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ETUDE d'une CENTRALE HYDRAULIQUE (Partie Puissance ...

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<strong>ETUDE</strong> d’une <strong>CENTRALE</strong> <strong>HYDRAULIQUE</strong>(<strong>Partie</strong> <strong>Puissance</strong> - Etude des courants de court-circuit)JJN : Monsieur LAMBERT, bonsoir.C’était une des réponses que j’attendais de votre part (13) . Cette installation est tout à fait capable defonctionner, j’en ai un peu douté surtout que les logiciels de calcul des installations à basse tension n’enveulent pas en barbouillant mon écran de rouge (14) . Il est évident que les systèmes de régulation doiventjouer pleinement leur rôle. Maintenant, il faut être capable de la calculer cette installation et sur tous sesaspects. Comme certains éléments sont manquants, je vais compléter, nos jeunes amis du lycée ferontensuite les corrections qui s’imposent en ajustant leurs données.Moi aussi j’ai fait un calcul sur un coin d’ordinateur mais, j’ai dans la mesure du possible tenté de resterréaliste en précisant certaines valeurs manquantes : Pcc amont, SLT de type TN-S, Couplage dutransformateur, caractéristiques des alternateurs en prenant pour certains d’entre–eux des puissancesapprochées figurant dans ma documentation, section des câbles, etc.Il n’est pas question de discuter ici du bien fondé des normes (CEI 909, CEI 781, NFC 15-100 et guidespratiques UTE C15-105 et UTE C 15-500 et sans oublier les textes législatifs que j’aurai du citer enpremier. Ces derniers sont obligatoires tandis que les normes sont facultatives sauf si un texte législatifles rend obligatoires). Ces documents existent et doivent donc être appliqués. La conformité de l’installationest en cause si leurs prescriptions ne sont pas respectées. Je pense que ceci répond à votre dernièreinterrogation. Je laisse à votre appréciation les erreurs commises (vous dites 20%, fondé ou pas c’est votreappréciation, ce n’est qu’une appréciation. J’aurai préféré un commentaire techniques.)Je ne suis pas du tout d’accord avec votre deuxième coefficient de 0,8 (comme précisé plus haut à demaintes reprises) que vous appliquez en ce qui concerne les réglages des déclencheurs des disjoncteurs (voirles normes correspondantes). C’est peut être une pratique courante en HT, mais pas du tout applicable enbasse tension. Les magnétiques des déclencheurs des disjoncteurs se règlent en fonction du courant decourt-circuit minimal au point le plus éloigné de la canalisation en règle générale, il s’agit du court-circuitphase/PE. Les calculs des courants de court-circuit (Ik3 max , Ik2 max , Ik2 mini , Ik1 max , I défaut ) servent aussi à ladétermination des contraintes thermiques maximales (I²t=k²S²) que doivent supporter tous lesconducteurs constituant l’installation C’est le deuxième point faisant l’objet des non-conformitéssusceptibles d’apparaître en suivant votre raisonnement (15) .Pourquoi voulez-vous que les groupes soient à l’arrêt ? Rien ne le précise, ils peuvent être parfaitementcouplés au réseau, ils participent au même titre que le transformateur à un court-circuit quelconque seproduisant dans l’installation, à proximité du moteur M1 par exemple. Il s’en suit comme dit précédemmentque la protection doit fonctionner dans un temps maximal de cinq secondes, que les conducteurs actifs et PEne doivent pas se détruire (risques d’incendie) que la protection contre les contacts indirects soientassurés. C’est le 3 ième point que je voulais faire apparaître sur le plan des non-conformités. Votre post nefait apparaître aucun point sur cet aspect. Je vous renvoie aussi à l’arrêté du 10/10/2000 qui impose uncertain nombre d’obligations (note de calcul, dont la protection des personnes en particulier). On ne peutpas y couper.J’aimerai bien que vous expliquer clairement votre méthodologie sur cette installation pour calculer lesdivers courants de court-circuit d’une telle installation. Vous savez ou vous devez savoir que votre formuleIccbi =U/2Zd (réservée aux réseaux statiques) n'est pas applicable et en particulier dans cette installationconstituée d’alternateurs (Que faites-vous de X’d, Xi, Xo et éventuellement de X’’d dont les valeurs sontcomplètement différentes). Que faites-vous de tous les autres calculs des courants de court-circuit que j’aiévoqué à de maintes reprises ci-dessus, dont vous semblez ignorer l’existence.Dans un réseau BTA, le plan de protection n’est pas basé sur Iccbi (D’ailleurs parmi les Ik2 max et Ik2 minilequel choisissez-vous ?) Que faites-vous encore une fois de tous les autres courants dont vous semblezignorer l’existence Ik1 et Idéfaut ? Pour ne pas trop compliquer cette affaire, je n’envisage pas la réinjectiondes courants de court-circuit produits par les moteurs asynchrones (no comment)Jean-Jacques NAVARRO Page 10 21/04/2010C:\Documents and Settings\Propriétaire\Bureau\J22.doc

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