschluss de façon b complé-
ter l'axe Berlin-Rome ?
1111111MMIMMI1111111111111111111111111111111
ASSUREZ VOUS .
contre toute baisse
de vos reverses
5 13 NET
pendant
CINQ OU DIX ANS
à votre volonté
avec les
BONS DU- TRÊSOR
Ems VLIE DE
1%rtr!'/.
PRIX D'ÉMISSION
940.
PAR BON DE 1.000 ORS
SOUSCRIVEZ
Close p., les Ageon do Trémr
Bure. de Poste - Banque
Pointes sèches
. _ C'est du propre, m général free
tas et un beton autrichien Hetet:en*
rarmement des ligues factieuses.
t Des documents saisis chez les regme
I lards etablIssent indiseutablerient les
belons de cette association .crête avee
l'Allemagne et FROM. Une lltequdill050.
rmteur de e Paris mir courses si and
du génétal fasciste D..., a ne concluante
Oue..nd m décidera-Mn a supprimer
cettemsuanee
I
Faut-il (pie le peuple se soulève?
En hitlérie ou au pays a MXCMonl-
oue »nye lntempu que ce sale man-
de serait
fusillé.0i givleso
I dissidenetasgdes'i",i'esu'es'hf'O'tiiiedtueson
Orenm donc oonHe le Sena es aalsns-
nérent pour le comp. du fascrene
Oranger. Et cette pourriture déclare
ot patriote. Our, à la façon de
FraniCo vol n'hésite /sas b vendre sou
pays t Hitler et 0 Mussolini.
A ncoPos d'étrangers dans i'«Es-
pre. a, cette foire régionale ein livre-
rait elle aussi le, France aux famistes
'elhe'sderaligreinvZscrettetee urereh"rt
tain Roger Parent dit son fait (sic) it
Largo Caballero.
Dans un charabia Si indigeste lai,
faut 20 grains de vals peur le Ogérer
et si lourd que Rigoulnt lui-même n'en
viendrait pas h Mut.
L'and, prunier espagnol ne lira
mais « ça ». Heureusemeut. Lus I, notie
avons accompli cette tâche surhuinek
ne ; alors. Roger Parent en faee de ln+.
no Caballero, il y rt de (moi voyoz-Pnd
se marrer, comme dit t'autre.
« L'Intran » aunonce ove le due
et la duchesse de Wirdaor ((rant Ni..
tôt h Paris. Qu'est-ce que 10 peut es
nous foutre !
enthousiasme- lu
L'opposition se prébute
grand
Feetorate confonde.
Avec
n' telles
a''' et
/ou. Marin. es Fédéra1005 0.`.;
pontesivo mume.tit (nattera, vin..
Auriol, s
ansb
tre ove r.VMaueee' 'Jr;,ê °
Peu en i:etard 111m l'artne&
it
1,,nitent tourné 1 l'avantage du « dame
n'ilmertone men 6S"'1.
tés du Pur bue rébet rexcau''
éln
les ruccnron
C.CiPP.PCIP el,. 'CC PP.>, T"P'^^
Peut A. enduro.. Ic CCPPno
nanti PO, constituer un /m'avec.'
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

, Le mardi 10 soft, Je pubttais dalle
PoPulaire, une Notule intitulée g
t «Ven. Pas de stade de 100.009 eaceso.
/J'y démontrais - une fois de Plus -
ove tes gradins d'une arène spectacu-
laire ne fabriquent pas de sportifs,
mais (ICS 6 assis ndit stade, des ei asti.
dus du spectaMe 000l001000s.
Dans d'autrei articles j'ai indiqué
Mai l'erreur des municipalités qui
voient trop grand et construisent des
Pnstaltations sportives atedessus de
,teter »mye», non seulement en raison
am ...mes investies d44,.= l'affaire mais
doolement par des frais d'entretien ele-
nés. Et l'on aboutit naturellement -
comme d Courbevoie - d une utilisa
'e,inn. extra-sportive du truck en oses-
" Or, le même four - 10 écouté - où
paruisoa,5 Sa Notule "OPeslde ci-des,
fres Lecture émettant des apprécia-
tions, semblables en tous points aux
Intlennes.
Sous le titrer vie stade sa guichets
'ce est la cause 5, le nua.ger dos e drah
.ne et blanc n dit seul r
On s'adresse, règle génére/e, à un
''architecte /oral, qui ne conne, rien
IO la question, et nui pond un s manu.
Iment
aussi peu pratiqu, qu'horri-
91ement coûteux. On entasse les mil-
flous pour eenntrinire une « bâtisse »
s usage spartir.
g Une fois la construction t.minée
e5 traun000n à grand Oolut, ou corse'
&muon, al exrdoitation 11 y
'etre partieulièrement onéreuse, que
egattatien celte horriblement cher.
Comme II fallait le prévoir, Ions In
IMPresarii du spectacle sportif se la.
mentons, en preSence des résuitats fi-
Stanciers MédienreS des meetings or-
- ganisês 4 l'occasion. pu durant r Expo.
Sidon.lineOre n'était pas besoin
d'H,. grand elere pour prévoir tes
déficits.
il =IN, en effet, de calculer, Os'
pris les chiffres officiels, eure
ses detu,e fours, chaque On de semaine,
de 100000 4 68.80 Visiteurs O l'Expo,
pour CoMprendre que le Parc, 10041010,
Colombes ou les Tourelles ont force-
ment moins de cltemtele. Et contras les
songés p5045-.- ers s'éemsdii, en siollt,
mr Ga Cote d'Ami, en Savoie et ail-
leurs - et les randonnées de week-
end ont contribué d vider Paris n'une
partie des poulua s du stade, les
,,,,,gnigés de juillet û septem-
bre n'ont pas counu la grande foule.
M. Mt: Adeosrldgêgd'aceerd pour
reconnatbr qu en sport, tout ne va
jase flac le mie. air France.
. SdinOin les lignes suivantes que
Venteuse un Papier da directeur d4
Ante, AL Henri Deagrange.
uufivelAIrnIr.° re
d. ....A A. A. -den
seaux trois têtes. CgomrnPattesent tr0ll-11
taire ses dévotions a. championnats
rFe`A",111 la ne
vous entendes bien qu'il ne s'agit
el da faire le procès de persan., pas
lus de tous les »nvernementS lut
sont suecôdé en France depuis un
erniarikle que de la pres., trop ex-
halvement préoccupée des spectacles
001111 que des 4 rlgeuuig de riais
sues guichets et d'aver recours aux
moyens de publicité des établis.
enta professionnels. puisque l'Etat
e Mit rien pour eux- s
Mais pourquoi le père du Tour de
France ne Ment-il lins d tai,. le Mues
dies reSpOnsableS do élas de choses
1-
RUGBY
_-
AU BUREAU DE LA F. F. R.
Pari, 19 septembre. - Le bureau de la
Fédération française de rugby, saisi d'une
demande de requalifi.tion de M. Basque,
eaerbitre. a renvoyé cette demande à la
Commission centrale Peur
M. Besoin
Bertin ayant posé une question au
»je de la qualifiution avec licence n. 1
du Mue. Dorot, en faveur du Lyon-Olyrn.
pique.Univenitaire, ce» question a eté
renvoyée au prochain con.il.
D'autre part. le bureau a autorisé le
Club Athlétique de Brive à rencontre le
25 décembre. le Smdiurn Rennau de Bu.
ouest.
4 LA COMMISSION DES DISCIPLINE
Paria 08 septembre. - La commission
de discipline de la F. F. Ro d'accord 'sec
Os commission de» règlements. vient
d'exsuder /es mutations suivante. t
Carc... du Club Athlétique Peinons,
clin. en faveur de rUnon Sportive.
Calvé-Delft, Ducasse. de l'Aviron
Ba onnes. en faveur des Cheminots de
Plan, du S. O. Perpignanei, en faveur
du Stade Catessaennais.
D'aude pert. à la demande des »dres-
sés. les mute.» suivanme ont été an-
aulées ,David, de Châteaurenard; Larrui,
de Mazamet; Montagne. du T. O. E. C.:
souque. de Dunkerque.
FREMIERES JOUNNEES
D'ENTRA INEME NT
DANS LES EQUIPES
Le début de la saison de rugby »pro.
che
mauhee pour el challenge Tee.
du-Manoir, commenceront le 3 »robs,
c'est-à-dire dans nue quinmine: Pois se
sera, do 10 ex 17, le tournoi de l'Eanes',
lion, dans la finale duquel l'équipe de
Frsne, ege fort probablement en face de
selle d'Alleonegne. Il n'est que temps de
"toit nee joueurs procéder à cette mise eu
Point obligatoire après le repos estival; car
bien terue sont les /ordure de (Bej
Pratiquent eériessement les sports d'été.
Er, voici. mu vouloir en tirer le moin.
the enseignement, quelques résultats:
Stade». Tarbais bat U. S. Soudons
Par 6 à 5.
Stade Toulousain Lat Ca.» Olympique
P. Il à O.
Gunthe bat Club Sportif Albigeois
Per 26 à 0.
relia LI, 5. bat Tarbes A, S. per 22E 10.
EDUCATION PHYSIQUE ET SPORTS
iellineed17.11111811SAIUSIIIIPMEMEIZEMIPMCIESIOYM18.11,Banit8PIN111.11Mrimiertmego; essummuleggIllellingnIMIMOMMISM1111811191MUMAIMMÔMJMOMIIIIMSMAINIEMIIIMMIMAISSII.11111111111111gMlitgal limmoznall,i1M11111,110111,111111,11111111111,11111MIMMODIMMIMM1111111111111111111111111UMAII11111511ang
Aux partisans
de stades spectaculaires
Petit it petit alors on détourne le
Stade de sa destination ...tee, et,
lion ne jure plus que par 1oc e gui-
oteta v, pour y trouver les moye»
financiers, one l'on arums ou nfu
gllgs de nrévolr au budget sendel.
s Petit h petit, /es Installations su,
tement sportives, sont laissées à l'a-
hendon et /a Stade grandiose au lieu
d'aider aux développements et a. Pon.
grès dos sports, donc à la santé et à
l'amélioration de la race, détourne les
Jeuneg gens des mati». sportives en
/es attirant aux spectacles sportifs qui
Y sont donnés.
a Le stade, ee théâtre du sport, n'ai,
rait dû être que le couronnement de
/a construction de plain01 de sports
et de jeux, «0-. 011...,
Comme récrit l'animateur du e Me.
tropolitain-Olub v v Le stade gran-
diose... détourne les jeunes Pene des
pratiques sportives en les attirant aux
spectacles sportifs p. C'est clair, c'est
net, et c'est exact.
ceNe;1
t;,'Céesgrece,.
sains d'entrain...nt, des parcs de
Dna, des baignades, des écoles de PO»
des squares d'enfants. Tout celol
est indispensable Pour r.ateriser, Pour
majorer physiquement leu Jeunes Fran-
çais.
Les stades spectaculaires de 100.000
Pd°ee ne serviraient qu'a permettre
aux impresarii, d leurs organes »Mi-
eiMires et aux commerces gravitant
autour, de faire des ...fi°re sue le
dos de quelques ..aines de Prof.-
sionne/s. On ne volt pas bien ouest Pin-
térét national dans tout Cela.
Mais avant de conclure ante Certi-
tude mei la situation possible du tour.
Monet d la porte des arènes sportives,
ne serait-it pas sage d'attendre la ler-
meltire de l'Exposition? Alors on Pour-
ra juger des répercussions exactes ars
lots sociales sur les s m'ente a phys.,
«uns. A ce moment seulement.
.-e,e',,%te. gegeer'olail
est ainsi faite qu'après les vaCheS
ÉTialgs'ar=ig Zà00,107 eg;
pourcentage, le 'Mme volume toutes
I. années.
Et faudrait-il conclure, si quelques
organisations du spectacle ',vasculaire
ne,gagnatent plus mitant d'argent, que
le sport lui-même subit une crise 7
N'eXagérene pas, veules-0w 7
Responsabilités
attelée ,rerearepopiv-de Peter /mea -
les coupables
de pense, au cOntraire, oeil est né-
cessatre de releuer les eireors du pas.
sé, pour les éviter dons t'avenir.
?V' est-ce posons besogne salutaire,
unenpélL;'.,;.=.rel afIn d'ers
Prétendre qu'il ne s'agit pas de te
re le procès de la presse parce qu'on
dirige un grand journal - dont les
responsabilvtés santtourdes - ressent-
ble fort â aller, Et cette MantAre
nies P'L'2.t u? . Purloutquund
sur 0e 200ud,
nos yeux. ceux qui Se décharent
aussi eavalierement sont singullgAre.
ment fautifs.
Car la presse SPortive - Une cet,
laine presse sportive - ne sera pas
précisément grandie dans une hisloh
ce impartiale de l'exercice physique
de ce pays. Et sans préjuger de taon.
portance des autres responsabilités,
on peul bien affirmer .qUe /a g Faise»
se de glaire s, somme dit l'écrivain
Paul Brutal, n'a pas toujours servi le
sport véritable.
An contraire, peut-On affirmer, sens
crainte de se tremper. P. M.
Stade Bordelais bat C. A. Périgourdin
par 22 à O.
A. S. Carcessonnaise bat Sains-Entons
S. C. par 25 à 3.
13i.rim bat Dax par 18 à 5.
DEMANDE DE MATCH
Espoirs Olympique Narbonnais, écnine
première libre, 5. 12. 19 décembre et 8
et 27 mare. concluerait nue» mu terrain
adverse contre équipe promotion ou 2a.
et 3rne série. Faire offres au secrétariat.
Bar de la Paix. boulevard Docteur-Fer-
rent à Narbonne. (Fe...oestre tous
jours de 17 à 8 heures), Téléphone 4.76.
-.o.--
RUGBY A TREIZE
Tou/orme, 19 septembre. - Le Comité
directeue de la L. R. XIII s'en réuni sa-
medi soir, 021 heure, à Toulouse.
Toue lee présidents de club. eccompa,
gnée de leurs arcrémirea généraux étaient
Prose.. Après septale»e du procu-
verbal de le réunion de Biarritz, l'ordre
du jour fet appelé.
Le comité directeur .tendit d'abord
un exposé soe la position de la Lieue.
li fut ensuite procédé à une mise au
po» générale des calendriers dont le pu.
blicatiou avait été retard» par la commu-
nication dee dates des match. huent».
nana.
Ces matches auront tlss r
Le 31 octobre, tournoi de l'Esposition.
France-Galles, à Paris.
Le 20 mare, Ermee-Angleerre dans une
ri» à désigner.
Le 2 avril, Gelles,France, Llanelle.
Lee Australiens seront en Prenne du 27
décembre au 24 janvier. /1. loueront ts
Pans, Bord..., Lyon, Marseille, Toulou-
se, Bayonne. Perpignan, Villeneuve,
Roanne, et dans orseille à désigner.
Le choix de Toulouse semble indiquer
que la Ligue :serait sikidée à adheer un
tenain à Toulon.. qui pourrait bien avoir
mn équipe.
La réunion de samedi soit se termina
fort tard. La ligue isteeembla à nouveau
hier rraeo et erré. défunts...mem les d.
tes des calendriers.
La chempiennat prof.sionne/ commen-
cera le 3 octobre. Le 6 mars auront lieu
ire huitièmes de finale de la coupe; le 27
les imans de finale; le 10 avril Ose
dernidinales et le finale le lei mai.
Lee demi-finalss du champi 5.055 .5 dé-
rouleront lu 24 ami/ et /a finale la 15 mai
qui rismese surtout aux dirigea»
du sport officel, c'est la foi - cette
foi qui, elsag-on jadis, remue 1.
montagne..
Peut-Ore ronhils eue. dans le passé,lors-
qu'ils sont venus à remtcice physique. Mais
depuis, ils se sont transfo»is en de bra-
ves ronds-de-cuir, en de parfaits bureau-
orales. à la courte vue, sans compréhen-
sion des vastes problèmes posés par le
sport, et sans vue sur revenir de ce der-
nier.
Et ils se mot enlisés peu à peu dans des
règleme» éndits, es»"ez munies, ou
mal appliqués. Et ils ont continué kur be-
sogne sans l'enthousiasme nécessaire. sté-
rélimnt le plus clair de leur activité el
parlottes, en creussion's autour an tem
vert, en congrès ois le coupage des cher
veux en quatre est dem» un rite.
Ils ressendslent 'à ces croyanm ne eroYtad
plus guère, mais qui continuent à marmoo
ter les prière, sans grande conviction, par
habitude.
Ils ont prolo aussi le contact avec leun
adhôr.ts. Une banière les sépare d'eux.
On ra bien vu encore, tout récemment, à
l'occasion des championnats mondiaux du
cycle. Mao, dans d'autres gro»ements,
en est eh mime. Il n'y a pas, il n'y a Pl.
.tre les pratiquanu et les pontife, cette
affectueuse ,camaraderie, cette confiance
réciproque qui cimente /es amitiés. et crée
11nd:eu:sable discipline librement cons.-
Ou Les tolérances des dirigeants ont pou.
sé - dans certains exercices - les affile.
tes d transgresser sans cesse lm règles de
leur sport. Puis les officiels ont voulu réa-
gin Parfois ce fut avec de foudres de
carton, à d'autre moments ils ont créé un
arsenal de lots, sorte dép.vantail mu a
dépassé le but poursuivi.
Trop souvent semblables à la médecine
chimique, ces dirigea» ne voient que le
fait brutal, le ma/aise présent, l'affection
passagère, sans vouloir, OU savoir recher-
cher les causes prefondes du mal, sens pen
ter à soigner l'organisme «user. Ils ne
rongent pas à refaire, sur des bases no.
rale., toute le structure de !édifice sporld
qui pourtant rte correspond plus aux néces-
sités de la vie actuelle.
000
Je parlais de foi au deut de ce papier.
J'ai bien con» jadis-d y e uue deu-
gaine d'années de cela -
gro»ement
sportif d'importance mode.. Les subven-
tions lui étaient inc.nues, les »puis igno-
ré, On pent bun chre qu a vivad unique-
ment par le dédouernent d'une Poignée de
jeunes hornmes que la confiance de leurs
camarades avait appelés à la direction de
.tte fédération. Elle subsistait .nuoit-Par
la fidélité des éléments ePurtifelmdemPer.
sant. Tous, eu à peu mês, ee connaissaient,
savaient la somme de travail pliil.nppovl
laient et que chacun pouvait compter sur
les am», pour mener à bien la Limbe er.
trends.
A la mite de circonstances qulé serait
trop long de raconter, ce groupement fail-
lit moudr. Mak ses milita» firent front,
refusèrent de s'abandonner au décourage.
Une Auberge
de la Jeunesse
au Ballon d'Alsace
La région de 13efort entre les Vos-
ges elle Jura offre aux M'etes une 005'
«1111111 infinie d'excursions. Elle avait
déjà une auberge à RougemontdeCha
tean ; mais le centre le plus impur..
est eedui du Ballon d'Alsace, 11 01010e
doté ts, partir du mots de septembre
d'une aubeve hituée b Ma/vaux, au pied
même du Delon d'Alsace cette au-
berge. gni sera ouverte pendant toute
l'année, servira a»si bien en hiver aux
»Imre (m'en 68 ans amateurs de Pro
eneraotes en m001adue.
Les voies d'ares sont uombremses
train (Giroemeny). »toc. usepuIte
Gy, Malvenus à 300 m.), on routes de
Belfort ou do Saint-Maurice RN. Ion,
et de Senceen et MuMouse (12-N. 466).
L'anberge de Jeunesse a Joie rie VI-
rer e
i ian%rg': l'armlees,EtemitèmeaUrli
ialcri'.
ger ving»1» Jeunes gens ou jeunes
1.4111. 14-'4:»X
ASSOCIATION
LES RESULTATS DU CHAMPIONNAT
Premitna division
IA SOCHAUX. - 01. Merseide bat Sn-
, dieux par 2b L
A SAINT-OUEN. - Red-Stat bat Fies,
pat 50 2.
A LENS. - R.-C. Lens bat U. S. Va,
lencienne, par 20 1.
A STRASBOURG. - R.G. Strasbourg
O F,C. Rouen. 3 à 3.
Racing-Peris, 1; 01. Liliois 0.
Antibes. 4: Roubaix, 2.
Sète. 4; Mer, I.
Deuxième division (Est)
Mulhouse bat Long, sa«, 5 à I.
Cheleville bat Colmar, par IO à 5.
Name bat Reims, par S à
LE IdIDI SOCIAL ISTE
ment, décidèrent de tenter l'effort irictu
pensable pour sauver leur oeuvre.
Quelque-uns de ceux qui liront ces lei
unes undront les souvenirs ,leur monter ms
eceur, à cette évocation. L'rquipe n La
Belle Equipe n - qui composait la con.
mission administrative et les commissions,
sportives (c'étaient les ternes) se réunis-
saient plusieurs Sen, Pet ,emenio dons une,
soupent, cous le toit d'une vieille main»
Dans cette pièce étroite, mansardée, où
gelait l'hiver, où l'on étouffait l'été. parmi
la fumée des cigarettes, ces .marades obs
des ont lutté pendant des années.
D'abord leurs efforts parurent vains.
Tout le monde /es ignorait. Une indiffé..
rcnce à peu près totale. absolue les en,
bornait. La pies. sportive ne mentionnai:
même pas le nom de leur association. Leurg
moyens financiers tellement restreints »
permettaient pas l'organisation de nombre,
ses épreuves fédérales. Mais ils tenaient
bon. lie ne voulaient pas désespérer. Ils
avaient la foi, et confiance dans rave»
Et peu à peu, kntement d'abord, puis
plus largement ensuite, le succès » ar.
rivé. Des clubs se sont ajoutés a. clubs.
La province est venue se joindre à la
Seine. Gadins département, où la ten:e
somme de divouement et de vaillance er
manifestait, ont essaimé à leur tour. Des
comités régjonaux ont été fondés. D'autres
sports se sont ajoutés à une activité qui, au
da», ne comprenait guère que f.tball
couru à pied, natation et cycldme.
A chaque congrès la montée des effectifs
- clubs et licenciés - appareissait plu,
importante. Et comme toujours dis mem
groupement est plut puissant, a n'est plus
inconnu. On parle de lui. On apporte da
l'eau à son moulin. Et j n'y a plus qu'à
continuer à travailler, J'esprit plus Dore,
puisque débarrassé des soucis de la preg
mière heure.
000
Je d'ai pas racoMé cette histoire - lag,
quelle est scrupuleusement exacte dans tenni
ses detads - pour fane le panegynque
d'une fédération, ou pour donner une le-
Mais plus simplement, rai voulu
pour appuyer les thèses soutenues dem
cette rade. - moufter 9ue le dévoll
nent obstine maclé, a ben des choses. E
qu'il est préférable - et plus noble - d

Le Congrès des classes moyennes muni;s a la Halte aux Grains pour le
banquet de Hom., sous la préside.°
Le congrès des classes moyennes petits commerçants. L'avantage de m. Put Nous avons remarqué h la
se réunit à 15 heures au Conserva- qu'il y aurait a aménager les ban- table dilemmes M. Francis DelasY,
toire, soie laPrésidence dé M. Pep.
l'ont partie du bureau _M. Roy,
de Paris, vice-président de la Régi.
parisienne ; M. Chpulo, secrétaire
adjoint de la Région do Midi;
M. de Verbizier, vice-Président do
la Région du Midi.
Groupements représentés r
Groupement conféderé des détaillants
à Toulouse',
Union des commerçants et industriels
d'Albi
Groupement du petit commerce
de Maga/net ;
Front économique
Syndicat dee détaillante ,épiciers;
limon des commerçants de campagne
;
Bloc régional des petits commerçants
et artisans
-- Chambre syndicale des maîtres
artisans de Toutou.e et de la région
Union des femmes commerçutes
et industrielles de Toulouse et
de la Haute-Garonne.
...Saint demande. qu'on donne
la parole à M. Metzer qui va exposer
la charte des Masses moyenii
Metzer, de Paris, au nom du
comité d'orgyttisation de la Cordé_
dération générale des classes
moyennes parle de /a structure de
/a repréeentati. - des - clasees
moyennes auprès des pouvoirs pubilas,
blies, du problème du crédit.
Le problème du crédit domine
l'organisation de la Confédération
generale des classes 'inderitm.
Les elaeses maoyenms sont consdes
de eind catégories
Petits et moyens patrons
Techniciens du commerce industriel
et des fonctions publiques;
Professions libéralég
Petits et moyene épargnants;
5: Artisans patrons.
Elles entendent constituer entre
/a-G D. T. et la E.-Or P. une sorte
d'organisation klentkme.
En tête du prograneme r autonomie
et indépendance fondée sur le
principe imprescriptible de la liberté
du trayait.
Elle s'élève contre tous les protagonistes
de toutes dictatures economiques;
elle tend à protéger les
initiatives personnelles ; elle combat
la concentration des capitaux;
Mie velit,être représentée dans tous
les orehrilaMes officiels au même
titre quelle O.' G. T. et que /a C. G.
C'eatla charte dite d'ores et déjà
de Toutous.
L'ormier.. demudê congrès
de ne pair Fie disloquer avut d'avoir
arrêté mi texte précis.
Discussion immédiate sur les
buques populaces. Le coutrMe devrait
être axarcéditlii. Roy non
P. seulement par l'Etat mais par
la OblifereilMsoirmrdeS classes
moyenrieg.
M. Metzer tient à faire remarquer
qu'avant de faire paraître cet
article de la charte, il faut d'abord
refondre la réorganisation des
banques populaires lesquelles
créées pour être au service des petits
est à Meure actnelle aux
mains deS gros.
M. Rogués intervient en faveur
de Eartmanat, et M. Boronat au
nom du comité d'entente et d'action
artisanale, demandant que les
artisans soient mis dans la fut.e
Confédération des classes moyennes
sur le même pied que les autres
catégories qui la composent.
M. Moirer répond que les artisans
doivent adhérer a la Confédération
générale des classm moyennes,
non individuellement, mals par
l'intermédiaire de leur syndicat
existant. Les artisans doivent mur
une place à part, parer qu'ils sont
eriviléglés et que leur appui peut
etre precieux.
Fournia/s, du groupement des
Meus moymums du Tarn, dit qu'il
faut définir les Masses moyennes
il critique, définit une donnée, expose
la difficulté d'en faire une
Il faut ensuite donner une doctrine
et ma mystique celte .doctrine
doit reposera.,: travails-économie,
'
primauté du Cavait personnel, respect
de la petite propriété acquise
Par l'économie. Il faut ensuite encadrer
la classe moyenne et Porgaroser
dans des syndicats.'
M. Rous, de la Fédération des
Pyrénées-Oriental., s'élève contre
les accords Matignon qui ont, dit-il,
sacribé les classes moyénnes-; fait
l'historique de l'organisation des
Pyrénées-Orientales ; énonce les
principes qui ont présidé à cette l
org.mation. -e La province est
prête à marcher, mais elle demande
desgurautico o.
Francis Delaisi prend la parole,
et remercie le président.
Il rappelle Eseuvre du comité
d'organisation générale des clames
Ii.' Il souligne les caractères qui définissent
les c/asses moyen.s
I/ signale l'avantage de se confédérer
puisque, à propos dés contrats
collectifs, amies les Confédérations
ouvneres et les Confédérations
patronales ont discuté et que
la classe moyenne non sjiganisée ne
peut discuter
Il démontre' coinmenf la classe
moyenne 'paie et la hausse des
prix des trusts qu'ils remboursent
di Int' Ittopre hausse; nécessité de
discuter avec les cartels d'où Conf
édération.
fi aborstmenseite-M-arcation du
créght, exPlEULP Ies... cOnditiona du
crédit des classes moyennm, inférieures
à' eut des grandes entreprises.
Il synthétise' le but de la Confédération
deS classes moyennes,
créer une organisai= spéciale aux
M.
Le Banquet
ques populaires et les P. T. T. qui Bocage. ...mater de Préfectue: no.
auraient Eavutage de dégager vre ami le député Buta, représentant
l'Etat de /a tutelle des barques et la municipalité toulousame, M. salsa,
de rendre meilleur marché r cré président de la Chambre des Métiers,
dit.
M. mute, de la Churbre de commerce;
Il termine en faisant appel aux M. le Président du Tribunal de Com
classes moyennes.
merce; M. Gui, président du M. du
Remerciements du président. Petit Commerce non ' Ro d'
M. Haudy fait une intervention tee= posetesfrietales; différer°
'énergique pour préciser la question cent Auriol ro
des adjudications.
mient'ftaltnoetxrecuserami
M. Metzer relève une ineueti- sa ,ge,, r,err,,teleserelleet,cote
tude à ce sujet et apporte des pré- parfait. et fort goûté des sievives, diffa
Melons.
Notre ami Rous expose le but de roulis Pl" 'la la parole'
la constitution du groupement par- M. put dans une allocution brève.
lementaire de défense des classes mais spirituelle, prit congé du « Blm n
moyennes
partisc
dans son Pmr assurer la réception d'aujourd'hui
avec une impaHialité requae intervention;
mus bl
rvr. De erier raa es ux
il dé
V bin ppel l vse
clare qu'on doit sacrifier les
politiques qua detruent la
classe moyenne, on doit regarder
s'est tracé.
SI. Gui prend ensuite la parole pour
les hommes et les juger à leurs formuler /es remerciements d'usages aux
actes en faveur de la classe personnalités présentes et forme les
moyenne. Victoire par l'union, meru pour l'aboutissement de la dé.
quelle que soit la couleur politique Penne do Bloc
des membres.
Notre ami le députe Della dit l'ire&
M. Locquin, du Front économique
expose la dentelas du front
051 qu'il a eu is suivre les discusio.
du Congres et parlant au nom de la mueconornique.
rIcipauté toulousaine il assure les con-
M. Barber. de Saint-Etienne, messis.. de la bonne volonté h les suiporte
ensuite son point de vue sur 'gre des, lems req,oes.,,see jeu,
les menaces (fui pèsent sur les cies- rappelle combien Ellen provost, nier,
ses moyennes. Et Pronise son slo, était de mem mec eux. /mucosa avec
de l'organisation de classe ,jes.0 ess dorai ;I sephsse
moyenne.
que m lutte qu'entreprend classe
M. Reu, d'Albi, reette gr nu. erroyenne est une iutte vitale Enfin, Ber.
ne Precis° P.
l e Plan lia onclu en combien est heuconstructif.
reux que Toutousa soit point de dé-
Notre ami Laurent, de Troyes, Part d'une rénovation dans 1m classes
apporte mi plan de travail constructif,
extremement précis et Notre ami Rous rappelle sa collaboradonne
les véritables idées directri- nom Berl, m meure
ces qui doivent animer la création 1. clame =MD. . de Mut tatami que
du groupement.
lui portera le parlement soucieux de la
M. Pugi synthétise les !Efférents dee.. de el.' "elel.
avis et propose les solutions nées- /I relheleleie eeueell de se ele".
safres. Demande que le Bloc soc- per elfe se défendre, seule condition
coupe en Jisromvomyceenndee organisation ree,,
préfet prend ena
séance est susrUndue à
racole
L
18 h 1 sflicsIrc s fa
pour
ttir . .
l'étoile
a ' . tes de la bienveilla'r:é es aria pil'.,
sr
questions.
mes.
Avant de clore le Congrès. M. de Ver.
Après /a reprise de In séance, /es Ibizier félicite et remercie les orateurs
mgnressistes anproment une mu-let annonce la Marnée d'aineuenhui qui
lion qui dOnstitue la charte des 1 conduira I. congressistes du Lampe d
classes moyennes.
I careassonne et à Béziers
Terrible AccidentBruxelles. ,.1
Répondant à l'appel ales CDMilée
à Blagnac
des foules nombreuses tiendront
ortaldernent à assister aux deux ,
lauaitions annoncées, montrant '
ainsi unrblen elle sait apprécier
Un autocar contre un arbre ses efforts sans cesse renouvelés
'dans l'intérêt de notre cltGie ville.
UN MORT 18 BLESSÉS
La journée d'hier était marquée qu'Ellen Prévet, maire de Toulouse,
par un pelerinsge à Ste Germaine prévenu d'urgence, venait constater
de Pibrac.
Per luimérue l'importance du Mus-
Le curé de Blagnm, 61, Amoureux, trr.
avait frété trois cars pour permettre
à ses punissions d'assister à ce pe/e- UN SPECTACLE HORRIFIANT
rinage. C'était un spectacle horrifiant qui
leloges,lelssesesqaess17!Vlsibeenst sel et endroit la et empiétait sur la voie du
riva l'accident contenait trente Mil!reiherro iri LE MIDI SOCIALISTE
Ensuite, pris de
1 'ent pas arrêtés. devant la gra-
remords, sans Oolite
ailé de l'accident et les conséquences
que leur fuite pourrait
avoir,e ils retournèrent
sur leurs pas.
D'après le
conducteur de ce
véhicule il auralt
était à sa main lorsque
el car est orrivé
à sa heure..
Le conducteur du car M. Cathalan,
déclare au contraire què la
nette m tenait pas sa main, ce qui
l'a obligé à obliquer et a
APRES L'ACCIDENT
La mreula.tion completement m-
A 18 h. 90, les congresist. s'états. terrempue sur la voie ferrée à nedetecrnidu
d-Ost et Ear.
personnes.
étaitSnu resté intact.
Au moment ou le car conduit p. Tout le train avant était complète-
M. Simon Cathalan commenun à
ment rnécomaissable. Le mur de la
descendre la déclivité du pont dupropriété ',ait été complète:
L'EMOTION
provoque
'accident.
L'enquête se poursuit en vue de'/Ulis
les véritables resté...il-Hies
de l'acculent
cessité le transbordement des voyage..
et depuis 19 heures les Pompiers
de Tourouse, sons la conduite
du lieutenant Soies, ont Procedo ou
dégagement de la voie et h l'enlèvement
du car.
1 Au moment. où nous mettons sous
perme, nous apPre0e05 Rue
pu M. complètement dégazé et
transporté â Toulouse Eside de
deux camions de la maison Lacoste.
dile en e ami Elles PefOot
s'es(' à'lls du sur les lieux
21 h. '27;r:ri' ne r" rendre compte de
i l'état es ,
dispositions prises.
Roger CLERGUE.
I 211111111111111N11111111111111111111111111111111
'Les Fêles de Toulouse
LES AUDITIONS DE LA MUSIQUE
1
DES CHASSEURS A PIED I
; .A. l'occasion du centenaire de la
fondation des Cha.eurs à Pied
qu'a tenu à commémorer la « Sidt-
Brahim Association qui groupe
dans notre ville les anciens de cette
arme (Chasseurs à Pied, proprementent
art. Alpins et cycictes)
Comité dm fêtes de Toulouse na
pas hésitée, malgré des frais °Ansi-
"ables a faire venir la fanfare
sut le goût très averti de nos
con/patriotes, il a tonu à s'odresser
h le plus réputée d'entre elles,
celle du 16e qui. compte 80 exécutants,
tous instrtmentitst. de valeur.
Cette musique militaire se fer
en en re samedi proc SeP
gentil
'1te=b 1 àslu"Capitule,
d'un .ncert comportant diverses
vedettes.
Puis afin de permettre à toute la
population et aux nombreux 0111truru
errons à ce e , P
plaudir cette fanfare qui sera notre
hôte pour la Mc... fois, nue
ueconde audition aura lieu le leudemain
dimanche après-midi sous
les frais hombrages du Grand-
Rond. Le pnx d'entrée que
mité o voulu r , au
la portée de toutes les Musses.
La fanfare du 16 13ataillon de
Chasseurs à pied et alpins, s'est
particulièrement fait amlamer
Paris, lors de la revue du 14 juillet,
elle a donné des auditions très suivies
l'étranger et a eu maintes
fois I. honneurs de l'enregistrement
par disque et de la diffUSIOS1
dl art e(hVererts Par les postes
émetteurs IdtPdabourg, Reine-Bre-
Economie s Rapidité Confort !
telles sont les qualités de la nouvelle
E01"
80 Ima. heure -2 lit. 1/2 aux 100 km
Lo ts LUGUET
45, boulevard Carnot - TOULOUSE
tri face Square Rolland)
Vers 17 h. 45, diens q les cars
arrivaient à nouveau à ueBlagnac de nous attendait.
L'autobus un grand car de la mst-1
retour de Pibrac un dramatique 0'
produisit.
aident se
son lems., de Toulouse, était cou- t
clé dans le fossé très profond à cet Rénovation
Disse,
Touch,
sape
sur
qsd
la mute
seugussesse
de Purpan
des_
é et la roue droite étaient complète'. MANIFESTATION ARTISTIQUE
,,,,, ment emboîtés dans l'arbre. Inutile L'Administhatteii municipale a
"'te de commerce, Pue ill "u4' domicilié Schilei à Toulouc "Yag-- de dire que le volant était brisé, la l'honneur de faire connaître que la
i direction étant même à peine visi- Manifestation artistique offerte
1' Le eue car do voulut "'"n'ri-vine'''ve
éviter la voiture et hie. Le moteur n'était qu'une sorte tuas lauréats de la 12e Ennui/ion
. de renflement informe et le capot de Rm énation des Métiers ama
"lig" sait qu'à voeu cet su endroit droite, la Mais route est très
avait volé en dotais laissant à nu ene lieu le samedi matin 25 septembre
dangereuse par mite de mn étroites- informe où se mêlaient quel- 1937 à 9 he.es, au Théâtre du
se
chose ffies fils, quelques tubes et une va- Capitole, sous la présidence de M.
gue carcasse de -machine ; L'arbre Louis François, inspecte. de l'En-
Le car vint butter conire unarbre était complètemént encré dans Eau- seignement technique, membre de
et l'avant alla sinfoncer contre le tohus et contre lui r la Commission municipale du Taismer
de la propriété de M. le Docteur
Garipuy. Le car se renversa UN MORT
dans le fossé très profond et vint
obstruer la voie du chemin de fer
On appercevait un morceau d'el
toit, noire et on devinait sans née-
ire e Mite iruFRO dutePettildel 'fre7And. 'fBeens. t'aeCr'5. e'dni
du Sud Ouest qu'il s'agissait de M. l'abbé Amom n., Bach t d T ''t e
voua
dur'' Ill'agnaet Mai' du Capitole, M. Charles Fre mal du
'''''' "'Près dll ""le"' "il. Il le Théâtre ch., capitole, m. Hector
Immédiatement on put entendre Cassis étant complètement entrés muss,d du d'hm cite M.
dm cris déchirants sortir de 100000' dans l'arbre, l'inf. ortuné avait été lit- iiiiii-er 6qqepsrtyre du u Tiljéhnre! uie do,
...ment formé par le car, presque téralement écrasé entre l'arbre et le capitule, gess leur répertoire, niano
accordéon, une quarantaine de dossier de
li
son siège. On réussit a me que dom une pièce qui déridera
Personnes se trouvaient entassées /a grand peine à le retirer et nous nous Ir t t ur
dedans et na primo abord les per- gardons
t; 1: 'écrre l'étal delle lequel La artie musicale sera assurée
p
cseor rdoins rpam,e,iug,>,!rmt;reirroilsl oéetaoitt ,,,,,,,,,;oltnieey,,,,.: ?,tiogprietneaons la!
pimerrxibr,é0m.,,opeinsdaf,treaLeffIrceayempa!ar_
métres
fbIcots 50m angoisse' ellait pli.slois 1 el " "
rester de toutes ces vies ' Notre ami Ellen Prévint, maire de rer '-i:nt-Lles 11,:ees sont priées de
truf le Matin même avaient humainess quitté l Toulouse,
lieux qui
Lm demandes devront être
adressées à la Préfecture, lre Division
par les candidats habitant
l'arrondissement de Toulouse ; à la
Sous-Préfecture, pour les candidats
habitant Emrondissement de St-
Gaudens avant le ler novembre
1937 (dernier délai).
Les intéressés devront y joindre
leur bulletin de naissance, une attestation
du maire certifiant lobarum
dc resources et la sincérité
Ors motifs, invoqués, ainsi que teletes
pièces probantes, de nature à
justifier l'attribution des prix susglitildittiNIIMIIININIENDMIRM01/119
PARURES DE MARIEES
D. COSTES, 55. rases Rémusat II
UltUllnain.11111111111111111.11111111.11111O
UMM Mer réte
mi l'automne
Aprés un été chaud et sec, le
plus sec, parait-il, que nous ayons
. depuis plus de quarante ans nom
voici ou seuil de l'automne.
s'était transporté sur s'astresser BurPeau de la Rénovation
coquette banlieue.
e
uits-Or,
, merme nous l'avons dortleoswolVieu!st,Ters, rue des Pem.,
Lb de l'accident se répandit sigseté, fit prendre le corps par une
comme une /rainée de poudre et de "iihula.ee
Le Matra
nombreux passants s'em rossèrent '1" su.
1111111111111111111111111111P11111111111111111.
pour porter les premiers soulagements
en attendant que les secours
DES BLESSES
e.;qge
demandés de toute urgence' soimn Plicieurs Perm... roussirent tant
nous. . bien eue Mai à urtir de cet enfer.
LES PMI LANDAU
rums hetes, beaucoup tilos numbreu-
L'ARRIVEE DES SECOURS ses étaie. colies qui restaient dans les Par
date du 15 féh,
vrier 1912testament en
ET DES AUTORITES décombres. Péniblement on réussit , M. Landau, décédé le 7
Ira une Mes le autres, les mars 1912, a crée r pr X L on
Immédiatement prévenue la per, infortunés pèlerins. Presque tous Landau s, et le prix r Charlotte
manence du capitole dépéchs Ira étaient contusionnés. La plupart Landau s décernés le ler janvier
ambulances municipales, quelques blessés les uns légèrement, d'autres de chaque
instants après le désastre année P. M. le Minblee
celles-es beaucoup phis sérieusement atteints de /Intérieur.
arrivaient et presque aussitôt, M. en tout 18 blessés gravas. L'es'. Le prix Léon Landau peut étre
Lamue commissaire de polior de per- tains furent transportés h leur dom'. attribué à un jeune homme paumanence
accompagné de sou sec.- oit, riais l'état de quelques.uns d'en, vas, orphelin, travaille., honnête,
taire. Il. le Maire de Blagnac prévenu tre eux nécessita leur transport a âgé de 16 ans au moins et de 25
Se transporta auSsi SUT les lima do ilmgjeaDjeue acsns Pleaa se trouvant dans une
sinistre ou l'on craignait Tue plu- Le4NQupepE . sit.tion difficile par mite de lesieurs
ses administrés eusse., de fortune.
péri. M. Lam°o, commissaire de police Le prix Char/otte Landau peut
Les occupants du eer, en effet, de permanence procéda sur place a être délivré à une femme âgée d'au
étaient tous des habitants de la vine râudition de divers témoins et rom- moins 60 ans, pauvre, sus famille
même. Après une courte apparition mença son enquête. Notons que les ou dans IliMpossibilité d'être aidée
il .regaguit sen domicile taudis, occupants de la ...nette ne s'é- par ana .prtany,
Demain
21 septembre, la mlson douce
et morose fera sa rentrée
un décor traditionnel de feuillages
cuivrés et or et de grisaille dans le
me/.
La journée d'hier, pluvieuse et
triste, chaude encore, caractérisait
bien déjà la saison ci. vient à
grands pas. C était bien une journée
automnale, mélancolique, laissant
percer une triste.. qui MuSinuaitpartout
cOrnme la pluie.
A campagn e, es arbres ont
perdu de leur eclatante véloce et
sur les chemins, dans les parcs, les
feuilles morteS, mollement &suer
nées, font penser à la puérilité des
choses d'ici bas. Dans une ferme
proche de banlieue, le bruit d'une
bûche qui tombe sous la scie du
paysan est sIngulier. Cela rappelle
un vers de Baudelaire r
Il semble (Won cloue un cercueil
C'était hier l'été, voici l'automne!
Eh bien, sourions à la saison qui
vient
orna ,dert!o,nesdanfririTanneegsroeM,,Ir/vsronle.
,,esetvfleutl.
ne asu.tieln'idgi.queo
de. belles journé. en perspective...
Il y a, en automne, dans une campagne
qui se meurt en beauté, des
Ornera exquises ou l'âme se berce
des douceurs d'une ineffable Paix.
Les loisirs trouvent encore l'occarepas
sur l'herbe et parties de
bouleS si chères à Dominique Rien
e t a 'enes
amis toulousains.
Tout compte fait, 1 autOmne est
ace
'Ver'enrsand lestis
VOL D'ESSENCE
M. Gérard Biron,
cautions /a rentrée de l'hiver, si
crue/ pour les malheureux.
Ezr attendant, profitons du
mima pumible des gjuournrétes
leillées uni os pas
au cours de rot automnee
Icare
ArLarimplUs, si la chute des feintlm
symbolise l'envoi chez nous
d'agred,,/puilles moins sympathientesecelles.
du pereeptetirs.CP
L'été et mort, Vive l'automner!.
è t
imumuninnumumugulininumm,
Avis Officievs
POSTES - TELE.GRAPHES
TELEPHONES
Notre and Jean Lebas, Ministre
des P. T. T., communique r
Pendent la période du 16 au 31
Aoat 1937, le montant des opérations
enregistrées à la Caisse Nationale
d'Epargne simt élevé à 328.851.11g
Canes pour les versements et
257.043.643 francs pour les remboursemm
s, son un excédent 0m 71.1017.
473 francs en faveur des versements.
La Bière
est la plus saine des boissons,
la meilleure est la Bière
1LA STRASBOURG
CHEZ LE
POIL
UNION FEDERALE
ASOCIATION DE MUTULES
ET ANCIENS COMBATTANTS
Monsieur le Sous Secrétaire
d'Etat du Commerce et de r Industrie
a créé des voyagm collectifs à l'Exposition
Internationale 1937,
Prix du voyage 245 francs Pour les
personnes habitants le Département
de In Haute Garom et comportant
un séiorrr de 2 murs es 5
Paris, prix du séjour à Paris 65 fr.
Les intéressés pourront cependant
prolonger lem 'séjour de 24 heures
moyennant un supplément de 30 fr.
Chaque voyage romprendra la visite
de l'Exposition sous la conduite
de guide et suivant un plan étabil
dès maintenant. Ces centres d'accueil
sont organisés à Paris par le Commusariat
Général de l'Exposition où
les voyageurs logeront et Prendront
/eus repas.
Les adhérents de l'A. M. A, C. qui
e hier des conditions
qui leur sont offertes. devront
adresser leur nom et leur
resse au mède de Passociotion 11,
rue Alemndre Fouinantes avant le
21 septembre dernier délai.
En outre le comité Fédéral de EU
nion Fédérale devant avoir lieu
Paris, les ler, 2 et 3 octobre Prochain,
le adhérents qui ne désireraient
pas bénéficier des conditions
eislessun. mais oui voudraient se
rendre è l'Exposition et faire coineidee
Inar v.Srage avec le Comité Fédéra/.
devront nous le d'aire savoir:le
plus bit nurible et avant le 22 senfeentme
dernier délai, de radon ou ,
mus nuisions demander on Coodg
d'organisons, les dmd el
goolulirs à PETpositinn.
directeur du
r Comptoir Moderne de D... a
83 rue de Bourrassol a porté plain-
contre en de
te pour vol d'essence
, Ses ouvriers Georges Bruant qui,
nuitammeut, à l'aide d'un complice
!a escaladé lé Mur de I entrePoL, en
o ouvert Je portail de l'intérieur et
a pris une des
camionnettes de 11h...on.
Il n'est rentré que hier
matin vers les 9 heures. M. Biron
avait dea refusé cette Ca
ric M. Bruent.
DOMMAGES A LA PROPRTETE
D'AUTRUI
Mme Cages, née Fernande Visloge,
48ans, propriétaire, 8 rue St-
Aubin, a porté plainte contre Inconnu
qui dans la nuit de samedi
à dimanche a brisé quelques briques
du couloir de son immeuble.
UNE CHAMBRE A AIR PREND
LES VOILES
M. HenriRossignol, 25 ans. étudiant,
durnicCié à Toulouse, 26 allées
de Barcelone a porté plainte
contre inconnu pour vol d'une
chambre à air de bicyclette.
1111111111111111111111111+11111111111111111111111
eut...mass Noscruaro.
0. cOSTES, 25, rue sis gramma 2,
Choix à domicile .. Téléphone 203.13
llll iniiiIIIIISTSIIIISS A vuE DES ::---kl111111111o111111111Illil
A Vit
/OMM/
COMMISSION ADMINISTRATIVE
I
Les membres rte la C A. sont priés de
se rmdre à la réunion qui 50m usa au
soir lundi zo septembre, au FOSIOr
mure, h le Mures.
Présence indispensable de tous
Le Secrétaire ; R. Oestrale.
ASSEMBLEE GENERALE
LOS militants do la Section Tomesu
mue sant airm de se rendre b la réunion
lié/Sépale de la section qui aura Ites
ce soir lundi 25 sePtembre, au Foyer au
Peuple, h 21 heures pré...
Ordre du Dur
Compte rendit du mandat municipal,
questions diverses.
Les oamarsdes sent informés Mem
rontréle rigoureux sera exercé à Pentria
il exigera les cartm et les abattes
t
las eerliteetr daiucsl
eitrleno du Parti.
Le Secrétaire communal :
DESBALS.
EhECTIONS CANTONALES
Les comités électoraux des cantons
Nard, centre, Sud, Oumt sacs Informés
QOM réund.ion aura lieu au Foyer du
"
PelrerntitéS iUsehr'sTer seprê=S. dose.
oder SSOREVAIRES DOS SECTIONS, annuel
RURALES, .DES SECEETAIRES DES QueStiOns
CROUPES DE QUARTIERS DE LA AUX MUTILES ET
°C..E.A..v.ECTQouNDE.E:60EuLEUNSG.E, .fla.ull 4TR, AirlroLeo. Leroawrioé.us%lehn,
INVALIDESaura
lieu le dimanche 26 Sentembre à g
'Ie.ss les Preeul"el "isl" ete ID 555155e Salle ancienne Facultés des Lettres
sest priés d'être MISS. n nette réu- rus de
Exposé de la nidation Pet.05 actuelle
par Imite Berl., dénoté as Cons
sellier général.
MUR PRESSE EST INDISPEN.
SABLE.
Le Acmé/aire communal ;
IL DESBALS.
Section Toulousaine
CONVOCATION
Les ramarades Balises,
josepts
Fermnd, Despiau, Cor, Vtelelle,
Blanc 1E-Tavid, Lapène, Mshic sur mn.
voués ce soir à 1S heures mécises au
B. do l'Onk, pur communication il...
ssmesessmemsgemowlmeme.s.,,,,,,...
CAOUTCHOUC. Réunion mette
scptembre à 21 heume. Bourse do Te5.
l'
voil.
pgAÇONS. Aaronhiée générsle
mus les camarades smelmués te robes,
29 septembre, à 21 heures, se, ut. -
TEXTILE (C.G.T.). Le,
sers informés se. dorénavant
nences auront lieu les lundi s;
d. 18 à 19 heures et le samedi d
heures, ealle 12. Bourse do T
CHEMINOTS. Toue les
cadre perme -nt er auxiliaires, r
sont invités à assister à la réunion sée
qui aura lieu memr.di 22 ileum'
21 heures, ,ourse
Ordre du jour r Emmen Trmail' de la
tion; a. salaires. 'n'o..'
satine d. rlramlas de Ose.' " r.°^,
Vu l'importsnce de cet die do jou
mus les cheminots est tenue die, 1,,;:
sents.
Bonen. syndicel. Réunion
box du bureau syndical mardi 21
tembre à 18 heures précises au se.
HeM)
EBEN1STES ET SIMILAIRES. Ré
Mon de la oommIssion des Linm
mam mar& à 21 heures précises.
09 darosode av no nasé5a
présem tom to I,, 1., ""Ir soirs o Il à
ms, salie 14, Bourse du Treuil.
11111111111111111/1111111111111111111111111111111
SOCIETE D'EDUCATION P1178
QUE DE LA HAUTE GARONNE, g_
comme nous Favoris déjà menue
kr Société d'Edams...1 Physique d
la Haute Garonne (fondée eu 199s
agrée du Gouvernement) va Prechai
nernent reprendre s. roues ppm.
la Préparation des candidats hem é.
A. P. - B. P. E. S. M. et Brevet spratif
Populaire
Los jeune, gens qui désirent bénis
finire des avantages que leur teefere
ees Brevets ont tout intérêt a
se -faire inscrire immédiatemeet h
celte société de préparation au service
minime.
Les cours recommencés°nt ors dé.
but d'Octobre. La date en sera fixee
par une note ultemeure.
Pour inscriptions et renseignements
s'adresser toms /es jours de Il
à 15 heures chez le Président, rue
des Lois 32 bis.
AMICALE DES ANCIENS ELEVES
DE L'ECOLE HOTELIERE. ... Le
Conseil d'administration lun.,ln
aux membres de I Aucide que lu
prochaine réunion monsnrlle»liru
le mardi 21 Septembre 1937, 9, rue
d'Austerlitz, à partir de 21 heures.
Présences indispensables.
Ordre du iour Approbation du
r.
P. V. de la dernière réunion.
portante.
CANTON OUEST
Nécro/odie
Une température idéale présidait le
Noue apprenons amm naine le deuil oui , seule,. de Sulalcet cail a eu J.tell lisier S.
frappe notre camarade Conloummiern, en i Vatc818-ann-Oareinna Ou rut en-taie'
la personne de sa mare, décédée à Sm° mn.... d. matrom de nsonagande
;Les erganiSatetirS réussirent OULlecei
Que notre and trouve mi l'expression de it:cd8, ,,,ehot,1,888,,rve.pfre,,,,i,,adeb8rtr P,811ilasiit,i81,1":1.,:kl«b.,,...e.
nos condoléances les plus Sincères.
CROUPE 110CER-SALENC.R0 etezLeI1.11,,a,rendt,desnisiciteo.st,rorisouue.t
las frais ombrages des platanes ormet-
C. avec unNc e'ps''oZ'cle tri tristesse 588 tait une brillante démonstr t P
,es le dseull cruel ouibg alle au panier. '' i'''' Os '''
frappe nvilitarn;soare notaésorier, tppirendLorr:t le carnarade ._o ,:nl° public venu mmbreux à l'invita-
...nie n a p de a nase, l tien qui lui était faite fut tout d'abord
.
.
.
surpris par tant de glace et de virtue-
Quenotre camarade noUVe lei. avec nos roté. De Ut/haine applaudissements
condoléances profondément ettridées. huèrent les premières prouesses dam
deislretotzn,a,%nC,=,!relii,,sle ,,esiurélsositi eneursé ir:,s Isfectateurs Matent ethoun sea le handl 20 mprembre à 16 heures. ruer°mn:m.1.e' lenlilierue.'''1'...çs4aréile'xio0.5"
Le Berme, de sur la touche de tous ses profanes
GROUPE D'EDUCATION SOCIALISTE
en pensant
"es "'sel"'
que beaucoup
't velte Mes
de villages
Mlle"1,,'
DE LA S. T. C. R. T.
.-
.!,,e,neut parP.de l : has eihnemt Ire: eas
Les militants et les empaulimnts adhémus
au groupe de la 5. T. C. R. T. sont presse, en pensant aussi que besucoula
priée de se rendre à la réunion mensuelle de villages auraient h pmsléam
du groupa qui aura le. mardi 21 sept.- des clubs de basket. Les dimensions re.
ire à 21 h. 35, au Forer du Peule, 69, 101%elnees,s nd,euc,tsesrapra,in, eloeprpertotrtmn,ormleteérgeredee
ue du Tour.
tum
0,,,,,ehlhr,eskrineriro,,c,rd.0,,,, 50,,,Iped,ormoiretteonl,t ,,hcitli',1meoNrtoe.qupe,lo,hemr
soles na? s 0 rr e camarade Richard. que. ea et fo,,,hp 00. s: d, dr' I harive .roi o na,,,t, :u ,' :cf,: efe:
Pour Il
lice Imam basket riavisputr ouriet e pond
Présence indiemsable.
rter
dans Celle contr. ms fruits.
11111111111111111111111111111111111111111111111)
être fans partout ou le C. Fi du ad,
s.islisms cm'
mYI': Ir:cirtto'nust' «aid,éror,:ndoes,sue,:etto.ns ee' siinu7:s'e:cfe1010etnts'MO: %
LE 'FP, . ,, O. . ee el: ','zso,e, -;%; a. r
LE BUREAU DE PLACEMENT DE. inérea7 rr'eriiiar:e;t71:.;:cem:ttr:tbret°1CI
'PANDERsEONNELOE'D'E rL' >0'7::: A. 'ln 'N' Se 'Len La rs°:::::: '18 Vilelerudres"'n'G ia''P:s7; ,,
r.e:1070'.,'uCt'efelir:V.ce 0
peine que nous. aPi L'assemblée gAe:LrEnale pirE rue pour ce mn
menons le deuil qui frappe notre camarade lundi, â 2l hersés, pour raison mate.,
Couloummiers en la personne do mère. est .rerropée am mercredi 22 septembre,
décédée à ,Sevsses.
h. 2t heures. au Bar de l'Opéra.
En ceire cloulccur,, eircalletance, nous e Limporture de perme du pur
o nem.ns n na e crai re,pression de nos obligebire la préseme des délégué, rend.'
", . '' , . ' . . ,.. -.ire,. vitets peolmqoent le cross et Eathlretisal,
Etude
du contrat collectif Hôtelier des AIpes
Maritimes en date du 5 septeu
lire 1937, co ce oui concerne les Lié-
OCIETÉS_
ves des Ecoles Hôtelières.
Organisation, de hal. et . du banquet
Tous les mutilés des deux ses.,
venv., orphelins et ascendants ainsi
que les invalides do travail se feront
un devoir d'assister à oetet réunion.
Ordre du loue t Compte rendu du
Congres National de Nantes.
11111111111111111111111111111i0111111111111011
des Métiers
THEATRE DU CAPITOLE
APRES LES MATCHES DE VERDUN
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

SECTION HALTEROPHILE
DE LETcuLE ROUGE
L'ISLE.EN-DODON
Mairie de Toulouse COMMENT LA MUMCIPALITE RA- ARIEG
à 18 fleuras, chez Moruo
COMM. renon de la saison 1937 Ela
boration de la prochaine samon Présence
assttree du bureau de l'Ensile.
AMIS DE Ln DANSE
Réunion de la socMte ce soir lundi, à
18 hemes, au Bar de l'Opéra.
ETOILE ROUGE
garde contre deS erreurS regretta-
s, que les déc
de décès
C'est avec plaisir que n
bla
ous avons en- ne peuvent être reçueslarations Cons ns les
registre que notre jeune camarade Vààs blareaux de l'Etat Civii à la Mai-
Mallet. de notre club. Joueur pupille de rte, conformément aux articles 77
Péquins de basket, venait de mi...ai' et 78 du Code Civil et du Décret dal
avec suces le titre de champion de 15 avril 1919.
France (juniors) du leu d'egnees, diapo. I/ rappelle, en outre, qu'aux ter.
té demMionnent a Toulouse, mes de l'art. 97, chap. 4, de la Let
Nous espétons que sous peu le C. 11. Municipale du 5 avril 1884, l'auto.
du Midi errera une section d'échecs rité municipale règle le mode de
comme l'a Md la F. S. a T. à Paris et
que notre jeune représentant saura Y
cueillir de nouveaux lauriers.
Félicitations à Yves de son brillant
fluorés et tous nos souhaits pore gal
ne Serré,. pas en si bon chemin.
OLYMPIC OUVRIER St-CYPRIEN
Section basket,
C'est aujourd'hui
que rO. O. S. 0. rencontrera sur son
terrain de la rue Coupe-Per le Club
Jean-Jaurês de Montauban en match
amical. Tous les amie et suPPorter
FO. O. S. O. sont priés de vente nom-
breux pour encourager ces jeunes equh
pes dul pratiquent un basket des plus
plaisants
Les basketeurs dont ms noms suivent
doivent etre présent à 14 heures, au ter.
ram Arpajon, Anet/ Retbèze, Mandron
Paeemmt. corvalho, etnaphene Pessin,
Peyre, °homard, Labelle. jezequel. Re.
sel, etc.
n eat Mpredé aux basketems oui ef-
fectuent le dénlacement de Verdun-sur-
Garonne de se trouver b 12 h. 45 Place
850 capltoie.
AmoeiatIon.
Convocation reçue trop
tord peur être insérée.
dialno1114 llllllll Ilinnel41111111111141110
La Vie Sportive
ASSOCIATION
CLUB DES SUPPORTERS
DU TOULOUSE FOOTBALL CLUB
ALLEZ TOULOUSE s
C'eer avec ,vie que nous vmm ventis la
mmittnics à Toulouse d'un club dao
perte. du Toolemse Football Cula a Ima-
ge des grands centres de football-associa-
bon.
Le club des supporters a pris le titre
de « Ailes Toulouse a.
Toutm les personnes qui s'intéressent a.
footbalbassociation et qui désirerr fane
partie do club peuvent se faire inscrire au
âge. Ca-lé Laguerre, 9. modes du Cala-
tele, où tons renseignement. lem seront
donnes.
Tout membre .dv club aura doit au
se erse qui désignera avant champ
match les supporters qui accompagner°.
l'éqmpe professionnelle clans ms dénia,-
mehts Ito.. freis payés
Sportifs, adhéiez enhmasse au club des
mpporters du Toulouse Football Club
e Allez Toulouse a.
1111111111111111111111111111111111111111111M111
CINEMAN
NOUVEAUTES.
Permanent de 14
à 19 h. et 21 h. e La Charge de la BE
cade légère e Crne semaine).
GAUMONT-PALACE.
14 h. 30 et
21 heures
a Marthe Richard » et a Le
Virage d. la Mort ..
7R/ANON. 15 h. et 2/ h. « La
Belle équipe a et s Sa première mgoime
VOX. pers/rainent de 14 à 19h et
21 heures i « Les Temps Modernes »et
a Le Contrôleur des Wagons Lits
VARIETES.
Permanent de 146 19h.
et 21 is r sLaolosesuveorrae,.
OLYMPIA. 14 b. 30 et 21 h.
Rembrant o et s Sa bonne émile
PLAZA. Permanent de 141 19 h. et
21 h. r e Une fine mouche ir et s Chauf-
fards rh.
CINEACTAL Permanent de 14 h. 30
à 24 heure. L'Etoile de Valencia ..
CALIARALACE. Permanent de 14
à 19 heures et 21 heures r e Trois artilleurs
au pensionnat
ILV Oreh. Baie. 2.50
REMBRANDT et
SA BONNE erolLE
Orch. 3, Ir; Bals 3 fr. RI; MIK Ici. 211,
transport des personnes décédées,
les mhumatums et exhuma ons,
qu'en conséquence, elle a le droit
de fixer les heures des convois fui
nebres.
S'adresser, pour tous renseigne.
ments concernant les convois' fil.
nèbres, au Service Municipal des
Pompes Funèbres, '34, rue Parga-
minières (téléphone 247-301, gril
Se chargera de toutes les dème.
ches a.upries des ministres des di-
vers cultes.
llllllllllll 54111111111numinut41111111111
DANS a
BANLIEUE
FEUILLETON DU MIDI
-. BLAGNAC
FETE LOCALE. La fête locale aura
lier cette année le. 25, 26 et'27 septembre
Elle s'annonce brillante.
L'mstellation du matériel ses, ass.,.
Par la niais. Dumas-Rivais, de Toulouse.
Un orchestre de choix exécuter° un pro-
gramme varié et des plus modernes sous
la direction du ohef réputé A. lel...
Le. cogérés locales participeront gracieu-
sement aux réjouissances de ces tours de
fête er en rehausseront l'éclat,
Nombreusu attraction. foraines de tou.
te nature.
Mmèges mod.ernes sur la place de /a
Manège de chevaux de bois eur le boa.
levard Finnin-Pons.
Le dimanche, à minuit. service de trams
via Toulouse.
Le programme de la fête sera donné
ohtérieurement.
01111111114111111411111111111141111111111111111
Beeer-ieteim Offl
A gUIMME
FIÈVRE APHTEUSE
M T
arcaés aux bestiaux
r,de
SGaudens
et de
M. le Préfet de lafr
aute-Garonne
considérant que la suppression totale
du commerce des bestiaux apporte
Ides
troubles considérables dans la
vie agricole et P.voque des spécula-
tions reetettables à l'occasion des
achats d'animaux 6notam-
ment pour les veaux, à pris un erre-
teog lia,
lester rétablis .6 dater
et1,937,,
20'§@Iltemrêt IrfittelnesepfaMetrce,
sous certaines eon.ditions, le marche
des veaux à Saint-Gaudens et à Mon-
trêleau.
1 Conformément aux dispositions de
l'arrêté du 27 août 1937, les animaux
amenés seront accompagnes d'un cer
tificat délivré par un vétérinaire sa-
nitaire, sous sa respensabilite, et ni u
-
sé par le maire, attestant que le o
les animaux ne sont ni atteints ni
contaminés de fièvre aphteuse ou que
les animaux de l'exploitation si elle
a été atteinte, sont connAtement
guéris depuis phm de 15 leerà.
Le certificat sanitaire sera présen-
té, à l'arrivée au niarché, aux agents
assurant le contrôle qui le conserve-
ront.
Les maires de Saint-Caudens et de
Montrélean feront établir un p00 la.
ne antiseptione dans /es conditions
prévues par l'arrêté du 22 juin 1937.
SA1NT-MARTORY
CLURE NIATeREMARIETS ET D'ES
ASCENDANTS.
Les veuves de guerre,
ascendants du canton de Saint-Martory,
sont invités à assister à la réunion qui aura
lieu le dimmche 26 sePtembre 14h. 30.
Le b,mcdo e Calte esta.LC,tiroz
Oses la canton de St-Marto,. L'ma, Ost
0e s't p d pl d f
et d'autorité à nos revendication. et aussi
de c
p
réer
des ceuvr s sociales dont po
ront bénéficier les fluiles des morts deur.
uerre
Un communiqué ultérieue fera cognait,
e !leu de la réunion et les noms des cama.
rides veuves et amendants qui prendront
L parois.
UEre-M-M TEriffl?elZWIMe
FAMICKIAS 0
IET GAGNE
par Marcel Albain
MICZTErZen*Weal
Tout bonnement d'abominables saurai le nom demain que ces
,mupireg,.. d'ignobles pi/leurs de
ombes... de vils détrousseurs de
és.davres !
Des complices de Fantômas,
parbleu ! estimait Juve. Des Som-
mes et des femmes qui, après le
meurtre du gars Nemunc, achèvent
de jeter la Panique dans le pays et
en profitent pour violer des sépul-
tures... Il doa y avoir quelque fou
qui s'est fait enterrer dans ce ci-
metière avec des bijoux de valeur...
C'est sûrement ce MOrt, dont je
sérables viennent voler...
Et cependant, un étonnement
persistait dans l'âme du policier.
Oh ! il savait bien que F.tômas
ne se serait pas arreté dev.t le
mystère sacré de la tombe !
Mais un tel vol était-il bien digne
de loi? C'est cela C'est sûrement
cela ! se disait Juve. Et pourtant?
Il attendait... Il voulait voir... D
vit, soudain.
Tout, au moins en apparence.
DIdALE.SOCIALISTE DEFEND LE.
ti
temps que cela trahie. Pas de rstson Dimanche 26 septembre 1987
PilMr que cela se termine. Mais Pour ré-
à sre.cysidx Volvestre, à 15 h.
p t refaire entiee le ssartour
vir prresebytere, ceia fut fele er sn am
GRAND MEETING
d'oeil SII frais de la commune
Lee enfants des proidadreS,S2, .dlet, à SOUL°Ara,t'd'érp'
I
uté de Pamiers 1
le'nf«aner%e >11-1P les Ze.iseenf;"/"M's ',idiei.' ESPARBES, député de la Hte-Gne;
densrd.1:71,:eolles:11b771, ttz,,Clts: boea GeAmEUERRLET, député du Tarn-et-Gne;
député de Saint-Girons.
..
Et, parait-II, nous sommes gouvernds
par le oarT de Ocre., pel,e,an Sep- A l'occasion de cette manifesta-
male On y ajoutera Piou; la rame sera lita, les jeunesses socialistes orga-
jouée!
Et vive M. le Maire.
L'Aboyeur. niisent un grand bal de jour et de
114ZER ES-SUE-D ARON 4 E
CONSULTATIONS DE NOURRISSONS
Il la à Co', &se' ne creuàet'''', t
UNION CANTONALE DES
faram.u...,e, i,..echnzr,r.sc,sozi,url 7u.derd. SECTIONS ET MUNICLPALITES
jeuLd'i rse're'tre'mbcrit'' aur'' Ii'' aura lieu salle da Café Gros, à
J.ILLaeuréruesnlonS.EgFiejau°t.t6 Septembre
qua mois, à 10 heures.
1
.blle..,,e P.., lea enfants âgés do,
T
moins
outes les sections et les muni-
a'
0.!, 2 "
9,J?'
ut' "rn dors lascia'''''
' -
'
ôiXIceiSist
F. I. 0. du c.ton de
veêtre représentées pat
-7 -:'era...
placés en nourrice, en le plus grand nombre de délégués
7..F.L. -...p-ii,%.,.,.... pu- leaLeeeernmsu'egin7otees s'e'rnoenertne-
tes à cette réunion.
,,,,,3;ttra,tsuebuioi,..7. temporairement pax La correspondance concernant
l'Union doit tire adressée au cama-
4. Entame den les mimes ms( tés.. rade Ladre, maire de Serres-sur-
ciVires de l'assistance aux femmes en cou- Arget.
ches et des primes d'allaitement,
O. Enfants dee tamillaa bénéficient de
/
...,,
-41te 7.-,-.....
/Insistance et de l'encourage/Imre aux fa- 11:'- - EWA.
milles nombreuses et aux primes à la na-
dea secours maternité (assura.. sociales) de eem Pj..e14 -cr mie ' r
Qul...A.° kinC,A.N97Tda
CAdi,:fli:101êta, n A
E,a, Ai eAl Iti!%l--,,.
olité. Enfanm dont les sr
Enfants do. les parents sont bénéfi- ce' ..ei.e e e len"' "te, '1'M'
c'oi ma i 'Zn nadnex,'drpujerr,reonbtalt nu '''Paaj'''( giàt, doruele'ro'n' r 'peor pe ul'air op, s ad idéal é f atjuppe%e-
e. Euler.s dont les parents so) grmahs senior sa candidature aux électeurs
sur les listes d'assistance médicale gratuite, du canton de Foix.
Les pemonnes qlli élèVent .11e.mAme,
Beaucoup s'etonnent de voir le ci-
nk'vearistrennfr da'nssu a7cinu n'eu de bobbs'nentéagiorlesui I
de
lacs bol
.eë'tmAmP.ia"Set-i-1'
particulièrement à le, re-euif,','grer: 'd 'Irdie s:giPelinke
.. invitées , -L
eeruer vue fois par mois afia d, isssdri. I parti radical en Ariège c'est la ce.:
ci., des corsai des isedeciss ei dg m du Roi Pétand em
et lt ésts ni rege.L1
rendre com ,,, ,,
pte par des pupéuu pg,(,u, comprehellsellie que de
des progrès réalisés, tains sincères puissent encOre se
pourvoyer dans cette galère.
RIEUX-VOLVESTREreil)'UXqeièMcee'p;rn nqe7,ea tgra'uc'u'r;
CARNET BLANC.
ANC. Nous avons ap- p'r . cunonatats genre' Constant
prts avec plamir le mariage de notre de, Jouté et trouva.nt la plaisanterie un
voué camarade JeJan Sicard., peu amere poussent à on e .c
Nous lui adressons ainsi gu'à sa char-1 toyen Amiel à la bataille contre Men
mante épouse ers mei/leurs voeux de bon- l entendu l'insignifiant Constant Jouté
Os pr.périté.
Déjà, de pressantes interventions
ECHANCE BLE CONTRE PAIN
ont essayé de faire retirer le citoyen
heur .
.s preuruors qnri n p Aniel de la lutte; son chef de Onde
retiré leur feuille de déclaration ' vide .tednee taon tr
de demander /es /annules aux bot,
a-
échange blé contre pain sont prié. rejnef,aainie,, cet/g' cerniore de-
langers qui ont été approvisionnes à ' anche d ete talle' lu chef de ser-
cet effet.
'
PRESTAT/ON. Par tes fortes
le en question ayant polit/lent PrI9
e
chaleurs dont le bétail aurait gour_
e.,:,:luertiaildeUrs de s'adresser ail--
Mors la .grosse artillerie adonné
' e vre aisy:Muse, ieipistraiion sa,,,,,,,,, se verge, ancien candi-
fderit'e d"antiir ria or de ré..1àdà!Pie à fo,nd Jean N01, suries ..ire de
rmjanrideeiPrIees p=a- eolfs''élP^rittürir eak-pMe 'nec tgtmde getanàrnieirg da'rnrsatian%'ex.'
flirsunsuvrei.,..picer %onde tou, 1 epsgr anrdé:
terminés.
,lesSa3. é de toucl-er le cRoyen Anpel
par iendroit sensible. Que va dam
-ii- notre cher et vénéré président Ram-
,,,.., gm, baud el ce choc Marcel; allons Pune
_Ta
NOTRE VICTOIRE SOCIALIS- 1 mut% aujourd'bui, rien n'a pu ébran-
---"'- - e x, pour le vara retirezmous. Susi
TE. Notre camarade
Vives, après avoi d
Ga ler la ferme décision qu'il a prise
r onné sa
lien
démis- et k maintient de sa candidature
rien de conseiller municipal, d'ad- est toujours confirmé.
joint au naaire, vient à nanveall Constant Jouté en a du n011o id-
d'affronter la bataille électorale.
Nous sommes heureux tout d'abord
Or pouvoir dire que notre camarade
n'a pas craint de dem.der au
suffrage universel si vraiment le
socialisme etait le présent ou ail
était l'avenir.
Notre camarade Vives vient dé-
tre élu à Ausson av. 48 voix con-
ter 35 sur son concurrent malheu-
reux.
Qu'attendez-vous, monsieur l'ex-
maire d'Ausson pour donner votre
démission de conseiller municipal
et demander le verdict aux élec-
teurs d'Ausson ?
lllllll 1141141111111111111111111111111111
Ca RESSAC ELECTRII/CE
MISE EN SERVICE
Les habitants de la commune de Fia-
nrCi trre'sé'aux qfi'asse'teflaind, 10e-
mana le réseau des écarts de la commu-
ne, seront mis sous tension, à partir du
21 septembre, et qu'Il y aura donc dem, oICTOIRE. La réunion Publmue .
deatà &-tiVvt" de mort aux elba ontradietoire, prélnde à la campagne élec-
même tombés b terre et t entreprendre made pour le eonseil général. s'est tenue
des travaux dans le voisina.ge des lignes, à la mairie de SaingGirons vendredi der-
,OmovimemirA
CE MIDI SOCIALISTE
D EOLARATIONS DE DEEES enne nouvel.e classe racole de Par
CONVOIS FUNEBRES
tons de l'Isle, tes maltres doivent faire
e l'honneur de rappeler à. ses ad- arr°°°°r Vexe La propagande
L, de g ville de Tut dans un local de tEcole den tin
ministrés afinh de lm mettre . !dv Pré.a! 'ur
,
nuit.
CANTON DE FOIX
trape la tauntsse, le pauvre; mats
pourquoi donc diable lorsque Pen
se sait une nullité pareille essaye-
t-on de représenter quelque chote,
surtout on n'est pas foutu de se re-
presenter sopm me.
Constant Jouté tenait à Ide Pria
se faire connaître; remeeciens
parti radical de lui avoir accordé
cette faveur. Félicitons le (man/ à
lui de voulbir bien nous dia' ronce
jusqu'au 19 octobre, mais' lita.de
price qu'il disparaisse ; faraud.,
des voeux peur que maire.- Ts ou
n'entende parler de lui.
L'OCTAVE DE LA EETE. Samedi
soir, mie foule nombreuse a suivi la
retraite de l'octave.
La nouba du 42e bataillon Malgache,
le Coq Lavelmétien et l'Harmonie PY-
rénéenne rivalisèrent d'ardeur et reçu-
rent d'unanimes appât...ment. un
bat enmeme clotura cette première Mar-
née.
Jeux et attractions (courses à la brou-
ette, a. neufs, au sac, la valise,
Concert et grand bel. A 21 heures
SAINT-GIRONS
REUNION PUBLIQUE ET CONTRA-
(ScD
établissait la justesse de ses cal-
culs.
Sur un signe de celui de ces fan-
tômes qui semblait être le chef de
la sinistre expédition, toutes les
lavandières s etment rapprochees,
entouraient une tombe...
Et voilà que de cette tombe, s'ar-
mant de leviers, de rouleaux, les
apeurantes ombres blanches com-
mençaient d'en repousser la pierre
funéraire !
Les canailles I Pen. Juve.
Dans deux minutes j'interviens !
Arrive que pourra !
Mais Jurer ne s'attendait, en vé-
rité, à rien de ce qui se produisit !
La pierre tombale ne s'était pas
reculée de quelques pouces, sous
l'action des leviers vigoureusement
maniés, qu'à l'imitation d'un diable
sortant d'une boite, un homme
bondissait, jaillissait plutôt, hors
de la tombe !
Guen, les enfants hurlait-il.
Et prêt à vous administrer une de
ces tisanes !...
Alors, en vérité, moins d'une se-
conde suffit, pour que la scène
changeât complètement !..,
nie, sous la présidence de m. Dedieu,
adjoint au maire, avec Poor assesseurs
MM. Ileum. Loubet et Pesas, adjoints:
le conseil municipal avait Pris Plair a.
t'estrade.
Noue cametade Docteur P. Mazaud,
maire de Stddirom er conseillez général
sorranit la parole et dès rebord situe sa
POSities face à ses edver,ires.
tient en
pertimlier à préciser l'attitude de ni mu.
nicipalité au sujet de deux questions dom
elle
le. adversaires ont voulu faire un tr.n.
éelctoral I E chasse et k sport.
En ce qui concerne la chasse, la muni-
cipalité de StGirons n'a P., en iss, hé
don la mbvention accordée. Pari dernier.
Apparemment, et c'est sur cette équivo-
que que iment les advermios, la subven-
non a été réduite à 500 francs (somme
qu'il .plu eui dirigeann de la société de
chasse de ne p.. occeptert) Le reste
la somme précédemment alloaée a été
employée directement par la munincipalité son gouvernement, pourquoi il est
pour repeupler .. gibier Is commune de
gt
parti, Blum a conclu en s.dressant
net tinel eae,ttsoicei,ailis.tes pour les
ig,g, Est-ilé
utde de répondre à cette question?
Quant au sport et en particulier, quant
au Sporting, notre camarade Docteur Ma-
...d s'y iMéresse et s'Y intére.e
mie quiconque. Il a,ata la la part active
que lui.mérne et surto. son père, mort de.
puis sur le traira, ont prise dans notre
Sporting. Aux heures sombres de
cette mciété, alors que ceu, col aujoun
d'hui Entent de se faire du BP0r, an apPni
politique étaient découragés et voulaient
e laisser tomber s, quis soutenu notre
club de ruer. 41 44 ...d 'Ie.` eamereele
Mazaud, et non pas seu/ement en fin.cum-
vaguent de ses Idalon/064°
Et le smde municipal, qui demain sera
une réalité Conran toutes facilités au.
sportifs (rugby, cyclisme, basket, temus,
natation), qui travaille à sa réalisation
Nest.ca pas là so tenir le sport et d'une
manière digne d'éloges/ Le nieront seule.
ment les gens de mauvaise foi.
En nones. la municipalité de Saint.
Girons, mm la direction avisée ,5e no.
Girons plus beau, plus attrayant, plus
°
Noirs ...m°°°°!'° ", 'dons sur I Europe, nous compren-
ciebste ne se demande es, si les dirigeants
ees urganisations sont des amie ou des
,drons mieux e..ncore 1..a_n.écessité
advatmires politiques; m
a
ais ce qu'elle ne .mat.n entre l'ut. tv6 avrem Pro
gue ses, cies,
letarimmes et populaires.
de chasse ou de tout auge chose, ees ara- LE PROBLEME Dl; LA PAIX
Et pour conclure, Léon Blum
fins électorales personnelles.
Montre comment, par la non-inter-
Notre camarade rappelle ensuite sa rosi' vention, par le rapprochement des
igigue candic pgrg soc,. puissances pacifiques,. les républi-
Mire, de I union de tous les vrats répahl,_ c es au solo organisa ions
liste, partisan convaincu du from opar cotas onl sauvé. lad pam
im, sus, skis, le taseisoa1 il isdkue prolétariennes que notre politique
nettement qu'il Se refuse à confondie les étrangère a rencontré le plus de
radicaux sinams, les Zay, les ladadier, I critiques, critiques Concentrées
les Sarraut, eo partisans convaincue du d'ailleurs sur un point précis, la
trou, populage
arrivistga ou s non-unmixtion dans le drame espa-
jesciei"dsgsine ese Is isesims du re,1 gnol. Je me suis expliqué ample-
calismv Els les Saldeau et tous le radi. ment à cet égard dans la plus ré-
cvi as ruio dernier cou.. cente aSSemblée de notre parti.
huèrent à O choie du gouvernen.. de Ceux meme d'entre vous qui coud-
Iront popuEire les %nier, les Cailla.. 'ment a penser que nous avons
et autres.
coMMie Une erreur ne peUvent l'eX-
Notre camarade ',Wei. Pas ê pro.. pliquer que par un exees de notre
rIleS qos le, réalisations du from populaire Volonté pacifique, ce qui est un /m-
euve n-tement Iris Bisantes, niais .4os ne, proche facile à supporter, et je
muent les responsabilités des divers par- continue à penser, pour ma part,
se toisent iscim deus ee groupement, que la destruction complète du sys-
Ct que veut Parme., c'est qu'au point tème de n'en-immixtion fera entrer
de vue financier le programme du Boni l'Europe dans .e zone encore plus
populaire mit aridesd de fessa à abattre dangereuse.
le mur d'argent ll faut que le peuple a Mule volet ue que je veux eu
de France qui, par aille., a bien des m
, ter aujod'hui. Si nous é ons
sujete ate médentertemen) dise franche., amenés à constater, comme il est
mass qutil eLveut pas revenir en arrière.1129Bsifiled, qu'il ne subsiste rien du
que les réformes et améliorations déjà ob.j système de la non-immixtion, que
tenues sont insuffisantes, qu'un front po: 17dà accords conclus à cet égard ont
Youlal-e rennforcé mrte des urnes en octo, été mis à néant, en dehors de nous
bre prochain. Il fait onfiance aux Saint- et malgré nous, si, par conséquent
Girmnais et à leur clairvoyance politique. la France Net amenée à prendre
Une formidable ovation mine le fis du une autre position, eh bien I ce
dimc -s de soue eesivied, discours de. changement d'attitude ne serait
vaient fréquemmeor coupé des appl00dis-1 encore rendu possible que par
sements frénétiques. (A mimé/ludion poursuivie depuis quinze
mois par le rétablissement du con-
t ct et de l'amitié avec les grandes
démocraties, par le rapprochement
des puiss.ces pacifiques, par cette
première renaissance de l'esprit
international qui vient de trouver
à Nyon, grâce à l'habile et loyale
fermeté d'Yvon Delbos, une expres-
sion si heureuse et, je veux l'espé-
lllll 11101111111111.-at llllll FM lllll 111114
Hémorroïdes
Guériaon amura, par ta traltomara
FIRMIN m ans do mese EST. FIRMIN
SI. rue Emin-Zola, a Bosséges (Gard).
»41111111111111111111 llllllll 411 lllll 1111sum
Tel un furie.l'homme se jetait lh ut huilait si
ma eure. q se cours:
'FON dada
par l'ilecIrIcila
Nouveaux Sem nuit trè. réattlia
SOCItté Bande
lb Gual as-Florro
Tilléphont 219-21
Le Conseil municipal
de Cerbère a démissionné
Perpignan, 15 septembre (par télépho-
ne). Le Bon/dore a anommé ce ma.
tin que la petite ville de Port-Bou, à
quelques centaines de mètres de notre
mufle, avait asellY6 le bombardement
de dix avions de Franco.
A la suite de ce bombardement, quia
sérieusement menacé Cerbère, le con-
seil municipal de cette ville a remis sa
dêmIssion au prêfet dee Pyrênées.Orien-
Mies.
Demain Crase partira peur Paris
aveu nos *camarades Joseph Parayre et
SOCIALISTE
Georges Fém.., sénateurs des Pyré.
es, ...Md P. s. E114114 4.84.8 es n gessaires et dicter aux peur,
publi. les mesures u' al
L. aarè.au a DERRICA4 circonstances. " geddt 'el.
rere3eidi se
!sur les lavandières, et, bientôt, geusement,
c'était la plus terrible des batailles Oh ! c'est que Juve n'avait guère
qui éclatait ! été long à le reconnaître ! C'est
Tue ! tue ! clamait la voix
de Bedeau.
Mais des appels au secours re-
tentissaient aussi.
A moil à moi:
Non ! Non I par pitié !
Sauve qui peut ! Sauve qui
P eut
Oh'I le combattant surgi de la
tombe menait crânement la ba-
taille ! Si on faisait appel à sa pi-
tié, il ne semblait Stère qu'il s'en
souciât ! Les poings armés de deux
grosses pireres, très probablement
ramassées dans sort sepulcre il S'en
servait à la façon de massues, et,
devant lui, des lavandières tom-
baient, avec des gémissements...
N'allait-ii pas, cependant, suc-
comber à son tour, sous le nombre
de ses adversaires ?
Juve, pourtant, s'élançait.
D'abord, et pendant une seconde
peut-être, la stupeur Pavait Immo-
baisé !... Puis il s'était ressaisi.
Vite ! il bondissait au secours du
qu'avant merne que ses yeux ne
l'eussent renseigné, son cur avait
parlé ! Fandor ! avait clamé le poli-
cier.
Et joyeux, goguenard, Jérôme
Fandor, car c'était bien lui qui sur-
gissait hors de la tombe, ripostait:
Juve !... alles ! Hardi ! Faut
en démolir une demi-douzaine de
mes croquemorts I Aidez-moi !
Il riait toujours, Pandas
Devait-il, pourtant, rire encore
longtemps ?
Devant l'attaque des deua amis,
les lavandières reculaient, faiblis-
saient. Certaines avaient pris la
fuite. Le gros de la troupe se re-
pliaient vers la route longeant le
cimetière.
Or, sur cette route, soudain, un
grand car apparaissait, stopp.t
brutalement sous l'action de ses
freins.
Et Juve, tout de suite, devinait
In manuvre de ce qui se préparait.
Dernière Heure
UN DISCOURS
de
LEON BLUM
a Certes, le parti socialiste con>
battra, comme toujours, sous conl
propre drapeau et sur son propre
programme. Mais quelle que soit la
direction donnée par eux à la cam-
pagne électorale, chacun des partis
du Front populaire doit se sauve-
air, dès avant le premier tour, que
meme action nous a ré.is hier,
nous réunit aujourd'hui, nous réu-
nira demain. Que les mêmes règles
de discipline dicteront, au second
tour, nos désistements réciproques.
Que nous nous sommes tous ras-
semblés, il y a deux ans, pour faire
face aux mêmes menaces et aux
mêmes dangers, que la division
ferait bientôt revivre. Et qu'ainsi,
le sentiment de fidélité nécessaire
à nos partis respectifs doit tou-
jours s'accompagner d'un senti-
ment de fidélité au pacte commun,
d'mt sentiment d'astate et de .11-
darité vis-à-vis des autres partis
qui ys nturt?Inenué tlt ee u r bsotneart uttroe;
o
gards à la France, nous les éten-
Après !e bombardement
de Port-Bou
Ce car n'arrivait pas là, par ha-
I sard !
S'il stoppait de la sorte, c'est
qu'il était prêt à emmener toute la
bande des misérables !... C'est qu'a
peu de distance de la modeste ne-
cropole il devait stationner, prêt à
intervenir, suprême moyen de fuite
en cas de péril...
Hardi ! Hardi, Fandor !
Juve, lui aussi, se battait comme
un' démon...
Oh ! l'occasion était trop belle
d'une revanche si ardemment dé-
sirée !
C'était Fantôinas, parbleu qua
s'était emparé de Fonder ! C'était
Fantomas, le maitre suprême de
ces soi-disant lavandières de nuit,
qui ne servaient à rien moins qu'a
maintenir Fandor prisonnier dans
sa sinistre tombe !
N'était-il pas possible, même, que
sous l'un de ces draps qui les mus-
.lent l'une de ces lavandières ne
fût rien autre que le maître de
l'effroi ?
Il ne s'échapperait pas, cette
fora,
Se débattant, secouant la grap-
Un COUP DE
d'une incroyable
audace
EN RADE DE BREST, CONTRE
UN SOUS-MARIN DE VALENCE
Brest, 19 ceptembre. Le sous-
marin espagnol gouvernemental
a C. 2 a, mouillé au 50 bassin du
port de commerce; depuis trois se-
r.ines, dans l'attente de répara-
tions a son moteur, a (te, la nuit
dernière, le théâtre d'un acte d'une
rare audace, sur lequel ales de.s
suivants ont été recueillis au Gours
de l'enquête.
Vers 22 heures, un canot accos-
tait à bord du « C. 2 a avec douze
personnes en civil, dont l'une se
disait être le commandant du
« C. 4 s, sous-marin espagnol gou-
vernemental ancré au Verdon, de-
puis plusieurs ser.ines lui aussi,
pour réparations. Ces douze per-
sonnes étaient venues de Bordeaux
Brest, par le train, et étaient
montées dans un canot du port de
.mmerce. A bord du e C. 2 D se
trouvaient le commandant Fere.-
do et onze hommes. Les trente-
Cinq autres se trouvaient en per-
mission à terre..
I Après l'échange de salutations
entre les .mmandants des deux
mus-marins et quand tout le mon-
de fut réuni au carré, le comman-
dant du « C. 4 s proposa à son cas
marade Ferrando de lui livrer son
bâtiment pour la somme de trois
millions. Le capitaine refusa. Im-
médiatement, une mitraillette fut
braquée sur les hommes du « C. 2 a
.
Haut
les mains s, tandis qu'on les ligo-
otairtdeibeeaside dLenhaytinettes et de
Le bruit attira. PittentiOn de
l'homme qui se trouvait de garde
dans le poste de veille du a C. 2 v
Digo A.Augusto. Les assaillants ess
sayèrent de tirer sur lut, mais c'est
lot qui abattit d'un coup de revois
Ile premier lui s'approcha.
! Cependant, les amarres du sous--
marin étaient déjà larguées et le
bateau allait s'enfuir, mais le ma-
rdinak.dremiaereemaset,tiognrensase Jsa eéirtenni
RIe le cep
i
de main ne pouvait
ploc UuSsssfient, sous la menace du
revolver, à se faire oonduire it terre
Par un canot du e C. 2 a, emme-
nant même avec eux, à titre d'ota-
ges, le commandant du a C. 2 r et
l'officier mécanicien et as réussi-
rent à prendre la fuite.
L'ARRESTATION DE LA BANDE
Eo
d 19
eptembr' "
hommese' ujut s
ont st.s'emparer
du sous-marin a C. 2 s étaient
partis de Brest ce matin, à la pre-
mière heure, en automobile. Ils ont
été arrêtés dans les- environs de
Bordeaux avec le commandant et
l'officier mécanicien du a C. 2 a.
qu'ils avaient emmenés avec eux.
r?uettreett seeputxe étaient Caerrsiovnéz
Parella
Raphaël, licencié' en philo-
irienhainet' de MI'Grtel.yAen;"erigeel
Robert Chais, ingénieurs, venant
de Saint-Jean-de-Lus.
MARCHES
1.1E LAIT DE L'EPARGNE ECNA CCHAERTAÉFEE Ss
EST PHYGRiÉtSeCIUNÉ
5
LES VINS AU MARCHE DE VENDREDI
Niarbonne. Vin du Narbonnais 1936,
15,50 à 16,50.
Moyenne des 9°. de 15.50 à 16,50.
Raselta 1031. nia 5 à 16.
Moyenne dee 9. 1937, 15 à 16.
Bézters. Rouge, récolo 1936, de 15
à 16.50.
Moyenne des 9., de 15 à 16.50.
Récolo 1936, de 15 à /6,25.
Moyenne des 95 1937, de 15 à 16.25.
LES EAUX-DE-VIE
Voici quelques cours p ratiqués en eaux.
Marc de Touraine, selon qualité : 540 à
565 fr. illectolitre d'alcool P., b..
degrés.
Marc do Cemre, selmi qualité. de 540 à
575 fr. dans /es mêmes conditions.
Alcool vinique départ Midi 1 760 fr,
rheciolitre pur, base MO degrés.
Alcool de piquette, dépan Midi 575 à
580 fr. les 100 degrés.
Alcosd pnr de vin, selon les qualités, on
pratique dac prix née diférems c'est
ainsi que l'on tient, départ, de, prix va-
riant entre 850 et 950 franc..
r.BEZ ET rABEs crux,
LE MIDI SOCIALISTE
Roubaix, 19 septembre.
Léon Blum a été présider, hier,
les fêtes de la municipalité socia-
liste. A cette occasion il a prononcé
un grand discours, que nous donne-
rons demain dans son intégralité.
Après avoir rappelé Oeuvre de
pe humaine qui s'accrochait à lui
frappant avec une ss.vante adresse,
Juve se frayait un chemin vers le
MU,
Hardi, Fandor !
Le plon qui s'imposait n'était-il
pas simple ?
Il fallait le mettre en panne, ce
car ! Il fallait rempècher de partir,
d'emporter les merables qui se
repliaient vers lui
Dans le village, sans doute, cha-
cun devait s'éveiller au bruit de la
bataille ? On finirait bien par venir
prêter main-forte à la //Cilice ?
Terrible dans Sa colère. Juve as-
somma .e lavandière, /a vit rou-
ler à terre.
Un effort encore ! d'autres c ups
assénés de la crosse de son r vol.
ver, dont le magasin hélas, -"tait
vide !
Le policier touchait le grand car
automobile !
Pourrait-il en soulever le c pot?
Il suffisait, sans aucun doute, 'ar-
racher que/que fil d'allumage 7
ideusiuseveahiegem,,td 5010
-"F
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

LÀ VIE ET SON M À
SOUvusws
IDE CHINE
UND fois la Chine, éternelle
proie des ambitions
ENCORE étranger., est ravagée par la
guerre. Il fallut la traie ce
l'opium, l'incendie du Palais dute,
pour forcer la Chine ù ouvrir ses
ports aux étrangers, à leur céder de,
territoires, des fi concessions ». Alose
les marchandi.s anglaises envahirent
le continent chinois. Aujourd'hui,
c'est le tour do lapon. 1932
guerre pour des minerais du Nd
1937 guerre peur le marathe des cotonna:ces,
que Le boycott a crcepro-
Ces cotonnades bleues forment Mea
le bambou, le fond de tout payent
chinois. Si le bambou est le centimecee
élément de /a Chine, la cotonnade
bleue Semble en être devenue le
sixième.
Sues pistes, H long des canaux,
ales hommes et des femmes on veste
et pantalon de cotonnade bleue courent,
le bàmbou sur l'épaule. Au
bannaou s'accrocha la double charce
d'eau, de fruits, de légumes, de pionnes,
do ferraille ou de meubles.
Sur les larges fleuves, les jonques
aux voiles lattées de bambou ont Pair
de gros papillons de nuit. Près
Celles les petits sampans au toit de
bambou abritent des familles entières.
Hommes et femmes en cotonnade
bleue manient, les hautes perches
da bambou...
Dans les villages chinois, devant
les petites maisons de ba-mbou scelle
ras, lessive due notonnades bleues..,
des vêtements do travail de paysans
ou do coolies.
A Nankin se mêlaient dans la foce
le si dense les soldats, an costume
gris et pantoufles noires et les coolies
en pantalon bleu...
La gomme des cotonnades ravage
les villes chinois.. On bombarde
même les conce.ions étrangèrea. Je
mage galAtelleession internationale
de Chanraal que je traversais un
jour avielfdlimi. -Chinoise d'une cul-
tura et dicee finesse enquises. « Te.versons
en jardin publie », lui dis-in.
Mais en souriant, elle me répondit :
if Si vous voulez le traverser. je
vous quitterai, car étant Chinoise, je
n'ai pas le droit d'Y Pascer
Les Chinois me disaient souvent
4 Non, voulons bien recevoir ici les
étrangers, mais nous voudrions nous
sentir un peu chez nous, dans notre
pays a.
Et, IHant les journaux étrangers,
j'avais chaque jcer l'impression que
sur ie billard chinois une boule ce
chassait une autre.
Les Russes de Borodine venaimt
d'être expulsés. Les AnglaiS
obole.. Et déjà se dessinait partout
la haine du Papou. Quant airs
Américains, leurs Missions et
leurs collegcs somptueux s'étalaient
dans les oilles et l'on raPpelait parfois
aux missionnaires qu'ils étaient
lb pour servir avant tout isa intérêts
américains.
JULIAN GORKIN
par Marc BERNARD
l'ai connu à e Monde e. Il entrait dissent, et qu'ils adressaient â Gorkin
dans la salle do rédaction, en com- comme us cecourspemem m es, ri.
pagnM de Mamie ou de Miratviiles, muances,.
et presque aussitôt se mette. Sotie. a/ais Julian levait à nouveau sa main
cuter, avec ce curieux accent espagnol pais. eediteiy dpu, raie; eî comme sin
qui change /es v b et Mversement. eua.,aitau., peu is
r Je /Mule rien d'ais livre d,,r,sap. re aitve
oir d'un homme. ' nu Gorkin reprenait son discours. Cou.
UNE RUE DE CHANOHII
par Camille
DEVRET
Aujourd'hui, la Chiue est eceore
une fois ravagée. Les Elals-linis
la Russie semblent lointains. L'Angleterre,
directement menacée, laissera-traie
le Japon a.ervir la
Chine 2
Je revois les paysages chinois infinis,
les visages ceinois souriante
ce graves. J'entends des médecins
des instituteurs ohinois, des femmes
me parler da la Renaissance chinoise
J'entends des jeunes pacifistes
nous suppiler -- c'était en 1928
de faims arrêter les Unvois d'armes
dans laur pays.
Bais jr revois aussi de jeunes Hudianms
faire l'exercice en uniforme
dans la cour do l'Université de Nanfrin.
En à un. tous les pays se jattes, t
dans le gouffre de la guerre. La Chine
par &que, la Chine on Pou voyait
dans les paniers, dans les Ingendes,
dans lus dessins, le lettré plana hru
haut et le soldat très h., la Chine
armee tulle riese ses avions et ses
canons contre les avions et les canons
des impérialistes japonais.
Lue poignée de capitalistes japos
nais veulent s'emparer du manhc
chinois et c'est /a guerre.
lit je revois deux petits Sapin:
que les femmes chinoises 'Hantèrent,
avec nous non loin du tombeau
de Sun-Vat-Sem
Que sont devenues eee femmes
chinoises, depuis que la guerre s'est
abattue sur Mur pays 2 Cl nous, que
faisons-nous pour que cesse celte
nouvelle gomme 2
P.ay.à
pigietsu
pJ di24 itab 1;rancis
ANDRÉ
toujours rêvé de pouvoir qui semble monter de la mer et
j'AVAIS
qm
contempler la mer sur les côtes s'ébranle, par doubles rangées parait.
breionn.. C'était en moi comme les, vers l'intérieur des terres. Cette
un vieux désir informulé' qui me impies.coa de force en mouvement, ine
semblait monter de profond et de loin. mobilisée pennes petrification soudaine,
Réminiscence de lectures ou bien ap- s'est profondément gravée dms lArnagipal
nostalgique dimciene horizons per- nation de cette population côtière sans
dus... ? Nous éprouvons parfois le be- cesse en butte, au cours des iges, aux
soin, nous aunes les gens de pleine invasions périodiques,
terre, de pouvoir briser cette pecenteur, Après avoir quitté Carnac, l'esprit
cette immobilité centinentales qui se tout peup/é encore de ces tantôt/les ri-
Mon figées autour de nous depuis des gides d'un passé demeuré mystérieux, la
siècles, route nous introduit aussitôt dans. la
A' quarante ans, il me fut enfin den- presqu'ile de Quiberon.
le vent du large. Quand une pierre vient ver... jusqu'au moment où la clarté ra.
la rotor la remet en pide des phares jaillissant au loin te
01 de Pummis fSaliser nos réde, to ré- Bleu et vert et moiré de soleil aven a tombe ' r on
j
. C'est H coutume ici, et nul ne tous les récifs du large, vint me dire
1 soins d'aller trouver l'océan en l'un des
'se luseeuss' su Puis se
thétiques de sa rencontre avec la terre de pécheurs aux voiles gonflées de lu- Les padtrions, les croyance et me- 0101 5 purée,ass
peu golsnoe a faire lacement eue la nuit était venue, que l'union
ceint. los Plus culminmia, les Plce Pas partout, jusqu'à Phorimn, des barques g - -- ' il
s'était faite entre ce ciel et la mer Mea
,
occidentale, Je choisis Quiberon, cette mi,re er dievemure.., me beaucoup de rites ancestraux sont
ersi. or."'n. 'ild d'eus...,ad.? id Ce mi frappe surtout les yellX, sue demeurés vivaces ati,osur de cette mce, le suis tee... dm. mou PaYs. rai
décision et la densité pénétrante , téne net infime lambeau de te,iroire évade une des plus anciennes du cOntinent, fait la temison et la moisson demis.
lame d'épée, dam le flet Man'qnni du emenent, ce sont les pierres qui l'ai vécu quelems jours parmi ces fa- Mais je demeure tout PMPlé de ms ima-
Vue d'une fan ,,,,,,,,,,,,,,,, cette s'accumulent partout avec une écrasante milles de paysans, de maraîchers et de tract de ce prestigieux murmure. Pace
région bre... sPearail "nni" un densité. Divisant les parcelles cultivées, pêcheurs, j'ai vu les uns s'acharner 10001 de Bretagne, mes fréres, te me
suu's Ps's buusee'' C''''sd'eui suu es- mrPentmt se nanc des Collinol eolifdee piocher, labourer leurs parcelles exiguës sens tout près de vous maintenant. Il y
gardant de plus près, on ne tarde .pas de moulins désaffectés, des murs, ou ou bien voiturer le goémon rejeté par a Sconses moi, dans /e temps et dans
à constater que ce bocage n'est au une plutôt de grossiers alignements de pins. la marée et qui sert à fumer leur sol, l'étendue, bien des éléments, bien des
illusion, qu'il est réellement constitué tes informes empilées les unes sur les J'ai vu les autres s'occuper à réparer, choses qui nous rapprochent, qui nous
pis 1.. in...biei hal" vi'" linr"- autres, sillonnent la presqu'île ainsi que à faire sécher ceurs Mets, tandis que rassemblent. Votre sol affouillé par le
1005. d'arb.
.,',' oui "n",,.."' 1" li.- des veines rorheuses surgies des 000000e.e beurs cumpam m
ons s'embarquaient, à la roc est ssi âpre et dur à vaincre que
tit. PrnPoetée Paysannes, Et a mecere veinents primitifs qui ont créé et Con- pointe du MM, verS les Muantes plai- l'écorce schisteuse de nos plateaux. VOS
qtte Pen s'approche de la côte, cette ditionné la Melte ambiante. Et po., nes maritim.. lointains ancêtres, les néolithiques dresvégétation
se raréfie, devient chétive et rapt pav mura apar paapvra ppm_ seurs de menhirs, étaient proches pas
rabougrie, s'accroche avec une obstina- mes. irei iieepg les premiers eeee. Ensuite, je suis descendu vers Quibe- pcecx mp vessies, pippieer lem,
dos ", """" Sou "l, 0" pilots de ce sol restreint et aride ont de 105, 5 "Xtlienité dn la if...11u".: 1e cetils et leurs armes de silex sur les
Pen sent se bloquer sous ses racm.. as propvtamarp pois es asarp, la me suis aventuré parmi les énonnes parias, du Bradai, pu food de ms
C'est le Mcebiltan, Pats de dure t.'rO possession. Ayant a peine conquis leur ban" " ...ber., ".""P" 05 Lorraice. Et les Vénètes qui occupée
de vie âpre. En mains endroits, la
eareene, ils SC sant empressée. POP,
les de os-entame. ,...l'e.« der'«i'l'eS rent el défendirent celle MY. ...cent
pierre affleure, crevant l'écorce de sol, Pieu 555.,e mon hier ei je défendre arètm des brisants sur lesquiels vient se e.aarra es far, muse& copra, me
refoulant l'emprise des hommes. Par- paapisis, de ramas_ heurter er retomber sans fin l'assaut des hpaares robes de Trévires,
ci, par-la, émergent quelques carrés de aor apr., d,epv sapa ren ararépa. ,lames. le me. suis assis, les pieds peu.
Clseie qu'enclosent maintenant des murs arts, à pros,0,, , .,,,,, : ,,,,,, dantS amdessus des jaillissements dieelo Et lei, but O Of.l'''.. .
au lidu de haies vives. Et de loin en rouira par me, le front baignant dans la brise ma- entrée dane mon etre mur in'. Dies
si
Min, surit g de l a lande le g este br isé rva va ° . °
rine. Pavais. derrière moi tout le
conti- /essart a. ja M als, M aintes fois, au Murs
d'un menhir patiné et rongé par la '
temps, Cette -opiniee cee fut d'ailleurs con- oral,
Pe't'qUi t'v'e'rnel:ts sree'reoeorl bdr'i'sedd'euest,'Praisds'esr l'us: m'ont/di' nide': et:
' Çette âpreté, cette primitivite de .,sel, Cernée Pxr 1. Pn'ales des P.Osans ace. panel:Morne tumulte les Sots., Et .d. sueur ta caresse fraternelle, je sais que
Marcehatinaiù gui S'atténuent gurlqUe 91 cei'eatceE 11-bas, et à iltd le taise mn: mol, vivant et libre, Peepl'aInt ter. ru résumes et menneireS lieba., jii briiii
Pen Mx MM... de Vmnes 0, d'SMnY, "n"""_l'in,"1"i "105" dn Ma na. ses lointaines du Nouveau-Mondh, Ce des terres lourdes, et je salve tes ides.ess
eees je, jeireageeg avec uns inten,p, gnements.rorrenotorieues qui surchargent pen océm par ce s'en sent allés et par sages ' oui passent, /e vent, les mirent.
plus hallucinante encore à Carnac, près le sot etr0orletiereet une entrave au bon on son, venus les coureurs d'aeenture, leux nuages de l'aube et du erepusrale...,
de la côte. Du fond de la lande, surgis_ fonctioncement des ceeyerig ,icoles, tes navigateurt épiques qui, sans en avoir LoFdden viendra Pmeomne, je retrou..
sent eut à Conp tes mystérieux aligne- Ces murs sont là depuis toujours et e.-rames conscience, ont cherché irai' ta oignent, ton mouvement, ta vie
monis mégalithiques de Ker-âAenee, noes les y laissons, me dirent les gens réaliser Suinté entre les hommes. Je dans l'innombrable rumeur dorée et décette
géante armée de pierres levées i la dure face basanée par le soleil et suis demeuré là bien longtemps, à ce. ferlante de nos foréts.
LA CENTRALE
Récit contemporain
enecanque par Albert SOUILLOU
LA PRESQUILE DE QUIBERON
PAGE
LITTERAIRE
VISAQES DE PARIS
Vitrines dans les passages couverts
par Charles VILDBAC
Et nous aussi.. l'aimions vien sevronsI co Pommera 1 Tous les
Nous l'aimions pour son courage paysans, tendue pom ne rien perdre
tique l'avons vu depuis, a Mn de la valeur d'un argument, écoutaient,
drid, sous les bombes, aussi ferme, silencieux, immobiles, sans détourner
tranquille et maître de lui-même, m'un ose seconde les yeux.
vieux grognard. Nous l'aimions pour le meeting achevé nous nous réunis.
son optimisme chacune de ses vi- siens avec les militants de l'endroit
sites il noue annonçait la chute de Pri- dans l'une de los extraordinaires sal.
nt° de Rivera et 'instauration du so- ;es de café des villages espagnols, vascialisme
en Beim...
tes, sonores et fraîches. Là. tout en
Nous l'aimions enfin, et surtout, pour mangeant une poignée d'olives. ou une
ce qu'il y avait en lui de généreux, trame, do eacelocen rcesc, fursd et
d'ueiversellement ouvert a toute chose: terriblement epicé, Gorkin reprenait /a
théâtre, poésie, littérature pour sa dise:melon. répondait aux questions. in-
curiosité sans mese en éveil et, pour
Muss dire, enfantine.
taCt dent la 're'l'on"valeragier'deeilsi
Mals ce n'était là, alors, eue l'ébau-
lage de seize ans alors qu'il apparté
che du Gorkin Oeil devait être, tel que resu
le l'ai sauna 5 Valence, â PareelOne et
à Madrid, pendant les élections de fi.
vrier 1930, et demis la début de l'insurrection.
Je su'arratai durant quel,itiaeres:nenet
a un
Mons élect'ocr'al braient leur plei'n:
Aussi, plusieurs fois Bar semaine, raocomPagnai
Julien dans les vinages des
environs de Valence mille natale
eh tous los paysans l'aimaient com
me leur fils. a Julienne e l'appelaient
les vieux aux visages extraordinairement
maquelés, à la peau d'un brun
qui tirait sur l'or et qu'animaient leurs
yeux noirs a la dure clarté.
J'ai gardé dents meetings, de ces
villages travereés la nuit, de ces routes
bordées de champs d'orangers ou notre
voiture filait toute résonnante de chan.
sons qui élisaient notre espoir dans
l'homme et dans le socialisme, un souvenir
vivace et qui n'en pas prés de
s'effacer.
Je revois Gorldn s'avancer sur une
des scênes de ce5 théâtres de villages,
pleins as-Caquer de /mosans. Les mires
serrent leurs enfante dans leurs bras;
les hommes, les coudes aux genoux,
fixent l'orateur, pasoonnernent attela,
tMa. Dès que Gorkin parait, la fouie se
trémousse et applaudit. Les gens sou.
rient, se regardent ils savent que le
discoure, substautlef, aura des traits
amusant..
Gorkin lève sa main mince, pâle, et
se met à parler. n explique que l'Espagne
est en friche depuis des steel.;
JI parle â ces pas-sens de la terre d'Eseamire;
d dit ce que pourra en faire le
emblismei il le dit sans démagogie
en serrant de pris la réalité. Quand
il parle de ail Robins, des caciques, de
Juan Manih, de Saniurjo il a des mots
fulgurants qui mettent la salle en joie.
Avec la spontanéité des réflexes de
la foule esnagnole, après un long st.
lence, quand Gorkin avait mené ces centainee
de paysans valencians de degré
en degré, de palier en palier. jusqu'à
l'un' des points culminants de son ex.
me; à l'un de ces moments 00 l'on
sert que la foule est suspendue â la
Pensée de l'orateur comme un essaim,
les auditeurs explosaient en un ma,
Znen I formidable, qui roulait, annonce
eau La fausse culture
couverts où l'on peut encore neau et qui lève. son verre m riant. On
« Ceet en 91,1ete d'une doctrMe se
entendre le bruit de ses pas ne peut pas voir l'intérieur de la bouxque.
dionymt dans les veux emmena, les cern-
pAssmes VérosDodat. Crced-Ced 11 y a une salle au premier. Qui vient Loieuelons
et ms résumés Per,.. tuns
er peu de tem, remplis leur mémoire de
enfouis dans le vieux coeur de Paris, ignoro ou se nourrir Si, dans la chaude obscus
nea.0, de 0110Ses, mail, Ils n'en sortent
rés des monstres qui nous dévorent, la dis- nté, comme dans le dernier repli du monni
P. sapa meilleurs... Bien m congrâce
de vos vitrines est acesi leur prioilege, ? Une yieille ouvreuse? La marchantraire-.
Ils s'accoUtument admettre aveu-
rien ne /es presse de mourir !
de de fers à onduler ? L'inventeur malglement
pautossé de totm les écrier., et
ne font entre eus d'autre Omis que cemi
Elles recèlent les plus exceptionnelles chance. de la semelle amovible ?
Imenel l'esprit de parti les entra,. et
fournitures, les spécialités les plus ignorées, Est-ce vraiment un restaurant ? Quelle
amo, peu à peu. 10 se Meabituent d'us,
les plus anciens, los plus méticu/eux nré- vénérable et obscure société tient ses
droitement de /eur raison naturelle... Et
des leaassneirss pour cotillons, timbres en nions dans la sal/e du premier ?
serTIM:
comme es raie reines its se MM...,
chacun des militants des moindres Cil. toment deeles, pnrce fosse..
caoutchouc, perruques, étendards, lutherie, L'Amicale des bedeaux de Paris ou celle
leur mémelte Is.ucoup de ce sue d'autres
optique, jeux de société. onguents, carnets des chefs de claque ?
Gorkin se tournait vers moi et, sou, ont écrit, yr melte y croie., es .proden-
de bal.
tient
riant- Ils veulent créer une cmpé-
.e sottise extrême et une arr..
C'est dins les vitrines des passages que
sative e. Ou ff Ce sont de brame gens,
eau, vraiman pédagogie.,
Ces vitrines sent comme les vieilles da- l'on fabrique les pipes. C'est toujours un
me disait-il. Tu voie ?
DESCARTES.
mes à qui l'on d toujours connu la même piaisir que de voir se galber un fourneau
mantille. Il y a quelques personnes au
E craignait toujours que la qualité de
de bruyère ou défiler un tuyau d'ambce:
monde qui savent leur histoire et qui les
ces âmes de persans ne Mechappet.
que de regarder de près un petite mède
fréquentent pour leur expérknce.
Rra. Mus regagnions Valeme le
d'acier en 'apparende immobile qui rentre
leur commettrait sar lever, parfois, de CONVERSATION
C'est Jones qu'il s'agit lorsqu'on di, .clans l'écume de mer comme dans du
mandes lumières ann bleu sombre glis-
Voilà an méfie: qui se perd th eu gruyère en faisant tournoyer des copeaux
saient sur la pie. Castellar, ellenciem
se, déserte.
avec l'Italien
n'y a qu'ira maison dans Paris où tninuscules et floconne..
Corkin allait se coucher, épuisé par-
vous trouver, cela à
On peut resrer là longtemps, même s'il
fois car il lui arrivait de promîmes le ternisse la gare de Lyon,
A un tournant de la galerie, sous une pleut. Surtout oint. On ne risque pas
trois ou quatre discours dans la méme
journée mais heureux, souriant. Pen SURj'ai rencontré le touriste
mate, à i'endreit le plus sombre, il y a de troubler les artisans de In pipe. Je pen-
traM spécial., almée es visite
ouvrier du socialisme qui sait que son
parfois un restaurant minuscule dont lx de. se que
à l'Emme:on, à son départ de Paris.
rende il ne leur déplaît pas d'avoir
eefort portera ses fruits.
Un, DM, cent ou mille, leurs propos
venture, à cause de sa couleur et de ses un public st de lui présenter les
Quand on pense que c'est cet homme étaient tons les memes.
grande centrale électrique la boucle du fleuve, la trouée vers vernis accumulda, fait penser à du boni'. tés du métier sans en avoir Pair. soit qu'ils
uui est emprisonné en ce moment en Alors, êteî-vens satisfait de vo
Espagne, on croit rèver.
tee sojaes Paris vous art-11 LAaux saisissantes rangées de la verdure, vers la nature, vers lue gras. Dans sa vitrine, que cldt un rideau forcent leur application, soit qu'ils exami-
Satisfait, Enchanté, enthousdas- hautes cheminées s'élève l'air. Elle se campe avec la ferme- blanc, sur un lis de fibres de bois, il y a nent avec un peu trop de perplexité
Et vous, camarade Indalecio Prieto, mé, de n'aurais jamais cru que oetiti
mus sonvenemom de cet après-midi
comme un dieu implacable et sité lourde d'un blockhaus. Ses un petit vigneron à cheval sur un tom ce mi les occupe.
si beau Inet ples grande satisfaction,
que n'ode arma passé, tous trois, dans à vrai dire, date du moment où j'ai nistre. Elle se détache souvent en grandes cheminées hérissées sont
cette salle de café des Cbamps-Elysées, posé les pieds sur le quai d'arrivée noir sur le fond lointain des co- une herse.
qeene affeotueuse amitié vous témoi, pensez done qu'on ne m'a pas hijoies
a Gerais ? Vous savez qu'aujoun
teaux boisés. Elle se dresse par-
Mité... on ne m'a mante pus nîmePuié
d'hui.01ae que sa vie encore, c'est son Et . sortant de la gare, je n'ai point dessus les arbres au vert sali d'un
Son nom n'a que peu d'impur
honneur de militant nui est menacé. été pot dans une bousculade, ce n'ai
Nous ne vous demandonr. a vous et aux pas da marcher dans des rigoles de
quai bruyant ctd grues et se Pro-
tance. Savoir qu'il est italien n'a-
camarades socialistes qui sont an pom sang, et, en fati de pétarades, teat file sur le fond de collines que la
joutera pas la moindre dose d'exo
lamine
voir, qu'une chose, que voue ne sauriez entendu que celles Mis feux d'artifice r eet le des fabriques au paysage. Le tout est
nom refuser Justice d Justice I Jus- de l'Expositiontice
!
- tipeest-ce qui vo555 a frappé M ruilent
qu'il désespère de trouver du tra-
plus ?
vail. Mais cet émigré n'aime point
place de la Concert., et, à un Vue du pied de ces collines, l'eau. Sans doute l'a-t-il trop long-
mdre point de vue., l'autodiseiplum
de vos conettoyees. Dire que je les al cette grande construction devient temps regardée et a- bit ma com-
vus attendre l'autobus, à Versailles, gigantesque et prend avec sa forbien elle est putride. Alors il- a
SUR LA LECTURE faisant la queue. .tre deus chaules me massive haut dressée, avec ses regardé le ciel comme s'il en at-
sans enéme un agent pour le contrôle,
Formidable
arêtes géométriques, avec ses rantendait la foudre. Et il a décidé
e mel y a diessentio mus les livr.
Le train a sifflé. Mon Italien a juste gées régulières de cheminées, d'aller au-devant de la
des esprits excellents n'est pas renfermé
le temps de me aise, avant de fermer
foudre
m postière:
élancées les unes, trapues les au Près de. l'usine électrique, il â
en telle ou telle pens. que l'on en 'peut vous savez, chez nous, le 'm. tacs, l'eSpect autoritaire et solen- avisé un des mâts extraite, mals ne en dégage quo du corps
porteurs de
neOtte cresson kilo, le sucre lires,
entier de l'ouvrage,
le café 40... Et le salaire maximum nel de ces gros pylônes plantés de conduite. Il grimpe, grimpe
< ce n'est pas du premier roi. et par d'un ouvrier spécialisé est de SO tires mâts des portiques égyptiens. grimpe. Il tend le bras. On voit,
une seule leeture, mais pou P peu per une
lecture assIdue et souvent recommencée nue Par Jour-
Un peu plus han dans le bruit des Cette masse s'érige en effet com- non, on ne voit rien... c'est cem.
nous nous en pénétrons et que nous con, wagons s'ébranlant, J'ai .tendu ces me le pylône gardien d'une large me l'éclair... On ramasse une lo-
sertissons pour ainsi dire ees ee no- mots
tre propre substan,. s Cela me fait mal au cmue de
Perle, d'un Passage qui surveille que de chairs rôties et d'os brisés
DESCARTES. partir.
LE PASSAGE DES PANORABLLS
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés