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Projet QUALIGOUV - AIFM

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C I N Q U I È M E R É U N I O N D U P E E R G R O U Pexemple, lors de la mise en place d’une Charte forestière,il faut en vérifier la compatibilité avec les éventuelsPlans de défense des forêts contre l’incendie ouautres. C’est la raison pour laquelle on ne peut pas secontenter d’un diagnostic classique (“les choses qui nefâchent pas” : milieu naturel, démographie…). Il fautfaire un réel travail de “diagnostic de la gouvernance” eninventoriant l’ensemble des acteurs et des documentsréglementaires intervenants sur le territoire. Le documentsur les acteurs réalisés par Louis-Michel Duhenpour les Alpilles peut apporter cela en début de montagedu projet.David Gasc propose de généraliser le groupe thématique“charte forestière” à “diagnostic de gouvernance”,voire de regrouper les 3 lignes de la catégorie “outils deconcertation”. Cette proposition est validée par legroupe.Patrizia Tartarino préfère ne pas participer personnellementaux sous-groupes thématiques car son métierest celui d’universitaire, et non de gestionnaire. Elledemandera aux personnes de la Province de Tarente sielles peuvent participer. Selon elle, le membre du peergroup doit pouvoir déléguer sa participation aux sousgroupes.Elle estime, par ailleurs, que les partenairespeuvent avoir une position d’observateurs et participerà un sous-groupe même s’ils n’ont pas d’expérience préciseen lien avec la thématique considérée, dans l’optiqued’apprendre de l’expérience des autres.Jean de Montgolfier soulève le problème de la langueau sein des sous-groupes (il n’y aura pas un interprèteà chaque réunion particulière de ces groupes).David Gasc demande à ce que chaque responsablede sous-groupe tienne l’<strong>AIFM</strong> informée des avancéesdu travail du groupe au fur et à mesure.Concernant le martéloscope, Aline Salvaudon estune “militante” de la question et a une approche pluspédagogique, tandis que l’ONF a plutôt une approchede gestion forestière. Daniel Seven signale toutefoisque quand on fait un martéloscope, l’objectif finaldemeure, à terme, d’effectuer une coupe de bois selonune stratégie définie (conservation, exploitation, régénération…).Louis-Michel Duhen étant déjà responsablede plusieurs sous-groupes, Daniel Seven suggère quePhilippe Bourdenet prenne ce sous-groupe en charge.Enfin, il propose de faire le lien avec une expérience demise en place d’un aménagementoscope menée parl’ONF dans les Pyrénées orientales.Le WWF ne s’est pas encore positionné sur l’une oul’autre des catégories. Le thème “valorisation des biensnon-marchands” pourrait notamment faire l’objet destravaux de Miguel Bugalho au Portugal, sur le thèmedes aménités forestières. D’autre part, le Web SIGpourrait être un élément intéressant à partager, demême que les activités au niveau de l’Oasi MonteArcosu (David Gasc).Corrado Teofili ne trouve pas que les activités duWWF s’inscrivent dans l’une ou l’autre de ces catégories.“Au Portugal, nous travaillons notamment sur unSIG en ligne sur le milieu naturel des espaces forestiers.On pourrait citer beaucoup d’activités transférablesmenées par le WWF, mais ce tableau n’est peut-êtrepas vraiment adapté pour l’élaboration du rapportfinal”.Louis-Michel Duhen demande si, en tant que propriétairede ses territoires pilotes, le WWF a eu desrapports avec les propriétaires voisins ou/et les acteurslocaux.Corrado Teofili répond que cela dépend. EnSardaigne, ce n’est pas nécessaire car le site est assezétendu. En Toscane, le site est beaucoup plus petit,mais le milieu forestier est extrêmement fragmenté, iln’y a donc pas de véritables propriétaires forestiers àproprement parler.Les Etats ont signé des engagements (Helsinky,Rio…). Une forêt doit fournir des services, que ce soiten termes d’aménités ou de production de bois.Aujourd’hui, on travaille principalement à la défensedes forêts contre l’incendie, mais cela ne permet pasune gestion durable des forêts. C’est pourquoi l’ONFsouhaite communiquer davantage sur le projet de commercialisationcar c’est ce type de démarche qui permettrade remettre la forêt méditerranéenne au centredes préoccupations en montrant qu’elle est capable defournir des produits valorisables dans la constructionou autre. Daniel Seven propose donc de rajouter unthème sur la valorisation du bois et son insertion dansle développement local. La Province de Tarente pourraitêtre intéressée, concernant la superbe pinède visitéeà Laterza à l’occasion du séminaire de Tarente…Ces encadrés (2 à 3 pages maxi) constituent le cœurde la plus-value du projet et de son cahier de capitalisationfinal. Ils permettront de montrer que les partenairesse sont rencontrés pour se concerter sur des aspectsconcrets et précis.Daniel Seven exprime une impression qu’il manqueencore quelque chose dans le tableau, en matière decommunication. En effet, la gouvernance consistenotamment à confronter l’intérêt général et l’intérêtparticulier, chose qui demande un effort énorme decommunication. Il est important de se questionner surla manière de retranscrire cela en actions concrètes, caron ne peut évidemment pas répondre à tous les intérêtsparticuliers.4 1

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