Texte pour le 7 octobre (2)

194 La oolanté de savoirtâ.nt dan6 les ûécanismes du pouvoir, dans sesmanifestationE et dâ;rls ses xituels. Pour unesociété où sort prépondérants les systèmes d'sltianc".la form" poiirique du souverair. la différenciaLionen o"àres ei .o castes, la valeur deslisnseeq, pou on€ eo.iété oir la fanine. tes épiaÈ-iÀ"t." rendent Ia mort irrtinenre''iole"*sle sans consriru. ure d.s rajeurs es*enrielle":p"'o ti"n' à la foia à son rôle insuumeDtal"ootpo,r"oi" le sang). à son foneiionnement'.rse"darrs l'ordre des signes (avoir un certain Êâ-ng'être du même sang, accepter de riÊqu€r son sarg),à sa précarité aussi (facile àrépardrc' sujet à 6er*ir, r""p pro-pr à se mÀler' wite su'cepribie de*Sociéré dc sâog-j'ellâ;Ê direde .6anguinité,-"-i"p*f. : honneù de lâ 8ùerre et Peùdes famines. txiomDhe de lâ mort.elaive, bouneaux et supplices, 1e pouvoir parleà tra"e,s le sang; celui-ci est aze réaûté à fonctiqnsyûbdliqns: \ouÊ .ornmer. nour, dans uneso.iérê du iex"" o\ plutôr .à cexualiré' : les"méèiarismevdiilôuvoir s'adressent au corps' à,- la ,.:- rie. : â ee -^ -,: qui ri la r-:. fa;t Àêênnirênfôr.ê--^l;r:;--- prolifirer. à c. qui renforcel'espèce, sa vigueur, sa capacité de dominer, ouson aptitude à être utilisée. Santé, progéniture,race, avenir de I'espèce, vitalité du corps social,le pounoir parle de la sexualité et â la sexuâlité;obi-eueæSl". EL ce qui lai( son imporrarce. c'""r'i Ji"" "rou sa prérariré qu. .on jnsisra;ree.mce. sa "-.re préeenceDraeence lnsrdreube. ins;ji.u"e. te le rârl fàir qÙ qu'"lle elre Fsr,t "sr7a ry9]utuLla lors sllmec ci_Iggg4eS: Lg+lÙlYoUâ-a-";""-li-GillË?iîin sert comme le sensDrcit de mort et pouÙoir sur la ùie 795proliféranr ou'i] faut touiours reorendrc sous.on[rore pour (ru rr n ecncooe Dornri cfle esr uneEt( a varcur ae sPns, r e ne vêux pas ûrre qu unebubbrrulron du Êe\e au sâoc reôume {i ele ,euleles ûansformations qui mâ.rquent le seuil dnoûe modernité. Ce n'est pâÊ l'âme de deu cividepouvotu élâ.borées pendant l'âge classique et. 2(;.sations ou le principe organisateur de deuxlformes culturelles que je tente d'exprimer;I È cberche lcs raisons Dour lpsouelleq laIï, , ,. ..-,-_-'.'e:ua-'jI Ite. lom d â\orr èLèl reDr!mèel dans la sociéréI contêmporarne. , es( âu contrs're Ên pe.mâ-)nence suscitée. Ce sont les nouvelles procéduresr,-miseÊ eD ceuue au xrx' siècle qui ont fait passer\ nos sociétés d'une 9rn b olique du s ang a une analytiquetle la se:rual;té. On le voit, s'il y a quelqueSose qùi est du côté de la. loi, de Ia mort, de laI tran-grcsbion, du symbolique er de lâ sou\erà-I ne,é. . es' le sane; la .erualité, ellc, e.r. du côréi de ra nor-e, du;avoir, de ta vie, du sens, desI disciplines et des résulatioûs.i saà" * les premi-ers eugénistes sont contem-' pora.ins de ce passâge de la < sanguinité à la. "sexualité '. Mais alors que les premier" rè\esde perfectionnement de l'espèce font basculertout le problème du sang darrs une gesiior fortcortraignânte du sexe (aft de déteminer les bonsnariages, de provoquer les fécondités souhaitées,-d'asÊurel la Banté et la longévité des eufants),ators que la nouvelle idée de race tend à efacerles particularités aristocrâtiques du sang pourne retenir que les eÊ'ets contrôla.bles du sexe,Sâde reporte fanalyse exhaustive du sexe dmsÇ1!r \ ear\_-.(' ôi ..r. \r. :|o.\çi^,\