THIERRY LENOIREXPOSITION DU 15 MARS AU 30 MARS, DANS LE FOYER DU NOVAT E N TOONSTELLING VAN 15 TOT 30 MAA RT, IN DE FOYER VAN NOVALe bar du <strong>Nova</strong> accueillera lors de ce “Septième Pa rallèle” un gra veur belge, connu pour son oeuvre noireet mordante, Thierry Lenoir. Lenoir tente de secouer l’indiff é rence de nos re g a rds face aux exclusions et auxmalaises sociaux qui habitent encore nos villes démocratiques. Son art, avant tout narratif, se tro u ve à lac roisée des mouvements expressionnistes et des arts populaires, qu’ils soient d’antan, tels les images decolportages, ou d’aujourd’hui, tels que la bande dessinée, la caricature,… Son oeuvre, parfois drôle, parfoisviolente nous rappelle notre côté voyeur, et nous montre l’homme dans tous ses états. Thierry Lenoir intro d u i tses détails favoris: organes mâles en érection, petits diables pervers, nudités provocantes. Thierry Lenoirest un provocateur dans l’âme, dans la gra v u re et dans l’attitude. Et ce n’est pas tout: à l’entrée du <strong>Nova</strong>, desp e i n t u res du dernier artisan de l’affiche de cinéma de Bruxelles (Edmond Jamoulle) seront là pour vousa t t i rer… et vous retenir! Et encore… lors du ve rnissage, dans les couloirs et dans le bar du <strong>Nova</strong>, despersonnages bizarres, invités spécialement pour l’occasion, vous feront une visite guidée des lieux et desg ra v u res de l’exposition: pince sans rire s’abstenir (avec Thierry et Suzanne de la Cie 1,2,3,4)!< FR / NL >Naar aanleiding van het “Zevende Spoor” verwelkomt de bar van <strong>Nova</strong> Thierry Lenoir, een Belgisch etserbekend om zijn donkere en bijtende oeuvre. Lenoir tracht de onverschilligheid te doorbreken tegenover deuitsluiting en sociale malaise die nog altijd in onze democratische steden huizen. Zijn kunst, die vooralverhalend is, bevindt zich op het kruispunt van expressionisme en populaire kunsten, van vroeger (beeldenvan leurders) zowel als van vandaag (stripverhaal en karikatuur). Zijn soms grappige, soms gewelddadigeoeuvre herinnert aan de voyeur in ons, en toont de mens in al zijn gedaanten. Via herwerkingen van bepaaldeschilderijen van Jeroen Bosch en Nicolas Poussin introduceert Lenoir zijn favoriete details: erecties, perverseduiveltjes, provocerende naakten. Thierry Lenoir is een provocateur in hart en ziel, in zijn werk en in zijnhouding. En dat is niet alles: in de inkomhal van <strong>Nova</strong> zullen schilderijen van dhr. Jamoulle, de laatstefilmaffiche-schilder van Brussel, u lokken en bijblijven. Enkele bizarre personages zijn uw persoonlijke gids!DJ’S ELECTRO-POP30/03 > 24:00Lucile Desamory et Eric Georgessont proclamés rois de l’electro -pop pour la clôture. Lesdéguisements sexys voirep e r vers ou horribles sont lesb i e n venus, et la bonne humeurest obligatoire: entrée gra t i s !< FR / NL >Voor de afsluitende avondwerden Lucile Desamory en EricGeorges uitgeroepen totkoningen van de electro-pop.Sexy of zelfs perverse enh u i v e r i n g w e k k e n d evermommingen zijn welkom, eneen goed humeur is verplicht:gratis inkom!LE CINEMA, UNE CAMISOLEPOUR L’ E S P R I T ?YO R G A30/03> 22:30PERFORMANCE: VALERIE BAT E L, YO R G AMUSIQUE/MUZIEK: MARTIN LERSCHAprès avoir pris au piège le publicdu Fétiche Film Festival 2001( Paris) et des cinémas berlinois,l’artiste plasticien fétichiste,accompagné de sa complice Va lB. et du musicien Martin Lersch,v i e n d ra exercer son pouvoirt ransformateur au <strong>Nova</strong>, et clôture ra ce “7ème Pa rallèle” n°5.“Cette performance mêlera la vidéo, le corps, la musique improvisée etl ’ a rc h i t e c t u re de la salle de cinéma. Comme toute camisole, le cinémaest aussi confortable, chaud, intra-utérin, et peut concentrer la folie, ladensifier au lieu de la réprimer. La performance se pro p o s e ra de créer,m o n t re r, épro u ver et déchirer cette camisole. Conçue comme un actet e r roriste, l’action plastique fait irruption dans l’espace protégé duspectacle pour le transformer en zone d’expérience réelle. Avec sesmatériaux de base, les rouleaux de scotch et de cellophane, Yo r g ae n veloppe les corps et cloisonne les espaces, re c h e rche la « bonne suée», la chrysalide de chaleur suffocante, la matrice où l’enfermementd evient rite initiatique, fantasme fertile. L’expérience est partagée,c o l l e c t i ve, physique, comme une brusque hausse de tempéra t u re. Po u rl’occasion, Martin Lersch composera une bande-son incrustée dansl’action, une symphonie improvisée pour saxophone, clarinette, guitareélectrique, filtres électroniques, micro-contacts et… ve n t i l a t e u . r“ (signé:Yo r g a ) .“Je m’inspire du règne animal (cocons, chrysalides, mues, pièges, nids,oeufs, toiles d’araignées, etc.) pour explorer les rituels humains(habillement, rite initiatique, mariage, corrida...). “ YO R G ANa het publiek van het Fetisj Festival in 2001 te Parijs alsook hetBerlijnse filmpubliek ingepakt te hebben, is de plastische fetisjistischeartiest Yorga, bijgestaan door zijn handlanger Val B. en musicus MartinLersch, dit keer te gast in <strong>Nova</strong> om daar zijn transformatiekunsten botte vieren en ”Het Zevende Spoor” nr. 5 af te sluiten.“Deze performance mengt video, het lichaam en geïmproviseerdemuziek met de architectuur van de filmzaal. Als elke dwangbuis is ookde cinema confortabel, warm en baarmoederachtig en kan ze de gekteaanscherpen en versterken in plaats van haar op te heffen. Deperformance stelt zich tot doel deze dwangbuis te creëren, te tonen, teondervinden en te verscheuren. Opgevat als een terrorristische daaddringt de plastische actie binnen in de beschermde spektakelruimte omdeze om te vormen tot reële experimentatiezone. Met basismaterialenals plakband- en cellofaanrollen pakt Yorga lichamen in en scheidtruimtes af, waarbij hij op zoek gaat naar verstikkende warmte om eensgoed uit te zweten in de matrijs waar opsluiting initiatierite en vruchtbaarfantasme wordt. De belevenis wordt gedeeld, collectief en fysisch, alsging het om een bruuske temperatuursstijging. Voor de gelegenheidcomponeert Martin Lersch een op de actie geënte geluidsband, eengeïmproviseerde symfonie voor saxofoon, clarinet, elektrische gitaar,elektronische filters, micro-contacten en een ventilator.” (getekend:Yorga, vrij vertaald)“Ik laat mij inspireren door het dierenrijk (coconnen, poppen,vervellingen, valstrikken, nesten, eieren, spinnewebben enz.) om demenselijke rituelen (kleding, initiatierite, huwelijk, stieregevechten,telefoon, amoureuze ontmoeting, theater, enz.) te verkennen.”
F I L M SV E N / F R I 1 5 . 0 3 2 2 : 3 0A N G S T GERALD KARGL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6AUTOSTOP / ROSSO SANGRE PAS Q UALE FESTA CA M PA N I L E . . . . . . . . . . . . 7CANNIBAL MAN E LOY DE LA IGLES I A . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7CHRISTINA PRINCESSE*.. J ESS FRANCO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9COMTESSE PERVERSE (LA)* J ESS FRANCO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9E X P O S É JA M ES KENELM CLA R K E . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6FRISSON DES VAMPIRES (LE) JEAN ROLLIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1HOUSE OF WHIPCORD PETER WA L K E R . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6N E C R O N O M I C O N J ESS FRANCO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86 DONNE PER L’ASSASINO MARIO BAVA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4TRAS EL CRISTAL AG U STÍN VILLA R O N G A . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7V A M P Y R E S JOSE LA R R A Z . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5VAMPIRE NUE (LA) JEAN ROLLIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1VENUS IN FURS J ESS FRANCO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9VIOL DU VAMPIRE (LE) JEAN ROLLIN. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1WEREWOLF WOMAN RINO DI SILV EST R O. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5WHO COULD KILL A CHILD N A R C I SSO IBANEZ SERRADOR . . . . . . . . . . . . . . . 5DEAD OR ALIVE 2 TA K ASHI MIIKE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 5D E N T I GABRIELE SA LVATO R ES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 4DOG DAYS ULRICH SEIDL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 3ELECTRIC DRAGON 80.000V ISHII SOGO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 3F O G B O U N D ATE DE JONG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2HAPPINESS OF KATAKURI (THE) BYUNG-KI AHN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 5HE DIED WITH A FELAFEL RICHARD LOW E N ST E I N . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 4LIVING HELL (A) SHUGO FUJII . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 3MAKING A KILLING RYAN LEE DRISCOLL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2MEMOIRE MORTE FRANK CHICHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 5N E X X T A R PAD SCHILLING . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 5PISTOL OPERA SEIJUN SUZUKI. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2REAL FICTION KI-DUK KIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 4TROUBLE EVERYDAY C LAIRE DENIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 4TT SYNDROME JAN ZECEVIC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 36 DONNE PER L’ASSASINO(AKA BLOOD AND BLACK LACE ), MARIO BAVA, FR/IT/ALL,1964, 87’,VO ANG/OV ENG, 16MMDans un magasin de confection de vêtements d’unemodiste respectable, plane une ambiance bien malsainedepuis que l’une des modèles a été re t rouvée assassinée.Cahiers intimes convoîtés, un amant caché… huis-clos:angoisse! Le cercle se referme et pourtant le mystèreplane toujours. Directeur de la photographie sur les filmsde réalisateurs tels que Roberto Rossellini, G. W. Pa b s t ,Raoul Walsh,… Mario Bava est l’un des grands maître sdu film érotique et à suspense. Avec “Sei donne perl’assassino” il est dans une de ses meilleures périodes eto u v re la voie au slasher (film de genre, où les femmessont soumises à des violences). “Sei donne perl’assassino” est aussi un film clé dans la filmographie deBava, où celui-ci accentue la place de la “grosse machineà tuer”. Cependant, les couleurs de l’image et le soin desc a d rages donnent au film toute sa consistence particulière ,guidant sa lecture vers d’autres sphères, culture l l e m e n tet politiquement engagées.< FR / NL >In een gerenommeerd kledinghuis hangt een luguberesfeer nadat een van de modellen er dood wordtteruggevonden. Haar in beslag genomen dagboekenonthullen het bestaan van een geheime minnaar en voorwe het weten bevinden we ons in een typische ‘huis clos’,waarbij de cirkel zich langzaam rond de personages sluit,terwijl het mysterie onopgehelderd blijft... Als fotograafvoor films van onder meer Roberto Rossellini, G. W. Pabst,Raoul Walsh, e.a. is Mario Bava een van de grote meestersvan de erotische film alsmede van de suspensfilm. Met“Sei donne per l’assassino” is hij op zijn best en toont onsniet minder dan een echte “slasher” (genrefilm waarinvrouwen aan allerhande gewelddaden wordenblootgesteld). “Sei donne per l’assassino” is tevens eensleutelfilm in Bava’s filmografie, waar de grotemoordmachine zonder scrupules wordt ingezet...Ondertussen geven de kleuren van de beelden en deverzorgde kadrering de film een heel eigen consistentie,die de toeschouwer leidt naar andere cultureel en politiekgeladen sferen.4