Spécial annonceurs 2019

ACTU
12
OLIVIER FORO
Un outil
de proximité qui a
fait ses preuves
Actif dans
des organes de
direction touristique
depuis 1993, il a
toujours fait confiance
au «Nouvelliste»,
y compris depuis
son départ dans
le Haut-Valais.
SPÉCIAL ANNONCEURS 2019
www.lenouvelliste.ch
BIO EXPRESS
1993-1999 Premier
directeur de l’Office du
tourisme d’Ovronnaz
2000-2001 Directeur de
Sierre-Anniviers Tourisme
2002-2004 Premier
directeur de l’Interprofession
de la vigne et du vin (IVV)
2004-2014 Directeur
marketing des Bains
d’Ovronnaz
2014-2015 Coordinateur de la
création d’Anzère Tourisme SA
2016 Directeur de Brigerbad
Directeur des
Bains de
Brigerbad depuis
trois ans, Olivier
Foro fait
confiance au
«Nouvelliste»
pour attirer de
nouveaux
clients.
CHRISTIAN
HOFMANN
C’ ans. Comme il l’avait
est un partenariat
couronné de succès
vieux de vingt-cinq
fait lors de ses expériences professionnelles
dans le tourisme
du Valais romand, Olivier Foro,
directeur des Bains de Brigerbad
depuis trois ans, collabore
toujours aujourd’hui avec «Le
Nouvelliste». Et ce, même s’il
travaille dans la partie germanophone
du canton. «C’est une
évidence pour les acteurs touristiques,
le taux de pénétration
du «Nouvelliste» est monstrueux»,
annonce d’emblée
celui qui est arrivé dans le
Vieux-Pays en 1993 en provenance
de Genève.
AUTOUR DE DEUX CAFÉS
Si cette histoire dure, les raisons
sont très simples à trouver
selon Olivier Foro. «Il n’y a
qu’un mot qui me vient, la
proximité. Avec l’équipe marketing
comme avec les conseillers
d’impactmedias, on
peut monter des projets simplement,
autour de deux cafés,
sourit-il. Comme ce sont
des investissements importants
pour une PME comme
Brigerbad, ça permet d’instaurer
un climat de confiance.» A
l’heure de comparer les relations
qu’il entretient avec «Le
Nouvelliste» ou celles d’autres
acteurs publicitaires qu’il côtoie,
le directeur se montre
clair. «Par exemple, quand on
Avoir une entente cordiale et
pouvoir discuter en face
apporte une vraie valeur
ajoutée qu’offre le journal”
OLIVIER FORO
DIRECTEUR DE BRIGERBAD
traite avec des gens de Berne
par téléphone ou e-mail pour
trouver une idée marketing,
on n’a bien sûr pas la même
relation. Avoir une entente
cordiale et pouvoir discuter
en face apporte une vraie valeur
ajoutée qu’offre le journal.»
À L’ATTAQUE DU BAS-VALAIS
Et au vu des ambitions que
possède Olivier Foro pour
l’avenir des thermes de Brigue,
il lui faut des partenaires
de confiance comme «Le Nouvelliste».
«Les Bains de Brigerbad
sont perçus comme le
point d’eau de toute la région
en été, mais nous devons démontrer
que nous sommes un
centre thermal ouvert toute
l’année et qu’il est tout aussi
agréable d’y venir en hiver.»
La culture du thermalisme
n’étant pas la même dans le
haut que dans le bas du canton,
les dirigeants lorgnent
vers les francophones. «Notre
clientèle du Bas-Valais représente
déjà 25% des entrées,
mais nous voulons accroître
BRIGERBAD
UNE PME HAUT-VALAISANNE
À SUCCÈS
Les habitants du Valais romand
ne le savent peut-être pas,
mais Brigerbad est un acteur
économique qui compte de
l’autre côté de la Raspille.
«Nous sommes une PME d’une
taille importante pour la
région», confirme Olivier Foro.
Avec ses 80 employés, le centre
thermal est connu de tous les
Haut-Valaisans depuis près de
soixante ans. Brigerbad offre
aux clients 2600 mètres carrés
d’eau dans un écrin quasiment
flambant neuf, puisque des
rénovations se sont achevées
en 2014. «30 millions ont été
investis pour rendre l’accueil
meilleur et les moments passés
chez nous encore plus
agréables», ajoute le directeur.
En trois ans, le nombre
d’entrées annuelles a déjà bien
augmenté, passant de 180 000
à 220 000.
ce chiffre.» Si Brigerbad ne
possède pas encore la même
notoriété que les Bains de
Saillon, d’Ovronnaz ou de Lavey,
le directeur entend bien y
remédier. «Nous voulons apparaître
dans le radar des Bas-
Valaisans quand ils pensent
au thermalisme. Brigue se situe
seulement à 35 minutes
de Sion et c’est pourquoi on
attaque vraiment ce marché
d’un point de vue marketing»,
note encore Olivier Foro.
UN MOYEN IDÉAL
Pour ce faire, la direction des
Bains brigois va opter pour un
marketing mixte. Quand on
connaît la force de pénétration
de Facebook ou de Google,
est-ce vraiment nécessaire
LE NOUVELLISTE
d’investir dans la publicité sur
papier? «Oui. D’abord parce
qu’avoir tous les œufs dans le
même panier est une bêtise.
Ensuite parce que «Le Nouvelliste»
reste incontestablement
le numéro un dans le Bas-Valais
et c’est donc un moyen
idéal pour atteindre ses objectifs»,
relève Olivier Foro. Pour
une structure de taille
moyenne comme l’est Brigerbad,
la réflexion marketing
préalable occupe une place
primordiale. «Il faut savoir
être inventifs, parce que les
moyens financiers ne sont pas
extensibles.»
DU RÊVE À LA RÉALITÉ
Ce choix de la mixité marketing
implique une présence
Le Nouvelliste reste
incontestablement le
numéro un dans le Bas-
Valais et c’est donc un
moyen idéal pour atteindre
ses objectifs.”
OLIVIER FORO
DIRECTEUR DE BRIGERBAD
partout, ou presque. «Sur les
réseaux sociaux ou sur des affiches,
nous vendons du rêve
avec de belles images, mais un
«like» ne fait pas encore venir
les lecteurs chez nous. Avec
du marketing dans «Le Nouvelliste»,
nous vendons un
produit concret avec des offres
commerciales qui vont attirer
du monde», révèle Olivier
Foro.
Si cette publicité à travers le
média de référence dans le Valais
romand semblait évidente
quand il travaillait à Ovronnaz,
Anzère ou Anniviers, la
fidélité d’Olivier Foro au «Nouvelliste»
va au-delà de bonnes
relations avec ses partenaires.
«Collaborer avec «Le Nouvelliste»,
c’est la garantie pour
nous de couvrir tout le Valais»,
conclut le directeur.
SAMUEL JACQUIER