Atlas

CHAPITRE 1
RESPECTER LES CARACTÉRISTIQUES DE LA MAISON NANTAISE
LE BÂTI ET lES FORMES URBAINES
CATALOGUE DE SITUATIONS
“ références issues des quartiers ”
Garage au rdc
Séjour au premier
Mise en scène de l’escalier
extérieur pour accéder à
la porte d’entrée.
RESPECTER LES COMPOSITIONS URBAINES PAR UN CHOIX APPROPRIÉ
DE HAUTEUR DES NOUVEAUX BÂTIMENTS
Elévation de principe de la «maison nantaise» : Composition de façade avec mise en scène de l’entrée avec escalier extérieur.
La maison possède en général 3 ouvertures en largeur et 1 ou 2 niveaux surmontés de combles.
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Rue au gabarit traditionnel : maisons basses (R+1+comble)
individuelles, alignées en retrait et trottoir de part et d’autre
de la rue. L’ambiance jardinée relève des espaces privés. La
végétation donne du corps aux maisons individuelles et crée
une transition douce entre espace public et espace privé.
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Rue aux formes urbaines composites où la maison nantaise
côtoie du logement collectif de petite taille (R+3). Le profil
des couronnements est irrégulier et dynamise la perspective
urbaine. Le bâti est aligné, prolongé de murs quand il y a des
jardins. Un alignement d’arbres contribue à renforcer l’ambiance
champêtre de la rue et lui donner une échelle humaine.
50 Maison individuelle avec Maisons mitoyennes dessinées
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interface jardinée entre symétriquement avec portes d’entrées
la maison et la rue.
centrales et garages latéraux.
Maison individuelle avec interface
jardinée entre la maison et la rue.
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Rue minérale au gabarit traditionnel qui grâce au relief
profite d’une vue verdoyante. Un grand cèdre de l’ancien
domaine domine et dynamise la rue. Si l’épannelage* n’est
pas strict, la hauteur du bâti est globalement harmonieuse
et permet une grande ouverture sur le ciel. C’est une des
qualités des quartiers résidentiels.
Traditionnellement, les rares édifices hauts sont
essentiellement à caractère religieux, comme ici à St-Felix où
l’église devient un repère urbain ponctuel. En ligne de mire
dans le prolongement de la rue, elle campe avec le platane et
la végétation des espaces privés une silhouette urbaine aux
airs de village. Dans un contexte urbain dense, l’ouverture sur
le ciel est plus réduite.
Rue Casimir Périer
45
Avenue de la Coquetterie
52
44
Rue de la ville aux Roses
48
Rue Fr. Bruneau
47
51
52 Rue A. Le-Braz
Rue du Général Lanrezac
49
46 Rue Etienne Etiennez
ERDRE
Paysage urbain à l’épannelage hétéroclite. Bien que fragilisé,
le vocabulaire urbain est varié : des bâtis de différentes
hauteurs et de différentes natures se côtoient, un muret
recouvert de plantes de murailles leur fait face. Cette mixité
urbaine et conforté par la diversité des matériaux et la
présence d’une végétation plus ou moins spontanée.
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Paysage urbain très minéral et pourtant à deux pas de l’Erdre.
De grands immeubles et des garages (côté gauche de la
photo) font face à des maisons mitoyennes (côté droit).
Leurs façades en continue, sans grande finesse architecturale
neutralisent et aseptisent l’ambiance de la rue. La présence
de quelques plantes spontanées et isolées ne suffit pas à
reétalonner l’ambiance et rompre avec le caractère très
homogène, parfois aveugle de la rue.
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