Janvier - U3A

Janvier - Février 2010
Molière
« Pôve vî francès » page 14
Université du 3 e âge de LIÈGE
Avenue Joseph Prévers, 27 - 4020 Liège
Tel : 04/370.18.01 - e-mail : u3a@skynet.be
Fax : 04/370.18.30 - Compte ING : 340-0150130-12
Edit. resp. JC. Lefebvre - Av. J. Prévers, 27 - 4020 Liège

Sommaire - Janvier-Février 2010
Rapport moral 2008 - 2009 p. 03
Bilan 2008 - 2009 p. 07
Conférence généalogie p.08
Conférence : P-P RUBENS p. 09
Voyage à CUBA p. 10
Voyages culturels p. 11
"Pôve vî francès" p. 14
Marches Darras … p. 17
Rubrique du Randonneur p. 20
Sciences et nature … p. 23
Danses … p. 25
Vins de primeur … p. 26
Conversation avec … p. 27
Bénévolat p. 34
Collecte OXFAM p. 35
Maroc autrement p. 36
Eco-conduite … p. 37
De l'olivier à l'huile … p. 39
Prochaine parution du périodique
Les articles pour le prochain périodique, parution début mars, doivent
parvenir au secrétariat pour le vendredi 29 janvier 2010.
(Délai ultime)
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RAPPORT MORAL 2008-2009
A
u lu des bilans, je devrais être un président heureux et serein.
Nous ne connaissons pas la crise financière tant redoutée et le
nombre de nos membres ne cesse d’augmenter au point que le
cap des 3.000 est envisageable pour les années qui viennent…Et
pourtant, je reste un perpétuel perfectionniste et considère qu’il y a encore
tant à faire pour améliorer confort et bien-être au sein de notre ASBL.
Positivons donc ! De très nombreux membres nous ont rejoints malgré
la (faible) hausse de nos cotisations portées à 40 euros pour l’exercice qui
a débuté au 1 er juillet dernier. Interrogeons-nous cependant sur les raisons
qui ont poussé plusieurs centaine d’anciens à nous quitter. Ce sera le travail
que nous voulons entreprendre tout au long de cet exercice en multipliant
les rencontres avec nos membres tant anciens que nouveaux. Le bât
blesse-t-il quelque part ? Investir, oui, multiplier les activités et cours, oui,
mais il ne faut pas que cela se résume à un simple transfert d’une activité à
une autre. Nous ouvrons un cours de mandarin, un cours d’art chinois et un
cours d’histoire de la musique NON classique tandis que d’autres cours se
dédoublent, démontrant l’intérêt ciblé de nos membres vers des cours et
activités bien déterminés. Je pense sincèrement que nous disposons de
maîtres doués et accessibles, à même de fidéliser ce que je n’oserais appeler
leur « clientèle ». Il convient ici de rappeler que ceux qui fréquentent nos
locaux sont avant tout des membres de l’U3A et non les élèves d’un tel ou
une telle. C’est l’U3A qui investit et permet l’ouverture de nouveaux locaux
dont bénéficient leurs occupants… Cela crée un devoir de coopération,
d’implication et de collaboration de tous, tant membres que chargés de
cours, quel que soit leur horizon, si nous voulons qu’une structure comme
la nôtre persiste encore longtemps.
Positivons donc ! Nous devons nous féliciter de l’entrée de mandataires
communaux dans notre assemblée générale et dans notre conseil d’administration.
Les échevinats des Services Sociaux et de l’Instruction ainsi
que le Marché de Liège seront dorénavant représentés. Ils sont prêts à
nous aider au mieux de leurs moyens. Le CPAS continue à nous envoyer
une technicienne de surface, ce dont nous devons nous louer, car le recours
aux firmes privées de nettoyage s’est avéré dispendieux. Heureusement,
grâce à une intervention auprès de la Ministre Laanan, >>>
3

nous avons pu obtenir le maintien des subsides que nous recevions
via l’AFUTAB, et ce pendant une durée de trois ans à charge pour nous de
démontrer que nous le valons bien et que nous nous insérons dans le cadre
légal de l’Education Permanente. Nous sommes donc assurés d’une rentrée
de 10.000 euros annuels pendant cette période de transition. Cette allocation
en subsides nous permet de compenser le fait que nous devons
maintenant engager 2 personnes à mi-temps pour le service de la cafétéria
par le système
« Activa ». Seule ombre
au tableau, les ris-
nos achats de parts de coopérateurs
Dans cinq ans, nous serons libérés de
tournes sur les lois sociales
accordées dans de nos investissements bancaires.
et
ce cadre ne sont octroyées
que pour une durée limite de trois ans.
Depuis le 1 er janvier 2008, nous sommes assujettis à la TVA parce que
c’est une obligation pour toutes les ASBL ayant des activités non inhérentes
à leurs activités propres. La cafétéria en subit évidemment le premier
contrecoup. Nos cotisations sont frappées également d’une TVA de 6% sur
10% des perceptions effectives. C’est également le cas pour les bénéfices
réalisés lors des excursions et voyages (21%). Par contre, cela nous permet
de déduire 60% du montant de la TVA sur l’ensemble des matières premières
achetées hors cafeteria (secrétariat surtout) ainsi que sur les travaux
et investissements, sur les factures d’entretien et de maintenance
(chauffage, électricité…). Au total, nous sommes donc gagnants.
Vous constaterez que nos recettes sont globalement en baisse d’environ
6.000 euros.
• Les cotisations sont stables avec 93.765 euros (malgré la TVA
perçue)
• Les recettes de la cafétéria sont en recul, 2.300 euros, d’une
part du fait de l’engagement de la deuxième activa, depuis le
refus de nous octroyer les chèques ALPEM, d’autre part que les
règlements de l’AFSCA nous imposent le service des boissons
en petit
conditionnement et que les recettes sont amputées de la TVA
de 21%. La fréquentation ne semble donc pas devoir être mise
en cause. La rentabilité a donc encore chuté et se situe >>>
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à 2.51 contre 2.65 en 2008 et 2.80 en 2007. Nous refusons
cependant à abandonner le service au comptoir dans un
souci de convivialité qui serait perdu avec les machines en self
service. Nous insistons encore et toujours pour que les temps
de pauses intercours soient suffisamment décalés pour éviter
les longues files au café.
• Les voyages ont vu leur rendement baisser de moitié, surtout
depuis que nous ne considérons plus comme tels que les voyages,
excursions et marches organisés par l’U3A elle-même.
>>> Les seuls voyages U3A ont été ceux de Jordanie et
de Paris, ce dernier apparaissant déficitaire suite à un oubli
d’incorporation de la commission U3A.
• Les participations aux frais internes par le biais d’activités
(conférences, concerts…) de voyages « privés » organisés par
les titulaires de cours et activités, voire de ristournes sur les
participations reçues, compensent en partie le déficit de voyages…
Sur l’ensemble des deux postes, nous perdons cependant
près de 4.000 euros.
• Nous comptons sur le maintien des subsides et surtout sur la
participation aux frais via diverses organisations internes ou externes.
Remarquons que, pour la première fois, la photocopieuse
n’est plus un poste déficitaire, suite à la révision du
montant des frais de leasing et d’un usage plus intensif.
Tout ce bilan justifie à nos yeux le port de la cotisation à 40 euros.
Positivons donc ! Notre exercice se termine avec un bénéfice net de
30.000 euros. Mais nous avons été économes et nos dépenses ont fortement
diminué, passant de 174.000 à 124.000 euros. Il est vrai que nous
avons été modestes dans nos investissements, un peu moins de 30.000
euros pour l’exercice (voir annexe). Il nous faut un bas de laine important
car l’exercice actuel s’avérera plus pénible : rénovation de l’escalier principal,
analyse de toute l’installation électrique ainsi que du chauffage…Et surtout
le marquage du parking qui est réellement le point le plus sensible par
la faute de comportements peu civiques de certains qui s’approprient des
emplacements disproportionnés. Nous avons renoncé à la diplomatie pour
convaincre les rebelles du bon parcage : bientôt des lignes blanches seront
tracées délimitant des emplacements adaptés. N’oubliez jamais que ce parking
est gratuit mais que nous n’en avons que la jouissance, >>>
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qui peut nous être retirée sans préavis si les incivilités se poursuivent !
Finalement, nous comptons nous attaquer à notre monstre du Loch Ness,
l’ancienne conciergerie que nous remettrons en état en 2 ou 3 étapes pour
la transformer en un nouvel auditoire.
Il est par ailleurs fondamental de savourer le fait que, dans cinq ans,
nous serons libérés de nos achats de parts de coopérateurs (5 500 000
francs) et de nos investissements bancaires (4 500 000 francs de l’époque),
tous les deux contractés pour une durée de 15 ans, échéant en 2015. Il est
réconfortant de constater que le 10 années écoulées n’ont malgré tout pas
menacé notre équilibre financier. En 2015, nous serons sur le « velours »
pour des investissements d’un autre ordre de grandeur.
Les économies ont également porté sur les frais de chauffage.
J’espère, pour terminer, que vous avez tous apprécié la rénovation de notre
bulletin qui a perdu ses couleurs ternes d’autrefois.
J.C. Lefebvre
Président
BONNE ANNÉE 2010
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Bilan 2008 - 2009
RECETTES
DEPENSES
BATIMENTGARDIEN 4 202.92 €
COTISATIONS 93 765.00 € LOCATIONS 1 681.00 €
ENTRETIEN 8 058.83 €
CAFETARIA PRODUITS 774.44 €
ventes 59 059.05 € 2.51 COOPERATEURS 9 089.44 €
achats marchandises -23 467.29 € marge brute materiel 2 184.09 €
divers -1 405.00 € Chauffage 12 864.32 €
Electricité 6 059.94 €
personnel alpem 6 188.00 € Eau 1 997.54 €
déplact -259.50 € Postes 757.10 €
BRUT -16 609.09 € Téléphone 1 459.61 €
ONEM 2 500.00 € sub activa Déchets 936.89 €
pécule -1 305.74 € Banksys 720.06 €
24 700.43 € web 292.19 €
51 078.37 €
voyages Paris -169.00 € BUREAU Trickels 5 975.68 €
Jordanie 5 920.35 € comptable 2 584.00 €
Autres 1 894.00 € securex 1 386.85 €
Marches 3 134.38 € bureau 2 237.73 €
10 779.73 € assurances 13 923.06 €
publicité 2 414.97 €
Divers Subsides 14 850.00 € représentation 1 343.41 €
PAF 9 176.36 € 29 865.70 €
Pub BANQUE invest 11 541.03 €
Intérêts intérets 1 066.89 €
festiv 1 111.94 € 12 607.92 €
25 138.30 € invest renovation 4 251.00 €
EGP 7 520.66 €
photoc -22.65 € Mossay 1 883.58 €
Betonresine 13 410.35 €
cafeteria 932.43 €
154 360.81 € Thiry 1 236.84 €
Rigo 500.00 €
29 734.86 €
TVA 732.26 €
SOLDE EXERCICE 2008 30 341.70 €
124 019.11 €
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Généalogie
Paléographie
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Voyage de 14 jours : découverte d’une île qui touche le cœur et l’esprit.
Terre de culture baignée d’histoire, Cuba offre, par ailleurs, des paysages
d’une variété sans égale.
Nous parcourrons l’île d’est en
ouest, nous découvrirons son passé,
son présent, ses richesses nationales
au rythme de la salsa et du
reggae.
Quand ? Du 28 octobre au 11 novembre 2010
Un dossier est à votre disposition auprès de
M-P Donay, professeur d’histoire universelle (04/264 54 18)
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Voyages Culturels
Organisées par Bernard SOHET, professeur d’U3A en Histoire de l’art
ESSEN 27 FEVRIER 2010
sous le charme de Claude Monet
Prix : 62 €
En 2010, c’est Essen qui a le privilège d’être la capitale de l’Europe. Ville
du bassin de la Ruhr, elle doit sa richesse à son industrie. C’est pour cela que les
riches propriétaires industriels ont rassemblés des collections fabuleuses dans
toutes les formes d’art. Le musée Von der Heydt rassemble des peintures allant
du XVIe au XXe siècle. Mais le grand événement de ce début d’année, c’est une
exposition consacrée à Monet. Une grande rétrospective montrant l’évolution de
l’art en comparaison de ses contemporains : Boudin, Manet, Renoir, Cézanne,…
La cathédrale d’Essen possède un fabuleux trésor d’orfèvrerie. C’est l’occasion
par ses œuvres d’évoquer le passé glorieux de la cité de la Ruhr.
Visites : l’exposition de Claude Monet, du vieux centre d’Essen et de sa
cathédrale.
Départ de Bruxelles à 8h et de Liège à 9h10.
Programme sur demande au : 04.252.44.82 ou reg-arts@skynet.be
BONN 20 MARS 2010
C’est BYZANCE !
Prix : 60 €
Des objets somptueux nous font entrer
dans l’histoire, l’archéologie et l’art de l’Empire byzantin. L’exposition offre un
vaste aperçu de ce que fut le millénaire byzantin, de la fondation de Constantinople
par Constantin le Grand en 324 à la conquête par les Ottomans en 1453.
Plus de 400 prêts en provenance de musées européens et américains –
splendides objets en ivoire, icônes et manuscrits, fragments architecturaux,
sculptures et objets d’usage courant – sont replacés dans leur environnement
d’origine et donnent au visiteur une idée de ce que vivre à Byzance signifiait.
Le château d’Augustusburg est un exemple exceptionnel de l’architecture
des châteaux du XVIIIe siècle. Il représente les premières créations du style rococo
en Allemagne et servit de modèle pendant un demi-siècle dans un grand
nombre de cours princières allemandes. C’est un écrin de velours entouré de
merveilleux jardins.
Visites : l’exposition de Byzance et le château Augustusburg.
Départ de Bruxelles 8h, et de Liège à 9h10.
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PARIS 12 –14 MARS 2010
VOLUPTÉ LUMINEUSE
Prix : 430€ sgl : 130 €
Le Lorrain, Canaletto, Poussin, Rembrandt, Rubens furent parmi les grands
maîtres auprès desquels Joseph Turner (1775-1851) nourrit sa passion de la
peinture, puisa son inspiration, développa son génial désir de peindre. Une exposition
Turner et les maîtres, vient éclairer le complexe et passionnant processus
de formation du regard, d’inspiration, de dialogue et d’affirmation du style de ce
fabuleux artiste.
Le musée du Louvre présente une exposition majeure retraçant l’histoire de
la Russie depuis sa christianisation à la fin du Xe siècle jusqu’à l’époque de
Pierre le Grand, dans le premier quart du XVIIIe siècle. « Sainte Russie » livre
un panorama complet de la fondation de la civilisation russe en remontant aux
origines de la nation, lorsque les derniers feux païens se mêlent au christianisme,
et en couvrant presque mille ans d’histoire, pour aboutir au règne de
Pierre le Grand. Moment tout à fait exceptionnel, l’exposition présentera plus de
quatre cent œuvres issues de collections très rarement dévoilées au public en
raison de leur fragilité.
Visites guidées des expositions Turner et Sainte Russie.
Hotel***de charme dans le quartier Saint Germain. Départ en Thalys.
Programme sur demande au 04.252.44.82 ou reg-arts@skynet.be
GAND 24 AVRIL 2010
et les Floralies
Prix : 65 €
Les Floralies gantoises, quinquennales qui sont devenues très célèbres,
présente à nouveau un spectacle floral merveilleux pour cette année 2010.
Plusieurs horticulteurs venus du monde entier exposent leurs plus belles
plantes et fleurs dans un immense jardin couvert sur un parcours de 1800 m à
travers une symphonie de parfums et de couleurs, unique et inédite. Les architectes
paysagistes et les entreprises de jardin vous présente le meilleur d’euxmêmes
dans plusieurs jardins thématiques. « L’art dans le jardin » va vous séduire
dans une végétation luxuriante.
La nature a toujours fasciné les artistes. En effet, par ses couleurs, elle offre
une panoplie et une variété infinie de fleurs. Le premier de ces grands artistes
à recenser, de façon scientifique et artistique, la beauté de la nature fut Jan Van
Eyck. Je vous invite à (re)découvrir l’agneau mystique, parcourir les arcanes et
les mystères du polyptique, une des sept merveilles de Belgique.
Départ en car de Liège à 8h et de Bruxelles à 9h10.
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BERLIN 25 - 28 MARS 2010
Un festival des arts
Prix : 850€ sgl : 160 €
Berlin est unique ! Très étendue, bercée de parcs, de bois et de lacs, la cité
juxtapose toutes les architectures: châteaux et statues baroques, façades
contemporaines, merveilles de briques et de fer. Berlin a tout absorbé, de la
gloire prussienne aux idéaux les plus sombres du XXe siècle. En même temps,
elle se voue aux distractions avec la même intensité, offrant au visiteur sa multitude
de musées, des trésors fabuleux. Une découverte, une aventure en partance
pour une ville passionnante qu'est Berlin. Berlin, une capitale des arts : au
son mélodieux de l’opéra et de la philarmonique tandis que ses musées regorgent
de trésors inestimables
Visites : les musées de Pergame et le mausolée d’Halicarnasse, le nouveau
musée égyptien, le forum de la culture consacré à l’art ancien et moderne,
le Reichstag, les audaces de l’architecture,….possibilité de participer à une représentation
à l’opéra ou à la philarmonique. Programme sur demande.
Départ de Bruxelles ou de Paris.
Programme sur demande au : 04.252.44.82 ou reg-arts@skynet.be
NAPLES
28 AVRIL – 5 MAI 2010
et la côte amalfitaine
Prix : 1850 € sgl : 240 €
Dans un golfe idyllique à l’ombre d’un volcan, Naples est un amphithéâtre
naturel mettant en scène le bleu de la Méditerranée et la lumière des Cieux. Aucun
voyageur n’a su résister à l’attrait de ce lieu bénit des dieux dont le Vésuve
en est le gardien. D’un déluge de feu naquit la nuit éternelle de Pompéi. Avec
une végétation luxuriante et la pureté de la mer, la côte amalfitaine est l’un des
plus beaux paysages d’Europe. De superbes villages dans le golfe de Salerne,
près de Naples, sont construits sur les parois de cette côte, constituée essentiellement
de falaises et au fond d'une gorge s’ouvrant sur le port. C'est un coin de
paradis et y venir, le temps d'un séjour, c'est se ressourcer en oubliant le stress
quotidien.
Venez explorer la côte amalfitaine et la côte turquoise, ses falaises spectaculaires,
ses criques et ses plages, le maquis méditerranéen, ses monastères,...
Vous en reviendrez peut être nostalgique à la manière de Musset ou tout simplement
romantique ou bien, ... encore plus romantique.
Visites : Naples, son centre et ses musées, Pompéi, Herculanum, Sorrente,
Paestum et ses temples, la côte amalfitaine, …
Départ de Bruxelles ou de Paris.
Comment s’inscrire ?
Par téléphone au 04.252.44.82 ou par e-mail à reg-arts@skynet.be
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Pôve vî francès.
On ‘nnè veût dès droles, alez, cwand on lét l’ gazète !
Dj’a ta-
pé, l’ôte djoû, on côp d’oûy so ‘ne pådje ki djåzéve
d’on « Piratage sur Facebook » èt dji m’a-st-amûzé
a r’lèver tos lès mots k’ont-st-intré è francès po l’
pwète di l’infôrmatike : insi, on pout « tchater »,
« cliquer », èvoyî on « mail », aler å « cybercafé ».
On troûve dès « spam », in « exe ».
Fåt prinde astème ås « phishing », on dandjereûs
« hacker » vis pout st ataker. On v’ propôse
li « clé U.S.B. » èt, po l’ G.S.M., li « triple
play » ; on pôreût minme aler disk’å
« quadruple play »
Ènn’ a co sûr dès hopês, mins dji m’arèstèye, dj’ènn’a m’ sô èt dj’n’î a compris
wê-d’-tchwè !
Ké novèle don, vî camaråde Francès ! Vas-se co longtins t’ lèyî arindjî insi ?
As-se roûvî ki, d’vins l’ tins, t’as copiné avou lès rwès ?
T’èsteûs bê adon, fîr, nôbe èt t’èployîve li passé simpe :
« Nous partîmes cinq cents et par un prompt renfort,
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port »
« Vous fûtes les premiers qui élevâtes de grands théâtres »
T’èployîves minme li subjonctif imparfait :
« J’ordonnais qu’il partît sans tarder »
« Je craignais Madame, que vous vous fâchassiez ! »
C’èst bê, ça tchante ! cwand on t’ôt djåzer insi, on t’ veût moussî come on
« marquis » avou , a t’tchapê, ine plome qui heûve li pavêye cwand ti fês
‘ne sèrviteûr.
Pocwè don as-se lèyî toumer cès bèlès manîres di djåzer ?
Sés-se bin k’ nosse walon lu, lès-èplôye co, cès tins k’ t’as tapé èvôye !
dîrè co voltî : « Dihez don, vî cadèt, i fåreût qu’ vos-ovrahîse timpèsse savez
! »
« Faléve-t-i co qu’ vos buvahîse come ine sôlêye ? »
Èt ç’ n’èst nin dès grandiveûs, hin, ki djåzèt-st-insi, dès p’titès djins. Målureûsemint,
ènn’ a pus wêre k’èl savèt fé.
>>>
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C’èt vrêye k’asteûre on n’a pus l’ tins, on r’magne sès mots, on djåse
èt on scrît å pus coûrt : lès djônes, èt minme lès pus vîs, èvoyèt dès
« S.M.S. » di kékès lètes : « O.Q.P. » s’i sont-st-an trin dè fé ‘ne sacwè ;
« je te me » cwant i sont-st-amoureûs ; « C PA BO » po dîre ki c’èst lêd ;
on hoûte li « prof », on va consulter on « pro », lès-omes sont dès
« mecs », télefèye
dès « macs » ou dès « zig », on v’ trête åhèyemint d’ « con », vos d’morez
d’vins ine « zup », vos-avez stu « yé-yé » èt l’ « web » n’a pus nou s’crèt
por vos !
Dji m’a lèyî dîre k’on èsteût-st-an trin dè candjî ti-ôrtografe.
Insi, li meûs d’aoûs’ (août) a pièrdou s’ tchapê – k’i prinse todi astème ås
côps d’ solo – la « boite » n’årè pus nou covièke, pus nol acsant so
« abime », so « dégout », « croitre », « maitre », èt co bråmint dès-ôtes ki
vos pôrez aler discovri so « internet ».
Ça va fé, dji pinse, on fameûs maltôtèdje !
Mins, c’è-st-on pô di t’ fôte, sés-se, vî camaråde !
T’ès trop målåhèye, veûs-se !
Insi, pocwè as-se- volou, dès siékes å long, k’on mète deûs « r » a
« charrette » adon k’ t’ènnè voléve k’onk a « chariot » ?
On vint dè candjî çoula, n’a nou må !
Mins fåt co « apprendre avec deûs p qu’ apercevoir ne prend
qu’un p. »
Èt lès treûs bês djodjos : « amour, délice et orgue ! Pocwè
sont-i masculin cwant-i sont tot seûs èt féminin cwant-i sont
leûs tot plin ?
Èt lès participes passés don, binamêye sinte Vièrje, ké må
d’ tièsse !
Èployîs avou « avoir » fåt cwèti li « complément direct ».
È-st-i d’vant, è-st-i po-drî ? Avou ‘n-infinitif, c’èst co ôtetchwè.
Pocwè tant d’ rûses, pocwè tant d’ mirliflitches ?
Kimint vous-se ki lès-èfants d’asteûre rat’nèsse tot çoula adon k’i d’vèt dèdja
aprinde tant d’afêres : li flamind, l’anglès èt mutwèt, d’vins kéke tins, li
chin’wès.
Ti m’ vas sûr dîre ki c’èst cåse ki ti vins dè Latin èt t’ènn’ ès tot fîr !
Nosse Walon ossi vint dè Latin èt dispôy pus longtins k’ twè !
Veûs-se, vî camaråde, mågré çoula, nos t’inmans bin, nos t’trovans >>>
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l’ pus bê dès lingadjes ; å dîh noûvinme siéke, t’èsteûs djåzé è
monde ètîr. Po m’ pårt, dji creû qu’ tos lès droles di mots k’ t’as lèyî intrer,
t’èlzès va k’mahî, arindjî a ‘ne såce d’a t’ façon, èt dijèrer come t’as fêt nawêre
avou bin dès-ôtes mots come « bazar » ki vint dè Persan, « mechoui »
di l’Arabe, « appartement » èl creûreût on, vint d’ l’Espagnol, « tennis » è-
st-Anglais èt « loden » tot l’monde èl sét, è-st-Alemand.
Nos sohêtans d’ tot nosse coûr ki ti vike co dès mèyes d’annêyes.
Nosse vî walon, lu, sèrè roûvî dispôy longtins.
Mins, sét-on måy, n-årè mutwèt èvè nos-årîres-årîres-pitits-èfants, on sûti ki
r’troûverè, roûvî èn ôn ridan, on vî papî tot djèni avou on scriyèdje è Walon
d’onk di sès tåyes.
Èt curieûs, i såyerè d’èl comprinde, avou internet, ou ôte tchwè d’ novê k’on
årè co invanté, i r’cwîr’rè lès vîs mots, on pô come on a fêt avou lès
« hiéroglyphes » dèl pîre di Rosette.
On pout todi råv’ler !
Ossi, binamés plankèts, dji v’s-èl di : cwand v’s-avez ‘ne îdèye èl tièsse, on
sov’ni ki v’ raspite dè vî tins, ine bèle istwére ou ‘ne astrapåde ki v’s-arive,
sicriyez-le, mètez tot çoula so papî, insi, ènnè d’meûr’rè todi ‘ne sacwè.
C’èst totes cès flibotes di vicårèye ki fèt l’ istwére, nin l’ grande avou dès
guéres èt dès trêtés, mins l’ cisse, tote simpe, dès bravès djins d’amon nosôtes.
MARIETTE CHINON.
Parution :
Publicité dans U3A - Contact.
Dates ultimes
Mar. - Avr. = 2.500 exemplaires : 29 / 01 / 2010
Mai - Juin = 2.000 exemplaires : 26 / 03 / 2010
Publicité en quadrichromie (4 pages de couverture) = 0,04 € par ex.
en Noir et blanc = pages complète = 0,02 € par exemplaire
demi pages
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Les documents doivent être remis, au plus tard, au secrétariat aux dates
ci-dessus.
Personnes de contact : Mme C. Trickels 04/370.18.01
M. F. Georges 0486/79.41.87
16

Marches Jacqueline et Henri Darras
U 3A
20 Octobre 2009
Le Hageland
Marie-Jo Spindler :
04/ 382 12 84
19 Janvier 2010
Le pays de Herve
Marie-Claire Jamoulle :
04/ 263 43 38
20 Avril 2010 Robertville
Les Jonquilles de Mürringen
Odette Dardenne :
04/ 371 48 14
Départ avancé : 8h et
8h30
20 Juillet 2010
La région du Samson
Jean Jacob :
04/ 371 49 19
17 Novembre 2009
Aux Pays-Bas
Joseph Ligot :
04/ 381 20 72
23 Février 2010
Remouchamps-Deigné-
La reid
Marie-Jo Spindler :
04/ 382 12 84
18 Mai 2010
La Fagne
Jean Jacob :
04/ 371 49 19
17 Août 2010
Région de Redu
M-Claire Jamoulle
04/ 263 43 38
15 Décembre 2009
Poulseur-Vien-
Comblain-au-Pont
Suzanne Tondelier :
04/ 248 23 68
16 Mars 2010
Suzanne Tondelier :
04/ 248 23 68
15 Juin 2010
Coo-Stoumont
Joseph Ligot :
04/ 381 20 72
21 Septembre 2010
La Semois
Odette Dardenne :
04/ 371 48 14
Xavier nous a quitté le mardi 17 novembre.
Pendant de nombreuses années, Xavier s’est
montré très actif au sein du groupe des marcheurs
de l’U3 en faisant partie d’une équipe de préparation
des marches du mardi.
Il laisse un grand vide parmi ses amis qui ont
toujours apprécié son efficacité, son amitié et sa
bonne humeur
17

MARCHES Jacqueline et Henri DARRAS
U.3.A
* MARCHE DU MARDI 19 JANVIER 2010
Aux alentours du Val Dieu et d’Aubel, le pays de Herve nous
découvre ses larges panoramas
Contacts : Marie-Claire & Jo JAMOULLE : 04/263.43.38
Gsm : 0473/67.50.53
Matin
: 6,5 et 9,5 km
Après-midi : 6 et 9 km
* MARCHE DU MARDI 23 FEVRIER 2010
Remouchamps-Deigné-La Reid
Contact : Marie-Jo Spindler : 04/382.12.84
* MARCHE DU MARDI 16 MARS 2010
Nous irons nous promener dans la belle région de FERRIERES –
XHORIS.
Contact : Suzanne TONDELIER : 04/248.23.68
Gsm : 0496/28.23.68
18

Marches Jacqueline et Henri Darras
U 3A
Pour chaque marche :
Bonnes chaussures et canne souhaitables : nous serons en hiver !
Départ : 8 h 30 Gare des Guillemins (Place des Franchises)
Prix : 12 €
9 h 00 Parking U3A
Réservation le plus tôt possible au secrétariat.
N’oubliez pas de prévenir les responsables de la marche si vous avez un
ticket à revendre.
19

La Rubrique du Randonneur N° 48
Quand on randonne dans les Ardennes, parfois au détour d’un chemin,
on a l’occasion de voir dans les prairies du bétail un peu différent de
notre « Blanc Bleu Belge » : des bisons américains.
Le bison est un ruminant. Il fait évidemment partie de la classe des
« mammifères » dans la grande classification des « vertébrés », ensuite,
dans l’ordre des « ongulés », c’est-à-dire dont les doigts sont terminés par
des sabots. Il appartient au sous-ordre des « artiodactyles » qui comprennent
les ruminants, les porcins et les camélidés. Les « artiodactyles » sont
caractérisés par un nombre pair de doigts à chaque patte (en grec
« artios » signifie pair et « daktulos » doigt).
Les bisons en général proviennent d’Asie. L’ancêtre des anciens
continents s’appelait le « Wisent ». Les bisons de l’époque ont rejoint le
Nouveau Monde par vagues successives en passant par le pont qui reliait
les deux continents à l’emplacement de l’actuel détroit de Béring. Ils ont
en effet profité des glaciations qui entraînèrent de fortes baisses du niveau
des mers découvrant ainsi une bande de terre ferme entre la Sibérie
et l’Alaska. On estime que les premières migrations datent d’un million
d’années.
D’après les paléontologistes,
les premières espèces
qui ont emprunté
cette voie pour pénétrer
en Amérique étaient plus
grandes que celle d’aujourd’hui
et de plus ils
possédaient des cornes
démesurément plus développées.
Ces espèces
vont s’éteindre au cours
du temps remplacées par
d’autres et par d’autres
pour finalement donner
l’espèce actuelle.
Pour mémoire, il existe une espèce vivant en Europe qui est essentiellement
forestière. Les deux espèces sont très proches puisqu’elles font
des hybrides fertiles. Jusqu’au Moyen Âge, le bison d’Europe >>>
20

se retrouvait de l’Atlantique à l’Oural. Il fut pour sa part exterminé
après la première guerre mondiale et ne survécut qu’en captivité. On l’a réintroduit
dans la nature après la seconde guerre mondiale. Le poids moyen
du mâle est d’environ 700 kg, mais peut atteindre une tonne. Sa taille est
de l’ordre de 1,80 m au garrot. Les femelles sont plus petites avec un poids
de 400 à 600 kg.
Revenons-en à notre bison d’Amérique. Avant l’arrivée des chevaux qui
furent introduits en Amérique par les Espagnols vers 1650, les Indiens
chassaient le bison en faisant des battues qui obligeaient les bisons à se
sauver vers des ravins où les premiers du troupeau allaient se fracasser
poussés par les suivants. Les Indiens n’avaient plus qu’à les achever au
bas du ravin pour se fournir en viande et en peaux. En 1680, les chevaux
commencèrent à se répandre à partir du Nouveau-Mexique après la révolte
des Indiens Pueblos contre les Espagnols. Avec l’arrivée des chevaux
dans les vastes plaines en 1690, la chasse fut différente car les Indiens encerclaient
les bisons et les tuaient à coup de lance en galopant à leur côté
et même en sautant sur leur dos.
. Il est difficile d’imaginer que les soixante millions de bovidés qui parcouraient
les herbages de l’Amérique du Nord en 1800 ne seraient plus que
quelques dizaines un siècle plus tard.
En effet, ils furent exterminés principalement pour affamer les Indiens
contre lesquels les colons américains menaient une guerre sans merci.
Heureusement en 1902, le Congrès américain décida de protéger le >>>
21

dernier troupeau vivant dans le Parc National de Yellowstone et des
personnalités parmi lesquelles Théodore Roosevelt créèrent une société
protectrice qui eut une action très efficace.
Le bison américain est plus robuste que son cousin européen. Il
peut atteindre en poids les 1.300 kg et avoir une longueur de 3 m. Il présente
une bosse prononcée formée par les apophyses dorsales des premières
vertèbres. Le poil qui couvre la tête, le cou et les pattes avant est
plus long et plus sombre que celui du reste du corps comme le montre la
première photo. Dans les deux sexes, les cornes sont courtes, pointues et
recourbées. La femelle est plus petite que le mâle. Le temps de gestation
est de 9 mois et la portée est d’un petit par an. Le poil des jeunes est beaucoup
plus roux que celui des adultes, mais au bout de quelques semaines,
il acquiert sa couleur définitive.
Sa population en 2005 en Amérique du Nord était estimée entre
200.000 et 300.000 bêtes vivant dans des parcs animaliers, des élevages
privés et des réserves naturelles. Seuls quelques milliers de bisons vivent
encore en liberté. Plusieurs dizaines de milliers sont abattus chaque année
pour leur viande. En effet, la viande de bison est tendre, pauvre en graisse
et très goûteuse.
Comme le dit l’article de la Ferme des Bisons à Recogne,
le bison supporte aussi bien les hivers rudes
que les étés ensoleillés. Il se contente de fourrage
pauvre en vivant à l’extérieur dans de grands
espaces sans avoir besoin d’un abri. Une bisonne
peut reproduire jusqu’à l’âge de 20 ans un veau de
plus ou moins 25 kg et ce au printemps. Les mâles
ne servant pas à la reproduction sont abattus vers
les deux ans à un poids d’environ 450 kg. Importé
en Europe dans les années nonante, on compte actuellement
quelque 2.500 bisons américains sur notre continent.
Sur ce, bonne randonnée dans nos Ardennes.
G.E
Congés scolaires 2010
Carnaval : du lundi 15 février 2010 au vendredi 19 février
Pâques : du lundi 5 avril 2010 au vendredi 16 avril
Ascension : jeudi 13 mai et vendredi 14 mai
Pentecôte : lundi 24 mai
Vacances d'été : du mercredi 30 juin au lundi 15 septembre.
22

JANVIER 2010
SCIENCES ET NATURE
Mardi 5 :
Nourrir les hommes aujourd’hui et demain.
U3A
Réflexion sur une agriculture durable
Bernadette MERENNE
Professeur de Géographie économique
Mardi 12 :
Programme Pégase - Aquapôle
U3A ou Sart-Tilman Aquapôle
A confirmer ultérieurement
Aline Géra rd ou autre de l’équipe
Mardi 19 :
Pas de promenade
Sart– Tilman Institut de Chimie B6-P11-14-48
Une approche ludique du tableau de MENDÉLÉEV
Équipe de René CRAHAY
L’heure exacte vous sera donnée en classe.
Mardi 26 :
A.F.S.C.A. et Endocriniens dans nos aliments
U3A
Guy MAGHUIN-ROGISTER Professeur
23

FÉVRIER 2010
.
Mardi 2 :
Mardi 9 :
La vision
U3A
À développer et à préciser ultérieurement
Ninette NYSTEN
L’eau NORD — SUD
U3A
Xavier DETIENNE Équipe AQUAPÔLE
Mardi 16 (Mardi Gras) : Promenade ou visite
Le temps décidera
Mardi 23 : Évolution de l’Architecture au XX ème siècle
U3A
Jean ENGLEBERT Professeur
MARS 2010
Mardi 2 :
Les implants dentaires
U3A
Etat actuel - Développements futurs
Roman LEGRAND Professeur
Nous envisageons aussi pour probablement le printemps :
- La visite de la carrière d’extraction des marbres de Wallonie
à SIVRY-RANCE.
- Nous visiterons aussi la toute nouvelle blanchisserie de la Basse-
Meuse aux Hauts-Sarts.
- Ensuite la Station d’Epuration d’Oupeye.
Les idées ne nous manquent pas, si vous en avez d’autres, parlez-en.
Joseph DEPIREUX Claudine THÉATRE Camille EK.
04/365.82.53 O4/278.51.75 04/ 343.74.65
24

Les « U3Arèdjîs » s’en donnent à cœur
joie !
Ce « CONTACT » de la « nouvelle année 2010 » doit évidemment
tenir compte de la fin de l’ « ancienne » et je suis
certain que vous me … suivez toujours!
Les répétitions s’enchainent tous les mercredis de 9h30 à 12h
et … ne se ressemblent pas ! Chouette, cela s’appelle du
« changement » après le début de l’année scolaire alors que
nous avons accueilli des nouvelles figures qui se sont merveilleusement
adaptées !
Comme seul petit point critique à émettre, il faut noter
que parmi ces nouveaux danseurs, pas un seul « cavalier masculin
» ne s’est présenté et il a fallu de la (très) bonne volonté pour trouver de l’équilibre
dans certains couples de dames !
Notez que c’est un « mal bien connu » que ces messieurs ne se précipitent pas
pour « danser » dans quelque spécialité que ce soit d’ailleurs ! Bizarre, non ? Il faudrait
faire des études psychologiques car, ce n’est certes pas le problème de l’effort physique
qui est le moteur de ces … abstentions !
J’en profite donc pour appeler ces messieurs « au secours de ces dames » avec toutes
les nuances qu’un tel appel sous-entend !
Il n’empêche que nous nous retrouvons à une bonne quinzaine de couples qui
s’entendent parfaitement et qui permettent toutes les variations que je peux suggérer
cette année ! Ainsi en est-il de la réalisation du « gros projet », à savoir celle du célèbre
« quadrille de MORMONT », un quadrille à cinq figures ! Essentiellement réalisées par
des paires de couples qui se font face, de telle sorte qu’en combinant deux telles paires,
les quadrilles (rappel : 4 couples !) prennent forme immédiatement !
Au moment de rendre cet article à l’éditeur, nous en sommes à la connaissance de
deux des figures appelées respectivement : « En avant quatre » et « Balancez vos dames
» ! Vous devriez voir l’enthousiasme que ces « chassés et dos-à-dos, face à face »
déclenchent parmi mes danseurs.. C’est cela aussi qui crée une ambiance formidable et
je n’arrête pas de les féliciter par des « Jules est content ! » ce qui fait sourire tout le
monde… Nous nous comprenons !
A côté de cela, comme la place va vite me manquer, laissez-moi vous annoncer
que cette année, nous voyagerons au Portugal et même dans une de ses plus jolies îles
de l’Atlantique (oui, je pense à MADERE évidemment !) mais aussi à l’intérieur du
pays ? Alors, Messieurs, pour l’année nouvelle…, cela ne vous dirait rien de venir
« accompagner » nos dames ? Pensez-y, car vous seriez les bienvenus ! Nous envisageons
même d’aller au Mexique par « CUCARACHA interposée » et je suis objectif!
En redevenant sérieux pour terminer ce petit article, je vous présente à toutes et
tous mes meilleurs vœux pour l’an nouveau ! Vive 2010 et vive la …danse traditionnelle
! Avis aux amateurs…
BECKERS Jules
25
6, rue de Tilff, 4100 - BONCELLES

Billet d'humeur
Vins de primeur ... neurones s'abstenir
Vous aimez le Beaujolais ? Moi, oui, et sans aucune restriction ! Sans
aucune restriction ? Si ! quand même il en est une à laquelle je n'entends
pas déroger : jamais vous ne me ferez boire de primeur. Mais ce breuvage
est-il vraiment du vin ? Question qu'il ne faut certes pas poser à ceux qui le
produisent pas plus qu'à ceux qui le vendent et encore moins à ceux qui le
consomment. Pour ma part je le tiens pour de la limonade pour grande personne,
un peu dans le style de la « limonade Roger », réputée pour ses
vertus laxatives ...
Ceux qui m'ont inculqué la passion du vin m'ont toujours enseigné qu'un vin
ne se « goûtait » pas avant d'avoir fait ses Pâques ... Or je constate, qu'année
après année, dès le mois de novembre, les chroniqueurs dits « œnologiques
» se répandent en éloges dithyrambiques sur la nouvelle récolte qui,
selon eux, aurait tout du millésime du siècle.
De telles récoltes, ils en dénombrent une petite centaine par siècle et ne
sont même pas gênés de le proclamer haut et clair !
Leurs lecteurs doivent avoir la mémoire étrangement courte ...
Jamais je n'en ai entendu un pour dire que la présente récolte était exécrable
... et pourtant, avec les vins de primeur, le phénomène doit se présenter
plus souvent qu'à son tour.
Mais qu'importe ! le vin est tiré, il faut le boire ... et j'aurais tendance à ajouter
à propos du primeur : « en direct de la bouteille à la vessie sans transiter
par les neurones ! ».
Je vous disais en début d'article que j'aimais le Beaujolais et je ne me dénie
pas ... mais rien en dessous d'un Beaujolais-Villages, pour peu qu'il soit
bien fait.
Pour le reste, parlez moi d'un Fleurie, d'un Morgon,
d'un Côte de Brouilly, d'un Saint-Amour, d'un Moulin-à-
Vent, d'un Juliénas ...
Là, est la véritable fête ! Quant au reste ... à chacun
ses goûts
Raymond DAMBLY
26

PETITE CONVERSATION
AVEC :
« Robert Waseige »
1. Vos impressions sur un possible championnat du monde en Belgique
et Pays-Bas.
Nos chances sont minimes étant donné que ces organisations là aujourd’hui
demandent d’énormes efforts financiers, l’effort public risque d’être trop
important pour la Belgique.
Rien que pour se mettre en conformité au niveau des stades, nous sommes
toujours sur la ligne de départ.
Le réseau autoroutier est valable mais sature déjà à l’heure actuelle.
Quand sera-t-il à l’époque de la compétition ?
Le réseau hôtelier et la présence télévisuelle forte sont deux points positifs
dans le dossier belge.
2. Quelles sont vos « recettes » pour créer une dynamique, une
saine motivation dans une équipe de football formée d’éléments disparates
comme l’équipe nationale.
Il n’y a pas une mais différentes recettes mais chaque situation « locale »
peut être abordée différemment.
Chez nous le problème se corse de par le dossier communautaire, oh combien
présent dans notre quotidien.
Ma sensibilité sur ce problème là est de mettre les choses à plat, en ce sens
que nous devons partir devant une feuille blanche et à nous de la remplir le
mieux possible.
A ce stade, il est très important de ne pas se tromper et ne pas se fixer un
objectif final, mais passer par deux ou trois objectifs intermédiaires pour
éviter la « dépression » après un début raté. >>>
27

N’oublions pas que nous travaillons toujours dans le provisoire,
l’éphémère.
Il faut bien sûr tenir compte de notre classement dans la hiérarchie mondiale
(européenne) et d’établir une évaluation la plus précise possible de notre
potentiel joueur.
Par ailleurs, il est très important de constituer son staff le plus homogène
possible (complémentarité, loyauté).
Dernier point incontournable, il faut absolument trouver deux ou trois leader
au sein du vestiaire. Partant de ces acquis, il devient relativement aisé
de déterminer le cadre d’une saine discipline librement consentie.
3. Quelles sont les règles essentielles à respecter pour avoir une
carrière de joueur professionnel aujourd’hui.
Que le jeune joueur aie bénéficié d’une formation complète que peu de club
peuvent lui donner aujourd’hui, ne me parait pas absolument indispensable
mais néanmoins souhaitable.
La formation d’un jeune talent dans le club ne s’arrête plus de nos jours au
niveau technique mais également on doit lui inculquer les principes d’une
bonne hygiène de vie (alimentation, soin, repos) au même titre que le bon
comportement vis-à-vis de l’adversaire, le
corps arbitral et les prestations face aux
médias.
Une grande attention sera également apportée
à leur formation tactique. Reste alors au
coach principal d’introduire au jeu sa petite
merveille en dosant ses apparitions pour que
le joueur progresse dans sa carrière professionnelle.
Tout cela étant acquis, le travail n’en est
pour autant pas terminé. Il faut encore travailler sur le plan de la motivation,
de la remise en question permanent et de l’auto critique.
4. Pensez vous qu’il soit possible d’avoir comme par le passé
deux ou trois équipes parmi l’élite à Liège. >>>
28

Dans le contexte actuel certainement pas trois. Je me laisserai aller
à répondre peut être deux mais difficilement. Vous entendez évidemment
l’équipe parmi l’élite à Liège équipe de division 1 donc forcément équipe pro.
qu’il
di-
de
plu-
et
seurs
d’O-
Hors, on peut voir que le Standard y est arrivé et
est formidablement bien géré depuis maintenant une
zaine d’année.
Tout cela n’a été possible qu’avec l’apport financier
Robert louis DREYFUS, mais il y a laissé pas mal de
mes, une bonne partie du capital investit est acquis
reste acquis au club, sans oublier d’autres investiscomme
l’actuel homme fort depuis 10 ans, Lucien
NOFRIO.
Mais, sans l’apport financier de ces deux personnes, je pense que le Standard
ne serait pas où il en est aujourd’hui.
A plus forte raison un deuxième club pro à Liège deviendrait
utopique, non le terme est trop fort mais peu probable parce
que encore une fois le marché commercial, (c’est de lui que
vient les diverses publicités), j’entends par les pub statiques,
le sponsoring très important et aussi le pouvoir d’achat des
membres des clubs car tous les clubs aujourd’hui pensent à
ériger des loges ou des business. Nous serions bien tous étonnés d’apprendre
les chiffres de recettes des clubs pro possédant justement des loges
et en pourcentage en tout les cas sur le budget global du club.
Dernier obstacle, et non des moindres, le potentiel supporter face à un
ogre comme le Standard.
5. Les équipes de première division, quelque soit le pays en Europe,
ne représentent plus d’identité nationale avec la libre circulation
des joueurs.
Pensez vous qu’il soit possible et justifié de revenir à un nombre
minimum de joueurs nationaux alignés lors d’un match.
Très vaste question qui relève tout autant du politique ou géopolitique et où
l’économique est évidemment omniprésent.
La commission européenne est là, bien présente et installée. >>>
29

Bien évidemment, tous ces gens tous ces fonctionnaires qui sont très
grassement payés passent leur temps à exercer les contrôles les plus divers
sur les fonctionnements des membres de l’Europe actuelle et ces règlements
européens sont très stricts. Je ne critique pas le fait mais j’imagine que si
l’on veut éviter les excès, c'est-à-dire les dérapages très importants, il faut
qu’il y ait des gardes fous pour tous les pays membres de l’union européenne.
Il est évident que dans une ville comme Bruxelles, le contexte est bien différent
de celui d’une ville de province come Saint-Trond. Le plus gros obstacle
pour conserver une authenticité locale est battu en brèche par cette commission
européenne qui jusqu’à ce jour impose la libre circulation absolue des
travailleurs en son sein.
Je préfèrerai toujours une coloration locale ou régionale que ce que nous
connaissons actuellement mais le monde politique en général n’en a cure.
Quand au deuxième aspect de la question, l’identité nationale oui mais il faut
arriver là. Il faudrait que les fédérations en interne adoptent toutes le
même type de règlement fédéral belge qui est vraisemblablement le plus
compliqué de tous les règlements fédéraux en Europe occidentale. D’ailleurs,
il fait en épaisseur plusieurs bottins superposés.
Tant que l’on n’aura pas réglé tous ces problèmes là, tant que l’union européenne
veillera avec la plus grande des rigueurs et la plus grande des intransigeances
à ce que tout pro du foot ait la possibilité et la liberté de s’affilier
dans n’importe quel pays de l’UE, il devient extrêmement difficile d’imposer
une limitation des joueurs non belge dans nos compétitions.
Voilà, je pense où se trouve le nœud du problème. Comme certains pays ont
permis à leur pro, en particulier de bénéficier de régimes fiscaux favorables,
les habitudes rentables bien sûr, sont les plus difficiles à extraire dans un
milieu pro.
Donc, il faudra de la patience mais il est permis d’espérer pour ceux qui le
souhaitent, et j’en fait partie, qu’un club doit quelque part tout au moins en
partie rappeler et représenter l’endroit, la région, la ville où il est situé.
Je trouve que cela permettrait à une grosse tranche des spectateurs habituels
des supporters de s’identifier plus facilement à leur club.
Cela est sain, car « club » pour moi a une notion qui signifie rassemblement
de gens qui sont volontaires pour se retrouver, pour participer donc on ne
peut pas gommer du paysage footballistique cette notion là de club et de totale
liberté au sein de chaque club. >>>
30

6. Diabète : handicap ou inconvénient, croyez-vous possible
qu’un Pär Zetterberg puisse faire maintenant carrière dans une
équipe au top européen.
Handicap, je n’y crois absolument pas, inconvénient peut être mais c’est un
terme que j’emploierais timidement.
Pas comme une affirmation ferme et incontournable,
l’inconvénient c’est qu’il faut se soigner
et se contrôler quotidiennement avec rigueur.
Je parle ici d’un diabète insulino dépendant tel
que l’était Pär Zetterberg.
J’ai entraîné ce joueur et pas une seule fois en
le regardant sur le terrain je n’ai été amené à
penser qu’il était malade.
Je me souviens qu’il avait toujours 2 ou 3 morceaux
de sucre sur lui. Cela ne l’a pas empêché
de mener une carrière professionnelle et internationale
de plus de dix ans avec le succès que
l’on connaît.
Hors, à cette époque, la préparation, l’intensité des compétitions nationales
et internationales étaient déjà, en intensité, du même niveau qu’aujourd’hui.
La multiplication des matchs était la même, c'est-à-dire qu’il y a 5 ou 10
ans, il n’y avait pas d’avantage de temps de récupération qu’aujourd’hui.
Donc, je suis persuadé que pour quelqu’un qui est pris en main très tôt pour
le traitement de son diabète et qui a cette mentalité professionnelle dont
je parlais à la réponse 3, cela ne pose pas de problème.
« Tout jeune ou adulte diabétique doit garder l’envie et l’espoir,
mais un espoir très solide de pouvoir pratiquer son sport à un niveau
des plus intéressants, à un niveau conforme à son talent. »
>>>
31

Bio express :
Robert WASEIGE est né à Vottem (Liège) le 26 août 1939.
Il débute sa carrière de joueur au RFC Liège où il est titulaire
4 saisons, il joue plus de 100 rencontres au total.
En 1962, il est transféré au Daring pour 8 saisons.
En 1971, il devient entraîneur de Winterslag qu’il fait monter
de D3 en D1, puis de Lokeren et du Standard de Liège où il a beaucoup
de succès.
Mais c’est en tant qu’entraîneur au RFC Liège (1983-1992) qu’il obtient ses
plus beaux succès : sous sa direction, le club qui était bien mal en point, retrouve
la Coupe d’Europe à 4 reprises, gagne une Coupe de Belgique en 1990
contre Ekeren (ainsi qu’une finale perdue en 1987 face au FC Malines), finit
deux fois troisième au championnat et renoue avec sa
longue tradition de formation des jeunes.
Ensuite, il devient entraîneur du Sporting de Charleroi
durant deux saisons (1992-1994), avec les Zèbres, il atteint
une nouvelle fois une finale de Coupe de Belgique
en 1993, perdue face au Standard. L’année suivante, il
qualifie de façon brillante le Sporting pour la Coupe de
l’UEFA.
En 1994, il décide de retourner pour une deuxième fois
au Standard où il est vice-champion en 1995.
En 1996, il rejoint le Sporting de Lisbonne, mais il n’y
reste que quelques mois. Pour finir, il revient à Charleroi de 1997 à 1999.
En 1999, il succède à Georges LEEKENS, à la tête de l’équipe nationale de
Belgique. Après une participation à l’Euro décevante, il qualifie les « Diables
Rouges » pour la Coupe du Monde de 2002 au Japon et en Corée du Sud.
Il atteint les huitièmes de finale où la Belgique se fait éliminer injustement
contre le Brésil, futur vainqueur.
A l’issue de cette épreuve, il revient une troisième fois au Standard, où il
se fait limoger après un début de championnat catastrophique.
Il revient à Charleroi mais la direction et lui n’ont pas les mêmes >>>
32

opinions et il se fait remercier à 3 journées de la fin de saison 2004.
En mai 2004, il est nommé entraîneur de l’équipe nationale d’Algérie mais
l’expérience sera de courte durée.
Après, Robert prend en charge l’équipe du FC Brussels l’espace de quelques
matchs à la fin de la saison 2004-2005 pour assurer son maintien en Division
1 lors de l’ultime journée à …..Charleroi.
Après la clôture de la saison 2005, Robert décide à 66 ans de prendre sa retraite.
Il comptabilise plus de 800 matchs en championnat de Belgique sans compter
ceux de la sélection nationale.
Bravo Robert.
33

Bénévolat (suite) Le 18 novembre 2009
Une nouvelle année scolaire est commencée, l’année passée, suite à un
malaise d’un de nos membres, nous vous avions demandé que ceux qui pouvaient
donner un coup de main pour gérer une situation semblable de se faire
connaître au secrétariat.
Nous avons reçu des réponses de Docteurs et d’infirmières, le Conseil
d’administration de notre U3A remercie ces bonnes volontés.
Mais (il y a toujours un "mais") nous aimerions pouvoir couvrir toutes
les demi-journées d’une semaine de cours, pour ce faire et pour vous tenir au
courant de nos possibilités, voici ci-dessous un tableau récapitulatif :
Journées Matin Après-midi
Mme Chavet Renate Mr. Collard Marcel
Lundi
Mardi
Mercredi
Jeudi
en salle n°11
Mr. Szocs Peter
en salle n°11
Mme Geukenne Monique
salle n°11
Mr. Geortay Pierre
en salle n°7
Mme Geukenne Monique
salle n°11
Mme. Compere Françoise
- salle n°14
en salle n°8
Mme Clerdain Michele
en salle n°2
Mme Lambretch M.- Claire
en salle n°11
Mme Demontjoye M.- Christine
en salle n°2
Mme. Boniver Lucie
en salle n°3
Vendredi
Pas de cours.
D’un premier coup d’œil, vous voyez le résultat de notre appel, et
vous voyez aussi qu’il y a des vides et nous aimerions absolument les combler.
C’est pourquoi, nous réitérons notre appel. Nous espérons trouver les
quelques volontaires pour remplir la grille.
En sachant que nous pouvons compter sur vous, nous vous remercions d’avance.
34
Pour le C.A. Jacques Prignon

Mesdames, Messieurs,
Vous avez sans doute pu remarquer le collecteur en carton ‘Oxfam Solidarité’ qui
se trouve dans le hall d’entrée de l’immeuble. Il est destiné à accueillir des livres
en bon état mais dont vous n’avez plus l’usage.
Oxfam Solidarité est en effet actif dans la récupération et la valorisation d’articles
de seconde main, dont des livres en tous genres (romans, poches, atlas, dictionnaires,
enfants, BD, culture, voyages, …).
Le but de cette collecte permanente est de donner une seconde vie aux livres,
qu’ils servent à perpétuer l’économie sociale développée par Oxfam Solidarité
dans ses magasins, qu’ils facilitent l’accès à la lecture et alimentent la curiosité
de tous les publics grâce à des prix très accessibles ou encore qu’ils contribuent
à mener à bien des projets humanitaires. In fine, ces dons servent à financer les
actions d’Oxfam Solidarité tant en Belgique qu’à l’étranger.
Nous remercions vivement l’université du 3 ème âge et ses participants pour leur
aimable collaboration et leur générosité.
Nous vous invitons à venir découvrir nos magasins de seconde main en région
liégeoise.
Vous y trouverez : Vêtements, Meubles, Informatique, Déco, Vaisselle, Brocante,
Livres, Jouets …à petits prix !
Rue Saint-Gilles, 29
Rue de la Casquette, 19
Rue Saint Severin, 117
(4000 LIEGE) Bookshop
(4000 LIEGE)
(4000 LIEGE)
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LE MAROC HAUTREMENT
. Invitation à la découverte.
Du 5 au 16 mai 2010
La fête des roses – Les gorges du mont M"Goum et du Dades.
Nous vous proposons 11 jours de découverte dans le Haut Atlas
(Au cœur de l’Atlas, au milieu des gorges et d' enfilade de canyons, des roses
fleurissent à 1500 m d’altitude. On les appelle les roses de Damas.
A la fin de la cueillette, tout le Sud Marocain se retrouve dans la Vallée des Roses
pour quatre jours de fêtes La Fête des Roses est le point de départ du circuit,
nous sillonnerons à pied des sentiers traversant des contrées isolées, parsemées
de petits villages berbères aux coutumes ancestrales Nous visiterons les
gorges du Dadès, le canyon du Tamlat, la Tortue et les gorges du mont M'Goum.
Cette superbe traversée de l’atlas est accessible à tous, quelque soit l'expérience
en matière de randonnée.
Chaque jour, il vous sera proposé de participer à une séance de yoga.
Logement sous tente et chez l'habitant.
Du 26 au 6 juin 2010
Toubkal et Sirwa, le pays du safran.
12 jours de randonnée pour les plus sportifs (niveau bon randonneur). Avec
l'ascension dans le Haut Atlas du Toubkal (4167m) et du Jbel Sirwa (3300m), un
massif volcanique constitué de tours rocheuses, parsemé de nombreux oasis où
poussent palmiers, amandiers, lauriers roses et champs de safran.
Deux points forts:
* Des sentiers perdus nous mèneront au pied du Jbel Toubkal dont nous ferons
l'ascension. Situer à 60 km au sud de Marrakech, il est tout proche du Sahara.
* Le Sirwa est le trait d’union entre le Haut Atlas et l’Anti-Atlas. Massif semivolcanique,
il culmine à 3300m d'altitude. C’est un domaine à part, un univers minéral
et désertique. Son flanc nord est parsemé de larges pâturages.
Chaque jour, il vous sera proposé de participer à une séance de yoga.
Logement sous tente et chez l'habitant.
Réunions d'information: le 16 janvier 2010 à 15h et le 6 février 2010 à 15h.
Pour une rencontre des uns et des autres et préparer au mieux les voyages.
Vous retrouvez dès le 20 décembre le programme détaillé de ces deux voyages
sur le site : www.yogaliege.com
Adresse : Marianne Chardome
Rue Jonruelle 63 - 4000 Liège
Téléphone: 04.227.83.15 - GSM : 0497.45.45.30
E-mail: marianne_yoga@hotmail.com
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L’éco-driving en « pole position »
Définition de la Conduite Responsable
L’éco-driving ou « éco-conduite » pour les puristes, est un ensemble de comportements
au volant qui permettent au conducteur de consommer moins de carburant,
et d’émettre moins de CO2, mais il y a plus que cela.
Pour pratiquer l’éco-driving, il convient notamment de rouler à vitesse stable, de
lâcher l’accélérateur à temps au lieu de freiner au dernier moment, de suivre le
flux du trafic et d’anticiper… Une formation est donnée par moniteur expérimenté
aux nouveaux conducteurs afin d’acquérir rapidement tous ces réflexes.
Mais nous, le 3 ème âge, qui possédons cette expérience depuis longtemps.
Agissons nous pour que l’éco-driving soit également notre manière de conduire ?
Il existe plusieurs bons arguments pour pratiquer de cette manière.
La sécurité :
Rouler moins agressivement contribue à accroître sa sécurité et celle des autres
usagers.
Il n’est pas rare de voir de nombreux véhicules freiner en catastrophe derrière
des files de voitures à l’arrêt ou presqu’à
l’arrêt…D’autres vous dépassent
sur la voie rapide alors que
moins de 100m plus loin
(queue de poisson) ils vous bar-
rent le passage… pour
sortir de l’autoroute à votre
nez et à votre barbe…
Combien d’insouciants ne
montent- ils pas en diagonale
sur l’autoroute, en
passant 1 voir 2 bandes de
roulement, si pas une li- gne blanche continue ?
Les mêmes vous obligent
souvent à ralentir brusquement, et à
changer brusquement votre trajectoire….
Si vous n’anticipez pas toujours à la « scène », vous êtes en danger !
Le confort :
L’éco-driving a un impact positif sur le bruit et donc sur le confort du conducteur
et de ses passagers. Conduire demande toute votre attention, votre « prévision »
de la manœuvre que fait l’autre usager devant vous, de votre méfiance des angles
morts, du virage caché, de la « bosse » qui vous masque la route devant
vous, de l’enfant ou la personne âgée qui peut surgir entre deux voitures en stationnement,
ou survenir brusquement sur un passage pour piéton… et j’en passe
certainement beaucoup d’autres !
Rouler concentré tout en prévoyant ce qui pourrait se passer, c’est rouler >>>
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prudemment en de- dans des possibilités de
votre véhicule et donc du
bien-être des personnes
que vous transporter en
toute sécurité dans votre
voiture.
Finalement, on remar-
que que les conducteurs
qui considèrent l’éco-
driving comme important,
et qui le pratiquent, sont
aussi ceux qui dans leur
vie de tous les jours ma-
nifestent d’autres gestes
écologiquement respon-
sables. Dans cette catégorie
de conducteurs on
trouve en effet des citoyens
qui déclarent opter pour le « vert » dans leurs achats, qui pratiquent le
recyclage ou qui empruntent également les transports en commun chaque fois
qu’ils le peuvent….« Le plein gré est la meilleure source de motivation »
(extrait de l’article de Grégoire Comhair)
(La Libre Belgique)
Jimmy Bollekens
Administrateur
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De l’olivier à l’huile d’olive.
L’olivier serait apparu, sous une forme sauvage, il y a plus de 14 .000 ans.
Sa culture aurait débuté plus de 4.000 ans avant Jésus-Christ.
Arbre hautement symbolique et riche, ses utilisations sont nombreuses et reconnues
: nourriture, combustible pour l’éclairage, soin pour la peau et les rhumes,
décoctions pour tisanes etc. L’olivier force le respect des hommes. Son histoire
qui semble vieille comme le monde se confond avec celle de la Méditerranée.
On dénombre plus de cent variétés d’oliviers.
Depuis la nuit des temps, on vénère cet arbre sacré et on découvre rapidement
les bienfaits de sa précieuse huile. Celle-ci offre une étonnante protection
contre les maladies cardio-vasculaires, aide à réduire le mauvais cholestérol et
à augmenter le bon et favorise ainsi la prévention de l’infarctus du myocarde.
Considérée comme un « aliment santé » par sa richesse en acides gras monoinsaturés,
elle est un véritable nettoyeur et protecteur des artères, du système
digestif et biliaire. L’utilisation régulière de l’huile d’olive combinée avec une
nourriture équilibrée donneraient, d’après une grande enquête de santé publique
effectuée en Europe dans les années 60, une espérance de vie supérieure.
L’huile d’olive peut être utilisée crue ou cuite. Elle résiste mieux à la chaleur
(210 degrés) que les autres huiles (180 degrés).
L’huile d’olive extra vierge est de qualité supérieure ;
son acidité est limitée à 0,8 %. Notons que plus le
taux d’acidité est bas, meilleure est la qualité. Cette
huile est obtenue à partir du fruit de l’olivier uniquement
par des procédés mécaniques ou physiques qui
n’altèrent pas l’huile. Les seuls traitements sont le lavage,
la décantation, la centrifugation ou la filtration.
Le mode d’extraction, « première pression à froid »,
c’est-à-dire en dessous de 27 degrés, est conforme à la réglementation européenne
: aucune source de chaleur ni aucun produit chimique n’interviennent
dans le processus. Le deuxième producteur mondial d’huile d’olive, avec un
pourcentage de 20,2 %, est l’Italie.
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Huile d’Olive Extra Vierge de Trevi
L’huile d’olive de la région de Trevi en Ombrie (Italie), commercialisée par
l’entreprise « Vins et Produits du Terroir », correspond à ces critères de production
stricts et peut se vanter d’afficher la mention D.O.P. Umbria (Denominazione
di Origine Protetta).
Les olives, de type Moraiolo, Frantoio et Leccino, récoltées dans le courant
du mois d’octobre, sont transformées en huile dans un délai de quelques heures
après la cueillette. On évite ainsi l’oxydation qui en affecte le goût. D’une couleur
verte intense, aux parfums complexes et très élégants, cette huile exprime au
mieux les caractéristiques des olives et de la zone de production située sur les
flancs du Monte Serano entre Assise et Spoleto.
Nazzareno Capocci
Vins et Produits du Terroir
www.vinsetterroir.com
nc@vinsetterroir.com
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