dictionnaire

S N -...SILIlNCE, cli ..inité allégorique. On la repréCemoirfous la figure.d'un homme, renant un doigt fur fabOllche, ou fous la ligure d'une femme; & alors 011J'appelloit Mu.ta rhez les Larins, c'e(l.à·dire, Muerre.SILE NE. C'éroit un vieux Saryre, qui avait étolenourrider & le compagnol'l de 5acchus. Il 'lloma Curun âne pour accompagrier ce dieu da,a la conquêtetIu'il fit des lutles. A (ail rerour , il s'érablir dans le.c:aml'agnes d'ArcadIe. où il fe faifoit forr aimer defjeunes bergers & des jeunes bergeres. Il Re pafloir pa.un jour fans s'enivrer; mais il avoit le viu agréable.Yoyq EGLÉ.SILENIlS. On donnoit ce nom aux Saryres , quandils éwienr vieux. On entendoir alllft par 5,lénel. de.g~nies familiers. tels que celni dont 5Qcrare fe van·toir d'êrre wujours accompagné.SIL/CERNION. On nOllllllUÎC ailliÎ le feain qu'on{ervoir aux dieux Malles.SILVAIN. Voyer SYLVAIN.SIMOi"S , /leuve de Phrygie aux environs de Troie.Il s'oppofa aVec Scamandre. autre /leuve, par undébordement. à la .leCcente des Grecs qui venaientatfléger ceHe ville.SIMOlSIU s, jeune Troyen qui fut tué par Ajax.SINGA. furnom de Pallas.SINGIlS. VoytT CFRCOPES, PITHÉCUSE. Les Egyp·tiens adoroient les Singes.SINNIS, fameux brigand, 4iui déColoirles envirl'ln'de Corinthe. Il arrachoir ceux q'li wmboie!lC em,l.e{cs mains aux branches de deux gros al bres qu Ilavoir pliés & ahbaitfés juCqu'à rerre, lef'luels fe redrelIàntroui;,A'ull coup menoient en piéces les corp'de ces malheureux. Théfée le fir mourir de ce 111