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PARTENAIREOFFICIEL DES 3

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ATHLÉTISMEDoucouré y est déjàÀ dix jours de son premier 110 m haies américain, nous avons assisté à une séance à plein régime du double champion du monde.LUNDI PROCHAIN, Ladji Doucourépartira pour les États-Unis avec, enligne de mire, sa première sortie enplein air sur 110 m haies, à Gainesville,le1 er avril. Mais, avantde déballershort, débardeur et biscotos quivont avec sous le soleil de Floride, ledouble champion du monde (haies etrelais) doit composer en ce matin demars avec une bise mordante et unthermomètre frôlant le zéro. De quoile contraindre à se réfugier dans lahalle couverte de l’INSEP. Pointd’orgue de l’entraînement du jour :un parcours chronométré avec sixhaies mixant intervalles normaux etintervalles plus longs (voir infographie).« À ce stade de la préparation, ils’agit de transférer le gain physiqueen rendement spécifique, expliqueRenaud Longuèvre, qui cherche duregard son poulain. Je vais prendreles temps sur les deux derniers intervallesde 9,14 m. Ce dispositif, quiconsiste à enlever une haie sur deux,lui permet d’arriver sur l’intervallenormalà lavitesse d’une compétitionen 13’’15-13’’20. » C’est donc duplein pot qui est annoncé dans untour d’horloge mais Doucourél’ignore encore.Pour l’heure, il mène seul son échauffement.Il est 9 h 30 dans la salle quasidéserte et on suit sa puissante silhouette,toute de noir vêtue, quialterne trot, marche et pas chasséslatéraux. Puis, prenant appui sur unemarche d’escalier, Ladji étire alternativementmollets et tendons d’Achilleen avouant : « Je ne sais pas ce qu’aprévu Renaud. Jeconnais le thème dela séance mais pas son contenuexact. Mais je me doute que je vaisfaire des haies. C’est pour ça que j’aipris mes pointes. » Il s’y prépare. Àplat ventre sur le matelas du sautoiren hauteur, il entame de multiplesvariantes de flexions des ischio-jambiers(muscles postérieurs de lacuisse). Puis, toujours en silence, sedéplie en fentes avant, s’assoit ausol, « jambes écart », et tente degagner millimètre par millimètre.« Je suis rouillé, je me suis levé à8 h 30, plaide-t-il. Mon corps n’estpas encore réveillé et puis il fait froid.C’estpour ressentir unpeu de chaleurque je me suis allongé sur le tapis. »À chacun son boulot. De son côté,Renaud Longuèvre, décamètre enmain, installe méticuleusement sesateliers. Un premier consacré à deséducatifs sur des haies qu’il relèveraau fil des séries. Un autre servira derampe de lancement au hurdlerquand il mettra les gaz. « C’est rarede faire du spécifique sur cette lignedroite, souligne le coach. Habituellement,en mars, on ne fait jamais cegenre de boulot. Cela intervient plustard et en extérieur. Mais c’est intéressantde voir s’il y a un lien entre letravail et les saisons. » Or, si Doucouréavait attaqué son été le 7 juin àNoisy-le-Grand (en 13’’14), en 2005,il est là en phase terminale avant Gainesville.« Avant, je trichais… »Ladji avale une gorgée d’eau et terminela première phase de l’échauffementen insistant sur les articulationsde ses chevilles. « Je dois fairegaffe, j’ai un peu mal au tendon. » Lafaute à une bursite qui le préoccupe.« C’est encore à droite, là où j’avaiseu ma pubalgie et mon kyste augenou. C’est chiant : tous les ans, j’aiquelque chose. Je ne voudrais pasque ça réveille d’autres douleurs. »Toujours trainings aux pieds,l’athlète s’installe tranquillementdevant les obstacles. Premier passage,premières recommandations :« Tout de suite devant sur le deuxièmeappui... Voilà, parfait ! Maintenant,on fait une haie en impulsionverticale et la suivante, le franchissementestrasant. »Les haies montent.À 1 mètre. Et la distance entre chacuneva croissant : 6 mètres, 6,50 m,7 mètres, 7,50 m. Nouvelle répétition: « C’est sur le deuxième appuique ça se joue, commente le coach.Le talon monte après. Là, c’est pasmal. Tu peux mettre tes pointes. »Chrono en main, Longuèvre se dirigedéjà vers la ligne droite de vérité.Ladji le suit. Ôte son haut de survêtement.Le voilà dans les blocks. Ça vadépoter. Une séance « 4-8-4-8-4 »désignant le nombre d’appuis entrechaque haie. « Attention, tu as deuxséquences en huit appuis, prévient lecoach. Reste vers l’avant, le ventrebien costaud. Allez, bien propre ! »Plus facile à dire qu’à appliquer. Malgrétous ses efforts, lancé plein pot, lerecordman de France est loin ducompte : « P… c’est loin ! J’ai attaquéla dernière haie avec le talon. »Longuèvre s’interroge : «Jemesuispeut-être trompé dans les distancesentre les haies. » Le recours au décamètreconfirme la petite erreur, unevingtaine de centimètres peut-être.Or, attaquer une haie lancé après unplat de près de 18 mètres n’est pasaisé. « Cela suppose une grandemaîtrise,explique le coach. Sur une telleséance, il est fréquent que les jeunesathlètes refusent l’obstacle au débutet le fassent tomber avec la main. »Le deuxième passage de Ladji serameilleur. Même si des haies jonchantla piste témoignent d’un peu decasse. «C’est pas mal, avoue lemaître. Il ya beaucoup defautes maisc’est normal. Dans l’intervalle que tufracasses, t’es en 0’’97. » Du trèshaut niveau.«Çavavite»,acquiesce Doucouré,pourtant peu friand de cetype d’exercice.« Avant, j’aimais pas ce type deséance parce qu’elle met en évidenceune de mes faiblesses, lâche-t-il.Lorsque les haies arrivent vite, je neparviens pas à maîtriser mon geste.Alors, au lieu d’accélérer sur les intervalleslongs, je trichais pour ne pastrop me déstabiliser. Mais, en discutantavec Linda (Khodadin), j’ai comprisqu’il fallait en passer par là, queça n’allait pas venir d’un coup. Alors,maintenant, je m’oblige à rentrerdedans.Et si, cematin, il y aunpeu degâchis, c’est parce qu’il y avait longtempsque je n’avais pas refait cetexercice. Mais ça va revenir. » Lecoach a l’air déjà convaincu. «Ilestbien… et quand ça va bien, pas lapeine d’en faire plus », conclut-il. Ilest 11 heures, Doucouré remercie lestarter, remballe ses haies et tire sarévérence. Vivement demain, ce seral’Amérique…HERVÉ GARCIAComme l’an passé(notre photo), LadjiDoucouré, ici sous les yeuxde son entraîneur, RenaudLonguèvre, s’entraînait hierdans la halle couvertede l’INSEP, en vue de sonretour en plein airsur 110 m haies, prévu pourle 1 er avril à Gainesville.(Photo Stéphane Mantey)L’imbroglioBarberLE POINT DE VUE d’Eunice Barber et celuide la police sont décidément inconciliablessur ce qui s’est passé samedi aux abords duStade de France. Placée en garde à vue jusqu’àdimanche soir, l’athlète dénonçaitlundi par le biais de son avocat, M e Daoud,une interpellation d’une « particulière brutalité». Pour Barber, si elle avait mordudeux agents de la paix, c’était pour sedéfendre alors qu’elle était maintenue ausol et frappée. Sa décision de porter ou nonplainte devait être annoncée ce matin.« Notre version n’a pas changé d’un iota »,confirmait hier l’avocat. Celle des policiersnon plus. Une source policière, jointe hier,relatait l’interpellation avec de nombreuxdétails à charge pour Eunice Barber.L’athlète aurait mordu un agent à l’épaulealors que sa mère, dans la voiture, luidemandait de s’arrêter. Elle aurait alorsmordu un deuxième agent dans le fourgonqui l’emmenait au commissariat. Il auraitfallusix policiers pour la maîtriser, et Barberaurait insulté en anglais plusieurs agents,dont l’un envisagerait de porter plainte.Durantsagarde àvue, l’athlète aété examinée,comme le prévoit la loi, à l’hôpitalJean-Verdier, à Bondy (Seine-Saint-Denis).De source policière, rien de particulier n’yaurait été noté, quand l’avocat de l’athlètefait, lui, état d’un certificat médical de septjours d’interruption temporaire de travailémanant d’un médecin vu à l’issue de sagarde à vue.Bernard Amsallem, le président de la FFA etle DTN Franck Chevallier, qui se sont entretenusavec Eunice Barber lundi et hiermatin, décrivent en tout cas une jeunefemme « secouée », « meurtrie » moralementet physiquement.« Elle a une minerve, la main droiteenflée », raconte le DTN. « Elle se plaint del’épaule et a une marque au visage »,enchaîne le président Amsallem, qui ditapporter son « soutien » à la double championnedu monde (heptathlon en 1999, longueuren 2003).La FFA est en position d’attente car« Eunice n’a pas souhaité impliquer laFédération dans cette affaire », expliqueChevallier. Seules une mise en examen del’athlète ou une plainte déposée par celle-cisemblent en mesure, à terme, de tirer auclair cette bien triste affaire. – C. B.BASKETWeis, le phénix basqueSerein, confiant, bien physiquement, le pivot français, co–capitaine de Bilbao,renaît en Espagne depuis l’été dernier.BILBAO –(ESP)de notre envoyé spécialSON CORPS VIBRE, comme chatouillépar mille flammes. Son âmesemble chauffée par le soleil. Find’après-midi, entraînement à la Castilla,dans le centre de Bilbao.Dehors, le ciel a épaulé son manteaugris, fade, cotonneux, son pardessusordinaire de ce côté-ci de la Côtebasque. Dans la salle, sous la lumièrefroide, un grand blond de 2,17 m,plus sec que jamais, jargonne,s’esclaffe en castillan, décolle etarrache un rebond, part en dribble,au sprint, guiboles agiles et frétillantes!Frédéric Weis étale sans fard sonbonheur tout neuf. « Il est joueur, il ale sourire, il se sent bien ici »,exprime Javier Salgado, le meneurdu club, le seul joueur né à Bilbao. Àbientôt vingt-neuf ans, l’histoire deFrédéric Weis palpite à nouveau.Après quatre mornes saisons andalouses,à Malaga, engoncé dans soncostume de cerbère, de défenseurexclusif, après une demi-année desouffrance physique à Bilbao la saisondernière, Frédéric Weis revoit lalumière, galope grand champ, muépar l’ivresse des planches. « C’est unjoueur différent, beaucoup plus référentdans l’équipe. Il se sent valorisé,important dans le jeu défensif etoffensif. Il est plus serein dans sonjeu », explique son coach, TxusVidorreta.À quelques centaines de mètres de lasalle, un appartement de standing,sans grand charme mais chaleureux,au cœur de la ville. Parfois, le coupleWeis et leur petit Enzo, quatre ans,s’y sentent à l’étroit, mais la vie s’yécoule paisiblement. Depuis l’étédernier, tout semble léger, le passéoublié, les peaux mortes tombées.« J’ai l’impression d’être un peucomme le phénix, qui renaît de sescendres », admet Frédéric Weis.C’est comme si l’homme avait éténettoyé, son physique gracile, sondilettantisme, les malentendus, lesmoqueries, les suspicions lavés àgrandes eaux. « L’image renvoyéepar les autres m’a fait tellement malque je ne m’en soucie plusaujourd’hui », raconte le vice-championolympique 2000.Au début de la saison 2004-2005,lors des tests physiques à son arrivéeà Bilbao, le médecin avait dû l’aider àse lever de la table de massage ! Dosen vrac, genoux pantelants, FredWeis se traînait avec peine. «Jen’étais pas fier », sourit-ilDepuis la conquête du bronze avec les Bleus lors du dernierEuro, en septembre, à Belgrade, Frédéric Weis est un autrehomme : à Bilbao, il a doublé ses statistiques (7,2 points,7,5 rebonds en 28 minutes de moyenne). (Photo Marcamedia)aujourd’hui. Un an et demi plus tard,le grand blond a jeté son masquetriste aux orties. Délesté de près dedix kilos, il a travaillé son corpscomme jamais etavécu lors de l’Euroà Belgrade une éblouissante et salvatriceaventure avec l’équipe deFrance. « Ce qui s’est passé là-bas l’abeaucoup aidé. Quand il est revenu,il était prêt, il avait faim », constatel’ailier serbe Predrag Savovic, soncoéquipier à Bilbao. « La médaille debronzeaterminé leprocessus de“réassimilation”au basket », renchéritle coach. Lui qui avait quitté l’équipede France avec des meurtrissures aucœur derrière un Euro turc 2001 sansrelief y est revenu l’été dernier sanspression.Pour une formidable récon-ciliation. « Quand je n’avais pasl’équipe de France, cela ne me manquaitpas. Maintenant que j’airetrouvé le fil, je ne veux pas lelâcher », sourit-il, dans un francappel, six mois avant le Mondialjaponais. « J’adorerais y être ! »avoue-t-il.« J’aime à nouveaule basket ! »Tous les jours, Bilbao caresse sonphénix au sang basque. Le public ena fait son enfant chéri, qui salue chacunede ses (trop) rares réussites auxlancers francs (19 sur 50, 38 %)« comme un but de l’équipe de footballde l’Athletic Bilbao », selon uneradio locale. « C’est un garçon que❍Frédéric WEIS❍● 2,17 m.● Vingt-huit ans.● Né le 22 juin 1977 à Thionville.● Pivot.● Clubs : INSEP (1992-95) ; Limoges(1995-2000) ; PAOK Salonique(2000-déc. 2000) ; Malaga(déc. 2000-2004) ; Bilbao (depuis2004).● Stats 2005-2006 : 7,2 pts, 7,5 rbds,1,8contre en28 minutes de moyenne.● Drafté en 15 e position par lesNew York Knicks en 1999.● Palmarès : champion de France(2000), Coupe de France (2000),Coupe Korac (2000 et 2001), médailléd’argent aux JO 2000, médaillé debronze à l’Euro 2005.● Équipe de France : 65 sélections.vous avez envie d’aimer », dit simplementSavovic. Son coach a mêmemis deux systèmes offensifs en placeà l’attention de son pivot. « Ceque jen’avais plus eu depuis Limoges ! »rigole le Mosellan, deuxième rebondeurde la Liga ACB, qui a doublé sesstats d’une saison sur l’autre à Bilbao(7,2 pts et 7,5 rbds en 28 min). Cetteannée, Fred Weis a même été promucocapitaine, au côté de Javier Salgado,l’enfant du pays. « C’est l’un destrucs qui m’a fait le plus plaisir dansma carrière, avoue Fred Weis, émupar cette marque de reconnaissance.C’est comme si tu faisais un peu partiede la famille. »Ainsi choyé, aimé, Weis, à qui il resteun an de contrat à Bilbao, réfléchit àpoursuivre plus loin l’aventurebasque. Il aimerait trois ans supplémentaireset une revalorisation salariale.« Mais je ferai des efforts pource club qui m’a beaucoup aidé, quoiqu’il arrive », insiste-t-il. Car, audelàde l’estime et des minutesaccordées, Bilbao lui a redonnél’amour du jeu. Un cadeau inestimable,avec lequel Fred Weis nejouait plus depuis longtemps.« J’aime à nouveau le basket,aujourd’hui ! Il y a quelques années,je faisais un boulot, je faisais de l’alimentaire.J’étais triste quand j’allaisà l’entraînement. »Aujourd’hui, le jeune papa a retrouvéle plaisir, plus serein, plus mûraussi, même si on ne chasse pascomme ça, impunément, tous sesdémons. « J’ai toujours peur demanquer d’argent, après ma carrièrede basketteur. Il n’y a plus que ça quime réveille encore la nuit », avoue-til,avec un petit sourire gêné…DAVID LORIOTEUROCOUPE FEMMES (finale retour)SPARTAK R. MOSCOU - AIX-EN-PROVENCE : 72-66Aix, la tête hauteIL N’Y A PAS EU de surprise, hier, àMoscou, même si Aix a offert unetrès belle résistance au SpartakRegion de Moscou. Le club russe,emmené par la star américaine LisaLeslie, qui a réussi un double-double,a remporté hier l’Eurocoupefemmes, la seconde compétitioncontinentale féminine, en s’imposantface à Aix lors du match retour(72-66), mais avec un écart beaucoupmoins important qu’à l’aller, enProvence (80-65). Il a théoriquementgagné son billet pour la prochaineEuroligue, même si la Russie devrafaire le tri pour attribuer ses troisplaces.Dominées nettement à l’aller, lesjoueuses d’Alain Weisz ont livré unepartie de belle facture lors de cettedeuxième manche. Dans le sillage deleur meneuse à fort volume AnastasiaKostaki (22 points, 7 rebonds,8 passes), les Provençales ont mêmemené un moment de onze points(34-23, 14 e ) sur un panier primé deCathy Joens. Elles n’étaient aussiqu’à deux longueurs (62-64) à troisminutes du terme, avant que lesMoscovites n’inscrivent six points derang pour se détacher définitivement.Après ce premier trophée pourla Russie, Samara, tenant de l’Euroligue,défendra son titre lors du FinalFour de Brno, les vendredi 31 marset dimanche 2 avril, face à trois outsiders(Brno, Valenciennes, Vilnius).EUROLIGUE (Top 16, 5 e journée)Encore cinq places❏ GROUPE D. – DEMAIN : Olympiakos (GRE) - FC Barcelone (ESP) ; Malaga (ESP) - Kaunas(LIT). Classement : 1. FC BARCELONE, 8 pts ; 2. OLYMPIAKOS, 7 ; 3. Malaga 5 ; 4. Kaunas, 4.❏ GROUPE E. – DEMAIN : Maccabi Tel-Aviv (ISR) - Bologne (ITA) (en direct à 19 h 45 surSport +) ; Real Madrid (ESP) - Ü. Istanbul (TUR). Classement : 1. R. Madrid et Maccabi Tel-Aviv, 7 pts ; 3. Bologne et Ü. Istanbul, 5.❏ GROUPE F. – AUJOURD’HUI : Vilnius (LIT) - Vitoria (ESP) ; CSKA Moscou (RUS) - Bamberg(ALL). Classement : 1. CSKA MOSCOU, 8 pts ; 2. Vitoria, 7 ; 3. Vilnius, 5 ; 4. Bamberg, 4.❏ GROUPE G. – AUJOURD’HUI : EP Istanbul (TUR) - Panathinaïkos (GRE) (en différé à23 heures sur Sport +) ; Trévise (ITA) - Cibona Zagreb (CRO). Classement : 1. Cibona Zagreb,7 pts ; 2. EP Istanbul et Trévise, 6 ; 4. Panathinaïkos, 5.En capitales, les qualifiés pour les quarts (du 4 au 13 avril) au meilleur des trois matches.COUPE ULEB (demi-finales aller)SPARTAK R. MOSCOU 72AIX-EN-PROVENCE 66Min Pts Tirs 3pts Lf Ro-Rd PdOsipova 12 7 3/5 - 1/3 1-4 -Karpunina 15 8 3/4 0/1 2/2 1-0 -Leslie 32 20 10/18 - 0/3 6-4 -Penicheiro 35 9 4/7 1/1 - 1-2 11C. Robinson 33 7 3/5 1/2 - - 3Fröhlich 31 16 7/11 2/3 - 1-8 1Grubin 33 5 2/11 0/4 1/2 0-1 1Tokareva 9 0 0/4 0/2 - 0-1 -TOTAL 200 72 32/65 4/13 4/10 10-22 16Min Pts Tirs 3pts Lf Ro-Rd PdDiémé 13 6 3/5 - - 1-0 1Kostaki 38 22 6/10 1/2 9/12 1-6 8Carmona 1 - - - - 0-1 -E. Campbell 16 0 0/4 0/2 - - -Lopez 14 3 1/3 1/2 - 1-1 1Joens 37 13 5/10 1/4 2/2 0-5 1Lacroix 21 5 2/5 0/1 1/2 0-3 -Guerra 1 - - - - - -Ndongue 40 11 5/14 0/1 1/2 2-5 -Zurro 19 6 2/5 - 2/4 6-2 -TOTAL 200 66 24/56 3/12 15/22 11-27 1172-66 (21-25 ; 18-12 ; 15-14 ; 18-15)Écarts. - SPA : + 8 (39 e ) ; AIX : + 11 (14 e )Spect. : 3 100. Arb. : Mrdak (SEM) et Kalpakas (SUE)HIER : Hapoël Jérusalem (ISR) - Dynamo Moscou (RUS), 83-84 ; Vrsac (SEM) - Aris Salonique(GRE), 74-71. Matches retour le mardi 28 mars. Finale à Charleroi le 11 avril.COUPE DE FRANCE HOMMES (16 es de finale)■ CLERMONT - PARIS EN HORS-D’ŒUVRE. – Le Stade Clermontois accueillece soir le Paris Basket Racing pour le deuxième match des seizièmes de finale de laCoupe de France hommes. Les autres parties auront lieu ce week-end, sauf pourLimoges - Levallois, déjà joué (81-85).AUJOURD’HUI (20 heures) : Stade Clermontois (Pro A) - Paris BR (Pro A). VENDREDI(20 heures) : Maurienne (Pro B) - Strasbourg (Pro A) ; Vichy (Pro B) - Saint-Quentin (Pro B) ;Nantes (Pro B) - Orléans (Pro B). (20 h 30) Bordeaux (N 1) - Le Havre (Pro A). SAMEDI(20 heures) : Quimper (Pro B) - Le Mans (Pro A) ; Charleville (Pro B) - Cholet (Pro A) ; Tours Joué(N 2) - Dijon (Pro A) ; Châlons-en-Champagne (Pro B) - Rouen (Pro B) ; Andrézieux (N 2) - Nancy(Pro A) ; Saint-Vallier (N 1) - Hyères-Toulon (Pro A) ; Mulhouse (Pro B) - Chalon-sur-Saône (Pro A) ;Bourg (Pro A) - Gravelines (Pro A) ; Golf-Juan (N 1) - Reims (Pro A) ; (20 h 30) Pau-Orthez (Pro A) -Villeurbanne (Pro A). DÉJÀ JOUÉ : Limoges (N 1) - Levallois (Pro B), 81-85.NBA EXPRESSDetroit en son royaumeLES RÉSULTATSBoston - LA Lakers : 97-105 ; Detroit - Atlanta : 91-84 ;Houston - LA Clippers : 91-99 ; Portland - Milwaukee :93-100.LE FAIT DU JOURLes Detroit Pistons ont remporté… la Division Centrale avec leurvictoire devant Atlanta : avec encore seize matches à jouer, ceuxci(53 v-13 d) ne peuvent plus être rejoints par Cleveland. Victorieuxde leurs quinze derniers matches à Auburn Hills, les Pistonssont effrayants à domicile avec 29 victoires et seulement 2 défaites. Ils décrochentleur quatrième titre de Division en cinq ans, en ayant utilisé le même cinq de départdepuis le début du Championnat ! Mais le champagne n’était pas là pour célébrerl’événement : « Je ne savais même pas qu’on avait gagné la Division jusqu’à cequ’on vienne me le dire, admettait Tayshaun Prince. J’imagine que cela vous dit àquoi nous pensons actuellement... »LES FRANÇAISRonny TURIAF a joué trois minutes, le temps d’un tir raté, lors delavictoire des LakersàBoston. Les Suns deBoris DIAW jouaient àSalt Lake City la nuit dernière, les Sonics de Johan PETRO sedéplaçaient à Sacramento et un duel franco-français se déroulait àSan Antonio, entre Tony PARKER et l’arrière des Warriors, Mickaël PIETRUS.LES NEWSLeur réputation ne changera pas en une nuit, mais les LosAngeles Clippers sont sérieusement lancés sur la route de la respectabilité.Forts de leur succès à Houston lundi, les Clippers (5 esde l’Ouest avec 39 v.-26 d.) ont désormais 13 victoires d’avancesur un tableau de marche à 50 %, du jamais vu dans la franchise depuis la saison1975-76, lorsque l’équipe s’appelait encore les Buffalo Braves !Paris vise les 7 000Paris a lancé hier, dans un salondu Palais Omnisports de Paris-Bercy,son plan de communication pourattirer les foules vers Bercy ledimanche 2 avril (15 heures), pour larencontre de saison régulière,PBR - Strasbourg. À moins de deuxsemaines du match, le défi estcomplexe mais l’intention louableet soutenue par l’agence Sportys,la régie marketing du PBR,l’instigateur de l’événement, la mairiede Paris et la direction du POPB. «Onveut offrir un grand spectacle debasket parisien. Bercy est un lieuprestigieux », arappeléBrunoMolinas, directeur de Sportys. Pourséduire le chaland, la politiquetarifaire est attractive : 3 000 places à5 ✴ et la moitié des billets (6 000 sur12 000 environ) à moins de 10 ✴.Trois mille invitations devraient êtredistribuées. Sportys supporte seul,financièrement, la charge del’opération, dont la mise de fonds est■ CONRATH FAIT APPEL. –L’agentalsacien Jean Conrath a décidé de faireappel du jugement du tribunalcorrectionnel de Strasbourg, qui l’avaitcondamné le 15 mars à trois mois deprison ferme pour avoir «soumis15 athlètes kényans à des conditionsd’hébergement incompatibles avec ladignité humaine ». L’ex-champion deFrance du 5 000 m est en liberté, sonjugement n’étant pas assorti d’un mandatde dépôt. Son dossier va être transféré àla cour d’appel de Colmar, où il sera jugé,sans doute pas avant septembre. – R. R.estimée à 50 000 ✴ «etn’aaucunimpactsurlebudgetduclub»,aprécisé Bruno Molinas. LionelDreksler, le directeur du POPB, estimeque le «risquedoitsetransformerenchallenge et que toutes les forcesvives doivent donner leur maximum ».À cette fin, il prévoit une« ristourne » sur le prix de location dela salle. L’objectif annoncé est deréaliser un « demi-Bercy », soit7 000 spectateurs. La billetteriefonctionne depuis hier et l’on peutnotamment acquérir les places surInternet, via le site du club :parisbasket.net, ticketnet.fr etbercy.fr, ou par téléphone au08-92-39-04-90. En marge du match,Sportys promet un grand show deplus de trois heures. «Jouericiestune opportunité pour rendre lebasket plus fort et permettre au PBRde grandir. C’est quelque chose quidoit se faire », acommentélecoach,Gordon Herbert. – D. L.■ DIJON : RENAULT CONVOQUE. –LamédiocresaisondeDijon(14 e de Pro A, 9 vict. - 15 déf.) commence à agacer son président, MichelRenault, qui recevait hier soir son manager général, Yann Boisson, et son coach,Jacques Monclar, afin de faire le point sur la situation. Si aucune décisiond’envergure ou radicale n’est ressortie de cette entrevue, le club dijonnais, quireste sur deux revers d’affilée, a tout intérêt à redresser la barre, dans le butd’accrocher, au minimum, la douzième place, synonyme de play-offs. – D. L.■ HAISLIP EST PARTI ! – L’intérieur américain d’Ülker Istanbul, Marcus Haislip(2,07 m, 26 ans), a subitement quitté ses coéquipiers en fin de semaine dernière,sans en avertir le club. Prétextant des soucis familiaux, Haislip (11,8 pts,6,2 rbds en Euroligue) est rentré aux États-Unis et le club, engagé dans leTop 16 de l’Euroligue, ne paraît plus compter sur lui. – D. L.■ LES ÉTATS-UNIS VICTORIEUX À MONDEVILLE. – L’équipe féminine desÉtats-Unis, qui effectue une tournée en Europe sans certaines de ses meilleuresjoueuses, s’est imposée lundi soir à Mondeville (87-66), grâce notamment à15 points de Sheryl Swoopes. L’arrière américaine de l’équipe normande GraceDaley a terminé meilleure marqueuse avec 23 points.PAGE 10 MERCREDI 22 MARS 2006

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