Jo de Clercq (Rockspring) - Expertise

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enCore Une organisation
JeUne mais d’iCi Cinq ans,
noUs ComPtons devenir
l’interloCUteUr
des PoUvoirs PUbliCs. ”
ed nypels
l’organisation
La RICS – la Royal Institution of Charterd Surveyors –
a vu le jour au Royaume-Uni en 1868. En 1881, l’organisation
a obtenu une reconnaissance royale. Les membres
de la RICS sont connus comme ’chartered surveyors’
et sont reconnaissables à l’ajout de FRICS (’fellow’) ou
de MRICS (’member’) derrière leur nom.
Au jour d’aujourd’hui, la RICS est une organisation mondiale
réunissant des professionnels de l’immobilier, possédant
un QG international à Londres et des agences régionales à
Bruxelles, Dubaï, Hong Kong, New York et Sydney.
On dénombre plus de 100.000 membres dans 146 pays, avec
200 spécialités dans 21 matières. La RICS s’est fixé comme
rôle principal la régulation et la promotion de la profession, le
maintien des normes les plus strictes en matière de formation
et d’exercice de la profession, la protection des clients et
des consommateurs grâce à un code de conduite strict et la
fourniture de conseils, d’analyses et de directives impartiaux.
trop loin dans les différences entre le loyer économique et le loyer facial, cela pourrait se
révéler anti-productif et entraîner une pression sur les loyers et, dans la foulée, générer une
fluctuation dans l’expertise. L’objectif n’est pas là.
— en — Il ne faut pas oublier non plus que le réviseur d’entreprise doit aussi valider tous les
chiffres dans les comptes annuels!
on a quand même l’impression que ces dernières années, les valeurs des portefeuilles des sicafi
n’ont pas évolué dans la même mesure que les prix réelles du marché.
— Fd — La première mission de l’expert consiste à écouter son client. Si la sicafi est confrontée
à une baisse de valeur de, disons, dix pour cent, cela a un impact direct sur son taux
d’endettement. Il me semble alors plus judicieux de regarder la tendance sous-jacente à plus
long terme que de procéder à une expertise ad hoc. Là, il faut oser une discussion franche.
Les sicafi ne sont pas des traders et dès lors, chez DtZ, nous ne pensons pas que nous devions
expertiser nos valorisations de manière tantôt élevée, puis tantôt beaucoup plus basse,
en fonction des prix du jour. Il ne faut pas baser l’évolution de la valeur d’un immeuble sur ces
extrêmes.
— PJ — Il faut suivre le courant sous-jacent et non pas intégrer chaque modification.
J’en conclus que le nouvel a.r. n’entraînera pas de rupture de tendance au niveau des expertises.
mais ce sera peut-être bien le cas avec l’écologisation de l’immobilier?
— kn — Pas à court terme. La problématique des immeubles durables est directement liée
au loyer et, comme expert, on intègre de toute façon cet aspect dans notre valorisation. Les
immeubles verts se louent mieux et plus vite. A plus long terme, j’entrevois néanmoins la
possibilité d’une rupture de tendance car les immeubles ne pourront plus se vendre comme
investissement que s’ils répondent à certaines conditions en matière d’énergie et d’environnement.