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s'installe en ville - Saint-Nazaire

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Noëls’installe <strong>en</strong> <strong>ville</strong>L’ABCN et le <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> handballLe point sur Ville-OuestLe conseil de quartier du c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong>Votre minimag’ pratiquewww.mairie-saintnazaire.frDÉCEMBRE 2010 • N° 239


<strong>ville</strong>dynamiqueLes féeries de décembre p. 4Noël se fête aussi dans les quartiers p. 7L’ABCN et le <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> Handball p. 8<strong>ville</strong>àvivreLes formations du Cesi p. 10Circulez Z<strong>en</strong> avec Z<strong>en</strong>ibus p. 12La voirie passée au crible p. 13Le point sur Ville-Ouest p. 14Le point municipal ouest p. 16Le conseil de quartier du c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong> p. 17<strong>ville</strong>pourtousPerman<strong>en</strong>ces des élu(e)s et brèves p. 18L’association Envie 44 p. 20Portrait du groupe Nomad Spirit p. 21Expressions politiques p. 22Minimag’SPORT Inscriptions à l’école municipale des sports p. ILOISIRS Le prix Marque-pages p. IIAGENDA Concerts, théâtre, expositions… p. IVPRATIQUE Les horaires des marées p. VIIISAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE N°239 DÉCEMBRE 2010 PLACE FRANÇOIS BLANCHO 44600 SAINT-NAZAIRE - ÉDITEUR : MAIRIE DE SAINT-NAZAIRE. DIRECTEUR DE PUBLICATION : JOËL BATTEUX.RÉDACTEUR EN CHEF : CHARLES NICOL. RÉDACTEUR : BERNARD GLOTIN. PHOTOGRAPHES : DOMINIQUE MACEL ET MARTIN LAUNAY. UNE : MICHEL VANDEN EECKHOUDT. ONT COLLABORÉ À CE NUMÉRO :CHRISTINE BAZILE, SANDRINE BELLIOT-LE COCQ, CÉLINE SARRAF-MOAYERI, ADELINE CHAMP, MICHEL FAUCOMPRÉ ET FABIENNE LEGOFF. MAQUETTE : GRAPHITTI COMMUNICATION GRAPHIQUE.MISE EN PAGE : LE SQUARE DESHOULIÈRES. IMPRIMERIE : ROTO AISNE SOCIÉTÉ NOUVELLE. IMPRIMÉ SUR PAPIER ISSU DES FORÊTS GÉRÉES DE FAÇON DURABLE. DISTRIBUTION : 42 500 EXEMPLAIRES.■ 2 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


éditoNous r<strong>en</strong>trons bi<strong>en</strong>tôt dans les fêtes deNoël après un automne agité sur fond dedossier des retraites, d’affaires financières etde pouvoir d’achat <strong>en</strong> berne.L’extraordinaire mobilisation de ces derniers moisdépasse largem<strong>en</strong>t le seul sujet de l’allongem<strong>en</strong>t dela durée du travail. La négociation sur les retraites,telle qu’elle s’est déroulée, avec des bornes d’âgesinamovibles et l’intransigeance élysé<strong>en</strong>ne, ne pouvaitque conduire au conflit. Qui plus est, ce débat r<strong>en</strong>duinaudible par l’affaire Woerth-Bett<strong>en</strong>court, a mis<strong>en</strong> relief une société à deux vitesses, dominée par lepouvoir et l’arg<strong>en</strong>t.Réformer le pays signifiait naguère « aller vers plus deprogrès social ». C’est aujourd’hui synonyme de recul.La réforme, vue par le Présid<strong>en</strong>t de la République, faitpeur désormais. Et pourtant, aucun citoy<strong>en</strong>, aucunsyndicat n’est hostile aux réformes ; mais du mom<strong>en</strong>tque les tâches et les bénéfices soi<strong>en</strong>t partagés etamélior<strong>en</strong>t le quotidi<strong>en</strong>.A <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>, comme dans la majorité des <strong>ville</strong>sgérées par la gauche, nos efforts vont vers celles etceux qui att<strong>en</strong>d<strong>en</strong>t notre souti<strong>en</strong> dans les quartiers, lesécoles, les logem<strong>en</strong>ts, les transports, les équipem<strong>en</strong>tssportifs et culturels et non vers ceux qui s’<strong>en</strong>richiss<strong>en</strong>tsur le dos des forces du travail.Aussi, à la veille de la nouvelle année, nous avonsvoulu que Noël à <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> soit synonyme desolidarité et de partage : cette année, les services dela Ville ont énormém<strong>en</strong>t travaillé pour vous offrir uneversion exceptionnelle de la magie de Noël <strong>en</strong> vousdonnant r<strong>en</strong>dez-vous dans les quartiers et <strong>en</strong> c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong>(voir pages 4 à 7). Ces animations uniques, imaginéesavec les part<strong>en</strong>aires locaux, sont de belles occasions dejoindre l’utile à l’agréable. Que chacun(e) pr<strong>en</strong>ne plaisirà découvrir les illuminations, à profiter de l’accueil chaleureuxdes commerçants tout <strong>en</strong> découvrant les multiplesfacettes des Féeries de décembre.Joël Batteux, Maire de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 3 ■


<strong>ville</strong>dynamique> Jusqu’au 2 janvierféeriesless’install<strong>en</strong>t <strong>en</strong> <strong>ville</strong>Pour les fêtes de fin d’année, la Ville proposede nombreux r<strong>en</strong>dez-vous familiaux tout aulong du mois de décembre. Un cal<strong>en</strong>drierde l’Av<strong>en</strong>t à déguster sans modération.Un Noël qui scintillePour la seconde année consécutive, la Ville a choisi de confier la mise<strong>en</strong> lumière de l’hyper-c<strong>en</strong>tre à la société Blachère. Les habitantspeuv<strong>en</strong>t découvrir la magie d’un Noël tout blanc, rythmé d’étoiles etde sphères, dans l’esprit de l’année dernière mais avec de nombreusesnouveautés. Les services de la Ville ont complèté le dispositif <strong>en</strong>illuminant le c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong> et de nombreux quartiers de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> :Sautron, Immaculée, <strong>Saint</strong>-Marc-sur-Mer, P<strong>en</strong>hoët, Kerlédé, Trébale,Bouletterie et la place Poincaré. Les illuminations sont toutes équipéesde leds, à la fois écologiques et économiques, de consommationde plus de 10 fois inférieure aux ampoules incandesc<strong>en</strong>tes.Tous les ans, Les Féeries dedécembre propos<strong>en</strong>t desr<strong>en</strong>dez-vous familiaux,conviviaux et originaux pourplonger les habitants de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> et de sa région dansune ambiance festive. Avec<strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>-Vitrines.com :l’association des commerçantsdu c<strong>en</strong>tre <strong>ville</strong> et le Ruban Bleu,la Ville de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> orchestrediffér<strong>en</strong>tes propositionspour toute la famille.P<strong>en</strong>dant près d’un mois, lesrues du c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong>, de la placede l’Amérique Latine au plateaupiétonnier, accueillerontles animations désormais traditionnellesde la période : spectaclesde rue, à découvrir auRuban Bleu, rue de la Paix etsur le plateau piétonnier ;calèche, manège et gourmandisestout au long du parcours...Cette année, la Ville de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> propose de partageravec le public une version inéditeet exceptionnelle des fêtesde Noël <strong>en</strong> confiant à la compagnieLa Machine (Nantes) laconception d’un décor et d’uneparade pyrotechnique. Ces r<strong>en</strong>dez-vousuniques, construitsavec les part<strong>en</strong>aires locaux,combineront l’évocation desimages traditionnelles de cettepériode de l’année et uneapproche originale, typiquem<strong>en</strong>t« La Machine ».De belles occasions de bénéficierde l’accueil chaleureux descommerçants du c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong>pour ses achats de Noël sous■ 4 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>dynamiqueAu Ruban Bleuaussiles lumières des Féeries dedécembre.L’ATELIERDU PÈRE NOËLLe bateau volant du Père Noëlest tombé <strong>en</strong> panne ! Il doitatterrir sur le bassin de l’Hôtelde Ville avec tout son chargem<strong>en</strong>tle 8 décembre.Sachant que les plus grandsexperts de la construction navalese trouv<strong>en</strong>t à <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>, lePère Noël a demandé l’aide de laVille pour trouver une hélice derechange et repartir distribuerses jouets dans le monde.L’équipe de La Machine et lesservices municipaux se sontmobilisés pour installer sonatelier esplanade des Droits del’Homme et du Citoy<strong>en</strong>, aumilieu des sapins. Avec la participationdes jeunes de l’opérationd’insertion « Premiercontrat » pilotée par l’IPFA de<strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>.Les habitants pourront lui r<strong>en</strong>drevisite les mercredis 8, 15et 22 décembre de 15h à18h ; les v<strong>en</strong>dredis 10,17 et24 décembre de 16h à 18h etles samedis 11 et 18 décembrede 15h à 19h.LA PORTEUSE D’EAUSortie tout droit des carnets deJules Verne, La porteuse d’eauest un personnage poétique etcristallin. Chaussée de longuespointes de danseuse, elle offreau passant surpris quelquesgouttes de son précieux nectar.Le samedi 11 décembre à 15hsur le plateau piétonnier etrue de la Paix ; à 16h45 auRuban Bleu.ALEXANDRE JOUS ETSON COR DES ALPESAlexandre Jous (Alexcor) est unmusici<strong>en</strong> que l’on retrouve,avec son Cor des Alpes, sur desscènes très différ<strong>en</strong>tes : il prés<strong>en</strong>teà <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> un échantillondu répertoire traditionnel.Le samedi 11 décembre de15h à 17h <strong>en</strong>tre Ruban Bleuet plateau piétonnier.Tout le mois de décembre,le Ruban Bleu propose desaprès-midi animées : le samedi11 décembre (maquillage),le mercredi 15 décembre(caricaturiste), le samedi18 décembre (sculpture surballons), le 21 ou 22 décembre(sculpture sur glace) et du11 au 24 décembre(marché de Noël).LES LUTINS À LA NEIGETout de rouge vêtus, cinq lutinsfacétieux vont à la r<strong>en</strong>contre dupublic. Pressés de distribueramour et bonheur, ils plong<strong>en</strong>tchaque coin de rue dans un universdécalé, poétique et onirique.Le samedi 18 décembre à 15hsur le plateau piétonnier etrue de la Paix ; à 16h45 auRuban Bleu.KALÉÏDOS SONGCet <strong>en</strong>semble vocal nazairi<strong>en</strong>,composé de 35 chanteurs,interprète des chants variésallant de la tradition de Noël àla musique d’aujourd’hui.Le samedi 18 décembre à 15hau Ruban Bleu ; à 16h45 surle plateau Piétonnier et rue dela Paix.DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 5 ■


<strong>ville</strong>dynamiqueNOËL EN GLISSEEn roller, <strong>en</strong> trottinette, <strong>en</strong> tricycle, <strong>en</strong> skateou <strong>en</strong> snake, sans neige mais avec des roulettes,un après-midi de glisse ouvert à toussur la place de l’Amérique Latine.Proposé par la Direction des Sports de laVille de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>. À partir de 3 ans.Le samedi 18 décembre de 13h30 à17h30, place de l’Amérique Latine.LA ZIKABILOV<strong>en</strong>ue de la région d’Angers, cette fanfare<strong>en</strong>diablée vous fera voyager à travers demultiples horizons : chanson française,rock, reggae, jazz, musique des Balkans ourythmes latinos...Le mardi 21 décembre à 10h et 11h30,halles c<strong>en</strong>trales de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>, à 15hsur le plateau piétonnier et rue de la Paixet à 16h45 au Ruban Bleu.Animations des commerçantsLES MAÎTRES SONNEURSQui sont vraim<strong>en</strong>t Les maîtres sonneurs ?On les dit lutins, gnomes, korrigans, oufarfadets, personnages de BD, gardi<strong>en</strong>s detrésor, ou montreurs d’ours. Ils réveill<strong>en</strong>t lesc<strong>en</strong>tres-<strong>ville</strong>s assoupis et emprunt<strong>en</strong>t auxcracheurs de feu la technique du coupd’éclat perman<strong>en</strong>t...Le mercredi 22 décembre à 15h sur leplateau piétonnier et rue de la Paix ; à16h45 au Ruban Bleu.FLAMMESLa veille du départ du Père Noël, Pierre deMecqu<strong>en</strong>em et La Machine illuminerontl’esplanade des Droits de l’Homme et sesal<strong>en</strong>tours à l’aide de bougies, braseros,étincelles... La cabane du Père Noël sera lepoint de rassemblem<strong>en</strong>t pour les habitantsqui vi<strong>en</strong>dront se réchauffer autour des feux<strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>-Vitrines.com, l’association des commerçants du c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong> organise égalem<strong>en</strong>t de nombreuses animationstout au long du mois de décembre : un manège carroussel sur la place de l’Amérique Latine, des chalets gourmands surl’esplanade des Droits de l’Homme, la boîte aux lettres du Père Noël située sur le parvis des halles de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>.L’association organise un concours de dessins sur le thème « Imagine le voyage du Père Noël ». Il est ouvert à deuxcatégories d’âge (moins de cinq ans et plus de cinq ans). Les dessins sont à déposer dans la boîte aux lettres situéesur la parvis des halles ( indiquer au dos du dessin le nom, le prénom, l’âge et le numéro de téléphone).Autre animation, un grand jeu sur les vitrines. Il suffit d’estimer <strong>en</strong> euros le cont<strong>en</strong>u de cinq vitrines exposées chez cinqdes adhér<strong>en</strong>ts de l’association : Agora presse, 71 rue Jean Jaurès ; Axa, 95 rue Albert de Mun, Bistro Bio, 16 av<strong>en</strong>ue dela République, Pharmacie de la gare, 101 av<strong>en</strong>ue de la République, Territoire d’homme, 25 rue de la paix. Trouvez lejuste prix et gagnez la totalité des lots exposés. Enfin, petits et grands, v<strong>en</strong>ez parcourir le c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong> à bord de la calèchedu Père Noël. R<strong>en</strong>dez-vous à partir de 14h devant le magasin San Marina, à l’angle du 48 av<strong>en</strong>ue de la Républiqueet l’av<strong>en</strong>ue Albert de Mun les 8, 11, 15, 18, 22 et 24 décembre.et se laisser hypnotiser par la lueur desflammes. Attirés par les étincelles, ilsseront guidés jusqu’à l’Hôtel de Ville, oùune surprise pyrotechnique les att<strong>en</strong>dra.Ceux qui p<strong>en</strong>s<strong>en</strong>t n’y voir que du feu serontsurpris... Les Nazairi<strong>en</strong>s résidants av<strong>en</strong>uede la République, esplanade des droits del’Homme, place François Blancho sont invitésà participer à cet événem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> posantsur le rebord de leur f<strong>en</strong>être les bougies quiseront déposées dans leur boite aux lettres,ou à les retirer à l’atelier du Père Noël auxhoraires d’ouverture.Le mercredi 22 décembre à 17h30,départ esplanade des Droits de l’Homme.JAZZAMBULESUn quartet jazzy égrènera aux oreilles despassants les grands standards du jazz et de lachanson française, mais aussi quelques classiquesde Noël revisités, pour une ballademusicale tout <strong>en</strong> rythme et <strong>en</strong> harmonie.Le mercredi 22 décembre et le jeudi23 décembre à 15h au Ruban Bleu et à16h45 sur le plateau piétonnier et rue dela Paix.LES SAINTES DE GLACELongues icônes blanches célébrant lesneiges éternelles et les glaciers, les <strong>Saint</strong>esde glace ont la grâce et la fluidité degrands cygnes sur un lac. Et pour ajouter àla magie du tableau, ces échassières fabriqu<strong>en</strong>tdes flocons de neige...Le jeudi 23 décembre à 15h sur le plateaupiétonnier et rue de la Paix ; à16h45 au Ruban Bleu.■ 6 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>dynamiqueEn complém<strong>en</strong>taritédes féeries du c<strong>en</strong>tre<strong>ville</strong>,les quartiersde <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>propos<strong>en</strong>t égalem<strong>en</strong>tde nombreusesanimations.lesquartiersfêt<strong>en</strong>t aussi NoëlMAISON DE QUARTIERDE MEAN-PENHOÊTPour la 3 e année, la maison dequartier de Méan P<strong>en</strong>höetorganise une animation familiale.Les familles sont invitéesà découvrir les ateliers de lamaison de quartier. Un spectaclede cirque de la CompagnieBaldaboum et quelques gourmandisessont proposés <strong>en</strong>fin d’après midi. Inscriptionconseillée (un euro par famille).Le v<strong>en</strong>dredi 10 décembre àpartir de 17h - Maison dequartier de Méan P<strong>en</strong>hoëtMARCHÉ DE NOËLDE L’IMMACULÉEVingt producteurs du terroir,animations gratuites pour les<strong>en</strong>fants, v<strong>en</strong>ue du Père Noël à11h et 16h30, concerts dansl’église à 14h30 avec la choraleArc <strong>en</strong> Ciel et à 15h30avec la chorale Kui Bo To. Unejournée organisée par les associationsdu quartier de l’Immaculée: Comité des Fêtes, AmicaleLaïque Jules Simon, FCI,UCAIM, Office Municipale de laJeunesse, Maisons de Quartierde l’Immaculée Beauregard.Le dimanche 19 décembre2010 de 10h à 19h - autourde l’église.FÊTE DES ENFANTSÀ la maison de quartier de laChesnaie. Au programme : animationsfamilles, jeux surdim<strong>en</strong>sionnés,maquillage, spectacledéambulatoire, avec bi<strong>en</strong> évidemm<strong>en</strong>tl’arrivée du Père Noël.Le samedi 18 décembre de14h à 18h à la maison dequartier de la Chesnaie.SOIRÉE FESTIVEDE FIN D’ANNÉEChacun amène un plat à partager.Ambiance conviviale et festive.R<strong>en</strong>seignem<strong>en</strong>ts et inscriptionsà la Maison de Quartier de laChesnaie, Espace civique, 1 bisrue de Ajoncs à <strong>Saint</strong> <strong>Nazaire</strong> -02.28.55.99.90.Le mardi 21 décembre à partirde 19h à la maison de quartierde la Chesnaie.NOËL MEXICAINÀ SAINT-MARCL’Association Culture-Loisirs deSt-Marc invite un collectif d’artistespeintres et graveurs Mexicainsde Guernavaca (proche deMexico) à exposer à la mairieannexe.La littérature abondantede ce pays sera égalem<strong>en</strong>t prés<strong>en</strong>tedurant cette exposition.Une soirée littéraire sera organiséedébut janvier. La partiemusicale et gastronomique neseront pas non plus abs<strong>en</strong>tes à<strong>Saint</strong>-Marc-sur-Mer L’occasionde révéler la richesse et la diversitéculturelle de ce pays souv<strong>en</strong>tméconnue.Du 18 décembre au 16 janvierà la Mairie Annexe de <strong>Saint</strong>-Marc sur Mer.DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 7 ■


<strong>ville</strong>dynamiqueL’équipe première évoluant <strong>en</strong> Nationale 3.club> Portrait de l’ABCNunbi<strong>en</strong> dansses basketsL’ABCN fait partiede ces clubs nazairi<strong>en</strong>squi évolu<strong>en</strong>t au hautniveau. Portrait d’uneassociation quiambitionne à moy<strong>en</strong>terme de franchir unnouveau cap sportif.L’histoire au rebondEsprit collectif, convivialité,respect de l’adversaire etdes arbitres, telles sontles valeurs de l’ABCN. Un clubqui ti<strong>en</strong>t le haut du panier dubasket masculin à <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>.L’équipe s<strong>en</strong>iors évolue depuissix ans <strong>en</strong> Nationale 3. Une statistiquequi démontre une stabilitésportive évid<strong>en</strong>te. Certainss’<strong>en</strong> cont<strong>en</strong>terai<strong>en</strong>t, l’ABCN luiL’origine du club (l’Etoile Claire-Joie) remonte à 1929, année où une sectionbasket-ball fut créée au sein de l’association sportive de l’Etoile Claire-JoieBasket qui compr<strong>en</strong>ait égalem<strong>en</strong>t une section gymnastique et une sectionfanfare. Cette association omnisports connut des dizaines d’années de bonfonctionnem<strong>en</strong>t. Puis, <strong>en</strong> 1995, il fut décidé d’individualiser chaque section. Lasection de basket prit alors le nom de l’Etoile <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> Basket-Ball qui se fitlargem<strong>en</strong>t connaître par la prés<strong>en</strong>ce de son équipe fanion dans les rangs duchampionnat national. Mais des problèmes financiers apparur<strong>en</strong>t et l’ESNBB futdissoute par décision de justice <strong>en</strong> 1997. Grâce à l’<strong>en</strong>semble des bénévoles, unnouveau club fut alors créé. Il prit le nom d’ABCN. Son équipe fanion repartit <strong>en</strong>Régionale III et les équipes jeunes reprir<strong>en</strong>t leurs compétitions respectives audébut de la saison 97-98.voit plus loin et se projette.« Pour cette saison, nous visonsles quatre premières places »annonce Robert Garreau, présid<strong>en</strong>tdu club depuis quatre ans,« <strong>en</strong>tre la Nationale 3 et la Nationale2, la marche sportive etfinancière est très importante.Notre objectif pour les deux outrois années à v<strong>en</strong>ir, c’est deparv<strong>en</strong>ir à la gravir. Pour lemom<strong>en</strong>t, l’équipe continue derégaler à domicile ses spectateurset est classée dans les premiersde Nationale 3. » Le publicde la Berthauderie répond prés<strong>en</strong>t.L’an dernier, l’ABCN avaitrec<strong>en</strong>sé 4 000 spectateurs pourl’<strong>en</strong>semble de sa saison.Derrière, la réserve joue <strong>en</strong>Régionale 2 ; et l’équipe 3 <strong>en</strong>Départem<strong>en</strong>tale 3.L’ABCN compte 130 joueurs(sur les 900 lic<strong>en</strong>ciés pratiquantle basket à <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>). « Ilnous faut augm<strong>en</strong>ter notre effectifjusqu’à 150 lic<strong>en</strong>ciés » poursuitle présid<strong>en</strong>t. À noter que leclub recrute toujours <strong>en</strong> cette finde saison, notamm<strong>en</strong>t chez lesjeunes.L’ABCN peut s’appuyer sur unsocle de quinze dirigeants et de25 bénévoles pour préparer lesdeux grandes animations de sasaison : le match de gala à laSoucoupe et son vide-gr<strong>en</strong>ier.Certains d’<strong>en</strong>tre eux font partiede l’histoire du basket nazairi<strong>en</strong>comme Edith Rumin et RachelleLasquellec qui ne compt<strong>en</strong>t plusles milliers d’heures passées surle parquet des terrains de basketà former et <strong>en</strong>courager lesjeunes pousses. Un bénévolatsans faille qui comme partoutaujourd’hui peine à se r<strong>en</strong>ouveler,« l’appel aux bénévoles estlancé » sourit le présid<strong>en</strong>t.Prochain match à domicilecontre Quimper le 11 décembreau gymnase de la Berthauderie.Site : www.abc-nazairi<strong>en</strong>.com■ 8 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>dynamique> LeLaformation<strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> Handballcomme leitmotivL’équipe première.Le <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>Handball s’illustre surtous les terrains : sportifs,sociaux, scolaires.Un dynamisme qui n’estpas prêt de s’arrêter.Chaque été, le <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> Handballfait le show sur la plage deMonsieur Hulot avec son traditionnelSandball ; Un événem<strong>en</strong>t majeur pourle club qui multiplie tout au long de l’annéeles initiatives sportives, scolaires etsociales. Sur le terrain sportif, l’équipe premièreoccupe les premières places de sonchampionnat de prénationale. « Notreobjectif est d’accéder à la Nationale 3, d’yrester un mom<strong>en</strong>t tout <strong>en</strong> continuant àconstruire notre politique de formation<strong>en</strong>tamée depuis plusieurs années » insisteÉric Geoffroy, présid<strong>en</strong>t du club ; une politiquequi porte ses fruits : l’équipe demoins de 18 ans masculine évolue au plushaut niveau, près de 70 % des 300 lic<strong>en</strong>ciésont moins de 18 ans. Les plus petitsL’opération « Le hand c’est de la balle ».sont égalem<strong>en</strong>t impliqués dans la vie del’association avec l’opération « handballpremiers pas » destinée aux 4-6 ans. « Onne peut pas construire quelque chose desolide sans la formation. Nous visons lemeilleur niveau possible sans jamaistomber dans l’élitisme. »Pour le SNHB, le recrutem<strong>en</strong>t et la réussitesportive du club pass<strong>en</strong>t par un travail defond sur le terrain social avec notamm<strong>en</strong>tl’opération « Le hand c’est de la balle » initiéeauprès des jeunes des quartiers de laTrébale, de la Chesnaie ou <strong>en</strong>core de laBouletterie ; le club intervi<strong>en</strong>t égalem<strong>en</strong>t<strong>en</strong> milieu scolaire scolaire au collège AlbertVinçon. « Nous privilégions la mixité, participonsà l’accompagnem<strong>en</strong>t éducatif dujeune » continue Éric Geoffroy qui peutcompter sur une équipe dynamique de 35bénévoles et sur deux salariés. « Le projetdu SNHB est partagé par tous les membresdu club. Malgré ce travail de fond important,nous sommes toujours restés un clubfamilial » conclut le présid<strong>en</strong>t du SNHB.Dans la zonehistoriqueDepuis septembre 1998,le club s’est détaché del’amicale laïque de <strong>Saint</strong>-Marc pour pr<strong>en</strong>dre son<strong>en</strong>vol seul et s’intitulé le<strong>Saint</strong>-Marc Hand Ball(SMHB ). Étant le seulclub de Handball de<strong>Saint</strong>- <strong>Nazaire</strong>, seslic<strong>en</strong>ciés prov<strong>en</strong>antde l’<strong>en</strong>semble del’agglomération, et afind’obt<strong>en</strong>ir une meilleurelisibilité favorisant sonrayonnem<strong>en</strong>t, leSt-Marc Handballdevi<strong>en</strong>t, suite au voteà l’unanimité de sonAssemblée générale<strong>en</strong> juin 2006, le <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> Handball.Aujourd’hui, le clubcompte 18 équipes et300 lic<strong>en</strong>ciés.DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 9 ■


<strong>ville</strong>àvivre> Appr<strong>en</strong>tissage, formation continue et mastères spécialisésles originalitésLes deux écoles supérieures du Cesi de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> neressembl<strong>en</strong>t pas aux écoles traditionnelles d’ingénieurs. Quece soit celle qui forme des appr<strong>en</strong>tis-ingénieurs, des ingénieurs<strong>en</strong> formation continue, ou l’école supérieure d’informatique.du CesiLe groupe CesiLe Cesi, association loi 1901, aété créé <strong>en</strong> 1958 par cinq<strong>en</strong>treprises industrielles, dontR<strong>en</strong>ault, Télémécanique et laSNECMA. Il est spécialisé dansla formation des ingénieurs, descadres, des technici<strong>en</strong>s et desag<strong>en</strong>ts de maîtrise. Chiffred’affaires : 63,4 millions d’euros.580 salariés, dont près de 200formateurs consultants, œuvr<strong>en</strong>tdans 26 établissem<strong>en</strong>ts <strong>en</strong>France, organisés <strong>en</strong> 7 directionsrégionales, et dans deux écoles <strong>en</strong>Espagne et une <strong>en</strong> Algérie.Si l’on pr<strong>en</strong>d l’école formant des ingénieurs,elle ne s’adresse pas à desétudiants, mais à des personnes quirepr<strong>en</strong>n<strong>en</strong>t une formation continue ou desappr<strong>en</strong>tis qui prépar<strong>en</strong>t un diplôme <strong>en</strong>alternance. Ceci <strong>en</strong> restant fidèle à l’idéede départ lors de la création des premiersCesi <strong>en</strong> 1958, « afin de répondre à lademande des <strong>en</strong>treprises désirant faireévoluer des technici<strong>en</strong>s vers des postesd’ingénieurs », rappelle Thierry Thibaut,directeur du Cesi de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> basé àGavy. C’est aussi une façon de favoriser lapromotion sociale et de permettre à ceuxqui n’<strong>en</strong> ont pas eu la possibilité, de suivreles cours des écoles traditionnelles d’ingénieurs.Il y a très peu de formations de cetype <strong>en</strong> France.Les élèves <strong>en</strong> formation continue sontrecrutés sur un concours basé sur les mathset le français. Mais surtout ce qui importe,« c’est leur projet professionnel, leur motivation», confie le directeur. Ils sont <strong>en</strong>général, soit <strong>en</strong>voyés par leur <strong>en</strong>treprise,soit <strong>en</strong> congé individuel de formation, soitchômeurs. Il n’y a pas de limite d’âge. Laformation se fait <strong>en</strong> 20 mois, avec 13 moisde cours, et 7 mois de stage. « C’est trèsrapide pour une formation d’ingénieur »,souligne Thierry Thibaut.Les élèves appr<strong>en</strong>tis-ingénieurs doiv<strong>en</strong>tavoir moins de 26 ans, niveau bac+2. Leurformation <strong>en</strong> alternance dure 3 ans. Ils sontsalariés de l’<strong>en</strong>treprise. Ces appr<strong>en</strong>tis-ingénieurs,comme ceux qui suiv<strong>en</strong>t une formationcontinue, devi<strong>en</strong>n<strong>en</strong>t des ingénieursgénéralistes capables d’animer deséquipes. L’école propose égalem<strong>en</strong>t desdiplômes avec des formations à hauteexpertise à travers des mastères spécialisés.■ 10 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>àvivreCes « mastéri<strong>en</strong>s » ont déjà unbac+5. Ils suiv<strong>en</strong>t une formationcourte, très ciblée de 3 ou4 mois.Quant à l’école supérieured’informatique, elle propose unparcours <strong>en</strong> 5 ans ouvrant surles filières ingénierie réseaux etLes chiffres <strong>en</strong> 2010ingénierie logiciels. Sa pédagogieest fondée sur l’appr<strong>en</strong>tissagepar problème, avec untravail <strong>en</strong> groupe. « Ceci, afinde former des informatici<strong>en</strong>scapables de travailler <strong>en</strong> équipeet de façon transversale »,confie le directeur.En 2010, 100 appr<strong>en</strong>tis-ingénieurs par l’appr<strong>en</strong>tissage depuis 3 ansà <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>, 60 élèves ingénieurs <strong>en</strong> formation continue,65 mastéri<strong>en</strong>s, 71 élèves informatici<strong>en</strong>s, 50 élèves <strong>en</strong> préparationà la formation d’ingénieur, suiv<strong>en</strong>t les formations du Cesi. Toutcomme les 28 élèves <strong>en</strong> classe préparatoire diplômante à Bac+2,avec deux spécialités : animateur qualité, sécurité, <strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>tet gestionnaire <strong>en</strong> organisation et performance industrielle.L’équipe pédagogique est forte de 18 personnes. Elle est épauléepar un réseau de 150 interv<strong>en</strong>ants experts.Signe de la qualité de l’<strong>en</strong>seignem<strong>en</strong>tdu Cesi nazairi<strong>en</strong> :« Nos élèves trouv<strong>en</strong>t du travailfacilem<strong>en</strong>t », souligne ThierryThibaut. Le Cesi de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>est sout<strong>en</strong>u par les collectivitéslocales et par le Conseil Régionaltant pour l’appr<strong>en</strong>tissage quepour la formation continue.Thierry Thibaut directeur du Cesi à <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>.Le Cesi à<strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>Installé au sein du pôleuniversitaire de Gavy Oceanis,le Cesi propose deux écolessupérieures sur 2 000 m 2 . Uneécole d’ingénieurs qui disp<strong>en</strong>sedes formations d’ingénieurs parl’appr<strong>en</strong>tissage et par laformation continue (pourtechnici<strong>en</strong>s expérim<strong>en</strong>tés), et5 mastères spécialisés labelliséspar la confér<strong>en</strong>ce des Grandesécoles. Créé <strong>en</strong> 1991, le Ceside <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>, <strong>en</strong> part<strong>en</strong>ariatavec les <strong>en</strong>treprises de la région,a formé 440 ingénieurs<strong>en</strong> formation continue,375 diplômés des mastèresspécialisés dans différ<strong>en</strong>tsdomaines du managem<strong>en</strong>t.Une école supérieured’informatique, qui forme du bacà bac+5, où 110 informatici<strong>en</strong>sse sont déjà spécialisés <strong>en</strong>ingénierie logiciels et ingénierieréseaux.DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 11 ■


<strong>ville</strong>àvivre> Navette électrique gratuiteCirculez Z<strong>en</strong>avec Z<strong>en</strong>ibusZ<strong>en</strong>ibus vous donne accès gratuitem<strong>en</strong>taux principaux points d’activitésde la <strong>ville</strong>. Vous pouvez ainsi rapidem<strong>en</strong>tvous r<strong>en</strong>dre du bureau à votre magasinfavori ou faire du shopping avant deretrouver les membres de votre association.En laissant facilem<strong>en</strong>t votre voiture dansl’un des 5 parkings prés<strong>en</strong>ts sur le trajet dela navette, vous évitez ainsi les tumultes dela circulation <strong>en</strong> agglomération.Ainsi, deux bus d’une capacité de 20 et45 places, équipés pour les handicapés,ont comm<strong>en</strong>cé leur rotation sur un trajetélargi. La fréqu<strong>en</strong>ce de passage est passéede 10 minutes aux heures de pointes à20 minutes aux heures creuses.Depuis octobre, la navette électrique s’appelledésormais Z<strong>en</strong>ibus. Elle est <strong>en</strong>trée dansses nouvelles fonctions avec un trajet élargi.L’itinéraire a été modifié et élargi, dans les<strong>en</strong>s est-ouest, du boulevard Paul-Lefermeau boulevard Gambetta. Le trajet effectuépermet de lier les différ<strong>en</strong>ts parkings situéssur le trajet.Zénibus fonctionne du lundi au v<strong>en</strong>dredide 8h30 à 20h ; le samedi de 8h30 à19h30 et le dimanche de 9h à 12h30.Les dix arrêts sont matérialisés par despoteaux équipés de drapeaux : parkingthéâtre, Frères-Pereire, square Delzieux,Albert-de-Mun, Paquebot, les Halles, 8-mai-1945, tribunal, rue de la Paix, rue d’Ajou.Sept jours sur sept, avec une large plagehoraire, profitez du confort et de l’accessibilitéde la navette et circulez z<strong>en</strong>.Tous les horaires de la navette surwww.stran.fr■ 12 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>àvivre> Aménagem<strong>en</strong>t des espaces publicsvoirielapassée au cribleLa Ville a mandaté le Cabinet d’études nantais SCE<strong>en</strong> vue de la réalisation d’un Plan d’Accessibilitéde la Voirie et des Espaces Publics (PAVE).Le mot de l’élu (e),Jeannine Hottelard« L’aménagem<strong>en</strong>t de la voirie et desespaces publics est un véritable facteurd’intégration sociale, c’est pourquoila Commission Communale pourl’Accessibilité aux PersonnesHandicapées, au sein de laquelle sontreprés<strong>en</strong>tées huit associations de déf<strong>en</strong>sedes droits des personnes <strong>en</strong> situation dehandicap*, est pleinem<strong>en</strong>t associéeaux différ<strong>en</strong>tes phases du PAVE.Cet observatoire local de l’accessibilitévi<strong>en</strong>t compléter la riche collaboration<strong>en</strong>tre la Direction de l’Espace Public,la Mission Handicap et le Serviced’Informations Géographiques, <strong>en</strong>apportant la plus-value de l’expertised’usage des représ<strong>en</strong>tants associatifs. »* Il s’agit de l’Association des Paralysés deFrance, l’Association Pour les Jeunes et lesAdultes Handicapés, l’Association deRéinsertion des Traumatisés Crâni<strong>en</strong>s,l’Association Pour l’Enfance Inadaptée,l’Association Alzheimer Loire-Atlantique,l’Association Fédération des Malades etHandicapés, l’Association des Chi<strong>en</strong>s Guidesd’Aveugles de l’Ouest, l’Association pourApporter Aide et Souti<strong>en</strong> Aux Psychotiques,l’Association Marie Moreau.Depuis le mois d’octobre,et jusqu’<strong>en</strong> mai 2011,les auditeurs de terrain,munis de plusieurs appareils demesures topographiques, collect<strong>en</strong>tdes données précisessur l’état des voiries, des trottoirset du mobilier urbain,dans chaque quartier de<strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>. Cela représ<strong>en</strong>te294 kilomètres de voiries !Ce minutieux travail va permettrede mettre <strong>en</strong> évid<strong>en</strong>ce leszones accessibles et celles quine le sont pas, à l’aide dediverses représ<strong>en</strong>tations cartographiques.L’état des lieuxainsi réalisé conduira à définirdes priorités pour les futuresprogrammations de travaux demise <strong>en</strong> accessibilité des rues.Les aménagem<strong>en</strong>ts de la voirieet des espaces publics <strong>en</strong>tr<strong>en</strong>tdans le cadre de la politiqued’accessibilité généralisée m<strong>en</strong>éepar l’<strong>en</strong>semble des services dela Ville. Elle vise à adapterprogressivem<strong>en</strong>t le cadre de vieà l’<strong>en</strong>semble de la population,y compris aux personnes handicapéeset à mobilité réduite. Ils’agit d’assurer une véritablecontinuité dans les déplacem<strong>en</strong>ts(on parle d’ailleursde « chaîne de déplacem<strong>en</strong>t »),la mobilité garantissant uneplus large autonomie à tousles citoy<strong>en</strong>s dans leur viequotidi<strong>en</strong>ne.DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 13 ■


<strong>ville</strong>àvivreLe projet Villamary.Avec les travauxde requalificationdu boulevardBroodcoor<strong>en</strong>s,une nouvellephase s’ouvreau cœur du projetde rénovationurbaineVille-Ouest.Esquisse du futur boulevard Broodcoor<strong>en</strong>s.> Début des travaux de requalification boulevard Broodcoor<strong>en</strong>sVille-Ole projets’ancre dans laDe nombreux chantiers ont démarréà Ville-Ouest <strong>en</strong> 2010. Le dernier<strong>en</strong> date et non des moindres est larestructuration du Boulevard Broodcoor<strong>en</strong>s,de la rue Pitre Gr<strong>en</strong>apin et de la rueDes réunions avec les riverainsdes Saules ; à terme, le boulevard redessinépermettra une circulation <strong>en</strong>fin apaisée<strong>en</strong>tre automobilistes, piétons et cyclistes.Au programme, le réaménagem<strong>en</strong>t completde la voirie et des trottoirs, la créationOutre les réunions publiques, informations municipales et autres groupes de travail, desréunions de proximité sont régulièrem<strong>en</strong>t organisées par la Ville. Elles s’attach<strong>en</strong>t à unsecteur bi<strong>en</strong> défini et rassembl<strong>en</strong>t des riverains directem<strong>en</strong>t concernés par les thèmesabordés. À l’ordre du jour de la réunion du 19 novembre dernier à l’Espace civique, lestravaux <strong>en</strong> cours et à v<strong>en</strong>ir à la Chesnaie (boulevard Broodcoor<strong>en</strong>s, future rue des Hibiscus,nouvelle école Bayet-Escurat, projets de résid<strong>en</strong>ce Silène...). Les habitants ont ainsi puéchanger avec technici<strong>en</strong>s et élus de la Ville. La prochaine réunion de proximité aura lieu aupremier trimestre 2011 et portera sur les projets de la Bouletterie.de pistes cyclables (sur le trottoir) et deplaces de stationnem<strong>en</strong>t, le r<strong>en</strong>ouvellem<strong>en</strong>tpaysager et végétal après sélectiondes arbres à conserver. La restructuration,prévue <strong>en</strong> cinq phases, a débuté <strong>en</strong> novembrepar la partie située <strong>en</strong>tre le rond-pointde la Trébale et la route des Fréchets. Cettepremière étape s’achèvera <strong>en</strong> mars prochain.La seconde (mars/avril 2011)concernera la section située <strong>en</strong>tre la routedes Fréchets et l’allée des Orchidées.A noter : jusqu’au 30 avril 2011, la circulationest interdite <strong>en</strong>tre la route desFréchets et le giratoire de la Trébale ; il estconseillé de suivre la déviation mise <strong>en</strong>place (voir plan).■ 14 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>àvivreestréalitéMOSAÏQUE,VILLAMARY, SOLÉAPreuve de l’attractivité croissante du secteur,trois opérations immobilières démarr<strong>en</strong>t.Prés<strong>en</strong>tant une offre <strong>en</strong> phase avecles projets d’achat des familles, les opérateursont bi<strong>en</strong> avancé la commercialisationdes logem<strong>en</strong>ts proposés <strong>en</strong> accession à lapropriété sociale et privée. Proche de lafuture rue des Hibiscus, l’opérationMosaïque (Kaufman and Broad) compr<strong>en</strong>d33 logem<strong>en</strong>ts. Le second projet, « Villamary» ( Gambetta), situé au-dessus dunouveau c<strong>en</strong>tre commercial de la Bouletterie,accueillera 46 logem<strong>en</strong>ts sur quatreétages. Ces deux opérations seront livréesLe projet «Mosaïque».<strong>en</strong> 2012. Pour sa part, Silène construitpour l’été 2011 à la Bouletterie 15 villasurbaines (opération Soléa).UN NOUVEL ESPACEDE LOISIRSTout juste inauguré, ce nouvel espace (situérue des Ajoncs, face à l’espace civique) offreune aération pour les <strong>en</strong>fants, les jeunes etles familles; il propose deux aires sportives,un parcours de roller et de skate, un mur defrappe, un abri, des bordures pour s’asseoirainsi que des tables pour pique-niquer auxbeaux jours.Au fil des mois, le projet Ville-Ouest s’inscritde plus <strong>en</strong> plus dans la réalité.Le PIVOSitué boulevard Broodcoor<strong>en</strong>s,<strong>en</strong>tre l’église et le c<strong>en</strong>trecommercial, dans le même localque le Point Municipal des quartiersouest, le Point Information Ville-Ouest (PIVO) a ouvert ses portes <strong>en</strong>octobre. Relais pour informer leshabitants des chantiers <strong>en</strong> cours etdes projets à v<strong>en</strong>ir, le PIVO proposeune expo sur les différ<strong>en</strong>tesopérations de Ville-Ouest, un écrantactile pour découvrir autrem<strong>en</strong>t cevaste projet de rénovation urbaineet un panneau « infos chantiers »actualisé. Depuis son ouverture,le PIVO a r<strong>en</strong>seigné de nombreuxvisiteurs. Une personne recrutéepar la Ville, vous accueille et vousinforme : le mardi, jeudi etv<strong>en</strong>dredi de 14h30 à 18h30 ;le mercredi de 14h à 18h30 ;le samedi de 10h à 13h et de14h à 18h30. L’expo Ville-Ouestest égalem<strong>en</strong>t visible<strong>en</strong> matinée, de 9h à 12h.Tél : 02 40 11 11 98. Mail :lepivo@mairie-saintnazaire.frRoz<strong>en</strong>n Jestin vous accueille au PIVO.DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 15 ■


<strong>ville</strong>pourtousla> Un Point municipal à l’ouestproximitéLe deuxième Point municipal dela Ville a ouvert ses portes récemm<strong>en</strong>t.Il couvre l’<strong>en</strong>semble des quartiers ouest.affichéeStéphanie Martinez vous accueilleet vous informe.En octobre 2009 étaitinauguré le Point municipaldes quartiers nord. Unan plus tard, depuis le 26 octobredernier, c’est autour desquartiers ouest d’avoir sonPoint municipal ; un nouvelespace voulu par la Ville qui apour vocation d’être un lieu deproximité, de services et d’infor-mations. Un lieu qui, à l’instarde la création des conseils dequartiers, va dans le s<strong>en</strong>s de lapolitique de rapprochem<strong>en</strong>tauprès des habitants, mise <strong>en</strong>place depuis bi<strong>en</strong>tôt ans.Ce point municipal est situéboulevard Broodcoor<strong>en</strong>s, <strong>en</strong>trel’église et le c<strong>en</strong>tre commercial,dans le même local quiaccueille le Point d’InformationVille-Ouest. Un lieu provisoirepuisque dans deux ans, il iras’installer de l’autre côté duboulevard, au cœur du futurc<strong>en</strong>tre commercial, ZAC deGr<strong>en</strong>apin. « Dans un quartierrénové qui va accueillir de nouveauxhabitants, il était importantde proposer un service deproximité » insiste ArletteMousseau, adjointe de quartier<strong>en</strong> charge des quartiers ouest.C’est désormais dans ce pointmunicipal que l’élue assure sesperman<strong>en</strong>ces le v<strong>en</strong>dredi matin<strong>en</strong>tre 10h et 12h.Comme son voisin du nord, il yest possible de s’informer sur lavie et les projets du quartier, dese faire délivrer des docum<strong>en</strong>tsd’état-civil (carte d’id<strong>en</strong>tité,duplicata de livret de famille,acte de naissance...) et d’yeffectuer certaines démarches(carte <strong>ville</strong>, carte d’électeur,rec<strong>en</strong>sem<strong>en</strong>t <strong>en</strong>tre autres...).Le Point municipal des quartiersouest est ouvert du mardiau v<strong>en</strong>dredi de 9h à 12h.Tél : 02 40 11 11 94.■ 16 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>pourtous> Conseil de quartier C<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong>/Ville-Port/Petit-Marocjeuxdes deLa parole aux membresChristine Goyer : « Je trouve ce conseil trèsintéressant même si au départ il a fallu assimilébeaucoup de choses comme les dossiers dutransport à haut niveau de service ou dustationnem<strong>en</strong>t. Aujourd’hui, nous sommesdavantage dans l’action. Nous avons pris nosmarques. Nos groupes de travail ont bi<strong>en</strong> avancé.En tant qu’habitante, je trouve que ces conseilsde quartiers sont une très bonne idée. »Chantal Bonhomme : « On a appris beaucoupde choses sur le fonctionnem<strong>en</strong>t de la mairie.Plus ça va et plus les projets se concrétis<strong>en</strong>t.Il y a une bonne ambiance de travail ; tous lesmembres sont concernés par les différ<strong>en</strong>ts projetsà l’étude. Et c’est une bonne chose. »Jean-Claude Streiff, membre de Rando Loisirs :« Ce conseil se concrétise à prés<strong>en</strong>t par desprojets aboutis et mis sur pied par le conseillui-même. Nous sommes désormais dans l’actionet tout le monde y pr<strong>en</strong>d part. Nous avons été tiréau sort et nous nous devons d’être le porte-paroledes habitants du quartier. »plage <strong>en</strong> 2011Après ceux de <strong>Saint</strong>-Marc-sur-Mer et du front de mer, portraitdes actions initiées par le conseil de quartier du c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong>.« Dès le départ, une convivialité s’est règles de citoy<strong>en</strong>neté avai<strong>en</strong>t t<strong>en</strong>dance àcréée <strong>en</strong>tre les membres du conseil, ce disparaître » se souvi<strong>en</strong>t Pascale Clém<strong>en</strong>t,qui a facilité les choses pour se mettreau travail ». Ce conseil s’ét<strong>en</strong>d du Petit- mer, de Ville-Port et du Petit-Maroc. Pro-adjointe de quartier <strong>en</strong> charge du front deMaroc au collège Jean de Neyman et jusqu’au preté (tri sélectif, crottes de chi<strong>en</strong>s), sécuritéroutière (stationnem<strong>en</strong>t sur les pas-bout de l’av<strong>en</strong>ue de la République près de lagare. Au départ, le conseil s’est « mis à jour » sages piétons devant les écoles), nuisancesdes dossiers lancés par la Ville (transports, sonores, crachats sur les trottoirs etc.stationnem<strong>en</strong>t, Plan Local d’Urbanisation). Autant de thèmes qui ont fait l’objetPuis est v<strong>en</strong>u le temps de l’action. depuis 2008 de nombreuses réunions auAinsi, c’est au sein de ce conseil qu’est né sein de ce conseil. « On s’est demandé comm<strong>en</strong>tfaire pour améliorer le comportem<strong>en</strong>tl’idée d’un guide du mieux vivre <strong>en</strong>semble ;un docum<strong>en</strong>t rappelant les règles de de chacun et ce dans tous ces domaines »citoy<strong>en</strong>neté, fruit d’un constat inquiétant : poursuit l’élue. Ce guide du mieux vivre« On s’est r<strong>en</strong>du compte que certaines <strong>en</strong>semble sortira à la fin de l’année. Nous<strong>en</strong> reparlerons plus <strong>en</strong> détails dans notremagazine de janvier.Autre dossier pris <strong>en</strong> charge, la création dejeux de plage. « On a constaté que lec<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong> manquait de structures de jeux.On s’est alors demandé si la plage duTraict, <strong>en</strong> face de la sous-préfecture, neferait pas l’affaire pour <strong>en</strong> accueillir tout aulong de l’année » précise Pascale Clém<strong>en</strong>t.Ce dossier touche à sa fin. Ne reste plusqu’à installer ces structures pour les3-6 ans et les 6-12 ans. Ce sera chose faitedurant le printemps 2011. À noter égalem<strong>en</strong>tque ce projet inclut la pose d’unebalançoire pour les jeunes handicapés.Coût de l’<strong>en</strong>semble : 170 000 euros.Ces deux projets symbolis<strong>en</strong>t le dynamismed’un conseil qui a trouvé son rythmede croisière.DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 17 ■


<strong>ville</strong>pourtousPERMANENCESadjoints de quartierArlette Mousseau - Adjointe quartiers ouestet coordinatrice du dispositif adjoints de quartierLe mardi de 10h à 12h à l’Espace civique Jacques Dubé.Le v<strong>en</strong>dredi de 10h à12h au point municipal des quartiers ouest,56 boulevard Broodcoor<strong>en</strong>s.Gaëlle B<strong>en</strong>izé-Thual - Adjointe Méan-P<strong>en</strong>hoët-HerbinsLe samedi de 9h30 à 11h30 à la mairie annexe de Méan-P<strong>en</strong>hoët.Et du lundi au v<strong>en</strong>dredi sur r<strong>en</strong>dez-vous pris <strong>en</strong> mairie.Catherine Tesseyre - Adjointe ImmaculéeDu mardi au v<strong>en</strong>dredi de 10h à 12h à la mairie annexe del’Immaculée. Du mardi au v<strong>en</strong>dredi de 14h à 17h sur r<strong>en</strong>dez-vous.Françoise Lesti<strong>en</strong> - Adjointe front de mer-Gavy OcéanisTous les jeudis de 15h à 17h sur r<strong>en</strong>dez-vous à l’Hôtel de Ville.Alain Manara - Adjoint quartiers nordDu mardi au jeudi de 16h à 18h au point municipal :02 40 00 54 80. Sur r<strong>en</strong>dez-vous pris à l’Hôtel de Ville.Pascale Clém<strong>en</strong>t - Adjointe C<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong>-VillePort-Petit-MarocTous les mercredis de 16h à 17h30 à l’Hôtel de Ville sur r<strong>en</strong>dez-vous.Jacqueline Perrin - Adjointe <strong>Saint</strong>-Marc-sur-MerLe mercredi de 14h à 16h30. Le samedi matin (sur r<strong>en</strong>dez-vous)et le reste de la semaine après 18h (sur r<strong>en</strong>dez-vous).À la mairie annexe de <strong>Saint</strong>-Marc-sur-Mer.élus de proximitéRégine Le Bail - Élue de proximité Kerlédé-TrébaleLe 21 décembre à la Maison de quartier de Kerlédé,à partir de 18h15À l’Ant<strong>en</strong>ne municipale de la Trébale, de 10h à 12hMartine Picard - Élue de proximitéPetit Caporal-Berthauderie-RobespierreLe jeudi de 16h à 18h à la salle du Petit Caporal.Jean-Marc Allain - Élu de proximité PrézégatLe troisième mercredi de chaque mois de 17h à 19h,espace Georges Brass<strong>en</strong>s.Véronique Gauthier - Élue de proximité AvalixLe lundi de 15h à 17h à la maison de quartier d’Avalixà partir du 12 janvier.02 40 11 11 94 Point municipal des quartiers ouest02 40 00 40 00 Accueil mairie02 40 00 41 30 Secrétariat de l’Hôtel de Ville02 40 66 48 23 Mairie annexe de l’Immaculée02 40 91 90 84 Mairie annexe de <strong>Saint</strong>-Marc sur mer02 40 22 51 41 Mairie annexe de Méan P<strong>en</strong>hoët02 40 00 54 80 point municipal des quartiers nordDès janvier 2011Les formations et services du CnamBonnes résolutions, <strong>en</strong>vie deartisans, membre d’une professionchangem<strong>en</strong>t... le début d’année est libérale ou étudiants à la recherchesouv<strong>en</strong>t l’occasion d’un nouveau d’une formation professionnelle.départ. Pour ceux et celles quiToute personne intéressée peutsouhait<strong>en</strong>t profiter de la nouvelle année s’informer sur les formations, pr<strong>en</strong>drepour <strong>en</strong>trepr<strong>en</strong>dre une formation, le un r<strong>en</strong>dez-vous avec un conseiller,Cnam (Conservatoire national des arts définir ou préciser son projet personnelet métiers) accueille le public du lundi et professionnel, vérifier sa faisabilité,au samedi midi de 9h à 12h et de 13h choisir les formations adaptées, bâtirà 18h. Objectif : faire découvrir ses un parcours personnalisé, <strong>en</strong>visagerformations et services proposés à une validation d’acquis.compter de janvier 2011.Contact et inscription : Roz<strong>en</strong>nCe r<strong>en</strong>dez-vous s’adresse à tous les Le Brun, CNAM Pôle universitaireactifs : salariés, demandeurs d’emploi, de Gavy Océanis : 02 40 90 51 00.AssociationUn vide-gr<strong>en</strong>ier pour des <strong>en</strong>fants sénégalaisLe club Kassoumaye, association loi 1901,parrainant la scolarité d’<strong>en</strong>fants sénégalais,organise un vide-gr<strong>en</strong>ier/ bourse aux jouetset livres dans le gymnase du lycéeNotre-Dame situé 15 rue du Bois Savaryà <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> le samedi 11 décembrede 10h à 17h.Ouverture aux exposants à partir de 8h.Réservation au 02 40 01 81 82 de 8h à 18het au 06 82 94 36 65 le soir et le week-<strong>en</strong>d.Cité scolaireUn livre et une expositionLe 10 décembre sortira un ouvrage intitulé « La cité despossibles » retraçant les 50 ans de la cité scolaire de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>. Un ouvrage de 288 pages coordonné par trois<strong>en</strong>seignants récemm<strong>en</strong>t retraités. Au fil des pages, on y trouvedes dizaines de photos, des témoignages de tous les corps demétiers de la cité scolaire, un plongeon dans l’histoire de la citéà travers sa grande et sa petite histoire. Tout, tout, tout, voussaurez tout sur le demi-siècle de la cité scolaire nazairi<strong>en</strong>ne.« La cité des possibles » est <strong>en</strong> v<strong>en</strong>te au prix de 25 euros dansles librairies nazairi<strong>en</strong>nes. Cet ouvrage sera égalem<strong>en</strong>tdisponible dans le hall de la mairie à l’occasion de l’exposition proposée dans le halld’accueil de l’Hôtel de Ville retraçant les 50 ans de la Cité scolaire. À découvrir <strong>en</strong>trele 15 décembre et le 15 janvier aux heures d’ouverture de la mairie.■ 18 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>pourtousFêtes de fin d’annéeDates inchangées pour les marchésLes fêtes de Noël et du nouvel an arriv<strong>en</strong>t à grands pas. Cette année, les dateshabituelles des marchés de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> n’ont pas été modifiées. Petit rappelde leurs dates et lieux : aux Halles de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>, les mardis, v<strong>en</strong>dredis etdimanches, à P<strong>en</strong>hoët, les mercredis et samedis ; au Pertuischaud, le jeudi ; à laBouletterie, le mercredi ; à <strong>Saint</strong>-Marc-sur-Mer, le jeudi et le dimanche. À noterqu’à <strong>Saint</strong>-Marc, le marché accueille désormais une quinzaine de commerçantsabonnés et que deux poissonniers sont à nouveau au service des cli<strong>en</strong>ts (unabonné le dimanche et un passager le jeudi). Au marché de P<strong>en</strong>hoët, uncordonnier « à l’anci<strong>en</strong>ne » est désormais prés<strong>en</strong>t chaque samedi avec soncamion-atelier.Pôle Hospitalier MutualisteUn nouveau nom <strong>en</strong> 2012En juillet 2012, à l’occasion deson <strong>en</strong>trée au sein de la Citésanitaire de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>, le PôleHospitalier Mutualiste de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> devi<strong>en</strong>dra la CliniqueMutualiste de l’Estuaire. Ce projetde Cité sanitaire associera sur unmême site un c<strong>en</strong>tre hospitalier etune clinique mutualiste. « Nousnous sommes réparti les activitésmédicales et logistiques tout <strong>en</strong>gardant nos propres spécificitéset id<strong>en</strong>tités. C’est dans cette logique que nous avons choisi notre nouveau nom »indique Jeannine Daviaud, présid<strong>en</strong>te du réseau sanitaire mutualiste d’HarmonieSoins & Services. La future Clinique de l’Estuaire aura <strong>en</strong> charge le digestif(chirurgie et médical), la chirurgie vasculaire, la chirurgie urologique, la cancérologieet la radiothérapie, ainsi que les soins de suite et soins palliatifs.AnimationUne fête foraine jusqu’au 2 janvierDu 11 décembre au 2 janvier se ti<strong>en</strong>dra une fêteforaine. Située av<strong>en</strong>ue Léo Lagrange elle accueillera<strong>en</strong>viron une vingtaine d’attractions : pêche auxcanards, tirs traditionnels, manèges <strong>en</strong>fantins,scooter <strong>en</strong>fant mais aussi ch<strong>en</strong>ille tous publicset manèges adultes.Stationnem<strong>en</strong>tPrécisions sur les horodateursDepuis la mise <strong>en</strong> place de la réglem<strong>en</strong>tationdu stationnem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> c<strong>en</strong>tre-<strong>ville</strong>, desautomobilistes s’interrog<strong>en</strong>t sur les modalitésde fonctionnem<strong>en</strong>t des horodateurs.Important à savoir : si vous stationnezmoins de tr<strong>en</strong>te minutes, il vous suffitsimplem<strong>en</strong>t d’appuyer sur le gros bouton vertpour vous procurer un ticket gratuit de30 minutes. Par contre, si votre arrêt va audelàdes tr<strong>en</strong>te minutes de gratuité, il vousfaut payer la durée supplém<strong>en</strong>taire de votrestationnem<strong>en</strong>t. Par exemple, vous arrivezà 14h et vous repartez à 16h, l’horodateurpr<strong>en</strong>dra <strong>en</strong> compte alors la gratuité des30 premières minutes et vous ne réglerezqu’1h30 de stationnem<strong>en</strong>t.DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 19 ■


<strong>ville</strong>pourtousChristophe Oddon, directeur adjointd'Envie 44, Kevin Lemée, perman<strong>en</strong>tsur le site nazairi<strong>en</strong> et Daniel Moyon,vice-présid<strong>en</strong>t de l'associationdépartem<strong>en</strong>tale.Depuis un an,l’ant<strong>en</strong>ne locale del’association Envie 44collecte, répareet rev<strong>en</strong>d à petitsprix du matérielélectroménager. Uneactivité écologiqueportée par dupersonnel <strong>en</strong> insertion.> Insertion professionnelle et <strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>tEnvie 44 surtous les frontsActeur du développem<strong>en</strong>t durable, leréseau national Envie développedepuis 1984 des <strong>en</strong>treprises combinanttrois logiques : économique, sociale et<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>tale.Inauguré <strong>en</strong> 2009, le site nazairi<strong>en</strong> de l’associationEnvie est basé rue de l’Étoile duMatin à Océanis. L’association s’est fixéetrois objectifs : permettre aux personnes <strong>en</strong>difficultés d’acquérir du matériel électroménagerde qualité et à moindre coût,favoriser l’insertion professionnelle et participerà la protection de l’<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>tvia la filière d’élimination des déchets électriquessituée à R<strong>en</strong>nes et à Angers.Concrètem<strong>en</strong>t, l’association collecte lesappareils électroménagers chez les distributeurs-rev<strong>en</strong>deursde la région et égalem<strong>en</strong>tdans les déchetteries. « Les particulierspeuv<strong>en</strong>t aussi déposer leurs appareilsà notre <strong>en</strong>trepôt » ajoute ChristopheOddon, directeur adjoint d’Envie 44. Lesappareils usagers ou <strong>en</strong> panne sont alors<strong>en</strong>treposés dans le bâtim<strong>en</strong>t rue de L’Étoiledu Matin. Machines à laver, lave-linge,congélateurs, réfrigérateurs, fours, microondes,gazinières, robots... <strong>en</strong> somme toutl’électroménager blanc. Là, chaque appareilest soit remis <strong>en</strong> état, soit acheminévers la filière d’élimination des déchetsélectriques.À <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>, les réparations sont effectuéespar sept personnes <strong>en</strong> contrat d’insertion; des contrats allant de 8 moisjusqu’à 2 ans maximum. Formés sur le terrainpar deux perman<strong>en</strong>ts, ces employésremett<strong>en</strong>t <strong>en</strong> état le matériel qui peutl’être. Au final, les appareils, pour la plupartissus de grandes marques, sont v<strong>en</strong>dusde 40 à 60 % moins chers avec unegarantie d’un an.UNE QUARANTAINE DEMAGASINS EN FRANCEL’<strong>en</strong>treprise d’insertion nazairi<strong>en</strong>ne s’autofinanceà hauteur de 80 % grâce à la v<strong>en</strong>teet perçoit égalem<strong>en</strong>t des aides publiques(15 000 euros de la CARENE par exemple).En un mois, <strong>en</strong>viron 120 appareils sontrénovés et autant sont v<strong>en</strong>dus. « Notre cli<strong>en</strong>tèleest composée de personnes qui r<strong>en</strong>contr<strong>en</strong>tdes difficultés à acheter du neuf, ouqui veul<strong>en</strong>t participer à notre projet d’insertionprofessionnelle et <strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>tal »poursuit Christophe Oddon. « En un an,<strong>en</strong>tre notre site de Nantes et celui de <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong>, ce sont 8000 tonnes de déchetsélectriques qui ont été éliminées. »La triple mission de l’association n’est pasusurpée. Envie 44 souhaite désormais sefaire davantage connaître sur <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> ; pour son aspect écologique, pourmettre <strong>en</strong> avant ses employés et <strong>en</strong>fin permettreau plus grand nombre d’accéder àdu matériel performant à prix ultra doux.29 rue de l’Étoile du Matin. Ouvertdu mardi au samedi de 10h à 12h30 etde 14h30 à 19h.Magasin égalem<strong>en</strong>t à Nantes, 18 rueBobby Sands près d’Atlantis. Plus d’infossur www.<strong>en</strong>vie.org■ 20 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>pourtousautre> Portrait du groupe nazairi<strong>en</strong> NomadidéeSpiritunede la World musique...Sans ou 100 frontières,c’est selon... Nomad Spirit sortson tout premier album, danslequel le groupe expérim<strong>en</strong>teles champs musicaux.Dix ans d’exist<strong>en</strong>ce, une c<strong>en</strong>taine deconcerts, dix musici<strong>en</strong>s… NomadSpirit préfère pourtant aux chiffresles voyages. La base de leur musique, c’estle métissage : « On est un groupe qui alliediffér<strong>en</strong>tes musiques, et pour qu’il y ait unmétissage il faut bi<strong>en</strong> voyager à unmom<strong>en</strong>t donné », confit Nicolas Cassonl’un des chanteurs de Nomad Spirit. « Notrevocation est de voyager musicalem<strong>en</strong>t, d<strong>en</strong>aviguer <strong>en</strong>tre les styles musicaux, <strong>en</strong>termes de textes et de langues aussipuisque l’on chante <strong>en</strong> français et <strong>en</strong>anglais. C’est le but du jeu lorsque l’ons’appelle Nomad Spirit ». Nomadismedonc comme fil conducteur, comme rythmerépétitif...C’est au bout de ces 10 ans de sons communs,que les 10 compères, amis d’<strong>en</strong>fance,ont ress<strong>en</strong>ti le besoin de sortir unalbum. « En fait, ça fait 10 ans qu’on jouepour s’amuser. On s’y est mis sérieusem<strong>en</strong>til y a 4/5 ans, donc ce n’est pas si longpour produire un album. On voulait êtreprêt. C’est un aboutissem<strong>en</strong>t, un accomplissem<strong>en</strong>t.Ça aurait été assez frustrant d<strong>en</strong>e pas le faire. Déjà, nous n’avons pas pumettre tous les morceaux que l’on voulait »,répond Nicolas Casson. Cela donne unopus de 12 titres, 12 morceaux de vie, quichacune propose son voyage et sa vision dumonde, de la politique.Une évid<strong>en</strong>ce le voyage à <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> ?Visiblem<strong>en</strong>t oui : « Les Nazairi<strong>en</strong>s <strong>en</strong> généralsont ouverts d’esprit. Ceserait la moindre des choses, vule nombre de nationalités quisont représ<strong>en</strong>tées ici, et surtoutquand on a une partie de notre<strong>ville</strong> qui s’appelle le PetitMaroc. Ce serait curieux d’êtrexénophobe et de ne pas être ouvert versl’extérieur », poursuit Nicolas, chanteur dugroupe. « Mais au départ, on a privilégiéle métissage musical, car on était justedes lycé<strong>en</strong>s. On est dev<strong>en</strong>u des baroudeurspar la suite. Dans l’optique de la musique,« Privilégierle métissagemusical »on est allé plus dans le détail ».Et le détail, Nomad Spirit le privilégie, dansle son, dans l’ambiance, dans les mots.Ri<strong>en</strong> n’est laissé au hasard, pas de frontièremais des limites tout de même :« Il ne faut pas que cela devi<strong>en</strong>n<strong>en</strong>’importe quoi non plus ! On neva pas faire un morceau quipasse de la java au disco <strong>en</strong>deux secondes ! Il faut qu’il y aitquand même une certaine cohér<strong>en</strong>ce», conclut Nicolas. Des limites doncmais sans frontière, c’est là que résidetoute la cohér<strong>en</strong>ce de Nomad Spirit.L’album est disponible à l’Espace cultureldu Ruban Bleu. Toutes les infos : http://www.myspace.com/nomadspirit44DÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 21 ■


<strong>ville</strong>pourtous> oppositionexpression politiqueCENTRE-DEMOCRATE (<strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> Autrem<strong>en</strong>t)UMP (SNAlternance)Cherchez l’erreur : parking public payant,parking privé gratuit !Inutile de rappeler que le stationnem<strong>en</strong>t est dev<strong>en</strong>upayant sur une grande partie de la <strong>ville</strong>. Lors du débat,vous savez que nous avons proposé des zones bleues et devrais parkings relais <strong>en</strong> périphérie s’appuyant sur unréseau de bus efficace. Les élus majoritaires nous ontrépondu que les zones bleues ne marchai<strong>en</strong>t pas, malgréle fait que nous nous appuyons sur des études officiellesfavorables à ce type de réglem<strong>en</strong>tation plus souple. Surtout,au lieu de donner <strong>en</strong>core plus d’arg<strong>en</strong>t à Vinci <strong>en</strong>payant des horodateurs hors de prix, nous pouvions utilisercet arg<strong>en</strong>t pour embaucher des ag<strong>en</strong>ts qui s’assurai<strong>en</strong>tde la rotation des véhicules. Seuls les contrev<strong>en</strong>antsavai<strong>en</strong>t à payer. La gauche passe son temps à fustiger lechômage mais gaspille l’arg<strong>en</strong>t public au profit de puissantes<strong>en</strong>treprises. Ils le font d’ailleurs à nouveau avecVinci sur l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.Le paradoxe c’est qu’au final, nous sommes dans une <strong>ville</strong>où les parkings municipaux sont payants quand le parkingprivé du Ruban Bleu est gratuit ! C’est tellem<strong>en</strong>t grosque cela parait irréel, surtout dans une <strong>ville</strong> soi-disant degauche.Concernant nos zones bleues qui, parait-il, ne fonctionn<strong>en</strong>tpas, il est tout de même à remarquer que Saumur,Montauban et même Strasbourg mett<strong>en</strong>t <strong>en</strong> place actuellem<strong>en</strong>tdes zones bleues à la place d’horodateurs car plusr<strong>en</strong>tables et aussi efficaces. Etonnant, non ?Comme quoi le stationnem<strong>en</strong>t payant n’était pas unefatalité !Notre « stupide » plan deux-roues de 2008appliqué à NantesNous avons déjà parlé de notre proposition, émise <strong>en</strong>2008, de subv<strong>en</strong>tionner l’achat de vélos et scooters électriques.Une aide qui inciterait les Nazairi<strong>en</strong>s à choisird’autres modes de déplacem<strong>en</strong>ts, <strong>en</strong> particulieraujourd’hui que le stationnem<strong>en</strong>t devi<strong>en</strong>t payant. L’idée aété rejetée à l’époque, jugée stupide et am<strong>en</strong>ant le Maireà nous donner pour seule réponse : « vous ne voulez passubv<strong>en</strong>tionner l’achat de baskets tant qu’à faire ! ».Entre temps, Paris et d’autres <strong>ville</strong>s ont mis <strong>en</strong> place cetteidée ces dernières années. C’est désormais Nantes quiincite à l’achat de vélos électriques par une subv<strong>en</strong>tionallant jusqu’à 200 euros. Décidém<strong>en</strong>t, les idées stupidesfont leur bout de chemin. Pour rappel, notre propositioncoûtait 35000 euros par an, une misère.Au-delà des clivages,le Préfet alerté sur la charteNous avons exprimé à plusieurs reprises notre vive oppositionà la charte associative qui a été adoptée à la r<strong>en</strong>tréeet qui <strong>en</strong>ferme les associations dans l’idéologie de lamajorité municipale. Cette charte a été détournée de safonction première.Plusieurs groupes politiques ayant exprimé leur oppositionou leurs doutes, nous avons adressé une lettre au Préfet,coécrite par les 7 élus de notre groupe C<strong>en</strong>tre-Démocrate,l’élu de Label Gauche, l’élu divers gauche ZackMoullec et 2 élus de l’UMP.C’est parce que nous sommes des élus responsables etconsci<strong>en</strong>ts que des libertés fondam<strong>en</strong>tales étai<strong>en</strong>tbafouées que nous avons choisi d’<strong>en</strong>gager une démarchecommune, au-delà des clivages, sur ce sujet particulier.C’est assez rare pour être souligné.En cette période de fêtes de fin d’année, nous p<strong>en</strong>sonsforcém<strong>en</strong>t <strong>en</strong> priorité à ceux qui souffr<strong>en</strong>t, que ce soitde leur santé, de leur situation financière ou tout simplem<strong>en</strong>tà ceux qui seront seuls ces jours-ci.Nous souhaitons à tous, qu’ils partag<strong>en</strong>t nos idées ounon, de profiter de ces fêtes <strong>en</strong> essayant au mieux d’oublierau moins un temps les problèmes que chacunconnait dans sa vie quotidi<strong>en</strong>ne.Secrétariat : 02.40.00.42.10Vos élus : Kévin IZORCE, M. DARDILLAC, C. HERVY,V. BOUTET-CAILLE, P. LE TALLEC, J. EMONIDES, J-C DIATLors du conseil municipal du 5 novembre2010 l’adjoint à l’urbanisme, postulant à lasuccession n’a pas hésité à user d’une rhétoriquesurannée, mélange de culpabilisation etd’amalgames éhontés pour nous désigner à lavindicte du conseil comme des représ<strong>en</strong>tantsde l’extrême droite.Aussi nous t<strong>en</strong>ons à lui rappeler que modifierun PLU, le faire voter, m<strong>en</strong>er une politique deconstruction c’est écrire l’av<strong>en</strong>ir de notre <strong>ville</strong>.Ayant <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> et les Nazairi<strong>en</strong>s au plusprofond de nos cœurs, nous sommes légitimem<strong>en</strong>tinquiets par son <strong>en</strong>treprise.Loin de p<strong>en</strong>ser la <strong>ville</strong> de demain, la majoriténe donne aucun s<strong>en</strong>s à sa politique urbaine,elle oublie que <strong>Saint</strong>-<strong>Nazaire</strong> a une âme, unpassé et que l’on ne peut bâtir sans jamais sesoucier de cet héritage.Le legs de nos anci<strong>en</strong>s est avant tout industrielet il nous apparti<strong>en</strong>t de le valoriser, de le fairefructifier et non de l’anéantir mettant ainsi desc<strong>en</strong>taines d’emplois <strong>en</strong> jeu. Opposer activités ethabitat c’est peut être habile pour un politici<strong>en</strong>mais désastreux pour l’économie d’une <strong>ville</strong>.Dans nos quartiers où le li<strong>en</strong> social s’est peuou prou dist<strong>en</strong>du, on ne construit pas la mixitésociale, on la suscite. Des résid<strong>en</strong>ces pourétudiants, personnes âgées, l’habitat privé,social... jamais ri<strong>en</strong> ne communique, toutest cloisonné. Pourquoi continuez-vous àconstruire des murs là où il faudrait bâtir despasserelles <strong>en</strong>tre les hommes ? Les murs d’aujourd’huifont les frustrations de demain etleur lot d’incivilités et d’insécurité.Notre <strong>ville</strong> mérite une autre politique, unautre av<strong>en</strong>ir, elle mérite beaucoup mieux !Bonnes fêtes de fin d’année.M. D et C. BDIVERS GAUCHEDIVERS GAUCHE (Label Gauche)Un toit pour tous, un droit pour tous !La nécessité de partager l’espace commun, la sur<strong>en</strong>chèredes rapaces immobiliers font du logem<strong>en</strong>t un sujet politiqueprioritaire. Comm<strong>en</strong>t jongler <strong>en</strong>tre l’abs<strong>en</strong>ce de politiqu<strong>en</strong>ationale et l’<strong>en</strong>gagem<strong>en</strong>t moral des collectivitéslocales et territoriales auprès de leurs administrés ?En Conseil Municipal, chacun a pu s’exprimer sur sa visionde la politique du logem<strong>en</strong>t (avis sur le Programme Localde l’Habitat de la Carène). Les clivages droite/gauche sesont vite révélés au détour de propos maladroits d’uneélue UMP. Comm<strong>en</strong>t justifierait-elle le scandale de la spoliationdes bailleurs sociaux et l’étranglem<strong>en</strong>t des associationss’occupant du mal logem<strong>en</strong>t par le gouvernem<strong>en</strong>t? Le « collectif des associations unies » (fondationAbbé Pierre, ATD quart-monde...) n’a réussi qu’à arracherune petite rallonge budgétaire <strong>en</strong> novembre, une goutted’eau ! L’ Etat se devrait d’être moteur et financeur. Il préfèresout<strong>en</strong>ir les investissem<strong>en</strong>ts Scellier (diminution desimpôts des plus riches) plutôt que le logem<strong>en</strong>t social dontil se dés<strong>en</strong>gage. Les Pass fonciers (accession populaire àla propriété) doiv<strong>en</strong>t être subv<strong>en</strong>tionnés à nouveau, leslogem<strong>en</strong>ts vides réquisitionnés !Sout<strong>en</strong>ir l’hébergem<strong>en</strong>t d’urg<strong>en</strong>ce, les travailleurs sociauxet les foyers d’accueil des sans logis, autoriser la prés<strong>en</strong>cede leur animal à leur côté, développer les maisons relais,c’est offrir aux plus démunis d’avoir la possibilité d’avoirun toit, une adresse, d’<strong>en</strong>visager une réinsertion sociale.Bonnes fêtes de fin d’année!Roseline Amelot et Nathalie Bruneau02 40 00 42 10T<strong>en</strong>aillesA droite tout augm<strong>en</strong>te : gaz, électricité,mutuelles, assurances, transports... Sauf lessalaires, les retraites. Sarkozy nous fait payerla crise provoquée par l’oligarchie qu’ilsouti<strong>en</strong>t.Ceux qui se dis<strong>en</strong>t de gauche : haro sur le dés<strong>en</strong>gagem<strong>en</strong>tde l’Etat qui est bi<strong>en</strong> réel.Mais que faire ? Avoir une gestion économe etinv<strong>en</strong>tive des d<strong>en</strong>iers publics, ou reporter lafacture sur les citoy<strong>en</strong>s : taxe foncière et habitation,loyers Silène, stationnem<strong>en</strong>t, investissem<strong>en</strong>tsà contre s<strong>en</strong>s (base, aéroport) ?Jusqu’à quand ?■ 22 / / SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE - DÉCEMBRE 2010


<strong>ville</strong>pourtous> majoritéPARTI SOCIALISTELa politique de la <strong>ville</strong> et de l’emploi au rabaisSale temps pour la politique de la <strong>ville</strong> : le projet de loi de finances 2011 voté par la droite prévoit une baissede 12% des crédits, soit moins 82 millions d’euros. Ce chiffre illustre, s’il était besoin, l’écart <strong>en</strong>tre les discoursdu gouvernem<strong>en</strong>t et la réalité.Pour rappel, près de 8 millions de personnes viv<strong>en</strong>t dans un quartier éligible à la politique de la <strong>ville</strong> <strong>en</strong>France. Concrètem<strong>en</strong>t, outre les difficultés sociales qu’elles connaiss<strong>en</strong>t de plus <strong>en</strong> plus durem<strong>en</strong>t, elles sontégalem<strong>en</strong>t victimes d’une discrimination territoriale évid<strong>en</strong>te: accès aux soins, réussite scolaire, équipem<strong>en</strong>tssportifs et culturels, transports, cadre de vie et tranquillité publique...Au l<strong>en</strong>demain des émeutes de 2005, la droite s’était prét<strong>en</strong>dum<strong>en</strong>t <strong>en</strong>gagée <strong>en</strong> faveur d’une mobilisationgénérale pour les quartiers. Mais trois ans après le lancem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> grandes pompes à l’Elysée du Plan espoirbanlieues, les indicateurs sont au rouge, l’échec est au r<strong>en</strong>dez-vous.Pire, <strong>en</strong> refusant de s’attaquer vraim<strong>en</strong>t aux logiques de ségrégation territoriale notamm<strong>en</strong>t par la productionde vrais logem<strong>en</strong>ts sociaux dans toutes les communes qui ne respect<strong>en</strong>t pas leurs obligations (Loi SRU),l’action gouvernem<strong>en</strong>tale acc<strong>en</strong>tue la discrimination territoriale.Dans le champs de l’emploi, le gouvernem<strong>en</strong>t a fermé le robinet des contrats aidés car les <strong>en</strong>veloppes départem<strong>en</strong>talessont toutes consommées, <strong>en</strong> plus d’une baisse de sa prise <strong>en</strong> charge de 90% à 70% du coût deces contrats qui bénéfici<strong>en</strong>t beaucoup aux habitants des quartiers prioritaires.En Loire-Atlantique, plus personne (sauf les auxiliaires de vie scolaire) ne peut bénéficier d’un contrat aidédepuis le 8 novembre et les r<strong>en</strong>ouvellem<strong>en</strong>ts ne sont plus possibles. Il faut maint<strong>en</strong>ant att<strong>en</strong>dre 2011 pourpouvoir y recourir à nouveau...Cette politique aura des effets désastreux très rapidem<strong>en</strong>t et fragilisera durablem<strong>en</strong>t les personnes et lesassociations concernées. Et comme ça ne suffit pas, 1800 suppression de postes sont annoncées à PôleEmploi où le nombre de dossiers par conseiller a explosé.Sale temps pour les quartiers, les précaires, et les chômeurs.Christophe COTTA, présid<strong>en</strong>t du groupe socialistecottac@mairie-saintnazaire.frLES VERTSLa prise de consci<strong>en</strong>ce avance mais Sarkozy abandonne ses habits vertsLe festival « longue vue » organisé <strong>en</strong> novembre parla Carène a permis à de nombreux citoy<strong>en</strong>s de tousâges de voir des films et d’échanger autour duthème : « agriculture, alim<strong>en</strong>tation et développem<strong>en</strong>tdurable ». Mieux compr<strong>en</strong>dre pour mieux agir! Nourrir la planète durablem<strong>en</strong>t, mieux connaîtrel’industrie agro alim<strong>en</strong>taire, découvrir d’autresmodes de production et de consommation ... autantde sujets <strong>en</strong> débat sachant que les citoy<strong>en</strong>s ont deplus <strong>en</strong> plus consci<strong>en</strong>ce de la place et du rôle de l’industrieagroalim<strong>en</strong>taire, de la relation <strong>en</strong>tre leurassiette et leur santé.Pour autant les comportem<strong>en</strong>ts rest<strong>en</strong>t surpr<strong>en</strong>ants,le gaspillage des produits alim<strong>en</strong>taires est toujourscolossal alors que chacun peut agir pour de meilleurespratiques. Les Français jett<strong>en</strong>t <strong>en</strong>core <strong>en</strong>moy<strong>en</strong>ne 20 kg de nourriture par an (soit1 200 000 tonnes de déchets) dont 7 kg de produits<strong>en</strong>core emballés, non <strong>en</strong>tamés ! Un chiffre quine ti<strong>en</strong>t pas compte, du pain rassis, des fruits etlégumes avariés, des restes cuisinés et de la surproductionnon commercialisée. Au niveau mondial55% de la production agricole est jetée, plus de lamoitié des terres agricoles sont donc exploitées inutilem<strong>en</strong>tà cause du gaspillage alim<strong>en</strong>taire. Il seraitpossible d’avoir des systèmes beaucoup moinsint<strong>en</strong>sifs, moins consommateurs de forêts, d’eau,d’énergie, de pesticides donc de pétrole et de gaz àeffets de serre avec une gestion beaucoup plusrationnelle des d<strong>en</strong>rées qui évite le gaspillage.Pourtant au lancem<strong>en</strong>t du festival, la France vivaitla fin d’un insout<strong>en</strong>able susp<strong>en</strong>s avec le remaniem<strong>en</strong>tministériel qui semble bi<strong>en</strong> être l’occasion dedonner le coup de grâce à toute politique volontariste<strong>en</strong> matière d’<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>t. Le ministère del’écologie n’est plus un ministère d‘Etat, n’a plus lacompét<strong>en</strong>ce « énergie » et la mer est sortie de ceministère. Nicolas Sarkozy avait prév<strong>en</strong>u « l’<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>tça suffit ». Nous voici à nouveau dans unelogique qui place l’<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>t comme unepréoccupation mineure, alors que l’écologie doitêtre au cœur des changem<strong>en</strong>ts pour des modes deproduction et de consommation durables, sinonl’habillage vert n’est qu’opportunisme et effet demanches. Les ménages les plus modestes sont déjàles premières victimes. A l’heure où naît un mouvem<strong>en</strong>técologiste dans lequel les Français plac<strong>en</strong>tbeaucoup de confiance, les conservatismes se font ànouveau <strong>en</strong>t<strong>en</strong>dre.Contact : mousseaua@mairie-saintnazaire.frPARTI COMMUNISTEUne véritable alternativeHier, dans les rues de la <strong>ville</strong> battait le cœur de ce qui est<strong>en</strong> germination, cet automne. Un slogan apparu au moisde juin est dev<strong>en</strong>u le leitmotiv des mobilisations : « lesjeunes dans la galère, les vieux dans la misère : de cettesociété-là, on n’<strong>en</strong> veut pas. » Quand un peuple ravive laflamme de l’égalité, de la fraternité, de la solidarité, de ladéf<strong>en</strong>se de sa République aussi. Quand ce peuple exprimefortem<strong>en</strong>t son aspiration à vivre mieux, <strong>en</strong>semble, jeuneset vieux. Quand il refuse une société éclatée pour mieuxpréserver les privilèges de la fortune...le pouvoir ne peutse s<strong>en</strong>tir quitte. Le Chef de l’État ressort son couplet surles « assistés », opposés aux « vrais » travailleurs. Avantjuin 2007, ces propos de division avai<strong>en</strong>t su <strong>en</strong>traîner uneadhésion. Aujourd’hui, il est des millions de personnes quiconstat<strong>en</strong>t que les premiers « assistés », dans la France deNicolas Sarkozy, sont avant tout les bénéficiaires du bouclierfiscal, les privilégiés de la fortune, sans oublier lesbanques et les groupes du CAC 40. Ces derniers ont étér<strong>en</strong>floués à un point tel que tous les milliards d’arg<strong>en</strong>tpublic qu’ils ont <strong>en</strong>caissés contribu<strong>en</strong>t pour 80% à undéficit qu’on <strong>en</strong>t<strong>en</strong>d faire payer, <strong>en</strong>core une fois, aux victimesd’une crise provoquée par le critère de la r<strong>en</strong>tabilitéfinancière. Et ce même pouvoir, à peine voté à marche forcée<strong>en</strong>traînant la mise à mort de la retraite à 60 ans,<strong>en</strong>t<strong>en</strong>d pousser les feux d’un système « par points » dontmême le Comité d’ori<strong>en</strong>tation des retraites affirme qu’ilferait baisser les p<strong>en</strong>sions de 20% !Cet av<strong>en</strong>ir de régression est désormais perçu comme telpar des millions d’hommes et de femmes. Dans les <strong>en</strong>treprises,où se cré<strong>en</strong>t les richesses et où se gâche le fruit dutravail, beaucoup ont trouvé, depuis six mois, de quoiavoir une confiance retrouvée dans l’action collective.Salaires, emploi, investissem<strong>en</strong>t productif... et retraites !Ceux qui rêv<strong>en</strong>t d’une « par<strong>en</strong>thèse » sociale jusqu’<strong>en</strong>2012 <strong>en</strong> seront pour leurs frais. En revanche, cette aspirationà vivre mieux, <strong>en</strong>semble, cette espérance quiatt<strong>en</strong>d des actes pour se vivifier, offre un tout autreespace à gauche que celui qui existe depuis mai 2002. Lapropagation de l’idée d’un autre financem<strong>en</strong>t possible dela protection sociale, d’une utilité à réaffirmer des servicespublics démolis - école, hôpital, La Poste...offre autantd’espaces à un débat exigeant, m<strong>en</strong>é avec le plus grandnombre, sur les conditions du progrès social et du progrèstout court, pour qu’elle se transforme <strong>en</strong> véritable alternative.Les Elus PCFDÉCEMBRE 2010 - SAINT-NAZAIRE LE MAGAZINE / / 23 ■

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