JOHANN VON HERBECK - nca - new classical adventure

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sche du déroulement Talent des jungen de la création Musikers. : « Von L’œuvre 2002 est bis écrite Ende avec 2004 accompagnement
war Irénée Peyrot
pour Organist orgue, und instrument Kantor an qu’il der Johannes-Kirche aimait tant. […] L’œuvre zu Ahrensburg. est parmi 2005 les meilleures ist er einer
de Berufung Herbeck als – Kantor sans doute und Organist la plus magnifique an der Marktkirche parmi ses zu œuvres Halle (Saale) orchestrales. gefolgt.
On peut vraiment dire qu’il l’a écrite avec son cœur et son sang. Ses nerfs
furent HAMBURGER tendus à l’extrême, SYMPHONIKER
ses pouls tremblèrent, pendant plusieurs jours il ne
prit Die Hamburger presque point Symphoniker de nourriture, wurden même 1957 pendant gegründet. le temps Erster bref Chefdirigent qu’il voua, le war soir,
à Robert sa recréation, Heger. Seit il ne September trouva guère 2004 de ist repos, Andrey et le Boreyko sommeil neuer le fuit. Chefdirigent Quand il avait des
fini, Orchesters. il dit à sa Stammsitz femme : ‚Marie, des Orchesters je t’assure, ist si die cette Hamburger symphonie Musikhalle. n’aura pas de succès,
Seit seiner je vais Gründung abandonner hat la das composition Orchester !’ mit ». vielen bekannten Dirigenten wie
Herbeck Charles Mackerras, écrivit la symphonie Leif Segerstam, pour le Horst grand Stein, orgue Ralf Ladegast Weikert inauguré und Placido en 1873
dans Domingo la Salle gearbeitet. dorée du bâtiment de la Société des Amis de la Musique de Vienne.
Viele Non internationale sans orgueil, Solisten il voyait wie dans Maurice son œuvre André, la Martha première Argerich, symphonie Alfred à Brendel, combiner
Christoph l’orgue Eschenbach, avec l’orchestre David – neuf Geringas, ans avant Christian la célèbre Tetzlaff symphonie oder Frank-Peter d’orgue Zimmermann
Camille sind zusammen Saint-Saëns. mit La dem première Orchester audition aufgetreten. avait été prévue pour l’au-
du
Français
tomne Der Wirkungsbereich 1877, les Philharmonistes des Orchesters ayant umfasst approuvé neben la symphonie Symphonie- de und leur Kammerkonzerten
auch après Operngalas, une lecture Opernvorstellungen sous la direction du in compositeur. der Hamburgischen Pourtant Staats-
l’œuvre
chef
d’orchestre
ne oper connût und Ballettaufführungen sa création publique mit que der le Compagnie 25 novembre John 1877, Neumeier. peu de semaines Die Open-Airaprès
Rathauskonzerte la mort de Herbeck, erfreuen sich sous großer la direction Beliebtheit. de Hans Richter.
Suite Tourneen à des führten circonstances das Orchester défavorables, nach Italien, l’œuvre Spanien, sombre Dänemark, et grave ne in die put Türkei cependant
und andere pas obtenir europäische de succès Länder. auprès du public viennois et tomba rapidement en
oubli. Die Hamburger C’était du, Symphoniker sans doute au haben moins vielbeachtete partiellement, CDs à la mit structure Werken insolite von Rosetti, de la
symphonie. Woyrsch, Turina, Sa disposition Franz Schmidt, formelle Beethoven adopte en und effet A. Schnittke le modèle eingespielt. classique en qua-
tre mouvements, et même la disposition des tonalités se montre extrêmement
traditionnelle, avec les mouvements externes dans la tonique de ré mineur,
l’Andante au relatif clément de fa majeur et le Scherzo à la dominante de la
majeur. Seuls les mouvements 2 à 4 correspondent pourtant aux proportions
classiques de la répartition des tempos. Le premier mouvement n’est pas un
mouvement d’introduction vif et largement conçu tel qu’on l’attendrait d’une
symphonie écrite en 1877, mais un prélude, en grande partie en écriture canonique,
dont l’âpre harmonie et le mouvement à pas graves et tranquilles à la
manière d’un choral produisent un effet de sévérité archaïque. Ainsi cette pièce
se présente-t-elle quasiment comme la version orchestrée d’un arrangement de
choral de Bach. L’Andante et le Scherzo adoptant une forme en arche tripartite
(A-B-A), le Scherzo renonce cependant au Trio au sens usuel. Le Finale s’ouvre
enfin par un thème de huit mesures au fortissimo énoncé à l’orgue et aux vents
auquel les cordes à l’unisson opposent un contrepoint énergique. À partir de ce
matériau se développe une grande fugue strictement élaborée qui est interrompue,
à trois reprises, par de brefs intermèdes ponctués d’accords où les cordes
et les vents, soutenus par l’orgue, sont opposés les uns aux autres dans une
structure dialogante. La symphonie renonce donc entièrement à la forme de
sonate (Sonatenhauptsatzform) – cette même forme qui, avec ses thèmes
conçus en vue du contraste et sa partie de développement thématique, avait
permis l’évolution triomphale de la symphonie du milieu du XVIIIe siècle jusque
tard dans le XXe siécle. Choisissant pour les mouvements externes de sa sym-
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