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PARTENAIREOFFICIEL DES 3

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PROLONGATIONSRENAULT A-T-IL FAIT LE TROU EN F1 ?DEUX VICTOIRES au terme des équipes ont fait de bons débuts cette deux monoplaces jaune et bleu ne (septième). Certes, à Bahreïn, le mulés chez Ferrari (trois moteurs dernière a été accablée par la malchance,Räikkönen étant victime Giuntini à L’Équipe TV sur le plateau tiel : c’est en réussissant un début decomme le précisait hier Anne ment analysé un paramètre essen-deux premiers Grands Prix disputés année, voire cinq avec Williams qui, souffrit la moindre vapeur. «Nos moulin de Fisichella avait eu du mou changés au sein de la Scuderia enjusque-là (Bahreïn et Malaisie), la malgréles problèmes defiabilité rencontrésaujourd’hui, a prouvé un citait Pat Symonds, responsable de comme le précisaitgros soucis de une suspension cassée huit jours sur les problèmes pneumatiques. toires en autant de courses) quevoitures ont été impeccables, se féli-dans les papillons d’admission mais, deux courses), Honda (V 8 cassé et d’un accrochage en Malaisie après de Question de sport, en se penchant saison parfait en 2005 (quatre vic-seconde étant assortie d’un doubléFisichella etAlonso, performance qui potentiel certain », disait d’ailleurs l’ingénierie. Pas le moindre souci ! » Denis Chevrier, responsablede l’exploi-d’équilibre deMcLaren : « Nous devons faireUn atout maître : freins et auparavant.Même écho du côté du motoriste de Renault bâtit son triomphe. Et, s’ilsn’était plus survenue chez Renault Jean Todt, patron de la Scuderia, au L’unique accroc était à mettre sur ledepuis vingt-quatre ans au bon vieux terme du Grand Prix de Malaisie. compte d’une machine à ravitailler tation des V 8 sur lela fiabilitéchâssis pour Reste que, à la fiabilité, Renaultsont globalement plus proches desmieux ! Il nous faut travailler fort »,temps de la Régie nationale : incontestablement,l’écurie française majeure, celle qui fait la force de R 26 d’Alonso, ce qui lui valait du périphérique qui n’avait, heureusepulseursen fumée à Sepang). Seule déclaré en ce qui concerne sa maison président de Mercedes Motorsport,La fiabilité : voilà bien la qualité déversant trop d’essence dans la terrain : « Il s’agissait d’un défaut Barrichello) et Williams (duo de pro-ajoute la performance. Jean Todt l’aleaders que voilà un an, il y a désormaisurgence à les contrer au pluslança dimanche Norbert Haug, vice-monopolise non seulement les premiersrangs mais marque aussi les Dans le chaudron malais, aucune des teinte lors des qualifications A contrario, les pépins se sont accu-est mieux sortie. En revanche, cette être plus compétitifs. » Notamment, Car tous ces messieurs ont parfaite-PHILIPPE JOUBINl’actuel leader.coup une performance en demiment,rien de structurel. »l’écurie McLaren, sur ce plan-là, s’en rouge : « Je pense que nous devons à ses troupes.vite.esprits. Paradoxalement, si l’équipetotalise à ce stade de la saison deuxpoints de mieux qu’en 2005 (28contre 26 l’année dernière), sonavance est moindre.Flashback. Après les deux coursesinaugurales de 2005, Renault s’étaitdéjà constitué un avantage certain.Une victoire pour Fisichella enAustralie, une autre pour Alonso enMalaisie, assortie d’une troisièmeplace aux antipodes et, sur le strictplan comptable, l’écurie possédait16 et 17 points de plus queFerrari et McLaren. Au soir du GrandPrix de dimanche, le Championnatdes constructeurs se révèle plus serré: la Scuderia et McLaren, deuxièmesà égalité, ne concèdent quetreize unités de retard.En ce qui concerne lespilotes, Alonsopossédait en 2005 une avance de6 points sur Fisichella, de 14 surSchumacher et de 15 sur Räikkönen.Changement de décor cette fois : lamarge de l’Espagnol s’élève « seulement» à 7 points sur l’Allemand, à 8sur son camarade d’écurie et à 12 surle Finlandais.L’arithmétique est implacable : en2005, les hommes de Renaultavaient, au même stade (précoce !)d’avancement de la saison creusé untrou plus important que cette année.Voilà douze mois, le Championnatmontrait toutefois une hiérarchietotalement atypique : Ferrari n’étaitque l’ombre de l’écurie archi-dominatricedu tournant du millénaire, sedébattant en particulier avec desproblèmes de pneus récurrents ;McLaren-Mercedes possédait unretard en performance conséquent,son retour au premier plan se manifestantà Imola, lors du lancement dela saison européenne. Quant aux« hommes du losange », ils étaientles premiers étonnés des succèsacquis alors. Ayant évalué leursforces à la perfection, ils avaient toutefoismésestimé la faiblesse de leursconcurrents.Cette saison, les écuries de pointesont bien présentes. « QuatreROB WHITE, directeur technique moteur de Renault F 1, estime que le travail effectué à l’intersaisonest à la base des succès actuels.« Nousn’avonspasungrosavantage»« QUELLE ANALYSE dressez-vousde votre début de saison ?– Je pense que notre bon début vientde notre préparation. Nous avons vouluplanifier parfaitement toute l’activitéenamontpour être idéalement prêtsafin de réussir immédiatement de bonsrésultats en course. Avec la nouvelleréglementation (*), nous avons essayéd’intégrer à notre processus habituelles contraintes liées au V 8 lui-même,bien sûr, mais aussi celles de la créationd’un nouveau moteur dans undélai plus serré que précédemment. Lapublication du règlement était le pointde départ ; la date du premier GP 2006était plus ou moins connue : dès lors, ila fallu bâtir le planning pour optimiserle temps. Nous avons su le faire tout enintégrant l’expérience de nos projetsprécédents.– Paradoxalement, Renault afait tournertrèstard en pistesonnouveau moteur, contrairementà la plupart de ses adversaires…(PhotoDR)– Chacun sa philosophie. Nous avonsestimé qu’il n’était pas très utile deprévoir une version provisoire du V 8puis d’en faire une mise au point spécifiquequi n’aurait pas été très représentative.De plus, notre châssis del’année dernière n’était pas du toutadapté à la géométrie et à l’architecturedu nouveau moteur. Nous avonsvoulu affiner notre préparation auxbancs d’essai afin d’arriver en pistetrès tôt en début d’année, où nousavions quinze jours d’avance par rapportà notre planning 2005. Et, dès ladeuxième séance d’essais privés, nousdisposions de deux voitures.– Voussemblez plusdominateurqu’en 2005, mais votreavance enpoints est inférieure.– Schumacher et Button ont marquédes points dans les deux premièrescourses ! C’est ce qui fait la différencepar rapport à 2005.– Estimez-vous posséder unavantage important ?– Je ne veux pas entendre que nousavons un gros avantage ! Nous allonstravailler pour tirer le maximum denotre matériel lors des courses à venir.Même si nous nous sentons bienpréparés, d’autres le sont aussi. Etles équipes un peu moins prêtes sontrapides.– Ce Championnat sera-t-il plusdifficile que celui de 2005 ?– En performance pure, cette saisonest très intéressante. Plusieurs équipeset plusieurs pilotes sont susceptiblesde gagner des courses. Les conclusionstirées au terme des essais hivernauxse sont confirmées. Renault est uneécurie rapide et bien préparée. Hondaaussi. Avant l’ouverture du Championnat,McLaren a vécu une périodedifficile en termes de fiabilité, maiscela va beaucoup mieux. Ils sontmenaçants en vitesse et leur combinaisonsolidité-performance nous embêteun peu. Ferrari était l’énigme desessais privés. Ils sont meilleurs que l’andernier et ils ont le potentiel pour nousattaquer ! » – Ph. J.(*) Au nom de la réduction des coûts,le nouveau règlement a banni les V 103 litres pour les remplacer cette annéepar des moteurs V 8 de 2,4 l de cylindrée.CHRISTIAN HORNER, directeur sportif du team Red Bull, s’inspire de l’équipefrançaise dans son management.« Renault, c’est notre modèle »«PERSONNE n’est imbattable.Regardez Ferrari. Il y a deux ans, toutle monde les voyait comme les roisdu monde. On les disait intouchables,au-dessus du lot. Et pouf !Aujourd’hui, c’est vrai, Renault est lepremier. C’est au tour des Françaisd’être au sommet. Ils possèdent une● Nick FRY (directeur de Honda) : « C’est indéniable.Les Renault ont un avantage manifeste sur nous. Mais jene crois pas que c’est parce qu’ils travaillent mieux. Leurgrande force est de bien se connaître et de bien connaîtrela F 1. L’an dernier, leur voiture était parfaite. Celle decette année semble être pas mal non plus. Ils n’ont eu, lesconcernant, qu’à l’adapter au règlement de2006. Nous, ilnous a fallu tout refaire cet hiver. Nous étions partis dansune mauvaise direction l’an dernier. À nous de trouver labonne voie pour 2006. On serapproche, mais il nous restedu travail à faire. Renault, dans tous les cas, a moins dechemin à faire pour le développement de sa voiture. Enplus, quand ils font des choix, ils ne se trompent pas. Ilssont forts ! »super équipe. Ils ont des pilotes extraet une voiture exceptionnelle. Avecun tel ensemble, ce serait presqueanormal qu’ils ne gagnent pas ! Ànous de progresser pour les battre.On peut apprendre beaucoup d’eux.Ils n’ont pas le plus gros budget maisils sont super efficaces dans tous lesdomaines. Et ils le sont parce qu’ilstravaillent collectivement. Je croisque leur grande force réside dans cecollectif, ce lien qui unit toutel’équipe.Ce n’est pas un hasard si j’ai, cethiver, embauché six personnes quiviennent de Renault. Renault, c’estnotre modèle ! »● Jenson BUTTON (pilote Honda) : « Les Renault sontdevant, c’est indéniable. Vous dire pourquoi est difficile…Alonso est parti si vite. Les R 26 sont les plusrapides. Peut-être la chaleur les avantage-t-elle, je ne saispas… Nous verrons à Melbourne. Le circuit est différent,le temps plus frais et nous aurons tous eu le temps detravailler pour progresser. Nous devons le faire car lesRenault ne s’arrêtent pas non plus, et ils ont besoin d’unchallenger pour rendre ce Championnat excitant. »● Jean TODT (directeur général de Ferrari) : « Il n’y aaucune raison qu’ils (Renault) ne soient pas compétitifs.Ils ont été excellents l’année dernière. C’est la continuité.Les mêmes personnes aux mêmes postes. La stabilité. »L’organisationet la rigueurde l’équipeRenaultont faitl’admirationde tous.Cet hiver,lors des essaisde miseau pointde la R 26,comme encompétition,àBahreïnpuisen Malaisie.(Photo ÉricVargiolu/DPPI)ETMAINTENANT ?PROFITANT <strong>DES</strong> QUINZE JOURSqui séparent le GP de Malaisie decelui d’Australie, le 2 avril, à Melbourne,la plupart des grosseséquipes ont programmé des essaisen Europe cette semaine. Depuishier, McLaren-Mercedes est ainsi auPaul-Ricard avec ses deux pilotesessayeurs, Gary Paffett et PedroDe La Rosa. L’équipe britanniquesera rejointe à partir d’aujourd’huipar Renault, avec le seul HeikkiKovalainen, Toyota, qui fera roulerses deux titulaires Ralf Schumacheret Jarno Trulli au côté de RicardoZonta, et BMW-Sauber, qui tourneraavec Nick Heidfeld.Principal rival de Renault en ce débutde saison, Honda est depuis hier etpour trois jours à Vallelunga, enItalie, où l’équipe nippone travaille àl’écart de ses concurrentes avecAnthony Davidson etJames Rossiter.Après avoir identifié la cause de sescasses moteur à Bahreïn puis Sepang– dues, semble-t-il, à des pistonsdéfaillants –, Ferrari a prévu desséances d’essais au Mugello. Sansson pilote vedette toutefois, MichaelSchumacher ayant préféré, commenombre de ses pairs, rester dansl’hémisphère Sud pour ne pas jongleravec les fuseaux horaires.D’ACCORD,PAS D’ACCORDVous avez regardéQuestion de sport surL’Équipe TV ou vous nousavez lu. Faites-nous part devos réactions. Vos contributionsne peuvent que nourrirle débat. Elles vont fairedès aujourd’hui l’objet d’unvolet interactif surlequipe.fr.Notre adresse-mail :qds✡lequipe.fr■ À NOS LECTEURS. – La législationantitabac française nous contraintdésormais à masquer les marquesconcernées sur les documents photographiquesque nous publions. La qualitéde ceux-ci s’en trouve altérée.Veuillez nous en excuser.TÉLÉVISION LASÉLECTIONDE«L’ÉQUIPE»MAGAZINE 10.35« NBA Time »San Antonio Spurs - Golden State Warriors.PATINAGE ARTISTIQUE 11.30Championnats du monde 2006.Épreuve de danse imposée. À Calgary (CAN).DOCUMENTAIRE 13.05« Kalaripayat », de B. Guerini (1997).Voir article.PATINAGE ARTISTIQUE 15.30Championnats du monde 2006.Programme court H. À Calgary (CAN).FOOTBALL 16.45Coupe de France. 8 e de finale.Marseille-Sochaux. À Marseille.CURLING 17.00Championnats du monde F. Round Robin.À Grande Prairie (CAN).FOOTBALL 18.15Coupe d’Italie. Demi-finale. Match aller.Palerme - AS Rome.GOLF 18.45Circuit américain.Open d’Orlando (USA). Résumé.FOOTBALL 18.55Coupe des Pays-Bas. Demi-finale.PSV Eindhoven - AZ Alkmaar.Canal + 110 minEurosport 60 minArte 52 minEurosport 90 minTF 1 135 minEurosport 75 minRediff. à 1 h 45Sport + 120 minRediff. demain à 8 h 30Canal + Sport 55 minRediff. à 0 h 30TPS Foot 120 minRediff. demain à 16 h 45MAGAZINE 19.00« Un jour avec… Stéphane Traineau » L’Équipe TV 26 minDOCUMENTAIRE 19.00« Duels de légende.Italie : AC Milan - Inter Milan »MAGAZINE 19.40« Jour de sport » Invités :Mahyar Monshipour, Mary Pierce et Anne-Gaëlle Sidot.TOUT LE SPORT 20.10ESPN Classic 60 minCanal + Sport 80 minFrance 3 10 minÀ voir.Intéressant.À ne pas rater.Les cases vertescorrespondent auxretransmissionsen direct.FOOTBALL 20.30Coupe de France. 8 e de finale.Montpellier (L2) - Bordeaux.FOOTBALL 20.55Coupe des Pays-Bas. Demi-finale.Ajax Amsterdam - Roda JC.FOOTBALL 21.00Championnat d’Espagne. 29 e journée.Saragosse - Real Madrid.FOOTBALL 21.00Coupe d’Angleterre. Quart de finale.Chelsea-Newcastle.PATINAGE ARTISTIQUE 22.45Championnats du monde 2006.Programme libre couples. À Calgary (CAN).FOOTBALL 22.50Coupe d’Italie. Demi-finale. Match aller.Inter Milan - Udinese.BASKET 23.00Euroligue H. Top 16. 5 e journée. Groupe G.Efes Pilsen Istanbul (TUR) - Panathinaïkos (GRE).JEUX DU COMMONWEALTH 23.157 e jour.À Melbourne (AUS).MAGAZINE 23.30« Culture et dépendances »Invité : Abel El Quandili. Voir article.BASKET 04.00NBA.Seattle Supersonics - Milwaukee Bucks.ZAPCe soir 18: 30Eurosport 135 minTPS Foot 120 minRediff. demain à 22 h 15Sport + 120 minRediff. demain à 12 h 45Canal + Sport 110 minEurosport 180 minCanal + Sport 100 minSport + 90 minRediff. demain à 10 h 45Eurosport 2 60 minFrance 3 100 minNBA + 120 minRediff. demain à 7 h 30INFORMATION> LA GRANDE ÉDITIONMarc Van Dalen, président de Kronos, sur le plateau d’Olivier Ménard> RALLYEPetit frère devenu grandFrance 3. 23 h 30. Mag. Culture et… dépendances. 100’.« OÙ EN SERA LA FRANCE dansvingt ans ? » Vaste débat au menu dela centième de magazine Culture et…dépendances, présenté par Franz-OlivierGiesbert. Au côté des poids lourdshabitués à écumer les plateaux télé(citons, en vrac, Raymond Barre, JackLang ou Guy Sorman), le poids légerAbel el-Quandili, bardé de ceinturesmondiales en boxe pieds-poings, estinvité à parler du livre le Grand Frèredes banlieues (Fayard) que lui a consacréHafid Hamdani. Rare invité sanscravate à la table d’honneur, El-Quandiliparaît intimidé. Il évoque (tropbrièvement) son parcours deboxeurnédans un bidonville à Nanterre, en1964: « Le sportm’a sauvé. Mais,malgrémes seize titres de champion dumonde,j’aieudu mal. C’étaitune réussitesportive, la réussite sociale estvenue après. » Notamment grâce àson investissement dans la vie associativepour aider à l’insertion des« petitsfrères » des banlieues par le sport, enmartelant un message de paix et derespect. Son discours volontariste metaussi le doigt sur la chape de « vide »qui pèse sur la banlieue, le manqued’encadrement qui se fait cruellementVoyage au kalariARTE. 13 h 5. Doc. Kalaripayat (1997). 52’.PASSANT POUR L’ANCÊTRE du kung-fu, du karaté, de l’aïkido, le kalaripayatest d’abord et surtout le plus ancien des arts martiaux. Né il y a quelque 3 000 ansdans la jungle du Kerala, petit État situé à la pointe sud de l’Inde, et pratiquéaujourd’hui encore, il offre la particularité de comprendre des techniques de combatsans armes (proches de ce que sera le karaté) et avec (massue pointue en boisdur, poignard fait de corne de gazelle, sabre à deux tranchants, lances, bâtons,boucliers), techniques destinées à toucher les points faibles de l’adversaire(l’homme en compterait 108). Le kalaripayat – que les dieux ont créé, dit lalégende – se pratique dans un kalari, gymnase et lieu de culte à la fois, endroitventilé et plutôt sombre pour éviter que les combattants étouffent de chaleur.Avec ce documentaire que lui consacre Bernard Guerini, le téléspectateur suit auplus près ces pacifiques guerriers indiens de tout âge, enduits d’huile de coco etqui, lorsqu’ils s’échauffent dans des positions d’animaux prêts à attaquer, offrentun spectacle proche du ballet. Leurs mouvements, accompagnés d’exercices derespiration contrôlée, donnent des moments de grâce que restitue parfaitement lacaméra. De belles images pour un beau retour aux sources… N’ayez pas peurd’emprunter « le chemin du champ de bataille » (kalaripayat en hindi).BERNARD DOLETsentir « dans ces quartiers dont on al’impressionqu’ilsnefont paspartiedela France ».Pour avoir aussi mis en lumière, paritéoblige, le rôle des « grandes sœurs »en banlieue, l’ancien maire de Lyon etPremier ministre Raymond Barre sevoit offrir le DVD d’El-Quandili (*) parun Giesbert hilare qui l’encourage, vindicatif,à s’initier au kick-boxing.JOCELYN LERMUSIEAUX(*) Mes meilleures techniques decombat (Sony BMG).L’ÉQUIPE TV6. Édition du matin. 10. Édition de la journée.11. Question de sport. « Renault a-tilfait le trou en F 1 ? » (rediff. à 14. et16.). 18.30 La Grande Édition (rediff.toutes les heures jusqu’à 21.30). 19. UnJour Avec… Stéphane Traineau (rediff.toutes les heures jusqu’à 22., età0.15).22.30 Édition de la nuit.INFOSPORT6. La Matinale Sport. 10. Le Journal encontinu. 18. La Grande Heure.LE COIN <strong>DES</strong> RADIOSToute la journée. France Info. À .8 et à .38de chaque heure, chronique sportive.6.40 et 7.40. France Inter. Sports.6.45 RTL. RTL Sport. 7.40 Europe 1.Sports. 16. RMC. DKP. 17. IntégraleCoupe de France. 18. Sud Radio. Rugby& Compagnie.18.53 RTL Mégasport.19. RMC. Luis Attaque. 19.30 RMC.GlobalSports.20. Europe1.Europe Sport.20. RTL. RTL Foot. 20. RMC. IntégraleCoupe de France.PAGE 12 MERCREDI 22 MARS 2006

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