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ASSEMBLEE GENERALE AFJE

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<strong>ASSEMBLEE</strong> <strong>GENERALE</strong> <strong>AFJE</strong><br />

22 novembre 2010<br />

Allocution de Jean-Charles Savouré<br />

Président de l’<strong>AFJE</strong><br />

Monsieur le Président,<br />

Mesdames et Messieurs, chers amis et partenaires de l’<strong>AFJE</strong>,<br />

Chers amis Juristes d’Entreprise,<br />

Mes premiers mots seront pour saluer et remercier tous ceux qui ont œuvré à la conception et à la<br />

réalisation de cette superbe initiative que constitue la TVDMA qui vient de nous être présentée.<br />

L’<strong>AFJE</strong> est fière d’avoir pu contribuer, en tant que cofondateur, à ce projet qui, par sa qualité, par<br />

sa modernité, et par sa capacité à réunir une telle somme d’expérience et de compétence, à la fois<br />

pratique et académique, symbolise et préfigure les méthodes de communication d’avenir pour les<br />

juristes que nous sommes.<br />

C’est à dessein que j’utilise d’emblée le terme « avenir », car c’est sur le thème de l’avenir que je<br />

voudrais concentrer cette intervention.<br />

Avenir de notre métier de juriste d’entreprise d’une part, avenir de notre Association d’autre part.<br />

I.<br />

AVENIR DE NOTRE METIER<br />

Pour parler de son avenir, il faut d’abord bien se connaître, bien se définir, bien se mesurer.<br />

La grande enquête lancée en début d’année par l’<strong>AFJE</strong> et ses partenaires, confiée à l’Institut de<br />

sondage IPSOS, estime à environ 16.000 le nombre de Juristes d’entreprise en France.<br />

Voici donc réglé l’irritant débat auquel notre profession se trouvait régulièrement confrontée, celui<br />

de notre nombre, celui de notre représentativité au sein des métiers du droit. Cette donnée<br />

quantitative vient à point nommé pour renforcer notre confiance dans le poids que nous<br />

représentons.<br />

Mais l’autre point essentiel de cette enquête, est que tous ses résultats convergent pour souligner<br />

certains aspects très positifs de l’évolution de notre profession : rattachement à la Direction<br />

Générale, indépendance intellectuelle affirmée, implication dans les questions stratégiques, diversité<br />

des compétences.<br />

Notre profession a atteint un haut niveau de maturité et occupe aujourd’hui toute sa place aux côtés<br />

des autres professions du droit.<br />

Je voudrais m’attarder un instant sur la question du rapprochement des professions, plus<br />

spécifiquement sur les échanges qui ont lieu au cours de cette année autour de la création éventuelle<br />

d’un statut d’Avocat en Entreprise.<br />

Sujet historique (on en parle depuis 40 ans !). Sujet sensible, épineux, parfois même anxiogène. Mais<br />

également sujet primordial, sujet de société puisqu’il concerne le statut de la fonction juridique dans<br />

l’entreprise française, et donc, le développement du droit dans notre pays.<br />

Le vote intervenu voici trois jours au sein du Conseil National des Barreaux vient ajouter à la<br />

complexité et à l’incertitude du débat sur ce sujet. Par ce vote en effet, 90% des avocats membres du<br />

CNB se déclarent, dans le cadre d’une première question, opposés à la « fusion » des professions<br />

1


d’avocat et de juriste d’entreprise. A une deuxième question « Êtes vous favorable à un mode<br />

d'exercice de la profession d'avocat salarié en entreprise », deux clans strictement égaux se<br />

constituent, l’un pour et l’autre contre.<br />

En l’état de ce vote, encore trop récent pour avoir fait l’objet d’analyse détaillée, la question à se<br />

poser est la suivante : la perspective de voir se rapprocher les deux professions d’avocat et de juriste<br />

d’entreprise autour d’un statut d’Avocat en Entreprise, cette perspective est-elle encore d’actualité ?<br />

Les avocats n’étant pas parvenus à se départager sur la question, force est de reconnaître que cette<br />

perspective apparait aujourd’hui beaucoup plus lointaine qu’elle ne l’était voici encore trois jours.<br />

Que cette perspective subsiste ou non, et s’agissant d’un débat historique et récurrent, je voudrais<br />

rappeler certains des principes essentiels auxquels, à l’<strong>AFJE</strong>, nous nous sommes attachés dans nos<br />

actions en 2010 et qui continueront de nous guider sur cette vaste question.<br />

Notre ambition, à l’<strong>AFJE</strong> est d’être porteurs d’une vision à la fois pour notre métier et pour le<br />

monde des entreprises dans lequel nous évoluons quotidiennement.<br />

Cette vision s’articule autour de deux éléments essentiels : un objectif et un état d’esprit.<br />

- Un objectif : notre objectif premier - l’<strong>AFJE</strong> n’a jamais varié sur ce point - c’est d’obtenir la<br />

confidentialité de nos avis, au bénéfice des entreprises que nous assistons.<br />

Pourquoi cette revendication ? Pour mettre les entreprises françaises à parité de situation dans la<br />

compétitivité internationale par rapport à des firmes étrangères qui bénéficient de ce « privilege ».<br />

J’ouvre ici une rapide mais importante parenthèse pour dire deux mots de l’arrêt Akzo rendu le 14<br />

septembre dernier par la Cour de Justice Européenne.<br />

Ne nous voilons pas la face : cette décision vient jeter le trouble dans notre combat. Que le statut<br />

d’Avocat en Entreprise voie ou non le jour, elle nous prive de la possibilité de faire bénéficier nos<br />

entreprises du « legal privilege » / secret professionnel dans le contexte des enquêtes de droit<br />

européen de la concurrence.<br />

Observons toutefois que l’un des principaux motifs de cette décision réside dans le refus de la<br />

juridiction européenne d’ériger un nouveau principe de droit communautaire alors qu’il subsiste<br />

encore une forte disparité au plan des législations des 27 Etats membres. Il y a là une invitation<br />

implicite, mais évidente, à continuer de faire bouger les choses dans les pays comme le nôtre qui ne<br />

disposent pas d’une réglementation reconnaissant le SP aux juristes internes. Une fois cette<br />

réglementation introduite en France, elle produira son plein effet dans les affaires de droit national et<br />

contribuera, à terme, au revirement de la jurisprudence Akzo.<br />

L’objectif de l’<strong>AFJE</strong> demeure donc intact dans son principe : nous devons obtenir la confidentialité<br />

de nos avis.<br />

Quelle que soit la manière dont cette confidentialité pourrait nous être reconnue, notre position est<br />

claire et a été réaffirmée tout au long de cette année: il faut que le bénéficiaire en soit la fonction<br />

juridique de l’entreprise dans son ensemble.<br />

Au cas où les discussions sur un éventuel statut d’Avocat en Entreprise se poursuivraient, redisons<br />

donc les choses nettement: la création d’un tel statut serait dénuée de sens si son effet était de<br />

permettre à une poignée de juristes d’entreprise de devenir avocats en entreprise et à une poignée<br />

d’avocats d’exercer en entreprise. L’accès à ce statut ne pourrait donc selon nous se concevoir<br />

autrement que sur la base de critères strictement objectifs, liés à la compétence et à l’expérience du<br />

juriste ainsi qu’à la volonté de celui-ci d’adhérer aux règles déontologiques prévues pour l’exercice<br />

2


de cette profession. Cette vue des choses a constamment guidé notre action au cours de l’année qui<br />

vient de s’écouler.<br />

L’exemple de l’étranger nous le démontre : le secret professionnel / « legal privilege », comme modèle<br />

généralisé applicable au praticien du droit, qu’il soit interne ou externe à l’entreprise, c’est un<br />

modèle qui marche, qui a fait ses preuves et qui les a faites dans des pays où le droit n’est pas moins<br />

développé que chez nous, dans des pays où les exigences en matière de déontologie, d’éthique,<br />

d’indépendance et de loyauté vis-à-vis de l’employeur, ne sont pas moins présentes ou prononcées<br />

que chez nous.<br />

- Un état d’esprit :<br />

A l’<strong>AFJE</strong>, nous n’avons cessé de le dire : nous étions, nous sommes et nous restons favorables à un<br />

rapprochement des professions pour autant que celui-ci procède d’un souci partagé par toutes les<br />

parties prenantes de se rassembler autour d’un statut adapté, souci incompatible avec toute<br />

démarche de type unilatéral ou intrusif.<br />

Parlant de rapprochement, Marcel Proust écrivait : « ce qui rapproche, ce n’est pas la communauté<br />

des opinions, c’est la consanguinité des esprits ».<br />

Posons-nous donc la question : Les juristes d’entreprise et les avocats sont-ils consanguins ? Sont-ils<br />

de la même souche, de la même famille ?<br />

Pour l’<strong>AFJE</strong>, s’agissant du droit des affaires, la réponse s’impose et se confirme au vu des<br />

nombreuses enquêtes existant sur le profil de chacune des professions. N’avons-nous pas suivi les<br />

mêmes formations ? N’avons-nous pas les mêmes compétences ? Ne pratiquons-nous pas la même<br />

discipline ? Les cabinets qui travaillent avec nous, et donc nous connaissent, sont là pour l’attester :<br />

nous opérons avec eux comme de véritables partenaires, nous vivons les uns et les autres en<br />

harmonie, sans conflit ni complexe.<br />

N’avons-nous pas aussi, à l’<strong>AFJE</strong>, et depuis plus de quarante ans, une déontologie ? Ce qui nous<br />

manque, nous le savons, c’est la force obligatoire de cette déontologie et sa portée coercitive.<br />

Notre état d’esprit à l’<strong>AFJE</strong> est clair : ce qui nous anime c’est notre volonté de porter haut les<br />

couleurs de la fonction juridique en entreprise, en faisant reconnaître par une réglementation<br />

adaptée les exigences déontologiques inhérentes à nos activités.<br />

La mission confiée le 28 octobre dernier à M. Michel Prada par les Ministres de la Justice et des<br />

Finances agissant conjointement nous offre l’opportunité de faire valoir cet état d’esprit et, peut-être,<br />

d’atteindre notre ojbectif. C’est bien en effet le positionnement et l’évolution de la fonction juridique<br />

d’entreprise en France qui constitue le sujet central de cette mission nouvelle, avec, en particulier<br />

l’objectif de formuler des recommandations sur la question de la confidentialité des avis. Que chacun<br />

en soit donc bien convaincu : l’<strong>AFJE</strong> va contribuer activement aux travaux qui vont s’engager dans<br />

ce cadre.<br />

II. AVENIR DE NOTRE ASSOCIATION<br />

L’avenir de l’<strong>AFJE</strong>, c’est sa croissance.<br />

Cette croissance, il nous faut la mesurer à l’aune de plusieurs paramètres : rassembler,<br />

accompagner, former, innover, communiquer.<br />

A. Rassembler<br />

Avec ses presque 4000 adhérents, dont quelque 600 directeurs et responsables juridiques, l’<strong>AFJE</strong> est<br />

la première organisation professionnelle de juristes d’entreprise en France. Notre Association<br />

3


s’enorgueillit de regrouper les juristes d’entreprise de tous horizons sans distinction de spécialité,<br />

d’ancienneté, de niveau hiérarchique, de taille d’entreprise ou de secteur économique. Là se situe sa<br />

force.<br />

4000 adhérents, cela veut dire qu’environ 25% des juristes d’entreprise français sont adhérents de<br />

l’<strong>AFJE</strong>. C’est beaucoup ! Mais cela veut dire aussi qu’il nous reste une large frange de juristes à<br />

conquérir. Nous allons nous y employer. C’est un effort auquel chaque adhérent doit contribuer en se<br />

faisant le relais et le promoteur des services qu’offre notre Association, qu’il s’agisse de formation,<br />

d’occasions d’échange d’expériences, ou de défense de l’intérêt général de notre profession.<br />

L’année ou les années qui viennent s’annoncent riches pour notre métier, il importe que nous soyons<br />

nombreux et unis pour le défendre, le promouvoir et le développer.<br />

B. Accompagner<br />

L’<strong>AFJE</strong> a pour objet de valoriser le métier de JE, d’aider ses membres, de les soutenir. Le contexte<br />

économique difficile que nous connaissons doit nous conduire à renforcer cet aspect de notre mission.<br />

Nous avons un rôle important à jouer auprès des jeunes juristes que nous sommes heureux<br />

d’accueillir chez nous. Par nos initiatives visant à l’acquisition de compétences nouvelles, ou à<br />

favoriser les évolutions de carrière, nous devons aussi soutenir et accompagner les juristes en cours<br />

de carrière.<br />

L’<strong>AFJE</strong> est au service de l’emploi des juristes.<br />

C. Former<br />

Parmi tous les services que l’<strong>AFJE</strong> propose à ses adhérents, les services de formation arrivent en tête<br />

qu’il s’agisse de nos Ateliers, organisés avec nos partenaires avocats, ou de nos activités au sein de<br />

nos commissions thématiques. Le contexte s’y prête : avec la complexité croissante de la matière<br />

juridique, l’acquisition et le perfectionnement des compétences sont aujourd’hui des nécessités<br />

quotidiennes pour les juristes d’entreprise que nous sommes.<br />

Ce sur quoi l’<strong>AFJE</strong> doit se concentrer, ce sont non seulement les formations aux techniques<br />

juridiques, mais aussi les formations dans les domaines qui tournent autour de notre discipline de<br />

base : finance, comptabilité, management, marketing, relations humaines… Formation également<br />

dans les domaines comportementaux : esprit d’équipe, leadership. Formation enfin en matière de<br />

communication tant il est vrai qu’être compétent n’est rien si l’on n’est pas compris ; le juriste<br />

d’entreprise doit savoir convaincre en entraînant l’adhésion.<br />

D. Innover<br />

Autant que son nombre d’adhérents, ce qui constituera une vraie mesure de croissance de l’<strong>AFJE</strong>,<br />

c’est sa capacité à être perçue comme un instrument de progrès, comme un contributeur majeur au<br />

développement du droit dans notre pays. Songeons à la somme d’expériences que représente notre<br />

assemblée : sociétés, concurrence, contrats, contentieux, immobilier, social, assurances,<br />

réglementations diverses… De tous ces domaines, nous avons une vision privilégiée, car acquise à la<br />

faveur d’un vécu quotidien au sein de l’entreprise.<br />

Par sa capacité à analyser les difficultés pratiques d’une législation donnée, à émettre des idées, à<br />

formuler des propositions, notre Association est, par la voie de ses experts, idéalement placée pour<br />

faire progresser le droit des affaires.<br />

Ainsi devons-nous poursuivre les efforts déjà engagés pour renforcer notre positionnement<br />

d’interlocuteur des universités, des pouvoirs publics, de la Chancellerie, des parlementaires, toutes<br />

les fois qu’il est question du développement du droit de l’entreprise.<br />

4


D. Communiquer<br />

L’<strong>AFJE</strong>, est-il besoin de le rappeler, se distingue par son engagement à promouvoir les outils<br />

modernes de communication. Notre contribution à la TVDMA en est une illustration marquante. La<br />

promotion de notre métier via des réalisations cinématographiques remarquées comme celle de l’an<br />

dernier sur le thème « il était une fois les juristes d’entreprise » en est une autre. Nous allons<br />

poursuivre dans cette voie. L’<strong>AFJE</strong> doit continuer d’offrir à ses adhérents des outils novateurs et<br />

fortement communicants.<br />

Et, parlant de communication, comment ne pas signaler le remarquable essor de notre revue<br />

« Juriste d’Entreprise Magazine », démarrée il y a 18 mois. Nous avons là un moyen unique de<br />

maintenir le lien entre nous, de nous faire connaître, mais aussi de faire s’exprimer ceux autour de<br />

qui nous évoluons, écoles, universités, autres professionnels du droit, associations sœurs ou cousines.<br />

XX<br />

Chers amis juristes d’entreprise, c’est à cet ensemble d’objectifs qu’avec les administrateurs et<br />

autres responsables de l’<strong>AFJE</strong> nous allons nous employer en 2011. Nous le ferons en continuant de<br />

nous appuyer sur un important réseau de partenaires, avocats et autres praticiens du droit,<br />

universités, écoles, éditeurs, associations professionnelles, dont je salue la présence dans cette salle et<br />

que je remercie pour leur soutien.<br />

Qu’il me soit permis ici de saluer les efforts, l’énergie et les contributions diverses dont l’<strong>AFJE</strong> a<br />

bénéficié au fil de cette année de la part, en particulier, de son Conseil d’administration, des<br />

responsables de Région et de Commission. Je voudrais saluer tout particulièrement les membres du<br />

Bureau de l’<strong>AFJE</strong>: Luc Athlan, Philippe Coen, Hervé Delannoy, Jean-Philippe Gille et Jean-David<br />

Sichel pour leur implication désintéressée et quasi quotidienne dans les affaires et le fonctionnement<br />

de l’<strong>AFJE</strong>. Et comment ne pas citer Anne-Laure Paulet et son équipe ainsi que Jill Jacq, pour leur<br />

dévouement de chaque instant, leur compétence et leur enthousiasme. Chers amis adhérents de<br />

l’<strong>AFJE</strong>, si vous en avez l’occasion au cours de cette soirée, dîtes leur un mot, je suis sûr qu’ils<br />

apprécieront.<br />

Je m’adresse maintenant à notre invité d’honneur, le Président Louis Vogel.<br />

XX<br />

Monsieur le Président, cher Professeur, tout vous destinait à être notre invité d’honneur de cette<br />

soirée. Par votre double qualité d’avocat d’affaires et d’universitaire, vous symbolisez le lien entre<br />

l’académie et la pratique professionnelle. Comme avocat, et donc, vous aussi, comme praticien du<br />

droit des affaires, vous êtes confronté aux mêmes problématiques que les nôtres. Comme<br />

universitaire, et par vos fonctions actuelles de Président de l’Université Panthéon-Assas et de<br />

Président du Pôle de Recherche et d’Enseignement Supérieur Sorbonne Universités, vous êtes dans<br />

une position de premier rôle sur la grande scène de la formation, et vous l’avez encore démontré<br />

dans votre ouvrage récent, et remarqué, consacré aux réformes à entreprendre dans l’Université<br />

française. Avec toutes ces qualités, nul n’est mieux placé que vous pour nous parler de formation en<br />

général, de celle des métiers du droit, de celles de juriste d’entreprise en particulier.<br />

Cher Professeur, que devrais-je dire pour vous présenter, que les juristes présents dans cette salle ne<br />

savent pas déjà ? Le point que je voudrais souligner à l’intention de tous ceux qui n’ont pas déjà eu<br />

l’occasion d’échanger avec vous, c’est qu’en plus de vos très grands talents de juriste, vous êtes une<br />

personnalité extrêmement sympathique ! Si je le précise, c’est aussi pour rappeler que l’un des buts<br />

de cette Assemblée, c’est aussi, pour l’<strong>AFJE</strong> qui a l’honneur de vous accueillir ce soir, d’être une<br />

occasion de rencontre chaleureuse et sympathique d’où chacun puisse repartir avec la conviction<br />

raffermie d’appartenir à une profession reconnue, unie, et confraternelle.<br />

Je vous remercie de votre attention.<br />

5


Nbre de signes : 17289<br />

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