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BASKET ✦ CHAMPIONNAT D’EUROPE 2009 HOMMES (qualifications, 5e journée) – FRANCE - UKRAINEFaites le grand écart !Si elle ne garantira pas un billet direct pour l’Euro, une victoire nette face à l’Ukraine remettrait la France sur ses deux jambes.Avec un bilan équilibré– deux victoires, deuxdéfaites –, l’équipe deFrance achève lesqualificationseuropéennes par deuxmatches à domicile. Deuxsuccès offriraient unbillet direct pour l’Euro ;un seul pourrait mêmeêtre suffisant. La venuede l’Ukraine ce soir auMans est l’occasiond’effacer la boulette dumatch aller (77-78).LE MANS –de notre envoyé spécialArnaud LECOMTEalecomte@lequipe.presse.frDur d’être un meneurDerrière Tony Parker, ce n’est pas forcément évident de s’exprimerà la mène. Surtout pour deux joueurs qui doutent.LE MANS –de notre envoyée spécialeY-A T-IL UNE VIE à la mène derrièreTony Parker ? Le leadership et le talentdu meneur des Spurs rayonnent sur lejeu des Bleus pendant trente-deuxminutesen moyenne. Quiassure l’intérimsur les huit minutes restantes ?Michel Gomez avait pensé à SteedTchicamboud et Yannick Bokolo. Maisces deux-là présentent le même profilque Tony Parker, des meneurs-scoreurs,percutants, finisseurs, plus portéssur l’agressivité offensive que sur lagestion et l’organisation de l’équipe.Une redondance qui les place, dansleur domaine d’activité, bien en dessousdu niveau de leur capitaine.« C’est sûr que dans ce registre, on nepeut pas s’imposer derrière Tony »,constate Steed Tchicamboud. «Onnepeut pas rentrer et essayer de faire duParker. C’est le problème, chaqueannée, des joueurs qui sont derrièreTony. Ce n’est pas facile de s’exprimer.En ce qui me concerne, je n’arrive pasà jouer mon jeu. Et je suis vraimentdéçu demaprestation », constate l’ex-Choletais qui sortait pourtant d’unesaison riche avec CB, et va se lancer enEuroligue avec Nancy cette saison.Son compagnon de banc YannickBokolo n’apas connula mêmefortune,sortant d’une saison déprimante avecFACE À LA LITANIE d’embûchesauxquelles l’équipe de France tentede se soustraire depuis un an, deuxaides précieuses sont venues à sonsecours. L’une est une étoile que lesgamins de Charleroi ont assaillie« commejamais dans [sa] carrière »,dixit Tony Parker, à la fin du matcharraché en Belgique dans le chaos deCharleroi samedi dernier (71-65).L’autre est un facteur plus prosaïque,qui sert aussi à extraire une équipenationale du bourbier et à la portervers l’Euro 2009. On parle là ducalendrier de ces qualifications, subtilementnégocié. En difficulté àl’issue de leurs deux premiersmatches à l’extérieur, les Bleus onten effet deux matches à domicilepour conclure et renvoyer cespénibles figures imposées au rang desavoureux souvenirs que la mémoirebonifiera avec le temps. Comme leservice militaire ou les séjours dansdes hôtels miteux.Au Mans, ce soir, et à Limoges,samedi, deux salles pleines jusqu’àla gueule attendent Parker, Gomezet les acteurs de cette drôle de campagnepour un happy end. Avec deuxsuccès et deux revers, la France a sondestin en main et c’est heureux. Saufimprobable faillite finale de la Turquie,la pole-position du groupe valui échapper. Reste la deuxièmeplace qu’il s’agit ce soir d’empocherdéfinitivement face à l’Ukraine,vainqueur à l’aller (78-77) dans lepiège de Kiev, la Belgique, défaite àdeux reprises, ne pouvant rattraperles Bleus.Mais, puisque le plus faible des deuxièmesde poule – départagés aupourcentage de victoires, puis auquotient attaque-défense – devrapasser par le calvaire des repêchagesen août 2009, deux autres optionss’ouvrent à la France. La plus directeserait bien sûr de battre la Turquie,mathématiquement qualifiée, samedià Beaublanc. Ou bien de mettredes points au frais ce soir à Antarèsen faisant le grand écart au cas oùune défaite à Limoges obligerait aucalcul attaque-défense (actuellement+ 12) pour départager lesdeuxièmes.La tentationdu jeu rapideCe genre de mission figure une traditionfrançaise. Depuis sa dernièredéfaite à domicile en compétitionofficielle, qui date de juillet 1999(France-Yougoslavie pour la 3 e placede l’Euro à Bercy), la France a disputéneuf matches de qualifications européennesà la maison et les a tousremportés. Marge moyenne :+ 19,6 pts. Ceci face à des adversaires(Slovénie, Lettonie, Pologne,notamment) sensiblement supérieursà cette Ukraine qui voyage malet réunit six joueurs de vingt-deuxans et moins.Michel Gomez rappelait cependantavec justesse que ses Bleus auraientpu voir large dès samedi à Charleroi.« Avec tous ces lancers francs(20 réussites sur 35) et Dieu saitqu’on en bouffe à l’entraînement…En match, ce n’est plus pareil »,insistait-il, appelant à un feu d’artificeavant l’heure. « Je veux que lespostes 4 (ailier-forts) courent encontre-attaque, qu’on s’y passe plusvitela balle, qu’on gagne endonnantdu plaisir à nos supporters. C’est unmatch à jeu rapide. Je veux unedéfense haute pour ne pas qu’ils installentleur jeu. Dans le cas contraire,on va souffrir. » Le jeu rapide ne sedécrète pas. Sinon, la France et sesathlètes auraient déjà plusieursmédailles au cou. Il doit surgird’intentions défensives et deLe Mans (voir par ailleurs). Ces deux-làtraînent donc un peu leur misère sur lebanc et, du coup, le poste de meneurprésente un drôle de terrain vague derrière« TP », où on ne voit pas beaucoupde jeu dans le paysage. « Je suisun peu en retrait », concède un Tchicamboudtrèslucide.Mais quiades circonstancesatténuantes, validées parson coach d’ailleurs. « J’avais beaucoupde temps de jeuavant l’arrivéedeTP, j’étais à la bonne place. Il y a eu unchangementbrutal pourmoià sonarrivée.C’est dur de revenir après. »L’expérience De ColoEtn’allez pas suggérer àMichelGomezque, plutôt que d’accumuler lesmeneurs scoreurs, il eut peut-être étéintéressant d’avoir un joueur plus portésur la maîtrise et la gestion du jeu.« Un meneur gestionnaire ? Maispourquoi faire, ça sert à quoi ? C’estrevenir trente ans en arrière, c’est finiça dans le basket actuel. Tous lesjoueurs doivent être gestionnaires ! »,râle-t-il.L’exemple au Mondial 2006 d’AymericJeanneau, qui n’est pas franchementun clone de Tony Parker mais a refuséla sélection cette année, ne l’émeutguère. Pourtant, face aux Belges, on aeudroit àune séquenceavecNando DeColo au poste de meneur. «On enavait parlé en préparation et je voulaisCHARLEROI (Belgique), SPIROUDÔME, 13 SEPTEMBRE 2008. – Le meneur Steed Tchicamboud,ici face au Belge Sam Van Rossom, effectue sa première campagne en sélection lors des qualificationspour l’Euro.(Photo A. Picore/le Républicain lorrain/PQR)le voir jouer pour gérer, explique lecoach bleu. Mais là, il faut qu’il soitplus gestionnaire, plus dans lecontrôle... »Quoiqu’ilen soit,comme en Ukraineeten Turquie, la France souffre parfoisd’un cruel déficit dans le jeu de passes(7,5 assists en moyenne par match), etses deux meilleurs passeurs actuelssont Tony Parker et... l’ailier-fort StephenBrun (six en quatre matches tousles deux). Et s’il est vrai que les passesne ressortent pas que de la responsabilitéexclusive des meneurs, pour avoirtrès souvent la balle en main, ils ensont les premiers dépositaires. Mais,comme dit un Tchicamboud philosophe: « C’est un bien pour nous queTony joue son jeu. S’il ne le faisait pas,on se mangerait des roustes. »Et comme d’habitude, TP assure avecsérénité, avec aussi le souci de rester àl’écoute de ses remplaçants. « Avoirun autre meneur gestionnaire ou pas,ça dépend de la philosophie du coachet de ce qu’il veut mettre en place.Ça ne change rien pour moi. J’essaietoujours de faire de mon mieux. Je saisque c’est dur pour Steed, Yannick.Mais c’est la règle du jeu, ils sont unpeu comme moi lorsque je jouais derrièreSciarra à Paris. C’est aussi unemanière de progresser. »LILIANE TRÉVISANLes meneurs avec TP2001 (Euro)2003 (Euro)2004 (Qual. EuABSEN2005 (Euro)2006 (Mondial)BLESSÉ2007 (Euro)2008 (Qual. Euro)FauthouxBokoloFauthoux’3’’points/match8,68,61810,39,78,311,97,91,56,35,64,320,11,124,80,50,5conquêtes, qui n’ont été respectéesque par brèves séquences jusqu’ici.Cette équipe, qui a encore tropcafouillé son jeu l’autre soir à Charleroimais a eu le mérite de finir sonmatch, est-elle capable de mettrel’Ukraine, qui joue toujours un billetdirect à l’Euro elle aussi, à dix ouquinze points ? Difficile à dire tantelle zigzague, un coup à droite, uncoup à gauche, règle certaineslacunes et en révèle d’autres. EnUkraine, Turiaf, dominant en premièremi-temps, a ensuite été oubliécomme la défense sur la ligne à troispoints. En Turquie, Ilyasova etTürkogluont souffert, mais Parker fut livréà lui-même. En Belgique, Brun estapparu, De Colo a resurgi, mais Kirksayet Diawara ont replongé. «Jeveux que le groupe reste fort, queLE MATCHBrun rétabliFRANCE 19 H UKRAINEAujourd’hui, Au Mans, Antares. En direct sur Sport +.Arbitres : MM. Muhvic (CRO), Garcia Ortiz (ESP), Bertrand (SUI).FRANCE : 4 Diawara (1,98 m, 26 ans, Miami) ; 5 Giffa (1,97 m, 31 ans, Strasbourg); 6 Issa (2 m, 27 ans, Vichy) ; 7 Gradit (1,97 m, 26 ans, Vichy) ; 8 Bokolo(1,88 m, 23 ans, Gravelines) ; 9 Parker (1,86 m, 26 ans, San Antonio) ; 10 Tchicamboud(1,93 m, 27 ans, Nancy) ; 11 Marquis (2,02 m, 28 ans, Cholet) ; 12 De Colo(1,94m, 21ans, Cholet) ; 13 Brun(2,04 m, 28 ans, Split) ;14 Turiaf (2,06 m, 25ans,Golden State) ; 15 Kirksay (1,98 m, 29 ans, Kazan). Entraîneur : M. Gomez.UKRAINE : 4 Butskyy (1,88 m, 27 ans, Sumykhimprom) ; 5 Zabirchenko (1,91 m,24 ans, Donetsk) ; 6 Kolchenko (1,95 m, 19 ans, Yuzhnyi) ; 7 Gladyr (1,96 m,19 ans, Mykolaïv) ; 8 Drozdov (1,98 m, 27 ans, BC Kiev) ; 9 Tonchenko (1,85 m,19 ans, Mykolaïv) ; 10 Onufriev (2 m, 26 ans, Mykolaïv) ; 11 R. Kryvich (1,95 m,29 ans, Donetsk) ; 12 Lichtchuk (2,10 m, 26 ans, Marioupol) ; 13 Ivchine (2,07 m,22 ans, Marioupol) ; 14 Kravtsov (2,12 m, 21 ans, BC Kiev) ; 15 Agafonov (2,07 m,22 ans, Yuzhny) ; 21 Gumenyuk (2,21 m, 20 ans, VEF Riga, LET). Entraîneur :V. Melnychuk.DUMATCH ALLERà Kiev, l’équipedeFrance a rapporté le douloureux souvenird’un hôtel au confort spartiate etd’une fin de match plombée par septtirs à trois points meurtriers. C’est unstimulus supplémentaire dont le Françaisadore user avant les grandesbatailles. « On avait été très, très malreçus là-bas, j’espère que les joueursvont s’en souvenir… mais se rappeleraussi que c’est une équipe très dangereuseà trois points », glisse MichelGomez au sujet de cette Ukraine qui vitsur sa réussite extérieure (42 %,numéro 1 des 17 sélections disputantles qualifications), mais ne tient pas laballe (20 ballons perdus par match) etmanque d’impact individuel en dehorsdu quatuor Drozdov-Kryvich-Licthchuk-Agafonov et du prometteurKolchenko.Résistante en Turquie (– 13), dominéeen Belgique (– 11), elle fut vivementBokoloentre deux eauxL’ex-meneur manceau revient en Sartheavec les Bleus au sortir d’une saison difficile.LE MANS –de notre envoyée spécialetous les joueurs soient prêts pourdonner cent pour cent quand ils rentrent», martèle Gomez au sujet deses rotations parfois à l’emportepièce.L’entraîneur français, d’abord missionnépour cette campagne, joueprobablement sa place sur ces deuxderniers matches. « Je n’ai rien promisaux joueurs et le président (YvanMainini) ne m’a rien promis », affirmait-ilhier midi. « Et je n’ai aucunrendez-vous programmé (avec lesinstances fédérales) dans l’immédiat…sauf avec ma femme ! Il vafalloir réfléchir à comment on doittravailler, avec quels joueurs, toutça. Qualifions-nous, faisons la fête etnous verrons », a-t-il ajouté, avecl’air du type qui sait qu’il n’est pasforcément au centre du jeu. – Ar. L.corrigée par Türkogku et son orchestresamedi (86-64). Composée pour moitiéde joueurs de vingt-deux ans etmoins, la sélection de Melnychuk arécupéré Artour Drozdov (27 pts enBelgique), forfait contre la Turquiesamedi en raison de douleurs chroniquesà un genou. Néanmoins, sa victoireface à la France à l’aller (78-77)laisse le champ ouvert à la deuxièmeplace du groupe à la condition absoluede s’imposer ce soir au Mans et dedominer la Belgique samedi à Yuzhnyi.La France, toujours aussi avare depasses (7,5 par match, 17 e sur 17) etmédiocre aux lancers (65 %), disposerad’un effectif au complet avec SachaGiffa et Stephen Brun, qui s’est entraînénormalement hier après une alerteà la cheville lundi. Eva Longoria et LionelJospin, invité du maire du Mans,seront également présents à Antarès,mais resteront en tribune. – Ar. L.IL VA RETROUVER le terrain d’Antarès,ce club du Mans où il a passé sixans, et un public qui ne l’avait guèreménagé l’an dernier. Répudié par leMSB, à l’issue d’une saison bien terne(5,4 points de moyenne, 2,7 passes envingt et une minutes en Pro A) alorsqu’il lui restait un an de contrat, YannickBokolo pense refaire surface àGravelines. Mais, dans l’immédiat, ilessaie de surnager dans les eaux internationales,au sein d’une équipe deFrance où la supériorité évidente deTony Parker le relègue au bout dubanc. C’est dire qu’il aura ce soir, chevilléeau cœur, une foule d’émotionsentrechoquées. Même s’il dit sanssourciller que, n’ayant pas encore eu letemps de passer à Gravelines, Antarès,pour lui, « c’est comme être encore àdomicile ». Rien ne dit cependant qu’ilverraplus le parquetfamilierd’Antarèsque ceux d’Ukraine ou de Belgique, oùil n’a pas mis les pieds. Car il ronge sonfrein dans l’ombre de « TP », à unposte où il n’a toujours pas convaincu.Même si Claude Bergeaud en fit àl’occasion son meneur titulaire – enl’absence de TP blessé – lors du Mondial2006. Depuis, Yannick Bokolo,dont on connaît surtout les jambes defeu en défense, prend son mal enpatience.« Je suis un compétiteur, c’est vrai quej’aimerais bien être sur le terrain. C’estfrustrant. Bon, tant qu’on gagne, çacalmemon humeur.Maisc’estvrai queje voudrais aussi pouvoir apporter mapart et dire que j’ai contribué à faireavancer l’équipe de France », dit-ilsans aucune animosité.Proche du profil de Tony Parker, ilpeine à s’adapter aux exigences d’unposte qui ne lui est pas vraiment naturelpuisqu’il a longtemps joué deuxièmearrière. « C’est la suite de maformation de meneur parce que je nesuis pas un meneur de nature », aimet-ilà rappeler. Pour autant, il n’envisagepas de renoncer à poursuivre surcette voie, conscient pourtant d’uncertain plafonnement dans son évolutionpersonnelle. « Je ne vois pas forcémentque je progresse. Mais le faitque je sois sélectionné alors que je n’aipas fait une très belle saison, c’est déjàun avantage pour moi, analyse-t-il. Çam’aide à persister dans mon travailmême si je ne vois pas de progrèsdirects. » –L.T.PROGRAMMEPOULE C (5 e journée)AUJOURD’HUIFrance - UkraineTurquie - BelgiqueClassement : 1. Turquie, 8 pts ;2. France, 6 ; 3. Belgique (+11), 5 ;4. Ukraine (– 11), 5.DERNIÈRE JOURNÉE. – Samedi 20septembre : France - Turquie, àLimoges (20 h). Ukraine - Belgique.Déjà joués : France - Belgique, 82-63 ;Turquie - Ukraine, 86-73 ; Ukraine -France, 78-77 ; Belgique - Turquie 63-78 ;Turquie - France, 77-65 ; Belgique -Ukraine, 72-61, Ukraine - Turquie 64-86,Belgique - France, 65-71.❏ POULE A (9 e journée) :AUJOURD’HUI: Italie - Bulgarie, Serbie -Finlande. Exempt : Hongrie.Classement: 1. Serbie, 11 pts ; 2. Bulgarie,10 ; 3. Italie (+ 1 m.), 10 ; 4. Hongrie(+ 1 m.), 9 ; 5. Finlande, 8.❏ POULE B (5 e journée) :AUJOURD’HUI : Lettonie - Estonie,Portugal - Macédoine.Classement: 1. Macédoine, 7 pts (+ 1) ;2. Lettonie, 7 (– 1) ; 3. Estonie (+ 3), 5 ;4. Portugal (– 3), 5.❏ POULE D (5 e journée) :AUJOURD’HUI : Rep. tchèque - Grande-Bretagne, Israël - Bosnie.Classement : 1. Grande-Bretagne, 7 ;2. Bosnie et République tchèque, 6 ;4. Israël, 5.RÈGLEMENTLes premiers des quatre groupes ainsi queles trois meilleurs deuxièmes qualifiéspour l’Euro 2009 en Pologne (7-20 septembre2009). Le moins bon deuxième, lemeilleur quatrième et les quatre troisièmesde chaque groupe disputeront untournoi de rattrapage (début septembre2009) dont le vainqueur sera qualifié pourl’Euro.LE POINTLa Turquieprès du butIL SUFFIT aux Turcs de s’imposeraujourd’hui à Istanbul face à la Belgiqueprivée de Doum Lauwers (opérationdu ménisque) pour obtenirleur billet pour l’Euro polonais(7-20 septembre 2009) avant la dernièrejournée des qualificationssamedi. Trois autres nations sont enposition de se qualifier dès ce soir encas de succès : la Serbie dans legroupe A ; la Macédoine si ellegagne au Portugal et si la Lettonies’incline devant l’Estonie ; enfin laGrande-Bretagne dans le groupe D sielle s’impose en République tchèqueet si Israël bat la Bosnie.■ DIALS DE RETOUR À ORLÉANS.– Après les essais infructueux deThierry Rupert et de Jeremis Smith,l’Entente Orléanaise a engagé lepivot Terence Dials (2,06 m, 25 ans),quiavaitportélescouleursduclubdu Loiret en 2006-2007 (13,4 pts,6,5 rbds). La saison passée,l’Américain sorti d’Ohio State avaitconnu un passage plus difficile à Pau(10,2pts,5rbdssur10matches).Ilest sous contrat comme pigistemédical de Frédéric Adjiwanoujusqu’à la fin de novembre.■ ROUEN : TOTI BIEN EN PLACE,NASCIMENTO PAS VENU. –LeSPORouen devrait confirmer dans soneffectif le meneur Mickaël Toti(1,80 m, 21 ans), qui était à l’essaidepuis le 20 août. Passé par Reims,Clermont et Limoges la saisonpassée (5,9 pts), Toti sera ladoublure de l’Américain KevinHouston. En revanche, le pivotbrésilien Michel Ferrera doNascimento n’est jamais venu fairel’essaiprévu,etleclubnormandestdonc toujours en quête d’un pivot.–A. Ge.■ CHALON : UN ALLEMAND Àl’ESSAI. – Chalon teste durant letournoi d’Alfortville, de jeudi àdimanche, l’intérieur allemandWolfgang Gieler (2,04 m, 22 ans)passé une saison par l’université deCalifornia-Irvine et qui vient derenoncer à un cursus à Siena. Parailleurs, le meneur Zack Wright, quiavait une période d’essai d’un moismais s’est distingué lors des matchesde préparation, s’est engagé pourdeux saisons avec l’Élan.MERCREDI 17 SEPTEMBRE 2008 PAGE 15

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