23ème édition de Fort en Jazz - Mairie de Francheville

Tigran Hamasyan 5tet
La Velle & Friends
Bernhoft
Sandra Nkaké
Kora Jazz Band
Paolo Fresu - Omar Sosa
Billy Cobham 4tet
Renaud Garcia Fons solo
«Roots africaines»
orTie l Dreisam l Chromb l
Anne Pacéo Triphase l Dana Leong solo l
Lionel Martin I Jean Méreu I Fred Roudet I
Arnaud Jourdy I
Fort en JAZZ
1er > 17 juin 2012
IRIS Francheville
www.fortenjazz.fr l 06 89 87 20 92
à
fdumas@ mairie-francheville69.fr
contact presse Françoise Dumas 04 72 16 35 68

SOMMAIRE
Éditos 3
Le Club des partenaires “Gilles Pardi” 5
23ÈME ÉDITION DE FORT EN JAZZ 7
NOUVEAUTES : 2 résonances de la Métropole entre Jazz à Vienne et Fort en Jazz 8
> Jazz, jour et nuit : l’exposition de Guy Le Querrec au Fort du Bruissin
> Tigran Hamasyan en résidence de création à l’IRIS de Francheville
LES CONCERTS A L’IRIS DE FRANCHEVILLE du 1er au 17 JUIN 15
> La programmation par soirée
> Fort en Jazz hors les murs
> Fort de son histoire
FORT PRATIQUE ! 47
> Fort en écoresponsabilité
> Tarifs, accès
> L’équipe
> Media pratique
Fort en JAZZ
1er > 17 juin 2012
IRIS Francheville

Fort en Jazz résonne !
Qui aurait cru que Fort en Jazz coopère avec Jazz à Vienne !
On évoque souvent l'impossibilité des festivals à échanger
car ils seraient concurrents. Associer David et Goliath est-ce
un combat impossible ou utopique ? Et si finalement, le Jazz
devenait une cause commune, une force fédératrice qui transcende
les différences culturelles et qui crée des
passerelles et de nouvelles dynamiques entre les territoires.
L'UNESCO vient de créer une «journée internationale du jazz» en
s'appuyant sur le fait que «chaque culture et chaque civilisation
sont tributaires des autres, la diversité constituant de
ce fait une source d’enrichissement et d’innovation pour l’humanité».
L’orchestre de jazz est considéré comme un
exemple de tolérance, de coopération,d'improvisation, et de
compréhension mutuelle. En outre, le jazz a fourni un des premiers
forums de liberté d'expression et d'autonomisation des
femmes.
La musique jazz a permis à de nombreuses femmes de
dépasser les rôles traditionnels imposés par la société. Elle a
également contribué à créer des emplois pour les femmes au
sein de l'industrie de la musique, en particulier en tant que
chanteuses. Avant les années 1920, presque toute la musique
populaire était exclusivement interprétée par des musiciens
hommes.
Et le mouvement continue...aussi à Fort en Jazz !
On pourra y découvrir des femmes artistes : La Velle, Sandra
Nkaké, Elodie Pasquier, Nora Kamm et bien sûre Anne Pacéo
à la batterie soutenue par l'équipe du festival qui oeuvre aux
côtés des artistes et les femmes y jouent pleinement leur rôle.
Je pense tout particulièrement à mes encore trop rares
collègues directrices de festivals de jazz, Denise Deronzier,
Présidente du Crest Jazz Vocal et Karin Zuber du Cully Jazz
Festival et également aux directeurs de festivals de jazz qui
m'ont accueilli dans le monde du jazz et tout particulièrement
Thierry Serrano, directeur du Festival A Vaulx Jazz et à notre
nouveau complice, Stéphane Kochoyan, Directeur de Jazz à
Vienne.
Francheville rayonne !
Peut-on être parent d'élève à Francheville, membre d'un
conseil de quartier, travailler à Lyon, être supporter des Verts
de Saint-Etienne, partir en week-end dans les vignobles de
Côte Rôtie et être un aficionado de jazz et
festivalier à Vienne et à Fort en Jazz ? Cette multiplicité et
cette richesse d'appartenance sont une réalité aujourd'hui ;
les collectivités évoluent progressivement pour prendre en
compte les échanges, les bassins de vie, de résidences, de
travail, de loisirs au sein de leur action publique. Francheville
participe activement à cette réflexion pour identifier les
rapprochements entre le Grand Lyon, la Ville et la Métropole
en cours de construction.
L'innovation, la créativité et la culture sont des symboles
forts de ces nouveaux échanges. La résonance
métropolitaine entre Jazz à Vienne et Fort en Jazz en
témoigne. Elle est basée sur les valeurs de coopération, de
dialogue, d'ouverture et de complémentarité.
L'exposition «Jazz, jour et nuit» de Guy Le Querrec au Fort
du Bruissin permet de remettre le lieu à l'affiche et en
connection avec le Jazz ; l'exposition sera ouverte durant
toute la durée des deux festivals et permettra de proposer
une autre interprétation de cette musique et de ses
musiciens, celle d'un photographe au coeur d'un site
patrimonial exceptionnel.
La résidence de création à l'IRIS de Francheville du jeune
pianiste prodige Tigran Hamasyan durant le festival Fort en
Jazz révèle l'engagement de la Ville, qui, depuis
plusieurs années accueille des musiciens en résidence pour
leur permettre de préparer leurs projets de créations. Le
partenariat avec Jazz à Vienne permet de mettre en
synergie cette résidence au coeur du parcours artistique du
pianiste, dont le chemin passe par Francheville, Vienne puis
les plus grands festivals internationaux de Jazz.
Francheville, à son échelle, participe de manière volontaire à
la construction de nouvelles coopérations territoriales
valorisant la diversité culturelle, le patrimoine, l'éducation
artistique, les échanges et le bien-être métropolitain.
Bon festival à toutes et à tous !
3
Valérie Brujas
Directrice du festival
et de la Régie Culturelle Fort du Bruissin
Adjoint délégué à la culture
Président de la Régie
Culturelle Fort du Bruissin
René Lambert
Maire de Francheville
éditos

4
Francheville

Le Festival «Fort en Jazz» organisé et
géré par la régie culturelle «Fort du
Bruissin» est soutenu par la commune
de Francheville qui est le premier partenaire
public. Le Département du Rhône,
la Région Rhône-Alpes et le Grand Lyon
figurent également parmi ceux-ci.
Dès l'origine du festival, des entreprises
privées ont souhaité apporter leur
concours à cette manifestation d'intérêt
général, afin de participer au développement
culturel de la commune et notamment
soutenir la création et la diffusion
du jazz.
L'ensemble des mécènes et parrains
sont regroupés au sein d'un groupe informel,
sans personnalité juridique, intitulé
«Le Club des Partenaires Gilles Pardi»,
nom de son fondateur. Il se développe en
2012 avec la création d’un «club des partenaires
particuliers et particulières» et la
mobilisation des commerçants de
Francheville, initiateurs d’animations
durant le festival.
A travers ce soutien, les partenaires affirment
leur intérêt pour l'environnement
culturel, social et territorial de la commune
de Francheville à laquelle ils souhaitent
associer fortement leur image.
«Notre club est à l'image de la programmation
du festival : éclectique !
Nous sommes partenaires publics ou privés,
grands groupes ou petits commerces,
Franchevillois ou Rhônalpins...
Nos motivations sont également très
diverses : amour du jazz pour les uns,
ancrage local pour d'autres, soutien à la
culture ou présence économique forte à
Francheville...
Il y a cependant une chose qui nous rassemble
: le plaisir de participer à l'aventure
de ce festival de qualité. C'est pour
nous un temps fort de l'année, auquel
nous sommes fiers de convier les personnes
qui comptent pour nos structures
: clients, partenaires, salariés, actionnaires...
L'équipe du festival nous surprend
chaque année avec des surprises dans la
programmation, les lieux, les évènements,
les publics. Mention spéciale
cette année pour les engagements pris
autour de l'éco-responsabilité de la manifestation.»
5
Le club des Partenaires
“Gilles Pardi”

7
©Sergine Laloux
© Caroline Pottier
© Roberto Cifarelli
© A. Castro
© Benjamin Collombel
© Fredjonny
© Alex Klesta
© Anton Antonov
© Vahan Stepanyan
23ème édition
de Fort en Jazz

La culture et le jazz, pour une métropole vivante et vibrante
En 2010, ViennAgglo a rejoint Saint-Étienne Métropole, le Grand Lyon, la communauté
d’Agglomération Porte de l’Isère (CAPI), dans une coopération innovante au sein du Pôle
Métropolitain initié un an plus tôt.
Ce nouvel espace de projet qui réunit près de 2 millions d’habitants et compte 1 million
d’emplois, et dont le but principal sera l’amélioration de la qualité de vie des citoyens se
donne l’opportunité de peser davantage dans une économie européenne et mondiale
organisée autour des grandes métropoles telles que Londres, Barcelone, Milan ou Berlin.
La culture est un domaine clairement identifié comme axe de la coopération des acteurs
de l’ensemble métropolitain afin de renforcer la synergie des événements, encourager les
échanges entre les acteurs culturels et les habitants de la métropole, favoriser le
sentiment d’appartenance à un même bassin de vie.
La promotion des grands événements culturels et la mise en place d'offres de tourisme
urbain valorisant le patrimoine commun et l'ouverture d'institutions culturelles sont des
actions prioritaires d'ores et déjà identifiées.
8
Le rapprochement entre “Fort en Jazz” et “Jazz à Vienne” se formalise de manière
assez “naturelle” car les deux événements ont des proximités avérées de différents
ordres : historiques et artistiques (les deux festivals ont décidé il y a plus de 20 ans pour
l'un et plus de 30 ans pour l'autre de mettre au coeur de leur projet artistique le jazz dans
toute sa diversité), territoriales (les festivals sont situés au sein de la métropole dans des
communes “vertes” qui présentent une qualité de leur environnement et le valorisent
dans une perspective de développement durable : Francheville est la commune la plus
boisée du Grand Lyon et Vienne s'inscrit au coeur du Pays viennois alliant qualité
environnementale en lien avec le développement d'une économie viticole et touristique),
les deux villes fédèrent leur image et leur identité autour du jazz, vecteur d'un
développement de l'économie créative, les événements valorisent le patrimoine
architectural (le théâtre antique de Vienne et le Fort du Bruissin de Francheville),
temporelles (les deux festivals débutent en juin – durant la première quinzaine de juin
pour Fort en Jazz et de fin juin à mi-juillet pour Jazz à Vienne), ils sont membres du
même réseau (ils adhèrent à la même plate-forme Jazz de la région “Jazz(s)ra”),
juridiques (les deux festivals sont gérés par des EPIC de type régie personnalisée
industrielle et commerciale).
Le projet de coopération a pour objectif de :
- développer les échanges artistiques entre les événements et créer un lien et une
continuité entre les projets artistiques des festivals par le soutien d'artistes dont le talent
et le potentiel sont identifiés et soutenus par leur direction artistique respective,
- valoriser, articuler et fédérer les complémentarités des différents sites,
équipements, potentiels et compétences de chaque territoire afin de proposer une offre
culturelle et artistique attractive et innovante.

Les nouveautés
2 résonances de la Métropole
entre Jazz à Vienne et Fort en Jazz

Guy Le Querrec est un maître de la photographie, membre de la prestigieuse agence Magnum
Photo, observateur privilégié des grands musiciens et grands moments du Jazz.
Pour la première fois dans la Métropole et en Rhône-Alpes, le Fort du Bruissin présente deux
de ses plus belles expositions sur le monde du jazz qu’il fréquente depuis les années 60 ;
«Jazz, jour et nuit», 55 photographies dévoilant la vie des plus grands musiciens de jazz et la
plus récente concernant exclusivement «Miles Davis». Le «griot» du jazz dont les photographies
sont une forme déterminante de la patrimonialisation du jazz tend un miroir à la famille
du jazz tout en lui proposant une narration singulière.
«Être jazz c’est avant tout une manière de vivre, de se promener sur le fil du hasard pour
attraper une étoile filante, une façon d’aller à la rencontre d’un imaginaire qui contient toujours
l’improvisation, la curiosité, qui oblige à écouter les autres, à les voir, à être disponible pour
mieux les raconter en manifestant sa propre poésie.» (Guy Le Querrec)
«Jazz, jour et nuit» est un des deux événements de coopération culturelle, avec la résidence
de Tigran Hamasyan, entre Jazz à Vienne et Fort en Jazz. Ils sont soutenus dans le cadre de
la résonance jazz du Pôle Métropolitain qui comprend le Grand Lyon, Saint-Étienne
Métropole, la Communauté d’Agglomération Portes de l’Isère (CAPI) et ViennAgglo.
Les expositions
«Miles Davis»
Cette exposition coproduite par la médiathèque Carré d’Art de Nîmes et le Festival «Jazz à
Nîmes» comprend 8 photographies majeures du musicien, prises à l’occasion de concerts.
Guy Le Querrec était encore amateur quand il photographia pour la première fois Miles Davis.
C’était le jeudi 1er octobre 1964, à la Salle Pleyel à Paris. Il va le retrouver à plusieurs reprises
dans son viseur, côté scène et côté coulisse (aéroports, hôtels, loges), notamment le jeudi 19
juillet 1984 au 9ème International Jazz Festival de Nîmes.
Miles Davis n’a pas échappé à son objectif, dont ses plus beaux portraits sont issus.
«Jazz, jour et nuit»
Cette exposition se présente comme une chronique régulière et dense du monde du jazz qu’il
fréquente depuis les années 1960 : Art Blakey, Miles Davis, Thelonious Monk... Elle est
construite suivant cinq thématiques : plaisir de jouer et les amis (complicité, jeux de scène,
être habité par le jazz), les musiciens en tournée (les aéroports et les gares, les bagages), les
répétitions (la solitude, le réglage des instruments, répéter n’importe où), la concentration
avant et pendant le concert (le stress, le soutien des amis), le concert (les formations, les lieux
et leur environnement).
En effet, ce qui intéresse Guy Le Querrec ce n’est pas simplement la musique mais aussi tout
ce qui se passe autour du musicien : le contexte, le décor... On voit ainsi transparaître le talent
de celui qui a su parfois se faire très discret pour saisir des instants de vie, faits parfois
d’inquiétude et de solitude, des instants partagés avec les amis ou emportés dans la frénésie
des concerts.
Commissaire : Andrea Rodriguez Novoa
L’exposition est réalisée en collaboration avec Magum Photos.
Remerciements à Stéphane Kochoyan, Directeur de l’EPIC Jazz à Vienne.
10
des rendez-vous inédits pour découvrir l’exposition :
Promenades musicales «jazz et photos» :
* le jour du vernissage : 11 mai 2012 à partir de 18h30 avec Lionel Martin (sax)
* visite combinée découverte du fort militaire avec une guide-conférencière + promenade
musicale dans le cadre de «Promenons-nous dans le Grand Lyon» en partenariat avec l’Office
du Tourisme du Grand Lyon : dimanche 10 juin avec Louis Sclavis (clarinettes), dimanche 1er
juillet avec Jean Méreu (trompette) de 15h à 17h (5 € - sur réservation au 04 72 77 69 69 soit
via www.monweekendalyon.com/visites)
* promenade musicale seule :
dimanche 10 juin à 17h avec Louis Sclavis (clarinettes), dimanche 1er juillet à 17h avec Jean
Méreu (trompette), dimanche 8 juillet à 15h et à 17h avec Fred Roudet (trompette) (gratuit –
sur réservation au 04 72 13 71 00)
pour les scolaires de Francheville avec Arnaud Jourdy (sax) les 24 mai et 4 juin.
Rencontre avec Guy Le Querrec samedi 12 mai à 15h30 au Fort du Bruissin et vendredi 15 juin à
14h30 au Fort du Bruissin (scolaire) et à la médiathèque de Francheville samedi 16 juin à
15h30.
Et le photos-concert «Roots Africaines» avec Christophe Marguet, Louis Sclavis et Henri Texier
samedi 16 juin à 20h30 à l’IRIS dans le cadre du Festival «Fort en Jazz».

© Guy Le Querrec / Miles Davis.
Festival «Jazz sur son 31». Toulouse. 1987
11
1ère résonance
samedi 12 mai > vendredi 13 juillet
Fort du Bruissin
Jazz, jour et nuit I Guy Le Querrec/Magnum Photos

De nombreuses villes de la Métropole ont tissé des liens avec l'Arménie. Plus de 60 000
français d’origine arménienne vivent aujourd’hui en région lyonnaise (sur quelques
500 000 en France). C’est à la suite du génocide de 1915 perpétré par les Turcs dans
l’Empire ottoman que les Arméniens rescapés vinrent s’installer en France, principalement
dans trois agglomérations : Marseille, Lyon et Paris. La métropole attira un grand
nombre de réfugiés à cause de sa situation géographique et des nombreuses entreprises
(textiles, chimiques...) en quête de main-d’œuvre. Edouard Herriot posa la première pierre
de l'église arménienne de Lyon le 26 juin 1954, en 1977 fut inaugurée la rue d’Arménie
à Lyon puis une école arménienne...
Accords, jumelages et échanges se sont multipliés dans toute l’agglomération. Décines
est jumelée avec Stepanavan, Villeurbanne avec Apovian, Lyon avec Erevan et Vienne
avec Goris.
Plusieurs monuments commémoratifs dédiés à la mémoire des victimes du génocide de
1915 ont été édifiés dans l’agglomération lyonnaise. Le plus ancien, celui de Décines
date de 1972. Une stèle existe à Meyzieu. En avril 2005, Villeurbanne inaugura son
Mémorial du génocide arménien. En 2006, ce fut au tour de Lyon, place Antonin-Poncet
avec l'inauguration du mémorial lyonnais.
Une résidence de création à l'IRIS de Francheville dans le pôle métropolitain, territoire et creuset
ouvert à l'innovation et à la créativité
L'accueil en résidence de création du Quintet de Tigran HAMASYAN à Francheville du 28
mai au 01 juin 2012 va lui permettre de préparer un nouvel opus qui devrait sortir en 2013
chez Universal. La résidence se conclura par un concert le 1er juin 2012 en prélude des
festivals “Fort en Jazz” et “Jazz à Vienne” permettant de présenter les premières notes
du prochain album “à chaud” l'attention du grand public. Du 4 au 9 juin : il enregistrera
son nouvel opus au studio de la Buissonne à Perle-les-Fontaines.
Le Quintet est composé d'Areni Agbabian – Vocals, Ben Wendel – Sax, Tigran Hamasyan
– Piano, Sam Minaie – Bass, Nate Wood – Batterie.
12
Fort en Jazz a d'ores et déjà accueilli Tigran Hamasyan en 2008 dans le cadre de ses
concerts “Avant-Sons”.
Une résidence qui s'inscrit en complémentarité d'un parcours artistique partant du pôle
métripolitain et s'exportant à l'international
Jazz à Vienne, porte en 2012 un coup de projecteur marqué sur cet artiste qui sera
présent tout au long de l'édition Jazz à Vienne 2012, tel un fil rouge :
- mardi 24 avril : Tigran Hamasyan à Paris dans le cadre de "Jazz à Vienne in Paris"
- samedi 26 mai : concert solo à l'Amphithéâtre de l'Opéra de Lyon dans le cadre de
“Jazz à Vienne in Lyon”
- du 4 juillet au 11 juillet : Tigran Hamasyan à Jazz à Vienne (théâtre antique, JazzMix,
Club de Minuit, Académie)
- Il sera promu à l'international via le programme “Nouveaux Talents” de l'International
Jazz Festival Organization (IJFO) dont fait partie Jazz à Vienne et qui regroupe seize des
plus grands festivals de jazz internationaux dont le Festival International de Jazz de
Montréal (Canada), Jazz à Juan, Antibes (France), North Sea Jazz Rotterdam (Pays-Bas),
London Jazz Festival (Grande-Bretagne).

© Vahan Stepanyan
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2ème résonance
lundi 28 mai > vendredi 1er juin
IRIS
Résidence de création I Tigran Hamasyan 5tet

15
15
Les concerts à l’IRIS
1 > 17 juin
La programmation par soirée

Tigran Hamasyan : piano I
Areni Agbadian : chant I
Ben Wendel : sax I
Sam Minaie : basse I
Nate Wood : batterie I
Une résonance de la Métropole entre Jazz à Vienne et Fort en Jazz
Ce concert ouvrira le festival “Fort en jazz” et conclura la résidence de création de Tigran HAMASYAN
5tet à Francheville pour la préparation de son nouvel album. Le monde du jazz est unanime pour
décrire Tigran Hamasyan comme un jeune prodige. Ses puissantes improvisations, mêlant jazz et
folklore arménien, donnent naissance à une musique caractérisée par son originalité et par sa volonté
de s’affranchir des signatures rythmiques habituelles.
16
Né en 1987 à Gyumri en Arménie, Tigran a
grandi dans une famille où la musique jouait
un rôle important. Encore tout bébé, le piano
était son jouet favori et à l’âge de trois ans, il
commençait à retrouver au piano des chansons
d’artistes pop. Très tôt, ses goûts en
matière de jazz ont été influencés par la
période fusion de Miles Davis puis aux
alentours de l’âge de 10 ans, lorsque sa
famille déménagea à Yerevan, il découvrit le
répertoire du jazz classique sous l’égide de
son professeur Vahag Hayrapetyan, qui avait
lui-même étudié avec Barry Harris.
Tigran s’intéressa de plus en plus au jazz et
rencontra de nombreux artistes américains
qui tournaient en Europe. Il commença à
remporter une série de concours pianistique,
notamment le prix de la prestigieuse
Thelonious Monk Jazz Piano Compétition en
2006 et la deuxième place au concours
international de jazz Martial Solal à Paris.
Avec sa famille, il déménagea à Los Angeles
où il commença à fréquenter le milieu jazz et
à nouer des liens avec des musiciens
comme le saxophoniste Ben Wendel et le
batteur Nate Wood qui continuent à jouer
avec lui aujourd’hui. Tigran conserva
cependant ses contacts en Europe ce qui
l’amena à enregistrer pour le label français
«Plus Loin».
La sortie de son premier album chez
Universal «A Fable» a conquis le coeur du
public.
La sortie de son prochain album est prévue
pour 2013 et c’est à l’IRIS de Francheville
qu’il le préparera avec ses musiciens
new-yorkais et le public pourra le découvrir
en avant-première à l’occasion de ce
concert inédit !

Vendredi 1er juin
22h00
Tigran Hamasyan Quintet
17

Elodie Pasquier : clarinette I
Greg Gensse : piano I
Lauréat 2012 du tremplin Jazz(s)ra
OrTie est un duo, un corps vibrant à deux têtes
seyantes. orTie s'ébranle, s'excite et s'unit dans la
diversité. orTie se compose, de roseau et d'ivoire.
orTie crie, orTie gratte, orTie pique, mais orTie
guérit aussi.
orTie cherche ses mots et trouve sa musique.
Ortie se compose de Grégoire Gensse :
pianiste, trompettiste, chanteur,
percussionniste, directeur artistique,
enseignant les musiques balinaises (Cité de
la Musique de Paris, conservatoire de
Voiron, Cirque Plume, Théâtre du Soleil), et
Elodie Pasquier : clarinettiste du trio "Singe"
(lauréate du Prix de soliste du Tremplin
Européen de Jazz d'Avignon 2009), du
"Libre Ensemble", du sextet de clarinettes
basses "Nadja". En tant que compositrice,
elle développe le trio "Manège à trois" aux
côtés de Denis Badault et Bruno Tocanne.
19
© Vahan Stepanyan
Vendredi 1er juin
1 ère partie I 20h30
Ortie

La Velle : chant I
Emil Snanyi : piano I
Sangoma Everett : batterie I
Christophe Lincontang : contrebasse I
Jean Toussaint : saxophones I
La grande chanteuse américaine de jazz, blues et gospel, aux quatre octaves, fait un retour surprenant
avec son dernier album «Special» composé de reprises jazz et de titres originaux signés La Velle,
Abdullah Ibrahim ou Sangoma Everett. Une voix au jeu intense mêlant sensualité et maturité.
20
Native de la région de Chicago, capitale du
blues et issue d’une famille de musiciens, La
Velle acquiert le socle de son style authentique
et sentimental en chantant du gospel.
Elle commence l’étude du piano dès l'âge de
4 ans. Elle étudie au Conservatoire National
de Chicago, reçoit une bourse d’étude de la
Fondation Ford et à 18 ans, elle sera diplômée
de la célèbre, Julliard Scool of Music.
Elle obtient un rôle de soprano dans
Madame Butterfly, puis elle joue Carmen et
La Tosca au Metropolitan Opera de New
York avant de se produire à La Scala de
Milan.
Sa voix exceptionnelle - elle couvre 4
octaves - lui ouvre alors les portes d'une
carrière d'artiste lyrique. La Velle décide
pourtant de se faire connaître comme
chanteuse de rhythm’n’blues et de jazz. Elle
est à l'affiche de la comédie musicale Hello
Dolly à Broadway, puis commence à
travailler dans les clubs et les piano-bars de
Chicago, New York, Los Angeles, Las Vegas.
Elle chante de la musique soul aux côtés de
Ray Charles, Joe Williams ou de Lou Rawls.
La pianiste et chanteuse participe aux shows
de Sammy Davis Jr ou de Steve Allen, puis
elle rejoint les grands orchestres jazz de
Lionel Hampton, Buddy Rich, Maynard
Ferguson ou Quincy Jones.
Elle s’installe en France en 1977 à Paris,
l'année de la sortie de son premier album
Winter’s Mind. En 1992, La Velle reçoit le titre
de Chevalier des Arts et des Lettres par Jack
Lang. Elle s'installe définitivement en Suisse
et dirige une chorale de gospel à Genève.

© Alex Klesta
Jeudi 7 juin
20h30
La Velle & Friends “Special”

Bernhoft : guitare I
22
Bernhoft, ça se voit autant que ça s'écoute. Seul en scène avec sa guitare et à l'aide de son looper,
machine à empiler les sons et les voix, cet homme-orchestre de 35 ans que l'on surnomme déjà le Keziah
Jones "norvégien" s'est fait connaître sur Internet. Un son venu du froid qui brise la glace avec la chaleur
de la pop, de la soul.
Bernhoft est bercé dès l’enfance par la mixité
des genres grâce à un père chanteur d’opéra
et une mère professeur de musique. Il écoute
beaucoup Prince ou Marvin Gaye et du gospel,
avant de former des groupes de heavy
métal. Cette richesse et cette diversité forgeront
sa personnalité. Après un premier album
ancré dans la soul de Curtis Mayfield et Stevie
Wonder, il devient petit à petit
«un groupe à lui tout seul».
Avec «Solidarity Breaks», son deuxième
album composé en solo à Oslo, le norvégien
nous offre de véritables bijoux pop soul
sublimés par des mélodies soul et funk 70’s et
servies par une voix suave modulée et
maîtrisée, digne des plus grands soulmen. Il y
démontre ses talents de poly-instrumentiste,
capable de jouer de tous les instruments, tout
en actionnant son sampler, et montrant une
gamme vocale qui semble illimitée. Ses
chansons se dévoilent comme le parfait véhicule
d’une voix incroyable, Bernhoft nous
prouve que l’homme-orchestre a surtout tout
de l’âme orchestre.

Vendredi 8 juin
22h00
Bernhoft

Nora Kamm : saxophone, flûte I
Zaza Desiderio : batterie I
Camille Thouvenot : piano I
Sélection 2012 du tremplin Jazz(s)ra
Une femme saxophoniste et flûtiste d'origine
allemande, un batteur brésilien et un pianiste
français qui ont décidé «à trois» et «ensemble»
de jouer du jazz, c'est «Dreisam» !
Dreisam n´est pas un Trio de Jazz
ordinaire. Les compositions du pianiste
français et de la saxophoniste allemande
font échos avec le jazz mais aussi avec le
folklore balkanique, la musique classique
et la musique pop. Le jeu puissant du
batteur brésilien apporte quant à lui énergie
et passion : deux caractéristiques
essentielles de ce trio. Ce n´est d’ailleurs
pas sans raison que le groupe s´appelle
"Dreisam" : rivière allemande qui traverse
Freiburg et lui confère douceur,
concordance des sons et harmonie des
couleurs…
25
© FREDJONNY
Vendredi 8 juin
1 ère partie I 20h30
Dreisam

Sandra Nkaké : chant I
Jerome Dru : flûtes I
Matthieu Ouaki : guitare I
Armel Dupas : clavier I
Kenny Ruby : basse I
Tibault Brandalise : batterie I
Concert-découverte à 10€ l Rencontre avec l’artiste à 22h
Sandra Nkaké s'est créé un univers poétique mêlant le jazz, la soul et le Rn&B. Cette artiste, auteur,
compositeur, interprète, est dotée d'une voix incroyable et d'un tempérament de feu.
Elle présentera son nouvel album de chansons «Nothing for Granted» entre énergie pop rock, feeling hip
hop et soul.
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Sandra Nkaké est née le 15 novembre 1973.
Elle a grandi entre Yaoundé, au Cameroun et
Paris. Fixée à Paris, à la Sorbonne où elle
veut devenir journaliste puis professeur
d’anglais mais elle ne la retient pas longtemps.
Elle commence alors une double
carrière de comédienne et de chanteuse
auprès de la troupe de Thomas Le Douarec,
de Pierre Pradinas, Lea Fazer, Alain Maratrat
et Phillys Roome, Praline Gay Para dans des
spectacles qui ont la particularité de mêler
théâtre et musique.
En 1996, elle participe au projet trip-hop
Ollano en compagnie d’Helena Noguerra.
Sa passion pour Prince lui fait rencontrer
Juan Rozoff. Elle collabore entre autres avec
Nouvelle Vague, Amp Fiddler, ou The
HeadHunters.
En 2008, elle décide de se consacrer à son
propre répertoire et sort son premier album
« Mansaadi ». L’enregistrement de cet opus
est dirigé par De La Soul, Macy Gray et
Erykah Badu. C’est désormais une artiste
dotée d’une voix incroyable aux multiples
couleurs, grave, puissante et fragile à la fois.
Entre voix d’opéra, folk songs ou écorchures
blues, elle promène sa voix pour nous faire
voyager à travers ses histoires. Après trois
ans de tournée dans toutes les salles de
France, aux clubs d’Afrique centrale,
au Mexique, au Brésil.
En 2009, en compagnie de Jacques Higelin,
Spleen et Rodolphe Burger, elle participe à
un disque «Les amoureux au ban public» qui
soutient une association de lutte contre les
expulsions de couples bi-nationaux dont
l’un des conjoints est en situation irrégulière.
Aujourd’hui, elle sort un nouvel
album «Nothing for Granted», entre énergie
soul, feeling pop rock et BO fictive. C'est un
album de chansons imaginées et
réalisées à la maison.
«Nothing For Granted» est un voyage tout
en voix, à travers l’énergie que ces
personnages déploient pour définir ou redéfinir
leur destin. Epique, poétique ou explosive
la musique se fait l’écho de leur for intérieur,
de leur cri de liberté. Sandra Nkaké a
écrit et composé cet album à quatre mains
avec son complice de longue date le flûtiste
et producteur Jî Drû.
Dans cet univers retro futuriste, les
arrangements sans faute et le groove imparable
dessinent sa vision de jeune femme,
de ses errances et de sa
renaissance.
(en accord avec Jazz à Vienne)

© benjamin collombel
27
Samedi 9 juin
20h00
Sandra Nkaké

Abdoulaye Diabaté : piano I
Yakhouba Sissokho : kora I
Moussa Sissokho : percussion I
Concert-découverte à 10€ l Rencontre avec les artistes à 21h.
C’est à l’Ouest de l’Afrique, à Dakar qu’est né le Kora Jazz Band un ensemble initié par le pianiste
Abdoulaye Diabaté qui allie tradition griotte et la note bleue. Ses compositions mettent en valeur la
kora, harpe-luth issue de la tradition mandingue comprenant 32 cordes. Un jazz ensoleillé tout en
délicatesse.
28
Le projet Kora jazz Trio est né d'une union de
trois musiciens : Abdoulaye Diabaté, Djeli
Moussa Diawara et Moussa Sissokho.
Abdoulaye Diabaté, chanteur et pianiste est
né au Mali en 1952. Il reçoit en 1994 le prix du
meilleur artiste malien. Moussa Sissokho est
l'un des grands maîtres percussionniste
ouest africains. Depuis les années 80, il a
accompagné les grandes figures de la scène
africaine et française et des artistes de
renommée internationale (Peter Gabriel, Dee
Dee Bridgewater, Claude Nougaro, Manu
Dibango, Jacques Higelin, Bernard
Lavilliers...) Djeli Moussa Diawara est un
musicien koriste, balafoniste et guitariste né
en Guinée en 1962. En 1983, il sort son
premier album « Yasimika » considéré
comme album référence en matière de
musique africaine. Il a développé une relation
très intime avec sa kora modèle unique de 32
cordes Djeli Moussa Diawara décide de se
consacrer à ses projets Solo ainsi Soriba
Kouyate rejoint le groupe, un nouveau projet
se crée le Kora Jazz Band. Ils enregistrent en
Août 2010 mais Soriba Kouyate décèdera
peu après cet enregistrement. Suite à ce
triste événement, Yakhouba Sissokho, grand
maître de la kora, habitué à confronter
l'instrument à différents styles (il a
notamment joué avec Erik Truffaz, Dee Dee
Brigwater, Lansine kouyate, J.P. Rykiel...)
intègre en 2011 le kora Jazz Band.

© A. Castro
29
Samedi 9 juin
22h00
Kora Jazz Band

Camille Durieux : piano, vocal I
Guillaume Gestin : batterie, vocal I
Lucas Hercberg : basse, vocal I
Antoine Mermet : sax, vocal I
Lauréat jeune public 2012 du tremplin Jazz(s)ra
Concert en plein air au théâtre de verdure
gratuit
Vous ne connaissez pas le Nu-Jazz /
Psychobilly ? Gros son, rock psychédélique,
machines, claviers, saxophones et voix ...
c'est chrombissant !
Quatuor à cordes, anche, 88 touches et
fûts, avec une prise au bout pour le brancher
à l’électricité. Rock sans guitare, jazz
à distorsion, ou musique de chambre capitonnée
à destination des adultes émotifs et
des enfants sauvages. La musique de
CHROMB! s’adresse plus au coeur qu’au
crâne, puisant ses influences tant dans
l'énergie new-yorkaise des John Zorn ou
Jim Black que des bizarreries seventies de
Can ou des Résidents, tout en assumant
un amour inconditionnel aux mélodies
entêtantes et addictives.
31
Samedi 9 juin
17h
Chromb

Paolo Fresu : trompette I
Omar Sosa : piano I
«Alma», ou «soul» en espagnol, est né de la rencontre fabuleuse entre le trompettiste italien Paolo
Fresu et le pianiste cubain, Omar Sosa. Ils conjuguent leur talent et virtuosité et délivrent une
musique qui mélange le jazz et la world music rehaussée de couleurs cubaines et méditerranéennes.
32
Paolo Fresu commence l’étude de la trompette
à l’âge de 11 ans et en 1980, il découvre le
jazz pour commencer son activité
professionnelle en 1982 en enregistrant pour
la RAI sous la direction du Maestro Bruno
Tommaso et en fréquentant les séminaires de
«Siena jazz». En 1984 il obtient son diplôme
de trompette au Conservatoire de Cagliari et
gagne les prix «RadioUno Jazz», «Musica
Jazz» et «RadioCorriere TV» de meilleur talent
du jazz italien. En 1990, il remporte le prix «Top
jazz» de la revue «Musica jazz» qui le reconnaît
comme meilleur musicien italien, meilleur
groupe (Paolo Fresu Quintet) et meilleur
disque (Prix «Arrigo Polillo» pour le disque
«Live in Montpellier»), en 1996 le prix de
meilleur musicien européen à l’ «Acadamie du
jazz» de Paris et le prestigieux «Django d’Or»
comme meilleur musicien de jazz européen et
en 2000, il est nominé pour le prix du meilleur
musicien international.
Depuis 1985, il enseigne comme Professeur
d’Education Musicale dans les séminaires de
musique les plus importants en Italie. Il a
également conduit plusieurs ‘Master classes’
et il a joué avec les plus importants noms de
la musique afro-américaine de ces 30
dernières années.
Il a enregistré plus de 350 disques parmi
lesquels une centaine sous son propre nom
ou en tant que leader et d’autres avec des
collaborations internationales souvent en
travaillant sur des projets «mixtes». En 2010, il
crée son propre label Tûk Music. Paolo Fresu
dirige le Festival «Time in Jazz» de Berchidda,
le festival de Bergamo, il est directeur artistique
et professeur des Séminaires de «jazz di
Nuoro». Il dirige l'association culturelle du
temps de Jazz à Berchidda.
Il a participé et est toujours actif dans une
multitude de projets multimédias collaborant
ainsi avec des acteurs, danseurs, peintres,
sculpteurs, poètes, écrivains et en écrivant
des musiques de film, documentaires,
spectacle de danse… Il est présent sur plus
de 200 concerts par an dans chaque partie du
globe. Il vit entre Paris, Bologne et la
Sardaigne.
Omar Sosa est né en 1965, à Cuba. Omar Sosa
entame dès l'âge de 5 ans une formation
musicale à l'Ecole Provinciale de Musique
locale jusqu'en 1977, avant de rejoindre
l'Ecole Nationale Musicale de la Havane pour
y étudier les percussions. En 1986, il crée un
premier groupe Tributo, qu'il amène en
tournée, pendant deux ans, à travers l'Angola,
le Nicaragua, le Congo ou l'Ethiopie, jusqu'au
moment où le chanteur cubain Vicente Feliu
fait appel à lui pour devenir son pianiste et
directeur artistique le temps d'un album,
Arteporetica.
Ce musicien féru de rencontres, de voyages
et de fusions musicales collabore avec de
nombreux artistes. En 1990, il monte une
seconde formation, Xl Talla Extra, en
collaboration avec la chanteuse Xiomara
Laugart et participe à la cérémonie de clôture
de l'Exposition Universelle de Séville.
En 1995, il rejoint en Espagne, le groupe Loan
Fussion. C'est toute cette variété
d'expériences musicales à travers le monde,
ainsi que son inspiration religieuse
omniprésente, qui mène Omar Sosa vers un
mélange de jazz, de musiques traditionnelles
caribéennes et urbaines.
En 1996, il enregistre son premier album solo
Omar Omar à San Francisco qui préfigure une
trilogie sur le thème des racines, Free Roots,
Spirit of the Roots, et Bembon. En 2001, Omar
Sosa sort l'album Prietos et en 2002, de
Sentir, où il utilise des voix et des instruments
traditionnels issus de la culture gnawa de
l'Afrique du Nord. En 2003, il sort son troisième
album solo, A New Life, dédié à son fils
nouveau-né.
En 2004, il sort «Pictures of Soul» avec le
percussionniste Adam Rudolph, Aleatoric
EFX, son quatrième enregistrement en solo,
ainsi que Mulatos. Ballads, en 2005, Live à FIP,
en 2006, Promise, en 2007, et enfin
Afreecanos, en 2008, viennent compléter
l'impressionnante discographie de ce pianiste
prolifique.
En 2010, son nouveau recueil «Ceremony»
arrangé et dirigé par Jacques Morelenbaum
est interprété par l'Orchestre Symphonique de
la NDR depuis Hambourg. Les compositions,
toutes de la main d'Omar Sosa, sont jouées
avec le bassiste mozambicain Childo Tomas
et ses compatriotes Marcos Ilukán aux
percussions et Julio Barreto à la batterie.

© Roberto Cifarelli
33
Mercredi 13 juin
20h30
Paolo Fresu Omar Sosa

Billy Cobham : batterie I
Jean-Marie Ecay : guitare I
Christophe Cravero : piano, violon I
Fifi Chayeb : basse I
Monstre sacré, génial et surdoué, Billy Cobham est considéré comme l'un des plus grand
batteur de jazz et tout particulièrement du jazz rock. Il a joué avec les plus grands : Miles
Davis, Georges Benson, McLaughlin, Carlos Santana... Il dévoilera son jeu « open handed
lead » et révélera sa technique, sa puissance, et sa précision.
34
Né en 1944 au Panama, il déménage aux
Etats-Unis enfant. William C. Cobham suit
les cours de l’High Scool of Music and Art de
New York où il étudie avec le trompettiste
Jimmy Owens, le bassiste Eddie Gomez et le
pianiste Larry Willis dont il sort diplômé en
1962.
Entre 1965 et 1968, il joue ensuite dans une
fanfare de l'armé américaine en tant que
trompettiste. Puis pendant un an, il rejoint le
groupe de Horace Silver. Il joue et enregistre
en même temps avec le saxophoniste,
l'organiste Shirley Scott et le guitariste
George Benson.
En jouant avec les Frères Brecker et le
guitariste John Abercrombie, Billy Cobham
s’intéresse alors au Jazz Fusion, qui
mélange des rythmes de jazz, de rock and
roll et de funk. Ensuite, c'est les années
Miles Davis où Billy Cobham définit son style
et aiguise sa virtuosité sous la direction d'un
des plus grands innovateurs du jazz.
Billy Cobham est également l’un des
premiers batteurs à jouer « open handed
lead », c’est-à-dire qu’il peut mener un
tempo de l’une ou l’autre main et qu’il peut
commencer ou finir avec les 2 mains
indifféremment (la plupart des batteurs
donne le tempo avec une seule main). Il fut
aussi l’un des premiers batteurs à jouer avec
3 (ou plus) grosses caisses et plusieurs
cymbales charleston.
En 1971, Billy fonde «Mahavishnu
Orchestra» avec le trompettiste Miles Davis
et le guitariste John Mc Laughlin, un groupe
de jazz fusion. En 1973, il commence sa
carrière solo avec enregistrement de
l'incontournable album “ Spectrum” . C'est
de ce véritable lexique de la fusion rythmique
que provient le titre « Stratus », samplé en
1991 pour «Safe from Harm » de Massive
Attack sur l'album Blue Lines. Il existe un
bon nombre d’albums solo de Billy Cobham
et il continue d’enregistrer, de donner des
concerts et d’enseigner.
Juste avant la dernière tournée du
Mahavishnu Orchestra, fin 1973, Billy
Cobham enregistre et se produit lors d’une
série de concerts avec le guitariste Carlos
Santana et John McLaughln.
Billy Cobham a été engagé par l'UNICEF en
1992 pour réaliser un projet musical de
plusieurs années avec des patients autistes
et les enfants des rues à Santos au Brésil.
En 2006, sort l’album Drum'n voice 2, un
retour au son du jazz funk des années 70
avec des invités comme Jan Hammer,
Buddy Miles, John Patitucci, Jeff Berlin,
Dominic Miller, Mike Lindup, Airto Moreira,
Frank Gambale, Brian Auger, Guy Barker et
le groupe Novecento.
Parmi les haut faits de la carrière de Billy
Cobham figure l'enregistrement Live at the
Greek en compagnie de Stanley Clarke,
Larry Carlton, Najee and Deron Johnson.
Rhino sort en 2001 le double album
«anthologie Rudiments », excellente clé pour
accéder à l'univers époustouflant de ce
musicien génial et surdoué.

© Anton Antonov
35
Jeudi 14 juin
22h00
Billy Cobham Quartet

Anne Pacéo : batterie I
Leonardo Montana : piano I
Stephane Kerecki : contrebasse I
Révélation jazz aux Victoires de la musique en 2011, Anne Pacéo, batteuse et leader déjà à 24 ans vient
présenter son dernier album “Empreintes” avec son trio, une idée rafraîchissante du trio classique.
© Anton Antonov
Née en 1984, Anne Pacéo passe les premières
années de sa vie en Côte d’Ivoire, bercée par
les percussions des grands maitres qui
répètent à côté de la maison familiale. C’est en
1994 qu’elle débutera la batterie, en France,
puis découvrira le jazz en 1998 avec Stéphane
Kochoyan au stage-festival «les enfants du
jazz de Barcelonnette». Dès 2000, elle
commence à se produire à travers toute la
France avec des groupes de funk, soul, jazz et
rock. Elle joue sur des scènes comme le
Café de la Danse, le Casino de Paris, le Zénith
de Paris et participe à ses premières
émissions radiophoniques au studio Charles
Trenet de Radio France pour l'émission «Jazz
sur le vif».
En 2003, elle fait la rencontre du batteur
Sunny Murray, qui sera son maître pendant un
an, puis elle rencontre le guitariste Christian
Escoudé et enregistre deux disques avec lui,
«Catalogne» et «Brassens».
En 2005, elle intègre le Conservatoire National
Supérieur de Musique de Paris au
département jazz. Elle étudie alors avec
Riccardo Del Fra, Dré Pallemaerts, Glenn
Ferris Hervé Sellin et François Thébèrge et
commence à se produire avec Riccardo Del
Fra. Elle obtiendra son prix avec la mention
«très bien».
En 2006, elle remporte le 1er prix de soliste
aux Trophées du Sunside, le prix jeune talent
du festival de Montauban ainsi que le premier
prix de groupe au tremplin du Festival de Jazz
à Saint Germain des Prés avec «Triphase».
En 2007 et 2008, elle se voit confier une
résidence mensuelle «carte blanche» au
célèbre club parisien «Le Duc des Lombards».
Elle en profitera pour inviter Henri Texier, Juien
Loureau, Rhoda Scott, Pierre De bethmann...
En 2008, elle sort son premier disque avec
Triphase, sur la label Laborie Jazz. Le disque
reçoit alors les honneurs de la critique et le
groupe est invité à jouer dans les plus grands
festivals et dans de nombreux pays. Elle
remporte avec ce dernier le Django d’Or
«nouveau talent» en 2009.
En 2010, elle est sélectionnée pour tenir la
batterie au sein de l’European jazz Orchestra
et elle sort son deuxième disque «empreintes»,
toujours sur le label Laborie Jazz et reçoit une
bourse d’écriture de la Sacem. Elle
remportera avec Triphase la Victoire du Jazz
prix Franck Tenot, catégorie «révélation» en
2011.
Ces dernières années, on a pu entendre Anne
avec Andy Emler, Laurent Dehors, Andy
Sheppard, Nicolas Folmer, Géraldine Laurent,
China Moses, Christian Escoudé, Dan Tepfer,
Alain Jean-Marie, Raphel Imbert, Sexto
Sentido, Melissa Laveaux, Stéphane
Kochoyan, Denis Colin, Philip Catherine,
Marcel Azzola, Jean-Marc Jaffet, Eric Le
Lann, Henri Texier, Riccardo Del Fra, Houston
Person, Nelson Veras, Sylvain Beuf, Elise
Caron, Stéphane Belmondo, Laurent De
Wilde, Pierre De Bethmann, Thomas Savy....
Jeudi 14 juin
1 ère partie I 20h30
Anne Pacéo Triphase
37

Renaud Garcia Fons : contrebasse I
D'origine catalane, Renaud Garcia Fons se présentera seul dans «les bras de sa belle» sur scène qui
n'est autre que son instrument de prédilection qu'il embrasse : la contrebasse...à cinq cordes. De
l'archet au pizzicato, toutes les techniques seront explorées avec une virtuosité et un sens mélodique
méditerranéen, son amour pour l'orient qui lui est singulier.
38
Renaud Garcia Fons affirme son amour
pour la musique dès l'age de cinq en
commençant l'apprentissage du piano et
de la guitare classique. Puis à l'âge de 16
ans, il s’initie à la contrebasse.« Ce fut là un
véritable coup de foudre » mentionne-t-il.
Parallèlement à un cursus d'étude
classique au conservatoire, il étudie la
contrebasse avec Franois Rabbath. Il lui
donnera une vision étendue des
possibilités de la contrebasse.
De 1987 à 1993, il intègre l'orchestre de
contrebasses et l'orchestre National de
Jazz dirigé par Claude Barthélémy.
Proche de la tradition flamenco qu'il étudie
et transpose à la contrebasse, il collabore
avec David Dorantes, Esperanza
Fernandez, Pedro Soler, Vicente Pradal,
Carmen Linares. Il continue ces rencontres
musicales dans la sphère des musiques du
monde avec Cheb Mami, Dhafer Youssef,
kudsi Erguner, Angélique Ionatos, Soriba
Kouyaté, le trio Chemirani...
En 2009, l'international Society of Bassists
lui décerne un Award de la performance
solo et en 2010, il obtient le prix Echo
Deutscher MuzikPreis Jazz du meilleur
instrumentiste international pour son
album « Linca del Sur ».
Sur la scène internationale, il joue avec ses
différentes formations dans les plus grands
Festivals de Jazz. En 2009, le festival de
Jazz de Montréal l'a notamment invité pour
une carte blanche de trois concerts.

© Caroline Pottier
Vendredi 15 juin
20h30
Renaud Garcia Fons solo

Dana Leong solo : violoncelle, trombone
40
Dana Leong est un compositeur, violoncelliste et tromboniste. Il fusionne le jazz, la musique
classique et la pop pour créer sa signature sonore. Il a travaillé avec Ray Charles, Barry White, Kanye
West, Wynton Marsalis, Bjork, Yoko Ono... Un jeune prodige à découvrir.
Dana Leong a grandi à San Francisco où il
commence ses études de piano enfant. Il a
écrit sa première composition à l'âge de 16
ans. Après le lycée, il déménage à New
York et entre à l'école de musique de
Manhattan où il étudie le violoncelle
classique et le trombone. Il a occupé des
postes à la fois comme interprète et de
compositeur avec les meilleurs artistes.
Il est à la tête de deux formations : Dana
Leong Trio et MILK&JADE.
Dana Leong Trio est un trio classique
influencé de pop et de jazz composé de
John Shannon à la guitare, DJ Icewater aux
platines. Avec son trio, ils seront les invités
vedettes de l'édition 2011 du festival « Blue
Note Jazz » à New York et ils se sont
produits également au festival Sleepless
Night Miami Beach en novembre 2011.
Et son quatuor, MILK&JADE, est à haute
énergie hip-hop et jazz. Il effectue une
tournée en Asie du Sud dans le cadre de
Jazz at Lincon Center et le département
d'état américain parrainé par the Road
Rhythm.

Vendredi 15 juin
22h00
Dana Leong solo
41

Guy Le Querrec : photographe, Leica I
Louis Sclavis : clarinette, saxophone soprano I
Henri Texier : contrebasse I
Christophe Marguet : batterie, guitare I
En écho à l'exposition de Guy Le Querrec au Fort du Bruissin, l'IRIS présentera « Roots Africaines »,
un « photo-concert » live où les photographies de Guy Le Querrec projetées sur un écran géant inspirent
les « cadors du jazz actuel » formé par Louis Sclavis, Chistophe Marguet et Henri Texier. Un
voyage en Afrique et une musique en perpétuel mouvement qui se nourrit de l'échange.
42
En 1990, Guy Maurette, créateur de "Jazz
sous les manguiers", devenu "la semaine du
jazz à Brazzaville", décide d’organiser une
tournée de musiciens français.
Guy le Querrec, qu’il connaît bien, lui suggère
alors de réunir trois cadors du jazz français
: Aldo Romano, Louis Sclavis et Henri Texier.
L’idée fait son chemin et les voilà bientôt partis
sur la route, pendant trois semaines, dans
six pays d’Afrique Centrale.
Pour conserver une mémoire de ces
moments et de cette formation originale, Guy
le Querrec et le trio ont pensé à un disque
accompagné d'un livret composé d'une cinquantaine
de photos des deux voyages. Cet
album, Carnet de routes, le premier de ce trio
exceptionnel, est paru en mai 1995 et comprend
des compositions originales de chacun
des trois artistes, écrites spécialement
pour ce trio. Il sera couronné d’un succès
extraordinaire.
Trois ans plus tard, les quatre compères décident
de renouveler l’expérience, en Afrique
du Sud et en Afrique de l’Est cette fois-ci. «Le
trio et le griot» comme on les surnomme, gravent
alors un second opus Suite Africaine,
accompagné d’un somptueux livret-photos.
Avec une grande
élégance et beaucoup d’humilité, ils nous
délivrent une musique forgée par des
ambiances des différents pays et nous
démontrent que leur musique en perpétuel
mouvement, se nourrit de l’échange.
Le 3ème album du trio Romano-Sclavis-
Texier African Flash Black vient de sortir. Au
menu, 13 pépites inspirées de 30 ans de
reportages photos de Guy Le Querrec à travers
l'Afrique.

43
Samedi 16 juin
20h30
«Roots africaines» photos-concert de G. Le Querrec, C. Marguet, L. Sclavis et H. Texier

Fort en Jazz renouvelle son partenariat avec les musiciens amateurs pour
clôturer le festival en beauté !
Plusieurs scènes seront ouvertes à toutes les expressions musicales pour le
bonheur du plus grand nombre : chanson, musique instrumentale, rock,
chorales...
44
Dimanche 17 juin
15h I 19h
Fête de la musique

LES JEUNES
AU COEUR DU FESTIVAL !
CA JAZZ A LA
MEDIATHEQUE
Fort en Jazz s'engage auprès des jeunes !
- un tarif d'entrée en baisse de 30% à 10 €
- visites gratuites de l'exposition de Guy Le Querrec au Fort du
Bruissin
(visites musicales et commentées, rencontres avec le photographe...)
- séances de découvertes des grands musiciens de jazz à la médiathèque
- concert gratuit de «Chromb», lauréat jeune public du tremplin 2012
Jazz(s)RA, samedi 9 juin, à 17 h, théâtre extérieur de l'IRIS
- de venir jouer le 17 juin avec leur groupe sur la scène de festival
- rencontre entre les collégiens et Anne Pacéo, Victoire de la Musique 2011.
Chromb!
9 juin I entrée libre l IRIS l 17h
FETE DE LA
MUSIQUE
17 juin de 15h à 19h.
Plusieurs scènes seront ouvertes à
toutes les expressions musicales :
chanson, musique instrumentale,
rock, chorales...
LES COMMERCES
ET LES MARCHES AUX
COULEURS DU JAZZ
Les acteurs économiques de la ville de
Francheville s'engagent en 2012 dans l'aventure
de Fort en Jazz ! Un concours de vitrine sur la
thématique du jazz, un quizz jazz permettant de
gagner des lots, des animations musicales
démontreront qu'économie et culture ont des
valeurs communes à partager : proximité,
emploi, qualité et créativité !
GRAND PRIX DE
FRANCE DE CLAQUE-
TTES JAZZ ET TROPHEE DE
LA VILLE
Organisé par l’Association Emmanuéli’Dance sous
l’égide de la Fédération Française de Danse Jazz /
International Dance Organization / CFDA
compétition sélective pour les championnats
d’Europe et du Monde.
Samedi 2 juin 2012 à l’IRIS - à partir de 14 h :
Qualificatins et à partir de 20h : Finales
Tarif : enfants 12€ - adultes 15€ - tables 20€
(Réservations au 06 62 24 29 43)
UN CAFE
OUVERT A TOUS !
Fort en Jazz c'est aussi la possibilité de
passer un moment convivial autour d'un
verre ou d'une assiette gourmande avant
les concerts, à l'entracte et après les concerts.
Ouvert à tous pendant les soirées avec la
retransmission en direct sur écran géant du
concert en "live".
Une autre façon de vivre Fort en Jazz !
PROMENADES
MUSICALES AU FORT DU BRUISSIN
- 11 mai 2012 à partir de 18h30 avec Lionel Martin (sax),
- visite combinée avec une découverte du fort du militaire
dans le cadre de «Promenons-nous dans le Grand Lyon» en
partenariat avec l’office du tourisme du Grand Lyon le dimanche
10 juin Louis Sclavis (clarinettes), le dimanche 1er juillet avec
Jean Méreu (trompette) de 15h à 17h
(5€ - sur réservation au 04 72 77 69 69 soit via www.monweekendalyon.com/visites)
- promenade musicale seule :
dimanche 10 juin à 17h avec Louis Sclavis (clarinettes),
dimanche 1er juillet à 17 h avec Jean Méreu (trompette),
dimanche 8 juillet à 15h et à 17h avec Fred Roudet
(trompette) (gratuit - sur réservation au 04 72 13 71 00)
- pour les scolaires de Francheville avec Arnaud
Jourdy (sax) jeudi 24 mai et
lundi 4 juin.
LA METROPOLE
FAIT RESONNER
FORT EN JAZZ ET JAZZ A VIENNE
Fort en Jazz et Jazz à Vienne se rapprochent en 2012
grâce au soutien de la Métropole qui comprend
ViennAgglo, Saint-Étienne Métropole, le Grand Lyon et la
communauté d'Agglomération Porte de l'Isère. Deux projets
sont présentés grâce à cette coopération innovante :
- l'exposition Guy Le Querrec au Fort du Bruissin
- Tigran Hamasyan 5tet en résidence de création à
Francheville.
A partir du 15 mai, la médiathèque de
Francheville vous révèle tous ses
secrets sur le jazz. Toute sa collection
de CD, DVD, livres...sera accessible
pour découvrir les artistes
programmés à Fort en Jazz et
tous les autres !
LE FORT DU
BRUISSIN DE NOUVEAU
A L'AFFICHE !
Guy Le Querrec est un maître de la photographie,
membre de la prestigieuse agence Magnum Photo,
observateur privilégié des grands musiciens et grands
moments du Jazz.
Pour la première fois dans la Métropole et en Rhône-Alpes,
le Fort du Bruissin présente deux de ses plus belles
expositions sur le monde du jazz qu’il fréquente depuis
les années 60 ; «Jazz, jour et nuit», 55 photographies
dévoilant la vie des plus grands musiciens de jazz
et la plus récente concernant exclusivement
«Miles Davis».
Fort en Jazz hors les murs !
Guy Le Querrec / Miles Davis.
Festival «Jazz sur son 31».Toulouse. 1987
45

46
Juillet 1990
Roger Lassalle Quartet /Yalta-Epistrophe-Shakok
JOE HUGHES/ Blues Café-Vocabilis
LOUIS SCLAVIS / Exane-Jacques Helmus quartet
Juillet 1991
Roger Lassalle groupe / Ces messieurs
ELIZABETH CAUMONT / Sellam et Renne quartet
CHRISTIAN VANDER / Cesar Allan-Nadege et
Almosnino
Juin 1992
INDIGO JAZZ VOCAL / Exane quartet-Onyx metro
MICHEL PORTAL / Laurence Olivier ensemble
Juin 1993
VOX OFFICE / Off Sept
SIXUN / Tourmaline-Anamorphose
DANIEL HUMAIR et HENRI TEXIER / Fabbiani,
Joule, Phillips
Juin 1994
Bolamola Group quartet / Olivier Angèle-Karim-
Ouistitis Group Quartet
Henri Texier/ « And his orchestra » trio-Debora
Seffer quartet
ERIC LELANN quintet / Trio Machado
Juin 1995
ORCHESTRE NATIONAL DE JAZZ / trio connivence
ALDO ROMANO et Paolo Fresu / Tohu Bohu
Quintet
ELIZABETH KONTOMANOU / Freeandise Quartet
Juin 1996
ROMANO-SCLAVIS-TEXIER / Ogoué Duo
LA COMPAGNIE LUBAT/ Aster
SIXUN / Agane group
Juin 1997
JEAN-MARIE MACHADO / Ogou le rouge
RICHARD GALLIANO / Collectif MU
ORCHESTRE NATIONAL DE JAZZ / Raulin
Chevillon et Corneloup
Juin 1998
Louis Winsberg Quintet /Bertrand Renaudin
MICHEL PORTAL QUARTET/ Claudia Solal
JEANNE LEE / Navigators quartet
Juin 1999
Jean Luc Ponty Quintet / Enrico Rava Quintet
PRYSM
DIDIER LOCKWOOD
LA MARMITE INFERNALE
Juin 2000
MICHEL PORTAL-RICHARD GALLIANO
MANU DI BANGO
STEPHANO DI BATTISTA / Moutin Réunion et
Sylvain Boeuf
Juin 2001
LIZ MC COMB
ARTHUR H / Jacques Helmus Group Quintet
PAOLO FRESU /Thierry Maillard
Juin 2002
ALDO ROMANO / Christophe Metra Quinte David
Linx / ◊Lionel Martin trio
RICHARD GALLIANO-EDDY LOUIS
Juin 2003
DIDIER LOCKWOOD / Hooman
ERIK TRUFFAZ / David Bressat new quintet
NO JAZZ / Lo
NICOLAS GENEST / Yves Perrin Naive! Quartet
invite M.X
Juin 2004
TRIO ROSENBERG / Jacky Mallerey Quartet
LAURENT DE WILDE /Sayag jazz machine
JEAN MARIE MACHADO /Dimitri Naïditch
Juin 2005
TANIA MARIA / Joachim Expert Quintet
MAGMA / Elvire
ARFI
Juin 2006
Martial SOLAL
BUMCELLO / Neo
ARFI / Les Emeudroïdes
Juin 2007
STACEY KENT / Big Bang label équipe
ERIK TRUFFAZ Quartet invite Ed Harcourt et Nya /
L'arbre à trois têtes
Le “Nouveau TRIO GITAN” DE CHRISTIAN
Escoudé invite Marcel Azzola / Docteur Lester
Juin 2008
Doodlin’
JEAN JACQUES MILTEAU /S Horton trio
INCOGNITO / blinks
HOCUS POCUS / Dialect Music
Fête de la musique /Pink Petticoat
Juin 2009
TRIO ROSENBERG
DJ Click / Amrat Hussein Trio / Duo Lionel Martin
& Emmanuel Scarpa
ROBIN MCKELLE / N’Relax
BLACK VOICES
CHRISTIAN VANDER QUARTET / JB Hadrot Trio
ORQUESTRA DO FUBA / Conjunto Jacaré
Juin 2010
AVISHAI COHEN
TÉREZ MONTCALM / Francheville Jazz Orchestra
B. SISSOKO & V. SEGAL/ Ukandanz feat A. Guèbrèyès
DJ INCONTROL
Le Jeune Peuple Orchestr’Alpes invite Christophe
MONNIOT
MOUTIN Réunion Quartet / Trio DuLaBo
IBRAHIM MAALOUF Quintet / Franck Woeste Trio
STACEY KENT
YARON HERMAN
Juin 2011
INCOGNITO
GIOVANNI MIRABASSI / Bigre !
ERIK TRUFFAZ QUARTET / Yom
RICHARD GALLIANO / ARFI
NGUYÊN LÊ / Bastien Brison Trio
LAURENT DE WILDE & OTTISTO 23
DAVID MURRAY CUBAN ENSEMBLE / Collective
New Dreams
CHINA MOSES & RAPHAEL LEMONNIER
Fort de son histoire

Fort pratique !
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Conscient des enjeux liés à la préservation de l'environnement au service de l'épanouissement de
l'homme et en écho au plan climat mis en place par la Ville de Francheville, le Festival poursuit
ses efforts dans une logique de développement durable.
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Les engagements du festival seront les suivants :
● le public sera sensibilisé au co-voiturage et à l'usage des transports en commun,
● la vente de produits et boissons locales seront proposées en majorité au bar du
festival, les repas proposés au public et aux artistes seront confectionnés majoritairement
avec des produits de de producteurs de la région,
● des partenariats avec des associations d'insertions locales pour le personnel du
festival et l'accueil de publics en difficultés (culture pour tous) seront noués,
● l'utilisation de papier sera limitée afin de réduire les déchets et les impressions
des dépliants se feront sur papier PEFC et l'encre utilisée sera labellisée «Imprim'vert».
Fort en éco-responsabilité !

tarifs
Tarif normal : 25,00 €
Tarif réduit : 20,00 €
Tarif super réduit : 10,00 €
Gratuité : Chromb le 9 juin à 17h
et fête de la musique le 17 juin
les tarifs réduits et super réduits sont accordés sur
présentation de justificatifs à jour et s’appliquent :
- pour le tarif réduit : aux adhérents des associations
franchevilloises, aux élèves de l’école de musique de
Francheville et leurs parents, aux adhérents du
Comité des Oeuvres Sociales de la Mairie, aux plus
de 70 ans, aux groupes de plus de 10 personnes,
aux adhérents de la FNAC, aux membres et CE des
entreprises partenaires du festival.
- pour le tarif super réduit : aux demandeurs d’emploi
et bénéficiaires du RSA, jeunes de moins de 26 ans,
enfants et concert-rencontre de Sandra Nkaké et de
Kora Jazz band.
Formule fidélité :
- au tarif normal : 45€ (tarif normal+tarif réduit) pour
les 2 soirées. 10€ la soirée supplémentaire
- au tarif réduit : 30€ (tarif réduit+tarif super réduit)
pour les 2 soirées. 10€ la soirée supplémentaire
préventes
Fnac, Carrefour, Géant, Magasins U, Intermarché,
www.fnac.com www.carrefour.fr, www.francebillet.com
- 0 892 68 36 22 (0,34€ TTC/min),
Auchan - Cora - Cultura - E. Leclerc - Virgin
Mégastore - Le Progrès, www.ticketnet.fr - 0 892
390 100 (0.34 € TTC/min), Mairie de Francheville et
IRIS (à partir du 9 mai)
horaires
accueil à partir de 18h30 I bar et restauration
légère sur place I toute entrée pourra être refusée
après le début du concert
infos
06 89 87 20 92 / www.fortenjazz.fr
accès IRIS
en bus : depuis Lyon, place Bellecour : bus C20E à
destination uniquement du terminus de
Francheville Findez (et non Chantegrillet), arrêt
Gare de Francheville
en voiture : direction Hôtel de Ville puis flèchage
IRIS - Fort en Jazz
covoiturage : "www.covoiturage-pour-sortir.fr"
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Tarifs accès

Nouveau : Informations en ligne
Une page media est réservée aux journalistes sur le site internet www.fortenjazz.fr.
Vous pouvez accéder à toutes les informations concernant le festival, dossiers et communiqués
de presse en libre téléchargement. Les visuels sont disponibles sur demande auprès du
service presse.
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Comment obtenir une accréditation ?
L'accréditation presse et photographe est réservée aux professionnels justifiant d'une appartenance
à une rédaction ou agence. L'accréditation est téléchargeable sur la page média du
site internet et peut vous être envoyée sur simple demande. La confirmation d'accréditation
sera communiquée au plus tard le 25 mai 2012 en fonction du nombre de demandes et des
accords avec les artistes.
Il est entendu que les journalistes ou photographes se présentant à l'entrée de la salle de
concerts sans demandes préalables ne peuvent être pris en compte que dans la limite des
possibilités.
Comment obtenir une interview avec un artiste ?
Sur simple demande préalable auprès du service presse afin d'identifier le moment le plus
approprié (avant ou après les balances ou après le concert).
Contact
Françoise Dumas
04 78 59 02 66 I fdumas@mairie-francheville69.fr
Média pratique

©Pascal Derathé
Sous le haut patronnage de
René Lambert, Maire de Francheville
et de l’Adjoint délégué à la Culture
et Président de la régie culturelle Fort du Bruissin
Directrice/programmatrice-Valérie Brujas | Administrateur-Christophe Moussé | Assistante
administrative-Corinne Aubert | Directrice de la Communication-Françoise Dumas |
Directrice de Cabinet-Jacqueline Lebrun | Directeur de la médiathèque-Xavier Hervot |
Responsable multimédia et supports numériques–Céline Pichun I Intervenante musicale-
Lucile Droguet | Graphiste et accueil artistes-Léonie Lamiral | Régisseur Général-Alain
Boissin | Régisseurs son et lumière-Philippe Charpenel, Romain Plantier assistés de
Vincent Desmures, Julien d'Agostino, Nicolas Roulet et Radouane Younsi et Fabien
Lauton | Régisseur de l'exposition-Vincent Desmures | accueil des publics-Delphine
Baudras | Comptable-Béatrice Chantre | stagiaire-Laure Brouillard, Audrey Fuchez |
Responsable sécurité-Thierry Bouscarle | Aménagement du site par les équipes de
Service techniques de Francheville I Agents d’entretien-Saïd Benadda, Georges Laura,
Cédric Ghezzal
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L’équipe