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Special formation Rhône-Alpes - Partenaire.fr

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COMMUNIQUÉ<br />

RHÔNE-ALPES<br />

ÉDITION<br />

2013<br />

SPÉCIAL<br />

FORMATION<br />

© THINKSTOCK.<br />

> QUELS SONT<br />

LES SECTEURS<br />

QUI RECRUTENT?<br />

> RHÔNE-ALPES,<br />

UNE RÉGION<br />

DYNAMIQUE<br />

> DES ÉCOLES<br />

À L’ÉCOUTE<br />

DU MARCHÉ<br />

COMMUNIQUÉ DU 12 DÉCEMBRE 2012


RHÔNE-ALPES<br />

SPÉCIAL FORMATION<br />

COMMUNIQUÉ<br />

© GETTY IMAGES.<br />

Quels emplois pour<br />

quelles <strong>formation</strong>s ?<br />

Dans un contexte d’hypothèse de<br />

croissance économique faible,<br />

difficile de prédire l’avenir. Sur<br />

un marché dont l’évolution se<br />

mesure désormais de façon mensuelle, annoncer<br />

les filières qui recrutent semble relever<br />

de l’utopie… Néanmoins, l’analyse des<br />

données de l’année 2012 indique que<br />

quelques grands secteurs embauchent encore:<br />

l’informatique, l’ingénierie (dans tous<br />

les domaines), les métiers du commerce ou<br />

de la santé pour les cadres, les services à la<br />

personne et aux entreprises, ou l’hôtellerie<br />

pour les moins diplômés. Le tout sans forcément<br />

bouger de la région Rhône-<strong>Alpes</strong>,<br />

territoire privilégié en matière d’emploi.<br />

«Il existe trois gros bassins d’emploi en<br />

Rhône-<strong>Alpes</strong> : Lyon, Grenoble et leurs agglomérations.<br />

Auxquels on ajoute la Haute-<br />

Savoie, un département très dynamique»,<br />

explique Fabienne Lehoux, responsable de<br />

la communication de Pôle Emploi Rhône-<br />

<strong>Alpes</strong>. «À la lecture des grandes tendances<br />

de 2012, pour les cadres, nous avons enregistré<br />

le plus grand nombre d’of<strong>fr</strong>es d’emploi<br />

dans le domaine informatique, suivi par<br />

une demande d’ingénieurs, tous secteurs<br />

confondus. Se distingue également un besoin<br />

en matière de commerce», poursuit la<br />

communicante. Des données qui devraient<br />

être valables au moins sur le 1 er trimestre<br />

2013 et qui sont confirmées par les résultats<br />

de l’enquête de besoins de main-d’œuvre de<br />

mai 2012, où l’on note un surcroît d’activité<br />

chez les ingénieurs, en recherche et développement,<br />

et en informatique pour les cadres.<br />

Des secteurs en demande<br />

L’APEC, dans son rapport sur le travail des<br />

cadres de février 2012, indiquait que «le<br />

secteur des services concentre 65% des opportunités<br />

d’emploi avec des projets de recrutement<br />

pour le commercial, la recherche<br />

et le développement et l’informatique».<br />

Paradoxe de ce marché de l’emploi, certains<br />

métiers ou secteurs peinent à recruter<br />

: il s’agit encore et toujours de<br />

l’informatique et des ingénieurs, mais<br />

aussi des cadres infirmiers, des cadres dans<br />

le domaine de l’animation sociale, culturelle<br />

et sportive, des aides-soignants, des<br />

aides à domicile, des employés de maison<br />

et de l’hôtellerie (essentiellement des employés).<br />

Des données qui devraient perdurer<br />

au moins jusqu’en 2015, si l’on se base<br />

sur le rapport du bureau d’in<strong>formation</strong>s et<br />

de prévisions économiques (BIPE) à l’horizon<br />

2015 (période 2007-2015). Les besoins<br />

de recrutement des jeunes devraient<br />

se faire au niveau des services aux particuliers,<br />

de la santé, du commerce, de l’enseignement,<br />

de l’informatique, du BTP, de la<br />

fonction publique, des professions juridiques<br />

et de l’action sociale, culturelle et<br />

sportive. Une note d’espoir dans un climat<br />

général plus que morose.<br />

12 DÉCEMBRE 2012 > 3


RHÔNE-ALPES<br />

SPÉCIAL FORMATION<br />

COMMUNIQUÉ<br />

L’informatique,<br />

une valeur sûre<br />

Poussé par l’essor du<br />

marché, le secteur informatique<br />

– qui va du<br />

développement aux ingénieurs<br />

en passant par les supports<br />

techniques – a fait<br />

transiter par le seul Pôle Emploi<br />

plus de 1 600 of<strong>fr</strong>es en<br />

Rhône-<strong>Alpes</strong>. Elles proviennent<br />

des nombreuses entreprises<br />

du secteur mais également<br />

d’autres, qui ont des besoins<br />

dans ce domaine. Toutes sont<br />

à la recherche de profils<br />

qualifiés et diplômés, avec,<br />

pour certaines, des difficultés<br />

à pourvoir certains postes…<br />

«La concurrence est rude»,<br />

déclare Sou Mookien, DRH<br />

d’OVH, un des premiers hébergeurs<br />

de sites web en<br />

France et en Europe. «Et, dans<br />

ce contexte, les candidats ont<br />

du choix.» Ce qui fait que le<br />

leader du marché se trouve face<br />

à une pénurie de profils.<br />

Le <strong>fr</strong>ein de la mobilité<br />

« Même si nous attirons de<br />

nombreux experts et de vastes<br />

compétences», poursuit la responsable,<br />

« au moment de la<br />

décision finale, beaucoup renoncent,<br />

la plupart pour des<br />

raisons personnelles. Ils ne<br />

veulent pas quitter leur région<br />

pour Roubaix, dans le Nord, là<br />

où nous sommes installés.»<br />

Cette assurance de trouver un<br />

emploi procure indéniablement<br />

de la sérénité aux étudiants, tel<br />

Jonathan Baudoin, actuellement<br />

en contrat en alternance<br />

en tant que chef de projet web<br />

chez SQLI, une SSII de 2000<br />

personnes ayant une agence à<br />

Lyon: «Après ma licence professionnelle,<br />

j’ai choisi de faire<br />

à l’ESDES (école de commerce<br />

lyonnaise) un master en management<br />

et en stratégie de l’entreprise,<br />

toujours en alternance.<br />

Je n’ai eu aucun mal à trouver<br />

une entreprise pour m’accueillir.<br />

J’étais déjà<br />

chez SQLI. Ils<br />

ont préféré<br />

me suivre pour mon année<br />

d’apprentissage supplémentaire<br />

plutôt que de devoir reformer<br />

quelqu’un d’autre.»<br />

Alors, pour contourner le problème<br />

de la mobilité, OVH a<br />

décidé de s’implanter dans plusieurs<br />

villes <strong>fr</strong>ançaises, dont<br />

Lyon, pour se rapprocher de<br />

son vivier, les ingénieurs en informatique.<br />

Adossée à « une<br />

région à forte activité et dynamique»,<br />

l’entreprise compte<br />

ainsi rayonner, via son « OVH<br />

city, sur tout le sud de la<br />

France».<br />

200 recrutements en 2013<br />

Ouvert depuis un mois, un<br />

noyau dur a déjà été formé, et<br />

l’hébergeur espère recruter,<br />

d’ici deux ans, une cinquantaine<br />

de personnes. «À l’image<br />

de notre site de Roubaix, nous<br />

aspirons à grandir sereinement,<br />

régulièrement, en fonction<br />

de l’évolution de nos<br />

activités et des marchés.»Aujourd’hui,<br />

la société, créée il y<br />

a cinq ans, est en passe de <strong>fr</strong>anchir<br />

le cap des 600 salariés et<br />

table sur 200 recrutements en<br />

2013. «Avec comme objectif le<br />

doublement de nos effectifs à<br />

l’aube de 2015.» Pour développer<br />

sa filiale lyonnaise,<br />

OVH recherche entre autres des<br />

administrateurs système avec<br />

expérience, autonomes et responsables,<br />

mais surtout « passionnés<br />

et créatifs», conclue<br />

Sou Mookien.<br />

Sou Mookien,<br />

directrice des ressources<br />

humaines d’OVH.<br />

4 > 12 DÉCEMBRE 2012


RHÔNE-ALPES<br />

SPÉCIAL FORMATION<br />

COMMUNIQUÉ<br />

COMMUNIQUÉ<br />

Les ingénieurs<br />

ont toujours la cote<br />

Certes, un secteur en plein essor<br />

est un secteur qui recrute. Mais<br />

parfois, les typologies de poste<br />

transcendent les domaines et une<br />

<strong>formation</strong> donnée peut répondre à de nombreux<br />

besoins, en informatique par exemple,<br />

ou encore dans le secteur malmené de<br />

l’industrie ou dans celui, plus serein, du<br />

commerce.<br />

Le titre d’ingénieur ne peut être décerné<br />

que par l’une des 200 écoles <strong>fr</strong>ançaises accréditées<br />

pour cela. À côté de la prestigieuse<br />

École Polytechnique, de nombreux<br />

établissements régionaux jouissent d’une<br />

excellente réputation, à l’image de l’Insa<br />

Lyon ou de l’École supérieure de chimie<br />

et de physique électronique (CPE) de<br />

Lyon, l’une publique, l’autre privée, mais<br />

qui entretiennent des liens étroits et<br />

constructifs.<br />

Des secteurs porteurs<br />

«Les écoles d’ingénieurs ont une réputation<br />

justifiée par rapport à l’emploi, en<br />

électronique, en informatique – toujours<br />

lui! – en robotique, mais aussi en chimie»,<br />

annonce Gérard Pignault, directeur de<br />

CPE. «S’il est vrai que 100% de nos étudiants<br />

de la filière informatique et réseaux<br />

de communication trouvent un emploi<br />

Gérard Pignault, directeur de CPE.<br />

© ROMAIN ÉTIENNE/ITEMCORPORATE.<br />

1 ER GROUPE MONDIAL DE L’ENSEIGNEMENT<br />

DU MANAGEMENT DE L’HÔTELLERIE-TOURISME<br />

Vatel rayonne<br />

depuis Lyon<br />

D<br />

ans un contexte économique<br />

difficile, l’industrie du tourisme,<br />

et plus particulièrement l’hôtellerie<br />

internationale, tire son épingle du<br />

jeu. Pourvoyeuse d’emplois, elle<br />

recrute sans cesse des cadres opérationnels<br />

et des cadres dirigeants<br />

spécialisés. Depuis plus de 30 ans,<br />

Vatel International Business School<br />

Hotel &Tourism Management, s’adapte<br />

aux exigences de ces professionnels.<br />

Le modèle d’enseignement,<br />

qui a fait ses preuves, est dispensé<br />

dans 30 établissements à travers le<br />

monde à 7 000 étudiants de nationalités<br />

et d’horizons différents. Le<br />

Groupe se développe de façon cohérente<br />

et maîtrisée, s’appuyant sur<br />

des valeurs essentielles: échange,<br />

cohésion et humanisme, le tout<br />

impulsé depuis son siège implanté<br />

à Lyon.<br />

Une école de management<br />

au cursus professionnalisant<br />

Il suffit d’observer le campus de<br />

Vatel, à Nîmes, site pilote du Groupe,<br />

pour comprendre en un regard la<br />

mise en œuvre concrète de la vision<br />

pédagogique d'Alain Sebban, son<br />

Président-fondateur. D’un côté, se<br />

dresse un hôtel 4 étoiles avec spa,<br />

piscine, restaurants d’application et<br />

de l’autre côté, une école. Le tout<br />

étant relié par une passerelle. Celle<br />

du transfert de témoins, de la théorie<br />

vers la pratique et de la pratique<br />

vers la théorie, l’une n’allant jamais<br />

sans l’autre. Car c’est bien là le<br />

fondement de l’esprit Vatel : l’alternance<br />

construite et maîtrisée de la<br />

théorie universitaire et de l’expérience<br />

professionnelle. D'une part,<br />

elle associe les spécificités de l’hôtellerie<br />

internationale aux fondamentaux<br />

d'une Business School (finance,<br />

gestion, marketing, ressources humaines...)<br />

; d'autre part, elle met les<br />

étudiants en situation pratique dans<br />

les restaurants et hôtels d’application<br />

et/ou hôtels partenaires de<br />

l’école, véritables lieux de <strong>formation</strong><br />

concrète et opérationnelle. Enfin,<br />

elle prépare crescendo les étudiants<br />

aux conditions réelles du management<br />

: les étudiants de 1 ère année<br />

◗◗◗<br />

6 > 12 DÉCEMBRE 2012


COMMUNIQUÉ<br />

RHÔNE-ALPES<br />

FORMATION<br />

COMMUNIQUÉ<br />

◗◗◗<br />

sont encadrés par les étudiants de<br />

2 e année, eux-mêmes dirigés par<br />

les étudiants de 3 e année.<br />

Ce principe pédagogique, consolidé<br />

par les stages en entreprises, est<br />

une des conditions du succès des<br />

diplômés Vatel dès leur arrivée sur<br />

le marché du travail.<br />

Par ailleurs des outils académiques,<br />

exclusivement conçus par Vatel,<br />

mettent à l'épreuve les aptitudes<br />

au management des étudiants : le<br />

Vatel International Business Game,<br />

un simulateur de gestion d’entreprise<br />

virtuel et le Vatel Concept Awards,<br />

un concours prospectif et international<br />

sur les sujets de développement<br />

durable.<br />

30 campus dans le monde<br />

Durant leur cursus, les étudiants<br />

préparent deux titres d'État certifiés<br />

et enregistrés au RNCP : le Bachelor’s<br />

Degree in International Hotel<br />

Management, titre niveau II équivalent<br />

Bac+3, et le Master Degree in<br />

International Hotel Management,<br />

titre niveau I équivalent Bac+5.<br />

Conscient des enjeux de l'hôtellerie<br />

internationale, Alain Sebban choisit<br />

dès la création de Vatel un modèle de<br />

développement cohérent, raisonné,<br />

fondé sur des bases solides. Il se<br />

concentre tout d’abord sur la France<br />

et crée la première école à Paris en<br />

1981, puis ouvre à Lyon en 1984.<br />

En 1989, il construit l'école de<br />

Nîmes qui deviendra site pilote et<br />

signe une première <strong>fr</strong>anchise à Bordeaux<br />

en 1994. Dès lors, il développe<br />

les implantations par grandes<br />

zones d’influences touristiques.<br />

Ainsi, chaque école Vatel couvre un<br />

territoire : au Québec, Vatel s’étend<br />

sur le nord du continent américain<br />

tandis que les écoles du Mexique, de<br />

Buenos Aires ou d’Asunción attirent<br />

les étudiants d’Amérique centrale<br />

et du Sud. De Tunis et de Marrakech,<br />

Vatel irradie sur le continent<br />

a<strong>fr</strong>icain. Au Moyen-Orient, l’Arabie<br />

Saoudite rassemble l’essentiel des<br />

étudiants autour du Golfe persique.<br />

Les écoles de Bangkok, Ho Chi Minh,<br />

Manille et Singapour se développent<br />

sur toute l'Asie. En Europe, les étudiants<br />

peuvent choisir d'étudier en<br />

<strong>fr</strong>ançais, en anglais ou en espagnol<br />

à Paris, Lyon, Nimes, Bordeaux,<br />

Bruxelles, Madrid et Martigny en<br />

Suisse.<br />

Désormais, le groupe Vatel, dont le<br />

siège est à Lyon, compte 30 écoles<br />

dans le monde qui dispensent toutes<br />

le même concept d'enseignement<br />

et encouragent l’échange de leurs<br />

étudiants dans le cadre du Programme<br />

Marco Polo.<br />

Fort d'un savoir-faire maîtrisé depuis<br />

plus de 30 ans, d'un enseignement<br />

très professionnalisant<br />

dispensé à 7 000 étudiants, d'un<br />

réseau dynamique et précieux de<br />

25 000 diplômés exerçant dans les<br />

plus prestigieux établissements du<br />

monde, Vatel est devenu aujourd'hui<br />

le 1 er groupe mondial de l'enseignement<br />

du Management de l'Hôtellerie-<br />

Tourisme.<br />

8, rue Duhamel – Lyon 2 e .<br />

Tél. : 04 78 38 42 93.<br />

l.demoment@vatel.<strong>fr</strong><br />

www.vatel.<strong>fr</strong><br />

en moins de deux mois, la<br />

filière chimie et génie des procédés<br />

se porte bien, avec 95%<br />

d’employabilité au bout de deux<br />

mois, car des secteurs comme la<br />

cosmétiqueouleséco-industries<br />

sont très demandeurs.»<br />

Opter pour un profil<br />

généraliste<br />

En effet, les entreprises qui<br />

emploient des ingénieurs dans<br />

une fonction de recherche et<br />

développement souhaitent également<br />

des compétences en<br />

commerce, «des profils alliant<br />

la technique et les fonctions<br />

commerciales».<br />

La clé du succès ? « Un profil<br />

généraliste qui peut s’ouvrir<br />

sur un marché très large, avec<br />

La filière chimie et génie<br />

des procédés se porte bien<br />

avec des secteurs comme<br />

la cosmétique ou les écoindustries<br />

très demandeurs.<br />

une fonction managériale, intégrant<br />

une bonne dose de culture<br />

dans ces longues études,<br />

de façon assez large», commente<br />

Gérard Pignault.<br />

Stéphane Diacquenod, diplômé<br />

en juin 2012 en tant qu’ingénieur<br />

en informatique et<br />

actuellement employé chez<br />

Volvo IT, le confirme: «J’avais<br />

déjà un DUT en réseau de télécommunication.<br />

J’ai choisi de<br />

faire trois années d’études supplémentaires,<br />

car, avec le diplôme<br />

d’ingénieur, on n’a pas<br />

accès aux mêmes types d’emploi,<br />

l’évolution est plus qualifiée.»<br />

Un succès auprès des<br />

entreprises tout comme du<br />

côté des étudiants et jeunes diplômés.<br />

Réalisation <strong>Partenaire</strong> Publyme ● Éditeur déléguée : Amélie Baghdiguian - Assistante :<br />

Frédérique Roche - Tél. : 04 72 83 96 91 ● Coordination de la rédaction : Emmanuelle Radiguer<br />

● A participé à ce numéro : Stéphanie Borg ● Réalisation : Pôl’arts Lyon ● Publicité <strong>Partenaire</strong><br />

Régie : 15, rue Louis-Blanc, 69006 Lyon Contacts : Claudine Chartier, Élodie Dupard,<br />

Candice Guillon, Anne Jaudoin, Axelle Lamiche. Tél. : 04 72 83 96 96 (www.partenaire.<strong>fr</strong>).<br />

© THINKSTOCK.<br />

12 DÉCEMBRE 2012 > 9


RHÔNE-ALPES<br />

SPÉCIAL FORMATION<br />

Le commerce, voie royale ?<br />

Plus de 200 écoles de commerce,<br />

publiques, privées ou consulaires,<br />

se répartissent sur le territoire <strong>fr</strong>ançais.<br />

Ces <strong>formation</strong>s, alliant culture<br />

générale, management, finance,<br />

marketing, communication et commerce,<br />

sont toujours de bonnes références sur le<br />

marché de l’emploi. Preuve en est le nombre<br />

d’of<strong>fr</strong>es d’emploi cumulées sur le secteur<br />

et la facilité qu’ont certains diplômés<br />

à se faire embaucher.<br />

Alexandra Begier, 24 ans, diplômée d’un<br />

master I en marketing et management européen<br />

à l’Idrac, a choisi de poursuivre<br />

avec un master II Vente et Management<br />

commercial à l’IAE Lyon – « deux diplômes<br />

complémentaires», précise la jeune<br />

femme. Diplômée en juin 2011, elle n’a<br />

pas eu de mal à trouver un CDD chez<br />

Alexandra Begier et Charlotte Gautherin.<br />

Dexia Credit Local, puisqu’elle cumulait<br />

une double compétence finance et vente.<br />

Au terme de son contrat, elle a très vite été<br />

embauchée comme ingénieur des ventes<br />

chez le Figaro Classified, un site d’annonces<br />

classées liées à la <strong>formation</strong>. «Malgré<br />

la crise, il m’a fallu trois semaines<br />

pour retrouver un emploi après ma fin de<br />

contrat chez Dexia. Et j’ai eu le choix, j’ai<br />

opté pour un poste qui m’intéressait.»<br />

COMMUNIQUÉ<br />

Pour elle, le commerce «reste un secteur<br />

ouvert, qui touche à tous les domaines<br />

d’activité. Et qui embauche».<br />

Même évidence du côté de Charlotte Gautherin,<br />

diplômée de l’École internationale<br />

de commerce de Montpellier et d’un master<br />

en marketing et vente de l’IAE Lyon.<br />

Chef de produit chez Valeo, elle indique<br />

que «dans un secteur qui n’a pas toujours<br />

bonne presse, les équipementiers tirent<br />

plutôt bien leurs épingles du jeu.» Loin<br />

des idées reçues : « Après mon diplôme,<br />

j’ai tout de suite été embauchée en CDI<br />

chez un équipementier automobile. À la fin<br />

de mon contrat, Valeo, chez qui j’avais effectué<br />

mon stage de fin d’études, m’a fait<br />

une of<strong>fr</strong>e.» Le commerce, même dans l’industrie,<br />

of<strong>fr</strong>e encore des débouchés aux<br />

jeunes diplômés.<br />

Avec plus de 6 000 étudiants, l’IAE<br />

Lyon, plus gros centre du nom après<br />

Paris-Dauphine, se place en tête des établissements<br />

régionaux. Construite sur le<br />

modèle des Business Schools internationales,<br />

elle est partie prenante de l’Université<br />

Jean-Moulin Lyon 3, dont elle tire<br />

profit. Une alliance unique, savant dosage<br />

du management et des humanités, que nous<br />

détaille Jérôme Rive, son directeur.<br />

Quellessontlesspécificitésdel’IAELyon?<br />

Jérôme RIVE : L’IAE Lyon, école universitaire<br />

de management, se distingue par<br />

sa taille et par son of<strong>fr</strong>e diversifiée. Nous<br />

accueillons les étudiants dès le post-bac,<br />

RHÔNE-ALPES<br />

SPÉCIAL FORMATION<br />

IAE LYON<br />

Une passerelle entre cultures<br />

entrepreneuriale et générale<br />

Jérôme Rive,<br />

directeur<br />

de l’IAE Lyon.<br />

où ils peuvent acquérir les fondamentaux<br />

de la discipline. Nous proposons une licence<br />

générale, des licences sélectives accessibles<br />

sur concours, et plusieurs licences<br />

professionnelles, avec sortie immédiate sur<br />

le marché du travail. Nous dispensons de<br />

© D. VENIER/UNIVERSITÉ J.-MOULIN LYON 3.<br />

COMMUNIQUÉ<br />

nombreux masters, dont certains bénéficient<br />

d’une double compétence. L’IAE<br />

Lyon, c’est aussi des chargés d’emploi qui<br />

épaulent nos étudiants dans la construction<br />

de leurs projets professionnels, ce qui fait,<br />

par exemple, que 90 % de nos jeunes diplômés<br />

de master et de licence professionnelle<br />

ont un emploi (données à 6 mois).<br />

Pour vous, le management et les humanités<br />

sont indissociables. Pourquoi ?<br />

Le management est un exercice de dialogue<br />

permanent avec les humanités.Avoir<br />

la technique, c’est essentiel. Mais les attentes<br />

des entreprises vont au-delà du savoir-faire.<br />

Elles recherchent aussi des<br />

managers capables de savoir-être. Les humanités,<br />

c’est aussi le monde qui nous entoure,<br />

et, si nous permettons à nos étudiants<br />

de bénéficier de notre vaste réseau de partenaires,<br />

nous apportons aussi l’international<br />

à Lyon. Nous favorisons l’ouverture<br />

d’esprit et la culture générale, indispensables<br />

à tout manager.<br />

10 > 12 DÉCEMBRE 2012<br />

12 DÉCEMBRE 2012 > 11


RHÔNE-ALPES<br />

SPÉCIAL FORMATION<br />

COMMUNIQUÉ<br />

RHÔNE-ALPES<br />

SPÉCIAL FORMATION<br />

COMMUNIQUÉ<br />

Ecoris<br />

Une présence<br />

régionale,<br />

une force nationale<br />

Depuis sa création, en 1980,<br />

Ecoris mise sur l’alternance<br />

pour une intégration rapide<br />

dans le monde du travail.<br />

Désormais, ses quatre écoles<br />

régionales – Annecy, Chambéry,Albertville,Annemasse<br />

–<br />

proposent 24 <strong>formation</strong>s liées<br />

au secteur tertiaire à près de<br />

900 étudiants.<br />

«Il faut de l’expertise pour intégrer<br />

le monde du travail»,<br />

indique Marc Bévillard, le directeur<br />

général d’Ecoris, « et<br />

cette entrée dans l’entreprise<br />

se fait par le biais de l’alternance.»Une<br />

voie royale pour<br />

accéder au marché du travail,<br />

puisque «91% des diplômés<br />

de l’école ont un emploi après<br />

six mois» et, chif<strong>fr</strong>es encore<br />

plus révélateurs, «70% d’entre<br />

eux directement à la sortie<br />

de l’école», poursuit-il.<br />

Car la force d’Ecoris réside<br />

dans son système d’accompagnement<br />

«des étudiants, mais<br />

aussi des entreprises». En<br />

effet, chaque projet est analysé,<br />

suivi par « des conseillers en<br />

<strong>formation</strong> avant et pendant<br />

l’alternance. De plus, l’étudiant<br />

bénéficie d’un vrai programme<br />

de <strong>formation</strong>.»<br />

Un programme<br />

de <strong>formation</strong> national<br />

Spécialisée dans l’enseignement<br />

supérieur dans le secteur<br />

tertiaire, de niveau Bac +2,<br />

Bac +3 et Bac +5, Ecoris puise<br />

sa force en région et rayonne<br />

surleterritoire,puisqu’unréseau<br />

national d’écoles partenaires<br />

dispense son programme. «Un<br />

gage de sérieux pour un diplôme<br />

commun, permettant aux<br />

diplômés de valoriser, en plus<br />

de leur diplôme, leur savoirfaire<br />

sur tout le territoire»,<br />

conclut Marc Bévillard.<br />

+<br />

ECORIS : Chambéry,<br />

Annecy, Annemasse,<br />

Albertville<br />

www.ecoris.com<br />

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PLUS SIMPLES ET PLUS RAPIDES<br />

■ déclaration préalable à l’embauche de vos salariés (DPAE)<br />

■ déclaration et paiement de cotisations<br />

■ attestations de marchés publics et de vigilance<br />

■ consultation de la situation de votre compte Urssaf<br />

■ l’in<strong>formation</strong> sur l’actualité réglementaire<br />

et bien d’autres services…<br />

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12 > 12 DÉCEMBRE 2012<br />

12 DÉCEMBRE 2012 > 13


RHÔNE-ALPES<br />

SPÉCIAL FORMATION<br />

COMMUNIQUÉ<br />

IPAC<br />

Développeur<br />

de talents<br />

Vingt-cinquième dans le top 50 des<br />

meilleures écoles de commerce du<br />

classement du Figaro 2012, 6 e dans le<br />

top 20 de l’apprentissage, 27 e au classement<br />

des écoles en alternance (Aujourd’hui/Le<br />

Parisien), l’Ipac, école de<br />

commerce et de management, cumule<br />

les bons points. Véritable développeur<br />

de talents, elle ne cesse d’innover avec<br />

une constante : intégrer l’étudiant au<br />

cœur du dispositif, à l’écoute de ses attentes<br />

et ses besoins, respectueux de son<br />

bien-être. Avec ses cinq établissements<br />

– Annecy, Chambéry, Albertville, Annemasse<br />

et Genève – et son centre d’elearning<br />

– une plateforme permettant<br />

d’apprendre les ressources humaines, le<br />

marketing ou le tourisme en ligne vingtquatre<br />

heures sur vingt-quatre, sept<br />

jours sur sept, n’importe où dans le<br />

monde –, l’Ipac propose près de 40 cursus<br />

de <strong>formation</strong>.<br />

Une bonne implantation locale<br />

Tous ses diplômes, en management, en<br />

gestion, en affaires internationales, en<br />

marketing communication, en tourisme,<br />

en économie sociale et solidaire, en ressources<br />

humaines, sont reconnus par<br />

l’État et dispensés en <strong>formation</strong> initiale,<br />

en contrat d’apprentissage ou d’alternance.<br />

Sans oublier la <strong>formation</strong> continue,<br />

un nouveau département à vocation<br />

professionnelle, à destination des salariés<br />

et décideurs régionaux.<br />

Bien implantée localement pour mieux<br />

s’ouvrir au monde, l’Ipac permet à ses<br />

étudiants de voir plus loin grâce à son<br />

réseau de cinquante universités partenaires,<br />

dont la prestigieuse Alliance<br />

University de Bengalore en Inde.<br />

Garder le contact<br />

Au-delà d’une <strong>formation</strong> solide, d’un diplôme<br />

reconnu, d’un réseau de partenaires<br />

et d’anciens étudiants dynamique,<br />

l’Ipac s’attache surtout à développer les<br />

talents d’une nouvelle génération d’étudiants,<br />

désireuse de conquérir le monde<br />

sans jamais se perdre de vue, en phase<br />

avec ses aspirations et ses aptitudes.<br />

+<br />

IPAC<br />

www.ipac-<strong>fr</strong>ance.com<br />

Un ancien étudiant témoigne<br />

Après avoir travaillé pendant<br />

huit ans dans un ski shop à La<br />

Clusaz et un an passé au Canada,BenjaminDubailreprend<br />

ses études à l’Ipac. Avec un diplôme<br />

en Management des<br />

UnitésCommercialesenpoche,<br />

et un concept inédit en tête, il<br />

selance,avecsuccès,dansl’entrepreneuriat.<br />

Rencontre.<br />

Pourquoi vous être lancé<br />

danslacréation d’entreprise<br />

Benjamin Dubail.<br />

à la sortie de l’Ipac ?<br />

Au retour du Canada, où j’ai<br />

testé des lunettes au design<br />

hors norme que j’avais trouvéesdanslegrenierdumagasin<br />

oùjetravaillais,j’aidécidédereprendre<br />

mes études. L’entrepreneuriataétéunevoieroyale<br />

pour ne pas avoir à chercher<br />

du travail après mon diplôme :<br />

j’avais l’idée, le concept, la <strong>formation</strong><br />

et le marché s’est ouvert<br />

à moi.<br />

Dans votre quotidien, votre<br />

<strong>formation</strong> est-elle importante<br />

?<br />

Je suis gérant de la société<br />

Mil<strong>fr</strong>ance à Annecy ; je m’occupe<br />

du développement de<br />

nouveaux produits, de la<br />

prospection en France et à<br />

l’international, de la relation<br />

fournisseurs, de la production<br />

ou de la communication.<br />

Autant d’éléments acquis à<br />

l’Ipac !<br />

14 > 12 DÉCEMBRE 2012

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