L'efficacité énergétique dans la construction de la Chine ... - FFEM

* Environnement mondial
Fonds Français pour l’Environnement Mondial
France
L’efficacité énergétique dans la construction en Chine
Chine
Lutte contre l’effet de serre et les changements climatiques
*

«50% d’économies d’énergie réalisées pour un surcoût de construction inférieur à 7%, grâce au
programme de coopération franco-chinois « Efficacité énergétique dans la construction en Chine».

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L’effet
de serre
2010
Evolution de la consommation d’énergie dans le monde
selon le scénario tendanciel de l’IAASA (source : l’IAASA 1995)
Réchauffement de la planète et gaz
L’effet de serre est un phénomène naturel qui permet à la basse atmosphère de se maintenir autour de 15°C en moyenne.
Il est lié à la présence dans l’atmosphère de certains gaz (vapeur d’eau, gaz carbonique, méthane…) : les gaz à effet de serre. Sans eux, la température avoisinerait – 18°C, interdisant
toute forme de vie sur Terre. Depuis quelques décennies, la communauté scientifique observe un réchauffement de la planète (+ 0,5°C à + 0,7°C depuis un siècle). Il serait causé par
l’augmentation des gaz à effet de serre rejetés dans l’atmosphère par les principales activités humaines (production d’énergie, chauffage et climatisation de l’habitat, industries, transport,
déchets…).
Même si l’influence des gaz à effet de serre sur le climat reste complexe, l’augmentation constante de leur concentration inquiète les scientifiques. La production de gaz carbonique,
par exemple, excède aujourd’hui la capacité d’absorption naturelle des océans et de la végétation et des phénomènes climatiques de plus en plus extrêmes et inattendus sont observés.
Face à ce bilan, la communauté internationale se mobilise autour de la menace d’un réchauffement de la planète, provoqué par l’accroissement des gaz à effet de serre.
2020 2040

à effet de serre
L
es réductions d’émissions de gaz à effet de serre,
l’impact du programme de coopération entre la France et la Chine
Selon les statistiques de l’Agence Internationale de l’Energie
(AIE), en 1998, la Chine était responsable de 12,7% des émissions
mondiales de CO 2, principal gaz à effet de serre. A titre de comparaison,
l’Union européenne participe à 13,6 % des émissions
mondiales de CO 2.
Le
développement durable en action
La réduction des émissions de gaz à effet de
serre et la lutte contre les changements
climatiques sont devenues des questions
majeures pour le monde. La Chine, 8 ème
puissance économique mondiale, est particulièrement
concernée car elle utilise principalement
le charbon comme source d’énergie.
Sa forte croissance oblige à mettre en œuvre
des conceptions de l’urbanisation et des
techniques nouvelles et performantes d’utilisation
du charbon et de combustibles de
substitution comme le gaz naturel. Au delà
des progrès dans le domaine de l’efficacité
énergétique, la Chine est soucieuse du
Si les émissions ramenées au nombre d’habitants restent encore
relativement modestes en Chine, leur taux de croissance est
rapide : 21% d’augmentation au cours de la dernière décennie.
Compte tenu de l’urbanisation, de l’accroissement de la demande
de confort et de mobilité, l’AIE prévoit que la part des émissions
de CO 2 chinoises va augmenter pour atteindre 15,6 % en 2010 et
17,7 % en 2020.
respect de son cadre de vie, l’une des clés de
son développement économique et social.
Les programmes d’amélioration de son efficacité
énergétique, tels que ceux conduits avec
le Fonds Français pour l’Environnement
Mondial, constituent un important levier pour
concilier la croissance, le développement
social et le respect de l’environnement.
A travers eux, la Chine s’engage sur la
voie du développement durable et celle de la
protection de l’environnement mondial.
Actuellement, un logement non isolé à Pékin émet environ
7 tonnes de CO 2 par an pour son chauffage. Il est possible de
réduire de 50% cette quantité en l’isolant et en améliorant la régulation
du chauffage. Le programme de coopération « Efficacité
énergétique dans la construction en Chine » qui a porté sur
environ 11 300 logements, a permis d’éviter l’émission de
44 000 tonnes de CO 2 par an.
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Centre Ouest
Sud Ouest
Beijing
Centre Nord
Le programme d’efficacité énergétique
Côte Est
Beijing
Harbin
Shenyang
Heilongjiang
Liaoning
V ivre mieux en consommant moins d’énergie
La Chine (1,3 milliard d’habitants) se développe
à grande allure avec une croissance démographique
annuelle de 0,8 % (soit 10,4 millions
d’habitants supplémentaires par an) et un taux
de croissance de son PIB de 8% en 2003. Sa
population aspire à vivre plus confortablement
avec des logements plus vastes, mieux chauffés
en hiver et souvent climatisés en été.
Premier constructeur mondial de logements,
avec un rythme de construction
d’un milliard de m 2 par an, rythme qui devrait se
maintenir au moins pendant les 15 prochaines
années, la Chine dispose déjà d’un parc de 4,2
milliards de m 2 dans les zones urbaines et de
21,1 milliards de m 2 dans les régions rurales.
Cette situation entraîne une augmentation
des consommations énergétiques dans le
secteur du bâtiment, d’autant que le développement
économique s’accompagne d’une
demande plus importante de confort (augmentation
du chauffage et de l’éclairage, équipement
en climatisation, hausse du taux d’équipement
des ménages en appareils électroménagers).
L’utilisation du charbon comme principal combustible
fait du secteur du bâtiment une source
importante de pollution atmosphérique en milieu
urbain. La Chine compte déjà plusieurs dizaines
de grandes villes qui sont confrontées comme
toutes les mégapoles à des problèmes environnementaux
importants (pollution de l’air).
L’augmentation des consommations énergétiques
mal maîtrisées a également des répercussions
considérables sur l’environnement de
notre planète : accroissement des émissions de
gaz à effet de serre et changement climatique.
La maîtrise de ces consommations est, sur le
plan économique, social et environnemental,
tant au niveau local que global, un enjeu capital
pour la Chine et notre planète.
L’amélioration de la conception des bâtiments
et des performances techniques de
la construction sont des solutions à retenir. Les
autorités chinoises, les opérateurs et la population
partagent ce souci d’amélioration et ont
compris son intérêt pour le pays.

dans la construction en Chine
Réduire
de 50% la consommation d’énergie
Un
programme qui s’inscrit dans les
conditions du marché
S’appuyant sur des projets déjà décidés et financés au
niveau local, le programme a facilité l’introduction d’améliorations
de l’efficacité énergétique dans les logements
neufs (modification des plans pour réduire les déperditions et
accroître les apports solaires, isolation, amélioration du chauffage)
tout en limitant les surcoûts à un niveau acceptable pour le
marché local.
L’essentiel de l’aide a été destiné à apporter un appui sous forme
de prestations de conseil et d’ingénierie ou à faciliter l’accès à de
nouvelles technologies. Le programme s’est accompagné de formations
pour les opérateurs (ouvriers, maîtres d’œuvre…), les
décideurs locaux, les experts et les étudiants afin d’assurer le
caractère reproductible des résultats obtenus.
Une importante coopération a été nouée entre la France et la Chine sur le thème de l’efficacité énergétique dans la construction de logements (principalement à vocation sociale).
Depuis 1999, un programme d’actions a été mené avec les autorités centrales, provinciales et municipales chinoises, sous l’égide des Ministères français chargés de l’Environnement et des
Relations Economiques Extérieures, dans le cadre du Fonds Français pour l’Environnement Mondial.
Le programme a bénéficié d’un soutien de 3,28 millions d’euros, représentant moins de 3% du coût de la construction. Son objectif principal était la réalisation d’économies d’énergie
dans les logements. La conduite du programme a été assurée par l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) qui a coordonné, auprès des promoteurs et décideurs
chinois, un groupe d’experts et d’architectes français.
Les actions se sont concentrées sur trois provinces du Nord où les températures hivernales rigoureuses (jusqu’à - 40°C), entraînent des besoins de chauffage importants : le Heilongjiang,
le Liaoning et Beijing. A ce jour, ce sont 789 000 m 2 de logements économes en énergie qui ont ainsi été réalisés, permettant d’éviter chaque année l’émission de 44 000 tonnes de CO 2 .
Le programme a permis de réaliser une économie de 50 % des consommations énergétiques et d’améliorer le confort par rapport aux logements standards équivalents,
avec un surcoût de construction avoisinant les 7%.
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Le
Fonds Français pour l’Environnement Mondial
Le Fonds Français pour l’Environnement Mondial (FFEM) a été créé en 1994 par le gouvernement français, suite au Sommet de la Terre à Rio de Janeiro en
1992, pour favoriser la protection de l’environnement dans les pays en développement et en transition. Constitué initialement pour 4 ans, il a été reconduit à deux
reprises : la première fois en 1998 et la seconde en 2003.
Le FFEM est placé sous la tutelle des ministères chargés de l’Economie, des Affaires Etrangères, de l’Environnement, de la Recherche ainsi que de l’Agence
Française de Développement ; cette dernière en assure le secrétariat.
Le FFEM contribue sous forme de subventions, au financement de projets de développement durable ayant un impact significatif sur l’un des 4 grands
domaines de l’environnement mondial : la biodiversité, l’effet de serre, les eaux internationales, la couche d’ozone. Deux nouveaux thèmes sont également
éligibles depuis 2002 : la dégradation des sols incluant la désertification et le déboisement, les polluants organiques persistants.
Répartition géographique des projets*
Afrique sub-saharienne
Méditerranée
Asie
Amérique latine et Caraïbe
Europe centrale et orientale
Reste du monde
Répartition sectorielle des projets*
Effet de serre
Biodiversité
Mixtes
Eaux internationales
* entre 1994 et 2002
16 %
8 %
20 %
9%
4%
16 %
15 %
26 %
43 %
43 %
Le quartier de Taï Haï à Harbin Les
objectifs et la démarche
Les
objectifs
Le programme a été élaboré autour de
3 objectifs principaux :
- Réaliser des bâtiments économes
en énergie (au moins 50 % d’économies
réalisées pour le chauffage), afin de réduire
les émissions de gaz à effet de serre et
de diminuer l’impact sur la pollution à
l’échelle locale et régionale. Ces réalisations
doivent s’inscrire dans la réalité économique
chinoise sans entraîner de surcoûts
trop importants (surcoûts limités à
moins de 7 % du coût de construction).
- Favoriser la mise en application et
l’évolution des normes et réglementations
locales.
- Faciliter les transferts de technologies
permettant de pérenniser les économies
d’énergie dans la construction.

du programme
Une
démarche en 3 axes
Appliquer sur des opérations immobilières, à grande échelle, des techniques innovantes en matière d’efficacité énergétique des bâtiments.
Les propositions techniques faites aux promoteurs chinois ont ainsi porté sur la modification de l’orientation et de la position des bâtiments pour maximiser l’apport solaire, la modification
des plans des logements pour réduire les surfaces de murs extérieurs, la réduction des ponts thermiques, l’isolation des murs et de la toiture, l’étanchéité et l’isolation des fenêtres, ou
encore la distribution de chaleur et la régulation de la température et de la ventilation à l’intérieur des bâtiments.
Renforcer ou initier des partenariats techniques ou industriels.
Deux procédés français pour isoler les bâtiments sont actuellement à l’étude par les investisseurs chinois : des blocs de béton avec isolant incorporé (blocs RTH), ainsi que des briques
à alvéoles verticales. Plusieurs usines de production pourraient être réalisées en Chine.
Accompagner les différentes institutions locales (villes ou provinces) pour adapter le cadre réglementaire et les mécanismes d’incitation à la maîtrise de l’énergie dans la
construction. Plusieurs initiatives importantes ont pu être lancées : élaboration de normes techniques locales favorisant la maîtrise de l’énergie dans la construction ; amélioration
du système de certification des produits économes en énergie dans le bâtiment ; modification de la réglementation régionale de tarification du chauffage ; séminaires sur la
politique et les technologies d’économie d’énergie dans le bâtiment ; formation de jeunes architectes.
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D
es résultats diversifiés selon les projets
La Commission d’Etat Chinoise au Développement et au Plan a proposé au FFEM, au démarrage de la coopération, de travailler avec trois provinces
situées au Nord du pays (Heilongjiang, Liaoning, Beijing) ayant toutes des besoins importants en chauffage. Elles ont des conditions climatiques,
économiques et sociales différentes qui expliquent qu’elles ne sont pas confrontées aux mêmes difficultés. Aussi, les solutions techniques préconisées
et les résultats obtenus sont diversifiés d’une province à l’autre, dépendant du contexte et de l’appui des autorités locales.
Le quartier de Taï Haï à Harbin
Un programme, des projets, des
Le
quartier de Taï Haï à Harbin
C’est à Harbin, capitale de la province du Heilongjiang, que le programme a
connu ses premier succès. Après avoir été bien accueilli par les autorités
locales, le programme a permis de réaliser un quartier de logements
économes en énergie, le quartier de Taï Haï. Les mesures effectuées sur la
première tranche de 123 000 m 2 , livrée en 2001, démontrent qu’il est possible
de réduire de près de 50% la quantité d’énergie nécessaire en chauffage, pour
un surcoût à la construction n’excédant pas 5,7%. Deux autres tranches représentant
190 000 m 2 ont également été livrées depuis.
Les autorités locales ont sollicité les experts français concernant la modification
de la réglementation provinciale pour encourager les économies
d’énergie par une réduction de la tarification du chauffage dans les logements
économes en énergie.

ésultats
D
Projet «Sun Star City» à Beijing
eux programmes immobiliers de grande envergure à Beijing
Au sein de la plus grosse opération de logements sociaux de la ville de Beijing (capitale de la Chine), le
quartier de Tian Tong Yuan (8 millions de m 2 ), un ensemble immobilier de style architectural français,
représentant 280 000 m 2 , a été livré en 2003. Les modifications du plan masse et de la conception des
logements, l’isolation thermique, l’adjonction d’une régulation sur le chauffage, produisent plus de 50%
d’économies d’énergie.
Le projet « Sun Star City », de 2 millions de m 2 , est situé dans la ceinture verte, au nord de la capitale.
La construction sera réalisée de 2003 à 2007. Les experts et thermiciens français ont déjà apporté,
en 2003, leur savoir-faire sur l’architecture et le chauffage pour 150 000 m 2 de logements. Ce projet ouvre
des perspectives de coopération intéressantes dans le domaine de l’environnement urbain à l’échelle d’un
quartier (transports, déchets…).
Deux
opérations pilotes à Shenyang
Deux opérations pilotes ont été menées à Shenyang, capitale de la province du
Liaoning. Elles concernent deux ensembles immobiliers (46 000 m 2 ) et prouvent
aussi la capacité d’atteindre les objectifs de 50% d’économies d’énergie.
Construction de style architectural français à Beijing
Construction de style architectural français à Beijing
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Réunion de travail entre promoteurs et experts
Réussite : partenariats et transferts
Une
réussite fondée sur le partenariat
La réussite du programme est à la fois fondée sur le dynamisme des acteurs locaux et les relations de confiance
établies entre les différents acteurs chinois et français à tous les niveaux : autorités nationales, provinciales et
locales, partenaires techniques (instituts de conception, universités…) et industriels.
Le processus mis en place facilite les partenariats : pour chaque projet immobilier, une équipe française, composée
d’un architecte et d’un thermicien, travaille à partir d’un projet élaboré et financé par la partie chinoise. Ils
proposent des modifications, en évaluant leurs impacts sur les coûts de construction et sur la réduction des consommations
d’énergie.
Les promoteurs chinois, véritables chefs de projet, choisissent les propositions qu’ils souhaitent mettre en
œuvre dans les bâtiments qu’ils réalisent. L’architecte et le thermicien continuent à leur apporter un soutien technique
pendant la construction et jusqu’à la phase de commercialisation des logements. Une campagne de suivi des performances
est effectuée ensuite dans les logements habités pour vérifier la réalité des économies réalisées.

de savoir-faire durables
U
Chantier à Beijing
n transfert durable de savoir-faire et de technologies innovantes
Les
partenariats techniques et industriels
Ces partenariats initiés et développés dans le cadre de la coopération
portent sur quelques produits ayant une forte incidence
sur la consommation d’énergie dans les logements :
- briques à alvéoles verticales assurant une isolation répartie,
- blocs en béton avec isolant incorporé,
- enduits minces sur isolants collés,
- volets roulants et stores extérieurs,
- systèmes de ventilation naturelle assistée,
- canalisations de distribution de la chaleur,
- régulation du chauffage par sous-stations automatiques et
robinets thermostatiques.
L’un des principaux objectifs du programme est de favoriser l’appropriation et l’utilisation par les constructeurs et les promoteurs chinois, des nouvelles méthodes et
technologies permettant de réaliser des économies d’énergie. Le transfert durable de ces technologies s’illustre notamment par la création de nouveaux marchés de la
construction, l’implantation d’usines de production de nouveaux matériaux, la modification des réglementations concernant le bâtiment, le souhait des municipalités d’intégrer
l’efficacité énergétique dans leurs projets de réhabilitation de logements.
Afin d’assurer la prise en compte de ces nouvelles méthodes et technologies dans l’avenir, deux universités chinoises « Tsinghua » à Beijing et « Harbin Institute of Technology »
à Harbin ont développé, en coopération avec les experts français, des séminaires de formation pour les étudiants architectes.
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Grâce à la réussite du programme, aux
partenariats développés et à l’expérience
acquise sur le terrain par les acteurs
chinois, cette coopération est appelée à
s’élargir avec un soutien renouvelé du
FFEM.
Parmi les actions prioritaires à mener dans
le cadre d’une nouvelle coopération, on
peut citer : l’habitat rural, la réhabilitation
de logements anciens, l’amélioration du
confort d’été des logements pour réduire
les besoins de climatisation, la planification
urbaine et le management environnemental…
La Chine et la France ont su mettre en
commun leurs efforts pour progresser
vers un développement plus respectueux
de notre planète.
De futures perspectives de

développement
«S’inscrire dans une perspective de développement durable afin de répondre aux besoins du
présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs».

Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable
www.environnement.gouv.fr
Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie
Direction des Relations Economiques Extérieures
www.dree.org
Fonds Français pour l’Environnement Mondial
www.ffem.net
Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie
www.ademe.fr
Harbin
L’efficacité L’efficacité énergétique dans la construction en Chine
Réf. : 4931 Décembre 2003
Conception : E. Riche / Odyssée (+33 1 46 65 05 08) - Crédits photo : D. Riffet, E. Riche, Yazhong Liu, © ADEME / FFEM - Coordination éditoriale : A. Bernard et F. Clément, ADEME - 5 000 copies - Imprimé sur papier sans bois, sans chlore.