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L’invention de l’ancien Israël”.
“L’histoire niée de la Palestine
donnée par la recherche archéologique. L’âge du bronze
et donc devenu l’âge des conquêtes ou des mises en possessions;
dans l’âge du fer on assiste à l’apparaitre et au
dévéloppement de la monarchie; enfin l’époque de l’exile
ou du deuxième temple coincide, naturellement, avec
l’époque persienne, héllénique, et romaine. La négation
du temps palestinien est donc confirmée dans les eforts
de réclamer le passé dIsraël.
L’œuvre classique d’Aharoni (The Land of the Bible. A Historycal
Geography) est représentative sur l’utilisation du
temps faite par les études bibliques. Aharoni commences
sa large panoramique avec l’âge de la pierre et avec le calcolithique.
Le primer âge du bronze est indiqué comme le
premier canané I-IV, le moyen age du bronze moyen canané,
et le tard âge du bronze comme le tard canané I-II.
Aharoni suit donc les convinctions des étusiants israéliens,
en désigant l’âge du fer comme période israélite. Dans
“L’histoire de Ertz Israel”, Aharoni donnes importance à la
première période cananée, car c’est pendant celui-ci qui
se posent les bases de la culture cananéaine, même s’il
s’agit encore d’une “période muette”, “proprement appellé
protostorique”. La façon dont cette période est destituée
de toute valeur intrinsèque est mise en évidence dans
l’analyse de la terminologie: “le terme ‘canané’ nous parrait
donc plus apte, en tant que nom général pour la population
de Pays pendant la conquête israélienne, quand
commence une illumination historique plus vaste.” On
attaint à l’histoire qu’avec l’appariotion d’Israël et des traditions
bibliques!
L’invention de l’ancien Israël
La revendication de la Palestine 1: L’immigration
L’essai pionnieristique d’Albert Alt sur la colonisation
israélite en Palestine (Die Landnahme der Israeliten in
Palästina) portera au développement de ce qui viendra
ensuite défini comme le modèle d’infiltration ou immigration
relatif aux origines israélites, souvent représentées
comme une entrée pacifique. Dans son modèle il est mis
en évidence le rôle de relief représenté dans la détermination
de ce qui étatit la géographie politique, de la ville-état,
dont à-travers ses “minuscules” princes le Pharaon
exerçait son pouvoir, en traitant directement avec eux. Le
plein dévéloppement de ce système politique a ammené
à une fragmentation extrème de la Palestine, divisée en
petits états ayants qu’un petit territoire autour des villes
Synthèse élaborée par
Marco Linguardo
“Associazione Culturale
Thule Italia”
traduzione a cura del
Dott. Damiano Liani
at dans peu de villages limitrofes. Alt individues une importante
différence géographique et politique entre les
zones de plaine de la côte, dans lesquelles étaient situées
la plus part des villes-état, et les zones montagneuses, où
la manque de terres fertiles et arables a fait en sorte que
“la civilisation des peuples des montagnes n’a pas acqui
le niveau de civilisation de ceux des côtes”. Alt soutiens
que, suite au collapsus de la puissance égyptienne qui a
eu lieu vers la fin de l’âge du bronze, la “carte politique de
la Palestine s’est transformée de façon totale”: en effet approximativement
dans la région il ne restait qu’une demie
douzaine d’États, ce qui selon Atl peut être expliqué seulement
par une transformation radicale du pouvoir politique.
La décadence de l’ancien Egypte impérial n’est pas
suffisante pour faire comprendre les nouvelles formes de
vie politique et les unitées territoriales ressorties pendant
cette période, qui ne s’expliquent même avec les développements
autochtones en réponse à la diminution du
contrôle égyptien. “En étant laissées se développer en autonomie,
il est clair que les réalitées politiques indigènes
ont gardée la situation qui s’était développée pendant
tant de siècles”. Alt donc considères le changement possible
que s’il vient apporté par l’extérieur, en niant de cette
façon toute valeur à l’histoire propre de la région. Alt suit
dans son assertion – ayante aucune justification – selon
laquelle la croissance d’une consience nationale ne peut
pas être indigène. Celle-ci toujours selon Alt ne s’attandait
à aucune égalité dans la fondation de l’État d’Israël.
La revendication de la Palestine: la conquête
Faisant chef à William Foxwell Albright, les studieux américains
ont élaboré une construction alternative de la conquête
israélitique en Palestine. Albright voulait démontrer
qu’il y avait des épreuves “objectives” à soutiens du cadre
offert par une partie des traditions bibliques, c’est à dire
celui de l’invasion et de la conquête. Il attribua donc une
importance majeure aux données archéologiques, affin
de pouvoir soutenir la tradition biblique inhérente une
courte action militaire qui a dévasté un certain nombre de
centres urbains palestiniens. Tout comme Alt, Albright a
attribué à Israël la croissance des villages sur les hauteurs
pendant son passage à l’âge du fer. En tout cas il ne s’agissait
pas d’une immigration pacifique, mais d’une irrution
istantanée et violente, qui a détruit la culture urbaine de
la Palestine.
L’axiome d’une conquête israélite de la Palestine, dérivant
in lingua
par la combinaison des traditions bibliques et des données
archéologiques, mènes Albright à conclure que:
[...] le peuple originaire de la Palestine israélite était composé
par trois groupes: Juifs pré-israélites, Israélites, et
Cananéains d’origine hétérogène. Les Juifs se sont melés
avec leur cousins israélites si rapidement que, pratiquement,
dans la littérature biblique on a perdu tout repère à
cette distinction et les quelques allusions apparentes sont
douteuses. Les Cananéains firent menés à l’ovile israélite
à travers des accords, des conquêtes, et des graduelles absorptions.
Aucune doute sur la légitimité au droit d’Israël à la terre
est soulevée.
Albright poursuit:
[...] la chance pour le futur du monothéisme, a été que
les israélites de la Conquête ont étés un peuple barbare,
avec une énergie primitive et avec une volonté impitoyable
de vivre, du moment que la complète décimation des
Cananéains a évité la complète fusion des deux peuples
similaires, ce qui aurait pu faire baisser le modèle du Jahvisme
jusqu’à un point de non retour.
De la part d’une effige des études bibliques du XXème
siècle, la justification pour l’extermination de la population
palestinaise est digne de note pour deux raisons: elle
explicites un racisme qui bouleverses, mais égallement
impressionant c’est que, à ce qui résultes, les studieux
bibliques ne s’arretent jamais sur ces affirmations, ni en
donnent un commentaire.
L’influence pénétrante exercée par l’hypothèse d’une
conquête israélite, atteinds le sommet dans l’œuvre de
John Bright titulée A History of Israel. Dans celle-ci Bright
admets que, avec sa grande culture urbaine et avec
l’invention de l’écriture, Canaan a réalisé des conquêtes
matérielles et culturelles, mais affirmes que sa religion
était immorale et corrompue: “En tout cas, la religion cananéaine
n’offres aucun cadre agréable. En effet elle été
une sorte abjecte de paganisme, surtout pour le culte de
la fertilitée”. Ce qui contrastes avec la foi israélite qui, “absolument
sans égales dans le monde ancien”, a posé Israël
au dehors de son ambiance, en faisant naître le phénomène
péculiaire et créatif que nous connaissons. Bright ne
mets pas en doute l’histoire de la tradition biblique sur la
conquête, histoire qui “ne devrait pas être nié à jamais”.
La revendication de la Palestine: la lutte intérieure.
Maintenant on va dédier quelques mots à George Mendenhall,
auquel il est attribué une interprétation différente
sur les origines d’Israël. Selon Mendenhall l’élément
extérieur était constitué par une sorte de petit groupe,
qui a fait de catalyseur pour l’insatisfaite et exploitée population
palestinienne. Le facteur clef de cette “révolution
biblique”, comme le studieux en donnes définition, n’as
pas été la révolte des paysans indigènes, mais la révolution
religieuse. La terre, en effet appartient à la Divinité, et
donc et objet de don divin, ce qui donnes justification au
passage de l’espace palestinien sous le contrôle israélite.
Dans cette optique, l’immorale et corrompue culture autochtonene
ne pouvait pas réclamer la terre. La “conquête
de la Palestine” de la part d’Israël est donc l’affirmation de
ce don divin.
L’hypothèse d’un État israélite
Créer un état en revendicant une époque passée.
“L’apparaître” de l’ancien Israël pendant la période de
passage à l’âge du fer contitues seulement un moment
décisif dans l’histoire de la Palestine, mais la création d’un
État israélite représente pour les studieux bibliques le moment
décisif.
Vu que le moderne État d’Israël se réclame à ses origines
pendant l’âge du fer, sûrement les efforts de la doctrine
biblique dans la recherche d’une monarchie davidique ne
viennent pas d’un simple intérêt pour l’antiquité. La déclaration
d’indépendance, proclamée à Tel Aviv le 14 mai
1948 par le Conseil d’État provisoire, annonces en effet
le “rétablissement de l’État juif”. Toute tentative de considérer
objectivement et sans intérêts, non seulement le
passé, mais aussi la réalité et les luttes contemporaines,
en prenant les distances des implications pratiques de la
recherche insipré à la Bible, et vient mis à l’écart dès les
premiers paragraphes:
Dans la terre d’Israël est né le peuple Juif. Ici s’est formée
son identité spirituelle, religieuse et nationale. Ici il a vécu
une vie indépendante, il a créer des valeurs culturelles de
portée nationale et universelle et a donné le jour à la Bible.
Exilés de la terre d’Israël, les juifs lui sont restés fidèles