12.07.2015 Views

Revue Musicale du Maroc

Revue Musicale du Maroc

Revue Musicale du Maroc

SHOW MORE
SHOW LESS
  • No tags were found...

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

PREMIERE ANNEE. - N° 4 LA REVUE MUSICALE MAI-JUIN 1930cS:a <strong>Revue</strong> <strong>Musicale</strong> <strong>du</strong> <strong>Maroc</strong>r--'~1111I1111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111I1111111111111111IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!IIIII1111111111111111111111111111111111111111111111111111111IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIllllluYSOMMAIRE----,! La Musique au Jardin, par FORTUNIO.t:1La Musique <strong>Maroc</strong>aine (2ème Art.) A. CHOTTIN.Chronique Théâtrale, par RA5nCNAc.Echos et Nouvelles.:. La Musique au <strong>Maroc</strong>. Les Beaux Disques : Mai 1930 « La voix de son Maître» ~.. ~! 1Chronique des Concerts, par H. DE STE C. « Columbia » et « Pathé ».o .~ ~ .i .~~~~~~~~~~~~~-~~~....~Direction et Administration :86, Rue de Bouskoura -:- .CASABLANCA Téléphone 4-75-----4·1-1--Prix: 3 Francs -Abonnements: 28 Francs


'62 LA REVUE MUSICALEDICI l'été : la musique s'évade de alles;elle emplit les dancings et les jardins.Avec la canicule, elle se fait légère,presque aérienne, et joue à l'émancipée.Pendant l'hiver, elle se plut, à ne fréquenterque les plus dignes, les plus grands,les meilleurs. Soudain, elle se fait exotique, et, dans lesàécors marocains de palmes et de poivrier, elle se laissealler à tou le caprice <strong>du</strong> voyage et des errances folles.De Beethoven, elle descend, si l'on peut dire, aux chansonshawaïennes; par de sus des millénaire de civilisation, nousvoudrion , par elle, par la mu ique importée chez nous etplus ou moins assimilée, nous faire une âme de primitif.Mode vieille comme l'après-guerrre, et dont on a pu rire,quelque temps, mais qui finalement nou aura façonné unesen ibilité neuve, ou enrichie de sen ations inédites.On songe invinciblement aux vers <strong>du</strong> poète mauditMon enfant, ma sœurange à la douceurD'aller là-bas vivre ensemble.Aimer à loisirAimer et mourir.Au pays qui te ressemble...ous ne omme pas allés, en foule, vers ces pays étranges,mais ils sont venus à nous, et nous ont pénétrés, d:abord,sauvagement, jusqu'à, de notre part, une réaction, descandale, mais maintenant, ils peuvent retourner chez eux,ils nous laissent leurs éclatants oripeaux, et nous ne seronsplus désormai ce que nou a ons été.Dans les jardin, où maintenant, pour quelques mois,nous nous reposerons, le oir, dans cette ombre propice auxvastes rêveries, quand nous aurons sacrifié aux anciens dieux,en haussant les épaules aux rythmes étonnants qui nousassailliront, nous connaîtrons aussi, qui que nous soyons,l'étrange sortilège de cette emprise de mélodies venue del'autre côté de l'O::éan, et qui, par des moyen sommaires etpuéril, nous prêndront les nerfs - et un peu de l'âme.C'est une mode, elle passera : ce propos de 1919, noune le disons plus, onze an plus tard: l'étrangère e t devenuechez nous un peu plus familière. Aujourd'hui, elle a pénétré,avec effraction à l'Opéra-Comique.Feuilletez les journaux des dernière semaine. A l'Op::ra­Comique, qu'a-t-on joué, aux applaudis ement <strong>du</strong> public etdes connai seurs ? Musique classique? Jon pas !Le habitu - de la salle Favart ont enten<strong>du</strong> ucce Ivement:une farce en un acte de M. Jacque Ibert: Angélique;un petit opéra-bouffe de M. Manuel Ro enthal : Rayon desoieries et une chanson de gest , mi e en mu ique par M. MareelDelannoy : « Le Fou de la Dame. »


LA REVUE MUSICALE 63Il Y a dans ces trois ouvrages, qui ont connu à Paris unevogue étonnante, de mérites certains, et qui le placent dansla lignée des meilleurs : mais chaque pièce a par surcroîtle rare bonheur d'avoir incorporé à sa substance quelquesunesdes trouvailles de cette musique exotique, acclimatéechez nous depui peu, et que les compositeur ont étudiéeavec amour, afin d'en tirer des effets inédits.Ain i, dans Angélique, la critique signale la tradition persitante <strong>du</strong> Barbier de éviile, ce qui n'e t pas peu, maitout à côté, dans l'évocation de Pifallah, roi des Bambaras,sur un rythme curieux et ahurissant, la mélancolie, l'ingénuitéprimitive et les trépignements des Africains.Rayon de soieries, pour une grande part, semble une pièceboulevardière. Elle se déroule en effet dans l'atmosphèred'un grand magasin. mais elle n'eut pas été écrite en 1930,si soudain n'apparaissait, encore et toujours, non pas cettefois le roi des Bambaras, mais la reine des îles Aloah.Prétexte ans doute, mais combien amusant, puisqu"il permetd'opposer les couplets de la banlieue parisienne auxblues d une reine exotique, sorte de barcarolles écrites avecun rare bonheur par un violoniste de talent.Il n'est pas jusqu'à la chanson de geste, avec son alluremo) ennageuse, où la musique nègre n'ait fait des siennes,avec se motif où e déchaîne le axophone, et qui se terminepar un final où l'auteur a tenté un mariage fou entrela musique classique et des de sins chromatique d'un parfuméquatorial.La voilà bien, l'Invasion noire, dont le capitaine Danritécrivit jadis pour nos imaginations d'enfant, les formidablespéripétie, mais que l'on n'eut jamai osé rêver se pro<strong>du</strong>irefoudroyante, <strong>du</strong>rable, sous les e pèces <strong>du</strong> Jazz et de la Guitare.FORT 10.


LP. REVUE MUSICALE[>LES GENRES DANS LA MUSIQUE MAROCAINEpar Alexis CHOTTIN(Deuxième article)La Musique Berbère, avons-nous dit, est surtout rythmique;c'est dire que la mélodie y est assez monotone etiruste. Jusqu'à présent, on ne saurait différencier ses « ,',10'des », si elle en a, et l'on ne peut que décrire approxima.tivement certains « leit-motiv » certains clichés mélodiquesjouant le rôle d'une trame sur laquelle brode l'exécutant ;dans l'un d'eux, enten<strong>du</strong> à Fès (tribu.... ) et identifié àRabat (tribu Zemmour), le chanteur émet d'abord uneHote prolongée suivie d'une série de balancements successifsde plus en plus rapidcs entre cette note et sa tiercemineure supérieure. Cette vocalise conclut sur un récitatifprécipité.Quant au rythme, il est au contraire, très accentué etbien caractéristique, sinon riche et varié. On y relève desgenres courants et universellement pratiqués, comme la me·sure binaire (le genre égal des Grecs : dactyle, spondée),la mesure ternaire (le genre double : trochée, chorée, ioni·que). Mais le rythme le plus fréquent, celui par lequel lesBerbère paraissenl s'exprimer avec le plus de sincérité etde véhémence, est la mesure à cinq temps (le genre sesquialtèredes Grecs, appelé aussi genre péonique ou quinaire).Curieuse oïncidence, ce rythme auquel les Anciens attri·buaient un caractère fébrile et enthousia te, et qui fut employésurtout dans le chansons crétoi e , accompagnée dedanses, se trouve être à la base de l'ahidous, ballet nationaldes Berbères, qui rappelle le dithyrambe corynlhien, consacréà Dionysos et comme lui, se distingue par la dispositioncirculaire <strong>du</strong> chœur, groupé autour de l'amessad, l'aulètedes Grecs.Réservons pour un complément d'informations, l'étudedes différents genres berbères, dont nous n'avons jusqu'àprésent que des descriptions tout externes.ou ne possédons pas encore de mélodies complètes surl'ahido.us, ~i. sur la cha~son dite aler~~, ou l'énigme (gengas),SI goutee des Berberes ; La cantllf'ne <strong>du</strong> voyaueur. latamawaït reste insaisissable ; la joute lyrique et s:tirique,la Zedayet, est à peine indiquée ; J'ahellet, d'inspirationreligieuse, s'apparente aux dikr des confréries musulma.nes et arabes, etc..., etc...'Mais nous ne pouvons pa sel' sous silence un genre trèsoriginal de la musique berbère, qui semble même d'uneautre essence, et constitue une forme d'art des plus attachantes,des plus impre ionnantes : le chant et la danse<strong>du</strong> Sous. Avec leurs mélodies con truites ur deux modeachelhi ~t gnawi, donc d'une part berbères et d'autre partsoudanalse~, avec leur rythme endiablé, avec leurs instrumenlsparticuliers : le « ribâb »monocorde et le naqûsau martèlement infernal qui se mêle au claqucment deleurs lalons, les danseurs <strong>du</strong> Sous, les« pelils dan eurschleuh », pourraient bien nous réserver des surpri es. Porisapplaudit depuis longtemps les ballets russes, il s'est en·thousiasmé pour le dan euses cambodgienne, pourquoin'accueillerait-il pa quelque jour une troupe choi ie, bienentraînée, de dan eurs chleuhs ?Alexis CHOTTI .(A suivre).


LA REVUE MUSICALE 65A L'ECOLE M ICIPALE DE MEK E~ M. Giaccardi, chef de musique <strong>du</strong> 2e Régiment Etranger,Juin, mois des concours, de.:; examens et des diplômes.Directeur de l'Ecole de Meknès.Plus qu'on ne l'imagine, les Conservatoire et le Ecole Mu·Ce jury réunissait, emble-t-il, toutes les garanties nécessairesnicipales groupent une clientèle fervente d'élèves attirés parle arts, petite élite que le pouvoirs public et l'opiniondevraient particulièrement choyer pour ce qu'elle représentede compétence et d'indépendance.BEETHOVE A RABATde rare et de' précieux.On admirera que dans une ville comme Meknès, l'effortdéjà effectué, ait permis des ré ultats solides autant quebrillants, avec des concours que les promoteur n'ont padédaigné d'aller chercher bien loin parfois..:\ous lisons en effet que le Jury désigné pour la distri·bution des récompense aux lauréats de l'Ecole Municipale deMeknès, était ainsi compo é :M. Morette, Admini trateur <strong>du</strong> Con ervatoire de Ca a·blanca, Chef d'Orchestre <strong>du</strong> Cercle Musical de Casablan-ca ;Mme Robineau, Profe seur diplômé de laille de Pari,à Casablanca ;M. Brémond, Chef de Musique <strong>du</strong> 1er Zouaves, lauréat<strong>du</strong> Conservatoire de Mar eille, à Ca ablanca ;M. allerand, Chef de Musique <strong>du</strong> 3e Etranger, à Fez;M. Antoine, Profe seur <strong>du</strong> Lycée Lyautey, à Ca ablan-ca ;M. Dupré, Professeur au Lycée Lyautey, à Casablanca,Administrateur au Conservatoire de Ca ablanca ;On parle encore à Rabat de la belle audition donnéetout dernièrement à l'Institut des Hautes Etudes, par l'orchetre . ymphonique <strong>du</strong> Conservatoire de ceLLe ville.Avant l'exécution des morceaux prévus au programme,M. R. Thabault, Inspecteur principal de l'Enseignement aularoc, avait donné une conférenc trè vivante et fort goûtéesur Beetho\en, sa ,ie et son œuvre.Il ouligna fort heureu ement la qualité de l'effort <strong>du</strong>grand musicien et à quel point il incorp ra on génie musicalà sa vie propre, dans une perpétuelle ascension vers lessommets, loin des succè faciles de la virtuo ité.Après ceLLe belle conférence, qui eut un légitime uccè,l'auditoire choLi et nombreux, qui e pre ait dans la aIle,était prêt à goûter comme il convient, le beau concert quilui était oIIert :La 7ème onate pour piano et violon, jouée avec talentpar MM. GroIIea et an HooI ; l'Appasionnala, ren<strong>du</strong>e avecune émouvante sensibilité par M. R. LaITon; puis, par l'orchestrecompl t, le premier mouv ment de la Symphonie Pastoraleet la magnifique ouverture de Prométhée.


66 LA REVUE MUSICALELe succès de cette séance de musique classiq[;,e a été considérable,et il y a lieu d'en féliciter chaleureusement lesexécutants et particulièrement leur chef, M. nyers, qui metdan sa dir cti0n tant d'intelligence et de sensibilité précise.L'A DITIO BO RILLO T-RO SERécemment, a eu lieu la lle audition des élève de MmeBourillon-Rosse, professeur au Conservatoire de Casablanca.Cette audition a eu lieu dans la grande salle de l'Hôtelde la Bourse; elle réunissait une assistance nombreuse, quia fait fête aux élèves, parmi lesquelle on rencontre pluque des promesses de talent.Il erait trop long de dresser le palmarès de cette séance:qu'il nou uffise de citer les jeunes artistes particulièrementremarquées, sans que celte li te puis e être considérée commeexclu ive;Mlle Petrocelli, M. Imbert, Mlle Delllla , Mlle Bourillon,Rosse, M. Banon, Mlle Hazan, MM. Roffé, Imbo, Ouaknine,Alazacki, Dujardin, Enéa, Rattino et amiech.A noter la variété des morceaux figurant au programme del'audition ; Schubert, Saint-Saën , Albeniz, Chopin, Kreisler,Léonard...Cette audition fait le plus grand honneur au profe seuret à ses méthodes.LES RECITALS RE EE FLORIG y AU MAROCMme Renée Florigny, pendant ce dernier mois, aura circuléà traver le <strong>Maroc</strong>, fai ant entendre les plus bellesymphonies, donnant de jolies auditions, inégalement couruesen raison de la saison chaude enfin venue et au si dequelques circon tanc locales.A Tanger, l'élève de Pugno s'est fait entendre avec uccèsdans la Sonate Appasionnala de Beethoven, la Fille auxcheveux de lin, de Debussy, et la Berceuse de Fauré, d'abord.puis pour finir par deux pièces si pénétrantes d'Albeniz :COI'doha et Sevilla.Le public a pu applaudir cette virtuose à Rabat, Casablancaet Marrakech ; partout son succès a été d'une bellequalité.ous souhaitons que Mme Renée Florigny revienne maisen choisissant plu heureusement l'époque de sa tournée.


LA REVUE MUSICALE 67... venue de la .al on chaude marque lafin de b période des concerts et auditionsa rtistiques. Seuls des orchestres etfanfares POU\ ant exécuter en plein airet quelques retardataire se font encoreent ndre.HARMOl'.IE CASABLACAISELe 8 Juin, dan le quare de la ubdi,ision, notre fanfaremunici pale, l'Harmonie Ca ablancaise, nous a charmé parune excellente aunition. C'est, <strong>du</strong> reste. avec le plu grandplaisir que nOlis a' 0111'> retlouvé dan rc: [p \ alt'ureuse phalan.ge de nombreuse connaissances ancienne, des plus sympathique.Le programme fut mont{> avec le plu grand oin et e é­cuté a\ec un en emble et un re.p ct de nuance remarquable.Au si l'assistance, particulièrement nombreu e, ne ménageapas se applaudi sement aux sympathique exécutants.• ou entendîme .uccessivement: n marche américaine,l'ouverture de « Martha », de F. de Flotow, une fantaiil" sur la « Cocarde de Mimi Pinson », de H. Goublierfils, enfin, une Polka, pour grande et petite clarinettes, dontles olistcs, trè appré iés, furent MM. Broqua et Dupuy,que nou sommes parfaitement heureux de féliciter, surtoutnotre bon ami et vieux camarade per onnel, Jean Dupuy.ous n saurions oublier dans ce rapide compte ren<strong>du</strong>,l'excellent chef, M. Maquet, dont la magistrale baguettecon<strong>du</strong>it chaque fois l'Harmonie Casablancaise à de nou­\'eauxuccès.LE CHŒ R DE FRA CEEn ce même dimanche, 8 Juin 1930, le Benjamin de nosgroupements artistiques casablancais « Les Chœurs deFrance» donnait a 3ème audition publique.Lorsqu'il e pro<strong>du</strong>i irent pour la première fois, au concert<strong>du</strong> Théâtr , au bénéfice de • inistrés <strong>du</strong> ud-Ouest, la bonnetenue et l' xécution impeccable des « Chœurs de France »furent une trè grande urprise et une \'éritable \':\ élationpour nos concitoyens. Cette jeune chorale avait alors unmois et demi à peine d'existence.Depui lors, ce musIcIens convaincus et dévo\lé~. n'ontpoint cessé leur méritoires e/Torts. Ils ont été !,:u'iculièrementappr'ciés lorsqu'il. e ont fait entendre dr'yant lemicro de Radio-<strong>Maroc</strong>. Mai le dimanche 8 Juif' ils ontdéfinitivement conqui l'affection de Casablanca;" ave le« Print mps charmeur », de J. M. Champel, le « Crépuscule»de J. Arnoud et la « Moissoll » de Bonnct ••n.!MM. Boyer t Perrier peuvent être fier de l'excellent en·~emble qu'il ont formé et qu'il animent. L s «Chœur de


LA REVUE MUSICALEFrance » peuvent être assurés, chaque fois qu'ils voudrontbien se pro<strong>du</strong>ire désormais, de recueillir l'unanimité des suffragede. leurs contemporains i difficile ceux-ci soient-ilsen mu ique.Nous formons le vœux les plus sincère pour que les er,·couragements, tous les encouragements, que leur assi<strong>du</strong>ité etleur dévouement leur méritent amplement. ne leur soientpoint ménagés parcimonieusement.LE COCERTDE LA VICOMTE SE DE CHABA;-"l\,ELA PALICEAU BENEFICE DES ORPHELIl\ATS D'ANFAET DE FEDHALALa date un peu tardive <strong>du</strong> vendredi 13 Juin 1930 a ét';cause, en grande partie, de l'assistance relativement restreinteau concert annuel de l'éminent et bieTl connu professeur, laVi omtesse de Chabannes la Palice, au bénéfice des Orphelinatd'Anfa et de Fédhala.Quoiqu'il en ait été, tout ce que Casablanca compte devéritables amateurs d'art, s'était donné rendez- ous auThéâtre Muncipal, le 13 Juin. L'organi atrice a été particulièrementnattée de reconnaître, parmi l'a istance, MmeMagdel ine Ducarp, la réputée virtuo e, Mme et M. Daroued,l'éminent professeur de l'Ecole Pigier et l'averti critique d'artde la Terre <strong>Maroc</strong>aine, Mme et M. Orcel, le célèbre maîtr~de piano, Mme et 1. Regnaudin, des Amis de Radio-<strong>Maroc</strong>,et leur a été profondément reconnaissante de leur aimablegeste de considération. otre aimable directeur, M. R. Hazanet sa famille, n'avaient pas manqué de s'y trouver également.Le public, qui escomptait quelque in tants d'agréabledélassement artistique, ne fut nullement déçu et ne ménageapas ses applaudissements et ses rappels aux élèves de Mme deChabannes.Dans la partie musicale in trumentale, Mlle 'ina Béchaiavec la « Marche Grotesque », de inding, et Mlle JeanneGalula dans « Au Couvent », de Borodine, firent une amplemoisson d'applaudissement.Une malencontreuse indisposition nous empêcha d'entendreMme Pujol, femme de l'éminent praticien casablancais,jouer en compaanie de la femme <strong>du</strong> très sympathique chefd'Etat-Major de la ubdivision, M. le Colonel Arnould, lesvariation pour 2 pianos de Saint-Saëns. Les regrets de cefâcheux contretemps furent unanimes, car le beau talent deces deux excellente pianistes est justement apprécié desamateurs de notre ville.Les dan es présentées par Mme de Chabannes réserventà l'assi tance d'agréable surprises, chaque fois qu'elle lesfait exécuter en public.Mlles Domerc, Meslin, Reutemann, Guillemel, Andrée etJeanne Galula, Hazan, Teboul, Palmaro et la toute mignonneMlle Nehil n'en ont plus à compter leurs succès, tellementils sont nombreux. Elles récoltèrent de nouveau, une véritablejonchée de laurier.La grâce, la souplesse, l'élégance sont les caractéristiquesessentielles de leur chorégraphie el la satisfaction généraleles a, une foi de plus, soulignées.Mme Bertrand-Fuchs, remarquable musicienne, nous a présentéun nouvel instrument, le « Fuxel », inventé par onpère et que l'on pourrait appeler le violoncelle implifié etmis à la portée des plus récalcitrants.Avec un art consommé, l'exécutante nous donna, avec unbrio remarquable, deux morceaux classiques pour violon-


LA R~VUE MUSICALE 69celle et en bis, un morceau spécialement écrit pour le Fuxelsur lequel nous reviendrons dans un instant.Nous n'avons point encore parlé des deux triomphateursde la soirée et leurs camarades ne leur en seront pa envieux,nous en sommes certains, car très gentiment, elles reconnaisent leurs mérite supérieurs.Dan la danse, Catherine de Chabannes, la i blonde MiKetty, s'avère à haque nouvelle apparition sur la cène,une arti te <strong>du</strong> plu bel avenir. Elle est, sans contredit possible,la grande animatrice de la ~racieu e troupe, la maîtressede ballet <strong>du</strong> charmant ensemble. Mais elle n'est pas uniquementdanseuse, elle s'est montrée également pianiste de bonneclasse.Quant à la partie instrumentale, le grand triomphateurfut Lambert de Chabannes. Le oliste, virtuose <strong>du</strong> cbivier, deRadio-<strong>Maroc</strong>, a désormais une réputation solidement établie.Il 'e t montré, le 13 Juin, vraiment digne d'elle. Tour à tourvirtuose soliste, parfait accompagnateur, intéressant compositeur,il a rempli d'aise ses amis.Parmi les œuvre <strong>du</strong> jeune artiste marocain, il y a lioude signaler le « Héraut », que dansèrent avec une grâcecharmante, Mlle Andrée et Jeanne Galula t Ketty de Chabannes,l'auteur accompagnant lui-même ses interprètes arméesde longues trompettes médiévale.Le bis, mentionné plus haut et joué par Mme Bertrand­Fuchs au Fuxel, a été écrit pour cet instrument par Lambertde Chabannes, à l'occasion <strong>du</strong> mariage d'une d _es amiesd'enfance à laquelle il l'a dédié. Il l'intitule « Bagatelle ».L'allure en est vive et légère, tel que le fait désirer son titre.En outre, le mu icien a prouvé qu'il savait choisir les timbrecorre pondant à la tonalité de l'instrument.En ré umé, soirée charmante, qui fait autant honneur aumaître dévoué qu·à ses disciples tudieux et atlentif .H. de te C.


70 LA REVUE MUSICALE:f.m-~I . - .1CHRONIQUE THEATRALEIIDI-:- .~.-LE MOIS THEATRALLa saison lyrique e t maintenant terminée ; elle ~ura<strong>du</strong>ré assez longtemps pour nous faire une juste opinion de lamanière dont M. Carrié aura conçu la présentation des pièces<strong>du</strong> répertoire au <strong>Maroc</strong>.On sait dans quelles conditions particulières, l'éminent directeur<strong>du</strong> Capitole de Toulouse avait accepté de venir àCasablanca. Pris de court, malgré tous ses efforts, il n'avaitpu, il ne pouvait effacer dans son exécution ce caractèred'improvisation que lui avaient imposé les circonstances etqu'en beau joueur, il avait accepté. En venant au <strong>Maroc</strong>,M. Carrié savait quïl faisait le possible <strong>du</strong> mom~nt ; mal,dans de années normale" es capacités sont plu éten<strong>du</strong>e.Aussi bien dans le choix des artistes que dans le choixdes chœurs, <strong>du</strong> corps de ballet et de l'orchestre, M. Carrié,qui aime son art, et souffre plus que n'importe qui desimperfections des représentations, peut faire autre chose etdavantage. ou le savon, et quand il nou en donnait àjJlusieur repri e l'as urance, il s9vait notre convictionfaite et largement motiv'e par les brillant résultat déjàprésenté.Il faudrait évidelr.ment que, l'an piochain, le choses sedéroulent elon un scénario mieux réglé. Il serait bon desupprimer pour un directeur tous ce risques de la dernièreheure, qui se tra<strong>du</strong>i ent finalement par des lacunes, desimperfections et, pour le public, d s déceptions graves.On parle trop facilement des faiblesses de la réalisation;pense-t-on aux imprudences et à la légèreté peut-être despouvoirs publics qui ont cru Irop ai ément qu'on pouvaithâtir une troupe et des ensembles en quinze jours et ensuiteont laissé le directeur en proie à toutes les critiques tropj u tifiées par la précipitation' de la mi e en train.Obligeons, tant qu'il conviendra, les directeurs de tournéeà faire leur métier et à réaliser de leur mieux ; maisd'abord, faisons le nécessaire et quand il en est temps.M. Carrié peut, en somme, se féliciter de cette premièresaison. Elle n'a pas été pour lui, sans doute, tout ce qu'.,1espérait; mais il aura vu, par ce premier essai, ce quiconvient à notre public marocain, et ce qui peut lui plaire.Le public marocain, pour des raisons d'ailleurs asseznombreuses et encore mal définies, est peut-être plus qu'ailleursdifficile. Il suffit, pour s'en convaincre, de songer à cestournées récentes, qui ont connu de francs succès en Algérie,et qui, à Casablanca, n'ont pas pu conquérir droit decité. Ce qui enchantait les habitants de Constantine ou deMo laganem, a été accueilli froidement au <strong>Maroc</strong> et celtetroupe de comédie, qui occupa notre scène municipale plusde trois mois, finalement 'en fut, san avoir rencontré uneseule fois le fran succès.Il nous semble que M. Carrié, s'il revient l'an prochain- ce que nous souhaitons bien sincèrement - devrait'efforcer de présenter aux auditoires <strong>du</strong> MaroC', Ir répertoirelyrique, mais allégé de vieille machine, enrichi de


LA REVUE MUSICALE: 71quelques œuvres, qui n'aient pas encore été données ici, et,même dans le répertoire, de quelques opéras rarement présentés,et qu'il serait intéressant de faire connaître.ous ne jugeons pa la manière dont M. Prunet, jadi",donna certains spectacle, mais on dit avec plai ir de luiqu'il fit connaître à notre public : L'Attaque <strong>du</strong> Moulin,La Damnation de Faust et, dans une autre ordre d'idéeLohengrin.Si l'an prochain, /lOUS avions un peu mOInS de Favorite,d'Africaine, de Aïda, de Huguenots, de Trouvère, nous nenous en plaindrions pas.Il serait même intéressant que le Capitole eut l'audace deprésenter pour la première fois sur nos scènes africainesles dernières c.réations lyriques, ne fut-ce que pour nousInItIer au mouvement théâtral de la métropole et nous fairefaire un pas en avant vers l'avenir, en abandonnant volontairementsur la route tant d'œuvres, qui furent chères àbien des générations, mais dont quelque fragments seulsméritent d'être sauvés. Pour ces morceaux, ces actes qui ontgardé tout leur éclat, il suffirait d'une oirée ou deux pourles revoir, et les saluer encore de notre admiration fidèle.Voilà des perspectives dignes de retenir l'attention de M.Carrié et de fixer ses audaces. ous le suivrions, dans cesessais, de toute notre fidèle sympathie pour son effort déjàcommencé, et nous l'applaudirions d'autant plus fort qu'ilaurait ouvert ainsi une voie, où il s'avancerait ensuite sansconcurrence, tant la réussite le surclasserait, dans notre ad·miration et dan nos joies artistiques.RASTIG AC..Tous les manusc?:its ou communications doivl'J/t (1{l'e (utressés,':'n/']Jersonnellement à M. le J)il'ec{('III' de la Rl'7'Ue 1IIusicaie Hill' Bouskou1'((,86, avant (e 10 de choque Illois.Les 11I(IIHlscri[s non insérés, lIB Mwt pos rel/<strong>du</strong>s,


72 LA REVUE MUSICALELA PROCHAIE SAISOLors d'une dernièle réunion, la Commis ion MUnicipalede Casablanca a dû régler quelques questions d'ordre artistique:renouvellement <strong>du</strong> contrat de M. Carrié, Directeur<strong>du</strong> Capitole de Toulouse, à qui on a voté la subventionordinaire de 200.000 francs, et une subvention extraordinairede 50.000 francs, pour créer, i l'on peut dire, LaSalomé et La Dame Blanche. Je ne sais qui a eu la paternitéde cette idée, mais si c'est au sein de notre assembléemunicipale, pour expliquer un pareil choix, surtout pourla seconde pièce, il faut avoir recour à la chronologie.Le soir de la Favorite, un offcier de marine, disait, avecdes regrets dans la voix : « JI y a vingt-cinq an que jen'avais enten<strong>du</strong> cela »... Attendons-nous à de emblablestristesses le soir de la première où la Dame Blanche repa·raîtra, ur la scène de Casablanca, funestement choi ie pourcette exhumation.Par manière de compensation, sans doute, Mme Albany,l'artiste aimée <strong>du</strong> public, qui était venue proposer unetournée Cécile Sorel, n'a pas eu gain de cause. C'est bien dese montrer difficile, mais nous espérons bien que la Commision Municipale ne se réserve pas encore cette annéepour une nouvelle tournée Malinconi. Une fois suffit.Ceux qui ont le goût de ces contrastes pourront se direque c'est parce que M. Malinconi occupait - comme onle sail -- la scène de notre Théâtre, qu'aujourd'hui M.WalLer Rummel poursuit la ville de Casablanca en 20.000francs de dommages et intérêts. C'est payer bien cher ledroit d'avoir chez soi <strong>du</strong> mauvais théâtre.Les dieux fassent que les édiles proposés à nos divertis e­llIents reçoivent assi<strong>du</strong>ement la visite des Mu es et leur in pi.ration favorable; en même temps, invoquons Athéna, pourque l'an prochain, nous ayons de la bonne musique et <strong>du</strong>bon théâtre.


LA REVUE MUSICALE73··:·:·::~


74 LA REVUE MUSICALFGrand orchestre symphoniqueOrchestre sous la Direction de M. Piero CoppolaMenuet Antique (M. Ravel). - w 1074.Musique des Equipages de la Flotte de ToulonLe dernier jour de la Terreur. Drame Symphonique (Premièreet Deuxième Parties). (Litolff, transe. E. Grognet). - L 781.Le dernier jour de la Terreur (3e Partie). - Cosa.tschoque.Fantaisie sur une Danse Cosaque (A. S. Dargomysky, trancs. Rouveirolis).- L 782.DISQUES DE DANSEMarek Weber et son orchestreLes Trois Mousquetaires. Tango. - Les T rois Mousquetaires.Marche (Benatzky). - K 5828.José M. Lucchesi et son OrchestreRafaelito. Tango (P. Coppola). -- K 5865.Purita. Tango (P. Coppola).Jack Hylton et son orchestre, avec refrain vocalPiccolo Pete. Fox-trot (Baxter). - You're my si/ver lining oflove. Fox-trot (Rose). - K 5866.Fancy y'ou falling for me. Fox-trot (Tennent). - Body andSoul. Fox-trot (Green). - K 5860.Maggie's col. Fox trot. (Tisley, Hargrcave et DaxereII). ­Dance of the Raindrops. Fox-trot (Tolchard Evans). - K 5861.Jack Hylton et son OrchestreAu temps des valses « Bitter-Sweet », Sélection (avec refrainvocal. - K 5880.Southern Melodie (Foster). - L 783.Rose Cornaz et son Orchestre de Guitares HawaïennesChanson Païenne (Nacio Herb Brown).Dula (X...). - K 5868.Orlando et son Orchestre Argentinavec Chant par M. Pierre RambaudNena. Tango (Ferrazzano-PoIIero). -Reo) (R. F ugazol). - K 5826.Yaaka Hula HickeyPrenez mes roses (BarrioCarlito's Jazz, à l'Hôtel Tokatlian, StamboulBambo-Bambu. Tipica Brésilien CE, Santos, arr. S. Cyrino).One by one .Fox-trot (S. Cyrino). - K 5827.IN~TRUMENTSM. Alfred CortotBallade en sol mineur, Op. 23 (Chopin). - DB 1343.M. Yehudi Menuhin - Piano ace. par Louis Persinger« Te Deum ». Prière (Haendel, arr. Flesch. - Scottish Pastorale,Op. 130, N° 2 (Saenger). - DB 1284.Chant d'Espagne (Samazeuilh) : a) « La Caneion dei Olvido :.(Serrano, arr. Persinger) ; b) « Rondo» (Spohr, arr. Persinger).- DB 1301.MM. Serge Rachmaninoff et Fritz KreislerSonate en do mineur, Op. 45 (Grieg). -- DB 1259 à DB 1261.Cercle Mandoliniste de Sienne, Direction : M. A. ProvvediSérénade Galante (Amadei). - Mascherine Eleganti, Menuet.(Coletta). - K 5830.M. G. SellersValentin (sur les motifs de « Benjamin »). One-step. Clara Benès).- Qautre mots: « Je n'ai que quatre mots à dire ». Slowfox(E. Erwin). - K 5867.« Rallye Meudonnais »Le grand retour de Chasse. Fantaisie (X...). - Le Coquelicot.F al\taisie (X....). - K 5829.Princesse Czardas, la délicieuse opérette d'Emmerich Kalman,qui triomphe au Trianon-Lyrique.M. Fritz Kreisler, se fera enten<strong>du</strong> Salle Pleyel, Paris,les 22 et 27 maiQuelques disques que vous tiendrez à avoir:L'Arlésienne. Intermezzo (Bizet, arr. Kreisler), (avec HugoKreisler et Raucheisein). -Sanetissima (Corelli, arr. Kreisler. ­DB 1166.Concerto de violon en ré majeur, Op. 61 (Beethoven). - DB 990à DB 995.Concerto pour violon et orchestre, Op. 77 (Brahms). DB 1120àDB1124.Concerto on mi mineur, Op. 64 (Mendelssohn). - DB 997 àDB 1000.Danse des jeunes filles (Frim). « Le Rosaire:. (Nevin, arr.Kreisler). - DA 992.Humoresque, Op. lOI, nO 7 (Dvora) : « Caprice viennois :.(Kreisler). - DB 1091.


LA REVUE MUSICALE 75Invocalion (Owen, arr. Kreisler). « Romance Orientale ~ (Rimsky-Korsakoff).- DA 857.Liebe15leid (Kreisler) : « Liebesfreud ~ (Kreisler). - DB 985.Shon Rosmarin (Kreisler) : « Rondino sur un thème de Beethoven~ (Kreisler). -- DA 1044.Thaïs. Méditation (avec piano) (Massenet) : « TambourinChinois ~, Op. 3 (avec piano) (Kreisler). - DB 1207.La Vie Brèoe. Danse espagnole (avec piano) (De Falla, arr.Kreisler) : « Tango ~. Op. 165, nO 2 (avec piano) (Albéniz, arr.Kreisler). - DA 1009.Disques de M. Pertile qui chante à l'Opéra le 29 maiLohengrin : « Merce ,merce, cigno gentil ~ (Wagner) ; Lohengrin: « Da voi lontan in sconosciuta terre ) (Wagner). - DB1107.Lohegrin : « Cessaro 1 canti Allin ~ (Wagner) (avec AlfaniT ellini). - Lohengrin : « Di, non t'incanta ~ (Wagner) (avecMaria-Luisa Fanelli). - DB 1218.Madame Bulerf/y : « Bimba dagli occhi ~ (Puccini) (avecShéridan). - Madame Bullerfly : « 10 t'ho germita » (Puccini)(avec Shéridan). - DB 1119.No t'amo piu (Tosti). - M allinala (Leoncavallo). - DA 1008.Le Trouvère : « Ah ! si, ben mio, coll'essere io tuo » (Verdi).- Le Trouvère (Acte III) : « Di quelle pira » (Verdi) (avecNessi et Lattuada). - DB 1198.=:::::::::::: ::::::::=: ====Columbia1ère PARTIEOrchestre des concerts StraramSous la direction de Walther StraramPrélude à l'après-midi d'un faune (Debus.y). en 2 parties.LFX 30.Orchestre Hallesous la direction de sir Hamilton HartyKhovanchtchina (Moussorgsky) Prélude. - Le vol <strong>du</strong> Bourdon(Rimsky-Korsakov). - 9908Sté des Instruments AnciensFondée en 1901 par Henri Casadesus)Les plaisirs champêlres (Monteclair, H. Casadesus). - 1. Rilournelleel Passe-Pied. - II. Enlrée des Bergers. - LFX 19.III. Corlège des Muselles el des Vielles. - IV. Ronde <strong>du</strong>Bonheur. - LFX 20.QuintetteMme Y. Bleuzet (piano( - M. Bleuzet (hautboi-) - M. Costes(clarinette) - M. Oubradous (basson).Quinlelle (G. Rameau). - D 1106-D 11061.Carnaoal de Venise (P. A. Genin) , Solo de Flûte par M.Moyse, au piano M. G. Truc. - D 11062.Quatuor LenerQualor en fa majeur (Haydn, op. 3, N° 5. .:....... 9658-9659Le RévérendSERMONSPère LhandeLes lrois baisers. Extrait <strong>du</strong> Sermon de la Passion (Le Révérend-Pèreilande). -- Silio. Extrait <strong>du</strong> Sermon de la Passion(Le Révér"'nd Père Lhande). - DF 33.INSTRUMENTISTESM. Marcel CIAMPI, pianisteValse de l'adieu (Chopin). - D 13103.Polonaise en mi bémol mineur (Chopin). - D 13104.M. A. Frezin, violoncellisteAu piano: M. F. GoeyensBerceuse mélancolique (F. Goeyens). -- D 13089.M. Jean DeveydtSolo d'accordéonAoe Maria (Schubert),Dans le Jardin <strong>du</strong> Monaslère (A. W. Ketelbey), ~ 2 parties.- D 19339.MUSIQUE D'HARMONIEMusique de la Garde RépublicaineSous la direction de M.Pierre Dupont2' Concerlo pour clarinelles (Weber, arrt. E. Grossin). - D19318.


76 LA REVUE MUSICALELakméActe 1 :2 parties.Mme J.2ème PARTIEOPERA et OPERA-COMIQUEMme Suzanne Balguerie, sopranoAriane et Barble-Bleue (Paul Dukas, paroles de Maurice Maeterlinck).- Aactel: Oh 1 mes clairs diamants ». - Acte II« Ah 1 ce n'est pas encore la clarté véritable ». - LFX 23.Mlle Germaine Féraldy, soprano, de l'Opéra ComiqueLa Bohème (Puccini, livret français de Paul Ferrier). - ActeIII : « Les Adieux de Mimi ». - La T raviata (Verdi, livretfrançais de E. Duprez) ; Acte IV : Air de Violetta « Adieu,tout ce que j'aime ». - LF 8.Mme A. Talifert, sopranoLa T raviata (G. Verdi, livret français de E. Duprez) « Queltrouble ». Grand air, 2e partie « Folie ». - 0 14249.M. Georges Thill, ténor de l'Opéra(Léo Delibes, livret de E. Gondin,et et Ph. Gille). ­Air de Gérald « Fantaisie aux divins mensonges », enLF 13.MELODIESBathori, mezzo-sopranoHistoires naturelles (Maurice Ravel, paroles de J. Renard) :1. « Le Paon ». - II. « Le Grillon ». - IV. « Le Martin­Pêcheur ». - 0 15179.Mme Jeanne Monjovet, sopranoTrois poésies (Maxime Jacob, poésies d'Alfred de Musset)a) « Rondeau »; b) « Chanson »; c) « Le rideau de mavoisine ». - Air gai (chanson française "<strong>du</strong> XVlIème siècle, recueillieet harmonisée par W. Rummel). - Tambourin (chansonfrançaise <strong>du</strong> XVIIIème siècle, recueillie et harmonisée par J. Tiersot).- RF 9.Mme Suzanne Ch. PeignotAu piano : M. Francis PoulencAir chantés (Francis Poulenc, paroles de Jean Moréas). - a)« Air romantique» ; b) « Air champêtre» ; c) « Air grave» ;d) « Air vif ». - LF 5.CHŒURSSociété Royale « La Lég1a E de LiégeChœurs d'hommes sous la direction de M. E. GérômeLe Rossignol (Grétry, paroles <strong>du</strong> XVIIlème siècle). - Hymneà la nuit, d'après ~ chœur d'Hippolyte et Aricie (Rameau, arrt.J. Arnoud). - 0 11052.3ème PARTIEOPERETTESMme Jane Marnac, soprano, et M. Max Bussy, ténorAu temps des valses « Bitter Sweet » (livret de Saint-Granier,musique de Noël Coward). - Actel: « Ne serait-ce pas l'amour?» Acte III : « Tzigane» (Mme Jane Marnac). ­OF 42.Acte II Duo« Le petit café » ; ActeI: Duo « Je vousreverrai» (Mme Jane Marnac et M. Max Bussy). - OF 43.Mlle Georgette Simon, soprano, de la Gaîté LyriqueM. Georges Villier, baryton de l'Opéra comiqueMonsieur Beaucaire (Messager, livret d'André Rivoire et PierreVeber). Duo « Serment d'amour, vole, vole ». - Valse « LeRossignol », chantée par Mlle Georgette Simon. - RFX 3.Mme Abby Richardson, mezzo-soprano, de l'opéraLa fille de Madame Angot (Lecocq, livret de Clairville, Siraudinet Koning) « Légende de la Mère Angot ». - La Périchole (Offenbach)« La lettre de la Périchole). - RF 6.M. Milton <strong>du</strong> Théâtre des NouveautésOrchestre sous la direction de M. Pierre Chagnon.V ive Leroy (Fred Pearly et Pierre Chagnon, livret de RenéPujol). « Je suis aimé » ; « Elle attendait ». - OF 11.M. Henry-Laverne <strong>du</strong> Théâtre des Nouveautés et M. AdrienLamy des Folies-WagramRosy (Moretti, livret de A. Barde). « La Moukère <strong>du</strong> Caire»(M. Henry-Laverne) ; « Je n'en ai pas de rechange (M. Henry­Laverne). - OF 38.« Je n'ai rien d'un argentin » (M. Adrien Lamy) ; « Caramba» (M. Adrien Lamy), tango chanté. - OF 39.MONOLOGUES COMIQUESM. DoumelHistoires marseillaises (Doumel), II et III. - OF 24.CHANSONSDamiaLes Goëlands (Paroles et musique de Lucien Boyer). - Ne disrien « Worryn' » (Georges F airman, paroles de Maurice Aubret).valse. -- OF 15.Mlle Line MarlysQuand je danse avec lui (Jean Eblinger, paroles de Gabriello). ­Regarde-moi (Jean Eblinger, paroles de Pierre Bayle). - OF 26.


LA REVUE MUSICALE 77Mlle Davia - M. Jean Sorbier - M. Henry-LaverneParade d'Amour (Schertzinger, paroles de Bataille-Henry etMarc Hély) : « Rêve d'amour », valse, cha'nSée par Mlle Davia.« Soyons communs », fox-trot, chanté par Henry-Laveme. - OF28.« Paris, je t'aime d'amour », fox-blues. « Personne ne s'en sertmaintenant », slow fox-trot, chantés par Jean Sorbier. - OF 29.« Mon cocktaii d'amour » ; « Pour faire plaisir à la Reine ».chantés par Mlle Davia et Jean Sorbier. - OF 30.Layton et Johnstone (en français)Ce n'est que votre main, Madame (Ralph Erwin). - Le Paradis<strong>du</strong> rêve (Nylson F ysher), chanté en français par T umer Layton).- oc 22.M. Louis LynelBonhomme waroles et musique de G. Nadaud). - Pandore(paroles et musique de G. Nadaud). - OF 18.M. MalloireUn joujou... comme vous. - Comme au premier jour (Learsi,paroles de Vincent T elly) , accompagné par le Trio Learsi. ­OF 17.Marivaudage (Learsi, paroles de Georges Lion). - Un baiser,Madame... (Learsi, paroles de Malloire). Sérénade boston. ALIpiano : M. Learsi. - 0 19350.M. Jean Sorbier(Exclusivité Columbia)Chiquita (Mabel Wayne, paroles de Robert Valaire). - Lacomplainte de fim (M. Planchar, G. Léglise), motif <strong>du</strong> film« La route est belle ». - OF 21.Manuela « Romance of Rio Grande » (Albert Baer, paroles


78 LA R~VUE MUSICALEDebroy Somers BandParade d'amour « Marche des Grenadiers » (Schertzinger etGrey). « Parade d'amour» (Schertzinger et Grey), fox-trot. ­DC 20.The singing fool (arrt. Reg. Connelly), Sélection en 2 parties,refrain, chanté par G. Dewey Washington. - 9754.Rudy Marlow et son orchestreParade d'amour « My love parade» (Schertzinger et Grey),fox-trot «Dream lover » (Schertzinger et Grey), valse. -oc 14.The Char:eston ChasersWhat wouldn't i do forthat man (Gorney et Harburg), thèmede « Applause et Glorifying the American Girl », fox-trot.Turn on the heat (de Sylva, Brown et Henderson), thème de« Sunnyside up », fox-trot. - CB 16.London Regal Cinema OrchestraShow of shows, Sélection, en 2 parties. - DX 15.The Four Bright SparksT aint'no sin (Leslie et Donaldson), fox-trot. -from you (Tobias et Mill~), fox-trot. - 5723.Fred Rich et son orchestreEv'ry day awayMadrid, 6/8 one-step (L. E. de Francesco). - Singing ln therain (Brown et F reed), fox-trot. - DC 21.TANGOS ET BOSTONSColumbia OrchesterTranem weint jede frau so gern (Dr. B. Kaper-Fr. Rotter),tango. - C'est une valse qui chante (Franz Grothe-Fr. Rotter),boston. - D 31 J93.Salvador Pizzarro et son orchestre ArgentinSiga, no mas / ... (S. et J. J. Pizarro), tango chanté. - CallateCorazon (S. F. Padilla, F. Soriano et G. Cases), tango chanté. ­DF 31.Orquesta Argentina Rolando <strong>du</strong> PerronRefrain chanté par Luis MandarinoM amita (Dellino, paroles de Vacareza), tango. - Carufa (Col.lazo, paroles de Solino), tango. - DF 35.Dandy (Demare, paroles d'Irusta F ugazot), tango. - BarrioReo (Fugazot, paroles de Navarrine), tango. - DF 34.Rafael Canaro ct son orchestre argentinTangos chantés par Carlito DanteM alevaje (E.s. Discepolo et Filiberto), tango. - Rosas deAbril (E. Cardenas et R. Rossi), tango. - DF 32.SERIE PATHE-ART(double face)ORCHESTREConcerts Pasdeloup dir. D.-E. InghelbrechtX 5513 Le Roi malgré lui (Emmanuel Chabrier). - Danse slavex 5514 : Le Roi malgré lui (Emmanuel Chabrier) - Fête polonaise(1 re partie).PIANOGeorges de Lausnayx 5507 : Danse rituelle <strong>du</strong> Feu (Manuel de Falla). - Pavane'Pour une Infante défunte) - (Maurice Ravel).PATHE-CHANTOPERAS ET OPERAS-COMIQUESAndré Baugé, de l'Opérax 0687 : Carmen (G. Bizet). Air <strong>du</strong> Toréador (Paroles deMeilhac et Halévy). - Cavalleria Rusticana (Pierre Mascagni).Piaffe, mon cheval fringant ! (Version française de Paul Milliet).André Ralbon, de l'Opéra C::Imiquex 0686 : Lakmé (Léo Delibes). Lakmé, ton doux regard sevoile (Paroles de Gondinet et Ph. Gilles). - Le Bon Roi Dagobert(Marcel Samuel-Rousseau) - C'est toute une histoire (Poèmede André Rivoire).Paul LantériX 0681 : La Favorite (Donizetti). Jadins de l'Alcazar (Parolesde Scribe, A. Boyer et G. Waëz).Mlle Madeleine Sibille, de l'Opéra comiquex 0689 : La ReÎ;ne de Saba (Ch. Gounod). Cavatine - Plusgrand dans son obscurité. (Paroles de Michel Carré et JulesBarbier).


LA REVUE MUSICALFCHANSONS ET ROMANCESHenri Saint-CricqSoliste des Concerts Colonne, Pasdeloup et Lamoureuxx 3427 : Vous êtes jolie ! (Paul Delmet). (Paroles de LéonSuès) - La Chanson de Marinette (Paroles et musique de D.T agliafico) .ROBERT MARINOTénor <strong>du</strong> Théâtre de Monte-Carlox 3443 : Carmela (G.-B. de Curtis) (Paroles françaises de D.Tagliafico). - Aubade fleurie (Louis Delune). Sur un motif populaire.(Paroles de R. Marino).Jovattix 3782 : Les Nuits (E. Cloërec-Maupas). Mélodie. (Parolesde Denise Lucianj). - Chiquita-Tango (]. Peyronnin). (Accompagnementd'orchestre). (,""aroles de M. Bordenave).Mlle Mireille Perrey, <strong>du</strong> Théâtre Daumasx 2218 : Rosy (Raoul Moretti. Rosy ! Rosy ! (Paroles deAndré Barde). - Rosy (R. Moretti). C'est un nen. (Parolesde André Barde).CHANTMme Emma Luart, de l'Opéra Comiquex 3442 : Parade d'amour « The love parade» (Victor Schettzinger): Marche des Grenadiers (avec chœurs) - Rêve d'amour(Paroles françaises de Bataille-Henri).Jeffry's Jazz Orchestrax 8738 : Chanson païenne (Nacio Herb, Brow) - Avec refrainchanté par Robert Marino. (Paroles de Lauzin et Nazelles).Bimbambulla (Karl M. May), fox-trot.Les plus célèbres Jazz de New-Yorkx 6300 Lihe a brealh of springt-time, from « Hearts in exile »(Dubin-Burke) - Valse avec chant - House Orchestra. - LadyLuch, from « Show of Shows » (Ray Perkins) - Fox-trot avecchant - House Orchestra.x 6305 : You're always in my arms, Valse avec chant - House-Orchestra. - He's a good ma,n 10 have around (Yellen-Ager),Fox-trot avec chant - Dick Cherwin and his Orchestra.x 6306 : Orange blossom time (Goodwin-Edwards), Fox-trot.avec chant - Sam Lanin and his Orchestra. - Your mother andMine (Goodwin Edwards), Fox-trot avec chant - Sam Lanin andhis Orchestra.x 6301 : Singin'in the bathtub, from « Show of Shows »,Fox-trot avec <strong>du</strong>o - Sam Lanin and his Orchestra (Magidson-W ashington-Cleary). - My sweeter than sweet from « Sweetie »(Marion Ir. Whiting). Fox-trot avec chant - Vincent Lopez andhis Orchestra.x 6310.: Sunny side up (De Sylva, Brown, Henderson), F oxtrotavec chant. - Phil Spitalny and his Orchestra. - Why doyou suppose ? Fox-trot avec <strong>du</strong>o - Sam Lanin and his Orchestra.Alibertx 3799 : L'nez en trompette (Borel-Clerc) (Paroles de V. Thel­Iy). - Une femme dans le mouvement 01. Scotto). (Paroles deBertet et Gitral).Bach, <strong>du</strong> Casino de Parisx 3803 : Il est gentil, Monologue comique (Paroles de LouisBousquet). - Oh ! qu'il est bête ! Monologue comique (Parolesde Louis Busquet).Bérard, de l'Eldoradox 3826 : Qui veut mon cœur ? (Borel-Clerc). (Paroles de RolandGaël). - Le soleil (Borel-Clerc). (Paroles de Louis Bousquet).Charlus, des Concerts Parisiensx 3815 : Le Doigt de pied de Saint-Guig.nolet (Paroles deBaldran). - Le Lampion de ma femme (Paroles de Delormel etGarnier).x 3816 : L'Enterrement de Chapuzot (Paroles de Sim). - Feprochesamicaux (Paroles et musique de Derouville-Nancey).x 3794- Nousquet) .Ouvrard, de l'EmpireAmour et T.S.F. (H. Mailfait) (Paroles de L. Elbé).rêvons d'amour (G. Ouvrard) . (Paroles de Louis Bous-Max Réjean, de l'EmpireL'élégant chanteurx 3811 : Tu l'as voulu, Lulu ! (c. Oberfeld). (Paroles deFernand Vimont et Fernand Pothier). - C'est une valse quichante (F. Rother et F. Grothe). (Paroles françaises de Rouvrayet Mauprey).Tramel, de l'Eldoradox 3828 : Au plus blagueur (Grinda). - Terrible corfidence(Raoul Georges). (Paroles de Bouchaud dit Dufieuve) .Reyac et Lebas, <strong>du</strong> Casino de Parisx.3801 : Moana (Paddy). (Paroles de Léo Lelièvre). - Chlo-e(Nell Moret). (Paroles françaises de H. Varna, Marc Cab etAndré Bay).


80 LA REVUE MUSICALEMarino et Norris, <strong>du</strong>ettistes Américainsx 3435 : Lady Divine (Nathaniel-Shilkret). (Paroles de RichardKountz). - Do Something, from« The film syncopation »(Campbell-Connelly) .Mlle Line Dariel La «Bécassine Lilloise»x 3823 : La Martyre <strong>du</strong> poste à galène, Monologue. (Parolesde Simons).x 3824 : Le p'tit Quinquin (Desrousseaux). Berceuse (accompagnementpiano). - L'Habit d'min vieux grand-père (Paroles etmusique de Desrousseaux). Chanson en patois de Lille (accompagnementde piano).Grand orchestre direction F. Ruhlmannx 8721 Carmen (G. Bizet), Prélude (1er acte), Entr'acte (2eacte) .x 8722 Carmen (G. Bizet), Entr'acte (3e acte). - Carmen(G. Bizet) Entr'acte (4e acte).Orchestre Godfroy Andolfix 8733 : Paillase (Leoncavallo - Arrt. Emile T avan) , F antaisie.Le célèbre orchestre Hongrois de l'Hôtel «Royal-Haussmann~x 8728 : Czardas N° 1 (Arrt. par Philippe Barthet), Sur desairs nationaux hongrois.Musique <strong>du</strong> Ge Régiment d'Infanterie - Chef: M. Baratx 8723 : 1 0 La Marseillaise (Rouget de Lisle) : 2° Le chant<strong>du</strong> départ (Méhul). - Marche Lorraine (L. Ganne).x 8724 : Sambre-doMeuse (Planquette-Rauski). Pas redoublé.- Sidi-Brahim (A. Porot). Défilé des chasseurs à pied.Manuel Pizarrox 8730 : C onsejo Sano (Manuel Pizarro) , Tango. - TristePaica (Juan Pecci). Tango.Orchestre GodfroyL'Auvergna­Andolfix 8708 : Bella Bocca (E. Waldteufel), Polka. -te (Louis Ganne), Mazurka-Bourrée.Marcello Roëlandtsx 9887 : Pistonade (Emile Vacher), Polka de Concert. - Mary(Louis Closset), Scottish.Mlle Carmen Guilbert, Pianox 9895 : 2me Impromptu, Op. 31 (Gabriel Fauré). - Minstrels(Claude Debussy), Extrait des Préludes.IMP RtUNJES (. Vigie Mnrornine • et • Petit Mnr(h'nln »)Lopès, Soliste des Concerts Colonne de l'Op. Com. (violoncelle)Les Millions d'Ar­x 9900 : Jocelyn (8. Godard), Berceuse. -lequin (R. Drigo).Georges et Joseph Tzipine (violon et violoncelle)x 9882 : Romance et Air (G.-F. Hœndel). - Sérénade Espagnole,Op. 20, N° 2. (A. Glazounow).W. Cantrelle (violon)x 9904 Tambourin (Leclair). - Allegretto (Luigi Bocherini-Kreisler) .Viard, le grand virtuose de saxophonex 9892 Quo /Jadis ? (]. Nouguès) Le baiser d'Eunice. - Oh !SI les fleurs avaient des yeux ! (MassclP,et), Mélodie.J.-H. Wood(orgue)x 9907 : Chanson Païenne « Pagan love song » (Nacio Herb.Brown). - HouJ am 1 to knouJ (J. King).Paul Levrault, sonneur de Vielle instrumnt P. Louvet de 1743x 9876 : 1° Les gars de la Montagne (Bourrée d'Auvergne) ;2° Le Chibrely (Danse <strong>du</strong> XVIe Siècle), (Recueillies par PaulLavault). - La Marche des Compagnons (<strong>du</strong> XVIe Siècle). (Recueilliepar Paul Lavault).ACCORDEONFredo GardoniManuel Puig et Le Roy, refrains chantés par M. Le Royx 9880 : Ça suffit quand on aime (Borel-Clerc). - Canzona(A. Bosc).J( 9896 : Je pensais à vous (Borel-Clerc), Fox-trot. - Désir(A.-H. Monfred), Garde-moi dans tes bras.x 9913 : Parade d'amour (Schertinger). Rêve d'amour, Valse.Paris, je t'aime d'amour.y. 9911 : Tout autour <strong>du</strong> V él' d'Hiv' (Gailhard). Marche desSix Jours. - Ohé! Parigots 1 (Gailhard).Les Grandes Minutes SportivesM. Dehorter, le « Parleur Inconnu »x 3829 : Les grandes minutes sportives : Un démarrage sensationneldans la course des Six Jours au Vél' d'Hiv'. - Les grandesminutes sportives : Un match de boxe...Le Géranl: i{. flazan

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!