12.07.2015 Views

PROC S - VERBAL - Malaysia Today

PROC S - VERBAL - Malaysia Today

PROC S - VERBAL - Malaysia Today

SHOW MORE
SHOW LESS
  • No tags were found...

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

CONFIDENTIEL DÉFENSESPÉCIAL FRANCEDc(assifjé pardu ministre de taN ° 009884 du 22En premier lieu, la part financière (4,98 %) est plus élevée que pour les deux autresè J 5 parties de l'offre : ceci s'explique par le fait qu'il s'agit d'un simple achat-vente : ilO é f e n s e n'y a donc pas de frais Sofrantem, mais les frais COFACE sont plus élevésJUI' 2010(1,85 %), les frais "divers" sont fixés à 1 % et les garanties bancaires (2,13 %) sontsensiblement plus importantes.En second lieu, un coefficient de 10 % a été institué par DCNI comme provisionpour aléas d'interface. DCNI justifie cette provision par les difficultés qu'elle arencontré sur un contrat de même type (GAROH) pour lequel elle a été obligéed'assurer des surcoûts dûs au prestataire (retards notamment) d'un montant de10%.3- Les risques spécifiques du projet; leur prise en compte .Compte tenu du contenu original de la prestation offerte, de l'acheteur et dumontage financier, du montage contractuel, du respect difficile d'un calendriercomplexe et des nombreux interfaces entre acteurs différents, cette offre présenteles risques suivants qu'il conviendra de couvrir de façon explicite dans les contratset les protocoles à établir.3.1 Les risques liés au contenu original de l'offre : une part importante deformation et une cession gratuitea) En ce qui concerne la formation opérationnelle, le partage de la prise encharge des risques reste encore incertainLa part "formation opérationnelle des sous-mariniers malaisiens" prévue dans lescontrats NAVFCO reste une composante essentielle de l'offre : 430 MF avantintervention de DCNI, 517 MF environ après, soit 8 % du total.La prise en charge des risques correspondants suit par ailleurs deux logiquesdifférentes selon qu'il s'agit de la formation sur Agosta ou sur Scorpène.La formation sur Agosta reste en effet hors du périmètre de la maîtrise d'o,uvrede DCN et c'est donc NAVFCO qui, au travers de son contrat avecPERIMEKAR, porterait l'essentiel du risque. Toutefois cette formation estassurée en France en liaison avec la Marine Nationale d'une part, et d'autre partla société NAVFCO prévoirait de limiter rigoureusement sa responsabilité dansle cadre de son contrat en s'en tenant à une obligation de moyens et non derésultat. (x heures de cours, y répétitions de manoeuvres).Par ailleurs la DRI de la DGA du ministère a proposé à l'état-major de la Marinefrançaise d'instaurer un comité conjoint franco-malaisien pour rendre un avis encours de projet sur le niveau de formation des malaisiens. Enfin le délai deformation a été réduit depuis le 13 mars dernier : il était prévu une formation a terrede 2 ans pendant PIPER de l'Agosta, puis de 4 ans à la mer. Aujourd'hui le début dela formation à la mer commencerait huit mois après le début de l'IPER.Le risque est donc apparemment plus fort et dans le cadre d'une simple obligationde moyens de NAVFCO, la responsabilité de l'Etat à travers l'intervention de laMarine dans la définition de la formation et la validation de ses résultatsnotamment lors de sa participation à une commission conjointe, pourrait être plusimportante que prévu.CONFIDENTIEL DÉFENSE SPÉCIAL FRANCE j17

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!