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Mieux Vivre N°154 - Février 2012 (.pdf - 2,38 Mo) - Sanary-sur-Mer

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EN BREF…• Erratum places handicapésDans notre n° 153, page 12, le titredu tableau situant les 70 places réservéesaux handicapés titulaires de lacarte GIC/GIG comporte une erreur,pour laquelle nous vous présentons nosexcuses. En effet, toutes les places indiquéesne sont pas non-payantes.Places non-payantes strictementréservées aux handicapésParking Lautier 2Parking Mas de l’Huide (piscine) 2Parking gymnase La Vernette 1Parking chemin la Milhière (stade) 2Parking HLM Le <strong>Mo</strong>rtier 2Chemin des Mas de l’Huide (collège) 1Avenue Desmazures 2Avenue Leclerc (centre culturel) 2Rue Schuman (police municipale) 1Esplanade Frédéric Dumas 3Quai des Baux (capitainerie) 2Rue Raoul Henry (théâtre) 2Avenue Général Rose (poste) 1Avenue de l’Ensoleillade 2Avenue du Stade 2Rue des Micocouliers 1Rue des Macloahorias 1Impasse Sully 2Les places strictement réservées aux handicapésdans les parkings de l’Esplanade(27 places), Arnaldi (6 places) et desPicotières (1 place) sont payantes depuisla création de ces parcs de stationnement,avec la première heure offerte,comme pour tous les usagers. Précisonsque la carte d’abonnement aux parkingsde l’Esplanade et des Picotières estofferte aux personnes invalides à 80%,domiciliés à <strong>Sanary</strong> <strong>sur</strong> <strong>Mer</strong> et nonimposables.Par ailleurs, les parkings à paiementpar horodateur comportent 5 placesréservées aux handicapés (5 au parkingWilson et 1 au parking Brunel). Ce sontces places qui sont devenues payantes.Rappelons que dans tous les cas, le stationnement<strong>sur</strong> un emplacement réservéaux handicapés doit être justifié par lemacaron GIC ou GIG apposé de manièrevisible à l’intérieur du véhicule.• Procurationspour les électionsNous vous rappelons que les personnesdésirant voter par procuration auxprochaines élections doivent s’adresserau commissariat de police. Afin d’éviterune forte affluence dans les semainesprécédant l’élection, les personnesconcernées sont invitées à effectuer lesdémarches le plus tôt possible.• Téléphonebibliothèque sonoreNous vous rappelons que le numéro detéléphone de la Bibliothèque Sonore achangé. Il faut désormais composer le :06 83 94 53 29.Tribune libreRendez-nous le “A”, on ne peut plus écrire !Le 11 du mois dernier et lors du dernierconseil, le budget de notre commune fûtvoté.Sur le fond, peu importe que l’on soit enopposition - comme notre groupe – <strong>sur</strong>les projets <strong>sur</strong> lesquels reposent ce budgetou - comme le reste du conseil – qu’onles soutienne : mettre en œuvre ce budgetreste une illusion si les institutions prêteusescontinuent d’ignorer les besoinslégitimes de notre commune.C’est bientôt les mots “politique” et “commune”qui seront devenus impossibles deciter ensemble, en une même expression.Le gouvernement détient seul, en effet, lesclés pour forcer les prêteurs, qui, il est utilede s’en souvenir, prennent strictement zérorisque ici.Ce problème se retrouve identique pourl’échelon le plus élevé du pouvoir politique:“Inutile de discuter, de disputer oude polémiquer, nulle voie différente n’estpossible que celle, technique, d’un budgetde rigueur qui s’impose définitivementcontre toute réflexion politique”.De qui se moque-t-on ?Payer plus pour avoir moinsComme chaque année depuis 2002, lamajorité a voté sa hausse traditionnelle de2,5% des impôts locaux. En réalité, avecl’augmentation prévue par l’État au profitdes collectivités locales, les <strong>Sanary</strong>ens supporterontune hausse moyenne de 5% pour<strong>2012</strong>.Ces augmentations servent-elles à réduirela dette ? Non, elle s’élève aujourd’hui à76 millions d’euros (1) – soit 60% de hausseen trois ans -. À moins emprunter ? Non,20 millions d’emprunts sont prévus pourEt bien, figurez-vous, nous y sommes !Rédiger ce billet de “<strong>Mieux</strong> <strong>Vivre</strong>” fût unetorture, privés que nous étions, depuis le12 du mois dernier, de nous servir d’unelettre, fût-elle première d’entre elles. Et ceen soumission d’une officine de New-Yorkcensée penser en notre nom. C’est pourquoi,vous trouvez zéro “A” en notre billetde ce mois, écrit sous pression de cetteexigence des cow-boys qui se donnent ledroit de noter les politiques.“Il n’existe que les lois économiques et lespolitiques n’y peuvent rien”.De cette bêtise, de cette contre-évidence,que toutes et tous s’en souviennent bien lejour des élections présidentielles.Notre groupe d’opposition – SndrineFerreri, Rit Mrtinez, Gérrd Vernières,Clude Vincensini et Didier Tourncheu– vous espére un très gros courge.Ben oui, des noms ridicules et le mot courgepour dire “force et énergie”, c’est insensé! Rendez-nous notre “A” qu’on puisse enfinrécupérer une écriture cohérente.Didier TourancheauNDLR : La rédaction du <strong>Mieux</strong> <strong>Vivre</strong> prend acte du fait que M Tourancheau, chef de cegroupe d’opposition, interdit désormais à ses colistiers de cosigner, pour validation et engagement,les textes de la Tribune libre.Nous considérons les élus dudit groupe pénalement responsables in solidus motus et de facto,derrière leur chef, du contenu de ses articles.<strong>2012</strong> (12) . À proposer plus de services et d’activitésaux <strong>Sanary</strong>ens ? Non, fermeture decrèche, suppression des floralies ou encoredes rois mages font penser à une gestionde crise.Les emprunts d’aujourd’hui sont nos impôtsde demain.Régine Aguillon et Olivier ThomasConseillers municipaux UMP/PR(1) Endettement total selon les budgets primitifs <strong>2012</strong>(2) Recettes inscrites aux budgets primitifs <strong>2012</strong>18 • <strong>Mieux</strong> vivre à <strong>Sanary</strong> • N°154 - Février <strong>2012</strong> •

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