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r•-= MARIE-JOSE jAUBERT

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II n'est pas impossible, !Dien qu'il I'ait toujours farouchemeat<br />

ni6, clue Jo Attia ait organis6 lui-rnerne — dcpuis la<br />

prison de Fresnes<br />

querie — .<br />

it se trouvait cnfermd pour escro-<br />

1'enlevernent de Ben Barka.<br />

(1) Mosca faisait par tie du r"'I'cu dcs proxer.et<br />

nais rr.crnbres du SAC. don: on parlait :ant juste=<br />

moment de son arrestation. Voir cl-Lapitre 17.<br />

au<br />

(14) Voir page 73.<br />

eta signale a la police francalse par le B.N.D.D.<br />

comme l'un des responsablc. 's d'un i-tscau de trrEiqua.r.ts<br />

dont la sp.-5.cialite etait d'introduire l'heroine<br />

aux Etats-Unis bord d'automobiles habilement<br />

transforrn&s. Ce reseau aurait transporte. en 13 mais,<br />

a bord dc neuf voitures, 800 kilos d'harolne. En de.cernbre<br />

1970, un trafiquant francais, Edmond Taillet,<br />

etait arrate a New York. Il 2.youalt atre cn relation<br />

avcc Etienne Mcsca. En septembre 1371, les ponders<br />

arnaricains saisissaient a New York une Jaguar<br />

truquee contenant 90 kilos dleroTne. Le passcur,<br />

Etienne Gunther, etait lc beau-frere do Mosca.<br />

Mosca, place a la tate d'unc equipe<br />

quinzaine<br />

de personr.cs, reinvestissait ses :r7ortants<br />

benefices dans des bars et des rnaiscns closes a. Bordeaux,<br />

Lyon et Marseille, atablisserr.ents qu'il conf<br />

iait a des amis ou de proches parents'. La plupart<br />

des membres du gang etaient déjà tombes aux mains<br />

Lc 7 juillet 1972, a 7 heures, dans le qua: pier de<br />

la Croix-Rousse a Lyon, les policiers de la brigade<br />

des stupefiants arretaicnt Etienne Mosca, originalre<br />

de Lugo-di-Na7za (Corse). Etienne Mosca avait<br />

VOITURES TRUQUEES POUR VERA CRUZ<br />

Ben Barka 14, it semble que pour certains<br />

les murs truan.:/s<br />

des prisons ne soicnt pas des obsta,.::::,<br />

infranchissables. II y a rname tout lieu<br />

Mertz attend des jours de croirc clLe<br />

rneilleurs dans son fief solognot<br />

et qu'a la moindre alerte, on l'enverra e<br />

n<br />

mission quelque part comme on l'avait fait en 1961,<br />

pour se ddbarrasser d'un employs trop compro.<br />

mettant.<br />

XIV<br />

DOSSIER 1)<br />

314

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