CR 24 mars 2011.pdf - Angers Loire Métropole

Patrimoine, composantes végétales• Le travail que nous avions réalisé en 2010 avait un bilan intéressant, allant jusqu’à la mise aupoint d’un inventaire du patrimoine. Quid de cette démarche à l’échelle plus large des31 communes de l’agglomération ? Et d’une démarche similaire sur le patrimoine naturel ? ALM :L’approche engagée en 2010, tant sur le patrimoine bâti que sur les composantes végétales etpaysagères, sera poursuivie à l’échelle de tout le territoire d’ALM pour le PLU communautaire. Cetteanalyse représente un travail très important.• La loi fait évoluer les ZPPAUP (Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain etPaysager –ancienne dénomination) en AVAP (Aires de Mise en Valeur de l’Architecture etPatrimoine). Comment les procédures vont-elles s’articuler avec l’élaboration du PLUCommunautaire ? ALM :Les ZPPAUP existantes vont être progressivement transformées en AVAP et vraisemblablementcomplétées par d’autres (continuité vallée de la Loire), hors les sites bénéficiant déjà de protections autitre des sites classés ou inscrits. Il est nécessaire d’attendre les décrets d’application, qui ne sontaujourd’hui pas parus. Sur le contenu, il y aura un phénomène d’aller et retour avec le PLU selon leuravancement. En terme de procédures, la procédure AVAP est longue, il n’est pas garanti qu’ellessoient approuvées avant ou en même temps que le PLU. Il est vraisemblable que le PLU seraapprouvé avant. Les ZPPAUP existantes seront intégrées dans le PLU au titre des Servitudes d’utilitépublique, les AVAP seront intégrées dès leur approbation.Vie sociale• Il est constaté que, d’une manière générale, la « vie sociale » n’est pas souvent abordée (uneseule page y est consacrée dans le Document d’Orientations Générales du SCOT). Celaconcerne les gens qui s’instruisent, se soignent, font du sport…..etc. Le PLU va-t-il aborder cesujet ?Sur le « mieux vivre », il est mentionné qu’une enquête de satisfaction des locataires a concluqu’ils étaient globalement satisfaits de l’intérieur de leur logement mais pas de l’extérieur. Lescauses sont à rechercher. ALM :C’est la question du « vivre ensemble ». La question posée est très transversale et touche à tous lesdomaines que le PLU devra aborder (les activités, la formation, l’éducation, les équipements publics,le commerce……..).Proposition est faite de travailler avec le Conseil de Développement sur ce sujet. ALM est preneur desidées du Conseil de Développement en ce sens.Sur le volet des centralités en particulier, que le Conseil de développement a soulevé à l’occasion duSCOT, un travail plus approfondi est déjà engagé. Il devrait alimenter une réflexion sur lahiérarchisation des centralités, et leur maillage sur le territoire. La question de la vie sociale y seraabordée. Il est évident que le vivre ensemble à Angers ou au Plessis Grammoire ne se traduit pas dela même manière.Le SCOT a défini des orientations de densité d’habitat, nous y retrouverons la déclinaison à l’échelledu PLU.15/04/2011