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JÉSUS SEUL

L'importance majeure pour tous chrétiens réels est JÉSUS LUI-MÊME, non Jésus et l'église, non Jésus et les dons surnaturels, non Jésus et les sacrements ou ordonnances, non Jésus et les confessions de foi, non Jésus et les crédos œcuméniques, non Jésus et les louanges, non Jésus et nos problèmes, non Jésus et nos angoisses, non Jésus et nos sentiments, mais JÉSUS SEUL. Quelle grâce et quel privilège que d'être donné de le connaître ainsi. Jésus est véritablement, comme l'atteste fortement les Saintes-Écritures, Dieu manifesté dans la chair, la seule source de notre salut et de la vie éternelle, notre seule espérance et notre seule délivrance. Contrairement à la notion populaire du christianisme contrefait avec sa prétendue orthodoxie, la révélation des Saintes-Écritures ne dit pas que «Dieu le Fils» a été manifesté dans la chair, mais précise avec une autorité suprême et incontestable que «Dieu a été manifesté dans la chair» (Jean 1:1-14; 1 Timothée 3:16) et que Jésus est «la plénitude de la divinité» (Colossiens 2:9) et non seulement un aspect distinct de la divinité qui aurait prit chair parmi nous. Le Dieu Suprême et Tout-Puissant qui est Père et Créateur de toutes choses est Esprit, et comme Esprit incorporel il se manifesta dans la chair comme Fils, le Messie promit pour le salut des enfants de la promesse, c'est à dire des élus. Il n'existe aucun «Dieu le Fils» dans toutes les Saintes-Écritures, mais Dieu Seul, inséparable et indivisible

L'importance majeure pour tous chrétiens réels est JÉSUS LUI-MÊME, non Jésus et l'église, non Jésus et les dons surnaturels, non Jésus et les sacrements ou ordonnances, non Jésus et les confessions de foi, non Jésus et les crédos œcuméniques, non Jésus et les louanges, non Jésus et nos problèmes, non Jésus et nos angoisses, non Jésus et nos sentiments, mais JÉSUS SEUL. Quelle grâce et quel privilège que d'être donné de le connaître ainsi. Jésus est véritablement, comme l'atteste fortement les Saintes-Écritures, Dieu manifesté dans la chair, la seule source de notre salut et de la vie éternelle, notre seule espérance et notre seule délivrance. Contrairement à la notion populaire du christianisme contrefait avec sa prétendue orthodoxie, la révélation des Saintes-Écritures ne dit pas que «Dieu le Fils» a été manifesté dans la chair, mais précise avec une autorité suprême et incontestable que «Dieu a été manifesté dans la chair» (Jean 1:1-14; 1 Timothée 3:16) et que Jésus est «la plénitude de la divinité» (Colossiens 2:9) et non seulement un aspect distinct de la divinité qui aurait prit chair parmi nous. Le Dieu Suprême et Tout-Puissant qui est Père et Créateur de toutes choses est Esprit, et comme Esprit incorporel il se manifesta dans la chair comme Fils, le Messie promit pour le salut des enfants de la promesse, c'est à dire des élus. Il n'existe aucun «Dieu le Fils» dans toutes les Saintes-Écritures, mais Dieu Seul, inséparable et indivisible

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Pour bien comprendre cette représentation de «Jésus le<br />

Bon Berger», il faut nous débarrasser de l’idée romantique<br />

que nous avons du berger et des brebis. Le berger était un<br />

homme robuste, courageux, sans peur qui protégeait le<br />

troupeau des voleurs et des animaux sauvages. Il n'avait<br />

rien d'un lâche qui craignait les moindres petits bruits de<br />

la nuit. Souvent, le soir, il mettait ses brebis dans le corral<br />

avec les brebis d’autres pasteurs. Cela permettait aux<br />

bergers qui n’étaient pas de garde cette nuit-là de se<br />

reposer. Ils se détendaient autour d'un feu racontant des<br />

histoires et prenant des nouvelles de leurs concitoyens. Le<br />

matin suivant, la seule façon de retrouver les brebis était<br />

l’appel que faisait chaque berger. Les brebis connaissaient<br />

sa voix. Elles venaient le retrouver et allaient avec lui vers<br />

de nouveaux pâturages.<br />

Le peuple de la Bible était un peuple de nomades, de<br />

ruraux, au contact permanent de cette réalité et le berger<br />

était au cœur du quotidien de ces civilisations du Moyen<br />

orient. Le berger est doté d’un triple rôle: - Il est celui qui<br />

fait paître le troupeau, qui a à charge de le conduire vers<br />

les meilleurs pâturages. - Il a aussi le souci des soins à<br />

apporter aux animaux faibles, malades; il est là lorsque<br />

les agneaux viennent au monde. Il est doux, plein de<br />

sollicitude pour chaque animal et il n’hésite pas à porter<br />

sur ses épaules l’agneau fragile qui ne peut suivre le<br />

troupeau. - Enfin, il est sans cesse préoccupé de<br />

rassembler le troupeau qui se disperse facilement sur les<br />

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